Tumgik
narpeking · 5 years
Photo
Tumblr media
By Anna Williams
11K notes · View notes
narpeking · 5 years
Photo
Tumblr media
4/52 week with IGP: Acqua/Water by Valeria Schettino
20K notes · View notes
narpeking · 5 years
Photo
Tumblr media
1M notes · View notes
narpeking · 5 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
2M notes · View notes
narpeking · 5 years
Quote
Nous devons tous apprendre à aimer les différents visages de la bonté et de la beauté qui existent déjà de par le monde. Et nous devons reconnaître que ces beautés comprennent celles des marginaux, des exclus, qui ont parfois du mal à trouver grâce à nos yeux.
Délits de jeunesse: Nouvelles de Jimmy Sabater https://www.babelio.com/auteur/Jimmy-Sabater/122973/citations (via jimmysabater)
4 notes · View notes
narpeking · 5 years
Text
Ados et à cran (Les enquêtes d’Emilie Frinch)
Jeudi 8 septembre
Tout à l’heure, Maman est rentrée de son travail pour se précipiter dans ma chambre tel un ouragan. J’étais allongée sur mon lit, les pieds nus collés contre le mur, dans la parfaite posture de la fille qui ne fait rien de sa vie. J’avais oublié de faire réchauffer le dîner et elle hurlait comme si j’étais sourde. À sa plus grande exaspération, je n’ai même pas tenté de me défendre. Je me suis levée sans un mot pour me traîner jusqu’à mon bureau avant d’ouvrir un livre de classe tout en soupirant.
La vérité, c’est qu’ils ont retrouvé le corps d’une fille de quatorze ans, en bordure du Marais des Verraq, hier matin.  Je suis encore sous le coup. Cette ado était la fille de mes voisins qui la recherchaient depuis plus d’une semaine.
Je les avais aidés en postant des annonces assorties de photos un peu partout sur internet en espérant qu’on la reconnaîtrait. Au début, tout le monde a pensé à une fugue suite à un conflit entre son père et son petit copain. Mais non. Perrine Jourdan est morte sans qu’on ne sache pourquoi ni comment. Au collège, les élèves ont été choqués d’apprendre cette nouvelle. Personne ne sait ce qu’elle faisait là-bas. On peut comprendre qu’une touriste ou une passionnée de nature s’aventure dans ce marais par ignorance, mais pas quelqu’un du coin. Nous savons tous que l’épaisse végétation dissimule de profondes crevasses qui peuvent nous capturer avant de nous aspirer dans ces eaux sombres, profondes et dangereuses. Même les plantes alentour ne sont d’aucun recours, plus on se débat, plus le marais nous dévore. C’est la règle. Seule une aide extérieure venue de la terre ferme peut nous sortir de là. Si personne n’intervient, c’est la fin.
Je n’arrête pas de penser à Perrine, à ce qu’elle a pu ressentir au moment de mourir. Est-ce qu’elle était seule ? Est-ce qu’elle a souffert ? S’agit-il d’un accident ou d’un meurtre ?
Ce matin, avant de quitter le couloir de l’immeuble pour me rendre au collège, j’ai entendu des voix masculines provenant de chez la voisine. Comme dit Maman, « les murs sont en papier crépon. Quand tu parles dans les communs, tout le monde sait ce que tu racontes à tes copines ». Elle a raison. Mais dans la conversation d’à côté, le sujet était autrement plus grave et je suis trop curieuse pour ne pas avoir tendu l’oreille :
— Pourrions-nous voir le corps ? a demandé Madame Jourdan. Nous voudrions juste lui dire adieu…
— Ne vous infligez pas cette torture, Madame, lui a répondu une voix virile. Il vaut mieux que vous gardiez de Perrine une jolie image. L’identification ADN est catégorique. Sans marque de coup ou de résistance, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une noyade. Nous vous tiendrons au courant si nous avons des éléments nouveaux. Mais il vaut mieux vous faire une raison. Courage !
Accroupie dans l’entrée, je faisais mine de chercher des affaires dans mon cartable quand la porte de Madame Jourdan s’est ouverte brusquement et que deux hommes sont sortis.
À voir son air plein d’assurance, le plus petit devait être le chef.
Une longue mèche noire raide descendait sur son front et il la rabattait continuellement derrière son oreille de façon nerveuse. Le plus grand, plutôt mignon, avait le visage fermé. Il m’a lancé un regard perçant, comme s’il me jugeait, et j’ai vu qu’il avait compris que j’étais en train de les épier. Je me suis aussitôt sentie rougir et j’ai quitté le couloir en deux temps trois mouvements, sans même les saluer.
Pauvre Perrine. C’est encore plus triste de savoir que les policiers ne croient pas à une mauvaise rencontre. Cette fille n’était pas vraiment une amie. On se parlait souvent parce qu’elle habitait à côté et que nous avions presque le même âge, mais nous n’échangions pas de réelles confidences. Cela n’était pas nécessaire. Nos mères passaient suffisamment de temps à comparer leurs ados respectives. J’ai surpris plus d’une conversation où Maman cherchait la situation la plus cocasse à rapporter à sa consœur, comme si elles étaient des anthropologues et nous, des animaux de laboratoires. C’est le genre de situation que nous impose la dépendance aux adultes. Il faut être patiente jusqu’au jour béni où je serai majeure et enfin libre, c’est tout.
Au collège, Mélodie m’a raconté que Perrine sortait avec Alban Zbornak, un troisième très grand. Selon elle, un mercredi après-midi, le père de Perrine les aurait surpris en train de s’embrasser dans sa chambre et il aurait viré Alban sur-le-champ, un coup de pied au derrière en prime. Depuis cet incident, les deux ados ne se voyaient quasiment plus. Évidemment, même si elle avait été désespérée, Perrine ne se serait jamais suicidée et certainement pas au bord du Marais. Cela me semble la plus impensable de toutes les hypothèses. Je suis certaine qu’elle n’était pas seule à ce moment-là. Je veux dire que je suis persuadée qu’elle a été assassinée. Ce n’est pas possible autrement.
7 notes · View notes
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
88K notes · View notes
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
413K notes · View notes
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
0 notes
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
0 notes
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
https://twitter.com/narpeking
1 note · View note
narpeking · 6 years
Photo
Tumblr media
350K notes · View notes