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karim al Hanifi : Analyse et commentaire : "Le paradis est sous l'ombre ...
#sunnisme#chiisme#le paradis sous l'ombre des épées#islam#coran#sounnah#sahih mouslim#sahih boukhari#hadith falsification#karim al hanifi
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(via https://www.youtube.com/watch?v=baV-D4bxneo)
Donne de l’importance à un âne, il se prendra pour un cheval de course
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Présentation de Metmati Maamar #Bannière de #l'Islam
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Ma méthodologie pour étudier est la suivante - Maamar Metmati
Tout d’abord et dans la mesure où je ne me reconnais complètement dans aucun courant théologique, mes écrits sont donc parfaitement objectifs et absolument, sans aucun parti pris.
Lorsque l’une de mes recherches confirme ou infirme telle ou telle affirmation de tel ou tel courant théologique, je le dis sans craindre d’être taxé tantôt de Chiite, tantôt de Sunnite, tantôt de mi-Chiite mi-Sunnite, tantôt d’égaré… etc.
Ce genre de qualificatif ne manque, malheureusement pas, dans le vocable miséreux de certains de nos « frères » mais aussi, « soeurs » ! Lesquels parlent beaucoup, tapotent beaucoup sur leurs claviers, mais on constatera fort clairement, que l’argumentation et la sincérité chez ces gens là, sont plus invisibles encore, qu’une fourmi revêtue d’une tenue de camouflage cherchant à se dissimuler dans une forêt lors d’une nuit sans lune ! Ma plume est parfaitement impartiale et désintéressée, de cela je vous en donne la totale garantie. Lorsque je décide d’étudier un sujet, je procède comme ce qui suit : Tout d’abord je me réfère au Coran, je sélectionne dans ce même Coran, le ou les versets relatifs au sujet que j’ai décidé d’étudier, après quoi, j’extrais le ou les versets en question puis les conserve pour la suite de ma recherche.
Ce ou ces versets, me permettront d’obtenir une orientation significative. ensuite je me tourne vers les savants afin de consulter leurs conclusions. Apres quoi, je serai en mesure de pouvoir juger si leurs conclusions sont objectives, sérieuses, complètes… etc. Et si elles ne sont pas, je dirais, acceptables, je dirai pourquoi elles ne sont pas acceptables, après quoi, chacun d’entre nous pourra juger de lui-même. Comme le Coran me sert de repère, Boukhari et Mouslim me servent de même de repère, même s'ils tendent vers une conclusion différente. Quoi qu’il en soit, je motiverai ma conclusion afin de faire comprendre à mes frères et sœurs pourquoi je tends vers ce résultat.
Etape 1 : Regroupement. Etape 2 : Recoupement. Etape 3 : Analyse. Etape 4 : Conclusion.
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Metmati Maamar subit la CENSURE
Le Quotidien "Libération" tout comme "Le Monde" censurent la pub du nouveau livre de Metmati
La réaction de Mâamar,
BATTONS NOUS POUR LA LIBERTÉ DE LA PRESSE NOUS DIT-ON !
Comment peut-on être contre ses libertés, je ne le conçois effectivement pas un seul instant. Mais aujourd'hui je me pose cette question, quelle presse, quelle expression ? Il faut croire que la presse libre, ne nous rend pas nous autres citoyens forcément libres de nous exprimer, et je dirai même, bien au contraire ! Me battre pour la liberté oui, me battre pour leur liberté et de surcroît au péril d'une autre liberté, non, car on ne fait que déplacer et non éradiquer le problème.
Ainsi, la direction du quotidien «libération» a refusé de faire paraître la publicité de deux ouvrages ("Corrections et interrogations" et "Apres l'Irak à qui le tour") bien sûr, aucun motif ne fut avancé, seul «l'alinéa 5 qui figure dans nos conditions générales de vente» me fut rappelé, pourtant, il s'agit de livres parfaitement ordinaires, ne contrevenant en rien à la loi en tout cas celle de l'Etat, la leur il faut croire que oui.
Il faut aussi croire que la ligne politique du quotidien est beaucoup plus sévère que la loi de la République jugée pourtant par eux-mêmes comme rigide, et si tout le monde faisait comme cela, où irions nous ! on nous incite à nous battre afin que les journalistes puissent accomplir leurs devoirs dans les meilleures conditions, cela afin que le citoyen soit informé, ce qui est noble, mais en réalité tout n'est que censure. Les journalistes eux mêmes sont abusés, un peu comme un bon soldat qu'on envoie au front pour la patrie lui dit-on.
La preuve étant, que lorsqu'il s'agit de faire paraître de la publicité d'ouvrages dénigrant, insultant, déformant la religion de l'Islam (par exemple) on y va de plein pot et, de gaieté de cœur, jamais une pub ou un article n'a été refusé en ce sens. Mais quand il s'agit à l'inverse, d'un droit de réponse, et ce dans le cadre il va sans dire de la loi française, on agite le fameux veto (l'alinéa 5) exactement à l'identique de celui agité par les Etats-unis contre toute résolution à l'égard du grand ami israélien.
Je me dis alors, si la simple publicité d'ouvrages est sanctionnée par la censure de la direction de libé, qu'en est-il des articles de presse ! Il ne serait effectivement pas logique, bien plus, insensé, de penser qu'ils sont libres et donc impartiaux. A quoi bon alors être «informé».
Le contenu de ces livres, ils l'ignoraient complètement, puisque le refus fut instantané, seule a motivé leur décision, la couverture, s'apercevant probablement que le contenu allait à contre-courant, non pas de la loi, mais de leur loi, pour ne pas dire de leur intérêt. Un journal qui sert uniquement à colporter toutes sortes de mensonges en camion benne et à les déverser tous les matins sur la tête des citoyens et qui veut réprimander Ben Ali ou Saddam Hussein pour leur sévérité à l'égard de la libre pensée est un torchon, dont le contenu ne vaut pas mieux que celui des imbéciles de racistes de tout poil. Il ne m'intéresse par conséquent pas. Ne soyons pas dupes, leur veto (l'alinéa 5) n'est qu'un prétexte pour justifier leur infamie, et je les défie de prouver le contraire. A vrai dire, la liberté ils en ont horreur, leur but est leur liberté, et donc pas de liberté.
Comment peut-on juger autrement un journal qui favorise l'agression de celui là, et interdit la défense de l'autre ? Au seul critère qu'il soit musulman, il y a en effet de quoi avoir envie de recracher tout ce que j'ai pu ingurgiter durant toute ces années de mensonges et déformations.
Alors je dis NON, et dites NON vous aussi, je ne soutiendrais plus le combat des reporters et autres journalistes sans frontières, souffrant de ne pouvoir exercer «librement» leur travail, souvent dans les pays africains, qu'ils se fassent canarder comme nous ici en France, on se fait l'otage d'un obscure et bien malfaisant «comité du droit à la liberté de qui on voudra».
Je ne lirai plus cette presse qui triche, censure, déforme et tue l'information au quotidien. Je serai bien injuste de contribuer de façon si infime soit-elle, à leurs existence, qui il faut croire est loin d'être indispensable, je pense même que sa disparition sera une libération pour la liberté.
Depuis quinze années que je lis libération, je préfère à présent le laisser aux libraires plutôt que lire, non pas dans le doute, mais dans la certitude que l'on est informé selon une trajectoire interne et donc privée.
Dites NON vous aussi, ne donnez plus votre argent à cette direction qui n'agit pas selon les valeurs unanimement connues. L'objectif d'un journal est initialement d'informer et non d'informer selon la direction du moment. Je suis à présent absolument convaincu que je ne serai pas moins informé que celui ou celle qui se croit informé en lisant libé, en fait pour résumer tout cela, seuls les titres doivent nous intéresser, le reste est de la politique non pas politicienne, mais politicarde. Votre soit disant combat pour la liberté de la presse et d'expression n'est pas sincère, pas plus que vos articles ne sont justes, en réalité votre comportement n'a que très peu évolué depuis Napoléon, par contre et il faut le reconnaître, vous excellez en hypocrisie et en manipulation des esprits. Nonobstant le dur combat qui a été mené par des hommes et des femmes pour la liberté de la presse, aujourd'hui la presse sert seulement et uniquement un certain comité, je préfère encore Mille huit cent dix quand les imprimeurs étaient assermentés, ainsi tout le monde était au courant. De plus, il n'est plus tolérable d'être l'otage d'un Etat que d'un journal pour lequel on s'est directement ou indirectement battu.
Je pense que mes propos sont bien pesants et parfaitement fondés, ce qui sera dit en face ne sera jamais justifié il demeurera à jamais un acte arbitraire et une injustice dont le seul objet fut que ma religion soit l'islam, l'islam debout, l'islam qui parle, l'islam qui avance, l'islam qui réfléchit, l'islam qui se libère de tout compromis visant à le réduire à une fête, un servile serviteur, un nostalgique souvenir.
J'estime en effet que lorsqu'un homme souffre d'une blessure, on ne regarde pas s'il est noir ou blanc, juif ou chrétien, on le soigne. Ainsi quand on se propose de faire de la publicité littéraire on la fait pour tous et non pas seulement quand ça va dans un sens, le vôtre.
Ce qui est sûr à ce jour, est que vous avez perdu un lecteur et j'espère très fortement que ce ne sera pas ni le premier ni le dernier. Toute homme et femme qui se respecte ne peut que me suivre dans ce combat, car il est juste.
M.Metmati Maâmar
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Biographie de Metmati Maamar
Je m’appelle Metmati Mâamar et je suis né le 12 décembre 1967 à Puteaux (92) ville où mon père décédé, a travaillé toute sa vie. Je suis d’origine Algérienne et de nationalité Française. Ma mère comme la plupart des femmes arabes de cette époque, est une mère au foyer. Les familles arabes sont souvent nombreuses, il est donc très difficile pour ces mères, de travailler à l’extérieur et de s’occuper de la maison. De plus, l’Islam on le sait, restreint la sortie de la femme, non pas qu’elle n’ait pas le droit de sortir, mais disons que son devoir est de s’occuper du bon fonctionnement du foyer, il appartient à l’homme de travailler et de subir la société. Même s’il est vrai que l’on confond souvent principes religieux et traditions ancestrales, sur ce point, la tradition semble être en harmonie avec l’Islam à la seule différence, que l’Islam accorde un statut à la femme qu’on le conteste ou pas, alors que dans la tradition, la femme n’a pas son mot à dire, ce qui constitue purement et simplement de l’arbitraire. Arbitraire que beaucoup d’ignorants et d’ennemis de l’Islam ont volontairement utilisé pour faire croire que ce que
subissait la femme arabe était la conséquence non pas de
traditions débiles, mais bien la faute de l’Islam.
Et j’ai toujours été contre l’arbitraire qu’il touche un proche ou un inconnu, un ami ou un ennemi. Et dans cet ouvrage il s’agit bien de ça, d’arbitraire, dont je suis à présent une véritable victime. Une véritable victime depuis maintenant six années, depuis que j’ai décidé d’écrire. Mon père était également commerçant, ce qui lui permettait comme on dit, d’arrondir les fins de mois.
Il vendait des vêtements masculins sur les marchés de la banlieue parisienne et c’est donc très tôt, j’avais à peine huit ans, que j’ai appris la vie, la vraie vie, la mentalité des gens, la valeur de l’argent, le froid qu’il faut pourtant affronter pour survivre, les défis de la concurrence, l’art de négocier… etc. etc. Le marché est une très bonne école, dure mais efficace. Pendant que les jeunes de mon âge dormaient et s’amusaient les jours de repos scolaire, moi j’allais au marché et me levais à cinq heures. Cette expérience me servira toute ma vie, elle a fait de moi un jeune pas tout à fait comme les autres, un jeune qui n’avait pas contrairement à ses copains, besoin de faire des bêtises pour pouvoir aller au cinéma et au Mc Donald. J’étais plutôt un businessman, ce qui m’a évité jusqu’à ce jour bien des soucis. Après les horribles matinées passées au marché, je rentrais dans ma cité rejoindre mes copains et notre seule distraction était de nous balancer des cailloux sur la tête. Il m’est arrivé de rentrer chez moi le visage ensanglanté. Dans cette cité tous les locataires étaient arabes, tous, sauf un qui était portugais, il n’y est pas resté longtemps. Mon loisir préféré était de grimper sur un mur haut d’environ deux mètres cinquante et étroit d’une largeur de pied, c’était un mur comparable au mur de Berlin. Il contournait une bonne partie de la cité. Je m’amusais à monter sur ce mur et le jeu consistait à courir sinon à marcher le plus vite possible et lorsque l’on tombait cela faisait très mal, et on tombait assez souvent. Quoique « grâce » aux chutes, j’étais devenu le plus fort. Un autre jeu ou plutôt c’était une distraction, consistait à prendre une aiguille à la tremper dans de l’encre de chine et à se tatouer les avant-bras, des tatouages qui ne représentaient strictement rien et que je porte encore à ce jour. C’est aussi à cette période que j’ai commencé à fumer des cigarettes, des gauloises, gitanes et des P4. A défaut de cigarettes, il m’arrivait parfois d’enrouler un bout de papier, de l’allumer et de le fumer. Ca fumait donc je fumais ! Sinon on passait notre temps à fouiller les poubelles ou plus exactement les bennes à ordures. Non loin de la cité, il y avait sur le bord de la Seine une benne à poubelles destinée aux locataires des résidences des alentours, qui y jetaient parfois des objets que nous considérions comme ayant de la valeur, étant donné qu’ils étaient français donc significativement plus aisés que nous, nous les apaches arabes. Il arrivait alors souvent que l’on trouve des choses relativement intéressantes. La seule qualité requise pour ce genre de « sport » était de courir vite, très vite. En effet, puisque nous étions une petite bande d’une dizaine de personnes à peine âgées de huit ans, c’était le premier arrivé qui prenait la part du lion, ou plutôt la part du chacal. Malgré toute la misère, je garde un très bon souvenir de mon enfance, de cette période de ma vie. J’ignore pourquoi, c’est comme ça. Peut-être parce que cette période de ma vie fut la plus insouciante et la plus chaleureuse. J’ai toujours connu mes parents musulmans, même si ce terme est utilisé un peu n’importe comment aujourd’hui. En effet, nombreux sont ceux qui se qualifient de musulmans parce qu’ils s’appellent Rachid ou Mohamed et parce qu’ils sont arabes, ou même parce qu’ils font le ramadan et la prière. Cependant, l’Islam nous enseigne qu’un musulman est avant tout un être soumis à Allah et donc qui respecte le coran, tout le coran. Et nous savons que le coran n’est pas composé seulement de deux ou trois versets. Que disent les autres versets ? Bien des choses, certaines d’une importance du même degré que la prière, le ramadan et la zakat. (Trois des cinq piliers de l’Islam) Il est cependant vrai que nous vivons une époque d’ignorance et d’hypocrisie, car des fois on sait, mais on ferme les yeux. C’est tellement plus facile de fermer les yeux. La cité qui était située à Nanterre (92) était composée de baraques préfabriquées. Démunies de douche et de salle de bains. Ma mère nous douchait dans des bassines après avoir fait chauffer l’eau sur le gaz. On vivait avec les cafards, on avait des relations tout à fait amicales avec eux dans la mesure où j’ai toujours vu des régiments de cafards, j’en concluais donc que leur présence était normale aussi normale que le toit de la maison. De plus, je ne considère pas que la présence de cafards dans une maison soit synonyme de misère. En France la misère n’est pas comparable à la misère de nos frères palestiniens par exemple. Dire que j’ai vécu dans la misère matérielle serait un peu excessif, mais j’affirme haut et fort avoir vécu l’injustice sociale, puis pénale. J’affirme haut et fort que ma vie comme celle de nombre de mes amis, a été terriblement dure et que notre dignité a souvent été bafouée. La misère matérielle est je pense, bien plus facile à supporter que la misère de l’être. La couleur du sol, des mur, des fenêtres de notre baraque était celle d’une prison, gris béton, ou d’un jaune pourri. En dépit de cela, ma mère qui avait mis au monde dix enfants, n’a jamais négligé son travail, elle n’a jamais faibli face à la difficulté et pourtant elle ne jouissait d’aucun confort ni d’aucune rentrée d’argent. Et bien que mon père ne fût pas doux avec elle, elle n’a jamais failli à son devoir de femme avec un grand « F ». Des souvenirs en ce sens m’ont fortement marqué. Il n’y avait ni eau chaude, ni machine à laver, ni aspirateur et pourtant, jamais, je dis bien jamais, à l’école profs ou élèves ne m’ont fait de réflexion quant à l’état de mes vêtements ou de ma propreté.
Bien au contraire, j’étais plus propre et mieux habillé que certains français qui eux habitaient les résidences non loin de notre ghetto. Nous étions tels des indiens parqués dans des réserves, ce qui devait être des cités de transit, étaient en réalité des cités où nous devions vivre pour un long moment. Cependant, je ne regrette rien de ce que j’ai vécu dans ce que j’appelle les camps de regroupement, car je sais que la rue vous apprend la vie et si vous triomphez de la rue, vous triomphez de la vie. Bien que je regrette et que je pleure nombre de mes amis d’enfance lesquels ont eux été avalés par la rue. Ils étaient tellement vulnérables et mentalement faibles, tel un lapin qu’un gros serpent engloutit d’un seul coup de mâchoire. Peut-être pourrontils compte tenu de leur âge et donc de leur état d’ignorance, bénéficier de la clémence du Créateur. Je l’espère vraiment. Comme j’espère que les autres, c’est à dire nombre de dirigeants qui se prétendent chrétiens, juifs ou musulmans seront soumis au feu ardent qui dévorera leurs tripes. Ce pour leurs crimes et leur hypocrisie. «Un jugement inexorable s’exerce en effet sur les gens haut placés ; Au petit, par pitié, on pardonne, Mais les puissants seront examinés puissamment.
Car le Maître de tous ne recule devant personne, La grandeur ne lui impose pas ; Petits et grands, c’est lui qui les a faits Et de tous il prend un soin pareil Mais une enquête sévère attend les forts » A travers l’expérience de mon enfance, je ne peux que reconnaître que la femme doit être considérée avec un respect et un honneur évidents. Même s’il est vrai que les femmes de cette qualité sont extrêmement rares, surtout en cette époque. Et c’est probablement ce souvenir resté en mémoire, qui fit que, le grand nombre de livres religieux que j’ai lus dont l’orientation n’était pas très favorable à la femme, n’eut aucun effet sur mon point de vue. Je ne peux contester l’évidence et cette évidence m’interdit d’adopter un comportement hautain à l’égard de la femme. Qui peut nier que nombre d’hommes n’arrivent pas à la cheville de certaines femmes ?
Je fais allusions à Marie mère de Jésus (sur eux la paix) et à Fatima (que Dieu soit satisfait d’elle) fille du prophète Mohammed (paix et prière sur lui) et ce ne sont pas les seules. Chaque époque a son lot de grands hommes et de grandes femmes, comme elle a son lot de crapules et de vauriens.
Et je crains que nous vivions une « belle » époque de fumiers ! Je reste néanmoins complètement accroché au Coran et à la tradition prophétique sur ce sujet. Contrairement comme je viens de le dire, aux livres de certains théologiens qui manifestent un mépris évident à l’égard de la femme. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est absolument nécessaire pour comprendre mes ennuis, de revenir au début de mon militantisme c’est à dire en 1993, quant à ma conversion elle date de 1988. Je me permettrai de raconter très brièvement ma vie avant ma conversion à l’Islam.
Mâamar Metmati - Extrait du livre; "Comme dans un film"
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DE LA QUESTION DES TARAWIH 5/5
Salam aleykoum à tous les frères et soeurs
Vous trouverez ci-dessous, un certain nombre de vidéos concernant les tarawih, question théologique mise en exergue et dévoilé par le frère Metmati Maamar.
En effet, suite à de nombreuses recherches qui datent désormais depuis plus de 10 ans, le frère Metmati Maamar s’est évertué à démontrer par A+B, que les tarawih sont bien une innovation blâmable équivalant à une désobéissance au Prophète Muhammad (paix et bénédiction soit sur lui).
Ainsi, vous aurez l’occasion à travers les vidéos ci-dessous, de comprendre en profondeur le sujet, et l’évolution des propos du frère quant à cette question théologique. “Evolution des propos”, au sens de “cheminement” du frère Maamar Metmati, puisque lui-même ayant apporté de manière constante des informations complémentaires et des démonstrations magistrales.
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DE LA QUESTION DES TARAWIH 4/5
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Questions pertinentes autour de la prière de Tarawih - Metmati Maamar
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Tarawih : On appelle ça polluer la scène du crime - Maamar Metmati
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Complément d’infos concernant la prière dite de Tarawih - Maamar Metmati
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Lecture Audio : La prière innovée, “tarawih” de Maamar Metmati
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هل الصلاة التراويح سنة مؤكدة أم بدعة مؤكدة ؟
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DE LA QUESTION DES TARAWIH 3/5
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Tarawih: Savoir lire le dossier - Metmati Maamar
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Celui qui ne fait pas tarawih est un égaré, innovateur mécréant
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Tarawih : Apprendre à lire le dossier - Maamar Metmati
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Tarawih Débat avec le frere Mousstafa 7 mai 2017 - Maamar Metmati
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Tarawih : voilà pourquoi il manque une pièce dans le dossier
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DE LA QUESTION DES TARAWIH 2/5
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Tarawih... Encore ! Réponse au Dr Al Ajami - Maamar Metmati
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Tarawih... Encore ! Réponse au Dr Al Ajami 2 - Maamar Metmati
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Tarawih, la prière innovée - Maamar Metmati
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Tarawih, une prière à l’image de son législateur - Maamar Metmati
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DE LA QUESTION DES TARAWIH 1/5
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Réponse de M. Metmati à Iquioussen sur les Tarawih
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Tarawih : Les preuves d’une innovation - Maamar Metmati
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Tarawih - Maamar Metmati
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Tarawih 2 - Informations complémentaires - Maamar Metmati
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S2v238 Salat Tarawih - Maamar Metmati
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Retrouvez Toutes les vidéos du frère Metmati Maamar sur
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Le Coran et le devoir de fraternité avec les “musulmans” de France
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Débat : Jeudi 8 Novembre 2018 21h00 : Coran & Sunna - Coran Seul ?
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Live : Tarik Libre et ensuite ? & Consultation des musulmans de France
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Live : Musulmans de France : Le délai a-t-il expiré ?
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Le Rappel Profite aux croyants - Metmati Maamar
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