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Mario + Lapins Crétins, épisode 2

Hier matin je vous laissais avec mes premières impressions sur le jeu. Quelques heures plus tard, je peux en dire un peu plus...

A vrai dire, je suis assez fier de moi dans la mesure où j’ai réussis à terminer le premier monde en vainquant le BiG Boss du premier coup. Cette bataille a dû me prendre une bonne demie-heure. Auparavant, il m’a fallu m’y reprendre à deux fois pour en gagner une autre plus mineure. Sinon, le reste s’est bien passé. Il m’a fallu cependant gérer mes dernières batailles avec peu de points de vie, lesquels ne se rechargeaient que partiellement entre deux d’entre elles. J’ai ensuite été récompensé par ma victoire, non seulement par une belle cinématique de fin de Monde, mais aussi par le déblocage de toute une série d’options.

Mais je dois vous avouer qu’avant d’y arriver j’ai mis très longtemps à comprendre comment exploiter au mieux mes options de combat, par exemple en tirant avant de faire un mouvement... Ainsi dans l’ensemble, je m’en suis tout de même bien sortis et je n’ai pas eu besoin de l’option “partie facile” qui rajoute des points de vie.

J’ai dû y passer près de quatre heures de ma journée d’hier, un record depuis que j’ai cette console, dont trois d’affilées, alors que j’entendais juste avant aux infos de treize heure qu’il était recommandé de faire des pauses pour ne pas favoriser la myopie... Cette session de jeu a donc particulièrement bien vidé ses batteries, étant donné que je l’ai entièrement jouée en mode portable, contrairement à d’habitude.

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Mario Rabbids Kingdom Battle

C’était hier. Le jour où j’ai eu enfin l’occasion de toucher à mon nouveau jeu vidéo : le cross over d’Ubisoft faisant rencontrer le moustachu le plus célèbre ( après Freddie Mercury) de la pop culture de ces dernières décennies, Super Mario et les personnages les plus irrévérencieux du nouveau siècle : les Lapins Crétins. C’était donc le jour de la sortie officielle du jeu, soit, comme le monde est bien fait, trois jours après certains chanceux qui l’avaient soit précommandé et reçus par la poste en avance, soit avait bénéficié des bonnes intentions de leur dealer habituel pour l’obtenir en avance. Mais passons, les passionnés de jeux vidéo connaissent toutes ces petites combines alors que moi qui ne suis qu’un rookie le découvre...

Mais avant de parler du jeu en lui-même, il faut que je vous avoue une chose : pendant longtemps et jusqu’à pratiquement une ou deux semaines avant cette date, ce jeu n’était pas prioritaire dans ma Wishlist. Ce n’est qu’à la suite de l’échec de Sonic Mania et après quelques démos bien accrochantes que j’ai eu envie de le prendre... Et semble-t-il avec bonheur !

Pas la peine de vous faire une critique, d’autres la feront mieux que moi. Je n’ai pas assez de références dans le domaine pour faire des comparaisons pertinentes : par exemple le critique du Monde a fait une référence à un jeu que je ne connais pas alors que celui qui s’en rapproche le plus parmi ceux auxquels j’ai déjà joué n’est autre que Worms... Je vous laisse juge de ma culture vidéo-ludique !!!

Donc que mon ressentis : déjà, c’est un jeu assez bavard, mais comme le dit le critique précité, mieux vaut éviter de l’offrir à un enfant qui ne sait pas encore lire parce que beaucoup d’infos nécessaires à l’apprentissage du jeu puis sa progression passent par des bulles de BD lors d’intermèdes. Présentation comprise. Une intro qui tient plus du film d’animation et quelques longueurs au début, histoire de nous faire découvrir le monde Champignon complètement chamboulé par les Lapins Crétins. Il y a là des trésors d’inventions et de détails irrévérencieux qui sont un délice. De quoi apprendre à progresser calmement. Mais cette cinématique riche en détails a un revers : il n’est pas toujours possible de faire jouer sur les mouvements de caméra...

Ensuite le gameplay : un peu de découverte, un peu de combat. On apprend vite que ce jeu est aussi un jeu de stratégie : d’abord pour résoudre des problèmes de logique comme ce labyrinthe aux cloisons mobiles où les murs se ferment et s’ouvrent de manière à bloquer le passage de l’équipe suivant la façon avec laquelle on l’aborde. Assez déroutant. Mais j’espère avoir l’occasion de le refaire pour en comprendre le fonctionnement ultime...

Autre phase : le combat. On apprend très vite qu’il ne s’agit pas de foncer dans le tas. Les adversaires sont trop fort pour ça. Il faut savoir combiner ses déplacements et ses attaques de telle sorte à faire un maximum de dégâts avant que eux, les ennemis n’en fassent à leur tour parce qu’ils sont particulièrement coriaces. Au moins, si ce n’est le dispositif où il faut faire jouer chaque membre de son équipe avant que les adversaires ne prennent leur tour, je ne suis pas trop dépaysé par rapport à ma référence wormsienne.

Evidemment, plus on avance dans le jeu, plus la difficulté augmente, mais la puissance des armes le devrait aussi. Donc de ce côté là, je pense que la difficulté ne devrait pas l’emporter sur le plaisir de jouer, même lorsqu’on manque de stratégie... 

Enfin, sur les trois quatre heures que je lui ai consacré hier, j’hésite entre le mode TV et le mode portable de la Switch. Le mode TV est certes très bien, mais finalement la prise en main du mode portable n’est pas aussi pénalisant en matière d’ergonomie que sur des jeux comme Mario Kart 8D. Il n’y a finalement pas trop de différences, sinon la profondeur du fauteuil dans lequel on peut s’installer que l’on soit devant sa TV ou pas...

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Voici ma dernière (première) petite création dans Affinity Designer !

En fait je devrais dire “première” parce que je n’ai pratiquement jamais utilisé ce logiciel avant de le réinstaller sur mon ordinateur...

L’idée était de me créer un visuel à destination d’un forum consacré à l’univers Nintendo. Et pour faire les choses bien, j’avais envie de le faire en me créant cette vague grâce à l’outil plume que je n’ai jamais réussis à maîtriser jusqu’à aujourd'hui. Bon, c’est vrai, je ne suis pas encore un foudre de la courbe de bézier mais c’est déjà un premier petit pas !

Le reste est beaucoup plus abordable à réaliser...

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Sonic Mania

Bon, faut que je vous l’avoue tout de suite, je suis une brêle à ce jeu. Je n’ai pas dépassé le troisième niveau, celui de la première usine chimique. Il y a un passage particulièrement difficile pour moi, celui des cubes sous l’eau, avec noyade quasi systématique. Ou alors je me retrouve coincé contre des cubes dont le contact entraine ma mort subite et sans autre forme de procès...

Pourtant tout avait bien commencé : j’avais acheté le jeu sur l’eShop dès le premier jour, le 15 aout de cette année et résolus les deux premiers niveaux sans y passer trop de temps. 

Mais là, je suis tombé sur un os. Pour le vaincre, il faudrait soit que j’ai l’expérience des joueurs assidus (ou hardcore si vous préférez ) que je ne suis pas, soit la chance du cocu.

D’après le critique du journal Le Monde, l’intérêt de ce jeux est de revisiter tous les codes de la franchise, tout en offrant une multitude de possibilités pour parcourir chaque niveau, de la plus directe à la plus tortueuse pour glaner le plus, ou pas, de bonus. Certains passages sont plus directs que d’autres, mais demandent une virtuosité que n’ont pas ceux qui sont moins expérimentés mais qui peuvent passer par des chemins plus faciles d’accès.

Et de fait, après en avoir discuté avec d’autres internautes, j’en suis arrivé à la conclusion que ce jeu était trop exigeant pour un débutant comme moi, comme le sont d’une manière générale les jeux vintage pour des raisons que je ne tenterai pas d’expliquer. 

C’est aussi pour cette raison que je vais probablement annuler ma réservation de la SNESS Mini à sortir dans quelques semaines, mais dont j’ai peur que les jeux intégrés ne soient trop ardus pour moi. Donc autant attendre que je sois plus expérimenté le temps que Nintendo ne réitère l’opération marketing de la console vintage, à moins qu’ils ne proposent des jeux rétro sur leur service payant en ligne...

Ne me reste plus qu’à patienter une semaine la sortie de Super Mario + Lapins Crétins, dont le game play devrait être plus proche de mon jeu fétiche Worms, et qui devrait mieux convenir à mon tempérament. J’aurais sans doute l’occasion d’y revenir d’ici la semaine prochaine.

Enfin, je sens que je vais réorienter l’argent prévu pour la SNESS Mini vers des amiibo compatibles avec le jeu cross over d’Ubisoft sans toute fois sombrer dans les excès d’une collectionnite aiguë et ruineuse...

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Quelques captures d’écran réalisées courant juin venant de Super Mario Kart 8 sur ma console de jeu Nintendo Switch... J’en ai un certain nombre d’autres en réserve !

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Bon, on la refait... Comme je le disais en publiant ces photos par erreur sur mon autre blog, Calimero n’est pas à proprement parler un personnage Nintendo. Pourtant c’est logiquement que je considère qu’il a sa place dans celui-ci.

D’abord parce qu’il s’agit d’une figurine comme les amiibo de la marque japonaise, et qu’elle s’adresse aux collectionneurs. Ensuite parce qu’elle participe du même esprit d’objet fétiche qui nous accompagne au cours de notre vie.

Personnellement, je l’ai toujours connue parce qu’elle appartenait déjà à ma femme avant notre rencontre, ce qui ne nous rajeunis pas.

D’ailleurs c’est un bien d’avoir eu l’idée de la ressortir de son purgatoire pour lui faire rejoindre mes petites figurines Nintendo que je venais de m’acheter quand on voit toutes les poussières qu’il a amassé dans son coin reclus. Je n’ai pas cherché à les enlever, leur trouvant un certain charme...

Et puis c’était un bel exercice de style vu que là aussi j’étais à la limite de la macrophotographie avec les contraintes qui s’imposent, dont celle de tailler dans les pixels pour obtenir ce cadrage.

Enfin, je l’ai toujours trouvé si mignon que je ne pouvais pas le laisser de côté !

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Mes premières photos d’amiibo avec en invité Calimero...

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Journal de Jeu (MK8D)

Avant de rentrer dans le vif du sujet, j’ai commencé mon après-midi ludique en achetant pour une vingtaine d’euros sur l’eShop de Nintendo trois jeux afin de m’occuper durant les vacances lorsque je serais dans ma famille ou hors ligne à savoir un jeu de stratégie que je n’ai pas besoin de vous présenter : Othello ainsi que deux autres jeux venant de la NeoGeo : Magic Drop II et Over Top. Le premier est un jeu d’arcade, l’autre un jeu de course.

C’est en testant ces jeux en mode portable que j’ai vu que V. un ami rencontré sur un forum Nintendo était en ligne sur MK8D. Cela m’a donné envie de le rejoindre dans les parties mondiales auxquelles il jouait. Mais il n’est visiblement pas resté aussi longtemps que moi. Enfin bon, ça s’est une autre histoire.

Toujours est-il que malgré son départ de la salle publique de jeu, je suis resté pour jouer contre les autres.

Comme préambule, je dirais que je préfère nettement y jouer en mode TV qu’en mode portable : le manque d’échauffement doublé des mauvaises sensations avec les JoyCon ont fait que je me suis magistralement viandé sur les une ou deux premières parties, raison pour laquelle je me suis très vite décidé à la remettre sur son dock pour pouvoir y jouer sur la TV et avec les manettes pro. Cela a changé beaucoup de choses. Surtout après avoir repris la main.

En gros, j’ai gagné plus de points que j’en ai perdu. Avec les premières parties, j’étais tombé à environ 720pts, mais avec l’aide de deux top 5 (une 4è et une 5è place dont un premier tour bouclé en tête !) je suis remonté à 750, avant de reperdre, mais tout en restant au dessus des 735pts que j’avais avant de commencer. Le bilan est donc positif autant qu’instructif : ainsi, bien que mon package ne soit pas celui qui accélère le plus ni le plus rapide, je bénéficie d’une bonne adhérence qui m’aide beaucoup dans les virages ou je suis plus rapide qu’en ligne droite. En plus, je maitrise de mieux en mieux les dérapages.

Ainsi, c’est dans les virages à angle droit qui ne pardonnent pas avec le vide partout à côté, la route arc-en-ciel  je m’en suis pas si mal sortis et j’aurais pu marquer de bon gros points si je n’étais pas sortis dans le dernier virage...

Bref, s’il y a un domaine dans lequel je dois progresser, ce n’est pas tellement dans le pilotage mais plutôt dans la maitrise de mon stress et garder mon sang froid. Mon principal ennemi au fond, c’est moi-même : si j’arrive à rester sur la piste, j’arrive à rester dans le ventre mou du peloton voire à en rattraper certains !

Enfin, si V. m’a accordé hier une partie privée en ligne, je devrait pouvoir défier T. sa compagne demain, toujours en ligne. Le premier m’a totalement mystifié hier soir, que ce soit en course ou en bataille. La seconde prétend être nulle... mais je suis sûr qu’elle cache bien son jeu.

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Voici un exemple de ce que je m’amuse à faire entre deux courses de championnat à Mario Kart.

Bon, dans le vrai, depuis que j’ai gagné toutes les coupes en 100cc fin juin, j’ai arrêté de faire des captures d’écrans avec le mode TV du jeu... Mais c’est uniquement afin de pouvoir mieux me concentrer sur les courses dans la catégorie supérieure ! Dès que je me sentirais plus à l’aise dans cette cylindrée, je recommencerai à prendre des captures d’images comme si c’étaient des photos de sport...

D’ailleurs à ce sujet l’analogie avec la photo de sport n’est pas si idiote : à cause du retard au déclenchement entre la pression sur le bouton dédié de la Switch et la capture effective, il est difficile d’arriver à déclencher sur “le moment décisif à moins de faire des aller-retours faute de pouvoir faire des prises en rafales comme le proposent la plupart des appareils photos... Smartphones compris.

Aussi, d’une manière générale, lorsque je réalise une capture d’écran dans ce jeu, je m’efforce de la faire comme s’il s’agissait d’une vrai photo ; et des plus spectaculaires de préférence...

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Petite intro,

Ceci est une petite introduction à ce blog sur les aventures au sens large de BowserJr ainsi que des autres amiibo Nintendo en ma possession, à savoir Boo et le fameux Yoshi. D'autres sont prévus pour l'automne : ce sont ceux qui y accompagneront le jeu Super Mario Odyssey. Ces billets seront de trois ordres : d'abord des photos de ces figurines, ensuite des fictions imaginées à partir de ces photos tout en restant le plus fidèle possible à la mythologie Nintendo, et enfin mes journaux de jeux Nintendo, à commencer celui de Super Mario Kart 8 Deluxe, le tout sur ma console Switch et sans doute la Super Mini Ness lorsqu'elle sera disponible, elle aussi cet automne. Voilà, je crois vous avoir dit le principal pour une introduction. Plus tard, pour vous faire patienter en attendant mes premières photos prises au reflex je vous raconterai comment j'en suis arrivé à m'offrir ma première console de jeux vidéo à l'âge canonique de 37 ans... Merci de m'avoir lu,