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Cette fois-ci c’est le grand retour pour moi aussi.

Avant de rentrer, j’en ai profité pour passer à Genève rendre visite à Marion et Vanessa qui m’ont plus chaleureusement accueillies que mon plouf dans le Léman (c’était glacé).

Après près de 3000 kilomètres parcourus à vélo et autant en train, je signe la fin de ce beau périple à travers l’Europe.

Merci à toutes et à tous d’avoir suivi cette aventure, je suis heureux d’être rentré et de rapporter plein de souvenirs de ce beau voyage, comme ce magnifique t-shirt Lidl roumain.

Affaire conclue.

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Si la météo fut plus qu’estivale à Budapest, évidemment en Autriche c’est une autre ambiance. Sortie du train = grosse drache pendant des heures.

Grâce aux liseuses nous avons pu patienter jusqu’à ce que le ciel se calme pour aller jeter un oeil dans le centre-ville. Les touristes de l’extrême ne reculent pas devant la moindre occasion de prendre en photo chaque monument même par mauvais temps, nous si. Même sans visiter à proprement parler, notre petit tour à vélo dans les nombreux parcs de la ville fut agréable, surtout en concluant la journée autour d’un très bon goûter viennois et d’un schnitzel !

Mais après toutes ces aventures, je suis dans le regret de vous annoncer que c’est la fin du voyage… pour Thierry. Celui-ci va prendre un dernier train direction Grenoble et me laisser à Genève car je compte m’y installer… le temps d’une soirée pour rendre visite à mon amie Marion.

Affaire à suivre…

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À l’issue de presque 17 heures de voyage en train particulièrement lentes et remuantes, nous avons atteints la capitale hongroise, Budapest.

Honnêtement, en parcourant près de 50 kilomètres à vélo pour visiter, je n’avais pas découvert plus belle ville jusqu’à présent. Chaque monument est magnifique et tellement entretenu que l’on dirait que la fin du chantier date d’hier. Mais outre les nombreux monuments, la vie dans les différents quartiers du centre-ville est très plaisante pour qui aime les marchés aux puces, le streetfood, ou les anciens baraquements soviétiques réhabilités en bars, que l’on peut donc selon moi appeler des bars-aquements… Visionnaires ces soviétiques.

Malheureusement, il y a quand même eu quelques fails : la grande synagogue était fermée, les bains de Rudas hors de prix et la citadelle de Gellért en travaux. Pour pallier à ces nombreuses déceptions, nous avons décidé d’aller jouer de la musique au bord du Danube face au coucher de soleil avant d’aller profiter de la vie nocturne un soir de fête… On s’en est pas trop mal sortis en fait.

On continue à rentrer doucement, direction Wien !

Affaire à suivre…

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Ce n’est pas sans nostalgie que nous quittons la Roumanie et entamons le voyage du retour, mais avant de partir nous avons pu profiter des environs de la ville de Brasov.

Brasov est un peu la Grenoble roumaine, mais avec des ours en plus. Une magnifique balade de 1400 de D+ à la Piatra Mare (traduction = grosse pierre) nous a fait réaliser à quel point les Carpates sont sauvages. Les paysages paraissent intacts de l’action de l’Homme à perte de vue (pas vraiment en réalité mais beaucoup plus que dans les Alpes), et les bestioles sont omniprésentes, dont certaines potentiellement mauvaises pour la santé (ce ne sont pas des traces de renard).

Même si les ours se baladent à l’état sauvage dans la région, certains sont retenus captifs dans de minuscules cages et sont parfois maltraités pendant des années. Pour palier à ce problème, la réserve Libearty recueille ces individus et les soigne le temps qu’ils redeviennent aptes à retourner dans leurs forêts. Certains sont d’ailleurs assez en forme car ils peuvent escalader les arbres à 5 m/s.

Le train entre Brasov et Budapest met 16h pour 700 bornes. Ça va être long mais on arrive !

Affaire à suivre…

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Le château de Bran a inspiré Bram Stocker lors de l’écriture de son roman « Dracula ». Lorsque vous visitez cet édifice, cette anecdote est mentionnée en bas du premier panneau descriptif, et c’est tout.

En effet, même si ce château est imposant par sa position sur le mont boisé en surplomb du village de Bran, par son architecture biscornue et ses parois verticales, son histoire n’est pas pour autant lugubre. Bâti au 14 ème siècle à l’initiative des habitants de Brasov, celui-ci a longtemps servi de position stratégique pour surveiller et défendre le passage entre les actuelles régions de Walachie et de Transylvanie. Plus tard, il a même servi de résidence à la reine Marie d’Édimbourg et au roi Ferdinand I, premiers souverains de Roumanie unifiée.

À l’intérieur, on peut trouver autant de salles cosy que de passages étroits et de petits recoins. Alors aussi touristique que cet endroit puisse être, j’ai trouvé la visite et le lieu très instructifs à propos de l’histoire de la Transylvanie mais aussi de l’Europe au cours des derniers siècles, car ici un nom résonne sans cesse : « Habsbourg ».

Bon il y a quand même un étage kitsch pour les fans de SF comme moi, mais celui-ci parle surtout des créatures médiévales mythiques de la région, comme les solomonars, les centaures ou encore les striges, la version locale des vampires… tiens tiens.

Affaire à suivre…

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La Transylvanie est connue pour ses grandes étendues forestières, ses châteaux médiévaux, le mode de vie encore parfois très traditionnel de ses habitants, mais aussi parce qu’elle abrite une bonne partie de la chaîne des Carpates !

Cette chaîne de montagnes de 1500 kilomètres de longueur est en majorité localisée en Roumanie et nous avons sillonné la partie centrale entre Alba Julia et la région de Brasov. Les forêts sont touffues et les vallées majestueuses, il y avait très certainement des ours mais ils ont préféré rester pudiques, contrairement à un certain crocodile en bois. Les campagnes sont parsemées de reliques de leur passé médiéval : églises fortifiées, châteaux, charrettes tirées par des chevaux, et reconstitutions de la paysannerie d’antan en habits traditionnels… ah non, certaines personnes vivent encore comme ça en fait.

Parmi ces édifices, un en particulier s’est laissé désirer depuis presque 3000 kilomètres… En effet, le château de Dracula est officiellement à portée d’appareil photo car nous avons atteint l’objectif de ce voyage, nous avons relié Grenoble à Bran !

Bon, aller si loin c’est bien, mais maintenant il faut revenir. On aurait pu prendre l’avion, on aurait pu prendre un Flixbus, en 12h max c’était réglé, mais non, on va prendre le train et rentrer en quatre jours… pourquoi pas. Par contre on va en profiter pour visiter Budapest et Wien sur la route !

Alors finalement, même si l’objectif cyclistique de ce voyage est atteint, l’objectif touristique ne fait quant à lui que commencer.

Affaire à suivre…

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Bienvenue en Transylvanie !

Je pense que si j’ai fait tout ce chemin, c’est en grande partie pour pouvoir admirer ces paysages vides + verdoyants = vidoyants.

Ici pas de grandes vallées urbaines, mais surtout des près, des champs, des collines et des forêts à perte de vue. Bien sûr, nous avons croisé quelques gens dans la belle ville d’Alba Julia dont le centre-ville est riche d’une longue histoire depuis le Néolithique, et même un courageux marcheur sur la via Transilvanica.

Les pâturages c’est cool, mais c’est quand même très anthropisé comme paysage, car il a fallu déforester tout ça avant de pouvoir y mettre des vaches… Et qui dit déforestation, dit érosion… Et moi j’aime l’érosion, surtout quand il y a de belles ravines au bord du chemin.

Bon par contre ça monte, et mon vélo commence à se mettre les deux roues en l’air de lui-même pour m’exprimer son mécontentement. Encore un petit effort car il ne reste plus que 160 kilomètres à parcourir.

Affaire à suivre…

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Quelques clichés persistent à propos de la Roumanie. Je dirais que certains sont fondés, et que d’autres sont incomplets.

Cliché 1 : les routes sont défoncées… Eh bien, si on fait du vélo, le concept de piste cyclable n’existe pas, ce qui oblige à prendre soit les grands axes routiers, soit les nombreuses pistes, voire sentes de terre qui sillonnent les campagnes. Dans le premier cas, il faut s’imposer pour rester en vie face aux trop nombreux chauffar… euh…camions qui doublent trop proche quoiqu’il arrive. Dans le second cas, il faut avoir une bonne machine à laver et un bon karcher à disposition le soir pour récupérer la couleur naturelle de ses affaires tant les pistes peuvent être boueuses.

Cliché 2 : c’est pauvre... Ce n’est pas faux comparé aux autres pays que j’ai pu traverser jusqu’alors. Le coût de la vie est nettement moins cher qu’en France, la moitié des bâtiments sont délabrés et l’autre moitié est en contre-plaqué, les routes sont en effet souvent défoncées, et les gens semblent vivre au rythme de la pousse des blés. En revanche, ces même gens sont les plus accueillants et les plus curieux que j’ai jusqu’alors pu rencontrer. On s’y sent en sécurité et libre de pouvoir parcourir les grands espaces sans ressentir le poids de la propriété privée.

Cliché 3 : c’est sauvage… En effet, certaines zones sont davantage peuplées de faisans que d’Hommes, les chiens sont libres d’errer en quête de mollets de cyclistes à croquer, tout comme les ours j’imagine, mais je préfère rester dans le déni concernant ce dernier point. Néanmoins, la présence de l’Homme est bien marquée dans le paysage. Les champs sont partout, et de nombreux axes ferroviaires et routiers sont en cours de construction. On peut sentir le développement du pays s’accélérer au fil des kilomètres, mais pas trop vite s’il vous plaît… L’horizon n’est que plus beau sans l’ombre d’un McDo.

La route continue en s’enfonçant plus profondément dans les Carpates avec une bonne odeur de foin frais pour nous accompagner.

Affaire à suivre…

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Cela fait bientôt un mois que j’ai commencé ce périple dont le but premier était de relier la France à la Roumanie à vélo. Eh bien c’est chose faite !

Ce matin nous avons passé la frontière roumaine après un dernier bivouac quasi provençal dans la plaine hongroise. D’emblée, la différence de paysage n’est pas flagrante je vous l’accorde… c’est toujours une plaine. Mais une église orthodoxe, beaucoup de champs, deux averses, et quelques chiens errants plus tard, le relief commence à se relever… les Carpates sont en vue !

Il nous reste maintenant un peu moins de 500 kilomètres à parcourir à travers la Transylvanie pour atteindre la ville de Bran qui sera l’objectif final de ce voyage.

Affaire à suivre…

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Bienvenue en Hongrie, ce pays où il y a sûrement plus de champs que d’habitants.

C’est un pays plat, très agricole, et on a pu y observer une grande diversité de nuages car la météo est toujours aussi mesquine. Mais pourtant, on s’y sent bien. Les gens sont plutôt aimables même s’ils utilisent des mots que je ne comprends pas, l’horizon est partout, et on peut même se baigner dans des eaux thermales, avant ou après les orages, au choix !

Malgré le mauvais temps, quelques éclaircies nous ont permis d’apprécier les bords et même le milieu du lac Balaton (on a traversé en bateau), les rives et les marais du Danube, la boustifaille locale, mais surtout la mousse d’une bonne Soproni pour fêter les deux jours de pause à nous faire buller la pilule que nous nous offrons dans le camping thermal de Kiskőrös !

Affaire à suivre…

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Cartouche, Ô cartouche…

Voilà trois semaines que nous partagions notre quotidien… Trois semaines de cafés, de pâtes, de soupes… Mais malheureusement tu nous as quittés bien trop tard, car cela faisait deux semaines que je te trimballais en étant certain que tu rendrai l’âme à tout moment… Deux semaines que tu avais déjà une remplaçante que je portais en plus de toi… Deux semaines que tu faisais reculer l’inéluctable « pchiiit » final.

Mais ça y est, tu es enfin vide, tu as émis ton dernier gaz…

Merci.

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Avant de quitter l’Autriche, nous avons décidé de rester à Graz une nuit.

Des fois quand on ne sait pas à quoi s’attendre en arrivant dans une ville, on peut être agréablement surpris. Ça a été le cas pour Graz. Le soleil a dû aider à nous convaincre de rester, en plus de son charmant centre piéton, ses belles bâtisses et ses nombreux monuments.

Plutôt que le camping, nous avons préféré dresser le camp dans une auberge de jeunesse, puis une fois que nos braies furent sèches, nous allâmes chez l’armurier nous vêtir de l’habit de guerre traditionnel styrien, y compris pour nos destriers.

C’est ainsi que nous nous remîmes en selle, puis fîmes une halte nocturne au poste d’éclaireurs avant d’enfin passer la frontière hongroise… sous l’orage bien sûr !

Affaire à suivre..

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Thierry m’avait dit que le mois de Mai en Autriche est connu pour être souvent dégueulasse. C’est vrai.

Ces derniers jours on s’est pris des seaux d’eau. En effet, comme ses habitants, la météo autrichienne n’est pas commode. Après quelques bivouacs (très) humides, nous avons finalement troqués la tente contre une bonne auberge le temps d’une soirée. On a pu sécher, manger des schnitzels, et boire des grandes bières… c’était chouette.

Ces grandes vallées alpines sont restées dans leur jus, mêlant paysages verdoyants, chalets rustiques, et autrichien.e.s farouches. Le contact avec l’autochtone n’est pas toujours aisé, mais cela fait partie des aléas du voyage !

À coups de presque 100 bornes par jour, nous serons bientôt à Graz où le soleil se remontre, puis en Hongrie dans les prochains jours.

Affaire à suivre…

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Ça y est, les chalets sont énormes, les montagnes sont vertigineuses, les vaches sont bien grasses, les pâturages sont verdoyants, et les locaux ont un accent pas possible capable de m’interpeller malgré mon petit niveau d’allemand : on a passé la frontière autrichienne pour plus que 20 km cette fois-ci !

Alors quoi de mieux pour commencer que de visiter Salzburg, la ville de Mozart ! Ok à Salzburg il y a la maison de Mozart, la résidence Mozart, la place Mozart, mais il y a aussi la forteresse de Hohensalzburg.

Cette forteresse a été peu à peu agrandie depuis sa construction au 4ème siècle pour maintenant trôner massivement au dessus de la vieille ville. Là-haut on peut trouver de nombreux musées sur l’histoire de Salzburg, et notamment sur l’évolution de l’utilisation de la forteresse et de son armement à travers les époques.

Durant les prochains jours on va s’enfoncer dans les cimes autrichiennes en direction de Graz.

Affaire à suivre…

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Munich et ses environs.

La capitale de la Bavière est aussi étonnante que commune. À cinq kilomètres du centre-ville, on est clairement en Ardèche. Puis, apparaissent doucement des indices faisant penser que l’on approche d’une ville de presque deux millions d’habitants, comme des maisons, des rues, et même des gens ! Le centre-ville se dévoile enfin, mêlant architectures baroque, moderne, et travaux.

Au abords de la Marienplatz, certains bâtiments sont jolis, comme le nouvel hôtel de ville et la cathédrale. La visite de la résidence royale m’a aussi beaucoup plu. L’ancien palais de la famille royale bavaroise est odieusement luxueux et j’en ai appris beaucoup sur l’histoire de cette région dont l’influence a été centrale en Europe au cours des derniers siècles.

Mais si j’ai pédalé jusqu’à Munich ce n’était pas juste pour visiter, c’était surtout pour retrouver Thierry qui va m’accompagner pour la suite du voyage, et ça commence bien ! Premier bivouac sous le soleil, puis petite sieste au bord du lac de Chiemsee : ça promet !

Affaire à suivre…

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Ah la Bavière… Ces trois derniers jours tout a changé : l’ambiance, les paysages, la météo, voire même l’époque.

Déjà, il fait très beau, ce qui n’était pas arrivé depuis le premier jour du voyage. Et puis la Bavière c’est quand même un délire. Tout est beau. Les paysages, les gens, les maisons, les châteaux. Tout. Mais aussi, on sent qu’on est dans une région où la culture locale est encore très fière d’avoir des histoires à raconter en musique, en patois local ou en vêtements traditionnels.

Bien sûr, j’ai pris mon petit bain de foule pour aller visiter le château de Neuschwanstein, ou le château qui a inspiré Walt Disney pour son logo, entre autres. Anecdote rigolote, le château a l’air médiéval, mais pas du tout, il a 150 ans. Le roi de l’époque adorait les mythes et légendes du Moyens-Âge, et aussi les opéras de Wagner (son pote). Du coup, il s’est fait construire un château médiéval dont l’intérieur est intégralement peint de fresques représentant des scènes des opéras de Wagner, eux-mêmes inspirés de contes médiévaux. Par contre, il est mort avant la fin de la construction de l’intérieur du deuxième étage, qui est de nos jours devenu la boutique souvenirs (pratique), et n’a donc pas vraiment vécu dedans. D’ailleurs, à sa mort la famille royale en a directement fait un musée pour faire un max de bénéfices sur le tourisme, officieusement (y a pas d’officiellement).

Demain, direction Munich où je vais retrouver Thierry qui va continuer le voyage avec moi dès mardi !

Affaire à suivre…

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Aujourd’hui j’ai longé le lac de Constance en passant successivement en Autriche puis en Allemagne jusqu’à Lindau, une jolie ville connue pour sa presqu’île pour ses maisons colorées et pour son charmant petit port.

Un peu de plat ça fait du bien parfois. Le delta du Rhin (les autrichiens se le sont gardés pour avoir accès à la plage gratos les petits malins), et les bords du lac en passant par Bregenz m’ont offert de beaux paysages avec des prairies, des roselières, des vieux fermiers autrichiens, de jolies plages, et une eau d’huile.

Demain matin je vais me reposer, mais ensuite je m’attaquerai à la Bavière direction Füssen et son magnifique château !

Bon sinon je ne comprends toujours rien quand on me parle mais au moins j’ai du réseau.

Affaire à suivre…