\\\\//// zone conforme \\\\//// un matin \\\\//// vidéoclip
chorégraphie : hortense de boursetty musique : zone Conforme mixage: thibault brouzès extrait de l'album "embrassons-nous". distag-records 2020. disponible en digital et au format cassette : https://distag.bandcamp.com/album/embrassons-nous
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NOUVELLE K7 SOLO SUR DISTAG RECORD:
...embrassons-nous dans la rue, embrassons-nous les yeux fermés, embrassons-nous au réveil, embrassons-nous les sourcils froncés...embrassons-nous partout, tout le temps, embrassons-nous avant que la mort ou pire, l'ennui, ne viennent.
trois morceaux sur les bombes et sur l'amour,
trois morceaux d'un même corps qui marche sans fin,
trois morceaux pour bouger sans bouger.
"embrassons-nous" c'est de la dance music intérieure,
"embrassons-nous" c'est (aussi) un projet de groupe:
présenté par le mystérieux Žilda Distag
composé par l'hypersensible Clément Berthou
taillé/poli par l'infatiguable Thibault Brouzès
designé par l'irremplaçable Victor Diyan
photographié par le lumineux Lucas Pialot
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Sous la voûte des esprits
Il y avait son visage en rond découpé par l’eau
Cuillère de soleil au milieu des filles de porcelaine
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BANDE TEXTUELLE
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soir d’été
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poubelle-vol
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FANZINE
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Dérive
Devenir une île déserte
Concentrer, polir, chacune de nos babioles
Pour ne plus vivre entouré d'idôles
Supporter la perte des objets
Et être, avec soi
Hors cadre
Une armure translucide posée sur la peau
Un vernis
Nous garantissant l'éternité
La dureté
L'invincibilité
La sûreté
Un léger sourire flottant aux lèvres
Sans y toucher
Ressusciter par la pensée
Ce que l'on sait
Ce que l'on a su
Ce que l'on a cru
Que cela flotte
Dans l'espace infini entre nos deux oreilles
Où s'agite la musique
Sortir de la chambre
Les pieds dans le sable fin
Ou filer dans un train
Qui se découpe et caracole
Ombre rebondissant sur chaque précieuse feuille dorée par la lumière du soir
Qui tombe
Qui tombera
Qui est déjà tombée
Sentir le temps qui se déroule parallèlement
Les rails de rouille
Les escaliers de béton qui tendent vers rien
Les fils électriques
Les gares oubliées
Quitter les rails
Réduit à l'état de point
Perdu dans son miroir
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Balle perdue
Alors on m'abattra,
Balle perdue au panthéon de l'absurde
Le pavé sera rouge
Mon sourire sera froid
Et mes idées-fleurs, fanées
Au milieu de la foule
échoué
Carcasse
Fini les nobles nuits
Fini les sourires tristes
Alors on m'abattra
Dans la poudre de verre
Dans le souffre
Dans les cris
Pour rien
Pour personne
Les yeux aux fenêtres explosent, blancs
Les paumes sont tendues, blanches
Fini les sueurs nocturnes
Fini le souffle
Alors on m'abattra
Et je n’aurai rien vu
Rien senti
Rien vécu
Rien compris
Nouveau né perdu
Venant au monde dans un cri
Parcouru d’existences troubles
Innocente plume sur le sol
Fini les autres
Fini l’étreinte
Alors on m'abattra
Et je serai la ville
Enfin disparu et libre
De courir dans les rues
D'être le vent
Le sol aura ma forme
Les fontaines seront mes larmes
Ombre inaudible traversée de vacarmes
Fini la pluie
Fini la vie
Les oiseaux de mon cœur sont enfin partis
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Je marche
Je marche
Bardé de livres
Comme autant d'armures contre l'ennui
Au pied des immeubles
Béton farci
De viandes vivantes
Couverture rouge
Contre le sang
Pas élastique et mâchoires dures
Écharpe au vent
Dans la Ville-Terminus
Engloutie
Tout au fond du pays
Après elle le vide
Les cris courent dans les rues
Le silence aussi
Suivant de près
Le long des panneaux publicitaires
Palpitants sans trêve
Serpents fluo
Envahissants les rêves
S'enroulant
Étranglant l'hippocampe
Étrangement immobile
La ville s'endort
Et je marche
Au creux des flaques de lumière
Seul avec l'écho de mes pas qui résonnent contre la voûte des grues
Église urbaine en construction perpétuelle
Fracas plastique
Vrombissement
Étoile unique
Au dessus des voies ferrées un homme au visage plat
Me croise
Me toise
Il disparaît
Arlequin Beau
Aux lèvres pleines sur le mur
J'arrive au port
Odeur de peinture
La mer est morte
Les chiens s'agitent derrière les portes
Tranche d'habitations
Posée là
Rescapée
Indifférente et oubliée
J'arrive dans la salle
La salle des femmes
au visage pâle
La Femme est là
Agenouillée
Des cris de tôle sortent de ses doigts
Elle hurle
Orchestre de Chantier
Seule, Tendue comme la corde de son archet
Reptile jeune face à la vieille foule
Impact
Dans ma cage thoracique
Ébréchée
Énergie contenue
Dans des boules
Des cylindres
Qui tracent dans l'air
Des trajectoires électriques
Poésie frénétique
Dans la nuit
Dans le bruit
Rires vieux Rires vieux Rires vieux pendant
L'entracte
Transformation lente et diffuse
Dans la fumée
La Zone apparaît
Théâtre hideux
Alcool et tôle
Elle au milieu
Ou moi
Ou elle
Et moi
Télescopage de textes
Télescopage de sexes
Télescopage d'époque en superposition hallucinée
Aveugle sur le terrain vague
Respiration rouge des coups de couteau
Sur la toile
Accélérant
Cérémonie dans la boue
Sueur et sève brûlante
Dans la zone
La zone
La zone
La zone
Bassin en avant
Du bout des pieds
Du bout des mains
Elle appelle la mer
Alors je sors et mon esprit s'y jette
Fumées sur le port
On me crie dessus, les femmes s'en mêlent
Trajectoires Contradictoires
Silhouettes immenses aux grands yeux rouges
Je marche seul
Tableau des eaux tapies dans l'ombre
Je marche seul
La ville est vide
Je marche seul
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Sur l’autoroute
Il se tenait là
Immobile
Il se tenait droit
Planté sur l'autoroute
Nu
Chair contre bitume
Un brasier sur la glace
Je l'ai vu comme un flash
Image sur ma rétine
Gravée au burin de la folie
Fugace
Éblouissant
Évanoui
Il était là parce qu'il le pouvait
Il était homme et il voulait être là
Immobile sur l'autoroute
Défiant la tôle
Toisant
Obscène au milieu de toute cette vitesse,
Tronc dressé tranchant le torrent de nos vies
Plus dur que la pierre
Il avait choisi de s'arrêter
Rien qu'un moment
De ne plus être ballotté
Malmené
Et pendant un instant sa vérité éclata
Juste avant son corps elle éclata
Son corps s'encastra dans un camion-benne
Il disparu
Bulle de sang et de sagesse
Je l'ai perdu de vue
Mais
Dans mon esprit il reste là
Cet homme
Qui se tenait droit
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c’est le printemps
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cover CAVE VIVANTE #2
titre à venir
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cover CAVE VIVANTE #1
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