perle-noire - Tumblr blog

[perle-noire]

300 besoin à dire

Prenez le temps de le lire,

J’avais besoin de le dire, besoin de le mettre par écrit,

Je ne savais pas si c’était enchanteur,

Je n’étais pas idyllique, ni magnifique…

Mon chant n’était point ce qu’il est aujourd’hui,

Noir comme le fond d’un puits, maussade comme j’étais...

  J’avais accompli des exploits,

Je n’avais rien compris de l’exploitation,

J’étais en exploration.

  J’avais un sens de la vie,

D’une vie qui n’allait pas dans le bon sens,

Malheureusement, je n’étais pas une horloge,

J’étais un humain prêt à en redonner.

  J’avais rencontré quelqu’un,

Cette perle, perlée de couleurs, chantait comme une sirène,

Qui pleurait ses louanges…

Cette femme me donnait la pensée d’un espoir,

La femme était ce que ma vie n’était point,

Un espoir sans limites qui désespérait.

  Quelque chose bloquait,

Un pont universel, un ennui mortel,

Une envie de meurtre peut-être, mais, le meurtre n’était pas le sien,

Meurtri j’étais de toute manière.

  J'ai été jeunesse,

Celui, qu'un jeune redoute pour lui avoir donné leçon…

Rançon inutile, j’admets de pas avoir été un bon enseignant,

Je n’étais pas leur professeur,

Sans rancœur, je n’avais pas enseigné,

Je n’avais rien à lui exposé.

  Mon histoire c’est un conte,

Conté par le passé, peut-être insensé…

    Je l’admets,

J’étais l’homme d’une vie,

Banni du monde,

D’un monde où tout était déni,

Déni des leurs, pensé ailleurs.

Mais partir, bien trop fou

Foutaise j’étais, j’avais écrit tout ça,

Et criez ce que vous ne prendrez même pas le temps d’écouter…

  J’ai donné raison, sans compassion,

De mon ton de voix, sans liaison.

  Je vivais sans lois,

J’étais un hors la loi sans avoir de chevaux de Troie…

Pris sur un jeu, ou peut-être que jeu était déjà mise en marche.

Trop tard, j’étais déjà parti.

  Je n’avais pas mon histoire en tête,

Trop tard, c’était déjà fini,

J’avais tout écrie.

  J’étais un jeune parfait,

Imparfait c’était déjà mieux,

Même le Bescherelle dont je m’étais servie n’était pas de son mieux.

  On m’avait dit de vivre,

C’est ce que je pensais avoir fait,

Mais j’ai été démunie de leçon de vie…

  J’allais en cours, mais ce n’était pas des études,

C’était un temps libre auquel je n’apprenais rien,

Une roche, une terre, une matinée bien remplie et bien plus encore,

Tout un monde sans réalité,

Ils voulaient tous m’aider,

J’en avais tellement rejeté…

  J’avais tout passé,

Peut-être que ce n’était pas assez,

Je n’avais pas encore excellé…

Je ne dormais pas beaucoup,

J’avais passé mes nuits à vous parler,

Mes nuits à tous vous oublier.

  Je l’es souvent dit,

Je passais mon temps à m’évader,

Mais, parfois sans raison,

La prison était dévastée,

Or, je ne passais pas mes nuits enfermer…

  Je ne reviendrais jamais sur le sujet de ma dulcinée,

Mais elle était d’une telle pureté que je ne l’admettrais jamais assez,

À quel point ma rencontre était étrangère,

Étrangers étions-nous?

  Entre autres, tout ce monde était,

Ce que les autres n’auront jamais la chance de voir…

  Peupler d’homme, tous animaux d’un sens,

Mais il n’y avait pas de sens à cette jungle

Ce qui avait tout chamboulé ma vie,

Ce qui avait fini par me faire composer ce qui ne me reste point au monde,

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L’amour d’une vie.

Le jour comme la nuit, j’écrivais. J’étais un auteur rempli de passion, qui n’était pas d’une génération aussi jeune, mais non plus vieille. J’avais vingt-trois ans quand cette histoire m’est arrivée et pourtant j’ai encore l’impression que cette aventure m’est arrivée hier. Aujourd’hui, mon enfant, vieux comme mon âge dans le temps, je peux te raconter mon histoire.

  C’est l’histoire d’un jour, l’amour d’une vie, l’hibernation rendue l’hiver et la passion de l’été. Ce l’était et aujourd’hui encore, je la vois arriver. Il y a plus de trente ans, mon enfant, j’étais parti rencontrer mon Dieu, dans le ciel bleu comme le reflet des yeux de ta mère. J’étais un croyant sans croyance, perdu au centre de ce fardeau. Je n’avais pas demandé d’aide, je n’avais point compris mon passé. L’onde de choc était irréprochable.

 Tu sais mon garçon, à ton âge je n’étais pas un coureur de jupons et j’étais toujours à la recherche d’une perle pour compléter mon coffret. Rien n’empêche qu’à l’occasion venue, de faire des rencontres agréables. Quand j’ai vu ta mère rentrer dans ma chambre d’hôpital avec cette voix inaudible. Tout avait changé. Je ne pouvais faire la différence entre la joie et le chagrin. J’entendis la voix d’une sirène, mais était-ce vraiment cela ou le chant doux et mélodieux de la mort qui s’approchait de moi?  Je ne me rappelle pas très bien de ce moment. Je cherchais désespérément le regard qui me serait partagé, mais il faisait d’une de cette noirceur que même l’enfer ne pourrait te montrer son obscénité.

Les Omnipraticiens m’avaient dit que pendant un long moment, j’étais dans le coma. Ils disaient que j’étais parti loin, dans un univers parallèle qu’ils ne pouvaient réellement comprendre.  Deux jours de mon existence s’élargissaient sur toute une nuit incompréhensible pendant laquelle une belle claire de lune éclairait les passants nocturnes, bambocheurs et mystères. La noirceur m’avait montré ce que tu ne voudrais jamais remarquer. On m’avait dit que certains voyaient autre chose que la réalité. Un mystère non-résolu de notre subconscient… Qui étions-nous pour le défier?  Ce sommeil profond auquel le diable savait où nous trouver!  Matérialité, mensonge, mortalité, mystère, tous se passaient sans être remarqués. Qui avait dit que la peur était mon sentiment si la vie n’était pas simplement mathématique mais explicite? Notre destinée est tracée par tous nos actes du passé même si nous avions eu le choix.

 Au retour du blanc neige, comme une interférence, tout était parti. Une semaine avait passé et par la suite cela avait commencé par des regards, des promesses, de la romance tard le soir, des balades près du canal, des blablas, et, la voilà, c’est l’évidence. Les lèvres, la langue, le cœur et la lenteur. Le rêve, la chance, les heures en apesanteur. Coupés du monde, à fond dans la relation comme si elle était ma Juliette et moi son Roméo. Elle était ma bombe, les autres étaient devenus tous des cons. Avec elle, ce n’était pas pareil. C’était une perle, celle que je recherchais depuis mon adolescence. Elle le savait, elle était rare, je crois que je l’aimais.

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Hedley invincible

Somme-nous invincible? Des gens se meurt, il se tue entre eux, s'intimide sans raison. Somme-nous invincible ou tout simplement accrue d'une faiblesse que l'ont transmet au autre par un mauvais contact? Cette music permet de démontrer, en libre expression ce que certain d'entre nous, peux vivre, comment ils sûre monte leurs problème....

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Le sommeille

Être emporter loin, loin dans un univers parallèle que l'ont ne peux réellement comprendre. 30 minute de notre existence s'élargit sur tout une nuit incompressible au quel une ci belle lune éclaire les passant nocturne, fêtard et... Mystère. Votre sommeille vous montre ce que vous ne voudriez ne jamais remarquer... Certain d'entre vous vois autre chose que la réalité, un mystère non-résolue de votre subconscient... Qui somme nous pour le défier, se sommeille profond au quel diable sais ou nous trouver? Mystère, Mensonge, réalité, mortalité, tout ce passe sent être remarquer.

A.D

Kikou Arekkusu

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JE SUIS LE CHAT

En Égypte, ils me vénéraient Je suis le chat. Parce que je ne me plie pas à la volonté de l'homme, Ils me disent cruel, Pourtant, ils attrapent des animaux et les gardent Dans des parcs et des jardins zoologiques, Rien que pour les admirer. Ils pensent que tous les animaux sont faits pour leur plaisir, Pour être leurs esclaves. Je ne tue que pour mes besoins, Mais ils tuent pour le plaisir, la puissance et l'or, Et ensuite, ils prétendent qu'ils sont supérieurs! Pourquoi devrais-je les aimer? Moi le chat, dont les ancêtres Marchaient fièrement dans la jungle, Jamais apprivoisés par l'homme. Ah, savent-ils Que la main immortelle Qui leur a donné la vie m'a aussi donné la vie? Mais moi seul suis libre Je suis LE CHAT. Leila Usher Kikou Arekkusu

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VAIS-JE TE COMPARER À UN BEAU JOUR D'ÉTÉ?

Vais-je t comparer à un beau jour d'été? Tu parais plus aimable et d'humeur plus égale. Les vents rudes secouent les chers boutons d mai, Et le bail de l'été trop tôt arrive à terme. D'un éclat trop brûlant parfois l'œil du ciel brille Et souvent se ternit le teint d'or du soleil; La beauté quitte un jour la beauté, dépouillée Par le sort ou le cours changeant de la nature; Mais ton été sans fi ne pourra se faner Ni perdre une beauté toujours tienne, et la mort Ne pourra tirer gloire qu'en son ombre tu erres, Lorsqu'en vers éternels tu croîs avec le temps. Tant que verront des yeux, respireront des hommes Autant vivre ceci, et ceci te fait vivre. William Shakespeare Kikou Arekksu

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Ton coeur, en effet, je ne le connais pas; Mais le mien, oh! Quelle cruauté!; L'amour le réchauffe jour comme nuit!; Et toutes mes facultés sont centrées sur toi...; Toi, ô femme élancée; Que l'amour ne fait que réchauffer; Mais moi, il me brûle; Comme l'astre du jour étouffe le parfum de la fleur nocturne; Mais désaltère l'Orbe de lune...; Ce coeur qui est mien...; Ô toi qui es de toutes choses ce qu'il y a de plus cher pour lui; N'aura d'autre objet que toi... La malédiction du tigre Améliorer Kikou Arekkusu  

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Tu me manque, c'est dure à dire comment j'aimerai que tu comprenne que je suis une lumière qui est même plus allumer!

Je ne peux pas vraiment dire comment çà se fait que je me sente ci décourager, sans vie, sachant que dans un monde ou un autre, cela aurait été pareil... 

On me la dit une fois, j'ai compris la leçon, cela dit; `bat toi contre et tu aura pour`

Me battre? moi? J'ai deja perdu non? Voila, c'est ce que sa donne.

Je me souvient aussi de cette autre citation; Ne te laisse pas abattre, tu savait d'avance que tu allais perde[...] Ne comprend tu pas le message[...].

Je suis à terre, battu a plat couture... je ne t'est surement pas écouter quand tu me la dit? Pardonne moi, je te donne raison. J'ai perdu et je n'avait pas compris ton message, j'ai fait ce choix idiot et je me suis ramasser à nouveau abattu!

Dit moi, j'aurait dut être plus rapide de penser? J'aurait du réfléchir avant de réagir? J'aurait du comprendre avant de me fendre dans la masse? Remettre en question cette decision avant de commettre ce geste? Je n'est fait ni un ni l'autre, comme tu le sais, je ne suis pas mieux que avant, je suis la perle la plus noir que le monde puisse connaitre, Une double identité, quelque chose d'autre, même quelqu'un d'autre...  

Je donne simplement raison à tout ceux qui était au courant, en partant du début, je ne vais pas nier le fait que j'ai d'avantage de défaut aujourd'hui, que je suis une partie même de mon reflet.

Qu'en n'est t'il de l'autre partie de moi même? Une âme en travaux, ravager pas une ouragan... Je me reconstruis, car cela a été si fort que j'en suis presque tomber encore plus bas. Ci je serait comme tout ceux qui sont heureux, je vous le dit, je ne serait pas tomber d'aussi haut.

Cette oeuvre est le livre de mes pensées. Maintenant je suis comme le feu et la glace, les deux se morfonde. Derrière certain de mes sourires peuvent se cacher ma tristesse[..­.] Je vous en parlerais jamais assez, je ne vous raconterais rien de plus, aujourd'hui comme toujours, en honneur de tout et de rien, ce texte est dédier à ce qui me manque vraiment, ce qui ne me fera jamais plus changer[...], en d'autre mots, ce sentiment d'appartenance.

A.D

Kikou Arekkusu 

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Dire que je pourrait me comparer à un océan et un bateau; il part à la dérive, près à de nouvelle aventure... En combattant les flot qui fait chavirer, à chaque instant, l'équipage... Cette océans meurt d'envie de tout faire couler, au moindre passage de c'est maritimes... Tous, différents l'un des autres, il se batte contre elle, et pour ce venger, elle se débat encore plus fort... "Tous à l'abris!"cris ce fameux capitaine en retard. C'est vague les englouti et quelque un d'entre eux doivent regretter la mort de certains... Mais même encore, il retourne ce rebattre avec au temps de force et de faiblesse. C'est la façons que je pourrait d'écrire certaine personne sous un cœur perdu. A.D Kikou Arekkusu

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Tu est importante... Tu est mon importance... Je sais, c'est sûrement incompréhensible, mais je ne suis pas bon en littérature, l'inspiration n'est pas ma force, je suis comme une rose, je me fane... Mais pour moi, tu reste la pluie et le soleil pour tout ce que je vie J'aurais eux besoin de toi, mais je n'est pas sut te le dire autrement... Pardonne moi. Je ferait tout, mais sûrement pas assez. Je ne suis n'y fort pour lever des tonne d'acier, ni faible pour en mourir... Je ne suis la que pour comprendre, mais comprendre quoi, j'en n'est aucune idée, je me sent mal, seul et bien plus encore, mais ça c'est mes problèmes et je ne veux pas tes faire vivre alors je m'évade dans tout et dans rien Désoler, tout ceux que je déçois... A.D Kikou Arekkusu

[perle-noire]

Elle me manque, l'oublie du récent me rend perdu, je ne sais plus quoi dire. Comme si tout allait s'arranger facilement, c'est comme un traumatisme... Bien que je le dit, j'ai encore l'envi d'en pleurer, de me dire que tout va bien aller... J'apprends en sachant que mon passer à donner pièce à autre chose A.D

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la Perle-noir que je suis, va devenir aussi noir que l'ont n'est connu A.D Kikou Arekkusu

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Tout me semble ci loin; Dire que je suis seule à chaque instant; Mais...Oublions le reste; Anyway, just the way a life; Tout mes rêve sont mes dictateur; Tout ma vie est à la dérive...; Mais je continue d'avancer...; Pardonner moi, fuck the remainder; I'm don't keep someone in sight; I am trapped...; Je suis un livre que personne ne veux ouvrir; Je me montre souvent; Ceux qui m'aime le remarque...; Normally, I am lonesome..; Because, I love somebody; I love somehow, this is crazy..; Mais je laisse tomber ...; L'amour est une chose perdu pour moi; Je suis le futur de mon présent; Le passer de mon avenir; My history is finish..; Ma direction a changer..; Just for see off; I like somebody; Et tout cela ce fini. A.D Kikou Arekkusu

[perle-noire]

11 mai 2009

Aujourd’hui est journée de pitié, de croyance, de mort. Demain est journée du retour de l’éternité et fin du passer, ayez crainte de moi, je suis diable, non dieux, non je suis personne. Dite moi qui je suis bord-elle de merde, qui je suis?! je suis sans pitié depuis trop jeune, mais qui le sais?! La journée apporte ma vie, la soirée apporte mon âme. Si je suis futur, ses bien que je ne veux pas vivre le passer! Bon dieux dite moi le contraire, ma vie est minablement fini, impossible de savoir ou je me rend, le tunnel est noir et je n’est plus de feu pour allumé ma lampe; Qu’elle force utiliser sous la chaleur de toute se qui existe, qui diable peux bien m’aider? Bien sur je vois, mais yeux son habituer, mais il me faudrait bien une lampe pour continuer. Je ne suis plus rien a part étoile dans le ciel, plus rien a part un âme morte, sans vie, tu ma toute enlever.

L’un de mes premier texte! A.D Kikou Arekkusu

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Je t’aime <3

[perle-noire]

Trouve la clé de mon cœur et peux-être que je t'épouserai A.D Kikou Arekkusu

[perle-noire]

La vie est un livre: mon nom est sur la page couverture, l'auteur est mon Destin et ton nom s'y retrouve définitivement. A.D Kikou Arekkusu et TwiddleDoom