Tumgik
syverj-blog · 5 years
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Croire en nous ?
Cet article est dédicacé à Aekime Shigura.
LA confiance en soi, ce concept qui décide en parti si nous réussissons ou non dans la vie. Un truc qui est … attention, attention UNIVERSEL ! (Je vais arrêter de le préciser à force, cela devient redondant.) Quand nous avons confiance en nous, tout nous paraît accessible, facile. Nous avons cette impression que même les planètes qui sont à des années lumières ne sont pas si loin. C’est généralement le moment ou nous entreprenons le plus de choses. Malheureusement la ligne à franchir est si fine pour perdre cette confiance. D’ailleurs laissons tomber nos aprioris sur ces personnes qui ont l’air d’être toujours sûr d’eux. La plupart du temps cela cache beaucoup de choses et c’est eux qui ont le plus de mal à trouver/garder cette foutue confiance. Trouver cette confiance en nous est si dur et peu durer si longtemps alors que la perdre peut se faire en cinq petites minutes que beaucoup de monde baissent les bras !
La confiance en soi, un rapport avec l’altérité ?
Qu’est-ce que l’altérité ? C’est la reconnaissance de l’autre dans la différence. En très simplifier ce sont les points communs et non communs qu’on peut trouver entre deux individus. Qu’est-ce qui nous rapproche ou nous différencie de quelqu’un d’autre ? C’est étroitement lié à notre identité sociale. 
Ce qui nous amène à une question ; Le regard des autres peut-il altérer notre confiance en soi ?
Et bien oui car il suffit d’un jugement extérieur, d’une phrase comme « Pourquoi as-tu fais ce choix là, ce n’est pas ce n’est pas toi, tu fais n’importe quoi ! » Quand quelqu’un nous sort ce genre de chose, nous pouvons nous sentir mal à l’aise et nous pouvons avoir la sensation d’avoir fait une erreur. Nous paraissons donc différent de l’image que nous avions l’habitude de donner. Nous ne savons plus comment réagir et nous perdons confiance en notre propre jugement et donc confiance en nous. Ce n’est pas une fatalité. Personne, je dis bien personne n’a le droit de remettre nos décisions en question, nous sommes nos propres maîtres.
Affirmons-nous !
Quand nous sommes sûr de quelque chose au plus profond de nous, accrochons nous à notre croyance. Ne laissons RIEN ni PERSONNE nous faire changer d’avis. Répétons-nous autant de fois qu’il le faudra que ce sont nous-mêmes qui gérons nos vies, pas les autres. Si ils tiennent vraiment à nous, ils nous soutiendrons quoi qu’il puisse nous arriver. Cela nous aidera déjà à être plus en phase avec nous même. Si jamais nous n’arrivons pas au bout de nos croyances/objectifs ce n’est pas la fin du monde. C’est dans l’adversité que nous apprenons et devenons plus fort. Il suffit juste de prendre une autre direction.
Soyons fièrs de nos petites victoires quotidiennes même si elles paraissent insignifiantes ; de petites victoires en petites victoires nous arriverons à en faire toujours plus. 
Ne fixez pas la barre trop haute pour ne pas être déçu. Faites vos expériences à votre rythme. La vie n’est pas une course.
Des bisous !
SyverJ.
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syverj-blog · 5 years
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N’ayons pas peur de douter !
Le doute, l’hésitation sont des choses que l’on ressent tous, Monsieur universel bonsoir ! Parfois ce n’est que futilité comme hésiter entre deux parfums de glace. Cela peut paraître simple de devoir choisir entre plusieurs directions. Mais quand il s’agit de faire un choix qui va impacter nos vies de manière durable ou définitive. Ou qui va mener à de grands changements cela peut devenir un vrai calvaire. Nous pouvons même passer toutes nos nuits à se tourner et à se retourner pour enfin savoir ce que nous voulons vraiment, ce dont nous avons vraiment besoin. Tous les domaines et tous le monde peut-être concernés.
Le doute : une conséquence de l’évolution de notre société ?
Je précise encore une fois et vous le préciserez à nouveau que ce ne sont que mes propres questions et mes propres réflexions.
Bon, prenons un exemple simple. Quand nous voulons préparer un repas et que nous hésitons entre des pâtes et du riz. Nous nous posons cette question car nous avons le choix alors que dans le passé la primordialité était simplement de ce nourrir peut importe quel était l’aliment. (Malheureusement encore aujourd’hui rien que dans nos sociétés occidentales, plusieurs personnes n’ont pas ce luxe.)
Bref, nous pouvons appliquer ce simple exemple à des sujets bien plus complexes. A mon sens d’ailleurs, plus la situation est compliqué, plus le doute planera et la décision sera dur à prendre. Nous finirons donc par nous enlisés petit à petit.
Demandons nous si par exemple nos ancêtres se poser le même genre de question que celle qui nous turlupine ? Cela permet parfois de simplifier les choses.
J’ai pu remarquer que quand le doute prend une forte place en nous, c’est souvent que la décision est chère à notre cœur et que notre peur à aussi une part de responsabilité considérable. Mais plus nous laissons cette peur s’emparer de nous, plus la difficulté du choix sera grande.
Quand le doute s’enracine en nous à propos d’un proche
Soyons honnête ! Nous avons tous douté sur un de nos pairs peut importe la manière et entre nous, même sans être paranoïaque, nous nous sommes tous fait un ou deux films quand le cas se présente. Au mieux nos doutes sont infondés et à ce moment là il faut se demander pourquoi nous avons douté. Au pire nos doutes se révèlent juste et là c’est une catastrophe. Nos structures, nos croyances s’effondrent. Nous finissons par en souffrir et parfois la ou les personnes concernées aussi. Ce n’est pas forcément une raison pour claquer la porte d’un seul revers de main. Du moins avant de le faire si nous y tenons vraiment, il est impératif à mon sens de comprendre ce qui a bien pu se passer dans notre tête et celle des intéressés.
Si nos doutes se sont avérés être juste. Il y’a forcément des raisons qui s’y sont mêlées même si elles peuvent nous échapper ou paraître stupide/non recevable à nos yeux. S’accrocher à notre déception, à notre colère ne fera rien avancer. Attention, je ne dis pas que nous ne devons pas les ressentir. Simplement les mesurer à la hauteur du crime.
Pour finir je ne pense pas que douter soit un signe de faiblesse,d’instabilité ou de manque de confiance en soit ou envers les autres, cela montre simplement que nous réfléchissons, que nous voulons faire au mieux pour nous et nos proches. Cependant trop douter n’est pas non plus une solution, soyez rock’n’roll ça ne peut pas faire de mal si ce n’est pas dans l’excès. Tout est une question d’équilibre.
Bonsoir !
SyverJ.
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syverj-blog · 5 years
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On commence en douceur mais pas tellement
Mesdames, Messieurs ou peut importe comment vous vous définissez, je me pose plusieurs questions assez fondamentales en soit, qui ont dû tous nous traverser l’esprit, même pour les plus idiots d’entre nous.
Les premières reviennent souvent dans mon esprit ces derniers temps. Elles sont simples et complexes à la fois, du moins la réponse l’est. 
Qui sommes nous au fond de notre être ? Et surtout quoi ou qui voulons-nous devenir ?
En sociologie, on nous apprend que nous nous construisons via nos pairs. La première construction venant de notre éducation et de notre famille. Dans le jargon on l’appelle la socialisation primaire. La socialisation dite primaire est un ensemble de processus qui inculquent à l’individu les connaissances et les attitudes fondamentales en société comme par exemple la politesse. Elle se passe, pour les cas les plus généraux de l’enfance à l’adolescence. Ensuite vient la socialisation secondaire, ce sont « des ajouts » moins fondamentaux qu’on apprend tout au long de notre vie à partir de l’âge adulte jusqu’à notre mort.
Je souhaite revenir sur ce dernier point et mettre en lumière que vivre selon les codes que nous avons reçu ou non et être entouré des autres n’est pas toujours facile, je pense que nous pouvons tous être d’accord avec cela, mais la question est pourquoi ? Bien évidement selon chaque personne cela diffère. Les causes ? Le caractère,  le passé de chacun etc. La réponse ne sera pas la même pour tous. Cependant certains idéaux, sentiments sont universels. L’amour, la peur, la joie, la tristesse etc. Les choses qui par définition font de nous des êtres humains/vivants.
Je ne prétend pas avoir la science infuse, ni un doctorat un psychologie, je souhaite seulement vous partagez mes pensées sur toutes ces choses en tant que personne lambda, sans jugement ni apriori. 
Je vais commencer par vous parlez de ce truc là qui prend une place importante dans nos vies, peut importe qu’il soit présent ou non. Cette chose qui prend de multiples formes aussi infimes soit-elles : L’AMOUR. Je sais, c’est un peu cliché ET ALORS ? Je ne vais pas seulement vous parlez de sa forme shakespearienne. Je ne suis pas là pour écrire une tragédie. C’est un peu plus complexe ça quand même ! Certes il y’a forcément des idées qui vont se rejoindre mais tout n’est pas noir ou blanc.
Quand ce mot là est cité, là plus part du temps on pense à un couple. Deux personnes qui ce sont donnés l’une à l’autre parce qu’il y’a ces réactions chimiques en chaine qui se produisent dans notre cerveau. Même si parfois cela peut-être bien plus large qu’une seule autre personne, mais je reviendrais là dessus dans un autre chapitre. Pour vous faire comprendre là où je veux en venir, je vais préciser mon propos ; si je vous pose cette question : « qu’elle est la première forme d’amour auquel nous sommes confrontés ? » À quoi pensez-vous ?
L’amour Parental avec un grand  « P »
Là encore une fois, cela peut-être un sujet épineux mais ne vous formalisez pas ! 
A la base l’amour parental est censé être prodigué par nos géniteurs, c’est souvent le cas mais il arrive parfois que les choses ne se passent pas ainsi. Les gens qui ont eu cet amour de la manière la plus traditionnelle qui soit, pour la plupart (du moins pour ceux avec qui j’en ai parlé au court des années, cela ne veut pas dire que c’est une généralité) sont persuadés que c’est une chose triste quand ils croisent quelqu’un pour qui ça n’a pas été le cas, mais honnêtement ce n’est pas vrai car à mon humble avis que nous ayons ou non des parents présents et/ou aimants, j’ai remarqué que la figure parentale peut se transposer à plusieurs degrés et à n’importe quel âge.
J’ai l’envie de casser ces codes qui disent que l’on doit aimer cette personne parce qu’elle nous a mise au monde et inversement (oui, oui ça va dans les deux sens, parce qu’être parents n’est pas inné). Ce que je veux dire par là c’est que personne ne doit s’obliger à ressentir un sentiment d’amour et surtout de gratitude pour un parent. (même un sentiment d’amour tout court d’ailleurs.) Essayer est une bonne chose mais si nous voyons que cela ne fonctionne pas, il ne sert à rien d’insister, et puis peut-être que cela viendra plus tard. Bien sûr évitons la haine (même si selon certaines situations cela peut-être difficile). Dans ce dernier cas il faut communiquer, ce qui n’est pas simple non plus mais faisons-le à notre manière. Si ce n’est pas par la parole, il y’a d’autres solutions. Toutes expressions est bonne à prendre.
Je pense que peut importe notre situation avec nos géniteurs, nous pouvons trouver un parent chez différentes personnes qui traversent nos vies (un professeur, une soeur, un travailleur social, une bibliothécaire etc.), et l’être en retour pour quelqu’un. tant que nous apprécions cette personne, qu’elle nous enseigne quelque chose sur la vie, qu’elle est fière de nous. Et surtout qu’elle nous encourage peut importe notre situation, n’importe qui peut faire l’affaire. L’important c’est que ces personnes nous permettent d’évoluer de la bonne manière et de restituez leurs enseignements. 
Demandez- vous quelles sont toutes ces personnes qui ont cru en vous à un moment dans votre vie. Qui vous ont donné les clefs pour grandir. Au final c’est ça qui est important. Mais n’oubliez pas, il n’y a pas d’âge pour grandir !
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A bientôt !
SyverJ.
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