• écrit des trucs qui broient le cœur pour se sentir vivre • en thérapie 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐠𝐫𝐚𝐦 : @𝐦𝐨𝐧𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭𝐡𝐞𝐫𝐚𝐩𝐢𝐞
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« je n’ai jamais imaginé qu’on pût être à ce point hanté par une voix, un cou, par des épaules, par des mains. Ce que je veux dire, c’est qu’elle avait des yeux où il faisait si bon de vivre que je n’ai jamais su où aller depuis »
— Romain Gary , La promesse de l’aube
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« C’est difficile à comprendre quand on est petit , mais écoute bien. Quelqu’un que l’on aime, que l’on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin. Ou savoir l’attendre longtemps. C’est une vraie preuve d’amour, la seule peut-être. »
— Michel Bussi, Maman a tort
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« Toutes les histoires d’amour ne sont pas forcément des histoires pour la vie, et la séparation ne fait pas d’une histoire d’amour une histoire moins belle , mais simplement une histoire plus courte. »
Morgane Ortin, Amours solitaires : une petite éternité
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« je suis tombée amoureuse pendant qu’il lisait, comme on s’endort : d’abord doucement et puis tout d’un coup. »
nos étoiles contraires, john green, Hazel
@moncoeurentherapie
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« je suis amoureux de toi et je ne suis pas du genre à me refuser le plaisir de dire des choses vraies. je suis amoureux de toi et je sais que l’amour n’est qu’un cri dans le vide, que l’oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu’un jour viendra où tout ce qu’on a fait retournera à la poussière, je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi. »
nos étoiles contraires, john green, augustus à hazel
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« Nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes reconnus, nous nous sommes abandonnés l’un à l’autre, nous avons réussi un amour brûlant de cristal pur, te rends-tu compte de notre bonheur et de ce qui nous a été donné ? »
Maria Casarès à Albert Camus, Correspondances
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« trop occupé à aimer les autres, il en avait juste oublié de s’aimer un peu »
Ashes falling for the sky
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« mais même si on essaye de toutes nos forces, on doit se rendre à l’évidence : certaines choses ne peuvent pas être réparées »
callie et arizona , grey’s anatomy
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Je pense que je me souviendrai pendant un bon moment de ce dernier appel que j'ai fais avec toi, la dernière fois où je t'ai entendu rire parce que tu me taquinais et que je m'énervais en n'étant pas crédible du tout. Ça fait longtemps et pourtant, ça m'arrive d'y repenser, je ne me souviens plus très bien de ta voix mais je me rappel de la fois où tu t'étais mis à chanter totalement faux sur des vieilles musiques ou encore quand tu t'énervais car ton WiFi beuguais et ta play ne marchait pas. Ça me paraissait tellement futile sur le moment et maintenant que tout ça est passé ça me paraissait si bien, or ça ne l'était pas complètement. C'est drôle, quand quelque chose est passé on se souvient toujours des bons moments et pas forcément des mauvais, ça m'arrive d'oublier toute la jalousie que je ressentais, mes crises de nerfs dont je ne te parlais pas souvent car je me faisais beaucoup trop de films, même si, certains se sont réellement déroulés.. Tu ne viens plus vers moi pour le moment jusqu'au moment où tu auras besoin de moi pour tel ou tel raison ou simplement car tu te sentiras seul, que tu ne parleras à personne. Je m'en veux de me laisser faire comme ça, de te laisser revenir autant de fois mais je n'arrive pas à te dire non, à te rejeter simplement en fait. Ça ne sera plus jamais la même complicité, les mêmes délires, les mêmes sentiments, ce qui arrivera arrivera, si on doit encore s'éloigner plus je devrais bien l'accepter.
L.
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c’est pas facile pour moi de me réveiller, c’est comme si j’émergeais d’un songe éternel et je ne sais même plus comment on se lève. c’est presque une insulte à l’oxygène, mais les scénarios dans ma tête sont tout ce qui me tiens en vie, tout ce qui me retiens en ce monde. j’ai l’impression que mon cœur arrête de penser et que mon corps s’envole, il se noie dans un velouté de rêves cadenassés, les clés sont les personnes que tu rencontres, et certaines casseront le cadenas en essayant de l’ouvrir, certaines écorcheront même ta douleur avant de virevolter autour de ton visage qui aura déjà bien perdu d’sa couleur. parfois ton imagination se meut en un océan et tu ne vois qu’un avenir vague, tu bois la tasse, tu perds pieds alors qu’avant ça tu ne tenais déjà pas debout. mais moi je vois ta crocs miniature posée sur mon fourre-tout, ça me serre le cœur de savoir que j’existe sans jamais lui faire honneur, j’ai comme l’impression qu’après l’heure ce n’est plus l’heure, que ce fichu porte bonheur a moisi dans mes mains parce que je suis pourrie et complètement déglinguée, parce que mes mains sont mauves du sang que j’ai laissé couler et que toi tu es jolie avec ton visage pamplemousse. d’ailleurs c’est pas grave si on s’habille presque toujours pareillement, c’est un peu plus grave quand tu me laisses toute seule et que je m’éloigne de la surface sans pour autant toucher le fond, je n’arrive pas à rebondir dans ces moments-là, et faut dire que parfois tu casses aussi quelques cadenas, mais je crois que ton sourire, pour moi, ça vaut tous les soleils du monde, même si parfois avoir des amis ça abîme, ça noircit et ça fout en cendres, moi je sais que nos fous rires valent bien des mois et mêmes des années à s’étouffer lorsque la marée remontait jour et nuit sur mes petites épaules, les potatoes valent bien toutes les larmes que j’ai dû essuyer seule quand tu n’étais pas encore là, et j’ai d’ailleurs un peu peur qu’un jour tu ne sois plus là, mais au fond, c’est quoi les potatoes ? c’est un peu les dinosaures que tu dessines sur mes feuilles de cours, c’est l’eau que j’ai renversée sur ta table en cours de SES, c’est le chloestélove et toutes les disquettes qu’on a créés de nos mains, ce sont aussi les câlins dans lesquels je t’étouffe et je te jure que souvent, c’est tout ce qui me maintient en vie, avec les photos de tes chats, peut-être aussi les mini-vlogs sur ton téléphone quand je te le pique pour le mettre dans mon pantalon rouge à l’ourlet immense, quelques photos et quelques chansons me maintiennent à flots, pour résumer, je ne crois plus que c’est vous, je crois que c’est nous, ce qui me fait vivre. je t’avoue que ça fait du bien, parfois, d’avoir l’impression d’exister pour quelqu’un, merci pour ça, merci pour les potatoes.
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Viendra la clarté à ton visage trempé de larmes. Et l'ombre de chaque goutte précipitée de tes cheveux te joueront cette mélodie inconnue des tristesses. Les grands arbres appelleront à la rescousse les bras des enfants, ces petites pieuvres douces accrochées au cou du monde. Les branches vers les abysses du ciel iront cueillir les oiseaux qui te rendent si jolie. Comme si les nuages de neiges éternelles lavaient ton visage de petit chaton, léché d'aurore maternelle et de rêveries. Le présent sera immense et transparent et ton corps joueur s'avancera comme on danse, comme on chante. Comme on arrive enfin.
jacques dor
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Je me rappelle quand j'ai compris que tu m'appréciais aussi
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Mon oreille au creux du coquillage, j’attendais d’entendre la mer. Mais c’est un « boum-boum » que je perçue. Chez moi, ce n’est pas la mer qui revient sans cesse, c’est toi, toi et les battements de ton cœur.
ChloeEscmt
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mais si tu pars
moi je n’existe plus nul part
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“Ainsi, les fleurs de l'espérance connaissent des orages qui les subliment.”
— Cha
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L'innommable
Comprendre en passant qu’au milieu du cercle familial se concentre la souffrance démesurée de la mère, que cette souffrance est contenue dans son corps comme un prisme, on tourne autour pour ne pas en parler, on prend des médicaments pour ne pas pleurer et on passe au pas suivant. Dire la souffrance, c’est menacer l’équilibre du système familial.
Elle eut besoin de parler de sa souffrance tout au long de sa vie, tout en souhaitant la faire disparaître. Elle la sentait glisser le long de ses doigts comme de l’eau qu’on voudrait retenir. Confondues en excuses, ne sachant pas vraiment pourquoi cela était si grave, sa peine devenait une obsession, un drame, parce qu’elle était vive, et parce qu’en parler était dangereux : personne ne voulait l’entendre, et tout le monde la regardait avec colère ou terreur. Sa douleur n’était pas légitime puisqu’elle n’était rien comparée à celle de la mère, tout comme sa faim n’existait pas comparée à celle qu’avait pu ressentir mon grand-père, dans les camps. Mais personne ne daignait expliquer cela, personne ne donnait les lois, les règles, les mots qui, tout simples, auraient éclairé le chemin. Personne n’a jugé qu'on pouvait ressentir quoique ce soit de comparable à cela. Mais était-ce juste de comparer l’innommable aux pleurs juvéniles d'une petite fille ? Sa vérité fut niée, mais elle hérita de la leur, et le vice de se taire, s'est transmis, aiguë et batard, à demi-mots, de générations en générations.
Elle voudrait tant parler, elle voudrait tant être entendue. Mes ces mots ne traversent par le brouillard qui s’est créé entre elle et elle-même. L’équilibre de la famille repose sur le silence de cette mère. Il repose sur le corps de cette mère qui n’a pas cédé.
Elle sent l'injustice de n'avoir pas eu de mère, car sa mère est derrière ce brouillard inaccessible. Ce n’est pas son rôle de briser le tabou, c’est celui de sa mère. C’est elle qui doit pousser son cri silencieux. C’est elle qui n’a jamais trouvé la place d’exprimer l’Emotion, la tranchante. C'est elle qui détient la clé.
Petite, elle donna tout ce qu'elle avait pour se retrouver au centre des conversations, pour que l’on parle d'elle, pour exister pour ses parents. Ce qu'elle n'avait pas en main, c'est qu'elle n’était simplement pas au centre de l’image. L'autre était profondément là pour son absence et son tabou. Elle venait après, et son existence n'était qu'un halos ténu.
Elle est née sur un lit de mort, et son existence ne tient pas à plus que cela. La force de gravitation du silence la maintient dans l'orbite familial. On valse et on tourne autour de ceux qui pleurent sans les regarder, car ils brisent, et font disparaître, celle, qui causa la Douleur.
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