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#Alfred emslie
oceancentury · 7 months
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Dinner at Haddo House, 1884 by Alfred Edward Emslie.
Depicted people;
John Hamilton-Gordon, 1st Marquess of Aberdeen and Temair
Ishbel Hamilton-Gordon, Marchioness of Aberdeen and Temair
Henry Drummond
Victor Bruce, 9th Earl of Elgin
Lady Constance Mary Carnegie
William Ewart Gladstone
Helen Gladstone
Catherine Gladstone
Edward Glyn
Mary Campbell
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simena · 1 year
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A Sonata of Beethoven - Alfred Edward Emslie (detail)
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relaxartworld · 11 months
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📜Ballad of the Tempest — a poem by James Thomas Fields (subtitled excerpt - PART 2)✒️ ▶️FULL POEM VIDEO 👉@RelaxArtWorld (link in bio)👈
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Alfred Edward Emslie (1848-1918), A Sonata of Beethoven, 1901, oil on canvas, 57 x 117 cm. Guildhall Art Gallery - Mysterious Art Century Instagram - Facebook - Twitter - Pinterest - Shop
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books0977 · 7 years
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A Sonata of Beethoven. Alfred Edward Emslie (English, 1868-1918). Oil on canvas. Guildhall Art Gallery.
In the foreground a woman plays a piano while in the background a man sits writing in a window. Emslie studied at the Royal Academy Schools and then in Paris at the École des Beaux-Arts.
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nature-and-culture · 7 years
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A Sonata of Beethoven, by Alfred Edward Emslie ( English, 1848-1918) via paintingsdaily
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artoficeandfire · 7 years
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Tommen Baratheon
(Alfred Edward Emslie, Portrait of a young boy in a red velvet suit)
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dead-molchun · 5 years
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Alfred Edward Emslie (1848 - 1918) Bending Sail After A Gale, 1881 (67 x 101 cm)
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vcam1952 · 2 years
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Alfred Edward Emslie (1848 - 1918), "At twilight." #mysealikes (at Royal Oak, Michigan) https://www.instagram.com/p/Cch_zz8rZOK/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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chigley-six · 2 years
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HADDO HOUSE IS AN A-LISTED STATELY HOME LOCATED NEAR TARVES IN ABERDEENSHIRE WHICH WAS DESIGNED BY WILLIAM ADAM IN THE GEORGIAN PALLADIAN STYLE. THE HOUSE’S MOST FAMOUS RESIDENT WAS THE FORMER PRIME MINISTER GEORGE HAMILTON-GORDON. (THE PAINTING “DINNER AT HADDO HOUSE” IS BY THE ENGLISH ARTIST ALFRED EDWARD EMSLIE
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classicdavinci · 4 years
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Alfred Edward Emslie
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simena · 1 year
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A Sonata of Beethoven - Alfred Edward Emslie (detail)
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coloursofmyroom · 4 years
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De retour de l’expo #7 : La peinture anglaise de Turner à Whistler - Lausanne, Fondation de l’Hermitage
2 avril 2019
Se proposant d’explorer plus de soixante ans de peinture anglaise, l’exposition est construite autour d’une dizaine de thématiques, qui se présentent comme autant de sujets de réflexion et de préoccupation pour les artistes d’outre-Manche : le paysage, la société, la littérature victorienne, etc. Même si ce parcours concorde parfois avec les découpages de l’histoire de l’art, ce n’est donc pas une approche chronologique qui a été choisie, et la période (1837-1901, ce qui exclut de fait Constable, mort en 1837, que je m’attendais à trouver) est envisagée de manière globale, au-delà des mouvements artistiques (en fait les seuls vrais « mouvements » seraient la vogue préraphaélite à partir de 1848, puis l’Aesthetic Movement de Burne-Jones dans les années 1860) dont l’importance est reléguée au second plan.
On réalise vite qu’au-delà de Turner ou des préraphaélites, on connaît mal la peinture anglaise de l’ère victorienne. La quasi-totalité des œuvres provient d’ailleurs de musées britanniques… Et pourtant, les registres abordés par ces artistes sont très divers, du traitement naturaliste de la réalité sociale à l’onirisme le plus débridé. La Réconciliation d’Obéron et de Titania de Joseph Noel Paton, qui fourmille de géants endormis et d’elfes aux ailes de papillons, en est un excellent et très séduisant exemple. L’œuvre, dont le thème est tiré du Songe d’une nuit d’été, illustre la veine littéraire qui irrigue bon nombre de tableaux exposés, sans doute davantage que chez les symbolistes du reste de l’Europe. En relevant d’un corpus strictement anglais, bon nombre de références m’ont échappé, mettant ainsi en lumière l’originalité des peintres britanniques. Shakespeare, donc, mais aussi le cycle arthurien, qui a inspiré à Frederic Sandys sa Viviane, l’une des œuvres les plus marquantes de l’exposition par sa composition empruntée aux primitifs italiens, son absence de profondeur, sa richesse symbolique, chromatique et décorative (du manteau en satin aux plumes de paon) et l’expression pleine de morgue de l’héroïne.
Plus largement, les figures féminines abondent dans l’exposition. Mythiques comme Ophélie ou Una (Una et le lion de William Bell Scott) ou anonymes comme la jeune femme en visite chez la modiste du At the Bazaar de James Collinson, aux couleurs éclatantes, ou le modèle de Rouge et noir, l’éventail de Whistler. Cette œuvre illustre un autre point d’entrée de l’exposition : le travail sur l’impression et la sensation. Le parcours va à rebours des associations faciles en présentant sous cette même bannière deux toiles de Whistler, donc, une scène vénitienne de John Singer Sargent (dont la touche et le traitement de la lumière sont stupéfiants) devant laquelle on se croirait projeté dans une nouvelle d’Henry James, ou encore une Ophélie préraphaélite de Rossetti, à la lumière presque surréaliste. Autant dire qu’il s’agit de l’une des plus belles salles de l’exposition, qui met brillamment en valeur l’audace des recherches formelles dans lesquelles les artistes victoriens se sont engagés. A ce moment, un nom vient à l’esprit : mais où donc se trouve Turner ?
S’il est l’un de mes deux ou trois peintres préférés, je n’avais pu voir jusqu’à lors qu’une seule toile de Turner, celle du Louvre. Ce fut donc pour moi un événement de voir que deux tableaux avaient fait le déplacement à Lausanne, au premier étage de la Fondation. Deux tableaux qui appartiennent à la dernière période du peintre, où il abandonne peu à peu le sujet et frôle l’abstraction : une marine sublime et, surtout, ce Paysage avec l’eau : Tivoli devant lequel je suis resté longtemps… Le grand format, la dilution des formes dans la lumière qui semble dévorer le motif, cette masse d’ombre à gauche, ces camaïeux d’ocre, d’or et de blanc ne suffisent pas à décrire la rencontre très émouvante avec ce tableau. Le plus surprenant réside peut-être dans les détails, si ce mot a un sens pour cette toile sans début ni fin, dont chaque partie semble avoir été traitée isolément. En se rapprochant de la surface on distingue un multitude de griffures, d’écorchures, de traits de pinceaux et d’aplats de matière, étalés au couteau. On a l’impression d’un travail très lent et le tableau, qui a quelque chose du palimpseste, acquiert une épaisseur d’autant plus sensible lorsque l’on sait qu’il s’agit de la reprise de croquis réalisés vingt ans plus tôt à Tivoli. J’ai lu par ailleurs que le tableau était inachevé, mais on ne saurait l’imaginer achevé d’une quelconque manière, il semble perpétuellement en cours, toujours remis sur le métier. L’œil, en parcourant la surface, refait en partie ce travail sans fin du peintre : retranscrire le souvenir d’une lumière qui l’a ébloui, vingt ans auparavant, en Italie.
Mais il faut revenir à la réalité ! Les profonds bouleversements sociaux et économiques qui secouent l’Angleterre victorienne ne sont pas absents de l’exposition, bien au contraire. Le naturalisme de Frank Holl explore le revers de la prospérité de l’Empire anglais, avec ses enfants des rues ou ses familles démunies qui attendent le retour des hommes partis à la guerre de Crimée. La reine Victoria elle-même est présente, mais en creux : un tableau de Stanhope Forbes représente une famille lisant la nouvelle de la mort de la reine, le 22 janvier 1901… La veine réaliste est donc bien présente et se manifeste à travers le goût pour les scènes de genre, qui privilégient la vie urbaine : scène pleine de vie et d’humour, prise “une minute” avant la fermeture de l’hôtel des postes (George Elgar Hicks, The General Post Office, One Minute to Six) ou cadrage serré dans un omnibus, comme une vue en coupe de la société londonienne (George William Joy, The Bayswater Omnibus).
Un autre cadrage remarquable est celui adopté par Alfred Edward Emslie pour représenter une tempête en mer, particulièrement théâtrale (Bending Sail after a Gale). Le sens du sublime est ainsi souvent présent, aussi bien dans les amples paysages, très beaux, de John Brett (avec lequel Ruskin rompit lorsqu’il se mit à adopter une touche plus « impressionniste ») que dans le paysage nocturne de James Poole, illuminé par le passage de la comète Donati (plusieurs tableaux utilisent d’ailleurs des effets de nuit, comme le Fireworks de Walter Greaves). Mais le plus étrange est peut-être le mystique Après le déluge de George Frederic Watts, avec son soleil incandescent. Si je termine avec la vue du Caire de l’orientaliste John Frederick Lewis (très prisé par Ruskin qui aimait par ailleurs beaucoup les préraphaélites), je crois que j'aurais balayé toutes les sections.
Voilà donc un grand nombre de noms nouveaux, que l’on doit avoir, sur le continent, bien rarement l’occasion d’admirer. Chaque tableau était ainsi une complète découverte, et l’exposition a vivement éveillé mon intérêt pour cette peinture anglaise finalement méconnue. Très riche et très diverse, elle m’a beaucoup séduit par son attention aux détails, ses couleurs, ses lumières et son goût pour les effets d’atmosphère, qui conjuguent à la fois le sens de l’anecdote et les recherches formelles pour, au-delà des divisions entre naturalisme et onirisme, paysagistes ou peintres de genre, toujours préférer suggérer que montrer – non, le plus souvent, sans une pointe d’humour ou de mystère.
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relaxartworld · 11 months
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jacquelinethings · 7 years
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Alfred Edward Emslie (1848 in London – 1918) was an English genre and portrait painter, and photographer.
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gocurrentcom · 4 years
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Hutchison Vale: Scotland's most fruitful football academy
Hutchison Vale: Scotland’s most fruitful football academy
Leigh Griffiths, Allan McGregor and Marc McNulty have all played for Scotland in the recent past. Darren Fletcher, Kenny Miller and Gary Caldwell did so not too long ago.
Before them, John Collins, Peter Cormack and Mark Burchill did, too. Lizzie Arnot and Claire Emslie went to the World Cup finals with Scotland’s women last summer. Alfred Finnbogason scored Iceland’s…
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