Tumgik
#“le chat es bonbon
parker-d-bloodrose · 9 months
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I once picked up one of my boyfriend's cats and sang to her in my bad French. To my knowledge I am the only one who speaks French around this cat.
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gedjub · 1 year
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040223 Oh, ça passe tellement vite
Les nuages
À peine le temps de voir une image
Déjà elle change.
Ils migrent en lignes
En mangeant du soleil
Parmi les vols d'oiseau.
Le cortège est long
Riche et bien animé
Dans un silence de fantômes.
Le soleil repas n'en est pas moins fort
Il projette mon ombre
Encore endormie
Sur le mur derrière le lit,
Je fais front
Le dévore des yeux
La bouche fermée
En rêvant aux nuages manqués.
+ Je veux bien dire je pour présenter d'autres.
+ Quelques certitudes, quelques convictions, impulsions nerveuses: un individu, qui est un membre, se meut et met sa troupe en branle. Ça vaut le coup de vivre. Nous sommes un mille-pattes dont à chaque mue trois pattes à peine font un pas. Quand la fumée pleut un peu plus, peut-être.
René Char, mon grand-frère, effectivement Manon.
+ Envie d'écrire, envie d'action, besoin d'écrire et besoin d'action.
+ C'était bien l'usine à nuages qui bavait la parade de ce matin.
+ C'est comme si je faisais tourner mes deux yeux dans ma main.
+ Ouvrir les coins murs-plafond comme des entonnoirs. Ça donnerait sur des petits recoins. Cachettes, garde-secrets, poumons, longue-vues, tambours à pluie, bouches à oiseaux, à écureuils, vannes à pression... Ou communication entre voisins de biais.
+ Je ne veux pas dormir mais écrire, j'ouvre une note et une idée s'y engouffre, c'est bon! Et c'est fini.
050223 De ma montagne je te demande si tu veux venir, de ta montagne trois jours plus tard tu me réponds non, et tu me demandes de venir. Alors (voix de chameaux) je prends mes chiens et mes chevaux et je descends dans la vallée, et je monte la pente jusqu'à ton château et je toque à la porte de ton palais. Mais tu n'es pas là, on me dit que las d'attendre tu es parti me chercher. Après un repos bien mérité dans une des chambres de ton royaume, mes chiens, mes chevaux et moi-même nous remettons en route, pensant te croiser, sinon te trouver chez moi...
+ Important : Willow, les badaboks. L'anniversaire d'Alexandra Granier: des chevaux et des bonbons, tout ce qu'il faut.
060223 Manon a dit : je ne mets rien sur ma peau que je ne mangerais pas.
+ Sommeil ici, soleil là.
+ Poésie du téléphone:
Cet arbre à chat sur le toit de la ville on peut faire un joli petit bouquet. Vu le nombre de personnes, je suis content pour les nouvelles. Lui qui m'a fait rire et pleurer sur le toit du monde, je pense qu'il y a des déceptions.
+ La dernière heure s'ouvre, en tombent les secondes, je me jette au lit les rattraper et les remettre dedans, m'endormant en plein procès.
+ Géologiquement, je suis au dessus. Un honneur, ou une punition?
+ Tari, le lac ayant fui disparut.
+ Ohé, ohé, derrière la montée !
- Ohé, ohé !
- Vous me verrez bientôt, marchez encore ! Avancez donc, que je vous voie!
- je crois bien avoir fait déjà assez d'efforts! Parlons de là !
- Allons, allons ! Donnez de votre brave personne!
- Dites! Je n'aime pas que l'on me subordonne !
- J'ai du bon tabac... !
- Vous ne m'aurez pas.
- Comment ?! Je dis : j'ai du bon tabac!
080223 Das alte Mädchen geht und die Sonne begleitet. Martins Mutter.
110223 Adrien dans mon lit. On est comme des aimants qui se retiennent. Mon copain arrive, pas de problème. Adrien devient relou, il a l'air bourré. Mon copain veut qu'il parte, je l'escorte gentiment vers la sortie. S'en suit une histoire de poursuite dont le méchant a un vaisseau volant avec à l'avant un filet de fumée chercheuse.
+ Björk: the wound of heartbreak becomes a gate
+ La future fiction
120223 À force de ne plus rien noter je suis redevenu un rêveur innocent.
+ L'un des beaux spectacles du monde : des objets, si non plus gros plus hauts, flottant, passant, apparaissant ou disparaissant dans le ciel bleu. Tout là-haut devient pastille à sucer.
+ New York the three last weeks of August
+ J'ai dit "down there" pour parler de ma gorge; je me sens loin de mes pieds. Est-ce à cause des yeux très demandés, ou suis-je vraiment juste derrière eux?
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Questions d'Halloween
🎃 Citrouille : Ta saison préférée ?
👻 Fantôme : As-tu facilement peur ?
🎃 Candy Corn : Ta sorte de bonbon préférée ?
👻 Vampire : Ta créature surnaturelle préférée ?
🎃 Sorcière : Si tu pouvais avoir n'importe quel super pouvoir, que prendrais-tu ?
👻 Un bonbon ou un sort : Quel a été ton costume d'Halloween préféré ?
🎃 Chat noir : Es-tu superstitieux.se ?
👻 Plateau Ouija : Si tu le pouvais, changerais-tu ton prénom ? Pour lequel ?
🎃 Cimetière : Connais-tu une bonne histoire qui fait peur ?
👻 Squelette : T'es-tu déjà cassé un os ?
🎃 Loup-garou : Ta légende urbaine préférée ?
👻 Film d'horreur : Aimes-tu les films qui font peur ? Si oui, un de tes préférés ?
🎃 Maison hantée : Préfèrerais-tu vivre en ville ou à la campagne ?
👻 Zombie : Penses-tu pouvoir survivre une apocalypse zombie ?
🎃 Momie : Quelle est ta plus grande peur ?
👻 Chauve-souris : As-tu des animaux de compagnie ?
🎃 Chaudron : Quelle sorte de potions ferais-tu si tu en avais l'opportunité ?
👻 Pleine Lune : Préfères-tu la journée ou la nuit ?
🎃 Labyrinthe de Maïs : Quelle est ton activité d'automne préférée ?
👻 Balais : À quelles destinations excitantes as-tu été ?
Traduit de @strawberrylollipopkisses
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chaletdesplaies · 4 years
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Aller sur le toit de l’école
Écrire chalet des plets sur un mur
Mettre du colorant dans l’eau des toilettes
Aller faire un concert de flûte à bec dans un parc pis ce prendre ben au sérieux
Acheter dans un dépanneur de l’alcool avec une fausse carte
Boire de la vodka durant 10 secondes sans arrêter
Manger une cane de nourriture pour chats
Prendre deux grosses cuillères de sauce piquante
Licher une poignée de porte de classe
Passer toute une période dont ce promener dans les corridors pied nu
Engager une conversation dans la rue avec un inconnu
Parler comme si tu étais avec quelqu’un
Courir dans un magasin en criant j’aime les pennes
Skip un cours
Dire à quelqu’un qu’on peut voir son aura pis-aller lui parlé de ça
Se mettre à danser dans un restaurant
S'asseoir sur les jambes d’un(e) inconnue d’environs notre âge pis cruiser
Cacher le sifflet d’un prof d’éduc
Voler la télécommande d’un tbi et gosser avec le laser en classe
Peindre sur une porte de toilette une œuvre d’art à faire en équipe
Apprendre une chorégraphie Just dance et la faire à un party de noël ou d’halloween du volet
Faire une nuit blanche
Écrire une fausse lettre d’amour à quelqu’un de la classe venant d’un admirateur secret
Jouée à Marco polo seule ou en duo dans un magasin
Se mettre debout sur un banc de métro
Chanter i want it that way dans le métro comme si on était des choristes
Acheter chacune notre tour l’objet du magasin le plus wtf
On achète tous un poisson en plastique
Mettre des talons hauts à l’école
Manger de la pelure d’Orange (un beau gros morceau)
Prendre un shot de vinaigre
Licher un escargot
Manger un tube de pate à dent a moitié
Boire dans un biberon de bébé toute une journée
Manger une grosse cuillère de wasabi
Entrer son poing dans sa bouche
S’habiller pareille pour 1 journée
Aller cueillir des citrouilles
Aller au pommes
Aller dans le quartier chinois
Aller faire une fin de semaine de camping
Aller faire du cerf volant au bord de l’eau
Faire un fort dans la neige
Décorer des crocs
Se créer une chaine youtube avec de faux nom pour faire de la flûte
Aller faire un cours de sirène
Aller glisser
Aller faire des photo dans la cabine de photos du fairview
Faire un party
Appeler le 911 juste pour voir
Trouver un kid et lui dire que tu es lui dans le futur
Crier à une personne random : JE LE SAVAIS , T’ES L’UN D’EUX!!!, et partir
Lancer une boule de plastique à quelqu'un et lui dire d’aller dans sa boule pokemon.
Quand tu paies à une caisse crie j´ai réussi bien fort!
Montrer sa propre carte opus et demande au personne s’il ont vue cet intrus.
Se faire tatouer a la fin du secondaire
Se faire percer
Frapper un secondaire 1
Faire un catfish profile et parler à qqun qu’on connaît
Intimider un professeur
Dire un commentaire drôle en classe qui incite à l’intimidation
Faire un tiktok avec un inconnu ( à l'école pt)
Se teindre les cheveux temporairement
Crier dans un magasin j’aime les petits kids
Faire un sleepover et jouer à cache cache avec des lanternes dans la forêt la nuit
Se faire passer pour kendra avec un faux compte
Dire à un inconnu que t’as un crush sur lui
Aller à un festival
Écrire bonne fête avec des post its sur un casier d’un inconnu
Faire des jump scares
Cogner chez des inconnus et partir en courant
Pisser dans une forêt random
Promener une de nos amies dans une poussette
jouer à tag pendant l'année scolaire
se faire des bas avec notre instrument dessus
parler avec un accent très prononcé durant 15 min
garder une barre de savon dans sa bouche pour 1 min
appelle tous tes amis par des nom de fruits durant la journée
faire semblant de faire du quidditch dans un endroit publique
on pige le nom de quelqu'un et on poste une photo vraiment embarrassante de cette personne
licher son vélo
manger une petite poignée de gazon
faire semblant de pleurer dans l’école pour une raison stupide
se prénommé pendant une journée avec nos nom de gars
texter un gars ou une fille random et lui dire qu’on casse
manger un pissenlis
se crée une chanson de groupe
prendre un bain ( en maillot) les 5 ensembles
s'acheter quelques chose au brandy melville
trouver un trèfle à 4 feuilles
ouvrir la trappe du chalet
se lancer dans la neige l’hiver en maillot de bain
on se tricoter un foulard
on va au bal des finissants ensemble
on va à igloofest en gang
manger dans la cafétéria et y rester tout le dîner
aller à la salle de muscu durant un dîner
trouver le coffre fort dans l’école
aller chercher un autre flamant rose
filmer un film dans l’école
faire dérouler un rouleau de papier de toilette dans les escaliers
envoyer une fleur ou toutou à quelqu’un pour la saint-valentin
aller dans le quartier des spectacles(jpense que ces ca le nom) faire les balançoire qui font de la musique
aller nager dans une fontaine
filmer titanium
enterrer une capsule temporel les 5 ensemble
aller dire un petit coucou à miss de lemos
écouter un film d’horreur au complet les 5 ensembles
on cache un toutou dans montréal
Écrire sur des assiete ce que l'on ressent et détruire l'assiette
Faire un slow dans un lieu public
faire un jeu de guess who avec des gens qu’on connais
Copier les mannequins dans un magasin
Faire un feu en forêt pis chanter des chansons weird Flavie va vous repérer sur le tiktok que je parle merci https://vm.tiktok.com/J8qdVBU/
devenir amies avec sébastien
faire une danse pour un inconnu qui travaille dans un magasin
devenir tiktok famous sur le compte @talentedgirl08
s’habiller en mec et se promener
manger un pot de brillant en bonbon au complet
acheter des perruques de couleurs différentes et les porter en public
mettre des affiches de personnes disparues, mais c’est des personnages de film ou série
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Scénarios recherchés
Plus on est de fous, plus on rit et nous avons très envie de voir plus de fous sur Broken Mirror, dont ces amours que voici.
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Marin métamorphosé (ancien amant). Il y a longtemps, tu fus l'amant de la belle Circé, magicienne aux dons bien connus. Vous vous êtes aimé mais elle a dû te transformer en animal pour te protéger. Scénario
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Tiyanak (ami). Tu dois la vie à une petite fée qui te trouva dans la jungle philippine alors que tu n'étais qu'un nourrisson. Mais cela ne fait pas de toi un angelot, tu es une créature vorace, monstrueuse et sanguinaire à qui la fée a simplement trouvé un repas, une mère. Un beau début d'amitié, non ? Scénario
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Alice Liddle (cher ami). Alice portant jupons sur un corps de garçon, tu connus le Pays des Merveilles et ses mille tromperies, ses habitants loufoques dont un chat au sourire aussi persistant que lui était inconstant. Tu fus aimé, Alice mais que reste t-il du jeune garçon à présent ? Scénario.
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Thésée (ancien amant/ennemi). Un héros aux yeux du monde, un monstre pour ses proches mais qu'importe d'avoir abandonné une femme, massacré un pauvre être, tant que l'on est beau et adulé. Une enflure mais avec une belle gueule, il faut l'avouer. Scénario.
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Willy Wonka (associé, époux). Lorsque l'on a une passion, elle nous poursuit où que l'on aille et c'est pourquoi même ici, tu continues à concevoir des bonbons merveilleux et à chercher le prochain moyen de vendre du Rêve, avec ton épouse la Sorcière aux bonbons. Scénario.
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Icare (Ami d'enfance). Ephèbe tombé des cieux, avant de te brûler les ailes, tu fus fils d'inventeur dans un superbe palais et tu partageas tes jeux avec les princes et princesses. Voire même, avec un futur monstre. De cette amitié hors normes, que reste t-il ? Scénario
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tayebot · 7 years
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Cinq ans - la Nueva Frida
Je marche dans les rues avec un carton contenant la tête de Marcus, le chien pompier de la Pat’Patrouille et les passants me regardent comme si j’étais le séide d’un Parrain s’apprêtant à terrifier un rival. C’est ton gâteau d’anniversaire, évidemment. Cela te plaît particulièrement qu’il s’agisse de la tête séparée du corps du chien et tu nous informes que toi seule pourra manger les oreilles.
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Ton anniversaire, tu nous en parles depuis le printemps. La mise à jour de ta liste d’invités fut ton arme de négociation massive à chacun de nos conflits - être ou ne pas être invité scellait notre sort à tes yeux, en fonction des joies ou des contrariétés que nous te causions. Tu voulais des château gonflables, une piñata, une chasse au trésor et une tête de chien fraîche comme gâteau. Tes désirs font parfois désordre. Ton rapport au monde s’appuie sur l’opposition, le conflit et l’imposition de tes quatre volontés. Tu ignores superbement la tactique du roseau, qui plie mais ne romp pas, pour embrasser celle du chêne, en acier trempé, comme ton caractère, qui ne fléchira ni ne cédera. Tes oukases rythment toujours nos soirées et nos week-ends, et tu éprouves une peine sincère lorsqu’elles ne sont pas suivies d’effet. Ce n’est pas faute d’argumenter. Tu emploies une rhétorique cartésiennes, bâtie sur l’enchaînement des postulats débutant par les adverbes « premièrement », « deuxièmement » et « troisièmement » - le dernier étant en général une répétition du premier argument - et tu conclues par : « voilà ! » Ite, missa est et à nous de nous démerder avec ça.
Ton sens de l’humour ne cesse de croître. Dans l’évolution permanente des surnoms, une tradition qui caractérise notre famille, je suis désormais « Papou » plutôt que « Papa Coquillage » qui me seyait davantage, parce que tu as bien remarqué que cela m’agaçait. Lorsque tes amis viennent à la maison, tu prends soin de leur préciser que je ne suis pas ton grand-père et tu éclates de ce rire sardonique qui te caractérise toujours. Tu refuses de perdre aux jeux de société, tu refuses même parfois de jouer parce que tu SAIS que nous n’allons pas te laisser gagner. Au Doodle, tu conquis plusieurs titres de championne, jusqu’à ce que nous nous rendions compte que tu inventais purement et simplement les paires de symboles que tu annonçais. Prise sur le fait, tu fus soulagée de pouvoir enfin rire de ta blague qui durait depuis plusieurs semaines.
Depuis que les friandises et bonbons sont mises à l’index par l’autorité parentale investie du pouvoir d’achat, et que des instructions draconiennes furent transmises aux nounous, parents, amis et baby-sitters, tu as disposé des planques de sucreries dans les endroits les plus inattendus : entre le matelas et le sommier de tous les lits, dans les chaussures à la cave, dans la vaisselle des grands jours. Nous ne comprenons pas quelle est ta filière d’approvisionnement en Haribo, ni qui est l’objet de ton chantage pour t’en procurer. Le soir, tu nous demandes gentiment la permission de manger « un bonbon, et un seul ». Tu nous empapaoutes, c’est certain. Tu acceptes volontiers de dormir en pyjama (à l’inverse de ton frère qui ne veut dormir qu’en slip) et tu refuses de dormir en culotte, même par température caniculaire, comme de garder tes chaussettes parce que « ça fait gonfler les pieds, on me l’a dit à la crèche » - c’était il y a trois ans.
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De la solitude de la piñata avant les coups.
Tu adores toujours recevoir de nouveaux vêtements, tant qu’ils ne sont pas roses, mais tu préfères encore, comme l’an dernier, ne pas les porter pour ne pas les abîmer. Les robes, les jupes sont évidemment exclues, il y a des choses qui ne changent pas, et pas plus tard qu’il y a un mois, tu as exigé une coupe courte de tes cheveux pour ressembler enfin à un garçon. Tu étais furieuse que je te reconnaisse sur la photo envoyée par ta mère, en direct du salon de coiffure : « c’est parce que c’est pas assez court ! ». On ne doit pas dire que tu es belle, mais que tu es beau. D’ailleurs, d’une manière générale, tu ne supportes pas que l’on parle de toi en ta présence, ça t’énerve très vite, c’est du temps d’attention détourné, que l’on s’occupe donc de toi quand tu es là et que l’on parle de toi quand tu es loin, formule de maximisation de ta présence dans nos esprits.
Tu disposes dans toute la maison des photo de nous quatre et tu énumères quotidiennement la liste des personnes que tu aimes en nous priant de bien faire attention à l’ordre. Il arrive fréquemment que le chat me devance dans le hit-parade de tes préférences. Tu as appris à faire du grand vélo mais tu refuses de freiner, tu es très à l’aise en trottinette, tu aimes courir autour du stade pour montrer à quel point tu es rapide, tu nages sans brassard, avec et sans palmes. Tu aimes dessiner, colorier, bricoler des trucs. Tu n’utilises l’iPad que pour regarder des dessins animés, les jeux vidéos ne sont pas ton kif. Ton film préféré du moment est le premier Roi Lion, suivi de Rio, l’histoire du perroquet bleu « qui a une copine folle ». Quand je m’énerve en voiture, tu me lances « Hakuna Matata Papou ! »
Certains de nos proches s’émerveillent, non sans une certaine ironie douce, de notre infinie patience à ton endroit. Je me réjouis de tes aspérités de caractère. La vie en société n’aura de cesse de t’enjoindre de te polir, de te lisser, de t’assagir au risque de te rendre atone. Il est plus facile au porc-épic de devenir hérisson qu’à la souris de se transformer en lion.
D’autant que tu dissimules bien ton jeu : je sors de l’entretien semestrielle avec ton institutrice et j’ai peine à te reconnaître dans les compliments exprimés qui peignent ton portrait. Une petite fille aimable, serviable, respectueuse, soucieuse des autres et n’imposant pas ses désirs à l’ordre du monde. Il y a au moins un élément constant entre ta vie familiale et ta personnalité scolaire : ton sens de l’humour, remarquable insiste ta maîtresse, pour une enfant de ton âge. Il paraîtrait même que tu maîtriserais le second degré et l’auto-dérision, « dans des limites acceptables » précise l’instit’. Ta mère a rigolé. Sur ce point, tu serais exactement comme ton père.
Je ne vois pas du tout ce qu’elle entend par là.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans.
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans.
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cequilaimait · 7 years
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Akémi – 5. Compétition et vacances
The Gardian Fire (12:27) : Salut Akémi ! Alors, ta recherche de trésor, ça a avancé ? :D
Akéchou (19:29) : Salut ! Non, pas du tout T_T J’ai passé toute mon année à chercher, mais je n’ai rien trouvé -_-‘ J’en ai marre ! En plus, là, je n’ai pas trop le temps d’y penser… Entre la fin d’année, le brevet et tout… Je vais participer à un tournoi de base-ball, donc on multiplie les entraînements. Avec le Kendo en plus, ça me prend tout mon temps libre…
The Gardian Fire (12:29) : Ah ah ah ! Et le mec qui t’avait fait ce poème, c’est bien le brun dans ta liste d’amis sur Facebook ? Celui qui a commenté ton dernier statut à propos des fleurs de cerisiers ?
Akéchou (19:30) : Ouiiiii ! <3 C’est Aaron <3. Il a fait un compliment sur les photos que j’avais prises à Osaka <3 Trop gentil <3. C’est un con, j’le déteste ! Il m’a abandonné ! Pour la peine, j’crois que je vais me faire bonze. Ça m’irait bien, le crâne rasé, non ?
The Gardian Fire (12:31) : Je vois… Non, ça ne t’irait pas ! Ton Aaron, il vient de m’envoyer un message me demandant d’où je te connaissais :D. J’ai pas encore répondu, mais en fouillant, je viens de réaliser quelque chose de particulièrement intéressant à son sujet…
Akéchou (19:31) : Quoi ? Quoi ? Quoi ? Que c’est un sale con qui m’obsède avec son poème à la con ? :@
The Gardian Fire (12:33) : Non, mais d’après Facebook, on a plusieurs amis en commun (dont toi, forcément…) Il connait des gens que je connais, Je crois que lui et moi, nous sommes destinés à nous rencontrer. Et si mon intuition est bonne, nous partageons quelque chose d’important en commun… (mais j’peux pas l’ajouter sur Facebook comme ça, le quelque chose en question s’en rendrait compte…)
Akéchou (19:34) : Mhhhh, j’peux lui dire de t’ajouter sur Skype, plutôt :o Son compte, c’est « Aar’o-the-wisp ». Mais en échange, j’veux un indice sur son poème ! L’année dernière, tu m’avais dit que tu pensais que le Mon doré avait la forme d’un cercle… C’est quoi, ce cercle ? J’ai cru à l’emblème du clan Tokugawa, mais ça marche pô è_é.
The Gardian Fire (12:34) : Oula, c’est super vieux ! Attends que je me souvienne… Non, tu n’y es pas du tout ! Je persiste et signe, c’est bien un cercle, mais si je t’en dis plus, j’te donne la réponse…
Akéchou (19:34) : Mais comment tu peux en être aussi sûr !
The Gardian Fire (12:35) : Parce que je suis un artiste, moi, môssieur ! :D C’est une histoire de couleur ! Et les couleurs, ça se dessine ;-). Bon, pour t’aider : ton trésor revient encore et encore bien qu’il ne puisse pas être trouvé tout le temps, mais seulement à un moment précis ! Après, je crois qu’il voulait que tu l’observes d’un point de vu bien en particulié, mais ne me demande pas où, je n’en ai aucune idée ! Bonne chance !
 « Sanshin ![1] »
Trente-trois degrés à l’ombre. Plus encore sous le soleil. La chaleur étouffante qui s’était emparée du terrain n’empêchait pas les adolescents de se donner à fond. La pelouse à moitié desséchée s’était dotée d’une teinte entre le vert et le jaune. À chaque roulement, les joueurs s’aspergeaient copieusement le crâne d’eau gelée. Seul le chant et grésillement de quelques cigales venait parfois couvrir les cris de joies ou les coups de gueules des remplaçants et entraîneurs. Une très légère brise détournait parfois les balles en l’air. C’était déjà le troisième tour du tournoi d’été.
Au premier et deuxième, Akémi et son équipe avaient eu la chance de rencontrer des adversaires à leur portée. Le coach avait naturellement aligné sa batterie préférée dès le début de chaque rencontre. Jean, normalement en première base, était chargé de remplacer Akito en milieu de partie pour qu’il s’économise, avant de faire son retour sur le monticule pour clore le match. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, les deux coéquipiers avaient acceptés d’échanger leurs postes plusieurs fois pour le bien du groupe. En dehors des matchs, ils ne se parlaient plus. Mais l’un et l’autre avaient plus la victoire à cœur que leurs différends.
Accroupi derrière l’attaquant, Akémi s’appliquait toujours avec soin. Il considérait de sa responsabilité d’empêcher tout vol de base et se donnait un mal de chien à anticiper sur la stratégie des adversaires. Plusieurs fois, il avait demandé à Akito de lancer à l’extérieur de la zone de prise, pour déstabiliser les batteurs ou provoquer des fausses balles. Le plus agréable avec le vietnamo-japonais était sa maîtrise de plusieurs types de lancés : être capable d’envoyer des courbes, des fourchettes et même une très étrange fronde particulièrement déstabilisante compensait la lenteur de sa rapide. Quand il faisait ses signes, Akémi avait l’impression d’être un joueur de Shogi professionnel préparant ses attaques plusieurs coups à l’avance. Quand Jean lançait, par contre, il laissait la tactique au placard et se concentrait sur une seule tache : récupérer les boulets de canon à géométrie variable que lui envoyait son camarade. Certains lui avaient même causé quelques bleus, mais la douleur n’était que peu de choses à côté de son sens du devoir.
Son équipe avait ainsi remporté le premier match huit à cinq et le deuxième onze à dix. Les cris d’encouragement d’Ydaï dans les tribunes n’avaient pas servi à grand-chose, mais avaient été plutôt bien accueillis. Tous les clubs n’avaient pas la chance d’avoir un fanclub, quand bien même il n’était composé que d’une seule personne qui hurlait un bandeau noué au front en faisant s’entrechoquer deux bouts de bois.
Puis le troisième match était arrivé, celui que le coach redoutait le plus, et de loin. Les adversaires du jour provenaient d’un très bon collège qui se qualifiait souvent pour les nationales. À côté, son club associatif faisait office de petit poucet. Pourtant, l’espoir était permis. Un match de base-ball se joue toujours en plusieurs manches. Solidité en défense, agressivité en attaque, il suffisait que tout le monde se sente concerné pour qu’un miracle se produise.
Malheureusement, il fallait parfois aussi compter sur le destin. Lors de la deuxième manche, Akito sentit son épaule le faire souffrir. Dès la troisième, il demanda un remplacement qui ne devait intervenir normalement que lors de la quatrième ou cinquième. Cette après-midi-là, il ne revint jamais sur le monticule. La douleur, causée par une bête tendinite contractée à l’entraînement était trop forte. Fièrement, il avait refusé d’en parler au coach en pensant qu’elle ne la gênerait pas pour lancer. Un faux mouvement avait presque bloqué son bras, et ce fut en larmes, une serviette sur la tête, qu’il assista du banc à la fin du match.
Même tous les efforts de Jean ne suffirent pas à empêcher le naufrage. Son style de lancer faisant appel à toute sa force était très exigeant et rapidement éreintant pour l’organisme. S’il était particulièrement efficace sur de courtes manches, plus elles duraient et se succédaient, plus ses balles se faisaient lentes. De par son incapacité à faire varier leur trajectoire, ses adversaires arrivèrent rapidement à déjouer ses lancers, et Akémi ne put qu’assister impuissant à leurs nombreux coups gagnants sans rien pouvoir y faire. Le match se termina sur trois strikes, ceux qu’il subit alors qu’il était à la batte. Mais même s’il avait réussi à frapper, cela n’aurait rien pu changer à la situation. L’écart en point était déjà trop important. Son équipe était éliminée.
Après le match, personne n’osa vraiment prendre la parole. Personne ne chercha à rejeter la faute sur qui que ce soit. Même Jean pleura. C’était la dernière fois qu’ils jouaient tous ensemble, et même lui ressentait quelque chose de douloureux. En seconde, il rentrerait en France. Il en était sans doute fini du base-ball pour lui. De son côté, Akito fut inconsolable. Il culpabilisait et prenait sur son compte la défaite collective. On lui avait fait confiance et il avait déçu ses partenaires. Même si personne ne le pensait vraiment, les langues ne se délièrent pas pour le réconforter. La défaite avait été trop cruelle. Seul Akémi se jeta dans ses bras pour s’excuser :
« Je suis ton receveur ! C’était à moi de me rendre compte que tu avais mal ! »
La scène, étrange, stoppa les larmes d’Akito. Avec cette tendre chose à califourchon sur ses cuisses et la tête collée contre sa poitrine, il était bien trop étonné et gêné pour chialer. Finalement, après quelques secondes d’hésitation, il fit les deux seules choses qu’il avait vraiment envie de faire : serer contre lui le pauvre idiot qui lui servait de partenaire et lui embrasser nerveusement le front.
« Baka ! »
L’avis des médecins fut assez tranchant : la petite tendinite était en réalité assez grosse. Akito se vit conseiller beaucoup de repos et une pause dans son activité sportive jusqu’à la rentrée. Frustré et son bras en écharpe, il passa plusieurs après-midis chez Akémi avec Ydaï et Cécile. Ensemble, les quatre camarades s’organisèrent des sorties au zoo, au cinéma et à Akihabara. L’adolescent aux yeux de chats voulait absolument envoyer quelques gâteaux et bonbons nippon à Aaron, en Suisse.
« En Suisse ? Mais il n’était pas censé être en France, celui-là ? », demanda Akito avec un certain dédain.
Akémi répondit par un silence. Tout juste tourna-t-il la tête de gauche à droite plusieurs fois. Son cher camarade déménageait encore une fois, comme si souvent dans sa vie. Et une fois encore, il laissait quelqu’un derrière lui. Heureusement pour les nerfs du Franco-japonais, leur discussion à ce sujet n’avait eu lieu qu’après l’élimination de la compétition de base-ball, sans quoi il aurait été incapable de jouer.
Le quelqu’un en question s’appelait Kilian. Il était blond et plutôt mignon. Aaron disait de lui qu’il était gentil, un peu béta mais pas idiot, généreux et très naturel. Il en était tombé amoureux dès le premier regard, avant que ne commence un jeu du chat et de la souris de plusieurs mois. Leur relation affectueuse avait été officialisée peu avant leur séparation, à cause d’une nouvelle mutation de Gérard, le père du brunet.
En apprenant la nouvelle par webcam de la bouche même du principal intéressé, Akémi avait beaucoup pleuré, autant de joie que de tristesse. D’une certaine manière, il était rassuré et heureux de voir qu’Aaron avait tracé sa route et s’était autorisé ce type d’aventures particulières. C’était ce qu’il avait toujours souhaité. De l’autre, il aurait naturellement préféré être 1’un des principaux protagonistes de cette histoire. En être exclu lui avait fait mal et, surtout, réaliser qu’en deux ans, ses sentiments n’avaient pas changé d’un pouce. Son cœur s’était emballé. Doucement, il avait refermé son écran d’ordinateur et été allé se coucher, sans réussir à trouver le sommeil. Toute la nuit, il avait chialé la tête collée à son édredon. Puis, le lendemain matin, il avait relu en boucle une cinquantaine de fois le poème qui lui était destiné. Rarement le « petit joyaux » s’était senti aussi mélancolique. Aaron avait continué à vivre de son côté, là où lui se sentait toujours bloqué dans le passé. Il était encore prisonnier de ses mots. Résoudre l’énigme lui semblait être la seule solution de s’en libérer.
En aout, comme l’année précédente, Akémi se rendit en vacances avec sa sœur sur l’île de Miyajima, où l’attendait son grand-oncle Ohjiro et son auberge. Il y allait l’esprit léger, en attendant de rentrer en seconde.
Pendant son séjour, l’adolescent passa le plus clair de son temps à flâner dans les rues en Yukata, à nourrir les daims, à observer le paysage, à manger des glaces et à se détendre dans le rottenburo. Une serviette pliée sur la tête, il se plaisait à flotter sur le dos dans un bain sulfureux bouillonnant après s’être frotté, savonné et rincé à la douchette. Tous les soirs, c’était le même rituel. Complétement nu comme le voulait la tradition, il laissait sa peau de jeune garçon en pleine puberté respirer. Lui aussi commençait à changer. Sa voix n’était plus aussi douce qu’avant. Une certaine pilosité naissait près de son entre-jambe, ce qu’il trouvait particulièrement disgracieux. Il grandissait. Heureusement, son épiderme restait doux, son visage avait toujours des airs enfantins et son sourire était toujours aussi charmeur. De mignon, il avait l’impression de devenir beau. Avec ses airs d’idoles, il pensait même pouvoir s’inscrire dans une agence de mannequins au lycée, devenir une star de la chanson ou du doublage et le fantasme gay de toute une génération d’adolescentes bercées au yaoï et au shonen-aï. Réalisant à quelles absurdités il était en train de penser, il expulsa tout l’air de ses poumons jusqu’à ce que sa tête s’enfonce sous le liquide bouillant. Là, il resta bien une vingtaine de secondes le visage sous l’eau à ne penser à rien d’autre qu’à une petite musique qu’il aimait tant. Il ne risquait rien. Tout autour de lui, il y avait toujours du monde : des enfants s’amusant à chahuter sans habits pour les restreindre ; un vieux monsieur aux traits souriants et au corps marqué par le temps et les cicatrices ; un gaijin un peu gêné à l’idée de se dévêtir en public mais suffisamment curieux des coutumes locales pour s’exécuter ; un bel adolescent qu’Akémi préférait ne pas regarder dans les yeux ni dans l’entrejambe, ce qu’il aurait bien aimé faire pourtant… les bains vivaient, et lui, il somnolait en apnée. Une main l’attrapa par l’épaule et le tira hors de l’eau.
« Aké-chan, arrête de plonger ta tête, tu vas prendre un coup de chaud et tu risques de t’évanouir ! »
« Pardon, Ohjiro-Oji-san ! J’vais faire attention… Mais, tu m’as surpris, c’est rare que tu viennes dans le bain aussi… »
Le visage souriant, le vieil homme caressa la tête du jeune garçon. Il était vrai qu’en tant que propriétaire de l’établissement, il ne profitait des installations que tard le soir, après sa journée de travail, quand les clients dormaient déjà. Mais là, il avait une bonne raison de déroger à sa règle routinière : passer un peu de temps avec son petit-neveu et profiter de sa présence avant que ce dernier ne rentre à Tokyo. Cet enfant, le petit-fils de son frère, lui était particulièrement important. Il l’avait toujours été, depuis son plus jeune âge. Le vieil homme l’adorait, tout comme il adorait le pays dont il était à moitié issu, la France. Les traits de l’adolescent lui rappelaient toujours d’intenses souvenirs, ceux où, jeune, il avait parcouru le monde.
Ohjiro Takamura était né à Hiroshima, quelques temps après la seconde guerre mondiale dans une ville en pleine reconstruction. Même si son clan était originaire de l’île de Miyajima, l’homme n’avait pu y voir le jour. En vertu d’une règle sacrée, il était interdit d’y naître et d’y mourir. C’était pourtant là, à l’ombre du mont Misen et des érables qu’il avait passé son enfance, dans l’auberge familiale dont il avait aujourd’hui la propriété. Pour lui, autant le torii flottant que la Pagode Goju-no-to avec ses cinq étages et sa couleur rouge éclatante faisaient partie des plus belles choses au monde. Ce ne fut que jeune adulte qu’avec son frère, il avait quitté son île. Ensemble, ils voulaient découvrir l’Europe et sa gastronomie, dans l’idée de ramener au pays de nouveaux plats capables de séduire les touristes. C’était avant tout une excuse que les deux jeunes hommes avaient trouvée pour convaincre leur père de financer leur expédition, dès la fin de leurs études. Ohjiro s’était passionné pour l’Histoire, notamment celle moderne de son pays, pour obtenir des réponses sur la guerre, celle dont ses parents ne voulaient jamais lui parler mais qui pourtant les avait touchés dans leur sang et dans leur chair. Ses pérégrinations l’avaient mené à Londres, Milan et surtout Paris. Là, il était tombé triplement amoureux : du coq au vin, des œuvres d’un artiste japonais nommé Takanori Oguiss qu’il avait fréquenté sur la butte Montmartre et de Jeanne, une jeune étudiante un peu folle et révoltée qui lui avait appris deux choses : que le français était une langue magnifique à manier et qu’on trouvait toujours la plage sous les pavés.
Puis, apprenant que son père était gravement malade, Ohjiro était rentré en laissant ses amours derrière lui mais en gardant toujours une certaine tendresse pour ce pays dans lequel il avait passé ses plus belles années. Puis il s’était marié à une amie d’enfance, un mariage qui s’était terminé dans la douleur en 1995. Quelques années plus tard, lorsque naquirent tour à tour Cécile puis Akémi, symboles involontaires de l’union des deux pays les plus chers à son cœur, il s’était laissé à une larme et avait ressorti le vieux Bescherelle qui lui avait servi à apprendre quelques conjugaisons compliquées et dans lequel il avait conservé quelques lettres et mots doux. À chaque fois qu’il observait le visage de son petit-neveu et de sa petite-nièce, c’était toujours la même tendre mélancolie qui s’emparait du corps du vieil homme. Il les adorait. Surtout le garçon, en fait, qui à ses yeux, ressemblait trait pour trait à l’enfant qu’il aurait eu si seulement il avait épousé Jeanne. Il avait son sourire en tout cas.
Profitant de ce bain commun, l’adulte et l’adolescent discutèrent beaucoup. Ohjiro adorait poser des questions, en français, sur les études que suivait Akémi. Ce dernier, poliment, répondait tantôt dans la langue de son père, tantôt dans celle de sa mère, et parfois, il mêlait même les deux dans la même phrase. Ce qui l’avait le plus marqué cette dernière année avait été la défaite en base-ball, devant le voyage à Osaka. De fil en aiguille, il en arriva à évoquer le poème d’Aaron, qu’il déclama par cœur. C’était la première fois qu’il en parlait à un membre de sa famille autre que sa sœur, d’ailleurs. Tout ce qui touchait à son orientation et à ses amours lui semblait tabou. D’abord surpris par certaines révélations murmurées la bouche à moitié sous l’eau, Ohjiro haussa les épaules. Il était bien trop vieux pour juger les goûts et couleurs de son petit-neveu. Et puis, dans la famille, c’était un secret de polichinelle. Sa tentative de venir au collège en jupe en cinquième avait fait le tour de toutes les oreilles de l’île. Akémi le rassura sur ce point : il n’avait plus du tout envie d’être une fille, il ne l’avait même jamais vraiment souhaité. Cela avait été pour lui avant tout un moyen d’attirer l’attention d’un garçon qui semblait à l’époque ne s’intéresser qu’à l’autre sexe. Aaron. L’idiot qui lui avait écrit ce foutu poème. Demandant à l’entendre une nouvelle fois dans le détail et qu’on lui traduise en japonais certains mots qu’il n’avait pas entendus depuis bien longtemps, Ohjiro ouvrit béatement la bouche. Akémi interpréta cette réaction comme une indication que son grand-oncle ne comprenait strictement rien. Soupirant, il s’en alla à ses dernières hypothèses en tapotant de la main sur la surface de l’eau.
« Les fines particules blanches, iceberg… Au début, je pensais qu’il parlait juste de la couleur, mais en fait, ça serait plus logique qu’il parle de neige. Du coup, p’têt qu’il veut que j’aille à Hokkaido en été… Mais même, c’est grand, Hokkaido ! »
Perdu dans ses pensées, Ohjiro n’écouta pas vraiment ce que racontait l’adolescent. Il était trop occupé à se répéter certains passages. Ce ne fut qu’une fois sûr de lui qu’il s’écria :
« OKINAWA ! »
Complétement surpris, Akémi glissa et s’enfonça dans le liquide bouillant. En en ressortant la tête, il dévisagea le vieil homme et lui demanda de s’expliquer ! Là, il ne voyait pas du tout quels indices pouvaient mener à l’archipel le plus au sud du pays où les mariés allaient souvent passer leur lune de miel à cause de la mer et du soleil. Ne pouvant s’empêcher de rire, Ohjiro éclaboussa son petit-neveu pour l’énerver. Ce ne fut que lorsqu’Akémi fut rouge comme une fraise qu’il accepta de lui expliquer d’où venait sa fulgurance :
« Sur l’iceberg foulé par les Marines ! The United States Marine Corps ! Les soldats Américains pendant la guerre du pacifique ! C’est loin, mais je me souviens avoir étudié ça quand j’étais jeune… Iceberg était le nom de l’opération pour le débarquement à Okinawa ! »
[1] Strike out en japonais. Quand un joueur, au baseball, est sorti après trois lancers sans avoir touché la balle.
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bulbivy · 7 years
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chapitre 2 La préparation étant terminée, nous descendons dans le salon. L’apéritif commence dans une bonne ’ambiance Je suis comme un poisson dans l’eau, ses amies sont vraiment gentilles et charmantes. L’ambiance est enjoué le champagne facilite le contact.  Eva met de la musique et commence a danser. Elle est hypnotisant dans cette tenue avec son regard de vampire. Les serveurs remplissent les verres aussitôt qu'ils sont vides. Les filles proposent un jeu. Le jeu est le suivant je dois faire un cunnilingus a toute les filles et celle qui résiste le plus pourra me donner un gage en rapport avec leur personnage. Bref je suis perdant perdant. Eva s’allonge les filles lancent le chronomètre. Ma langue lèche sa chatte déjà chaude, du liquide sans échappe elle jouit comme une chienne. Eva essuie délicatement ma bouche. Suivante c’est au tour de Belle, Barbie, Cléopâtre. Les employés font comme si tous était normal. Eva demande aux filles de faire le classement pendant ce temps l'une des esthéticienne arrive et commence de à retoucher mon maquillage, il faut dire que j’ai chaud je transpire. Elle me tartine de fond de teint, de poudre, elle enduit encore mes cils qui sont lourd et remplis de mascara, rajoute du fard a paupière et enduit mes lèvre d’un rouge a lèvre plus foncé et mat. « Parfait un peu chargé mais parfait la soirée est loin d’être fini » me dit-elle en filant Que me resserve cette soirée, je suis déjà bien alcoolisé, ma tête tourne, et se serre taille m’épuise et mes talons ont eu raison de mes pieds..,, L'esthéticienne retouche également le maquillage des filles. Les filles me regardent et me sourient. J’ai chaud, j’étouffe. Je vois barbie, cleopatre et belle danser puis et les résultats tombent : Dernière Cleopatre , 3eme Barbie, 2 eme Belle et 1 ere Eva Cleopatre décide de commencer son gage tout de suite. Elle me déguiser en Cleopatre comme elle, ce soir je dormirai comme une momie. Elle veut me momifier aussi. Bizarre mais en liens avec son personnage. Je pars donc en compagnie de Cleopatre direction le salon de beauté au deuxième. les stylistes et les esthéticiennes sont déjà au travail. Je quitte mon costume de catwoman ainsi que le maquillage et les accessoires qui vont avec. Après un long demaquillage et le retrait de ma perruque, je retrouve un peu mon visage. malgrées extensions de cils, mes ongles acrylique qui sont bien présents . Les styliste présentent différents costumes et accessoires. Après plusieurs essayages Chloé opte pour une robe blanche moulante très serré qui fini en entonnoir. Des bijoux et de nombreux colliers s'ajoutent à ma robe. Pour mes chaussures se sera des sandales à talons évidemment( 12 cm ). C'est l' heure du maquillage, Chloé souhaite que mon teint soit foncé limite dorée. Les maquilleuses s'exécutent. Après 40 minutes de préparation , je découvre le résultat. Mon teint est très halé, mon regard est dessinée à eye liner noir avec un dégradé bleue et dorée. Mes sourcil sont dessinés et mes lèvres sont parées d'un rouge brillant. Je porte une perruque noir coupé carré avec des tresses. Chloé est ravie de ma transformation. Nous rejoignons les filles afin de leur présenter mon nouveau look. Après plusieurs photos pour alimenter mon nouveau compte Instagram, nous passons à table. Apres plusieurs heures, le moment du couché arrive. Je suis entouré de ses dames et se sera en serre-taille et sous vêtement que je serai momifié. Elles me conduisent dans la chambre et Eva arrive un carton remplit de bandelettes larges de 15 centimètres. De plus elle porte également une espèce de mors et un masque pour la vue. Chloé me pose le mors dans la bouche et l’attache avec un petit cadenas. Ensuite Eva pose le masque sur mes yeux et des bouchons dans les oreilles. En quelques secondes je perds toute notion de temps et d’environnement. Le reste de la préparation je le sent, ma tête mes bras mes jambes sont enveloppé minutieusement dans le tissu. Je sens que l’on resserre mon serre-taille je suis a deux doigt de l’étouffement. Puis elles recouvrent mon corps et solidarisent l’ensemble avec mes pieds et mes jambes collés ensemble, et mes bras le long du corps. Quelques minutes plus tard, je suis une vrai momie, incapable de bouger, de parler de voir et d’entendre. Je sens qu’elles me soulèvent et m’allonge sur le lit. Puis m’attache sur ce même lit, prisonnier sourd et aveugle. Après un certain temps je sens une main ouvrir la cage. Que vont-elles faire de mon sexe. Une main commence a branler mon sexe. Puis je sens qu’il pénètre dans une chatte, un mouvement de va et vient se fait sentir. J’ai de plus en plus chaud avec toutes ses bandelettes sur moi plus l’activité sexuel qui se déroule. J’essaie de communique mais aucun mot ne sors de ma bouche a cause du mors. Le va et vient cesse puis reprend mais avec une autre chatte ou position et cela a 4 reprises. Je fini par m'endormir. je sens enfin de l’air, elles m’enlèvent les bandelettes autours de la tête ainsi que les bouchons et les masque… mais pas le mors Chloé me regarde et dit « Reste muet mon pauvre petit chat en plus tu es tout salie et transpirant. Dans le miroir je vois mon reflet, je suis affreux, le maquillage de mes yeux ont coulé, j’ai bavé avec le mors et mes cheveux sont en bataille. Une vraie momie… Les filles me descendent au salon, et m’installe sur le canapé. J’essaie de communiquer a travers mon mors mais c’est dur. Barbie arrive « pauvre petit chat c'est à mon tour maintenant, le pari et la transformation continue » « Tu as soif ? » j’acquiesce. « Tu as faim »’j’acquiesce doublement Je vois l’heure sur la pendule, il est 6h du matin et elles ne semblent pas fatiguées vais d’abord te relooké et après je te donne un bon repas.
Les filles m’enlèvent les bandelettes et le mors, quelle joie. Je retourne au salon avec Barbara cette fois. Je vais vivre une vie de barbie pour 24h. Les coiffeuses me retire ma perruque avec difficulté vu la quantité de colle que Chloé avait mise.
Elle m’installe sur la chaise est l’incline. C’est repartit pour le balaie du make-up, les esthéticiennes n’utilisent pas les même produit que Chloé ou plutôt les mêmes couleurs. La poudre du fond de teint, des fard a paupières bleu claire. Elles ajoutent des lentilles des bleues plus grosse. J’ai droit également a des faux cils haut et bas et beaucoup de mascara bien sûr. Les coiffeuses arrivent avec tout un tas de mèche de cheveux blond platine. Il s'agit d extensions de cheveux que les coiffeuses me fixent. "Que me font elle ? C'est un peu trop la ? " " je prends ta requête pour un abandon ? Une semaine dans la peau d'une femme c'est ça le pari. Les femmes ont des cheveux donc toi aussi." La transformation se poursuit. Après un long moment et de nombreux clips je me retrouve avec une importante chevelure blonde en partie. Mes vrai cheveux bruns font contraste avec les extensions. Sous les ordres de Barbara les coiffeuses entreprennent une teinture blonde platine pour uniformiser le tout. "NON c'est trop là, une teinture blonde" proteste-je Je décide de me lever, Barbara appelle les esthéticiennes et les stylistes qui me maintiennent plus ou moins immobile. J essaie de me débattre mais c'est peine perdu. Elles sont en sur nombre. La teinture est posée malgré tout. Je retrouve mon calme, je suis piégé. "C'est pas très sympa" ajoute Barbara Une esthéticienne me vernit mes doigts en rose flashy. Barbie relève la chaise et m’applique des fils sur le contour du visage puis elle tend ses fils et la peau de mon visage aussi. Mes yeux sont a la fois tiré vers le haut mais aussi sur les coté elle les fixe sous mes nouveau cheveux et le tour est joué. elle enduit les lèvres d’un produit qui pique terriblement. J’ai les lèvres en feu
« C’est pour repulper tes lèvres ma belle, bientôt tu ne sentiras plus tes lèvres »
Effectivement mes lèvres s’engourdissent, j’ai du mal a parler. Barbara sourie et laque mes lèvres d’un rouge a lèvre rose bonbon.
« Debout et admire toi » me dit Barbara/p>
Je m’avance vers le miroir , incroyable je suis une Barbie, grand yeux bleu, fardé, lèvre gonflé et bien rose, teint clair, chevelure longue et blonde. Je ne me reconnais pas en plus les fils sont redessiné mon visage qui a l’air plus fin. " une vrai Barbie ne plie ni les bras ni les jambes " ajoute Barbara Les esthéticiennes arrivent avec des lattes de bois et les fixent sur l arrière de les jambes, au niveau de la pliure. Mes jambes restent donc droites, les lattes m empêchent de plier. L' opération se poursuit sur mes bras également. Plusieurs couches de collant viennent cacher les lattes de mes jambes. Le styliste m'aide à enfilé une robe rose bonbon en latex. Pour mes bras une veste en jean cache les lattes. Je me retrouve totalement figé. Les coiffeuses reviennent pour me coiffer. Mes cheveux sont très longs ils descendent jusqu'à mes fesses. Les coiffeuses réalisent une tresse longue. Barbara m’aide a enfilé mes chaussures vu que ne peut plus plier mes jambes et mes bras. Des escarpins de 15 cm. Je suis relativement figé le corset le serre taille, les lattes Elle tourne le miroir vers moi, je suis une vraie Barbie très belle je ne me reconnais pas. Quel travail accomplie. Je peine a marché Barbara me suggère de m’entrainer un peu et en profite pour descendre.
En bas j’ignore ce qui ce passe depuis ma préparation. Je regarde mes yeux bleus et mes long cils mes lèvres pulpeuses. Nous retournons dans la salle à manger pour le repas. Les filles applaudissent à mon arrivée.
Barbara nous interrompt et m’invite a passer dans la salle à manger. Éva me tient par le bras, les escarpins n’aident en rien a garder mon équilibre. Éva m’installe sur une chaise, je suis assis bien droit grâce a mon corset, mes jambes également.
Éva et Chloe se placent de chaque côté de moi et me soutient car je ne peux pas plier les bras. Elles vont m'aider à manger. Éva attrape mon poignée et Chloe « Ça va aller détend toi mon petit chat
CLIC !  CLIC !
Ce bruit je suis attaché par des menottes, que me font –elles, je suis prisonnier, pris au piège attaché comprimé .
Eva et Chloé m ’embrassent avec malice.
Que me préparent-elles ? Barbara arrive avec une sorte de roue avec 4 couleurs dessus et une flèche noire. Isabelle porte un plateau et le dépose sur la table. Barbara dépose une bassine devant moi.
« C’est l’heure du repas mon petit chat » ajoute Barbara
« je vais t’expliquer, chacune a notre tour nous allons faire tourner la roue et la couleur désignera ce que tu vas manger c’est plus drôle qu’un repas classique.
Le rouge c’est une cuillère de Nutella, le vert c’est 2 nounours en guimauve, le jaune c’est la crème pâtissière et le bleu c’est le punch ou champagne. Je soupir ce n’est pas un repas c’est des choses que je n’aime pas beaucoup, mais je ne peux pas faire la fine bouche.
Barbara commence, la flèche tourne et s’arrête sur le rouge , La Cuillère de Nutella.
J’ouvre la bouche Barbara introduit la cuillère a soupe bien garnie de Nutella. C’est pâteux, je peine a avaler, ça colle terrible mais j’ai a peine le temps de finir ma bouche que Chloé lance la roue. Elle me donne une autre cuillère, puis Isabelle tend une paille avec du Punch, Éva prend la poche de crème pâtissière et remplie ma bouche a ras-bord. De la crème s’échappe un peu de mes lèvres et coule le long de mon visage.
Les filles ont l’air de bien s’amuser, je suis leur poupée et elles me nourrissent.
Le deuxième tour commence je m’en sors bien j’ai plus bu que mangé. Le 3 et le 4 tours he tombe sur quasiment que du Nutella. Et voila c’est le 5 ème tour qui commence. J’informe les filles que je commence a être plein et surtout écœuré. Personne ne s’intéresse a mon propos. Ce tour me fait beaucoup de mal je tombe que sur le Nounours en guimauve, ma bouche est pleine je peine à mâché. Mes lèvres sont recouvertes de chocolat . Je tente de communiqué et de dire que j’en peux plus et que je veux que l’on me détache . J’ouvre a peine ma bouche que les filles s’amusent a la remplir elle n'utilisent plus la roue. J’ai soif d’eau pas de punch ni de champagne mais elles ne m’offrent uniquement cela. Je ne compte plus les tours , 8eme ou 9eme je ne sais plus je sais juste que c’est du gavage.
D’un ton sec je leur dit « Stop arrêter de me gaver, c’est plus marrant et détacher moi »
Les filles s’arrêtent me fixent, elles sont terriblement surprises de ma réaction. Je me débat sur ma chaise je bouge la tête et les mains pour essayer de me détaché. Après plusieurs minutes de lutte sous le regard de ses dames. Je capitule, j’ai trop chaud je dégouline, je sens des goutes coulé le long de mon visage. Ma tête tourne a cause de l’alcool et je commence a avoir mal au cœur et au ventre. Chloé arrive avec une nouvelle cuillère de Nutella, je refuse d’ouvrir la bouche, elle insiste mais je tourne la tete et la cuillère termine sur ma joue.
« Tu as fini ton cinéma » me demande Barbara d’un air contrarié, regarde toi tu t’es mis dans un état.
Le jeu n’est pas fini c’est moi qui fixe les règles, ajoute Barbara et nous allons passer au plan B puisque tu refuses de manger normalement.
Je regarde Éva qui hausse les épaules. Barbara ouvre un placard et sors un entonnoir. C’est une blague elle va me gaver comme une oie.
Éva et Isabelle bloque ma tête avec leurs mains tout en inclinant légèrement vers l’arrière , Barbara m’enfonce l’entonnoir dans la bouche. Chloé le remplis avec la crème pâtissière. Les premières gorgée me font mal, j’ai des renvois et je pousse des petits cris comme si je m’étouffé. De la crème s’échappe de ma bouche. Je me sens comme une oie que l’on gave. J’ai les yeux qui commence à s’imbibé d’eau tellement je souffre.
Barbara retire l’entonnoir et les filles relâchent la pression qu’elles exercées sur mon visage, j’ai encore de la crème plein la bouche. Je cherche mon souffle.
Je lâche du bout des lèvres « stop j’en peu plus  j’ai le ventre qui va exploser.
Je dégouline de partout, ma nuque peine a tenir ma tête droite et cède a de nombreuses reprises. Barbara propose une pause. Ma bouche et mon menton sont couvert de chocolat et de crème. Je suis a bout de ma vie, tout tourne dans ma tête et j’ai mal au cœur et au ventre. J’ai des remonté de crème pâtissière. J’ai l’impression que mon corset va exploser. Je recrache un peu de crème. Un employé me porte une bassine. Je recrache un peu de crème dans la bassine. Ayant trop bu je sombre de nouveau. Je suis réveillé par le bruit des esthéticiennes qui arrivent n, elles ont descendu des trousses et valises a maquillage. Barbie ordonne que l on retend mon visage un peu plus L'estheticienne cherche dans ma perruque les fils tenseurs, elle les tend un peu plus que la première fois. Puis je sens des éponges, des pinceaux sur mon visage, sur mes paupières, on soulève ma paupière et on m'applique du crayon sous les yeux . Je suis leur poupée, je sens que l’on me colle des choses au ras de mes cils. Puis on m'ouvre mes yeux et je vois le mascara arrivé sur mes cils en haut en bas. Je les entends parler, puis on m’invite a me réveiller. J’ouvre difficilement mes yeux , mes cils sont lourd et collé entre eux.
J’entends Barbie dire a Éva « elles ont mis la dose de mascara on dirait »
J’essaie de parler mais je sens dans ma bouche quelque chose de dur qui m’empèche de bouger ma machoire, mon visage est figé, tiré, tendu.
Eva sourit et ajoute en regardant Barbara« elle ne comprends pas ce qui se passe,elle est toute coincée ». Belle me montre mon reflet dans le miroir, je ne me reconnait pas, qui est cette femme trop maquillée, au cils très long et recourbé chargé de mascara, mon regard est noir et  en amende comme les yeux d’un chat, mes paupières sont coloré dans les ton bleu foncé avec du blanc. Mes sourcils sont bien net et épais, mon teint est limite marron avec des joues rouge et mes lèvres immenses et coloré d’un rouge brillant . Les traits de mon visage sont tirés comme si elle avait fait un listing. Ce n’est pas moi , c’est pas possible je ressemble a une prostitué. J’ai dans la bouche une sorte d’anneau métallique qui s’étend le long de mon visage qui m’empèche de parler Je vois également une armature métallique qui remonte derrière ma tete. Chloe me dit « comment tu te trouves ?» Je ne pas répondre, j’entends Barbara qui dit que c’est l’heure de la deuxième fournée.
Que ce passe –t-il ? j’ai bien entendu, je n’ai pas le temps de bouger un cils que Éva et Belle m’attrape la tête.
J’essaie de fermer tant bien que mal ma bouche au maximum.
Barbara arrive en souriant. Tu vois cette accessoire permet d’ouvrir ta bouche a ma guise. Si j’actionne ce levier ta bouche s’ouvrira toute seule m’explique-t-elle. Elle actionne le levier et l’accessoire fait le reste, les barres en métal se déplacent et forcent ma bouche a s’ouvrir un peu plus . L’accessoire exerce une pression terrible je peux seulement balader ma langue..
D’un air amusé Barbara me lance« Alors qu’en penses-tu mon petit chat ? Ce spider est terrible » Je fais papillonner mes longs cils dans tous les sens tout en essayant de pousser des cries.
Cléopâtre prend la poche de crème pâtissière et rempli ma bouche, je ne peux qu’avaler, je régurgite un peu, je ferme les yeux mais la poche est entièrement avalée. Les filles relâchent ma tête, j’ai encore de la crème dans la bouche qui commence a s’échapper le long de mon visage. Je suis vaseux et j’ai des renvois . Je perds de nouveau connaissance Dans ma tête sa tourne à vive allure, je confonds réalité et illusion.
J’ai l’impression que mon corps est rempli de crème pâtissière. J’essaie de retrouver mes esprits et mon souffle c’est peine perdu ma tête est de nouveau bloquée, Barbara actionne le levier et ma bouche s’ouvre encore plus. J’en ai mal a la mâchoire tellement la pression est forte.
La 3 ème poche est vidée à son tour plus rapidement et facilement que la 2 eme.
Je pousse un petit cri qui n’émeut personne. Puis sombre de nouveau. Je me réveille et voit la crème qui reste dans ma bouche couler dans la bassine et le long de mon menton. Je sens la crème remonté en moi , elle est au niveau de ma gorge, elle veut sortir je gigote sur ma chaise puis je vomis. Mes yeux pleurs j’ai chaud j’ai la tête qui tourne. C’est le dernier cran mon petit chat , A peine a-t-elle prononcé ses mots que la sentence tombe, ma bouche arrive encore a s’agrandir encore.
J’ai mal la pression est immense, ma mâchoire est comme craqué en deux, je peine a ouvrir les yeux tellement j’ai mal, quelques larmes s’échappent de mes yeux.
Une nouvelle poche commence a se vider en moi. Je n’en peux plus, je suis prisonnier, piégé, je ne peux pas crié, je transpire, je dégouline, j’ai encore envie de vomir je régurgite beaucoup, j’ai d’un côté la crème qui veut sortir et de l’autre celle qui veut rentrer. J’explose, la crème sort de partout, je vomis et je perds connaissance.
J’ouvre les yeux et vomis de nouveau je suis toujours attaché mais seul cette fois ci toujours prisonnier et incapable de crier. Ma bouche est toujours ouverte mais en moi grand, le premier cran j’arrive a faire toucher ma lèvre du haut avec celle du bas, elles m’ont abandonné a mon triste sort, je sombre une nouvelle fois.
Belle dit : “une baignaide va te faire du bien ma petite Sirene”.
Je vais quitter la tenue de Barbie pour devenir Ariel la petite sirène et découvrir la piscine intérieure de la maison d’Eva. Je me dis que la piscine va etre sympa. Les employés me détachent uniquement les mains, mes jambes sont toujours bloquées et je suis toujours baillonné. Eva arrive avec des menottes et m’attachent de nouveau les mains.
Cendrillon et Jasmine me détachent les jambes et me conduisent dans la chambre.  Une fois dans la chambre Belles me détache les mains afin de me retirer la robe puis me remet aussitôt les menottes. Je porte toujours le baillon et je tente de lui faire comprendre que j’aimerai qu’elle me le retire.
Elle libère mon corps de la guêpière , elle claque des doigts et les esthéticiennes arrivent de nouveau. Elles me recouvre de fond de teint et  enduisent mon corps. Belle retire le baillon et enduit mon visage de fond de teint. Des couches épaisses qui recouvrent mes yeux mes lèvres, mes cils. Elle ne me demaquille meme pas, elle se contente de recouvrir mon ancien maquillage. Je suis une véritable tartine je dégouline de partout, les esthéticiennes tamponnent  mon corps avec de la poudre blanche qui sèche  le fond de teint.
Belle arrive avec une sorte de mini pistolet a peinture et entreprend de repeindre mon corps d’une pellicule blanche.
« C’est quoi cette machine ? un pistolet peinture ? »
« C’est un aero graff mon petit chat, cela permet de maquiller les partie du corps plus rapidement, détend toi c’est que du maquillage style body painting »répond Belle. Les esthéticienne mettent en route des sèche-cheveux et voila que le balaie commence.  Elles sèchent toutes les parties de mon corps et mon visage aussi.  Je suis sec et mon corps est lisse et unifier,  blanc comme la neige. Seul mon sexe demeure dans couleur initiale.
Belle m’enfile un soutient –gorge en forme de coquillage vert.
« Retient ta respiration » déclare Belle
Je m’exécute je sens que ma poitrine est super comprimé dans ce soutien-gorge. Elle ajuste ma poitrine qui déborde presque du soutien –gorge.            Belle m’attache les jambes avec de la  corde, elle sert fortement les cordes et réalise plusieurs nœud, elle passe même la  corde entre mes orteils je suis saucissonné. « C’est un peu trop serré quand meme je ne peux plus bouger mes jambes »Belle ignore totalement ma remarque
  Je tiens a peine debout.  Belle me pousse sur le lit et m’enfile le bas de mon costume La fameuse queue de sirène. La matière est proche de celle des maillots de bain, je peine a me glisser dedans, je suis vraiment a l’étroit  Le tissus se colle a ma peau  comme si il se rétracté, me bloqué les jambes. La queue remonte jusqu’à mon nombril je vraiment serré et comprimé dans cette accessoire. Il faut avouer que cette queue est magnifique et vraiment réaliste.Je reste assis sur le lit, Belle  arrive avec la perruque rouge et longue d’Ariel. Elle passe derrière moi, pisé un filet pour maintenir mon immense chevelure blonde. Elle me colle la perruque et la brosse pour lui donner une plus belle allure.
« Ouvre grand les yeux » dit Eva
Elle arrive aussitôt avec deux grandes lentilles bleues et me les appliquent délicatement et me vole un baiser. Puis Belle dessine les contours de mes lèvres et les remplies d’un rouge identique a celui de mes cheveux.
Elle me demande de mordre dans un mouchoir afin d’enlever le surplus de rouge à lèvre avant de m’en remettre une couche. Je réalise cette action 4 fois de suite. Elle colore l’intérieur de mes yeux en blanc et passe un trait d’eye liner noir au-dessus de ma paupière.
Belle me colle alors des nouveaux faux cils par-dessus mes anciens encore présents devenu blanc a cause la poudre.  Plusieurs couches de mascara font réapparaitre mes cils et  viennent terminer le travail.
Un peu de vernis sur mes faux ongles et me voilà prêt.
« Tu souhaites voir le résultat mon petit chat » dit Belle
« Avec plaisir, je meurs d’envie de me voir sous les trait d’une autre femme.
une esthéticienne et Belle me prennent chacune un bras et je sautille péniblement jusqu’au miroir. Je m’admire dans le miroir, une vrai sirène super sexy, les employés me portent jusqu’à la piscine car je ne peux pas marcher avec ma queue de sirène  Je suis vraiment handicapé avec cette queue.
Le passage dans les escaliers est un cauchemar les employés cogne de tous les côtés.  Nous arrivons enfin au bord de la piscine couverte. Les employés me déposent au bord de l’eau. Eva et les filles sont déjà la en maillots de bain. Elles sont toutes ravissantes, Eva s’assoie a côté de moi les filles attachent leurs cheveux et descendent doucement dans l’eau afin de ne pas mouiller leur visage et ternir leur maquillage.
« Alors mon petit chat tu me trouve comment en maillot de bain, je te plais » , me questionne Eva
Je rougis un peu  J’ai a peine le temps de commencer ma phrase Eva me pousse dans l’eau.  Je coule littéralement je bois la tasse je remonte péniblement a la surface car je n’arrive pas a nager avec ma queue. Je nage seulement a la force de mes bras. Je m’agrippe au bord et tente de reprendre mes esprits, je remets mes cheveux difficilement en place. J’essuie mes yeux pas une trace de maquillage sur la main.
Je suis surpris je regarde mes bras  la couleur n’a pas bougé, le fond de teint est toujours la.
« Waterprouf » crient les filles en rigolant
Je vois mon maquillage et tous les produits qu’elles m’ont mis résiste a l’eau. Encore une fois elles m’ont bien eu. D’abord  l’épilation puis les faux sein, les extensions de cils et de cheveux maintenant le maquillage. Ce pari est fou. Jessie d ondulé . Belle me tend la main. Je l’agrippe aussitôt en éclaboussant tout autour de moi. J’envoie des giclée d’eau sur Chloe et les filles. Leurs visages sont légèrement touché, elles semblent contrariées
.« Fais attention ou tu risque de le regretter » dit elles énervées.
Je glisse un petit désolé mais je vois bien qu’elles sont en colère Je continue l’apprentissage de ma nage avec Belle après plusieurs minutes et nombreuses longueurs j’ondule comme une sirene. Eva s’approche de moi et en profite pour me couler, je bois la tasse une nouvelle fois. Elle s’éloigne en rigolant, je me dirige vers elle et essaie de l’attraper, je fini finalement par l’avoir et c’est une magnifique tasse qu’elle boit. Ses cheveux et son maquillage prennent l’eau c’est une double vengeance pour moi.« tu vas le regretté me lance-t-elle en essuyant ses yeux dégoulinant de maquillage
Je suis mort de rire et je jubile de voir sa tête. Elle essaie de me couler de nouveau je m’accroche désespérément a Chloe qui se trouve juste a ma droite  Je l’entraine avec moi sous l’eau, je remonte a la surface et rejoint le bord pour reprendre mes esprits. Chloe me fusille du regard en sortant de la piscine. Belle annonce que l’après –midi piscine est terminé. Tout le monde sors de l’eau et pars se changer, je me retrouve seul au bord de la piscine. Je rampe difficilement hors de la piscine, les filles m’ont toutes laissé tomber. Je me retrouve en difficulté avec la queue de sirène qui m’empêche de marcher. Je les appelle, mais pas de réponse.
J’essaie de retirer cette foutu queue, après plusieurs efforts et contorsions je parviens a  m’extraire. Je vois mes jambes totalement ligotées par les cordes, j’essaie de détacher les nœuds mais cela semble impossible ils sont placé les noeuds sur le derrière de mes jambes. Pour regagner le salon je vais devoir ramper. J’arrive au escalier et commence a me hisser sur les premières marches. J’arrive enfin dans le salon je suis exténué.  Je m’allonge sur le canapé, toujours de nouvelles des filles, cela présage rien de bon.
Soudain une voix me lance « tu veux un café »
Cette voix c’est celle de Chloe , elle est dans la cuisine, j’accepte son invitation. Elle entre dans le salon avec un plateau a la main, elle porte un shorty noir  avec un magnifique corset en cuir , elle a revêtue de magnifique cuissarde en cuir a lacets. Elle s’est faite une longue tresse. Ses yeux sont bien maquillés, ses paupières couvertes d’un voile dorée et ses yeux sont soulignée par un noir profond. Enfin ses lèvres sont colorées d’un rouge brillant et luisant. elle est très sexy  Elle dépose le plateau sur la table basse, s’assoie a côté de moi et me tend ma tasse. "Tu t'ai refait une beauté "lui dis-je " je n avais pas trop le choix en même temps" Elle a l'air énervée. « Dis Chloe tu peux me libérer maintenant stp »
« Je vais demander a Belle si elle a fini son epreuve avec toi, je reviens » Je me mets en position assise, je commence a avoir chaud, je transpire légèrement je baille, mes yeux commencent a se fermer tout seul, je réalise que je me suis fait avoir, je tente de réagir mais c’est trop tard. Le café était empoisonné. Je lutte mais trop tard je perds petit a petit connaissance, ma tête est lourde. Je vois Chloe arrivé avec un sourire diabolique. Je sombre totalement.
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neonlightstories · 7 years
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Natuurlijke kleurEn
- Modification de la fiche “teach me..” of Shan Yu pour un rpg - 
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Miss me if I .. ?
Comme une nouvelle pièce à une collection j’étais né garçon, après de nombreuse filles et métamorphomage en plus, l’une de mes sœurs l’était déjà, c’est pour ça que je parle de collection, combiné de gêne masculin avec ceux d’un genre d’hybride, nés avec d’autres facultés que ceux d’une fée ou d’un banal sorcier. Est ce que j’étais fier? Pas le moins du monde, mes parents m’exhibaient à toute la famille à la moindre occasion, et pire, je n’arrivais même pas à calculer “ce don précieux” comme ils l’appelaient, un fardeau voilà ce que c’était, avec ça je me sentait obligé de faire quelque chose d’énorme plus tard, pour qu’on ne parle pas de gachi.   Un beau jour j’avais décidé que ça ne se passerai pas comme ça, rien que pour clouer le bec à mes parents, qu’ils soient un peu moins fier cette fois, des bêtises comme c’était de mise pour les enfants de mon âge, même pour un Leendertz. Heiko faisait donc le pitre, faisant rire ses sœurs ainées et les domestiques de la famille, prenant plaisir à sortir de la maison sans donner de nouvelles pendant quelques jours, mais revenait bien vite car voyez vous, il n’était pas aussi débrouillard qu’il l’aurai voulu, un rêve secret qu’on l’admire comme un grand sorcier et non comme une bête de foire qui peut faire pousser des plumes sur sa tête.
Hello teach me how having fun
Il n’avait pas plus de sept ans quand il rencontra ce jeune homme, de quelques années plus âgé que lui. Un garçon du genre souriant et serviable uniquement quand ça lui profite et lui permet plus facilement de berner qui il veut. Heiko l’avait même déjà vu voler dans un magasin sous les yeux des commerçants, comment avait il fait? Il ne pouvait pas s’empêcher de le regarder, de le suivre et d’être émerveillé par tout ce que le jeune homme faisait. Simon était le cadet d’une famille assez riche, les Van Casteel qui vivaient dans une grand maison (quoi que plus petite que ce que Heiko l’imaginait) située aux portes de la ville. Heiko eu un mouvement de recul quand il vit Simon rentrer dans cette demeure, c’était comme si un mur l’empêchait de rentrer, pas un mur de type magique pour éviter les intrus, mais bien un mur de type “tu n’a pas la même classe sociale”. Et surtout, il n'aurai jamais pensé qu'un garçon qui se donne autant de mal pour voler… soit riche. Le famille de Heiko n'était pas intéressante à ses yeux, à vrai dire elle aurait pu être la famille la plus farfelue au monde, le jeune garçon regarderai toujours ailleurs, comme l'éternel insatisfait qu'il est. Pourtant les Leendertz sont depuis des années et des fées et des sorciers, un mélange fait il y a plusieurs décennies et qui continue à se répéter, et cela provoque parfois des péripéties loin d'être intéressantes, mais seulement peu-être pour quelqu'un qui n'a pas connu ça depuis son enfance. La famille Leendertz est assez soudée malgré quelques électrons libres et rebelles constitués essentiellement des sœurs ainées de Heiko qui lui montrent un certain mauvais exemple et les oncles du côté anglais de sa mère qui ont pour fâcheuse habitude de partir souvent pour quelque jours “à l’aventure” emmenant avec eux qui voudrait bien les suivre...Mais bien sûr ils n’avaient jamais proposé à Heiko, trop jeune, trop fragile, et pas assez débrouillard.
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[...]  Il pensa que jamais Simon ne s'intéresserait à lui, cependant un Heiko de la famille Leendertz ne se laisse jamais abattre, se dit il, et il décida donc de s’arranger pour impressionner le jeune homme et gagner ainsi son amitié malgré le fait qu’il viennent d’une famille modeste qui n’avait d’après lui rien d’intéressant.Évidement vu son jeune âge et son inexpérience, il décida de voler quelques chose, sous les yeux de Simon, qui serai fort impressionné de voir quelqu'un de plus jeune réussir ce qu’il faisait de mieux.“Hé, qu’est ce que tu fabrique jeune homme?”Les cheveux de Heiko se changèrent immédiatement en un blond très clair presque blanc, ses gènes de métamorphomage qui ne l’aidaient sur ce coup là, pas du tout, alors qu’il voulait se faire discret.Évidement il s’y était prit n’importe comment et se trouva à la minute même totalement idiot. Le commerçant se rapprochait et il n’y avais pas de doute, il l’avait prit la main dans le sac. Qu’est ce qu’il se passe? Il était là, cloué au sol, impossible de bouger, de se sauver.Tout à coup quelqu'un lui saisit le poignet, ce qui acheva de rendre ses cheveux totalement blancs et l’attira hors du magasin à toutes vitesse. Complètement perdu, Heiko se laissa tirer et ils continuèrent de courir jusqu’au croisement de rue. Quand il reprit ses esprits, Heiko leva la tête, un mélange d’anxiété mais de soulagement qui se bousculaient parmi bien d’autres sentiments. Le jeune homme qui l’avait tiré d’affaire était nul autre que Simon, qui tenait encore son poignet et le regardait, essoufflé et le regard interrogateur. Heiko senti ses larmes monter, il avait vraiment honte de s’être ridiculisé de la sorte.“-Je t’écoute?” interrogea Simon d'un ton sévère. -Je… je m’apelle Hei..Hei..ko et heu… -Qu’est ce qui t’a pris? C’est un magasin ou je vole souvent en plus, maintenant il va falloir que j’en trouve un autre!-Désolée, je..je t’ai vu faire et ça m’a beaucoup impressionné, en fait.Simon lâcha violemment son poignet pour passer la même main dans ses cheveux, et ne dit rien pendant un temps, tournant le dos à Heiko qui serra son poignet libéré avec son autre main, sans savoir quoi dire ou ajouter.“-Tu sais je t’ai déjà vu me regarder, c’est flatteur, mais le fait que tu me suive peux compromettre mes affaires.“Il l’avait remarqué. Il l’avait remarqué. Le jeune garçon ne savait pas s’il devait être heureux ou honteux de l’avoir gêné, ses cheveux prirent une teinte de violet très claire.“-Je suis désolé, je.. -Si ça t’intéresse tant que ça, tu n’avais qu’à venir me voir, coupa Simon,Il passa à niveau la main dans ses cheveux et marqua un temps d'arrêt. Heiko qui était trop impressionné pour le regarder en face, trouva à ce moment un intérêt particulier à ses lacets de basket. C'était surement pour cette raison qu'il volait sans en avoir besoin, sa mère lui disait parfois que les gens riches s'ennuyaient car ils avaient tout, car entretenir un désir c'est être optimiste et vivre pleinement.“-Je peux t’apprendre si tu veux, lança Simon, comme une bombe qu’il n’avait pas envie de lâcher. Il chercha le regard de Heiko qui leva la tête et lui sourit. Ses cheveux prirent une couleur éclatante violette, ou peu être que c’était du rose.
Canaliser son énergie, rester droit en toute circonstances.
L’arrivé de Heiko à Poudlard fut vraiment très calme, sa bonne humeur habituelle l’avait aidé à très vite être intégré, apparaissant comme quelqu'un de vrai, de fiable et de courageux pour son petit gabarit.  Depuis son enfance, il à des symptômes cleptomane, mais il voit ces choses interdites comme un défi à relever, aucunement pour faire du mal ou causer du tord, capacité qu’il utilisera quand même sans hésiter si vous le contrariez car il a parfois des problèmes de libre arbitre.  Heiko aime par dessus tout le sport qui l’aide à canaliser son énergie mais de part sa morphologie pas vraiment musclée à son grand désespoir, il aurait voulu faire des sports d’équipe pour prouver à ses camarades qu’il n’est pas une demi portion mais son côté frêle et son endurance hors du commun l’a dirigé vers les sports d’athlétisme. Attendez vous à ne jamais pouvoir le rattraper s’il se met à courir, hormis avec pouvoirs magiques bien sûr, mais ça ce n’est pas fair play! Le dit “Simon” qui lui a tout apprit, dont il parle tout le temps (il faudra vous habituer) il n’a plus de nouvelles de lui depuis qu’il es rentré à Poudlard et rêve qu’un jour il le retrouvera dans les couloirs de l’école, comme si de rien était, en train de magouiller quelque chose de pas clair, comme à son habitude…  
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 Even the sun have shadows 
A force d’être toujours joyeux, rieur, comme un rayon de soleil, beaucoup peuvent se demander si...ce n’est pas tout, est ce qu’il cache quelque chose, cette bonne humeur à elle ses limites? Et bien, vous ne croyez pas si bien dire. Beaucoup de membres de la famille Leendertz se sont retrouvé à Serpentard, ce n’est pas un secret, alors quand Heiko fut envoyé à Gryffondor, les connaisseurs ont jasé, certes, il n’avait rien à voir avec ses sœurs, en surface, mais une fratrie ou bien même une famille ne pouvaient pas être à ce point le bien et le mal, le jour et la nuit, sans que l’un influe sur l’autre et ne la contamine...Hélas à ce jours, personne n’a semblé remarquer cette part d’ombre chez Heiko, il reste...irréprochable, joyeux et volontaire, malgré tout une faille persiste, comme il ne parviens toujours pas à bien maitriser son don de métamorphomage, certains on parfois cru apercevoir ses yeux se teinter de noir et son blond étincelant devenir plus sombre et terne...
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   RANDOM FACTS
x Il métamorphomage depuis sa naissance mais arrive rarement à contrôler son don, ses yeux et cheveux changent pas contre souvent de couleur selon ses émotions.
x Il a cinq sœurs et est très proche d'elles, surtout de xx qui à un an de plus et se trouve à Serpentard
x Sa famille n'a jamais montré allégeance envers aucun camp et il respecte aussi ce choix.
x Il est fan de sport mais le Quiddich n'est pas le sport qui l'intéresse le plus.
x Il possède un chat qui s'appelleSnoep(littéralement "bonbon" en néerlandais)
x Ses matière favorites sont la botanique et les potions.
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