inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
« Quand j’étais petit je n’étais pas grand. Avec les copains, nous jouions dehors toutes les fois que c’était possible. Dès avril, les culottes courtes étaient de rigueur et les genoux s’ornaient de belles plaques rouges artistement badigeonnées sur des écorchures d’anthologie par des mamans attentionnées. Normal, nous courions comme des dératés. Nous jouions aux cow-boys et aux Indiens, à Thibaud ou les croisades ou à la petite guerre sur tous les thèmes. Mais ça courait dans tous les cas.
Nous grimpions dans les arbres. Nous nous battions à l’occasion, d’homme à homme, entourés d’un cercle de témoins. Les billes en terre coûtaient un centime pièce. Les malabars se partageaient en quatre et les autos étaient à pédales. Ma famille n’avait pas de télévision et les kangourous n’avaient pas d’arêtes, mais j’ai quand même vu Zorro et Kit Carson et surtout Saturnin le canard et La
Maison de Toutou (nos vieilles voisines étaient tellement gentilles et les tartines pain- beurre-confiture-de-fraise tellement bonnes, j’ai souvent une pensée pour elles).
Les filles restaient d’étranges créatures qui jouaient à la dînette. L’école était publique mais pas mixte. Nous y allions à pied, seuls ou en groupes bruyants. Nos instituteurs étaient des demi-dieux omniscients qui n’hésitaient pas à sortir la règle ou à ouvrir la boîte à torgnoles pour nous remettre les idées en place. Nous apprenions l’histoire avec les planches pédagogiques Vidal-Lablache. Les Gaulois n’avaient pas grand chose à part un trou pour laisser passer la fumée et les seigneurs du moyen âge piétinaient les récoltes (ma première incursion dans le scepticisme historique et j’en suis très fier).
Les fables venaient de chez La Fontaine et les dictées de chez Alphonse Daudet. Une faute, un point. Il y avait encore des baignoires qui partaient à l’heure et des trains qui fuyaient devant des cyclistes dégonflés, et il était interdit de compter sur ses doigts. Tout ça rédigé au porte-plume à l’encre violette.
Il y avait aussi des ardoises et d’horribles crayons grinçants à vous déchausser les molaires. Avec dix bons-points on avait une image. L’instruction civique s’appelait cours de morale, il fallait céder sa place aux vieilles dames et aider les aveugles à traverser. Il y avait des notes et un classement (je ne dirai pas quelle était ma place habituelle par simple pudeur).
Nous lisions des livres de la bibliothèque de la classe, des histoires d’aventures en Afrique ou dans la pampa, de chevaliers héroïques ou de corsaires fougueux. Collection verte pour les garçons et rose pour les filles, il y avait aussi des Rouge et Or, mais sans la jaquette, j’y ai découvert Garneray, Vercel et Jack London, merci l’Instruction Publique. Chez moi, les bandes dessinées étaient interdites sauf pendant les vacances, avec une dérogation pour Tintin, Astérix et L’homme qui tire plus vite que son ombre (le reste : «c’est plein de fautes d’orthographe !»).
À la kermesse de fin d’année à l’école il y avait deux buvettes (ça biberonnait ferme au gros plant je ne dis que ça) et un stand de tir à la bosquette, et la semaine suivante une hécatombe de poissons rouges intoxiqués par l’ozone municipal. Nous avons tous survécu.
Nous habitions une ZUP. En 1968 notre immeuble ressemblait à un premier mai sur la Place Rouge, mais tout le monde partait faire bronzette sur les plages franquistes. Mon père préférait le camping sauvage du côté de Narbonne-Plage. L’esprit de contradiction, ça s’apprend jeune et c’est de famille, c’est comme ça, merci papa et maman. Dans le fond, je m’en suis sorti à temps. Ça m’a épargné le casque obligatoire pour faire du patin à roulettes, les pompiers au moindre bobo dans la cour de récré, les maths modernes, la notation sur cinq lettres et la méthode globale, les cours de repentance et de recyclage, le référant bondissant et les géniteurs d’apprenants, et la visite scolaire de l’expo sur les cultures du monde à la médiathèque municipale.
C’était mieux avant ? Je ne suis pas convaincu, mais là, j’évoque, c’est tout… non, non, juste j’évoque …. »
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
Maintenant qu’on a bien fait bronzette, c’est le moment de prendre le large. Il est 10h lorsque notre transfert nous dépose à l’aéroport de Punta Cana, devant les guichets d’Europcar. La fille en charge de notre réservation est vraiment très sympathique. Lorsque qu’elle comprend que nous parlons français, elle fait beaucoup d’effort pour nous donner quelques informations dans notre langue maternelle. Je lui demande comment elle a appris le français. Elle me répond l’avoir appris à l’école. Lisant l’étonnement sur mon visage, elle complète sa réponse en expliquant qu’elle a étudié dans une école privée et c’est là qu’elle a eu la chance d’apprendre le français mais que ça plus grosse difficulté c’est la prononciation. Notre discussion de compétences linguistiques terminée et le contrat signé, je prend en main notre Hyundai Verna et direction le supermarché situé à quelques minutes de l’aéroport.
Premier arrêt, l’agence Claro, pour acheter une carte SIM. Le forfait de 5 jours d’internet m’a coûté un peu moins que 5,50CHF 😅.
Deuxième arrêt, le supermarché. Dès notre entrée le sécurisas m’invite à déposer mon sac à dos dans des casiers sécurisés. Le supermarché est très propre et très bien organisé. Les oranges sont rangées une par une pour former une pyramide 🤯. Nous trouvons les deux trois choses dont nous avions besoins et surtout, l’indispensable ! Du Nutella 😍.
Maintenant que nous sommes approvisionnés, nous pouvons prendre la route. Après une heure à sillonner les champs de canne à sucre, nous faisons halte à la « cueva de las maravillas » (la grottes de merveilles). Avec un petit groupe de touriste et notre guide, nous descendons à plusieurs mètres sous terre. Cette grotte de 4.5 km2 était habitée par le peuple Taíno au 15ème siècle. Ils ont marqué leur passage par environ 500 peintures et gravures sur les murs de la grotte. Leurs dessins ressemblent un peu à des tags, un visiteur a même demandé à la guide s’ils étaient authentiques 😂. Une fois la visite de la grotte terminée, la guide nous explique que nous allons remonter pour aller observer les iguanes. En effet, plus de 3000 iguanes vivent dans cette réserve. Ils ne sont pas en captivité, un espace rocheux leur a été créer (aussi pour que les visiteurs puissent les observé plus facilement) mais ils sont libres d’aller ou bon leur semble. ENFIN je vois des iguanes ! Depuis 2021, lorsque nous sommes allé en Guadeloupe que j’aimerais voir des iguanes, en vain… La République Dominicaine abrite une espèce d’iguane que l’on trouve uniquement sur cette île, l’iguane rhinocéros 🦎🦏. Il tient son nom des petites cornes que l’ont peut voir sur son museau !
Maintenant que j’ai finis de faire le paparazzi, nous reprenons la route direction Santo Domingo, à un peu plus d’une heure de route. Lorsque nous arrivons à l’adresse indiquée sur Booking, nous avons la surprise de découvrir que l’appartement que nous avons réservé se trouve dans une résidence gradée 24h/24 par des sécuritas 👍🏼 la propriétaire des lieux est très sympathique. Elle nous fait visiter l’appartement, nous parle un peu des coins sympa et nous laisse son whatsapp si besoin d’autre conseil. Le logement est très spacieux. Petite cuisine, salle à manger, salon, WC et douche séparée et 3 chambres dont une qui dispose d’un WC et d’une douche ! On ne vas pas se marcher dessus 😂 Pour ce soir, on décide de ne pas s’aventurer dans les rues de la capitale, on va souper dans un petit restaurant au bas de l’immeuble ;)
Le matin je pars à l'assaut du Palacio da Pena, le château emblématique du massif de Sintra, qui en compte par ailleurs un paquet. L'ascension n'est pas si longue (un peu plus de 200m de dénivelé sur 3km) mais elle est raide et la route toute en pavés. Et pour couronner le tout, Google map m'emmène sur une voie en contresens. Quelques sueurs froides avec les bus qui dévalent la pente sans même ralentir. J'arrive vivant à l'entrée du parc de Palais. Il y a des emplacement pour stationner les vélos ! Pas trop de soucis pour trouver de la place. Apparemment, ce matin, il n'y a que moi qui suis monté à bicyclette.
Le bâtiment est assez récent. Construit dans la deuxième moitié du XIXème siècle. Il reprend des éléments de l'architecture arabe en ajoutant de la fantaisie et beaucoup de couleurs. Le résultat est flamboyant.
Je visite les jardins qui entourent le Palacio et je monte à la Cruz Alta, le sommet du massif de Sintra à 528 m au dessus du niveau de la mer (avec vue sur la mer!).
Redescente en ville à midi et enchiladas dans le restaurant mexicain qui m'avait fait de l'œil la veille. Je récupère mes bagages à l'hostel et j'entame la descente vers la mer. Par la route, j'arrive facilement et rapidement à Estoril. Sur mon GPS je constate que je ne suis plus qu'à 30km de Lisboa. C'est trop tentant. Il n'est pas encore 16h. La pause plage/baignade/bronzette s'impose !
Je continue, en alternant voie verte le long des plages et route à 2x2voies. J'arrive à Belém.
Je passe devant le Padrão do descobrimentos, le monument à la gloire des explorateurs. Hasard du calendrier, j'arrive ici le 12 octobre, date anniversaire de la découverte de l'Amérique par Cristóbal Colón. Petit moment d'émotion je l'avoue. Ici, je me sens vraiment loin de la maison et pas que géographiquement parce qu'en vérité de maison je n'ai plus.
Je continue le circuit touristique avec l'emblématique ponte 25 de Abril.
Et je finis ma journée sur la Praça do Comércio où une grosse fête se prépare. Je ne pensais pas pouvoir faire autant de choses en l'espace d'une journée ! Je reste 2 nuits à Lisboa pour profiter et me reposer.
quotes that broke me starters
@vibraea sent: ❛ beautiful things grow a certain height and then they fall and fade off. ❜
It was undeniable what she said was the truth. Jade can’t help but lets his gaze fall southward onto the pot of cereus plant. It had been one of his recent discoveries from the mountains upon coming across a cluster of them adorning one part of the meadows, looking as if the stars had fallen from the sky to land in the midst of the grass.
He had hoped to give them to Gemiya. The odd plant would only bloom at night, and its petals would start to shed once the sun rises and hits it with light. His grip around the pot tightens slightly in exasperation as he places the plant back where he’d cultivated it in the greenhouse.
Ah, he must have lost track of time. What a pity.
“It was the first time I’ve ever discovered a species that would only bloom during the night. I thought it was incredibly beautiful, and thought to give them to you. It had escaped me that they will only last a single night.” He admits. “Though, you are right. Nature does has its way of letting the most beautiful things escape our sights. Perhaps it’s trying to teach us to appreciate what we have now? Ha ha...”
Thankfully, he has a variety of collections that could substitute for it. Surely, it would be quite a disappointment to ask Gemiya here and then end up having nothing to give to her?
Jade lifts a finger to his chin to give it some thought. He originally wanted to give her the cereus because it had reminded him of her, but perhaps different plant would be able to convey the exact same meaning as well.
He reaches out to lift a pot of what looked like a bronze orchid and holds it with both hands, hoping she’d find this suiting for her as well. “This is a bronzette star. It might not be the one I had hoped to fashion into a gift for you, but it serves the same message nonetheless.”
𝐌𝐚𝐫𝐝𝐢 𝟒 𝐨𝐜𝐭𝐨𝐛𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐦𝐚𝐢𝐥𝐥𝐨𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐦𝐞𝐫 𝐣’𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐩𝐚𝐬 ! 🌞🧜🏻♀️ 𝐐𝐮𝐞𝐥 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐦𝐩é𝐫𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐢𝐥 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐯𝐨𝐮𝐬? ce matin j’ai fait une randonnée au Cap Sicié puis pic-nique avec le magnifique point de vue sur la mer, cet après midi baignade, bronzette sur la belle plage du brusc! #eteindien #summervibes #sixfourslesplages #lebrusc #maillotdebain #plage #travelblogger #travelinfluencer #fashionblogger #ipreview via @preview.app (à Six Fours les Plages) https://www.instagram.com/p/CjTIsMWspSv/?igshid=NGJjMDIxMWI=