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precurseurs · 8 years
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La SNCF lance une bibliothèque digitale à bord des trains TER et INTERCITES
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Le nouveau service baptisé SNCF e-LIVRE, a pour vocation d'enrichir le voyage de ses usagers par la lecture à bord des TER et INTERCITÉS. Cette bibliothèque digitale de 100 000 ouvrages offre un nouvel univers pour les voyageurs, dont, selon une étude IFOP de juin 2015, 95% utilisent déjà un outil numérique (tablette, smartphone…) durant leur trajet. SNCF e-LIVRE est disponible gratuitement pour tous les voyageurs via une application et un site mobile. Son mode « hors ligne » permet de lire en toutes circonstances, même sans connexion internet. Le voyageur peut ainsi accéder à 5 000 grands classiques de la littérature française et aux extraits de l’ensemble des ouvrages de la bibliothèque. Il peut également s’inscrire avec une adresse mail et bénéficier de l’intégralité des ouvrages en offre « Découverte » pour une durée de 45 jours. À la fin de cette période, les utilisateurs souhaitant conserver l’accès intégral aux 100 000 ouvrages ont la possibilité de s’abonner pour 9,90 €/mois. Celui-ci est sans engagement et peut être interrompu ou repris à tout instant. Si un membre inscrit ne souhaite pas s’abonner au bout de 45 jours ou si l’abonné suspend son abonnement, il retrouve un accès aux ouvrages classiques et aux extraits de l’ensemble de la bibliothèque. On apprend grâce au blog Aldus que "En parcourant la bibliothèque, on aura vite fait de repérer que cette bibliothèque numérique est celle du site Youscribe en marque blanche. Parmi ces 100.000 titres annoncés, des extraits, 5.000 titres libres de droits que l'on trouve partout, des catalogues d'éditeurs anciens avec du pratique, de la jeunesse, de la bande-dessinée, pas ou très peu de nouveautés. Aucun titre des grands groupes d'édition Hachette, Editis, Madrigall, Bayard, La Martinière, Albin Michel, Actes-Sud, etc. Seul le groupe Media Participations (Fleurus, Le Lombard, Dargaud, Dupuis) a mis un certain nombre de bandes-dessinées, également présentes sur Iznéo. Pour le reste des morceaux de catalogues qui ont valeur de test pour les quelques éditeurs présents. La même offre de livres que l'on retrouve déjà chez les acteurs d'offres d'abonnement, à savoir Youscribe, Youboox et KindleUnlimited."
Le service SNCF e-LIVRE est accessible depuis l’App Store et le Google Play Store et sur Internet.
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precurseurs · 9 years
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Baromètre de la gouvernance dans les entreprises cotées
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EY publie, pour la treizième année consécutive, son Panorama des pratiques de gouvernance des sociétés cotées françaises, en partenariat avec Labrador.
Outre l’analyse des moyennes et des grandes capitalisations boursières (Midcaps et Bigcaps), le Panorama comporte une dimension internationale avec la prise en compte des données des 90 plus importantes capitalisations allemandes, anglaises, italiennes et néerlandaises.
Parmi les principales évolutions notées par EY, on note :
·       L'internationalisation progressive des Conseils d’administration, mais la représentativité des administrateurs étrangers n’est toujours pas en rapport avec le déplacement du centre de gravité de la croissance des groupes vers les pays émergents. La part des administrateurs étrangers marque globalement un progrès sensible entre 2012 et 2015 pour le CAC 40 et le SBF 120 (passant respectivement de 23% à 31% et de 15% à 22%).
·       L’amélioration des méthodes d’évaluation des travaux du Conseil d’administration : Préconisée dans le code de gouvernance AFEP-MEDEF, l’évaluation des travaux du Conseil s’est intensifiée depuis 3 ans sur l’ensemble des sociétés cotées. 89% des sociétés du SBF 120 évaluent ainsi régulièrement et formellement les travaux du Conseil. Thierry Moreau, Directeur Associé EY, souligne que « La pratique majoritaire au sein des Bigcaps consiste désormais à évaluer le mode de fonctionnement du conseil avec l’aide périodique d’un cabinet extérieur ». L’enjeu consiste désormais à tenir compte de la contribution individuelle des administrateurs dans l’évaluation, sans altérer la collégialité du Conseil.
·       Les comités d’éthique et/ou de Responsabilité Sociale d’Entreprise (RSE) progressent : 42% des sociétés du CAC 40 disposent d’un comité qui adresse spécifiquement les questions liées à la RSE. Parmi ces sociétés, 35% d’entre elles traitent au sein d’un même comité les sujets RSE et stratégiques. En revanche, seulement 30% des Conseils du CAC 40 mentionnent explicitement la RSE parmi leurs thèmes de travail.
·       Les comités d’audit des sociétés cotées poursuivent la professionnalisation de leurs travaux et sont de plus en plus mis en avant lors des assemblées générales. Dominique Pageaud, associé EY précise : « Entre 15% et 20% des comités d’audit évaluent leur mode de fonctionnement et leurs travaux et 20% des présidents de comité d’audit établissent un rapport annuel lors de l’assemblée générale rendant compte des travaux effectués durant l’année ».
·       Les filières de gestion des risques sont nettement mieux décrites dans les documents de référence des sociétés. Toutefois, les sociétés qui mentionnent l’existence d’une cartographie des risques à jour intégrant la méthodologie employée atteint seulement 58% (contre 54% en 2014). En revanche, les référentiels de contrôle interne et les fonctions d’audit interne marquent cette année une nette progression au sein des sociétés Midcaps. Ainsi, 58% des sociétés Midcaps disposent d’un référentiel de contrôle interne à jour contre 37% en 2014.
·       L’ouverture des conseils aux femmes, qui répond à des obligations légales, continue de progresser par rapport à l’année précédente. Selon Bruno Perrin, associé EY : «  A l’issue des Assemblées Générales 2015, les entreprises du CAC 40 restent leaders face aux entreprises du SBF 120 et des Midcaps avec un taux de 36% contre respectivement 34% et 30%. Cependant, si le taux de nomination de femmes administrateurs ne progresse pas, certaines sociétés françaises n’arriveront pas à atteindre le palier de la loi Copé Zimmerman fixé à 40% pour 2017 ».
·       Le « say on pay », c'est à dire la consultation des actionnaires sur la rémunération individuelle des dirigeants mandataires sociaux sous diverses formes (vote consultatif, contraignant ou mixte) et selon différentes modalités, est en vigueur en France depuis juin 2013. Véronique Bruneau-Bayard, Labrador Conseil, précise que : « Cette année, les comités des rémunérations ont été nettement plus impliqués que l’an dernier dans la préparation de la résolution du « say on pay ». En effet, 44% des comités de rémunération ont participé à ces travaux en 2015 contre 16% en 2014, toutes sociétés confondues ».
·       Nouveau thème traité cette année, le niveau d’information sur le fonctionnement des comités de direction est très hétérogène : Seulement 50% des sociétés cotées fournissement une information détaillée. Par ailleurs, l’ouverture des comités de direction aux étrangers n’est globalement pas meilleure que celle observée au sein des Conseils et est deux fois inférieure en ce qui concerne les femmes.
·       Le « rating gouvernance *»: l’écart entre les sociétés Bigcaps et Midcaps se resserre chaque année. Les ratings les plus faibles se rapportent aux moyens d’action de la gouvernance, en raison principalement de l’absence de contraintes réglementaires.
* Défini à partir d’une sélection de critères, le « rating gouvernance » a pour ambition de mesurer la mise en œuvre des pratiques de gouvernement d’entreprise par les sociétés cotées françaises, en fonction des préoccupations des actionnaires, des investisseurs, des agences de notation et du législateur.
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precurseurs · 9 years
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Les objets connectés issus de la French Tech soutenus par la grande distribution
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Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat chargée du Numérique, a signé avec huit enseignes de la grande distribution une Charte pour la distribution des objets connectés de la French Tech.
Les huit enseignes de la grande distribution (Auchan, Boulanger, Carrefour, Darty, la Fnac, Leclerc, Lick et Orange) ont décidé de s'engager conjointement pour soutenir et valoriser en magasin les start-ups françaises fabricantes d'objets connectés, rassemblées sous une dénomination commune : « Les objets connectés de la French Tech ». Selon La Tribune, l'objectif est double : "Premièrement, encourager l'essor de ce secteur, auquel toutes les études promettent monts et merveilles mais qui peine toujours à décoller et à séduire le grand public. "La visibilité des objets connectés dans les grandes surfaces va permettre de les ancrer dans la vie quotidienne des Français", espère le cabinet d'Axelle Lemaire. Selon Cisco, le chiffre d'affaires des objets connectés pesait déjà 150 millions d'euros en 2014, et devrait grossir à 500 millions d'euros en 2016. Encore faut-il correctement les distribuer pour réaliser ce potentiel. Le deuxième objectif est de donner un énième coup de pouce à la French Tech, l'écosystème français d'innovation. Quitte à ce que les objets connectés déferlent dans les caddies, autant qu'ils soient "made in France" plutôt qu'un acteur étranger réussisse à percer dans les rayons au détriment d'une startup bleu-blanc-rouge. L'enjeu ? Faire de la France un champion dans le domaine, conformément aux objectifs du programme "objets intelligents" du plan Nouvelle France Industrielle du gouvernement."
Début 2015, un article publié sur le Journal du Net expliquait que le client n'était pas encore bien au fait de l'utilité de ces objets : "Quelque soit la mise en place, toutes les enseignes se heurtent à la nécessaire éducation des consommateurs. Pour LICK, l'équation est simple. "Il faut des concepts-stores, car pour que le marché se développe, il faut privilégier l'expérience et la démonstration", explique Stéphane Bohbot. Dans ses boutiques, les clients n'ont pas à faire à des vendeurs mais à des "coachs" capable d'exécuter des démonstrations. "Nous renforçons les équipes dédiées pour mieux accompagner les clients dans ces usages", explique de son côté Benoît Jaubert, qui estime que, "dans les rayons, les vendeurs de Darty connaissent très bien leurs produits. C'est d'ailleurs l'ADN de l'enseigne". Dans les espaces dédiés de la FNAC, à côté des écrans qui diffusent des démonstrations, des vendeurs spécialement formés ou des représentants de start-up proposent aux clients de découvrir des produits. A l'instar du fabricant de drone Parot qui a investi plusieurs magasins lors des dernières fêtes de Noël. Charlotte Peltier reconnait néanmoins qu'en 2015 son enseigne devra "renforcer l'expérience client".
Ainsi, les grands principes de la charte signée sont l’ouverture des rayons des magasins à de nouveaux acteurs ; l’accompagnement d’entreprises dans la commercialisation de leur produit ; la mise en avant des objets connectés de la French Tech au sein des magasins et sur internet ; l’organisation d’opérations de communication pour sensibiliser le grand public à l’intérêt des objets connectés.
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precurseurs · 9 years
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FollowAnalytics lance Contextual Campaigns, un outil de personnalisation de messages
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La société spécialisée dans l'engagement marketing mobile des marques propose une nouvelle solution permettant aux marketeurs de créer des instants mobiles 1-to-1 personnalisés en temps réel.
Contextual Campaigns permet aux marketeurs de définir des moments précis, ou déclencheurs, garantissant que leurs utilisateurs mobiles reçoivent des messages spécifiques pertinents pour eux. Grâce à ces messages personnalisés et contextualisés pour chaque destinataire, les marketeurs peuvent définir une communication sur mesure adaptée aux besoins individuels de chaque utilisateur. En associant le déclenchement des communications annonceur avec la géolocalisation, il est ainsi possible de créer des expériences multicanal qui permettent une transition fluide entre les univers digitaux et les magasins physiques et d'y ajouter une personnalisation reposant sur les habitudes de navigation et les actions des utilisateurs. Ces communications peuvent être déclinées sous de multiples formats, dont les notifications push, les messages in-app, les messages rich media et les coupons sur smartphone.
FollowAnalytics annonce que les communications déclenchées par Contextual Campaigns sont reçues en temps réel par les utilisateurs, sans le délai habituel des solutions concurrentes – qui utilisent des serveurs distants pour traiter les données – ce qui est souvent à l’origine de la perte de nombreuses opportunités de communiquer avec les clients au moment propice.
Les marketeurs peuvent déclencher un message immédiat ou différé quand leur client cible regarde, sélectionne un produit, définit un produit favori ou l’ajoute à son panier, regarde des vidéos, lit les commentaires d’autres consommateurs ou rencontre un problème. Les messages peuvent être envoyés même si le prospect ou client est non connecté : les déclencheurs sont conservés dans le SDK de FollowAnalytics et ne sont pas dépendants de la connexion. Les marketeurs peuvent également différer les messages et annuler les messages différés si une action spécifique a été effectuée entre temps.
Il est également possible de créer des interactions et des messages d’accueil automatisés, comme par exemple un message de félicitations lors de l’inscription ou un message de bienvenue lors du premier contact avec la solution, mais aussi accueillir les clients avec des messages automatisés au moment de la première, seconde et troisième interaction grâce à une intégration directe avec les fonctionnalités clés de l’application de la marque. Enfin des fonctionnalités de réengagement et reciblage, comme par exemple un message de type « come back » peut être envoyé pour faire revenir un client ou un prospect qui n’a pas utilisé l’application de la marque depuis un certain nombre de jours, qui est passé devant une boutique ou qui est entrée dans un magasin pour regarder un produit.
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precurseurs · 9 years
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Randstad lance l'opération "I get a Job" dédiée aux jeunes
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La société néerlandaise d'interim s’engage en France dans une campagne nationale pour donner aux jeunes les clés d’accès au monde du travail avec une mécanique particulière sur les métiers en tension.
Le dispositif "I get a Job" fait notamment appel à la solution Big Data développée par Randstad pour orienter certains jeunes vers ces métiers pénuriques. L’objectif est d'aider les jeunes de moins de 30 ans sans emploi, diplômés ou non, à décrocher un job. Deux temps forts rythment cette campagne. D’abord, le lancement du site où les jeunes peuvent trouver des conseils adaptés sur toutes les étapes de la recherche d’un emploi et gagner des points pour obtenir un « Job pass ». Ensuite, une grande journée événementielle, point d’orgue de l’opération, qui se tiendra le 19 novembre 2015 dans toutes les agences Randstad en France, et au cours de laquelle les jeunes recevront leur attestation « Job pass ». L’occasion pour les candidats d’échanger avec des entreprises et des acteurs – publics et privés – de l’emploi local, partenaires de cette opération. Ce programme ambitionne de rapprocher plusieurs milliers de jeunes du marché de l’emploi.
« Malgré un taux de chômage important en France, tous les publics ne sont pas égaux face au risque de chômage. Les jeunes en particulier figurent parmi les plus vulnérables. Dans le même temps, des employeurs peinent à recruter sur certains métiers. Avec I GET A JOB, Randstad donne aux jeunes la possibilité de se rapprocher du monde du travail et de construire un parcours professionnel en vue de décrocher un emploi », a déclaré Ana Maria Olcina Domenec, directrice du marketing du groupe Randstad France.
Par ailleurs, selon l'étude annuelle de Manpower France, 29% des chefs d'entreprises interrogés ont des difficultés à trouver les compétences qu'ils recherchent cette année, contre 21% l'année dernière (une hausse de 40%). Une situation paradoxale au vu du chômage qui ne cesse d'augmenter en France : alors que 5,2 millions de personnes sont à la recherche d’un emploi, 400 000 offres sur les 2,6 millions proposées par les entreprises en 2014 n’ont pu être pourvues, fautes de candidats.
Dans le secteur du numérique, la situation est totalement paradoxale : « On a de la peine à vendre nos métiers, de la difficulté à attirer les jeunes. En fait, comme nous n'avons pas de vrais référentiels de métiers, personne ne comprend vraiment ce que l'on propose» constatait Stéphane Distinguin, patron de Fabernovel et président de Cap Digital dans le quotidien La Tribune début 2015. "La demande de développeurs informatiques a progressé de 19% en 2014, ce sont des métiers bien payés dans un secteur en croissance où, dans la plupart des cas, on est contacté 4 mois avant même la sortie de sa formation. Et dans pratiquement tous les cas c'est un CDI. Pourtant, on manque de candidats. On manque également d'administrateurs, alors que les offres ont progressé de 28% en un an. Seuls les métiers d'analyse de l'information, ceux du Big Data (30% de demandes en plus), arrivent à trouver suffisamment de candidats."
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precurseurs · 9 years
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Le réseau LoRa dédié à l’Internet des Objets accueille ses premiers clients
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Ce réseau dédié aux communications entre machines (Machine to Machine ou M2M), déployé sur la technologie LoRa, permet de connecter des millions d’objets grâce à une communication radio longue portée et basse consommation (LPWA : Low Power, Wide Area).
Elle est le seul standard international ouvert permettant notamment la géolocalisation sans GPS des objets, le sharing – qui permet à un objet de communiquer avec plusieurs réseaux LoRa sur un même territoire – ainsi que le roaming au niveau international. Ce réseau permet l’émergence de nouveaux services notamment la gestion intelligente des ressources, la maintenance prédictive, le suivi des approvisionnements et des stocks, la localisation des objets, des animaux domestiques, le suivi médical des personnes, etc…
Plusieurs entreprises expérimentent aujourd'hui LoRa pour des usages divers, parmi lesquelles : Colas : pilotage de la disponibilité des places de parking à travers des capteurs de chaussée Schneider Electric : mesure des consommations énergétiques dans le cadre du projet Issy Grid. « Bouygues Telecom et Sagemcom sont des membres fondateurs de l’Alliance internationale LoRa et des contributeurs dans la définition des spécifications du protocole LoRaWAN », a déclaré Geoff Mulligan, Président de l’Alliance LoRa. « Ces deux membres de l’Alliance, par leur collaboration, mettent l’accent pour la première fois sur l’importance de l’interopérabilité, du roaming, de la certification et de la coopération : quelques-uns des atouts de LoRa, une technologie au service d’un écosystème très diversifié de fournisseurs rassemblés autour d’un standard ouvert. Ces différentes notions sont d’ailleurs primordiales pour permettre l’adoption de la technologie et pour garantir la pérennité des investissements ».
Un article paru sur le site de NextInpact en avril dernier expliquait que "Bouygues Telecom expérimente LoRa depuis novembre 2013 à Grenoble. La solution, avant tout destinée aux industriels, n’est pas la seule sur le terrain des réseaux bas débit pour l’envoi des messages très courts, mais dispose d’arguments de poids face à ses concurrents, estime l’opérateur. Les avantages de LoRa sur d’autres technologies, explique Bouygues Telecom, est que les ondes pénètrent bien les bâtiments, que les appareils ne doivent être connectés que très peu de temps pour communiquer leur message et que les risques de collision du message avec d’autres sont très réduits."
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precurseurs · 9 years
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Générer du trafic en magasin grâce au retailtainment
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Ce terme anglo-saxon, né de la contraction de "retail" (commerce) et "entertainment" (divertissement), reflète une tendance qui a pris sa source dans les "malls" américains et qui consiste à transformer un point de vente en lieu de divertissement ou de loisirs afin d’en augmenter l’attractivité pour l’acheteur et sa famille.
La démarche du retailtainment peut se penser au niveau d'un centre commercial, mais également au sein d’un point de vente d’une enseigne, comme par exemple une enseigne spécialisée dans la culture, les loisirs etc. L'idée est d'offrir aux consommateurs une véritable expérience d'achat entre évasion et divertissement. Un exemple parmi les plus ambitieux est celui du groupe chinois Jihua cité par le magazine Ecommerce : "Un véritable complexe entre sport et bien-être : le Jihua Parc offrira à ses visiteurs une expérience d'achat unique autour de marques de qualité et de prix compétitifs. Les clients pourront se divertir grâce à des activités sportives dans des centres couverts dotés d'équipements modernes (ski, parachutisme et surf) et se reposer dans des hôtels, restaurants et centres de bien-être. La volonté du groupe est de proposer un séjour relaxant dans un cadre prestigieux. Le Jihua Park devrait être livré pour 2015." En fait, le concept date des années 80, où on parlait de « centre de vie », pour envisager une diversification des services au-delà du pur commerce.
Le magazine LSA explique que l'une des raisons du retour en force du retailtainment est que c'est "un moyen de damer le pion à l'immatérialité de l'e-commerce. Tout comme la Dining Experience, promue par Unibail-Rodamco, qui veut ancrer cet autre plaisir « non virtualisable » dans ses centres : la gastronomie. Mais, à condition de construire le modèle économique viable que n'ont pas su trouver les centres de vie à la sauce loisirs d'hier. « Raison de notre association avec des professionnels du genre comme Dock 39 », insiste Antoine Frey, président du directoire de la foncière. Des jeux oui, mais de la rentabilité aussi !"
Le concept séduit de plus en plus de marques françaises. Un exemple cité par Ecommerce : "quand un client prend un flacon de parfum sur une borne, il voit apparaître sur un écran des infos sur le produit, des vidéos, il peut imprimer des fiches techniques, donner des informations personnelles à la marque sur son iPad et utiliser les bons de réduction proposés, directement en magasin et, demain, payer son article directement à la caisse installée sur le meuble connecté."
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precurseurs · 9 years
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Moins de substances chimiques dans les articles de mode italienne
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Dix grandes marques de la mode italienne, dont Gucci et Prada, se sont engagées à limiter les substances chimiques dans leurs vêtements et accessoires, a annoncé le président de la Chambre de la mode italienne, Carlo Capasa, lors du salon Première Vision à Paris.
 Dix grandes maisons - Gucci, Prada, Armani, Zegna, Valentino, Ferragamo, OTB, Staff International, Loro Piana et Versace - réunies par la Chambre de la mode italienne dans un groupe de travail sur le développement durable, ont convenu de respecter un niveau maximal de substances chimiques dans leurs produits, plus restrictif que les réglementations en vigueur. "Dans notre industrie, il n’y a pas d’avenir sans développement durable", a déclaré Carlo Capasa au cours d’un débat sur « la responsabilité » dans la mode, organisé sur le salon Première Vision à Paris, principal rendez-vous mondial des professionnels de la filière qui s'est récemment tenu à Paris.
Pour Carlo Capasa et son homologue britannique, Caroline Rush, du British Fashion Council, il ne s'agit que d'une amorce d'action. Les engagements concernent 500 substances et seront publiés en octobre. A noter que le document fixe aussi une limite, plus ambitieuse, à atteindre ultérieurement et préconise l’utilisation de substances alternatives, moins nocives. Le groupe de travail a aussi pour objectif de se pencher au cours des deux-trois prochaines années sur la traçabilité et l'origine des fils, des tissus, du cuir, ainsi que sur les conditions de travail du personnel. La Chambre de la mode espère que l'ensemble de ses membres finira par se plier aux préconisations. La directrice du British Fashion Council a expliqué que son organisation avait mis en place en 2006 " Esthetica", une opération de promotion des créateurs engagés dans le développement durable. Certains utilisent par exemple des matières recyclées, écologiques ou issues du commerce équitable, comme le styliste Christopher Raeburn, qui s'inspire et utilisent des tissus militaires.
"Les consommateurs sont de plus en plus sensibles à la responsabilité (des marques), demandeurs de produits respectueux de l'environnement, soucieux des conditions de travail des ouvriers, à la suite du drame du Rana Plaza", a commenté Chantal Malingrey, directrice marketing de Première Vision. Ce salon est l’événement mondial des professionnels de la filière mode qui a lieu 2 fois par an, et qui rassemble environ 740 tisseurs provenant de 30 pays. Au total, ce sont 60 000 professionnels de 130 nationalités différentes qui se retrouvent à Paris.
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precurseurs · 9 years
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Cinq idées reçues des Français sur l'innovation
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MediaCom, l'agence média de GroupM (WPP) balaye les attentes et la perception des Français vis-à-vis des marques qui innovent à travers une enquête intitulée "Go Inno".
A travers cette étude, l’agence a extrait  5 idées reçues des Français à propos de l’innovation. Pour l'agence, l'innovation n'est ni un mot magique, ni un mythe innaccessible. Elle a voulu comprendre les clés qui en font un vrai levier stratégique et un facteur de différenciation. 1ère idée réçue : Une cible unique appétante à l'innovation. C’est le rêve de tout marketeur : une cible unique, précise, facile à atteindre, réceptive et qui n’attendrait que son offre. Malheureusement -ou heureusement- l’innovation attire tout le monde, et ne plaît donc pas qu’aux jeunes, aux CSP+ ou aux hommes. 72% des répondants considèrent que l’innovation n’intéresse pas que les jeunes. D’ailleurs, les 50-65 ans témoignent de leur intérêt pour les produits innovants puisqu’ils sont 75% à considérer que ceux-ci ne concernent pas seulement la jeune génération.
2ème idée reçue : L'innovation est réservée au secteur high-tech Avec 30% de citations spontanées, Apple est considérée comme la marque la plus innovante, notamment pour 42% des plus jeunes (16-24 ans). Néanmoins, ce score est à nuancer, car 24% n’ont pas identifié de marque en particulier comme innovante. Par ailleurs, pour un Français sur deux, l’innovation n’est pas obligatoirement technologique. Et, si elle est un critère de choix systématique ou régulier dans l’achat d’un produit dans les secteurs de la téléphonie, de l’informatique et du high-tech, elle demeure pertinente pour les consommateurs dans d’autres univers comme la décoration, le prêt-à-porter, le sport…
3ème idée reçue : L'innovation est forcément chère Pour 8 Français sur 10, l’innovation est bien sûr plus chère, une perception plus forte encore chez les femmes (84%) et chez les 25-49 ans (82%). Si ce constat est très largement admis, les avis sont plus partagés quant à la justification du prix à l’achat : seul 1 Français sur 2 serait prêt à payer plus cher pour le bénéfice supplémentaire apporté par l’innovation.
Néanmoins, certaines populations sont plus enclines à y mettre le prix comme les hommes (54%) et les jeunes (dont 67% des 16-24 et 57% des 25-34), pour lesquels ce premium est justifié par des attentes et une exigence supérieures vis-à-vis de l’innovation des marques.
4ème idée reçue : L'innovation ce n'est que du marketing et de la com Plus de la moitié des Français considère que l’innovation n’est pas que du marketing ou de la communication et chez les 39-65 ans, ils sont même 58% à le penser. Mais les plus convaincus sont les CSP+, qui sont 60% à défendre une innovation au-delà du marketing et de la communication.
Seuls les 25-34 ans apportent une nuance : ils sont 52% à penser, au contraire, que l’innovation n’est que marketing. Sans doute parce qu'ils ont été les plus sollicités par les campagnes de marketing de l’innovation, ils sont les plus critiques vis-à-vis des techniques mises en place par les marques. Néanmoins, pour plus de 7 Français sur 10, les produits innovants donnent l’image d’une marque qui cherche à vendre plus. Ainsi, s’ils n’associent pas forcément l’innovation à du marketing, ils lui reconnaissent une logique mercantile.
5ème idée reçue : L'innovation est nécessairement une rupture 55% des Français attendent des produits "rupturistes". Ce score montre que l’idée et l’attente de rupture existent bel et bien dans l’esprit des consommateurs, qui sont désormais habitués à la disruption d’un marché ou d’une offre. Pourtant, quand on leur demande ce que les marques proposent, ils sont 55% à considérer que les innovations introduites sur le marché sont essentiellement des versions améliorées de l’existant.
D’ailleurs chez certains publics, cette perception s’accentue comme chez les femmes à 60% et chez les extrêmes de la pyramide des âges, puisque les 16-24 ans et les 50-65 ans, sont respectivement 62 % et 57% à avoir cette opinion.
Néanmoins, on constate que l’écart de 10 points entre les attentes des Français et ce qu’ils pensent que les marques proposent s’inverse exactement : à priori, on pourrait penser que ces résultats invitent les marques à aller vers plus de rupture (et il est vrai qu’une marge de progression existe), mais ils nous montrent aussi qu’il existe un déséquilibre entre l’offre disponible et les attentes des Français.
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precurseurs · 9 years
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BlackBerry rachète Good Technology
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En rachetant sur le géant américain Good Technology, le Canadien BlackBerry, pionnier des smartphones, se renforce sur la fourniture de logiciels et le service aux entreprises.
Pour racheter Good Technology, une des meilleures entreprises en matière de BYOD (Bring Your Own Device) et de mobilité en entreprises, BlackBerry a dépensé pas moins de 425 millions de dollars (381,5 millions d'euros). Selon ZDNet, ce rachat "s'inscrit pleinement dans la nouvelle stratégie de BlackBerry qui consiste à se concentrer sur l'EMM (Enterprise Mobility Management) les services aux entreprises de gestion et de sécurisation de flottes mobiles, tout OS confondus, notamment à travers une logique BYOD (bring your own device) ou COPE (l'entreprise propose des terminaux). On apprend également que "selon BlackBerry, les clients de Good Technology utilisent massivement des appareils sous iOS, c’est-à-dire des iPhone et des iPad. Les deux tiers de ses activations concernent ainsi des produits Apple, loin devant les appareils sous Android et Windows. On comprend dès lors que BlackBerry a pu y voir ici une clientèle différente de la sienne, probablement plus aisée. Une acquisition complémentaire donc, alors que le Canadien propose pourtant de nombreux services équivalents à ceux de Good Technology. Mais il ne faut pas arrêter sa vision ici."
Le groupe canadien a précisé que l'intégration de Good Technology devrait se traduire par un chiffre d'affaires supplémentaire de 160 millions de dollars environ sur le premier exercice suivant le bouclage de l'opération. "Nous sommes sur un marché incroyablement concurrentiel et nous nous adressons pour une bonne part aux mêmes clients. Il est devenu clair que Good et BlackBerry partagent la même philosophie", a déclaré le directeur général de Good, Christy Wyatt, dans un entretien diffusé vendredi sur le site de BlackBerry. Le Monde Informatique explique que "en sus de sa technologie de containerisation d’applications – avec un microVPN pour se connecter aux ressources de l’entreprise – Good surveille les appareils mobiles afin de s'assurer que seuls les logiciels vérifiés et approuvés tournent sur les terminaux. Enfin, l’application de collaboration mobile de Good permet de sécuriser le courrier électronique, l'envoi de messages, les contacts, le calendrier, mais aussi la gestion de documents et la navigation web sur les terminaux. L'application dispose également d'une fonction de présence mobile intégrée, laquelle permet de suivre les changements de statut de l'utilisateur en temps réel soit depuis la plate-forme Connect de Good ou depuis Lync de Microsoft."
Selon le site Clubic, "Si BlackBerry conserve un portefeuille de six smartphones, ils demeurent résiduels dans cette industrie. La société ne peut plus compter que sur ses logiciels pour espérer remonter la pente. Au deuxième trimestre, ils ont d'ailleurs bondi de 150 %, à 137 millions de dollars. Cela a aidé l'entreprise à se stabiliser depuis le début 2015. Malgré tout, un pan entier de son activité (300 millions de dollars) s'est encore écroulé en une année."
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precurseurs · 9 years
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Big Data : le marché français décolle
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Selon une récente étude publiée par l'institut IDC, le marché français Big Data devient mature et a représenté 285 millions d'euros en 2014.
En France, le Big Data devrait commencer à créer de nouvelles activités selon IDC. Même si l'évaluation de ce marché est encore difficile, en 2018 la France devrait atteindre 652 millions d'euros, soit une progression de 129%, malgré une conjoncture économique difficile. Sur l'Europe de l'Ouest, la croissance annuelle entre 2014 et 2018 devrait tourner autour de 24,6%.
Pourtant, bien que le Big Data soit jugé comme représentatif d'une grande opportunité par 66% des dirigeants interrogés par OpinionWay pour Axys Consultant, 33% ont l'opinion inverse et 25% demeurent incapables de définir le concept. En conséquence,  les projets d'investissement dans le big data pour ces dirigeants restent vagues : 4% pensent investir dans l'année, 6% dans les deux ans, 4% dans les trois à cinq ans. Seuls 14% envisagent donc plus ou moins sérieusement de mener des projets en matière de Big Data.
De son côté, le cabinet Markess relevait début 2015 que 57% des décideurs interrogés pour une étude sur le sujet placent le Big Data et l'analytique dans leurs 3 principaux enjeux de gestion de l'information.
Un article publié par ZDNet analyse les résultats de cette étude : "Premier constat : on assiste à une forte demande des directions métiers stimulée par le Big Data. •    82% des décideurs estiment que les fonctions analytiques peuvent fortement ou très fortement améliorer leurs processus métiers ; •    41% des décideurs prévoient d'exploiter leurs données non structurées d'ici à fin 2017.
Dans les projets en cours, les données prioritairement ciblées sont sur le web, sur les réseaux sociaux et les données mobiles. A noter au passage, que 34% des décideurs anticipent des projets sur les objets connectés, appelés à se déployer en très gros volumes dans certaines branches d’activité. Cette même étude fait ressortir que pour plus de 8 décideurs sur 10, l’analytique représente un axe essentiel permettant d'optimiser leurs processus et activités métiers en 2015. Les projets analytiques se développent dans les entreprises en lien avec la dynamique du Big Data."
Ainsi, l’enjeu dans les entreprises est aujourd’hui de dépasser le vœu pieux du Big Data, et de réussir à l’implanter durablement au sein de l’organisation.
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precurseurs · 9 years
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Un camp de l'innovation pour le climat et la transition écologique
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POC21 est une résidence d'innovateurs réunissant 100 "makers" venus des quatre coins du monde pour prototyper une société zéro carbone, zéro déchet. Pendant 5 semaines au château de Millemont, dans les Yvelines, leur mission sera d’inventer, en open source, 12 produits et solutions pour le climat et la transition écologique.
En décembre prochain, vingt mille diplomates vont se rassembler à Paris pour la COP21, le 21ème sommet de l'ONU, pour ce qu'on décrit à nouveau comme la "dernière chance" pour sauver l'humanité. Cependant, au cours des 20 derniers sommets de ce type, les émissions globales de CO2 ont en réalité doublé. Pour l'organisation POC21, des solutions ont été présentées de nombreuses fois et le problème auquel nous sommes confrontés n'est pas le manque de connaissance pour bâtir un monde meilleur : il est de permettre à tous d'expérimenter et ressentir le "monde le plus beau que nos cœurs savent possible" (Charles Eisenstein).
En conséquence, l'organisation propose,  "au lieu d'une Conférences Des Parties (COP), une Preuve De Concept (POC) : une preuve de concept de l'effet perturbateur que la production collaborative, le mouvement open source et le mouvement des "maker" peuvent avoir sur la diffusion d'outils de mode de vie durables."
Le site poursuit en expliquant que "de nombreux pionniers ont déjà amorcé la mise en œuvre de la société "zéro énergie fossile", circulaire et collaborative et dont nous avons besoin. Ils ont développé des produits open source et des solutions d'énergies renouvelables, des outils d'agriculture urbaine, d'habitat à forte efficacité énergétique et faible en ressources, ou encore de véhicules électriques sophistiqués. Celle nouvelle génération de produits open source et durables partage les caractéristiques suivantes :
·      ils partagent librement l'information requise pour les fabriquer, les améliorer et les distribuer, permettant une diffusion maximale, reproductible et adaptable aux besoins locaux
·      ils ont une longue durée de vie, sont robustes, modulaires, simples à réparer, améliorer ou démonter, impliquent une consommation moindre de matières premières afin de fermer la boucle des flux de matériaux.
·      ils peuvent être fabriqués localement, grâce à des chaînes d'approvisionnement plus durables
·      ils promeuvent un changement de comportements, de consommateurs passifs à architectes et acteurs d'un mode de vie réellement durable.
·      ils permettent l'émergence de nouveaux modèles économiques qui répartissent les richesses équitablement
Il revient maintenant aux citoyens-producteurs de construire cette nouvelle catégorie de produits, dans le paradigme post-indutriel de fabrication distribuée, également appelé "la nouvelle révolution industrielle" ou "l'économie de coût marginal nul". Des plans de construction open source sont partagés sur Internet tandis que les produits sont fabriqués localement dans des Fab Labs et "makerspaces" qui se multiplient partout dans le monde."
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precurseurs · 9 years
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Nokia investit le marché de la réalité virtuelle
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Le constructeur finlandais propose une caméra filmant en réalité virtuelle.
La nouvelle caméra que vient de présenter Nokia est avant tout dédiée aux professionnels, créateurs de jeux, cinéastes ou encore publicitaires. Elle permet en effet de réaliser des tournages de films à 360° en réalité virtuelle 3D. Lancé par Nokia, cette caméra toute ronde dotée de 8 capteurs optiques et 8 micros, et baptisée Ozo a été conçue en Finlande et est la première d'une série de produits technologiques dans le domaine des médias numériques, selon le constructeur.
BFM Business explique que "la caméra présentée a pour vocation de recréer un environnement virtuel (sonore et visuel) qui sera directement exploitable par des casques ad hoc (comme ceux de Google ou de Facebook), à peine le tournage des images de synthèse effectué. Si Nokia n'est pas le seul à annoncer des projets dans le domaine balbutiant des caméras filmant en réalité virtuelle (Samsung, notamment l'a précédé sur cette voie), le constructeur se démarque  en déclarant que son produit sera disponible commercialement dès le quatrième trimestre de 2015."
Le prix d’un tel objet, destiné à des professionnels, devrait se chiffrer dans les dizaines de milliers de dollars, estime The Verge. Les Echos rapportent que "testé par un journaliste de The Verge, Ozo permet une expérience de film particulière pour le spectateur. Chaussé du casque Oculus Rift (qui sera disponible au premier trimestre 2016 ) et d'écouteurs particuliers, le journaliste a pu voir trois films différents. Si quelques problèmes techniques ont été relevé, Casey Newton a surtout été impressionné par le son de la vidéo. « J'ai entendu quelque chose derrière moi. Quand je me suis retourné, j'ai vu la bouche d'une personne en train de parler », explique-t-il. Ozo et ses huis microphones lui permettent d’offrir un son 3D, dit « binaural » , où le spectateur reçoit un son « spatialisé ». "
Nokia n’est pas la première société à annoncer ses ambitions dans le secteur des caméras de réalité virtuelle. Samsung, avec son « Project Beyond » prévoit de concurrencer le constructeur finlandais, tout comme GoPro, qui s’est rapproché de Google pour lancer « Jump », une caméra filmant à 360º et équipée de seize caméras GoPro.
"Nous nous attendons à ce que les expériences de réalité virtuelle améliorent radicalement la manière de communiquer et de se connecter aux histoires, aux divertissements et aux événements à travers le monde. Avec OZO, nous prévoyons d'être au coeur de ce nouveau monde", indique Ramzi Haidamus président de Nokia Technologies. 
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precurseurs · 9 years
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Accord sur la santé au travail pour les salariés d'Ikea France
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Le leader de l'ameublement en France a signé un accord sur la santé au travail, qui entrera en vigueur le 1er septembre prochain pour une durée de trois ans et qui concerne 9 700 salariés.
Débutées en novembre 2014, les négociations sur la santé au travail chez Ikea France ont abouti à un accord paraphé le 25 juin dernier par la CFTC, la CFDT et la CFE-CGC, soit 55 % des voix syndicales.
Parmi les mesures entérinées par l'accord figurent le lancement d'un Système de Management de la Santé (SMS) et des conditions de travail qui vise à suivre dans les magasins les conditions de travail et à observer, par exemple, l'ergonomie des postes de travail. Sont par exemple étudiées les bonnes pratiques mises en œuvre dans les drive et qui consistent en un échauffement et réveil musculaire avant de démarrer le travail. L’enseigne va ainsi consacrer 100000 euros à la « mise en place de solutions innovantes et/ou éprouvées tenant à la pratique d’actions de préparation physique, de détente des muscles et de relaxation ».
Sur le plan de la gestion des risques professionnels, un partenariat a été conclu avec l'Institut Analgesia,  un centre européen de recherche contre la douleur, pour mener une étude pendant trois ans avec une cinquantaine de collaborateurs volontaires. « L’institut nous a sollicité pour participer à un protocole de recherche sur trois ans afin d’étudier la douleur de nos collaborateurs », explique Bertrand Fialip. Cette étude permettra d'évaluer la qualité de vie de ces volontaires et l'impact de la douleur. Enfin, un plan de formation sur la santé au travail entre également en vigueur. Liaisons Sociales indique que "Via des outils et objets connectés, entre 50 et 100 volontaires issus de cinq établissements différents vont permettre de récolter des données sur l’apparition de douleurs en fonction des circonstances de travail. « 70% des arrêts de travail sont liés à des douleurs. Cette étude pourra nous permettre de construire un meilleur environnement pour nos salariés », veut croire le directeur des relations sociales. Une expérimentation qui aurait été très bien accueillie par les syndicats."
L'article ajoute que l'accord prévoit également  "l’instauration d’un droit d’expression directe et collective des salariés sur le contenu, les conditions d’exercice et l’organisation de leur travail. Des groupes d’expression composés de salariés appartenant à la même unité cohérente de travail seront mis en place à cet effet dans chaque établissement, dont certains seront spécifiques aux encadrants."
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precurseurs · 9 years
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La bureautique de demain par Microsoft
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Lors de la Worldwide Partner Conference (WPC) de Microsoft  qui s'est tenue à Orlando récemment, le géant de l'informatique a annoncé le lancement d'une offre cloud de big data analytique regroupant plusieurs services Azure qui seront pilotables via l’assistant Cortana.
"Pour Microsoft, Azure et les logiciels serveur forment un tout basé sur le même code dans une vision du Cloud hybride ne limitant pas les développeurs et favorisant les scénarios de migration multiples. La mobilité va alors de soi, avec un système d’exploitation bientôt similaire sur tous les terminaux (Windows 10) et une productivité optimale promise aux développeurs" explique un article paru sur le site Silicon.fr.
« Nous proposons le Cloud le plus ouvert et le plus flexible (public, hybride ou privé). Vous pouvez écrire des applications en Java, en .net par exemple, vous pouvez exécuter Windows ou Linux, ou vous pouvez supporter le back-end d’applications mobiles Windows phone, Android ou iOS. Et surtout, vous pouvez gérer globalement les identités, les informations, et protéger l’ensemble pour toutes ces plateformes. » a indiqué Satya Nadella, CEO de Microsoft, lors de la conférence.
Savant mix de BI (Business Intelligence) et de machine learning, associant aussi la possibilité de formuler ses requêtes en langage naturel, que ce soit au clavier ou à la voix, Microsoft a donc présenté Cortana Analytics, une offre cloud de big data analytique qui regroupe plusieurs services Azure déjà commercialisés ou accessibles en préversion. Le site ITEspresso détaille l'offre : "Un objectif : permettre aux entreprises de valoriser leurs données… par étapes. Il s’agira en l’occurrence de progresser du « Que s’est-il passé ? » au « Pourquoi cela s’est-il passé ? », puis d’évoluer vers un raisonnement de type « Que va-t-il se passer ? » et « Que devrais-je faire ? ». Azure Data Factory, Data Catalog et Event Hubs seront mis à contribution pour la gestion de l’information. Data Lake et SQL Data Warehouse le seront pour son stockage. Machine Learning, HDInsight et Stream Analytics, pour son traitement. Power BI, pour sa visualisation. Tous ces services resteront accessibles séparément, indépendamment de l’offre Cortana Analytics proposée sur le modèle de l’abonnement mensuel. Mais pour Microsoft, une offre ainsi « packagée » présente l’avantage de répondre à des scénarios plus complexes dans la recommandation, les prévisions, la détection de fraude ou encore la maintenance préventive."
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precurseurs · 9 years
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Les marques sont jugées de plus en plus intrusives
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Publicis ETO publie la 5ème édition de son baromètre de l'intrusion qui étudie la manière dont les consommateurs envisagent leurs relations aux marques au travers du prisme de la "privacy".
L'objectif de cette étude est de comprendre jusqu'où les consommateurs sont prêts à aller dans leur relation et leur intimité avec les marques et de délimiter les possibles de la relation client de demain. La démocratisation des technologies digitales a considérablement fait évoluer la manière dont les consommateurs se comportent avant, pendant et après un acte d’achat. Du coup, les marques exploitent de plus en plus ces technologies pour mieux connaître les consommateurs et améliorer la relation avec eux notamment en personnalisant leurs parcours d’achat.
De leur côté, les consommateurs sont ambivalents : d’une part, ils sont prêts à livrer certaines informations en échange de réductions, de cadeaux, d’invitations à des évènements privés, d’avantages et de privilèges divers ; d’autre part, ils craignent les abus et notamment l’émergence d’un « big brother marchand » qui saurait tout de leurs comportements et de leurs envies. L’objectif de cette étude est de faire le point sur la manière dont les consommateurs envisagent leur relation aux marques au travers du prisme de la « privacy », de comprendre jusqu’où les consommateurs sont prêts à aller dans leur relation et leur intimité avec les marques.
Cette étude permet de mieux connaître les attentes et les craintes des consommateurs quant à l’exploitation de leurs données personnelles afin de délimiter les possibles de la relation client de demain. Le Figaro relève que "Selon ce baromètre, près de 78% des personnes interrogées sont «dérangées par le fait que des informations soient collectées et enregistrées dans des bases de données». Sur les réseaux sociaux, ils sont plus de 70% à ne pas tolérer que les marques puissent accéder aux données personnelles «pour proposer des offres et services personnalisés». Parmi les informations partagées, certaines sont jugées plus «taboues» que d'autres à l'image de la géolocalisation, qui suscite le désaccord de 73,5% des personnes interrogés, ou encore les données financières." Et ajoute "Pour faire face à la progression d'un sentiment d'intrusion grandissant, l'étude recommande que les «marques soient plus transparentes» et «expliquent quelles données elles collectent, comment et pour quelles exploitations». Toutefois, si 76,1% des répondants se déclarent intéressés pour «gérer eux-mêmes leurs données personnelles au travers d'outils dédiés», les consommateurs sont d'accord pour délivrer des informations en échange «d'avantages personnalisés» comme des offres de réduction ou de bons d'achat."
Télécharger le baromètre
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precurseurs · 9 years
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Oberthur Fiduciaire, le français qui imprime les billets du monde
Véritable synthèse d’un travail d’orfèvre et de concentré technologique, le billet de banque est devenu la vitrine des nations. L’entreprise française Oberthur Fiduciaire met à profit son savoir faire au service de près de 70 banques centrales dans le monde. 
Le billet, une charge symbolique forte
La monnaie a toujours été le moyen pour les Etats d’affirmer leur souveraineté aux yeux du monde mais aussi d’assurer l’unité d’une nation. Ce pouvoir de battre monnaie est l’occasion pour un pays de placer dans chaque portefeuille de ses citoyens : son histoire, ses valeurs, son identité. Pour Thomas Savare, le CEO d’Oberthur Fiduciaire, le billet de banque est même devenu un véritable «  instrument de cohésion d’une nation » (1). 
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Pour que cet instrument soit efficace, il faut avoir confiance en lui. « Fiduciaire » qui vient de fides, la foi, ne signifie pas autre chose que cela. L’indépendance d’un pays passe par l’autonomie de sa banque centrale et donc par la solidité de sa monnaie. Les imprimeurs ont donc comme défi de rivaliser d’innovation pour rendre leurs billets inviolables et pérennes. Inviolables grâce technologies visibles et invisibles de lutte contre les faussaires ; pérennes par les papiers utilisés dans la fabrication. Cette course à la sécurité de la monnaie, l’Etat en fait un point d’honneur. Les peines encourues par les faux monnayeurs sont d’ailleurs parmi les plus lourdes : en France, l’article 442-1 du code pénal prévoit ainsi 30 ans réclusion et 450000 euros d’amende au criminel. 
La « french touch » d’Oberthur Fiduciaire 
Fondée en 1842, cette entreprise rennaise est devenue incontournable sur le marché de la fabrication de billets de banque. En compétition permanente avec les faussaires, la société Oberthur Fiduciaire déploie toute son énergie à fabriquer le produit le plus fiable et le plus en avance dans sa technologie. L’enjeu est de taille : empêcher le faux monnayage pour garantir la confiance dans la monnaie. Cette course technologique amène la société à consacrer une part importante de son chiffre d’affaires à la R&D en déposant de nombreux brevets de haute technologie. « Nous sommes fiers d’être les héritiers d’une longue tradition d’excellence et d’avoir toujours choisi le mouvement qui est aujourd’hui le seul gage de pérennité », confie ainsi son directeur général. 
Mais la particularité d’Oberthur Fiduciaire tient autant dans sa compétence technologique que dans le style qu’elle a acquis par son histoire. Fabriquer un billet de banque c’est non seulement le rendre sûr, mais aussi le rendre esthétique. Ce n’est pas un hasard, de ce point de vue, si la Banque de France offrait l’élaboration du dessin de ses billets aux meilleurs peintres. Dans cette optique, l’entreprise rennaise est restée fidèle à cet amour du détail qui caractérisait ses fondateurs.  « Aujourd’hui encore, nous cherchons à cultiver ce sens de l’esthétisme, et le mettons au service des cultures du monde entier » explique Thomas Savare. 
C’est cette expertise en matière technologique et de design qui permet aujourd’hui à Oberthur Fiduciaire de travailler avec plus de 70 Banques nationales à travers le monde. 
Une coopération avec les Banques Centrales 
Favorisé par son histoire de près de deux siècles et par sa « french touch » qui se décline dans le souci du détail et son sens de l’esthétique,  Oberthur Fiduciaire est parvenue à atteindre le top 3 mondial des imprimeurs de billets de banque. En 2014, ce ne sont pas moins de 5 milliards de ces assignats des temps modernes qui ont été livrés aux banques centrales par l’imprimeur de sécurité. 
Battre la monnaie d’un pays c’est aussi entrer dans l’intimité de ses valeurs et de son histoire. En effet, un fabriquant de billets de banque devra synthétiser l’essentiel de ce que porte une nation dans quelques rectangles de papier. Il faut, de ce fait, avoir une perspicacité de diplomate pour pouvoir s’approprier et rendre compte par un design évocateur ce qu’a vécu et ce que vit une nation. « Et là on sort du domaine de l’arithmétique pour rentrer dans celui, beaucoup plus subtil, de l’humain et de la culture », confirme Thomas Savare. Un tel métier impose donc de savoir s’imprégner de l’esprit d’un pays. 
Dans une période de mondialisation des cultures où certains peuvent craindre un évanouissement ou une dilution des identités, il est intéressant de souligner ce retour aux racines par ce « média » vieux de plusieurs siècles. C’est dans ce contexte que les nations ressentent visiblement ce besoin d’affirmer leurs valeurs, leurs ambitions et leur âme. Et Oberthur Fiduciaire compte bien continuer de surfer sur ces volontés nationales pour devenir un ambassadeur du savoir-faire français.
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