Tumgik
#Céleste Mogador
primmlife · 9 months
Text
Review: Memoirs of a French Courtesan: Volume 1
Review: Memoirs of a French Courtesan: Volume 1 by Céleste Mogador, translated by Kristen Hall-Geisler #memoir #France #courtesan
Ever since I began learning the French language, I’ve taken an interest in its history and culture. I’ve been seeking out more books to understand the language better because language is as much a product of culture as vice versa. So, when I saw a chance to review a memoir of a French courtesan, I jumped on the opportunity. Memoirs of a French Courtesan: Volume 1: Rebellion by Céleste Mogador and…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
abwwia · 9 months
Text
Tumblr media
Élisabeth-Céleste Venard, countess of Chabrillan (27 December 1824 – 18 February 1909), better known by her stage name Céleste Mogador and often referred to simply as Mogador, was a French dancer and writer. via Wikipedia
0 notes
unsubconscious · 4 years
Photo
Tumblr media
Céleste Mogador 
157 notes · View notes
focusmonumentum · 3 years
Text
Le Théâtre Marigny
Tumblr media
Ce bâtiment circulaire trône sur le carré éponyme des Jardins des Champs-Elysées depuis 1894, rappelant par son architecture celle du Cirque d'été de Paris (ou Cirque de l'Impératrice sous le Second Empire), édifié en ce lieu dès 1841, ayant vu défiler de grands noms de l'acrobatie équestre, tel François Baucher sous la Monarchie de Juillet.
Auparavant, une petite salle, nommée "Château d'Enfer", est édifiée au sein du même carré, peu après la révolution de 1848, proposant des spectacles de "fantasmagories", héritières des prestidigitations de modestes planches d'attraction présentées ici depuis 1835. En 1855, la première exposition universelle de Paris se profilant, Jacques Offenbach obtient la concession du terrain afin d'y édifier son théâtre des Bouffes-Parisiens d'été (ceux d'hiver se trouvant toujours rue de Monsigny, dans le 2ème arrondissement). Il y créera son célèbre opéra-bouffe Orphée aux Enfers. En 1859, la salle est reprise par Charles Debureau, fils du fameux mime Jean-Gaspard Debureau (figuré dans le film Les Enfants du Paradis, de Marcel Carné, en 1940). Céleste Mogador lui succède, avant que le théâtre ne soit repris en 1865 pour devenir un cabaret sous le nom de "Folies Marigny". En 1881, le bâtiment est démoli pour présenter deux ans plus tard un panorama (attraction présentant des dioramas circulaires, très en vogue au XIXème siècle), dans un nouveau bâtiment édifié par Charles Garnier. Edouard-Jean Niermans, l'architecte du Moulin Rouge, fait détruire le Panorama de Garnier pour construire en 1894 un nouveau théâtre en rotonde à l'emplacement de l'ancien Cirque d'Eté, s'inspirant de son architecture. Ce nouveau théâtre monumental, d'une capacité de 1000 personnes, fut dirigé par de grands noms, tels Abel Deval, Léon Volterra, puis son épouse Simone Volterra (qui permit à Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud d'y fonder leur troupe Renaud-Barrault en 1954), Elvire Popesco, Robert Manuel, Jean Bodson (qui entreprend la transformation de l'annexe du Petit-Marigny en seconde salle de 311 places, d'abord nommée Gabriel, puis Popesco, en hommage à sa précédente metteure-en-scène)... Jusqu'à Robert Hossein, y ayant monté de 1982 à 2007 des grands succès du théâtre populaire, dont Kean, d'après Alexandre Dumas, ayant porté Jean-Paul Belmondo aux nues. Pierre Lescure prit sa suite, avant une longue phase de cinq années de travaux, précédant une réouverture en grande pompe en 2018, avec la comédie musicale Peau d'Âne, inspirée du film de Jacques Demy, aux compositions de Michel Legrand, avec Jean-Luc Choplin pour nouveau directeur. 
Tumblr media
On a longtemps accusé Edouard Niermans, l'architecte de cette rotonde, d'avoir été à l'origine d'un défaut de conception, ayant fait s'affaisser le lanternon sommital un soir de représentation du Diable à Paris, en 1927. Or, il s'agirait de décors trop pesants qui seraient responsables de cette inclinaison, volontairement conservée par les travaux de rénovation des années 2010. 
Crédits : ALM’s 
5 notes · View notes
lily-yvonne · 4 years
Text
Qui est Frère ELYÔN ?
           Il est difficile de parler de ma petite personne, parce que, après tout, ce n'est pas votre serviteur qui compte, mais seulement Dieu. Je ne suis qu'un très modeste récepteur qui ne fait que communiquer ce que la Très Sainte Trinité me révèle. C'est pourquoi je me fais très petit face à ce phénomène spirituel qui dépasse, et de très loin, le raisonnement humain. Pour ma part, il est vrai que je ne suis qu'un homme tout ce qu'il y a de plus ordinaire, mais à qui il est arrivé, dans cette courte vie, des événements extraordinaires. Ce n'est pas pour autant que je me crois supérieur à quiconque, au contraire, plus je rentre dans les Connaissances de Dieu, plus je me sens ridicule et ignare face à la Science universelle et infuse du Père éternel, notre Créateur. Alors pour faire plaisir à certaines personnes de nature curieuse, je veux bien apporter, en résumé, quelques bribes de ma pauvre petite vie actuelle mais, pour ma part, je n'y éprouve aucun plaisir car, comme tout un chacun, je me reconnais pauvre pécheur, du fait qu'il m'est arrivé de commettre quelques fautes dans mon parcours. Malheureusement, il n'est pas possible de revenir en arrière, mais comme j'ai reçu l'absolution d'un Prêtre, et même de plusieurs, puis surtout l'absolution de mon Sauveur Jésus-Christ, je me dois donc d'avancer sans regarder en arrière…
                                                  L'ENFANCE
           Alors pour ceux et celles qui s'interrogeraient à mon sujet, comme je l'ai écrit plus haut, je ne suis qu'un être tout à fait ordinaire. J'ai vu le jour le 7 mai 1950, un mois avant terme, en Anjou, et je suis le troisième enfant né après deux autres garçons plus âgés. Mon père, militaire de carrière, est décédé un mois avant ma naissance, durant la guerre du Vietnam. Mon enfance a été particulièrement difficile, car j'ai toujours été de santé fragile et il m'a été impossible de suivre une scolarité normale. En fait j'ai su après, par Dieu, que c'était prévu ainsi afin que je ne m'encombre pas trop avec des études terrestres, de façon à laisser de la place dans mon cerveau pour les choses du Ciel, infiniment plus importantes. En effet, c'est à partir de l'âge de 6 ans que j'ai reçu des informations célestes assez éclectiques et, je dois l'avouer, également parfois déconcertantes. Très jeunes, vers trois ou quatre ans, je me suis regardé dans le miroir et me suis dit : « Qu'est-ce que je fais là ? » Je savais intérieurement que je n'étais pas d'ici, mais j'étais incapable d'en donner la moindre explication, surtout pendant mon enfance et mon adolescence. Il est vrai que, très tôt, j'étais assez perturbé par quelque chose d'indéfinissable qui me rendait assez irritable. "Irritable", mais pas vraiment agressif pour autrui et surtout pas violent. Je suis conscient d'avoir été "pénible", comme le disait souvent ma mère, mais en aucun cas ma pensée était portée à faire du mal aux autres. Au contraire, j'ai toujours eu un cœur tendre et j'étais même un hyper-sensible. Lorsque je voyais quelqu'un souffrir, je ne pouvais pas le supporter et n'arrivais pas à comprendre la souffrance. De voir une personne ou un autre enfant pleurer, me mettait dans tous mes états. Toutes ces sensations que j'endurais, malgré-moi, avaient une cause évidente, mais difficilement explicable lorsqu'on est un jeune enfant. En revanche j'ai su plus tard, par Dieu, que : ni mon corps, ni mon esprit n'ont pu accepter ma venue ici-bas. D'où ce "tiraillement" entre le Ciel et la Terre qui m'a toujours mis mal à l'aise et qui explique également cette hyper-nervosité congénitale. De même que mon cerveau a toujours fonctionné beaucoup plus vite que mes neurones, ce qui engendrait de nombreuses perturbations complexes. De nos jours nous connaissons bien cette maladie congénitale dénommée : hyperactivité. C'est la même anomalie que l'autisme, mais inversée. C'est-à-dire, qu'au lieu de me renfermer dans une sorte de mutisme, j'avais tendance à faire sortir un excès d'énergie, pas très agréable pour mon entourage. Cependant, je vivais aussi, comme les autistes, dans mon monde, puisque celui ou j'étais né ne correspondait en rien avec l'autre monde céleste. En vérité, si j'ai toujours eu les pieds sur Terre, ma tête était ailleurs, non pas dans de la rêverie, mais bien en relation avec le Ciel…
           Déjà, à partir de l'âge de trois ans, je recevais comme des symphonies musicales qui ne provenaient pas de la Terre. D'ailleurs, dès quatre ans je jouais parfaitement bien de l'harmonica et était capable de reproduire à l'oreille n'importe quel morceau de musique que j'entendais par le biais d'un disque vinyle. En revanche, je n'étais pas capable de reproduire, dès ce jeune âge, les symphonies célestes qui me parvenaient dans mon âme, parce que ces sons très harmonieux n'étaient pas reproductibles avec un simple harmonica. J'essayais parfois de reproduire en chantant ce que j'entendais, par vibrations intérieures, mais ce n'était pas possible. C'est beaucoup plus tard que j'y suis arrivé avec un clavier synhétiseur-arrangeur, mais quand même, j'estime que ce n'est pas parfait et c'est frustrant ! Vous avez d'ailleurs quelques échantillons de style musical que j'entendais et que j'ai essayé de reproduire, le mieux possible, et qui se trouvent sur les pages de ce site. Par manque de temps, je n'ai pas pu encore tout reproduire, et il y a bon nombre de mélodies qui sont calées dans un coin de mon cerveau…
                                   PARCOURS ARTISTIQUE
           Alors vous avez compris que j'avais un certain talent musical très jeune, mais pas seulement, car j'ai un peu tout appris dans le métier du spectacle. Dès l’âge de 6 ans, j’étais déjà sur les planches, parce que ma mère était responsable d'une troupe de théâtre-chansonnier. Après avoir fait les classes de danse, de chant, de musique, de guitare, d’art dramatique, de régie, de sonorisation, en parallèle à mes études — notamment de psychologie —, je suis entré à 20 ans, en 1970, au «Petit Conservatoire de Mireille». En 1972, dans le grand et fabuleux Ballet National d’Espagne de Raphaël Aguilar, où je me suis perfectionné dans la danse de caractère durant 12 ans, avec une interruption de 2 ans, où j’ai fait partie d’une grande Revue parisienne en tant que 1er régisseur de théâtre, comédien, danseur et chanteur guitariste. J'ai également fait quelques prestations avec mon propre tour de chant que j’ai enregistré sur un album. J’ai aussi été clown et professeur de guitare. Je suis auteur-compositeur, membre de la S.A.C.E.M. J’ai réalisé trois albums mais qui n'ont pas vraiment eu de succès. Il est difficile de dévoiler en quelques lignes toutes mes réalisations, néanmoins ce long parcours artistique m’a valu d’être produit dans des endroits réputés, voire prestigieux, avec diverses personnalités, à savoir :
— Télévision en 1971 avec Mireille - 1976 avec Jacques Martin…
— Olympia/Taverne en 1975 - Palais des Congrès 76 - Bobino - Mogador - Salle Pleyel - Le Théâtre Royal de Turin - Casinos du Palm Beach à Cannes - de Nice - d’Evian - de Deauville - Hôtel Mont Blanc à Megève - tous les plus grands théâtres de France et d’Europe, ainsi que de nombreux cabarets, M.J.C., maisons de retraites... Arbres de Noël du stade Olympique de Marseille, pour les C.R.S, les Pompiers, Novotel, Carrefour, Citroën...
—Tournées avec Manitas de Plata et des premières partie de : Guy Bedos - Annie Cordy - Rika Zaraï - Marcel Dadi et bien d’autres vedettes du show-biz. J’ai également dansé «La Belle de Cadix», opérette de Francis Lopez dirigée par l’auteur, à Paris ainsi qu’en Belgique, avec Miguel Cortez et Juan Villamor tenant les rôles principaux.
           Quant au cinéma, même si j’ai déjà fait plusieurs fois de la figuration, c’est beaucoup plus tard que je m’y suis sérieusement intéressé. En fait, c’est à l’arrivée de la vidéo numérique où j’ai commencé, d’abord à suivre des cours informatiques, puis des cours de réalisation. Ce qui m’a permis de réaliser quelques clips vidéo et quelques films documentaires…
                                             LES ÉPREUVES
           Ceci étant dit, j'ai quand même mangé de la "vache enragé" et est vécu une vie très dure, même dès mon enfance. Comme écrit plus haut, mon enfance a été particulièrement difficile, non seulement du fait de mon hyper-nervosité et hyper-activité, mais aussi à causes des maladies à répétition, genre : bronchites chroniques, angines, végétations, otites, coqueluches, etc., qui m'ont cloué au lit durant des années. Erreur grave, car mes problèmes provenaient surtout des allergies aux acariens et à la poussières de maison, comme constaté plus tard, et le fait de rester enfermer était plus dangereux que de respirer le plein air ! Mais ma mère ignorait cet état de fait, d'autant que les maladies allergènes n'ont été découverts que dans les années 1980. Ceci dit, je suis né également avec une toxicose aiguë et une fièvre de 42°, mortelle pour les nourrissons, mais j'ai été guéri miraculeusement. A l'âge de 8 ans, alors que je ne savais pas encore lire, ma mère m'a obligé d'aller dans une colonie de vacances en Forêt Noir (Allemagne) et là j'ai vécu un véritable cauchemar. Ce qui m'a le plus marqué, c'est qu'on nous a servi un plat de soupe aux lentilles et au vin ! A cause de ce plat infecte qu'on m'a obligé à manger, j'ai été malade toute la nuit et il y a eu des dégâts dans le lit. J'ai été puni le lendemain matin et on m'a obligé à rester des heures à genoux dans le couloir, les mains dans le dos et la face contre le mur ! Heureusement, une brave femme (la seule) est venue me délivrer de cette torture. A l'âge de 9 ans, ma mère m'a forcé à aller chez mon oncle et ma tante en Auvergne. Ma tante était versatile et colérique. Tandis que mon oncle était pingre, maniaque et très autoritaire. En vérité, je leur servais de bonne à tout faire. C'est-à-dire que tous mes jeudis, je les passais à nettoyer la voiture ou le plancher de leur domicile. J'étais leur "Cosette" des Misérables, mais en garçon. Souvent j'étais puni, pour un oui ou un non. Je n'avais pas le droit de regarder la télévision, qui était placé en retrait dans mon dos lorsque nous étions à table. J'ai même été fouetté jusqu'au sang ! Et je suis resté chez eux jusqu'à l'âge de 14 ans. Ceci n'est qu'un résumé très concis de ma petite enfance.
                                                LES ÉTUDES
           Mon adolescence a été un peu mieux, sans pour cela avoir goûté le bonheur. Mais j'avais quand même davantage de liberté et j'étais à la campagne dans le sud de la France. C'est seulement à l'âge de 16 ans que j'ai passé le certificat d'études primaires. Plus tard j'ai poursuivi mes études jusqu'en 3ème. Et après, j'ai continué en autodidacte, et j'ai suivi parallèlement des cours de théologie à l'Institut de Paris où j'ai été diplômé à 41 ans. Pour en revenir à l'âge de 16 ans, tout en travaillant dans des usines, cela ne m'empêchait pas de rêver de gloire dans le monde du spectacle. J'ai d'ailleurs été renvoyé deux fois, parce qu'on a bien vu que je n'étais pas fait pour travailler en usine. Ensuite, à 17 ans, j'ai été au conservatoire de Nîmes, où j'ai appris le chant, la diction et l'art dramatique. J'ai même créé une petite troupe amateur, où nous faisions des représentations de temps à autres. J'ai également appris le solfège et la guitare. Je n'ai fait hélas que deux années de solfège, mais cela a été suffisant afin de pouvoir écrire mes partitions musicales pour la S.A.C.E.M. Néanmoins, j'ai été aidé un peu plus tard, par un grand professeur de piano à Paris du nom de : "Maestro Sentis". Pianiste hors paire, très réputé dans le monde du show-biz. En effet, il a été le pianiste attitré de Luis Mariano, puis le professeur de Mireille (du petit conservatoire) ainsi que, plus tard, de Michel Polnareff. Il était également arrangeur musical pour l'ORTF dans les années 1960/1970. Bref, à l'âge de dix-neuf ans, j'ai quitté le midi de la France pour monter à Paris, où là, j'ai appris le métier du spectacle au complet et sur le tas. Il m'est arrivé, durant ma formation artistique, de dormir dans des lieux malfamés et même dans le métro ou encore dehors sous la neige. Oui, j'en ai bavé, avant de devenir professionnel du spectacle et réalisateur artistique…
                                    LE CHANGEMENT DE VIE
           Voici en quelques lignes, non exhaustives, la première partie de ma vie très mouvementée, dont je ne suis pas spécialement fier, car je pensais surtout à « briller » sur les plateaux, mais aussi à courir « les jupons ». Donc un vrai parcours de pécheur : d'un jeune homme de 20 ans plutôt "farfelu" et immature que je regrette du plus profond de mon être. Ceci étant dit, et afin d’ouvrir une parenthèse, il faut avouer que c’est quand même grâce à toutes ces années passées que j’ai pu obtenir aujourd’hui quelques qualifications. Or ces qualifications, même modestes ― car nous apprenons chaque jour quelque chose ― devaient me permettre de réaliser la plus grande Oeuvre cinématographique, jamais portée à l’écran, que Dieu voulait pour évangéliser toutes les âmes, à savoir : « L’Ultime Alliance - la Passion, la Résurrection et l’Ascension de Jésus-Christ. » En vérité, Dieu m'avait préparé, par le biais de ce monde particulier du spectacle et du cinéma, afin que ce Film grandiose de quatre heures à l'écran puisse ��tre réalisé. Néanmoins, il fallait aussi que je reste humble de cœur, d'où ce parcours extrêmement difficile dans les larmes et la souffrance. Dieu soit loué ! Justement, en vérité, c’est vraiment grâce à Dieu si j’ai diamétralement changé de voie, pour ensuite devenir Religieux : "Petit Frère du Sacré-Cœur de Jésus", selon l'Ordre de Charles de Foucauld. Et je dis : merci Seigneur ! C’est difficile à expliquer en quelques mots ce changement de vie, que dis-je : ce bouleversement ! Mais ce revirement total a été dû d’abord à un Appel réel du Christ, puis aux longues études de théologie, et enfin à une demande pressante de Jésus afin que Sa Passion détaillée soit réalisée en Film. Je suis conscient de l’étrangeté de mes propos face à la raison, dite « cartésienne », et pourtant c’est la plus stricte vérité. En tout cas, je n’oblige personne à me croire, mais je ne peux non plus mentir, sous prétexte que certains phénomènes que j’ai vécus n'entre pas dans le cadre de la rationalité tellement humaine. Bref, de toute façon, l’important n’est pas de faire valoir mon propre vécu spirituel, mais de faire exclusivement la Volonté de Dieu…
                                      L'ULTIME ALLIANCE
           D'abord, Notre Seigneur m'a dit en 1995 puis en 2004 : « Réalise Ma Passion - Écrit Ma Passion. » J'ai bien évidemment obéi et j'ai écrit LE Scénario, d'après les quatre Évangiles, le premier des Actes des Apôtres, le Linceul de Turin (très parlant et émouvant), puis de grands passages d’écritures des deux derniers tomes, après correction par votre serviteur, de Maria Valtorta. Oui, Jésus-Christ m'a demandé de corriger quelques erreurs qui étaient écrites dans ces deux ouvrages de Maria Valtorta, qui ont servi de support à l'écriture de ce Scénario d'exception. C'est après 19 mois, dans la prière, le jeûne et les sacrifices que ce Scénario a vu le jour. Au final, nous obtenons une Œuvre puissante, authentique, émouvante et vraiment capable de briser des cœurs de pierre. C'est, en Vérité, l'ultime Évangile de Jésus-Christ, dictée par le Fils de Dieu LUI-même ! Malheureusement, si nous avons pu tourner les décors en Israël, il nous a été impossible de poursuivre ce tournage, par manque de moyens. De fait, comme il était prévu de tourner en Aveyron en 2009, nous avons dû, et à contre-cœur, tout annuler. Personnellement, j'en ai eu le cœur brisé, mais pas seulement, car c'est Notre Seigneur qui en a été le plus touché ! Comme vous verrez dans les Messages qui m'ont été communiqués, par Dieu le Père et Dieu le Fils, c'est toute l'Église catholique en particulier et le monde en général qui vont en subir de terribles conséquences…
                               LE BLOCAGE DU FILM
           En effet, le problème majeur, qui est survenu et qui a bloqué la suite du tournage de ce Film, a été surtout à cause d'une poignée de pseudo "catholiques", principalement canadiens, qui se sont ligués avec violence et agressivités, pour me faire un barrage et empêché la pleine concrétisation de l'Œuvre de Dieu. Le Diable ne m'a pas épargné, car il ne voulait pas de ce Film… et pour cause ! Une évangélisation générale, d'un seul coup d'un seul, aurait brisé son plan machiavélique, qu'il a ourdi de longues dates, afin de faire chuter les âmes universellement ! Alors il a pénétré quelques esprits catholiques et "bien pensants," pour les utiliser dans le but de contrer le grand Film de Dieu. Et après, ces gens-là prient leur chapelet, en demandant la paix à Dieu pour le monde ! Mais la "paix," ils ne l'auront pas, parce que Dieu est en colère et Il a tourné le dos à ce monde aveugle et tellement pervers !
           Alors, me direz-vous, pourquoi il y a eu un tel acharnement contre ce Film, s'il provenait bien de Dieu ? En vérité, le Film était attaqué indirectement, car celui qui était visé : c'est votre serviteur ! En effet, j'ai écrit des Ouvrages Sacrés, et ils sont Sacrés parce qu'ils proviennent tous de la Très Sainte Trinité qui m'a fait la grâce de me les dicter. Comme je vous l'ai écrit supra, j'ai reçu de Dieu de nombreuses Révélations depuis mon enfance et, notamment, des Sciences qui ne correspondent pas toujours à ce qu'on nous a appris sur le banc des écoles, et même au catéchisme. C'était comme des pièces d'un vaste puzzle qui m'ont été transmises, de temps autres, mais qui n'étaient pas toujours en parfaite concordance. Maintenant que le puzzle est pratiquement fermé, c'est ainsi que je peux voir, plus de cinquante ans après, la magnificence et la splendeur du Plan de Dieu pour les hommes ! Seulement, certaines de ces Révélations qui m'ont été communiquées n'ont pas été acceptées par quelques personnes aux œillères persistantes et, aujourd'hui encore, il m'arrive d'être confronté à certains cerveaux embrumés par un monceau d'ignorance ! Avant d'entrer dans les détails de ce que ces quelques âmes "bien pensantes" reprochent à votre serviteur, je vais poursuivre assez brièvement, en ce qui concerne mon témoignage des phénomènes spirituels vécus…
                                      LA RÉVÉLATION
           Il est vrai que, depuis mon enfance, j'ai vécu des phénomènes assez extraordinaires qui prouvent effectivement que je suis bien Elie : le premier et le dernier des Prophètes. Voici un extrait du Message du 16 décembre 2012, que m'a adressé Notre Seigneur Jésus-Christ :
« Mon Frère bien-aimé, tu es trop timide, car tu ne te révèles pas toujours ouvertement, comme Je te l'ai demandé. Tu es retenu par ton humilité de cœur mais, cependant, ton devoir est de parler ouvertement, sans retenu, afin que le monde sache qui tu es réellement. »
           En effet, d'après le Fils de Dieu, je serais "trop timide" dans mes propos. Je ne sais pas si c'est vraiment une timidité mais, en tout cas, je suis conscient qu'il m'est difficile de parler ouvertement de cette Vérité absolue, parce que je me sens mal à l'aise. Je me sens mal à l'aise, déjà en tant que personnage d'Elie que je dois révéler au monde, mais aussi à cause d'un devoir délicat de Rassembleur, dans le but de tout restaurer : politiquement, scientifiquement et religieusement. Même avec le soutien du Sacré-Cœur de Jésus, le monde est vraiment trop embrumé, à cause du Diable qui a agi démesurément sur l'esprit humain, et je crains fort d'être le mal venu dans cet aveuglement général. Je me dois néanmoins d'obéir à Dieu le Père et le Fils, dans la Sainte Trinité, dans l'espoir que quelques âmes aient suffisamment d'ouverture, afin de recevoir la Lumière de la Révélation et puissent agir en conséquence. Surtout que personne ne fasse la méprise de croire que je suis un nouveau gourou. Non, je refuse de construire une secte de plus, alors qu'il y en a déjà tant sur la surface de notre globe et qui placent beaucoup trop d'âmes dans la confusion…
Retrouver la suite sur le Site Sacré VOULU par DIEU : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/page1-qui-est-f.e.html
UNE GRANDE GRÂCE NOUS EST DONNÉE ! http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ https://www.youtube.com/watch?v=1qI8FeNbFsM&t=621s https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
Tumblr media
1 note · View note
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Bagues brodées par Céleste Mogador
4 notes · View notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le Cancan aux couleurs de Toulouse-Lautrec http://www.moulinrouge.fr/histoire/grandes-periodes LES DIVINES « CHAHUTEUSES » Les bals du Moulin Rouge deviennent rapidement très prisés. Apothéose de la soirée : on y découvre avec un enthousiasme débordant une nouvelle danse, le Cancan avec ses danseuses, Les chahuteuses et ses rythmes endiablés, qui au grand dam de certains, ont de quoi vous retourner les sens. Dans le Guide des plaisirs de Paris, édition 1898, les danseuses de Cancan sont décrites comme « une armée de jeunes filles qui sont là pour danser ce divin chahut parisien comme sa réputation l’exige… avec une élasticité lorsqu’elles lancent leur jambe en l’air qui nous laisse présager d’une souplesse morale au moins égale… ».Parmi ces nouvelles figures de proue de la vie parisienne, certaines comme la fameuse La Goulue immortalisée par Toulouse-Lautrec, passeront à la postérité. « Oui, la Goulue, elle était célèbre. Je lui ai parlé, sur les quais du métro. Je l’ai reconnue et je lui ai demandé de l’embrasser : « Vous permettez que je vous embrasse, ? » C’était très dans le genre. Un personnage du siècle. Elle était, pour moi, sans âge, grande, forte, très très grande, dans mes souvenirs. Elle aurait peut-être 125 ans aujourd’hui ? A Neuilly, il y avait un lion en cage qu’elle domptait… Arletty citée par Michel Souvais. Les Cancans de la Goulue. PRÉLUDE DU CANCAN, LE QUADRILLE Dès 1850, Céleste Mogador, danseuse vedette du Bal Mabille – qui deviendra plus tard l’orchestre Mabille du Moulin Rouge – invente une nouvelle danse, le Quadrille : huit minutes à couper le souffle sur des harmonies parfaites et avec Offenbach comme maître de musique incontesté. Un rythme endiablé, de l’équilibre, de la souplesse, à la limite de l’acrobatie, les danseuses du Quadrille dans leur costume affriolant, font perdre la tête au Tout-Paris. Le Quadrille, plus en chair, vaut surtout par la tradition qu’il offre, chaque jour, à ceux, hommes de tous les mondes, qui ont gardé la représentation d’un Moulin, asile du cancan, des jupes envolées, des corps renversés pour mieux s’offrir, des refrains carrés encadrés de puissants trombones et de cornets à pistons, dernière figure d’un symbole qui a quitté Paris depuis longtemps pour faire son tour du monde… »Furia francese ». Henri-Jacques. Moulin Rouge – 1925
13 notes · View notes
littlefoible · 5 years
Photo
Tumblr media
2822 - Céleste Mogador https://www.instagram.com/p/B9f3dCenbGZ/?igshid=i10f97gszyxo
0 notes
c-mogador · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Broderies by CÉLESTE MOGADOR
3 notes · View notes
marienela · 6 years
Text
The press notes said that the [David Hart] Spring ’19 collection was inspired by the Watergate scandal, yet my first thoughts when I saw the collection was Saturday Night Fever and immediately pictured John Travolta in the suits with its oversized 1070s proportions and bright color palette.
Perhaps its because Richard Nixon belong to the history books nowadays but John Travolta’s “Tony Manero” is still very much a part of pop culture. Case in point, on June 12, 2018, the actor was honored with a John Travolta Day in Brooklyn.
The ceremony, which was attended by thousands of fans was held in front of Lenny’s Pizza, a place made famous in the film “Saturday Night Fever” when Tony ordered two slices of pizza called a double decker and ate it as he walked away from the pizza joint.
Timeline wise, there was 5-year gap between the Watergate Scandal (1972) and the release of Saturday Night Fever (1977) but David Hart captured the feeling of the era. Irreverent and irresponsible with a touch of hopefulness for the future. After all, it was the disco era! And on a more serious note, it was also the end of the Vietnam War, Pres. Nixon’s gift to the American people – getting the U.S. out of Vietnam.
Yet come to think of it, Nixon also gave Merriam-Webster a gift – a new meaning for the word “gate.” When used as a suffix, it means a “scandal.”
The 1970s was four decades ago yet its legacy lives on. The David Hart “Watergate” collection with its “KNOLL interior inspired color palettes and embroideries by Céleste Mogador,” is eye-catching. Its refined silhouettes stand out in a season dominated by streetwear. And quite frankly, I find it one of the best collections of the season.
Photos by David Carlo, courtesy of David Hart
David Hart Spring 2019: That Seventies Show #NYMD @davidhartnyc @AgentryPR The press notes said that the [David Hart] Spring '19 collection was inspired by the Watergate scandal, yet my first thoughts when I saw the collection was Saturday Night Fever and immediately pictured John Travolta in the suits with its oversized 1070s proportions and bright color palette.
0 notes
didyouknow-wp · 7 years
Link
0 notes
Photo
Tumblr media
Embroidered Jewelry by Céleste Mogador http://ift.tt/2jDxyC4
0 notes
unsubconscious · 4 years
Photo
Tumblr media
Céleste Mogador
154 notes · View notes
unsubconscious · 4 years
Photo
Tumblr media
Céleste Mogador 
171 notes · View notes
unsubconscious · 4 years
Photo
Tumblr media
Céleste Mogador
91 notes · View notes