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#24 Heures de Francorchamps
frenchcurious · 7 months
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Enrico Pinto & Arnaldo Cavallari (Autodelta - Alfa Romeo Giulia Sprint GTA) 2émes des 24 Heures de Spa-Francorchamps 1967. - source Carros e Pilotos.
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opelman · 1 year
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24h Spa 1982
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24h Spa 1982 by Ste Tit
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24 Heures de Francorchamps 1990
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Roland Imbert 🇫🇷Bernard Béguin 🇫🇷J.C.Martinez 🇫🇷#57.Alfa Roméo Alfetta GTV.Roland Imbert :10ème classement final.24 Heures de Spa Francorchamps 🇧🇪1978
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rostiviecartists · 2 months
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Ferrari 512 S de l’équipe Francorchamps 5ème des 24 heures du Mans 1970
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nicolasmessie · 5 years
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legendsofracing · 7 years
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The Ford Capri RS 2600 driven by Jochen Mass and Hans-Joachim Stuck, racing for victory in the 24 Heures de Francorchamps, 1972.
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alfonslx2 · 3 years
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24 Heures de Liége Francorchamps 1980 Team ENZO. Motoplast-Laverda. Gérard Laret - Olivier Gauthier
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sylvainste · 6 years
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Nous vous attendons sur notre stand dans le village des 24 heures, au pied du raidillon. Ceinture Cingomma♻️🚴 Quand vos souvenirs s’accrochent Piece Unique Les ceintures Cingomma sont manufacturées à la main à partir de pneu de vélo recyclé! Chaque ceinture est unique! #positivecauses #madeinitaly #cingomma #recycled #cinture #belt #ceinture @cingomma_france @cingomma #upcycling #surcyclage www.cingomma.fr (à Circuit de Spa-Francorchamps)
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frenchcurious · 1 year
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John Fitzpatrick (Ford Capri RS 2600  #GAECNM19999) 2éme des 24 Heures de Spa-Francorchamps 1973. © Rainer Schlegelmilch / Motorsport. - source Carros e Pilotos.
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spiritgamer26 · 3 years
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[CP] Lamborghini Esports annonce la seconde édition de The Real Race
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En 2020, la première édition de The Real Race de Lamborghini Esports a été couronnée de succès, attirant plus de 2500 pilotes de 109 pays. La compétition revient en 2021 pour sa deuxième édition, avec un nouveau format régional amélioré comprenant trois tournois à travers l'Europe/Moyen-Orient/Afrique, l'Amérique du Nord/Amérique latine et l'Asie-Pacifique. Une fois encore, les meilleurs pilotes de simulation au monde s'affronteront au volant d'une Lamborghini Huracán GT3 EVO dans le jeu de simulation de course Assetto Corsa Competizione, pour tenter de remporter une expérience unique au siège de Lamborghini en Italie et l'opportunité de devenir le premier sim driver officiel de Lamborghini.  Assetto Corsa Competizione a été développé en collaboration avec les constructeurs automobiles et constitue un support dynamique pour la dernière série de courses de Lamborghini. Le jeu est également utilisé par les pilotes d'essai et de course officiels de la Lamborghini Squadra Corse dans leurs préparations aux courses physiques.
UN TOURNOI MONDIAL POUR LES MEILLEURS SIM RACERS DU MONDE
Après la compétition inaugurale de 2020, remportée par le pilote de simulation allemand Nils Naujoks, Lamborghini Esports propose cette année une nouvelle approche mondiale de The Real Race. Les coureurs s'affronteront à la fois sur les Grand Prix traditionnels et dans trois courses d'endurance pour gagner des points dans leurs classements régionaux.  La marque de voitures de sport de luxe va offrir à la communauté des simulateurs de course une compétition eSports immersive au volant de la Lamborghini Huracán GT3 EVO : la voiture trois fois victorieuse des 24 heures de Daytona. Le Centro Stile de Lamborghini, le département design interne, a créé une peinture de course exclusive, qui peut être personnalisée en 12 versions différentes par les concurrents, chaque voiture arborant les logos des partenaires, Kaspersky et Assetto Corsa Competizione. https://www.youtube.com/watch?v=eXpr0gNwp4Y La compétition se déroulera sous forme d’un tournoi de juin à novembre. Les coureurs du monde entier pourront s'inscrire aux qualifications ouvertes, organisées du lundi au vendredi. Les 40 meilleurs joueurs des qualifications ouvertes participeront aux qualifications fermées organisées chaque samedi. Enfin, les 20 meilleurs participants aux qualifications fermées participeront à The Real Race le dimanche, en concourant deux fois sur le même circuit. Les 10 qualifications hebdomadaires pour chaque région offriront aux participants la possibilité de gagner des points pour leur classement régional respectif et de gravir les échelons pour devenir le prochain champion régional. L'esport est un domaine dans lequel nous voulons jouer un rôle majeur. The Real Race est un événement de six mois qui permet aux joueurs de vivre le frisson d'une véritable compétition à travers la préparation et la participation à des courses contre certains des meilleurs simulateurs de course du monde. Nous sommes fiers d'accueillir cette compétition et d'offrir au gagnant de The Real Race l'opportunité de vivre une expérience immersive réelle dans le monde de Lamborghini et de se voir offrir la perspective d'une carrière dans l'Esports. Federico Foschini, Chief Marketing & Sales Officer de Lamborghini Cette deuxième édition de The Real Race renforce le soutien et l'engagement de Lamborghini envers la scène Esports. Après avoir lancé sa première compétition numérique l'année dernière, Automobili Lamborghini a signé des partenariats avec les principales marques de jeux sur la scène Esports, notamment Rocket League et Asphalt 9 : Legends, qui offrent désormais aux joueurs la possibilité de piloter des modèles Lamborghini, comme la Huracán STO et l'Essenza SCV12. The Real Race - informations pratiques Ouverture des inscriptions le jeudi 20 mai à 10h Inscriptions ici : https://esports.lamborghini/ Calendrier des coursesGrand PrixMode Endurance   5-13 juin - Monza 5-11 juil - Laguna Seca 2-8 août - Kyalami 23-29 août - Zanvoort 27 Sept – 30 oct - Catalunya 11-17 oct – Silverstone22-28 nov - Misano Adriatico   19-25 juil - Suzuka 13-19 sept - Nürburgring 8-14 nov - Spa Francorchamps Comment suivre la compétition ? L'intégralité de la compétition est diffusée sur la chaîne YouTube Lamborghini Squadra Corse. La récompense de The Real Race 2021 pour les premiers de chaque classement régional comprend une expérience unique sur circuit avec l'équipe de course Lamborghini, une expérience VIP au siège de Lamborghini et une chance de devenir un pilote de simulation officiel Lamborghini.
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coffeebreakexpresso · 2 years
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24 Heures de Francorchamps 1991
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George Benoit 🇫🇷Henri Sonveau 🇧🇪Philippe Gurdjian 🇫🇷Roger Dorchy 🇫🇷#44:BMW 323i.Team Benoît :8ème classement final.24 Heures de Spa Francorchamps 🇧🇪1978
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svax · 3 years
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3. Les années BMW (Le Tyrolien de la Formule 1)
Lors du retour de BMW en Formule 1, en 1980, Dieter Stappert - responsable compétition de la firme allemande - assiste au Trophée Alfasud en levé de rideau du Grand Prix d'Autriche. Il observe une Alfa verte pilotée par un jeune autrichien qui s'est imposé au milieu d'une meute italienne. "Je ne me rappelais pas de son nom, mais je savais qu'il venait du Tyrol" affirmera l'homme d'affaires. Quatre ans après cette anecdote, Helmut Marko insiste auprès de Stappert pour faire remarquer son jeune poulain. Conséquence, le constructeur engage Berger dans le Championnat de Super tourisme européen. "Je me dispersais, mais j'aimais ça. C'était une bonne façon pour moi de progresser, de me jauger dans des disciplines différentes” commentera Gerhard. Le motoriste bavarois donne alors un nouveau coup de pouce à son enfant chéri, en lui offrant, dix jours avant son vingt cinquième anniversaire, un volant en Formule 1.
L'épopée du Super tourisme marque donc les vrais débuts du pilote professionnel. Ce championnat reflète également la personnalité inchangée de Gerhard Berger qui oscille entre les farces d'un grand garçon et la rigueur d'un chef d'entreprise. Née en 1966, l'équipe allemande Schnitzer participe avec succès au Championnat de Super tourisme. En 1983, Dieter Stappert persuade BMW de développer un moteur turbocompressé de 1,5 l. mis à la disposition de Schnitzer qui en 1984 recrute le jeune Berger. Avec son coéquipier Roberto Ravaglia, Berger forme une paire de pilotes redoutable. Les expérimentés Hans Stuck et Dieter Quester pilotent la deuxième BMW de l'équipe.
A l'occasion du traditionnel entraînement hivernal, BMW réunit les pilotes Schnitzer dans un hôtel de la station suisse de Saint-Moritz. Un soir, Stuck emmène dans sa chambre une charmante serveuse et entend un bruit venant de l'extérieur. Il sort sur le balcon et la porte se referme derrière lui. Grâce à un arrangement entre la serveuse et Gerhard, Stuck se retrouve tout nu par - 10°c. perché au deuxième étage de l'hôtel. Le programme quotidien de préparation physique inclut un entraînement de trente deux kilomètres à ski de fond ayant pour fin les somptueux desserts d'un restaurant situé en bordure d'un glacier. Berger se retrouve souvent à la traîne du petit groupe… A l'exception du jour où il est arrivé avec une demi-heure d'avance sur ses camarades qui n'ont pu que constater la fraîcheur de Berger savourant son troisième dessert à la terrasse du restaurant : "j'étais le plus rapide aujourd'hui !". L'Autrichien avait loué une moto neige.
Lors de la huitième manche du Championnat de Super tourisme européen 1984, Schnitzer aligne deux voitures pour les 24 heures de Spa en Blegique. L'une est confiée à Winkelhock, Ravaglia et Berger, l'autre à Stuck, Quester et Weaver. Vendredi étant un jour de repos, Berger propose à un journaliste anglais de l'accompagner à Zandvoort où - comme Winkelhock - il doit effectuer ses premiers tours de roue en Formule 1, puis de revenir à Spa pour le départ de la course, samedi à 17h. Saward, journaliste à Autosport, accepte l'invitation et Berger le conduit dans sa BMW personnelle direction la Hollande. Les deux hommes sont sur une autoroute belge quand ils tombent en panne d'essence. Sans monnaie locale, ils décident d'arrêter un automobiliste et lui suggèrent monts et merveilles contre une poignée de francs belges. Ce dernier les prend pour des voyous et s'enfuit. C'est ainsi que la plus forte spéculation sur la monnaie belge a été réalisée au bonheur d'une personne qui accepte l'échange. Berger et Saward reprennent la route pour Schiphol, l'aéroport d'Amsterdam, où ils récupèrent un mécanicien venu d'Autriche. Les trois hommes dorment dans un petit hôtel de la capitale, partagent une chambre à trois et au réveil constatent que la BMW a été cambriolée. Heureusement, le double des clefs dans le vide poche n'a pas été découvert et les malfrats n'ont eu d'yeux que pour l'autoradio. Arrivé à Zandvoort vendredi, Berger reconnaît le circuit à bord de sa BMW. Gunter Schmid, patron autrichien de l'équipe ATS, décide d'adapter la voiture à la taille de Berger. Le jeune est émerveillé. Le soir, les deux compatriotes baladent Saward dans deux restaurants ; le premier n'étant pas à leur goût, ils attendent que l'Anglais termine son repas pour changer de place. Samedi, Berger effectue ses premiers essais. Il s'entretient avec les mécaniciens, reprend la piste et savoure son premier contact avec une telle monoplace. Saward et Ravaglia s'impatientent respectivement à Zandvoort et à Spa. A 17h, les cinquante-trois concurrents des 24 heures s'élancent. A 18h30, Ravaglia effectue son premier arrêt au stand et son manager lui annonce que ni Berger ni Winkelhock ne sont revenus de leurs essais hollandais. Ravaglia repart au volant de la BMW Schnitzer : "j'étais persuadé que les essais à Zandvoort avaient lieu vendredi". Au même moment, à 298 kilomètres des Ardennes belges, Berger s'adresse à Saward : "OK, on peut y aller maintenant". Berger sort à toute allure des paddocks en retroussant le haut de sa combinaison jusqu'à la taille pendant que Saward tient le volant de la BMW. "Je me rappelle que l'on s'est arrêté à un seul feu rouge, nous avons même doublé une voiture déjà sur la file de gauche de l'autoroute en passant sur sa gauche entre elle et la barrière centrale". Quand la BMW arrive sur le circuit belge, Ravaglia effectue un deuxième ravitaillement. L'excitation est à son comble dans le stand. Berger demande à Saward de garer sa voiture, remet sa combinaison et s'adresse à Ravaglia : "Pas de panique. Nous avons cinq minutes pour cet arrêt. Tu sais très bien que je ne t'aurais jamais laissé tomber…"
Le 17 août 1984, le Grand Prix d'Autriche de Formule 1 se déroule sur l'Österreichring de Zeltweg. La Styrie autrichienne, avec ses paysages d'un calme absolu, est le cadre de l'un des Grands Prix les plus agréables de la saison. L'ATS BMW numéro 31 est pilotée par un jeune autrichien qui débute dans la catégorie reine du sport automobile... Pour son baptême, Gerhard Berger tient tête à son coéquipier Manfred Winkelhock. Certes, il termine sa première course à trois tours, mais il a fini, l'essentiel pour un néophyte. Ce dimanche d'été, Berger a le droit d'être timide. Un Autrichien qui débute chez les siens, ce n'est qu'une péripétie. Pour l'anecdote, pour l'histoire aussi, Niki Lauda s'est lancé en Formule 1 au même endroit, le 15 août 1971. Cette coïncidence de Zeltweg, à treize ans d'intervalle, ressemble fortement à un clin d'œil du destin. Berger s'en amuse : “Je n'accorde aucune importance à toutes ces références. D'ailleurs je ne suis pas superstitieux du tout”. Gerhard Berger a un pied en Formule 1, il ne va plus la quitter.
Le contact avec la Formule 1 n'a pas été aussi euphorique que prévu. Sa première saison s'achève à Estoril au Portugal dans de mauvaises conditions. BMW avertissant Gunter Schmid, l'animateur d'ATS, qu'il ne recevra plus de turbos. Coup dur pour le pilote autrichien. “J'avais à peine eu le temps de faire mes preuves” soupire-t-il. Dès son deuxième Grand Prix à Monza en Italie, il marque tout de même un point, offrant à ATS son premier point au Championnat du monde depuis 1982. Gunter Schmid a voulu aligner deux voitures sans en avoir les moyens et ne s'est pas entendu avec Manfred Winkelhock. De son côté, Gerhard a fait de son mieux. Sans budget, sans moyen technique et sans ingénieur, l'équipe n'a pas pu programmer d'essais privés.
En relation avec Jackie Oliver, le manager de l'équipe Arrows, Berger tarde à concrétiser les pourparlers durant l’intersaison. Puis survient cet accident de la route. La plus grande peur de sa carrière caractérisée par la crainte de ne pas pouvoir continuer à courir en Formule 1. Le reste ne compte pas à ses yeux. Au cas où cette sinistre éventualité se confirmerait, Gerhard élabore une solution de rechange. Il envisage de s'expatrier aux Etats-Unis et de se consacrer aux épreuves d'Indycar.
Finalement Berger retrouve un volant en Formule 1 pour la saison 1985. La venue de BMW chez Arrows lui a facilité la tâche et Jackie Oliver s'est enfin décidé à l'engager. A l'exception d'Imola, les Arrows BMW ont beaucoup de mal à concrétiser en course. L'Autrichien parvient à se montrer plus rapide que son coéquipier belge, Thierry Boutsen, et signe de jolis coups d'éclats. Comme ce dimanche 3 novembre sur le circuit d'Adélaïde.
Pour la première fois depuis la création du Championnat du monde de Formule 1, en 1950, un Grand Prix a lieu en Océanie. Les organisateurs de la ville d'Adélaïde, en Australie du Sud, se sont préparés en véritables professionnels. Ce coup d'essai est donc devenu, dès les premiers tours d'entraînement, un véritable coup de maître. Impeccablement orchestré, ce Grand Prix du bout du monde va provoquer les commentaires les plus élogieux du cercle de la Formule 1.
A la suite de la dernière séance de qualifications, Berger obtient la meilleure place de sa jeune carrière sur la grille de départ : septième. En course, il rallie l'arrivée en sixième place à un tour du vainqueur avec à la clé le dixième meilleur temps en course (1'26"216). Après une cinquième place en Afrique du Sud, il décroche ainsi le troisième point d'une saison éprouvante. “Le budget était conséquent et j'ai pu faire beaucoup d'essais à longueur d'année. Mais nous manquions d'un bon ingénieur pour coordonner tout cela” concédera l'Autrichien. Totalement démuni d'expérience, il a quand même tenu la dragée haute à Thierry Boutsen en vélocité pure. Moins chanceux ou plus inconstant en course, il attend toujours un bon résultat.
Parallèlement à sa première saison complète en Formule 1, Gerhard remporte les vingt quatre heures de Spa-Francorchamps avec Surer et Ravaglia sur une BMW de l’équipe Schnitzer. Pendant son apprentissage de la Formule 1, il aime retrouver cette grande famille de ses débuts pour participer à quelques épreuves de Super tourisme. Jeune pilote, Berger n’est pas encore astreint aux programmes rigoureux des nutritionnistes ou autres préparateurs. Son coéquipier en Super tourisme, l’expérimenté Dieter Quester, suit par contre un régime diététique et absorbe des quantités impressionnantes de thé. Entre deux séances d'essais, Berger verse un jour quelques gouttes d’huile de sa voiture dans l’eau bouillante et lorsque Quester grimace en buvant sa boisson préférée, l’Autrichien a du mal à cacher son sourire.
En 1986, il laisse sa place chez Arrows à Marc Surer et conclut un accord avec Luciano Benetton. L'ingénieur Rory Byrne concocte une nouvelle voiture pour recevoir le BMW fraîchement débarqué. Dès l'ouverture de la saison, au Brésil sur le circuit de Jacarepagua, le jeune autrichien décroche le point de la sixième place malgré une position très moyenne (16e) sur la grille de départ. Le rachat de Toleman par Benetton a bouleversé les données. Cet investissement annuel de huit millions de dollars est condamné à fructifier.
Disputé sur le circuit Dino Ferrari, la première épreuve italienne de la saison porte le nom de Grand Prix de Saint-Marin. Une petite république où les tifosi sont moins remuants qu'à Monza mais tout aussi enthousiastes. Ils attendent la course avec un mélange de curiosité et d'anxiété. Parce que les sacro-saintes Ferrari sont loin d'être à leur meilleur niveau et parce que Imola est le circuit le plus exigeant du Championnat en matière de consommation.
Ce dimanche 27 avril 1986, Berger est tout simplement heureux. Il vient de terminer troisième et il savoure son premier podium en Grand Prix. Alain Prost et Nelson Piquet, ses compagnons de podium, n'en sont pas à un souvenir près... Alors Gerhard s'est emparé du trophée du vainqueur. Autour de lui, dans ce mobil-home surchargé, tout le monde exulte. Sa casquette Pirelli en bataille, Berger goûte un peu de champagne. Une gorgée, rien de plus car il préfère officiellement l'eau minérale. Il raconte encore sa course une bonne dizaine de fois. Curieusement il partage cette allégresse générale sans y succomber totalement. Il veut rester maître de ses propres sentiments. Ne pas se laisser contaminer. “Jusqu'à maintenant, ma plus grande joie en Formule 1 avait été ma sixième place à Adélaïde, l'an dernier. Surtout quand j'avais dépassé Alain Prost bien avant son abandon” évoque-t-il les yeux brillants. Aurait-il pu gagner ce Grand Prix de Saint-Marin ? La rupture de son embrayage au vingtième tour l'a ralenti. Ensuite lorsqu'il s'est arrêté au stand au vingt neuvième tour, on lui a mis des pneumatiques neufs, mais ce n'était pas son but. En ouvrant sa visière quelques secondes pour respirer, il avait bêtement reçu de l'huile et voulait se frotter les yeux.
Pratiquement un mois après cette fabuleuse course, survient l'épisode du Grand Prix de Belgique sur le circuit de Spa-Francorchamps que Berger connaît bien. La principale caractéristique de ce tracé, outre sa splendeur et son fameux raidillon de l’eau rouge, est l'épingle située juste après le départ. Grâce à un choix de pneumatiques particulièrement judicieux, l'Autrichien s'est qualifié en première ligne aux côtés de la Williams Honda de Nelson Piquet. Au départ, Senna à l'extérieur, Berger au milieu et Prost à l'intérieur arrivent ensemble à l'épingle de la Source. La Mac Laren et la Benetton se touchent. Prost bondit en l'air par-dessus son adversaire, cassant son capot avant et tordant un support moteur. Tambay perd sa roue avant contre la Benetton de Fabi puis heurte légèrement celle de Berger. Keke Rosberg et la Ligier de René Arnoux tirent tout droit dans l'échappatoire.
Après cette confusion générale, Berger déclare : “Je ne comprends pas pourquoi Prost a voulu me doubler par l'intérieur. J'avais Senna à l'extérieur et je ne pouvais pas m'écarter pour le laisser passer. Une telle tentative est indigne d'un Champion du monde”. A la suite de ces paroles mal venues, Gerhard devra discrètement retourner sa veste sur l'insistance de ses sponsors. Il est jeune et court avec le souci d'assurer son pain quotidien en dehors de sa passion. Son meilleur salaire à ce jour en Formule 1, c'est le plaisir de conduire une bonne machine comme la Benetton.
Les performances de la Benetton numéro v20 s'améliorent à chaque sortie, mais la victoire ne vient toujours pas récompenser le jeune tyrolien de la Formule 1. A Detroit, son moteur coupe au huitième tour. "C'est dommage, j'avais bien réglé ma voiture et les Pirelli étaient parfaits. Je crois que j'aurais pu venir me mêler à la lutte en tête" commentera-t-il après son abandon. Les Benetton prennent une sale habitude de briller aux essais puis en début de course. Après, plus rien.
A Zeltweg, Berger retrouve "ses" grandes courbes. Ce circuit ultra rapide reste dangereux car il jouit d'une sécurité précaire. Gerhard prouve une fois encore qu'il est un pilote rapide en qualification, même si Teo Fabi lui a subtilisé la pole position. On le suppose suffisamment mûr pour être capable de remporter une course. Mais les faits ne l'ont pas encore prouvé. En Autriche, Gerhard Berger a démontré 25 tours durant qu'une victoire était réellement à sa portée. Une batterie à plat en a décidé autrement. L'heure de la revanche sonnera deux mois plus tard en Amérique centrale, entre les Etats-Unis et le Guatemala...
Organisé pour la première fois en 1963, le Grand Prix du Mexique a été le cadre, deux années plus tard, de la première victoire d'une Honda, pilotée par l'Américain Richie Ginther. En 1970, le Grand Prix a lieu dans des conditions dantesques, à la limite de l'émeute populaire. Après avoir totalement débordé le service d'ordre, des hordes de spectateurs sont venues s'asseoir au-delà des rails, côté piste. Le départ ayant été donné pour que les pilotes échappent au lynchage. Déboulant entre deux rangées humaines d'où s'enfuient parfois chiens et enfants, la Ferrari de Jacky Ickx triomphe de celle de Clay Regazzoni. Ce sera la dernière édition du Grand Prix du Mexique. Le public devra attendre 16 ans avant de pouvoir admirer de nouveau les Formule 1 dans le parc Magdalena-Mixhuca. Utilisant de larges portions de l'ancien circuit totalement réaménagées, la piste porte en 1986 le nom des frères Riccardo et Pedro Rodriguez, disparus en course en 1962 et 1971.
Les pilotes découvrent à leur arrivée un revêtement parsemé de nombreuses bosses. Mais le gros de leurs soucis provient de l'altitude de Mexico, 2 250 mètres, où règne un air moins dense de 20 % par rapport au niveau de la mer. Le prix se paie en fatigue physique, pour les hommes, et en perte de puissance pour les moteurs, qui nécessitent des organes de refroidissement de dimensions accrues. BMW semble le plus favorisé. L'architecture de son bloc, quatre cylindres en ligne et simple turbo, s'accommode au mieux de la raréfaction de l'air. La Benetton BMW de Gerhard Berger signe le meilleur temps de la première séance chronométrée, mais se fait déborder lors de l'ultime séance par la Lotus Renault d'Ayrton Senna et les Williams Honda de Nigel Mansell et Nelson Piquet. Dimanche, Berger signe de nouveau le meilleur temps du warm-up.
Sachant que ses pneumatiques Pirelli ont de fortes chances de tenir la distance du Grand Prix, l'Autrichien refuse dès le départ le combat avec Piquet, Senna et Prost pour se maintenir sagement en quatrième position. Une fois ceux-ci rentrés aux stands pour changer leur Goodyear, il passe tout naturellement en tête et s'y maintient jusqu'à l'arrivée. Une tactique à la Lauda. “Ce matin j'avais 38.5° de fièvre, sans doute une fatigue due à l'altitude. Mais le Grand Prix fut fantastique et je savais dès la mi-course que mes pneus iraient au bout. Je suis très heureux d'avoir pu offrir la victoire à l'équipe Benetton. C'est un beau cadeau d'adieu”. La joie de Berger sur la plus haute marche du podium est immense. Il vient en effet de remporter sa première victoire en Grand Prix, la première également de l'équipe Benetton. Cet homme sourire, qui ne semble nullement affecté par les terribles contraintes de son métier, peut enfin porter haut, sur ses frêles épaules, les espoirs de tout un pays : l'Autriche.
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host24space · 5 years
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Honda NSX GT3 EVO – 24H Spa-Francorchamps Blancpain GT Series Sport-Auto.ch a été convié à prendre part aux dernières 24 heures de Spa dans les stands Honda qui engageaient la dernière NSX GT3 EVO pour cette course de légende. Retour sur les émotions vécues lors de cette belle expérience malgré des conditions météo dantesques. Crédit vidéo : CM-visuals / Tous droits réservés
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fourcolorsportphoto · 6 years
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Sport Photo :Bentley en ravitaillement by PascalAunai
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