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#1951 L'Île Heureuse
tina-aumont · 6 months
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L'île Heureuse (1951)
L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
The play was a success, the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
This was the first of many theatre performances at théâtre Édouard-VII and then the play travelled to some other French cities always having great acclaim from the public and the critics, this fact made María got real interest in doing more stage plays.
Maria Montez plays the 25-year-old Spanish dancer Carlota Goya.
Very special thanks to @74paris for sharing this program.
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blog-bishop · 6 years
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Nouvelles acquisitions (Février 2018) Rattrapage
Vendredi 02.02.18 Via Internet Boileau-Narcejac - Quarante ans de suspense - Vol.3 Bouquins Robert Laffont Contient : Delirium, L'île, Les Veufs, Récital Pour Une Blonde, Sans Atout Et Le Cheval Fantôme, Sans Atout Contre L'homme A La Dague, Trois Indispensables Alibis, Manigances, La Vie En Miettes, Trois Nouvelles Pour Le Journal Du Dimanche, Les Pistolets De Sans Atout, Operation Primevère, Nouvelles 1973-1974, Frère Judas, Scénarios non réalisés.
Boulinier Jacques Sternberg - Lettre ouverte aux Terriens Petr Kral - Les Burlesques ou Parade des somnambules
Gibert Joseph Jean Pénard - Rencontres avec René Char
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(en marge de ma lecture) Déshonneur de Benjamin Péret
Moi qui, plus jeune, aimais beaucoup les poèmes de Benjamin Péret, que je trouvais souvent hilarants, je suis tombé des nues en lisant un passage terrible dans ce livre. Je savais déjà que Péret ne pouvait s'empêcher d'injurier et de gifler un prêtre dès qu'il en croisait un, ce qui rendait André Breton furieux, s'il assistait à la scène (voir les mémoires de Marcel Duhamel, p.164) et j'avais lu son texte consternant sur la vierge Marie, un flot d'insultes ordurières, la manière la plus vulgaire et stupide de combattre la religion. (A noter : Son oeuvre est truffée de références bibliques. Anecdote amusante et peut-être éclairante : Philippe Soupault raconte que Péret venait aux premières réunions des surréalistes accompagné par sa maman.)
Dans le livre de Jean Pénard, on apprend qu'à une époque où René Char fréquentait encore Péret, il se sont retrouvés ensemble, la nuit, dans une rue de Montmartre. Soudain, Péret aperçoit un chat errant, il l'attrape par la queue, le fait tournoyer et le fracasse contre un mur. « Dans une exultation sexuelle d'assassin », précise Char (p.179).
Plus tard, Péret répand des rumeurs concernant une soit-disant relation entre Char et la fameuse Gala (compagne de Paul Eluard, elle finit avec Dali (il faut le vouloir !) Aussi sec, Eluard, qui écrivit pour elle un long poème d'amour, raya le nom de Gala pour y mettre « Liberté » à la place. Amusant, non ?). Un jour, Char n'en peut plus, il prend avec lui Roger Caillois comme témoin, et se rend chez Péret. Là, il lui administre une correction, (correction que Char aurait déjà dû lui infliger lors de la Nuit du Chat.) L'autre se met à pleurnicher comme un petit garçon et promet : les ragots, c'est fini. Quelques jours plus tard, Péret fait courir le bruit que Char s'est fait assister par la police pour venir le molester.
L'éditeur Eric Losfeld, qui était pourtant l'ami de Péret, en parle comme d'un personnage compliqué. Au détour d'une anecdote (Endetté comme une mule p.43), Péret apparaît à nouveau humainement peu digne d'intérêt. Fan de jazz, Losfeld invite Sidney Béchet dans un bar et veut absolument lui présenter Péret. Celui-ci arrive avec un retard considérable. Il murmure à l'oreille de Losfeld : « encore un de ces individus qui font du bruit » et ignore royalement le musicien.
Je me demande si les jours où Péret allait chercher la fille de Losfeld à l'école, il leur est arrivé de croiser un chat errant ou un prêtre, et si le poète a réussi à réfréner ses sales pulsions devant la fillette.
J'aurais sans doute d'autres choses à dire sur ce livre d'entretiens qui, heureusement, ne consacre que trois pages à Péret.
Samedi 17.02.18 Boulinier Jochen Von Lang - Eichmann - L'interrogatoire Anaïs Nin - Cahiers secrets - Henry and June Serge Valletti - Six solos
Gibert Joseph Georges Perros - Oeuvres
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On l'attendait depuis longtemps, et la parution de ce Quarto Gallimard a été longtemps reportée. Je sais, de source sûre, qu'au dernier moment, un inédit a ressurgi et qu'il a fallu attendre un peu pour pouvoir l'intégrer au recueil. Je sais aussi que le fils de Georges Perros retrouve encore des inédits de temps en temps, dans le fatras des archives de son père. C'est pourquoi le Quarto devait s'appeler Oeuvres complètes et qu'on a tranché dans le titre. Toutefois, il a fallu à un moment donné arrêter d'y coller de nouveaux papiers, sinon il ne serait jamais sorti. En l'état, on a quand même pas mal de choses (1600 pages !), dont les « Papiers collés », justement, en intégralité, avec des inédits. Un livre qu'on feuillette de temps en temps et qu'on a plaisir à avoir près de la main. J'aime beaucoup ses critiques de livres, mais plus encore ses avis sur des pièces de théâtre. De 1951 à 1963, Perros est lecteur pour le TNP de Vilar. « Souffre-lecteur », dit-il. Il lit des pièces et les juge en 2, 3 lignes, à la manière de Félix Fénéon, afin qu’elles soient jouées ou non, et Vilar semble-t-il respecte ses jugements,  C'est expéditif, cruel, mais souvent très drôle, du nom des auteurs on a souvent que les initiales, ça peut se comprendre :
« L.F., Enterrons ça Oui... » « C. des P., Rien de rien Bon titre. J'y souscris. » « C.C. Fabienne (...) Je me demande de plus en plus s'il est bien raisonnable d'apprendre la langue française à tout le monde. C'est rendre bêtes de braves gens, peut-être. » « C.S., Hara-Kiri La pièce se le fait. » « M.J., Adolf Hitler et ses acolytes Vous connaissez la rue Lepeu Projetée ? Moi, pas. L'auteur y habite. Il a tort d'y écrire. » « M.C., Procès de Charlotte Corday L'auteur ne s'est pas fatigué. Tout y est, sauf lui. C'est parfois gênant. » « R.P., le faiseur de diables Mais pas de pièces. » « B.J., Ennemi où es-tu ? A Douarnenez, mais sans rancune. » « E.F., Ava, l'amour ? Non, ava pas du tout. » Etc.
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tina-aumont · 11 months
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L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
Here in these photos we can see María Montez with actor Jean Danet (first photo) and with Robert Murzeau (third photo) in two moments of the play.
The play was a success and in the audience there were poet Jean Cocteau (who was a friend of the family and wrote the poem "Nuit Aux Étoiles" for baby Tina Aumont when she was born) and María Montez sisters among others.
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Some of the photos come from French magazine "Cinemonde" number 861 from February 1951.
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And here we can see two tender photos taken once the play was finished, everybody was really happy cause the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
Here she is pictured with hubby Jean-Pierre Aumont and with her beautiful sisters (L-R): Adita, Teresita and Lucita, sitting is the star: María Montez.
Very special thanks to @74paris for sending me this beautiful article and the photos. María Montez would have been as well a great theatre actress, but destiny had other plans for her...
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tina-aumont · 7 months
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Hola, me encantó tu blog. Me gustaría saber qué hermanas vivieron con María, Jean-Pierre y Tina en el momento que María falleció. ¿Fueron siempre las mismas hermanas las que vivieron juntas en Francia? ¿Qué pasó después de morir María, dónde vivieron? ¿Y cuándo Jean-Pierre se casó, dónde vivieron? ¿Qué pasó? Muchas gracias por este excelente blog, espero que la família lo descubra un día y la felicite. Gracias.
Hola Anon!!
Muchas gracias por tu interesante pregunta!!
Adita y Teresita fueron las hermanas que vivían con María en el momento en que ella falleció. La primera porque no estaba casada ni tenía pareja, la segunda porque era muy joven todavía. Fueron ellas dos las que encontraron a María en su baño ya sin vida y llamaron a los bomberos, quienes trataron de reanimarla por más de una hora pero no pudieron...
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[María - sentada- con sus hermanas Adita, Teresita y Lucita - de izquierda a derecha - celebrando la estrena teatral de "L'Île Heureuse" donde María hacía un papel principal, 24 de enero de 1951 - María falleció en septiembre de ese mismo año-]
Al fallecer María, Jean-Pierre Aumont con su hija Tina se fueron a vivir a una casa llamada Rueil Mailmaison, y con ellos vivieron Lucita, con su esposo, el fotoperiodista Jean Roy y sus tres hijos, y también vivieron allí François Villiers (hermano de Jean-Pierre), su mujer Jeannine Rikh y sus hijas Mara, Aruna y Patty Villers. De todos estos primitos, Tina Aumont era la mayor, y aunque echaba de menos a su madre, ella recordaba con felicidad esos años.
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[Tina Aumont con su padre, fotografiados en 1953 en Rueil Mailmaison, en el fondo se pueden ver a Lucita y a Jeannine]
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[Tina Aumont - en el primer plano - jugando con sus primos y primas en los años 50]
En el año 1956, cuando Jean-Pierre Aumont se casó con Marisa Pavan, esta decidió que la casa era para su nueva família, así que Lucita (enviudó poco después), con sus niños se fueron a vivir a otra casa, y François Villiers, con su mujer y tres hijas también. Desconozco si se fueron a vivir juntas las dos famílias, pero Lucita, al perder el marido en Noviembre de 1956 hizo que la família se uniera más para poderla arropar y ayudarla con los niños. Y Tina fue enviada a diferentes internados de Francia y Suiza, volvía a ver a su padre y a la família cuando tenía vacaciones.
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[27 de marzo de 1956 - Boda de Jean-Pierre Aumont con Marisa Pavan]
Marisa Pavan era una mujer celosa de María Montez, prohibió que se hablara de ella en casa y sus hermanas se fueron a vivir a otros lugares, Consuelo vivía con su hermana Adita en Estados Unidos, Teresita vivió en Francia, igual que Lucita, aunque años más tarde vivieron juntas en Mexico. Todas las hermanas mantuvieron el contacto, al igual que los hijos, y los hijos de Jean-Pierre y Marisa, siempre han sido queridos y bienvenidos por los Aumont, los Villiers, los Gracia, los Leleu y toda la família. Ahora mismo viven entre Francia, Estados Unidos y Latinoamérica, y estan muy unidos, el legado de María perdura...
Muchas gracias por tu pregunta, espero haber resuelto tus dudas, aunque no te lo haya podido responder todo, quien sabe si algún día encontraremos más respuestas!!!
Y ojalá tus palabras sean escuchadas y alguien de la família Gracia sepa de mi blog, me haría mucha ilusión!!
Gracias!!
Eleni xoxoxo
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