يا إلهي، قم! أشرق نورك، الذرات ترقص سأهمس في أذنك إلى أين تقودهم رقصتهم.
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Que est ce qui est cauchemar, et que est ce qui est monde
Pour oublier ce monde et tout ce qui va avec,oublier et pardonner se pardonner soi-même. pour tout bruit mal accompli dans une nuit éternelle,nuit éternelle remplissant, les yeux, faisant de nous étrangers. rempli de lacunes pour enfin ne rien faire que attendre malgré les courses acharnés par dessus les terribles démons terrible à faire éclater la terre tout entière sous nos oreillers. Il nous fallait rester à être le monde tout entier pour échapper à Tout les Seconde avec ou loin de toi.Putain j’ai pas pris le temps de ouvrir les yeux ancor une fois je veux pas…
me ne pourrais le savoir de tout Magnier?Et demain une crevas en plaine poitrine àvive la chair il n’en save rien,rien du tout!
Voilà une minute passé-là-dedans tout mon existence je suis mort mais vivant pour contempler ma imminente chute esque dieu me vois déjà en enfer qu’il peut être loin mon cher Dieu,cher de moi m’es qui sommes nous.Et est-ce toujours moi qui a vécu mon passé.Que sont ses souvenirs pitié pour le temp de ma jeunesse.Peut être pas pour moi-Retourne toi et dévore ton ombre autant il le fait dans ton dos.Où es-tu,toi quelqu’un,quelqu’un que j’appelais papa non,non ne regarde pas. Dis rien à maman elle est trop sage pour voir ça.
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On peut se faire mal en ayant toujours raison
Ça veut nous rend mauvais et cru, il existe une peur où il nous est plus possible de voir ce qui vient à nous, nous prend-tel,tel des aveugles lamentable cœur qui bat ingrate bouche à respirer.qu’ils est fatal de ne pas savoir rejeter la faute comme ‘’et’’ toi arrete-toi et ne fait pas plus d’un pas.Où est dans notre part d’homme qui gisent la surface jamais avec comme toujours sens prendre autrui pour priorité dans quelles mesures je fais partie autant d’une majorité que d’une minorité,Et la bas trouverais-je la lumière au bout Suis-je toujours valable il n’existe pas d’avenir Pour moi.Je me fais tout seul et je me garderai seul car voci l’indémontable.Je ne risquerais pas a le troquer pour un rouleau de toilette,
Il s’agit de mon coeur et il est de moi,en premier lieux.même ci je ne veux pas de lui Je me dois de le prendre pour le bien de tous.‘’Sssst’’ au dessus de la plus haute montagne
Pourquoi moi ?, pourquoi moi…Je ne serais jamais seul pour mon grand amour,pour mon grand amour j’aurais pus être un caillou dans le passage.Je t’aime oiseau de père tu ma tellement apris et je ne pouvais le savoir.Je aperçois dans tes trais tu me fait rappelé quant jetait ancor un petit gamin.Tu es si paisible et sage à la fois tu est un instant de ma vie.Mais a autant tu voles autant je change.Tu est fait pour voler moi pour vivre sur terre destinée à dévier une tumulte d’embûches et de pièges.Sache dans ce cas que tu est merveilleuse autant moi courageux et robuste.
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Accroche a un regarde de … -médiocre enchene Et mandian mitigé et irrationnel il ne tenir pas il fut répudié comme de rien il discernait et de modestie il vivait rompu mais fougueux de errant et comme servante sans jamais responsable proférant et guider païen sans peau de gibier
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Le rêve en trop un signe et une chance
Le rêve en trop et comme ailleurs et bien être changé
De sois comme d’ailleurs à rester pour soit encore
Et d’en bien vouloir insinuesment et insoupçonnée. De filiation avec dès quelques suggère en face au grand idé mes sans idéal percher sur le circuit des grand affaires.Nous ne sommes pas seul regarde toi faire t’es très étrange stupéfait vous êtes.voici tu n’es pas de eux autant votre ressemblance tu es égaré perdu pas ignorer il ne sont pas dans leur état il sont dans leur ´´heure’’le jour où tu as changé et oublie ton ancien toi il ni avez personne autour et te voici parmi eux comme tout seul a une époque sans eux.Il te veulent mais il te prendront tout et le fait de sauter sur le toit d’une voiture jusqu’à l’autre côté des barreau se résume à bien vouloir reconnaître une course des plus banales.Mais ne soit pas mitigée car il en font autant les voilà déjà de l’autre côté il t’aura fallu trois fois moins sans toucher le bas contrairement à eux mais il save le faire.
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images de l'au-delà, une vision prit tenue, une co mmunion pour garder une sérénité pour soi miséricorde,compassion,immaculé et rempli de conscience tel une communion livrer et repris croire et rester pour les sacrement et enfin retrouver l'humanité et croire seulement pour voir le fils de l'homme qui-qui veut garder sa croix avec celui qui a lavé les péchés de ce monde que ses mains tremblent, et que ses yeux soient témoins de la passion du Christ.
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Déjà longtemps, j’ai oublié
Que je me devais
Déjà longtemps, j’ai succombé sous l’emprise de ce que l’on appelle la folie à vive voix trop de temps il me fallait mourir pour être ce que je n’étais pas
À ma foi, je me suis dématérialiser pour en faire qu’un avec ma malédiction
Autant, j’aurais voulu être, je me devais de ne plus être pour mieux Manipuler ma misère, j’aurais mis de côté mes bénédictions sans devoir les perdre
Pour le prix de ma vie, j’ai dû me prendre dans une histoire qui n’était pas mienne et du temps, j’aurais plié tête contre Sol et prendre les hauteurs dans des bas profonds
Le temps n’existait plus du plus beau jour j’ai basculé dans une obscurité vivante, elle se jouait de moi et comme rien j’ai demeuré, les choses qui m’entourent, finir par s’effacer et j’ai vite compris que ma vie on devait dépendre Comme si que tout me rendait à ce instant précis, j’étais devenu ténèbres ténèbres me faisait pour mes jours. Le souvenir de perdition me guette les remords et le mépris étaient finalement un appât comme le commun des des vivants.
Le jour pour le jour, ainsi, le commun des morts du jour à décomposition, rien ne tenait jamais homme de prière à troquer, autant de cœur à faire fracasser la chair
Je me tenais chaque soir à l’autre bout du quartier, loin dans les prairies entre les arbres. Je marchais pour dire ou ne pas dire pour pleurer ou ne pas pleurer autant de résolution que rien me j’étais nu dans l’amertume.Seul a se moquait de moi de Dieu, des choses, telles une agonie funeste sans ferveur, mais bien douloureuse elle volàs mes beaux yeux. Je me tenais par ce qui il y avait des gens autour autour de moi ma famille dieu les bénisse.
Mais j’étais un autre, un autre au regard rempli d’un rouge malveillant, de maladie et de corps
Vide, plus rien n’est aller avec ou sans moi le monde pouvait succomber dans un déchirement sans tout pour autant l’affaire du lendemain me dérober
Pour mieux laisser un silence, frappant devant l’obstacle, j’étais enfin-au bout du monde, tout seul, comme une ombre, je vieillissais, loin de tout, à croire que ça pouvait me rendre plus tendre, sans jamais me rassurer, mais qui aurait besoin d’être rassuré dans un tel cauchemar
Je voulais mettre fin à tout ça sans rien-laisser derrière pour l’aide qui n’est pas arrivé faisant ça tout de suite dans l’air de la nuit je me suis résolu à m’empoisonner. Le poison avait brûlé mon corp de l’intérieur. J’ai pas su m’en débarrasser rien qu’une mort subite après le trauma saurait me ôter la vie, je ne pouvais me permettre de par mon état physique de récapituler. L’envie de mieux aller, j’étais comme en libre chute et ça de mon plein gré me rappeler que je suis autre et autre signifie de ne pas demander, de ne pas compleindre les jours Me rétrécissez le crâne
Autant elle me bourre le corps. J’ai fini comme un simple sujet de contemplation sous zéro -heure. Attendre le bip d’un cardia mètre ‘une belle pensée pour un animal’ qui sait tout tout tout chose vieille aux nouvelles, il n’y avait plus de différence.
Le simple fait de savoir comment penser avait changé, en incantation bien retenu comme une prière dont on Arrive à pas voir les lignes, je voyageais pour les petits heures du matin, juste après avoir pris connaissance avec mon environnement
Je me térais dans mon esprit qui fait mon nom à me rappeler pour ne pas finir sans raison, toute logique. Ce devait d’être
De par où j’ai commencé, -je n’avais pas de commencement alors ma fin on en répondra « disposer » pour savoir apprendre
De trouver la solution sans moi, sans Dieu, mais tout, et avant choses, celle qui est de celui qui m’a mis dans la tombe…
Mon esprit n’était plus que penser envers la façon laquelle on m’avait tuer jusqu’au jour où l’histoire fut de nouveau comme le début avec ou sans moi je me devais d’attendre-prêt avec personne pour me dire quel jour on est devrais-je te laisser deviner le reste.
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