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#Baccio Bandinelli
tragediambulante · 3 months
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Drawing of a nude man, Baccio Bandinelli, about 1512
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sy666th · 4 months
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nothing more to add: in my hometown, if you want to see some very good looking men, you only need to go to the municipality to request a document. Everything is beautiful, really. Piazza Signoria is one of the most important and famous squares in the world. And then there are them…listen, a beautiful sculptural naked male body is always nice. Even these that are now of a certain age, but are maintained well.
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womblegrinch · 8 months
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Baccio Bandinelli (1493-1560) - Colossal bust of an ancient hero
Marble. Height: 23 inches, 58.5 cm.
Estimate: £600,000-800,000.
Sold Sotheby's, London, 4 July 2023 for £762,000 incl B.P.
When men were men.
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castelnou · 1 year
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sculpture by baccio bandinelli
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mrdirtybear · 8 months
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'Head and Shoulders of a Bearded Man', possibly a portrait of Baccio Bandinelli, as drawn by Francesco Salviati (1510-1563).
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art-collecteur · 2 years
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Buontalenti Grotto or “Grotto Grande”, completed 1557 – 1587
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Michelangelo by Giuliano Bugiardini (1522)
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Baccio Bandinelli portraits of Michelangelo and Andrea del Sarto 
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lisabrueckner · 2 years
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Laocoön, Luni marble
This modern work was carved by Baccio Bandinelli in Rome, working alongside the original which was unearthed on the Oppian Hill in 1506 and is now in the Vatican Musem. Completed in 1525 during the reign of Pope Clement VII (Giulio de' Medici, 1523-34), the sculpture bears a relief on its pedestal depicting the papal personal device: a transparent sphere pierced by a ray of sunlight setting fire to a tree behind it, accompanied by the motto "Candor illaesus" ("Innocence inviolate").
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rojosweet · 3 months
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"Hércules y Caco"
Es una escultura renacentista en mármol, creada por Baccio Bandinelli entre 1525 y 1534, y se encuentra a la derecha de la entrada del Palazzo Vecchio en la Piazza della Signoria de Florencia, Italia. Encargada para complementar el "David" de Miguel Ángel, que celebraba la victoria republicana sobre los Medici, la obra simboliza el triunfo de la virtud sobre el vicio. Esta escultura no solo destaca por su valor artístico, sino también por su profundo significado político, reflejando la resistencia y la lucha por la libertad en la Florencia de la época.
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musographes · 1 year
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L’académie du peintre Pierfrancesco Alberti (1584–1638)
Voici ci-dessus le rendu du quotidien d’une académie à la charnière du XVIe et du XVIIe siècle. On y voit une poignée d’élèves s’appliquant aux exercices obligés de l’enseignement en académie, à savoir l’étude de l’antique, la reproduction de modèles anatomiques et dans le fond à droite... la dissection d’un cadavre. Le dessin montre que la pratique était commune à cette période. Inévitablement, dès que l'on évoque le travail de dissection à la Renaissance, on pense à Léonard de Vinci, dont les premières planches pédagogiques d’écorchés datent des années 1480 (il s’y mit plus sérieusement vers 1510), et qui eut une influence décisive dans le domaine.  Ce faisant, vous avez tous entendu la fable selon laquelle Vinci se serait attiré des ennuis en se livrant à ses dissections de corps humains. C’est une fable en ce sens que Vinci fachait son monde davantage par les questions théologiques qu’il associait à ce travail que par les dissections elles-mêmes. Ouvrir le cœur ou le cerveau pour essayer d’y voir le siège de l’âme n'était point du goût des ecclésiastiques.  Voici ce que nous disait l’université de médecine de Montpellier en 2020 au sujet des dissections des temps passés (à l’occasion de l’exposition Art & Anatomie des musées Fabre et Atger pour les 800 ans de l’université de médecine de Montpellier) : " L’acte de toucher un cadavre demeure essentiellement sacrilège au Moyen Âge. Cependant à partir du XIVe siècle, les maîtres laïcs s’émancipent des interdits d’ordre religieux et obtiennent des autorisations pour pratiquer des dissections, à Bologne, Padoue et Montpellier. Cet assouplissement des règles stimule les connaissances anatomiques pour lesquelles l’attrait dépasse largement la sphère médicale. En raison de différents faits d’ordre politique, les sciences et les arts convergent dans les cités européennes et dans une nouvelle approche de l’Homme au prisme d’une curiosité renouvelée, notamment pour les textes et les savoirs antiques. Dans cet humanisme qui caractérise l’époque appelée Renaissance, les artistes tels Léonard, Raphaël, ou Michel-Ange s’inspirent, parfois directement, de dissections humaines et André Vésale, médecin d’origine bruxelloise qui se rend célèbre par ses leçons d’anatomie pratiquées à Padoue, commande à son ami Jan Calcar, élève du Titien, une série de planches qui viennent illustrer sa pratique. L’ouvrage De humani corporis fabrica ainsi réalisé fait date aussi bien pour ses qualités savantes qu’artistiques, et connait une diffusion prolongée à travers l’imprimerie qui en permet la réplication et le renouvellement comme en témoignent les traités de Spigelius ou Albinus. L’anatomie fait dès lors partie des cours fondamentaux dispensés dans les formations académiques pour la médecine comme pour les beaux-arts." Pour être plus précis, de nombreux pays européens légalisèrent la pratique entre la fin du XIIIe et le milieu du XIVe siècle. À cette époque, l’université de Médecine de Bologne, où on s’adonnait à la dissection, fut la plus renommée en Europe. Après un temporaire resserrement au début du XIVe siècle, le positionnement de l’Église cessa définitivement d’être le premier obstacle à l’usage de la dissection et l’Italie fut véritablement le cœur de la reprise de popularité de la pratique. Le principal obstacle, dès lors, fut bien davantage la sensibilité de l’opinion publique aux rumeurs de vols de cadavres et aux effrayantes histoires de dissection sur des sujets pas tout à fait morts.  Pour les premiers, ce n’était pas qu’une rumeur. Des vols de cadavres, y compris par profanation de sépulture, avaient lieu. Le célèbre médecin André Vesale, cité plus haut, avoua s’être lui-même adonné à ces pratiques au XVIe siècle, et ses étudiants de Padoue s’en firent aussi les tristes artisans. (ci-dessous, dessin d’un traité de médecine de 1493)
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Cette évolution des mœurs mettait avant tout en scène des pratiques médicales. Or, à la fin du XVe siècle, voilà que l’anatomie et les planches d’écorchés devinrent à la mode. Les artistes s’emparèrent de la pratique pour améliorer leur art, sans que cela fasse de remous, sachant que la séparation entre artistes et savants n’était pas si nette autrefois. On précisera que ces artistes s’arrêtaient souvent à des dissections superficielles. C’est là que l’on retrouve notre Léonard de Vinci, mais aussi des artistes tels que Michel-Ange ou le sculpteur florentin Baccio Bandinelli ( 1493-1560), qui dirigea une petite académie et y promettait aux jeunes artistes de "leur montrer comment disséquer le cerveau, et de leur exposer des hommes vivants, car moi-même ai atteint la maîtrise de mon art en disséquant des dépouilles d’hommes."
(ci-dessous, autoportrait de Bandinelli)
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A l’examen de ces anciennes traditions, on se rappellera un des axiomes des arts plastiques, qui édicte qu’il est vain de singer le style des artistes des temps anciens car nous n’avons plus le même rapport au monde qu’eux. Ces affaires de dissection en sont une illustration. Il serait prétentieux de vouloir disserter ici de la manière dont cette appréhension directe de la matérialité du vivant et des cycles de vie et de mort produisait un art différent du nôtre, nous qui vivons dans un monde aseptisé, mais il n’est pas interdit d’y réfléchir chez soi.
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blueiscoool · 1 year
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Circle of Baccio Bandinelli Italian, Florence, first half 16th century
Marble Bust of the Young Bacchus. 43cm., 18⅞in.
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tragediambulante · 7 months
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Details from the Coro Bandinelliano, Baccio Bandinelli and Giovanni dell'Opera, 1547-72
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eddy25960 · 16 days
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Study of Two Men / Baccio Bandinelli
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a-sculpture-a-day · 1 year
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Hercules and Cacus, Baccio Bandinelli, 1525-1530, marble, Piazza della Signoria, Florence.
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fraternoviril · 2 years
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Baccio Bandinelli.
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artandthebible · 27 days
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The Holy Family with the Infant Saint John the Baptist
Artist: Bacchiacca (Italian, 1494 - 1557)
Genre: Religious Art
Francesco d'Ubertino Verdi, called Bachiacca. He is also known as Francesco Ubertini, il Bacchiacca. He was an Italian painter of the Renaissance whose work is characteristic of the Florentine Mannerist style.
Bachiacca was born and baptized in Florence on 1 March 1494 and died there on 5 October 1557
Bachiacca belonged to a family of at least five, and possibly as many as eight artists. His father Ubertino di Bartolomeo (ca. 1446/7-1505) was a goldsmith, his older brother Bartolomeo d'Ubertino Verdi (aka Baccio 1484-c.1526/9) was a painter, and his younger brother Antonio d'Ubertino Verdi (1499–1572)—who also called himself Bachiacca—was both an embroiderer and painter. Francesco's son Carlo di Francesco Verdi (-1569) painted and Antonio's son Bartolomeo d'Antonio Verdi (aka Baccino -1600) worked as an embroiderer. This latter generation probably continued to produce paintings and embroideries after Bachiacca's death and until the Verdi family extinguished about the year 1600.
Bachiacca apprenticed in Perugino's Florentine studio, and by 1515 began to collaborate with Andrea del Sarto, Jacopo Pontormo and Francesco Granacci on the decoration of cassone (chest), spalliera (wainscot), and other painted furnishings for the bedroom of Pierfrancesco Borgherini and Margherita Acciauoli. In 1523, he again participated with Andrea del Sarto, Franciabigio and Pontormo in the decoration of the antechamber of Giovanni Benintendi. While he established a reputation as a painter of predellas and small cabinet pictures, he eventually expanded his output to include large altarpieces, such as the Beheading of St. John the Baptist, now in Berlin.
In 1540, Bachiacca became an artist at the court of Duke Cosimo I de' Medici (reg. 1537-1574) and Duchess Eleanor of Toledo. In this capacity, Bachiacca was a colleague and peer of the most important Florentine artists of the age, including Pontormo, Bronzino, Francesco Salviati, Tribolo, Benvenuto Cellini, Baccio Bandinelli, and his in-law, the sculptor Giovanni Battista del Tasso.
Bachiacca's first major commission was to paint the walls and ceiling of the duke's private study with plants, animals and a landscape, which remain an important testimony of Cosimo's interest in botany and the natural sciences.
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