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(via (2) Le Journal au cinéma - Blow Up - ARTE - YouTube)

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http://expositions.bnf.fr/presse/expo/salle1/index.htm

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Décroche ton petit diplôme d’archi Maison du Projet du Pile, le mercredi 14 octobre à 14:30

Visite du quartier du Pile en famille Dans le cadre des Journées de l’architecture

Grands et petits, devenez apprentis architectes d’un jour en participant à la restauration d’un quartier incontournable de Roubaix : le Pile ! Munis de vos casques de chantier , vous suivrez votre guide devenu pour l’occasion architecte urbaniste. Défis, jeux, rencontres, activités vous permettront de comprendre l’histoire du quartier et les étapes d’un chantier. A l’aide d’activités ludiques, en dessinant, mesurant ou touchant les matériaux , toute votre habileté et perspicacité seront mobilisées pour décrocher votre diplôme d’architecte urbaniste. Le départ de cette visite est prévu à la Maison du projet du Pile pour rejoindre les lieux emblématiques du quartier. Gratuit Journées de l’architecture

Maison du Projet du Pile 53 rue de Condé Roubaix Roubaix Est Nord

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9.Roubaix, France.Olympus mju-ii.Kodak T-MAX 400.

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Elevation of a private residence, Roubaix

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A lire (au moins le début, car le reste est réservé aux abonné.e.s)

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(via (2) Le Journal au cinéma - Blow Up - ARTE - YouTube)

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Je trouve un peu tard ces documents qui nous auraient bien servis pour notre travail d’écriture sur la ville passé/présent/futur. Je le mets de côté ici pour les prochaines années et pour ceux qui veulent approfondir leurs connaissances en la matière Français x Géographie

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SOMMAIRE I/ L'évolution des techniques cinématographiques 1) L'architecture et la cadrage revoient la ville    2) La lumière et le numérique repeignent la ville

II/ Les différentes représentations de la ville     1) L'évolution de la banlieue française au grand écran    2) La science-fiction aliène l'homme     3) Le cinéma carte postal de Woody Allen     4) Metropolis, naissance de la ville en science-fiction

III/ Enjeux d'un tournage pour la ville     1) L'inégalité des villes

IV/ Conclusion

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La ville du futur au cinéma : une brève filmographie

LA VILLE DU FUTUR AU CINEMA : UNE BREVE FILMOGRAPHIE…

-Algol, Hans Werckmeister, Allemagne, 1920

-L’inhumaine, Marcel L’Herbier, France, 1924

-Aelita, Jakov Protanazov, URSS, 1924

-Just Imagine, David Butler, Etats-Unis, 1930

-Things to come, William Cameron Menzies, Royaume-Uni, 1936

-Alphaville, Jean-Luc Godard, France, 1965

-Zardog, John Boorman, Etats-Unis, 1973

-Soleil vert, Richard Fleischer, Etats-Unis, 1973

-New York 1997, John Carpenter, Etats-Unis, 1980

-Brazil, Terry Gillian, Royaume-Uni, 1984

-1984, Michael Radford, Royaume-Uni, 1984

-Batman, Tim Burton, Etats-Unis, 1989

-Batman, le défi, Tim Burton, Etats-Unis,1993

-Total recall, Paul Verhoeven, Etats-Unis, 1990

-La cité des enfants perdus, Jean- Pierre Jeunet et Marc Caro, France, 1992

-L’armée des douze singes, Terry Gillian, Etats-Unis, 1995

-LA 2013, John Carpenter, Etats-Unis, 1996

-Dark city, Alex Proyas, Etats-Unis, 1998

-Bienvenue à Gattaca, Andrew Niccol, Etats-Unis, 1998

A compléter… par les films des années 2000-2012

http://www-zope.ac-strasbourg.fr/sections/enseignements/secondaire/pedagogie/les_disciplines/histoire-geographie/cinema__histoire/filmographies/la_ville_au_cinema/downloadFile/attachedFile_6/demetropolisabladerunner.pdf?nocache=1188997525.57

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Une belle chanson de Grand Corps Malade qui slame son amour pour sa ville (St Denis, une banlieue du nord de Paris). A relever dans ce texte : les mots du champ lexical de la ville

Saint-Denis GRAND CORPS MALADE Ce titre est extrait de l'album : Midi 20 Année de sortie : 2006 Label : AZ « Grand Corps Malade », auteur et slameur français né en 1977, nous invite à découvrir la ville de Saint Denis (en banlieue parisienne) à travers une balade. Il nous fait découvrir les multiples cultures, ainsi que les bons et les mauvais cotés de cette ville. Il évoque sa fierté et son attachement à cette ville où il a grandi. Ce texte contient de nombreux mots argotiques (familiers) et aussi des noms de villes et de pays. J'voudrais faire un Slampour une grande dame que j'connais depuis tout petit. j'voudrais faire un Slampour celle qui voit ma vieille canne du lundi au samedi j'voudrais faire un Slampour une vieille femme dans laquelle j'ai grandi j'voudrais faire un Slampour cette banlieue nord de paname qu'on appelle saint denis prends la ligne D du RER et erre dans les rues sévères d'une ville pleine de caractère prends la ligne 13 du métro et va bouffer au MacDo, dans les bistros d'une ville pleine de bonnes gos et de gros clandos si t'aimes voyager, prends le tramway et va au marché en 1h tu traverseras Alger et Tanger,tu verras des yougos et des romset puis j'temmènerai à Lisbonne et à 2 pas de New Delhi et de Karachi t'as vu, j'ai révisé ma géographie j’t'emmènerai bouffer du maffé à Bamako et à Yamoussoukro ou si tu préfères, on ira juste derrière manger une crêpe là où ça sent Kimper avec un petit air du Finistère et en repassant par Tiziouzou, on ira aux Antilles là où y a des grosses renoies qui font “toi aussi, là ka ou ka fé là, ma fille?” au marché de Saint Denis, il faudra rester zik-phy mais si t'aimes pas être bousculer, il faudra rester zen alors tu prendras des accents plein les tympans et des odeurs plein le zen après le marché on ira chez moi, rue de la République le sanctuaire des affaires et des magasins pas chers la rue préférée des petites rebeues bien sapées aux petits talons et aux cheveux blonds péroxydés devant les magasins de zouk, je t'apprendrai la danse les après-midis de galère, tu connaîtras l'errance si on va à la poste, je t'enseignerai la patience la rue de la République mène à la basilique où sont enterrés tous les rois de France, tu dois le savoir, après géographie, petite leçon d'histoire derrière ce bâtiment monumental, j’t'emmène au bout de la ruelle dans un p'tit lieu plus convivial, bienvenue au café culturel!!! on y va pour discuter, pour boire ou jouer aux dames certains vendredis soirs, y a même des soirées Slam si tu veux manger pour 3 fois rien je connais bien tous les petits coins un peu poisseux on y retrouvera tous les vauriens, toute la jet-set des aristos crasseux le soir, y a pas grand chose à faire y a pas grand chose d'ouvert à part le cinéma du stade où les mecs viennent en bande, bienvenue à caille-ra land! ceux qui sont là rêvent de dire un jour “je pèse!"et connaissent mieux Kool Shen sous le nom de Bruno Lopez c'est pas une ville toute rose mais c'est une ville vivante il s'y passe toujours quelque chose, pour moi, elle est kiffante j'connais bien ses rouages, j'connais bien ses virages y a tout le temps du passage, y a plein d'enfants pas sages j'veux écrire une belle page, ville aux mille visages Saint Denis centre, mon village j'ai 93200 raisons de te faire connaître cette agglomération t'as 93200 façons de découvrir ses attractions à cette putain de cité, je suis plus qu'attaché même si j'ai envie de mettre des taquets aux arracheurs de portable d'la place du Caquet Saint Denis, ville sans égale,Saint Denis, ma capitale, Saint Denis ville peu banale où à Carrefour, tu peux même acheter de la choucroute Hallal là-bas, on est fier d'être Dieunisiens, j'espère qu’t'es convaincu et si tu me traites de Parisien, j’t'enfonce ma béquille dans l'c… non!moi, j'voudrais faire un Slam pour une grande dame que j'connais depuis tout petit j'voudrais faire un Slampour celle qui voit ma vieille canne du lundi au samedi j'voudrais faire un Slam pour une vieille femme dans laquelle j'ai grandi j'voudrais faire un Slam pour cette banlieue nord de paname qu'on appelle Saint Denis. Un autre texte, un peu plus trash sur les origines urbaines de Grand Corps Malade : Je viens de là.

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« Le plus audacieux de tous, Jean-Luc Godard, prend le contre-pied direct des films habituellement tournés en studio en allant tourner À bout de souffle (1959) dans l’avenue la plus peuplée de Paris, les Champs-Élysées, geste qui d’une certaine façon a valeur de manifeste », explique Jean-Sébastien Chauvin (« Nouvelle Vague », La Ville au cinéma : encyclopédie, sous la direction de Thierry Jousse et Thierry Paquot, Cahiers du cinéma, Paris, 2005.) Cette très célèbre séquence des Champs-Élysées a été tournée en un seul plan et dure près de 3 minutes. Raoul Coutard, ancien reporter de guerre et chef opérateur du film, utilise la technique du reportage : caché dans un triporteur de la poste, il filme à l’insu des passants Michel (Jean-Paul Belmondo) et Patricia (Jean Seberg) qui remontent l’avenue. Pas de pied de caméra ou de pied de projecteur, mais un long travelling. À ces options techniques de prise de vues correspond aussi le choix de décors naturels, exploitant la photogénie naturelle de la ville. Là encore, c’est une façon totalement nouvelle de filmer la ville, et on peut considérer le film à cet égard comme un véritable documentaire sur le Paris de l’été 1959.

Les cinéastes de la Nouvelle Vague sortent filmer les “vrais” gens, la vraie ville, de vraies rues, une foule réelle au milieu de laquelle les héros, fictifs eux, évoluent.

Sources :  Jean-Sébastien Chauvin, « Nouvelle Vague », La ville au cinéma : encyclopédie, sous la direction de Thierry Jousse et Thierry Paquot, Cahiers du cinéma, Paris, 2005. via Réseau Canopé

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Qui dit VILLE, dit TOITS …

Période 4 : La ville, entre chien et loup OBJECTIFS :  La ville, lieu de tous les possibles

Les incipits

Les récits policiers

POUR EN SAVOIR PLUS (PEAC) :  La représentation de la ville au cinéma

La ville au cinéma, un miroir de notre histoire urbaine

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4ème

Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre dans la salle de rédaction du journal Libération le jour de son premier numero, 18 avril 1973. Le journal fut fondé par Sartre. Photo: Archives Libération.

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http://expositions.bnf.fr/presse/expo/salle1/index.htm