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#éditions bande d’ados
boulevardbd · 4 months
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univers-jdr · 4 years
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Inspi BD : Démonistes, Tome 1  Vlad
Inspi BD : Démonistes, Tome 1 Vlad
Une BD pour les rôlistes, par des rôlistes. Parce que l’on va être clair : de la couv de la BD, qui me rappel une édition de DD, aux références, en passant par les clins d’œil directs, c’est clair que l’auteur est rôliste. Même l’humour me rappelle celui de mes joueurs. Donc, Vlad, le tome 1  de Démonistes, c’est l’histoire d’un bande d’ados que la vie va séparer. Enfin la vie … Tout ce que je…
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lupiot · 7 years
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Septième édition de ce nouveau rendez-vous mensuel, qui rime avec « C’est lundi, que lisez-vous ? », et peut se voir comme un complément ou un petit frère dérangé, comme il vous plaira. Je vous invite à l’adopter, il ne mord pas.
Le principe ? Quatre trucs à balancer !
Le Top & Flop de ce que j’ai lu le mois dernier
Au moins 1 chronique d’ailleurs lue le mois dernier
Au moins 1 lien qui m’a fait « Wahou » le mois dernier (hors chronique littéraire)
Et enfin : ce que j’ai fait de mieux le mois dernier
1) TOP & FLOP
Alors ce mois-ci en tout j’ai lu… 30 livres. TRENTE. À un moment donné, j’ai cru que j’allais me retrouver avec plus d’un livre par jour au compteur, aussi, j’ai ralenti.
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Comme ça fait beaucoup trop de livres pour se repérer dans une galerie d’images bordélique, je la sous-divise habilement (telle la libraire maniaque que je redeviens parfois, comme revêtant une vieille mue) :
BD JEUNESSE
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  BD ADULTE
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  ROMANS JEUNESSE
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  ROMANS ADULTES (ET POÉSIE)
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  Je ne vais pas vous présenter tous ces livres — en raison du risque réel et majeur de m’auto-saouler — aussi, si l’un d’entre eux vous intrigue et que vous vous estimez lésé, sachez qu’il vous suffit de me demander des précisions en commentaire.
TOP (4)
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Challengers
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  En ce faste mois, par manque de temps et goût du défi (mais ok, surtout par manque de temps) j’ai décidé, en réunion avec moi-même (ce qui a mené à des débats sans fin), de m’économiser en matière de critique (c’est l’été, je carbure au sirop de fraise, comme tout le monde, mon cerveau s’est fait la malle avec mon haut de maillot de bain) et de décerner des Grands Prix littéraires dans quatre catégories différentes, nommées ci-après :
Catégorie 27e intersidérale du Lol
Grand Prix
Challenger
Ces deux romans, que j’aime rapprocher, et que toi aussi, tu aimeras rapprocher (de tes yeux), sont comme des barres chocolatées sorties par miracle du sac de plage, à peine fondues, craquantes et délicieuses, vestiges d’un ancien Toi qui t’offre un cadeau à travers les ans.
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Ce sont deux romans sur l’adolescence, narrés par des adolescentes. Tu reconnaitras tes émotions de boule de coton face aux événements huileux du quotidien, tu te délecteras de ces élans monologuesques de dramaqueen mentale qui ne franchissaient que rarement tes lèvres, tu te blottiras d’aise dans les dialogues d’Amitié avec un grand A — celle qui est particulièrement stupide et généreuse.
Mais, dans La Fourmi rouge, comme dans Je suis ton soleil, on ne se contente pas d’être drôle à s’en blesser les zygomatiques. On te fait la démonstration que la vie est belle, que ton égoïsme d’ado est pardonnable, que les gens autour de toi comptent, que tous ces moments où tu as envie de demander des RTT syndicaux à la Lose qui te poursuit n’étaient probablement que les pavés menant au monde merveilleux du Pays d’Oz, et qu’il ne tient qu’à toi de les peindre en jaune pour égayer tout ça.
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Si ma préférence va à La Fourmi rouge, c’est parce que :
je l’ai lu six fois et il me fait toujours autant rire,
je trouve le style de l’auteur carrément béton,
c’est totalement mon genre d’humour — au point que plusieurs amis m’ont dit qu’ils avaient l’impression d’entendre mes vannes en lisant le roman. (Ce qui explique sans doute pourquoi j’ai ri comme une baleine les six fois : c’est mon style en 34x mieux.)
Catégorie J’ai soupiré par le cœur, ça faisait un peu mal (aussi connue sous le nom : Joli et badant, mais plus joli que badant)
Grand Prix
Challengers
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J’ai prévu une chronique sur le familial et dingo L’aube sera grandiose, et j’ai eu tant de pensées emmêlées à la lecture rugueuse, urbaine, poétique et forestière de Dylan Dubois que je pense le critiquer également. À suivre, donc.
Catégorie Prends-toi ça dans les dents (aussi connue sous le nom Et maintenant on va regarder un Disney pour se sentir mieux)
Grand Prix
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Challenger
Je reviens de mourir a été une claque stylistique et émotionnelle. C’est extraordinairement bien écrit, dense, imagé, élégant et brutal, furieux. Il y a un monstre dans ce livre, et il m’a mordu les doigts à chaque page. Certes j’aurais préféré une structure finale moins attendue et violence (paradoxal) — néanmoins, j’ai adoré cette lecture, qui m’a bousculée et ébahie.
Au bout du fleuve, roman graphique magnifique de chez Futuropolis, est une épopée de sortie de l’enfance cruelle et puissante, pas exempte de magie. Le récit nous conte une sorte de purification par le feu, d’émancipation par la destruction, qui me rappelle étrangement le leitmotiv de Tant que nous sommes vivants :
Faut-il toujours perdre une part de soi pour que la vie continue ?
Catégorie Classe internationale (parfois appelée Non, vraiment, lisez-le)
Challenger
Je ne m’étends pas sur Y, le dernier homme : il s’agit d’une série de comics que je trouve pour l’instant géniale, mais que je n’ai pas finie, et dont je reviendrai vous parler. Je me suis lancée dedans car une personne de bon goût me l’a recommandée en rebond à mon adoration de la série Saga, du même auteur (Brian K. Vaughan).
L’Aimant est un roman graphique sublime en trichromie, un pari esthétique qui emprunte aux légendes fantastiques germanique et à la froideur magnifique de l’architecture moderne.
MEH (3)
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  Elles est l’une des premières bande-dessinées de Bastien Vivès (dont j’ai dit grand bien à plusieurs reprises lors de mes “C’est le 1er” précédents, puisque j’ai entrepris de consommer toute sa production) (Voir le C’est le 1er de juillet où je parle à grands soupirs émus de son dernier bébé, Une Sœur). À l’occasion de la parution d’Une Sœur, justement, Casterman a réédité Elles. Hé ben wahou, ça permet de bien voir l’étendue du chemin artistique parcouru par l’auteur.
Façon subtile de dire que c’est moche ?
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Elle n’est pas horrible, cette BD, et ça reste du Bastien Vivès : on retrouve notamment un ton juste et sensible dans le portrait des adolescents, et cette attention particulière portée aux postures corporelles, par lesquelles tant de choses sont dites. Mais les dessins sont neeeeettement moins fins et élégants, beaucoup moins minimalistes et fluides que dans ces derniers opus, et puis… franchement vulgaires dans la représentations des corps de femmes, à base de seins comme des ballons de foot et de lèvres made in Orangina.
      Côté roman : je me suis lancée dans Rural Noir comme en rebond au roman Les belles vies que j’avais adoré et qui se déroule lui aussi en milieu rural — avec pour héros ce genre de “sales gosses”, les ploucs, les caïds aux yeux vides, les oubliés. Dans Rural Noir, j’ai été séduite par les personnages plus vrais que nature et le don de dialoguiste de l’auteur — il a bouffé du cinéma d’auteur tous les matins dans son muesli et s’est nourri de noir américain en intraveineuse, obligé — mais côté intrigue, en revanche, je me suis ennuyée… les enjeux mettent longtemps à se dessiner et à se répondre.
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  Enfin, Lady Helen tome 2 : nous vous referons une critique à quatre mains avec Bloup puisque nous avons à nouveau eu un ressenti de lecture différent sur ce second volume… tout en pointant les mêmes éléments de critique ! (Voir notre chronique excitée et impitoyable de Lady Helen tome 1.)
À noter : nous avons rencontré l’auteure, Alison Goodman, expérience excitante (comme l’est toujours une discussion avec une personne brillante) que nous tâcherons de vous restituer le moins infidèlement possible sur ce blog.
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  FLOP (1)
Après avoir lu plusieurs petits florilèges à la Larcenet comme Le sens de la vis, Critixman et Peu de gens savent, et surtout, après m’être imbibée des deux œuvres majeures de la bande-dessinée (pour moi et pour le monde entier) (enfin, le monde de bon goût) que sont BLAST et Le Rapport de Brodeck, j’avoue que découvrir cette BD plus ancienne, gaguesque et très nombrilo-citadine qu’est Le retour à la terre, m’a laissée triste et sans vie comme une nouille cuite tombée du rebord de l’assiette.
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  J’aime l’humour noir, grinçant et l’autodérision à foison dont Larcenet fait preuve dans des BD de la même époque (Critixman et Minimal, par exemple), mais cette épopée d’un titi parisien s’installant à la campagne m’a bizarrement lourdée. Trop de clichés, pas assez de recul, et puis aussi un décalage presque gênant entre les discours forts sur la nature, l’ego et l’humilité qui nourrissent, comme des fleuves souterrains, les BD plus récentes de l’auteur. (Je pense à Blast et Brodeck, ici.) Donc, déçue et étonnée d’être déçue — mais pas grave, j’en lirai d’autres.
#2. CHRONIQUES D’AILLEURS
Madeline Roth, écrivaine et libraire de jour, partageuse de poésie de nuit, m’a, par ses comptes-rendus de lecture évocateurs, fait noter fébrilement deux titres à paraître à la rentrée : Sur l’écriture, de Charles Bukowski (Au Diable Vauvert) et Une histoire des loups, d’Emily Fridlund (Gallmeister). Oui, en ce moment j’ai des envies de littérature adulte, ça doit être le contre-coup de ma boulimie jeunesse de ces derniers temps. #gallery-0-66 { margin: auto; } #gallery-0-66 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-66 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-66 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Je vous invite à cliquer sur chaque image pour l’agrandir (surtout pour lire les deux critiques <3).
Michael Mathieu, libraire à la ville, éveilleur de littérature sur Facebook, écrit des chroniques sensibles et brillantes avec une régularité de métronome, et égaye mon fil d’actualité tel un rouge-gorge posé sur le rebord de ma fenêtre. Sa merveilleuse chronique de La fourmi rouge, qui en dit tellement plus long que “C’est formidablement drôle” (ce qui est la première couche sédimentaire de ce roman), est d’une intelligence de génie astronome. Car ce roman est bien davantage que formidablement drôle, et on a affaire à un critique qui sait très bien lire entre les lignes.
Fée-moi lire a publié une critique “redécouverte” de La Croisée des mondes qui m’a rendue toute chose en-dedans, pas tant par l’outillage critique qu’elle déploie que par l’émotion sincère, émoustillé et sémillante, qui se dégage de son article. J’aime beaucoup aller sur son blog qui propose une approche super authentique et vraie de ses lectures. Détail trivial pour la plupart des gens probablement, elle donne pour chaque livre son temps de lecture, ce que je trouve très utile et révélateur.
Vrac mensuel : la réflexion de Pluie de mots sur La littérature classée par genre (féminin et masculin) ; le top énamouré et fou-furieux de Dans ta page sur The Garden of Evening Mists (dans leur C’est le 1er du mois précédent), qui m’a donné envie et m’a beaucoup trop fait rire ; le troisième opus du génial Tu liras moins bête (que j’avais raté) sur À l’horizon des mots, où Lola dissèque ses lectures pour en retirer des “fun facts” qu’elle vérifie ensuite…
#3. AILLEURS SUR LE WEB
Un invincible été est le site qui a semé en moi une idée contagieuse à la croissance irréfragable qui, telle un virus, a colonisé la toile par le biais du “C’est le 1er, je balance tout” : celle selon laquelle le partage rend heureux. Décoiffant, je sais. Je sens que vous avez du mal à vous remettre de cette phrase dont les quatre coins sont solidement cloués dans la toile de jute d’un tableau écrasant de fadesse qu’on pourrait appeler Cliché en Bleu n°1.
Pourtant, de temps en temps, ça ne fait pas de mal de soulever le voile sur la toile pour réinterroger le cliché. Quand je partage une chose que j’aime, c’est du plaisir démultiplié, le bonheur au carré. Oui, le partage rend heureux.
C’est sur Un invincible été que j’ai redécouvert le concept gratuit et généreux du “Je vais parler des autres sans rien attendre en retour”, qui me paraît évident mais ne pullule pourtant pas sur le world wide web, en particulier sur les blogs, car une part sombre de nous reste l’héritière de cette communauté satanique qui cultivait les skyblog et myspace comme les machines cultivent les humains dans Matrix, biberonnant son lectorat de “Lâchez des comm’ ! Je rends.”
“Je rends”
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Nos blogs ont été (et sont toujours) de formidables plateformes d’expression. Mais non, on ne rend pas. On ne marche pas au chantage comme des parents indignes — on donne.
Sur Un invincible été vous trouverez les articles Ailleurs sur le web où l’auteur liste des tonnes de liens qui lui ont plu, et qui m’ont inspiré le concept du C’est le 1er, je balance tout, donc — dont le but était de remettre le partage au centre de ma pratique de l’internet littéraire. (Six mois plus tard >> zéro regret, joie et côtillons dans mon cœur à chacun de ces rendez-vous.)
Bref, ici, c’est l’occasion de remercier ce site, mais aussi, parce qu’il est dans le même esprit sain, de vous recommander l’un de ses derniers articles, sur :
La bienveillance.
#4. HAPPY NOMBRIL
En juillet, j’ai bouclé un article que je tricotais depuis quelques temps, qui interroge notre désir de “toujours lire plus”. Il s’appelle Comment lire plus — 20 idées et revient à l’interrogation fondamentale, il me semble :
Pourquoi tu lis ?
J’en suis contente comme de mon premier pâté de sable, j’espère qu’il vous a plu.
Vous pouvez répertorier le lien de votre C’est le 1er en cliquant sur la grenouille bleue :
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À bientôt,
Lupiot
Et hop, je commence le rapatriement des liens de tous les formidables C’est le 1er de juillet :
Chaussettes et chocolat
Dans ta page
Histoires vermoulues
Des Livres des fils et un peu de farine
Niognot
Tanuki No Monogatari
Les Tribulations de Coco
Le Vent dans les pages
Si je vous ai oublié(e), n’ayez pas peur de me dire “Tu m’as oublié(e) ! :D” en me remettant votre lien.
Qui a cru que j'étais en retard ? Qui? Qui? Ce mois-ci, bilan de 30 livres (dort-elle ?) et partage de plusieurs envies et idées à partager. Septième édition de ce nouveau rendez-vous mensuel, qui rime avec « C’est lundi, que lisez-vous ? », et peut se voir comme un complément ou un petit frère dérangé, comme il vous plaira.
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lupiot · 7 years
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Sixième édition de ce nouveau rendez-vous mensuel, qui rime avec « C’est lundi, que lisez-vous ? », et peut se voir comme un complément ou un petit frère dérangé, comme il vous plaira. Je vous invite à l’adopter, il ne mord pas.
Le principe ? Quatre trucs à balancer !
Le Top & Flop de ce que j’ai lu le mois dernier
Au moins 1 chronique d’ailleurs lue le mois dernier
Au moins 1 lien qui m’a fait « Wahou » le mois dernier (hors chronique littéraire)
Et enfin : ce que j’ai fait de mieux le mois dernier
1) TOP & FLOP
Alors ce mois-ci en tout j’ai lu… plein de choses différentes ! Des BD, des romans, mais aussi des recueils de nouvelles et de poèmes, et (même!) des essais.
Côté BD :
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  Côté nouvelles, poésie et essais :
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#gallery-0-48 { margin: auto; } #gallery-0-48 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 20%; } #gallery-0-48 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-48 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
  … et enfin, côté romans :
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  Soit 26 livres ce mois-ci !
La raison de cette abondance (et cet éparpillement) ? Je suis partie à l’aventure avec Bloup (fidèle chroniqueuse) à Saint-Malo, lui faire découvrir le Festival Étonnants Voyageurs, qui comprend un salon du livre spécialisé en jeunesse mais aussi (et, historiquement, surtout) en littérature du voyage (on y trouve ainsi beaucoup de petites maisons de littérature étrangère et de poésie). Puis, comme je n’avais pas ma dose, je me suis rendue avec mon amoureux au Marché de la Poésie place Saint Sulpice à Paris la semaine suivante. Et comme chaque fois que je me rends en salon, la courbe de ma consommation littéraire a fait un bond de malade.
Mais c’est de voir tous ces petits livres orphelins sur des tables, aussi. Et tous ces petits auteurs orphelins derrière les tables, en plus.
Le plus intéressant de mon point de vue : j’ai fait beaucoup de rencontres qui m’ont donné envie de découvrir des littératures hors de ma zone de confort (comme des polars), et j’ai lu pas mal de textes qui m’ont amenée à adopter une approche différente de la lecture et de l’écriture (notamment des poèmes).
Du coup, je me suis souvenue que c’est toujours sympa de changer d’air (et que je devrais sortir mes orteils du bain de la litté jeunesse plus régulièrement).
Illustration d’un (autre) hibou invité à sortir de sa zone de confort.
Remarque en passant : bon, j’ai quand même lu un certain nombre de romans jeunesse dont j’attends la parution avec impatience et trépidation car je crève d’envie de vous en PARLER. (Je me dis que rédiger des critiques avec trop d’avance sur la sortie des livres est un brin improductif dans le sens où ça vous crée de la frustration.) Bref, rendez-vous en août pour vous parler notamment de :
La fourmi rouge, d’Émilie Chazerand (chez Sarbacane) : un ÉNORME coup de cœur (que j’ai lu six fois maintenant, et il continue de me faire autant rire, ce qui mérite clairement une médaille, médaille qu’on pourrait appeler le “prix Mission Cléopâtre”) ;
L’aube sera grandiose, le nouveau Anne-Laure Bondoux (chez Gallimard Jeunesse) : qui, en termes de “suivi émotionnel” est une magnifique réponse à son roman précédent (même si narrativement, aucun rapport) ; #gallery-0-50 { margin: auto; } #gallery-0-50 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-50 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-50 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Colorado Train, de Thibault Vermot (chez Sarbacane) : une sacrée claque presque cinématographique, un thriller à hauteur d’ados dans le Colorado des années 50, avec une ambiance collante, étouffante comme ces après-midis d’été à jouer dans la canicule tandis qu’un danger rôde ;
Les cancres de Rousseau, d’Inca Sané (chez Sarbacane) : premier roman que je lis de cet auteur à la langue qui frappe et qui caresse ; découverte géniale de son univers.
Qui a dit “vendue ?”
Je suis corporate, c’est tout. Comme McGo.
C’est donc parti pour le…
#1. TOP & FLOP
Top (6)
#gallery-0-51 { margin: auto; } #gallery-0-51 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 20%; } #gallery-0-51 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-51 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
  Ça fait beaucoup de TOP ce mois-ci, mais d’un côté, heureusement, sur 26 livres lus !
#1. Une sœur, de Bastien Vivès (Casterman, 2017)
Paru tout récemment, c’est le dernier-né de cet auteur au style graphique épuré que j’ai découvert avec Polina. Avec Une sœur, on pousse le style Vivès au maximum sur l’échelle du minimalisme : ça n’a jamais été aussi fin et — ça n’a jamais été aussi touchant. C’est ma BD préférée de lui. C’est incroyable l’émotion qu’il parvient à transmettre en quelques traits, dans une posture, dans un rythme parfaitement calé entre les cases ; ça me tue. C’est d’une finesse, d’une délicatesse rares.
#gallery-0-52 { margin: auto; } #gallery-0-52 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 20%; } #gallery-0-52 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-52 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Une sœur nous déroule les premiers émois fascinés d’un garçon de treize ans qui se retrouve à passer ses vacances d’été avec la belle Hélène, fille d’amis des parents, de deux ou trois ans plus âgée. La bande-dessinée saisit cette relation à la fois complice et complexe où, entre découvertes sociales et flirts interdits, un enfant devient un ado. Et surtout, Une sœur nous montre deux personnages d’adolescents authentiques comme rarement. Pas de faux rebelles, pas de dramas surjoués, pas de grand amour ni d’humiliation : tout est dans la sincérité de ces jeunes envers eux-mêmes, le non-dit subtil, dans le pli du t-shirt où l’on a aperçu un peu de cette peau qui nous tiendra éveillé toute la nuit.
En refermant le livre, j’ai fait Waow, et je suis restée bloquée un moment.
#2. Elmer, de Gerry Alanguilan (VO Philippine 2006-2008, VF 2010 chez Ça et là)
C’est la BD what the fuck du mois. Le pitch ? Un jour, les poulets se sont mis à parler. C’est tout : soudain, les poules et les coqs se sont trouvés doués de conscience. Il a fallu réfléchir à les accepter parmi les hommes, leur trouver un nouveau statut. Arrêter de les rôtir à la broche, leur donner des droits et leur offrir des jobs.
Ça a l’air naïf et drôle ainsi, mais cette BD est tout sauf humoristique. Et, purée… Elle est vachement puissante. Bien dessinée, inattendue, fascinante, c’est une petite bombe en termes de découverte du genre, mais c’est aussi THE livre pour réfléchir sur le racisme.
#3. Gloria, de Martine Pouchain (Sarbacane, 2017)
Nous suivons la vie chaotique de Gloria, gamine amoureuse de son prof de théâtre qui se laisse convaincre qu’elle a un vrai talent d’actrice (alors que son prof ne dit ça que pour la séduire). Moralité : elle tombe enceinte trop jeune et abandonne son bébé pour partir vivre la carrière de ses rêves à — je vous le donne en mille — Hollywood. Mais, de pervers narcissiques en déconvenues professionnelles, elle se retrouve des années plus tard à regretter la seule chose qu’elle a (pense-t-elle) réussie : son fils. Elle va donc kidnapper le petit garçon de huit ans et l’emmener en road-trip (correction : en fuite) à travers les USA.
C’est mon premier Martine Pouchain, mais il m’a donné envie d’en lire d’autres : super style, maîtrise narrative au poil, un aspect épopée épique qui se mêle à une histoire intimiste, et d’excellents dialogues.
#gallery-0-53 { margin: auto; } #gallery-0-53 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 20%; } #gallery-0-53 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-53 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
  #4. Björn, de Delphine Perret (Les fourmis rouges, 2016)
(Mais ! criez-vous. Il n’était pas dans ta liste du mois, celui-ci ! Non, en effet : je ne compte presque jamais les albums, sinon ON NE S’EN SORT PAS.)
Quand je range mes livres.
Bref — Alerte album extrêmement craquant ! Björn, ce n’est rien d’une petite boule d’amour. Un nid en coton dans lequel on a envie de tortiller son derrière pour trouver la sensation du parfait écrin dans lequel s’endormir le sourire aux lèvres.
Björn nous raconte le quotidien d’un ours et de ses amis de la forêt au travers de six historiettes : rien de révolutionnaire, me direz-vous. Ah, mais c’est là que l’on met le doit sur le fond de la question : ce n’est pas en soi le sujet qui fera un bon livre, mais son traitement. Les ours, dans le monde des albums pour petits, il y en a des tas — et il y en a même beaucoup qui sont forts sympathiques. Ici, c’est le ton très doux et simple, le léger goût de l’absurde et, surtout, la personnalité si crackinoute de cet ursidé gentil, brave, poli, qui nous séduit.
Ex : Björn est bien content d’avoir gagné un canapé au tirage, et n’ose pas dire qu’il préférait sa tanière comme elle était avant, avec son petit coin pour dormir, juste là ; ça l’embête un peu, ce canapé, et Björn se tient devant, pataud, en regardant à gauche, à droite à répondre “Si si” à ses amis qui lui demandent s’il n’est pas content. Il a l’impression de ne plus être chez lui.
Ce livre est comme la tanière de Björn : c’est un album douillet dans lequel on se sent bien, et on n’y changerait absolument rien.
#5. Amour, vengeance et tentes Quechua, d’Estelle Billon-Spagnol (Sarbacane, 2017)
Imprégnez-vous des couleurs estivales de la couverture, tirez sur la fermeture éclair de votre tente — ziiiiiip — et laissez-vous envahir par l’odeur de l’été. La rivière vous appelle avec son doux froufrou, les aiguilles de pins craquent sous vos pieds, et vous avez déjà un goût de glace à l’eau sur la langue.
L’été, Tara part en camping avec ses parents — au même camping, tous les ans : le Momo’s. Là, elle y retrouve son ami de toujours, Adam. Sauf que cette année, il y a quelque chose de déréglé dans la belle horlogerie de ses vacances : 1) Adam est devenu hot-hot-hot et Tara a la soudaine et bizarre envie de lui croquer les mollets, 2) une pétasse belge ultracanon, impolie et vicieuse, a planté sa tente a côté de la sienne, et s’incruste aussitôt dans leur duo complice. Sauf que trois, ce n’est pas un bon chiffre, que ce soit pour le ping-pong ou l’amour. Une rivalité bien toxique s’installe entre les deux filles, Adam joue les aveugles, et ça part rapidement en sucette.
Ce n’est pas juste un roman d’été. Si l’ambiance de vacances, les tragédies absolues de nos désamours et rejets adolescents sont bien là, en termes d’écriture et d’incarnation des personnages, on est très éloigné d’un Quatre filles et un jean. C’est davantage qu’une comédie : tous les personnages ont plus d’une facette, et Tara comme le lecteur grandissent de ce temps passé avec eux. La moralité pourrait être quelque chose comme : la vie, c’est simple pour personne, ma petite crevette ; tout le monde se débat comme un chien pour tenter d’être heureux ; arrête deux minutes de te regarder le nombril et glisse tes orteils dans la rivière, là, voilà, on est bien ; pourquoi tu te vrilles l’estomac avec des angoisses montées en neige ? ❤
Meh (1)
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  QUOI ? Quoi quoi quoi quoi QUOI ? J’ai mis Timothée de Fombelle dans la catégorie “Meh” ??? Prenez mon pouls : je suis toujours là ??
L’explication : Timothée de Fombelle m’a trahie.
Timothée ma tuer
Jusqu’ici, j’ai adoré tous les De Fombelle que j’ai lus (3). Mais Vango (dont j’ai aimé certains aspects, (sinon, va te fader près de 800 pages d’un roman qui te porte sur les nerfs)), m’a déçue et surtout, par moments… agacée. J’y ai perçu des systématismes littéraires obvious et usants, et j’ai eu la sensation que le roman prenait un peu son lecteur pour un idiot.
Bon, ce n’est pas un Flop, c’est un Meh. Et je procéderai par ordre (pourquoi c’est bien, pourquoi c’est Meh) — dans un article à paraître mercredi, car j’ai trop de choses à développer pour tout caler ici.
Flop
Parmi les nouvelles que j’ai lues, quelques-unes ont été de vraies déceptions, mais bon, aucun de ces textes n’est assez connu pour mériter que je le descende publiquement en développant mon ire, ce serait salement gratuit.
#2. CHRONIQUES D’AILLEURS
#1. Dans ta page a encore frappé avec un excellent article sur Une sœur, de Bastien Vivès qui s’ouvre sur une citation d’Axelle Red, et je ne trouve rien de plus à dire.
#2. J’ai découvert un concept génial (encore un) chez Sophie Lit (qui est notamment l’auteure des Cartes de Métro Littéraire, jetez-y un œil !) : l’échelle de lecture sur un thème choisi. Elle vient d’en publier une sur la dépression en littérature jeunesse :
#3. J’étais très heureuse et excitée de tomber sur cet article de Pikobooks qui, s’inspirant du défi lecture féministe d’Emma Watson, s’est lancée dans la lecture des Monologues du Vagin, d’Eve Ensler.
#3. AILLEURS SUR LE WEB
Je rebondis sur l’article de Pikobooks pour évoquer rapidement le phénomène Emma Watson et les livres : Emma Watson, actrice connue pour le rôle de Hermione Granger dans Harry Potter (je situe au cas où : viendra bien un jour où une nouvelle génération n’aura *pas* été biberonnée à Harry Potter *frisson glacé*), utilise sa renommée pour promouvoir la culture, la lecture et ouvrir les consciences au féminisme.
Telle une princesse Disney
Elle a créé un Feminist Book Club sur Goodreads, dans lequel elle propose chaque mois un livre sur le thème du féminisme (souvent un essai, mais pas que). Cette lecture mène, lors de la dernière semaine du mois, à des discussions libres entre les membres du club. (Ce club est ouvert à tous ! Enfin, tous ceux qui parlent anglais.)
La liste du Emma Watson Reading Challenge évoquée plus haut par Pikobooks est très vaste et renvoie plutôt à ses livres favoris qu’à des livres strictement sur le féminisme (il y a de tout : jeunesse, polars, BD, essais, théâtre…), en revanche, si ça vous intéresse (moi ça m’intéresse), voici la liste des onze livres déjà recommandés, lus et partagés par les membres du Feminist Book Club sur Goodreads :
My life on the road, de Gloria Steinem (non traduit)
La couleur pourpre, d’Alice Walker (The Colour Purple)
All about love: New Visions, de Bell Hooks (non traduit, mais je vous liste deux de ses ouvrages traduits en français)
Ne suis-je pas une femme ? Femmes noires et féminisme
De la marge au centre. Théorie féministe
Comment peut-on (encore) être une femme ?, de Caitlin Moran (How to be a woman)
The Argonauts, de Maggie Nelson (non traduit)
Persepolis, de Marjane Satrapi (Persepolis)
Hunger makes me a modern girl, de Carrie Brownstein (non traduit)
La moitié du ciel: enquête sur les femmes extraordinaires qui combattent l’oppression, de Nicholas D. Kristof (Half the Sky: turning oppression into opportunity for women worldwide)
Lady B, de Maya Angelou (Mom & Me & Mom)
Les monologues du vagin, d’Eve Ensler (The Vagina Monologues)
Femmes qui courent avec les loups: histoires et mythes de l’archétype de la femme sauvage, de Clarissa Pinkola Estés (Women who run with wolves: myths and stories of the wild woman archetype)
Je vous ai mis le titre en VO, pour les lecteurs intéressés.
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Je n’en ai lu que 2 de cette sélection (et je ne les lirai certainement pas tous), je vous les mets ici car ce genre de liste est souvent inspirant/épanouissant, et peut en l’occurrence s’avérer un bon guide pour entamer une réflexion sur le sujet.
#4. HAPPY NOMBRIL
Je suis assez contente des retours que j’ai eu sur mon diptyque “L’esprit critique en littérature : où s’en procurer“. Beaucoup de personnes m’ont fait part de leur simili illégitimité à la critique (bouh, caca !) et de leur envie de s’améliorer (owii !). Les échanges, ici et sur Facebook, ont été formidables (et adorables) (on est vraiment des Bisounours, en littérature jeunesse).
Répétons-le : à tous ceuzécelles qui se disent parfois “Oh la la, mais Jean-Guy il en sait tellement plus long que moi” : Jean-Guy se dit probablement la même chose à propos de Pierre-Henri. Venez voir par ici : “Je ne lis plus et ça me désole”, ou la cata culturelle du snobisme internalisé.
*** Encore un article interminable de Lupiot, on l’applaudit bien fort ***
Désolée.
La bonne nouvelle, c’est que LA GRENOUILLE EST DE RETOUR. Non, ce n’est pas un message codé annonçant une plaie biblique : le petit bouton bleu ci-dessous permet aux blogueurs ayant rédigé un “C’est le 1er” de répertorier leur lien.
À bientôt pour un Meh constructif sur Vango… et plusieurs découvertes géniales en lutté ado ! D’ici là, bonnes lectures,
Lupiot
TOP, FLOP et reco — Plein de coups de cœur pour des BD, dont une qui parle de poulets doués de parole. Mais si, c'est très très bien, viens! Sixième édition de ce nouveau rendez-vous mensuel, qui rime avec « C’est lundi, que lisez-vous ? », et peut se voir comme un complément ou un petit frère dérangé, comme il vous plaira.
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