Memorial on 12-OCT-2024 at the Unitarian Church, 5035 Boul de Maisonneuve Ouest, Montréal QC H4A 1Y5
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My mother was director of public relations for the Canadian Pavilion at Expo 70 in Osaka. This article is about the Canada day celebration on May 29th thrown by the Canadian government and starting with a mammoth reception at the Japanese guest house with live performances of The Great Speckled Bird and the Ian and Sylvia group. The evening ended at the discotheque in the Quebec pavilion considered the most popular night spot at Expo. The Canadian pavilions were the most popular at the fair in part due to the lineup of 400 Canadian entertainers. The Canada "national day" was the largest and most successful to hit the fair since opening March 15th.
Party at the Quebec Pavilion, OSAKA 1970 world fair
OSAKA - Prime Minister Trudeau threw away the protocol book at the swingingest, way-out discotheque party Expo 70 may ever see...
...Mr. Trudeau danced with a series of lovely women including Mrs. Sonia Saumier-Finch, the blonde public relations director for the Canadian Pavillion
https://www.proquest.com/newspapers/may-29-1970-page-17-40/docview/2198800402/se-2?accountid=8612
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par Jean-Claude Germain, Le Petit Journal, 19 Dec 1965.
Jadis, lorsqu'un gazelier du cour voulait connaître les secrets du royaume, tard la nuit, il prenait rendez-vous avec une dame de la maison de la Reine. Et là, dans les jardins de Versailles, à l'ombre d'un bosfure de la souveraine, tous deux, pour ce brin de complicité risquaient la Bastille. Aujourd’hui, notre époque et plus prosaïque et dans le petit royaume qu'est l'Expo-67 il n’y a pas de secrets, “Elles sont toutes jolies, cultivées, et chaqune d'elles parle plusieurs langues.” Monique Archambault décrit ainsi ses cinq hotesses. Nous aurions voulu, certes, les connaître toutes. Mais nous avons dû choisir. Par hasard, choisissant d'interviewer So. Saumier, avons-nous rencontré la plus secrète ?
—Sonia Saumier, où êtes-vous née ?
A Montréal. Ma famille habitait Ahuntsic.
— Quelles études avez-vous faites ?
D'abord, mes études secondaires à Montréal, mais je terminai mon baccalauréat à Madrid. Ensuite j'obtiens un certificat de philologie à Salamanque. Je quittai l'Espagne pour Heidelberg où j'appris l'allemand. Une fois mes sciences politiques complétées à Munich, je revins au pays. Je travaillai alors pour le service international de télévision de Radio Canada pour séjourner ensuite un an à Tokyo.
— Pourquoi tant voyager ?
Parce que je suis curieuse.
— Pourquoi êtes-vous curieuse?
Pour bien connaître un pays, il faut parler sa langue. Peut-être ai-je aussi une raison plus personnelle? Avant de partir avec ma mère pour l'Espagne, je fus recluse dans un hôpital pendant deux ans. J'ai appris alors tres jeune — J'avais quinze aus — l'importance de la vie. Du moment vécu. Je voulais tout voir, tout connaître, tout savoir.
— Qu'avez-vous appris ? Je suis devenue cosmopolite. Le champ de vision s’agrandi. ll y a si peu de différence. On s'ajoute des horizons. Les journaliers de Mont- réal et de Munich se ressembent comme des frères.
— Dans ces voyages, avez-vous perdu vos racines ?
Lorsque J'ai vécu au Japon, pendant six mois, j'évitais tous contacts avec les Européens. J'habitais chez une famille japonaise. Je vivais à la Japonaise. Pour comprendre un peuple, il faut partager sa vie et ses coutumes.
— Sonia Saumier, on a souvent répété que vous parliez plusieurs langues. Votre long liste comprend le francais, l‘anglais, l'allemand, l'espagnol, le portugais, l'italien, le russe et même, diton, vous tâtez un peu le japonais. Parlez-vous le "joual" ?
Je le parlais et je pourrai le réapprendre. Pour moi, c'est Ie couleur d'une époque, l'épice du terroir.
— Quel est le pays qui vous a le plus frappée dans vos voyages ?
L'Inde. C'est le seul pays que J'ai visité qui fui fidèle à l'image que Je m'en faisais. C'est un pays inaltérable.
— J'aurais cru, à vous entendre, que c'était le Japon…
On y vient avec une Image traditionnelle. On vient y chercher la mystique, mais le Japon est occidentalisé. La vie suit un rythme américain. La mystique et la poésie japonalses existent encore, mais il faut chercher beaucoup pour les trouver. Tout l'art traditionnel s'est rassemblé dans la ville de Kyoto. La télévision Japonaise, où je travaillais, est techniquement très avancée, mais elle est occidentalisée. Si l'art traditionnel Japonais s’y manifeste, c'est sur un réseau consacré à l'éducation. Pour les Japoais, cet art est historique.
— Pourquoi êtes-vous devenue hôtesse de l'Expo-67 ?
Je m'intéresse à tout, sans vouloir me spécialiser en rien. Une exposition universelle, c'est une chance extraordinaire. A mon retour du Japon j'ai travailler quelque temps dans une agence de voyages. On ne se rend pas compte de l'immensité de l'entreprise avant d'en faire partie. C'est incroyable. J'ai choisi, en quelque sorte, le parti des rêveurs.
— A quoi se résume pour vous, une journée de travail ?
Nous travaillons de neuf heures à cinq heures, quelque fois jusqu'à dix heures du soir. Nous sommes présentes partout, dans les conférences de presse, les exhibits, les visites de commissaires, d'ambassadeurs ou de journalistes étrangers.
— Au fond, vous êtes là pour la forme ?
Pour moi, c'est beaucoup plus que de savoir sourire. Nous devons vérifier tous les petits détails. Savoir si le visiteur a la documentation nécessaire. Faire face à toutes les situations inattendues. Au fond, la qualité principale et essentielle, c'est la débrouillardise.
— Vous avez déjà rencontré plusieurs ambassadeurs où commissaires généraux. Quelles sont leurs réactions ?
L'enthousiasme. Prenez l'exemple de l'architecte mexicain qui est venu la semaine dernière pour inaugurer le pavillon de son pays. Ce qui l'a frappé c'est l'aspect différent, non mercantile, de cette exposition. Pour décider son gouvernement à participer, immédiatement après l'Expo de New York qui lui cause un déficit, et un an avant les Jeux Olympiques, il lui faut de l'enthousiasme. Beaucoup d'enthousiasme.
— Sonia Saumier, aprés I'Expo-67, quoi ?
Visiter la Chine. Quand j'al visité l'Inde — trop rapidement — j'avais voulu me rendre jusqu’au Tibet, mais les circonstances m'en empêchèrent. (Suite à la page suivante)
(suite de la page précédente) Sonia Saumier est un peu comme ces oiseaux migrateurs qui seraient libres de leurs mouvements et qui n'auraient pas tous les ans à revenir au même endroit. Souriante, elle laisse une impression de gentillesse. Elle glisse sur sa vie personnelle rapidement. imperceptiblement. Elle n'est pas d'ici, et elle n’est pas de là-bas. Indéchiffrable et mystérieuse elle n'a pas d'époque. On l'imagine facilement sous d'autres cieux, prenant un vieil ambassadeur rabougri par le bras et lui chuchotant : "Alors, Monsieur l'Ambassadeur, voudriez-vous visiter nos merveilleux jardins dans l'île ?* Attentive, elle ajouterait : ‘’Vous devriez mettre vos bottes de chasse parce que, vous saver, elles sont un peu boueuses. Il n’y a pas d'arbres, les fleurs n'y sont pas encore. La neiges a tout recouvert, le fleuve est gelé, mais regardez bien, Monsieur l'Ambassadeur, fermez les yeux et vous verrez des pavillons plantés partout.” Le grand art de ces hôtesses est peut-être celui de donner l'impression qu'elles sont la pour la forme. C'est déjà beaucoup, mais elles font plus que sourire, peut-être charment-elles?
Link to archive: numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4251348?docsearchtext=19%20décembre%201965
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Ombudsman of Transport Canada
My mother was named Ombudsman of Transport Canada. The nomination was later blocked by the RCMP. My understanding is that the RCMP didn't approve of her pro-China stance and close friendship with Paul Lynn, a well known Canadian Chinese activist interested in expanding relations between the 2 countries. My mother worked for the ministry of Transport Canada for 3 years before moving to the Ministry of Industry, Science and Technology.
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An article in La Presse, 1992 including a reference to my mother and my own work at Expo 1992 in Seville.
Below is the text from the article... https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2173546
SONIA SAUMIER-FINCH «Une des expositions les mieux réussies»
Sonia Saumier-Finch est la seule Canadienne à l'emploi de l'Organisation des États américains (OEA) à Washington. Elle y coordonne les progammes de subventions internationales pour la recherche scientifique des 33 pays membres de OEA. Elle a aussi été directrice des relations internationales au ministère fédéral de l'Industrie, des Sciences et de la Technologie en plus d'occuper, à une époque, un poste de direction au Centre National des arts à Ottawa.
Cette carrière, c'est à l'Expo 67 qu'elle l'a commencée, à l'âge de 25 ans. Mme. Saumier-Finch a été engagée par l'organisation en 1965. Elle fut une des premières «hôtesses», selon l'expression consacrée. Polyglotte (elle parlait couramment six langues dont le portugais et le japonais), l'hôtesse-interprète a visité une quinzaine de pays, souvent en compagnie du commissaire général Pierre Dupuy, afin de faire la promotion de l'Expo et d'inciter les gouvernements étrangers à y participer. «Nous avions l'impression de mettre quelqu'un au monde. Nous suivions de près les travaux sur le site des îles et l'enthousiasme était à son comble.» Comme c'est toujours le cas lors de telles manifestations, la plus grande partie du succès dépend du travail accompli avant l'événement, souligne-t-elle. «La période de l'Expo fut une grande période d'apprentissage pour notre société. Pour la première fois, nous avions conscience d'être Montréalais, Québécois et Canadiens. Et nous avons alors prouvé eu monde entier que nous savions faire les choses et d'excellente façon. Nous avons placé Montréal sur la planète.» Mme. Saumier-Finch, qui a aussi participé à l'exposition internationale d'Osaka en 1970, fait valoir le caractère vraiment universel de l'Expo 67, les étrangers y étant omniprésents. «Les îles, les canaux, les grands espaces, tout ça est différent de ce qui s'est fait ailleurs. Je crois qu'il s'agit d'une des plus grandes réussites en matière d'expositions internationales.» Mais Sonia Saumier-Finch n'a pu participer aux six mois de l'Expo. Le 27 juin 1967, elle donnait naissance à son premier rejeton. Vingt-cinq ans plus tard, l'ingénieur Gregory Saumier-Finch travaille au module Glenn- Gould du pavillon du Canada, à l'Exposition internationale de Seville. C'est son premier emploi.
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Newspaper clippings related to Expo 67. My mother travelled across Canada and around the world, including several stops in Germany and Mexico, visiting 15 countries often accompanied by Pierre Dupuy (general commissioner), promoting Expo 67 for the 3 years before it opened. Received as the "Ambassador of Expo 67" she embodied the perfect combination of beauty and intelligence, speaking 7 languages, and winning over the crowds everywhere she went.
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8 April 2016 Dear Sonia. I really enjoy looking at this photo. I feel like Julien is a small me in your arms.
Love, Gregory
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My mother was surrounded by so much incredible love and wonderful care in her home in Cuernavaca right to the last moment. Pictured above: Gerardo, Lucy, Gregory, Nieves, Ramon and Emilia.
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My mother and Gerardo will forever be walking through the lavender fields of Saint-Restitut arm in arm.
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