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#Claudio Merulo
musicwithoutborders · 4 months
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Claudio Merulo / I Cavalieri del Cornetto , Canzon decimaottava (Improvised diminution by Andrea Inghisciano) I Tempesta di passaggi.Solo Music for Cornetto, 2021
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openingnightposts · 1 year
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A set of pieces by Claudio Merulo, recorded in the Teatro del Trionfo in Cartoceto by Marco Mencoboni on a harpsichord made by Roberto Livi.
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churchofsatannews · 4 years
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Vox Satanae - Episode 485: Renaissance Music - Week of August 17, 2020
Vox Satanae – Episode 485: Renaissance Music – Week of August 17, 2020
Vox Satanae – Episode 485 – 174 Minutes – Week of August 17, 2020
Renaissance Music
This week we hear works by Antoine Busnois, Heinrich Isaac, Clément Janequin, John Taverner, Jacques Buus, Antonio de Cabezón, Giovanni Pierluigi da Palestrina, Orlande de Lassus, Claudio Merulo, Jan Pieterszoon Sweelinck, John Dowland, Manuel Cardoso, Hans Leo Hassler, John Wilbye, Johann Kapsberger, and Adam…
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What is a Toccata ?
The Toccata is a musical form for keyboard instruments, written in a free style that is characterized by full chords, rapid runs, high harmonies, and other virtuoso elements designed to show off the performer’s “touch.” The earliest use of the term (about 1536) was associated with improvised solo lute music.
In the late 16th century in Venice such composers as Giovanni Gabrieli and Claudio Merulo wrote organ toccatas (many with such titles as Fantasia and Intonazione), often achieving a majestic virtuosity by means of florid scale passages, embellishments, unsteady rhythms and harmonies, changes of mood, and freedom of tempo. Merulo initiated the later common practice of alternating fugal sections (using melodic imitation) with rapid toccata passages. In Rome, Girolamo Frescobaldi (d. 1643) composed toccatas that consisted of highly improvisatory sections loosely strung together, marked by sudden changes in harmonies and figuration. They were intended to be played with a free tempo and could be performed in their entirety or in one or more sections. Frescobaldi’s German pupil Johann Jakob Froberger was an important exporter of the style to Germany. Like his teacher, Froberger delighted in the use of chromatic harmonies (using notes foreign to the mode of the piece); and, like Merulo, he characteristically placed a contrasting fugal section between introductory and closing passages in toccata style.
The contrast of improvisatory and fugal passages—which appealed to the Baroque fascination with the union of opposites—became a prominent feature of the toccatas of the organist-composers of north Germany, culminating in the works of Dietrich Buxtehude and, later, J.S. Bach. Buxtehude’s toccatas, in contrast to, for example, those of Frescobaldi, are shaped by an underlying formal structure. Two, even three, fugal sections often alternate with toccata passages, and the fugue subjects are frequently variations of a basic motif. In the late Baroque era, as in a number of works of J.S. Bach, the association of the two opposite styles often took the form of an improvised first movement (termed prelude, toccata, fantasia, etc.) followed by a fugue, as in Bach’s well-known Toccata and Fugue in D Minor, BWV 565, for organ. Toccatas were occasionally composed after the Baroque era, a notable example being the third section of Claude Debussy’s suite Pour le piano (composed 1896–1901). 😉
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radiofreesatan · 7 years
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Vox Satanae - Episode #352
Vox Satanae – Episode #352
Vox Satanae – Episode 352 – 155 Minutes – Week of 24 July 2017
This week we hear works by John Taverner, Claudio Merulo, Giovanni Felice Sances, Jean-Joseph Mouret, Jan Antonín Koželuch, Louis James Alfred Lefébure-Wély, Henri Constant Gabriel Pierné, and Jonathan Dean Harvey with performances by Contrapunctus, Owen Rees, Frédéric Muñoz, L’Arpeggiata, Christina Pluhar, Adolf Scherbaum, Orchestre…
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johnjpuccio · 3 years
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Review of “Stylus Phantasticus.” Tekla Cunningham; Pacific MusicWorks. Reference Recordings Fresh! FR-742
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Stylus phantasticus (or Stylus fantasticus) means “fantastical style,” and it refers to a genre of early Baroque music, derived particularly from the toccatas and fantasies of sixteenth-century Italian composers like Claudio Merulo and Girolamo Frescobaldi. In a book on the subject, the German Jesuit scholar Athanasius Kircher wrote, "The fantastic style is especially suited to instruments. It is the most free and unrestrained method of composing, it is bound to nothing, neither to any words nor to a melodic subject, it was instituted to display genius and to teach the hidden design of harmony and the ingenious composition of harmonic phrases and fugues."
To read the full review, click here:
https://classicalcandor.blogspot.com/2021/10/stylus-phantasticus-cd-review.html
John J. Puccio, Classical Candor
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jieyu · 4 years
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toccata (n.)
1724, from Italian toccata, from toccare "to touch," from Vulgar Latin *toccare (see touch (v.)). "A composition for a keyboard instrument, intended to exhibit the touch and technique of the performer, and having the air of an improvisation" [OED]. 
The toccata is characterized by full chords, rapid runs, high harmonies, and other virtuoso elements designed to show off the performer’s “touch.” In the late 16th century in Venice such composers as Giovanni Gabrieli and Claudio Merulo wrote organ toccatas (many with such titles as Fantasia and Intonazione), often achieving a majestic virtuosity by means of florid scale passages, embellishments, unsteady rhythms and harmonies, changes of mood, and freedom of tempo.
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ojolosoy · 4 years
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(vía https://open.spotify.com/track/7itMcPzVa0AEVCLnXqZQLt?si=NCYe0E8vTcqpmrkQMTe7fA)
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ecoledeschartes · 5 years
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La Marciana, sur un air de musique
Louise Gousseau effectue son stage de 4e année à la Biblioteca Nazionale Marciana, à Venise (Italie). Voir la carte des stages
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Installé au fond de la vaste salle de lecture de la Biblioteca nazionale Marciana, un imposant personnage de pierre, protégeant un livre contre son buste, semble surveiller l'étagère chargée d'ouvrages au centre de la pièce. Cette austère figure n'est autre que Pétrarque qui, en 1362, peu avant sa mort, décida de léguer les ouvrages de sa bibliothèque à la République de Venise. Ayant en tête le modèle de la bibliothèque ptoléméenne, il émit le vœu d'ouvrir sa collection à qui voudrait la consulter. Il est considéré comme le lointain fondateur de la Marciana qui conserve aujourd'hui cet antique statut de bibliothèque publique.
C'est au sein de cette institution séculaire, bibliothèque parmi les plus riches d'Italie1, que je commençai mon stage le mardi 3 septembre 2019. Ma mission : corriger dans le catalogue en ligne les erreurs dues à une rétroconversion difficile des catalogues écrits vers le système informatique.
Pratiquant la musique depuis plusieurs années, je fus chargée des notices de manuscrits musicaux des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
À mon arrivée, l'une de mes deux tutrices, Orsola Braides, entre autres fonctions coordinatrice du département Biblioteca digitale e Materiali speciali, se présente et m'emmène sans façons faire le tour de la marcienne.
L'écrin de Sansovino au rythme de l’histoire
La lumineuse salle de lecture de la bibliothèque, cœur bâtant de l'institution, correspond à l'ancienne cour de la Zecca, c'est-à-dire de l'ancienne Bourse de Venise, où l'on frappa le célèbre ducat d'or vénitien, puis la lire autrichienne au moment de l'occupation de la cité par les Autrichiens. Cette cour, avant d'y recevoir livres et lecteurs, fut dotée d'un remarquable plafond de plaques de verre. Témoins de l'ancienne vocation du bâtiment, l'institution conserve au premier étage les coffres-forts où les pièces de monnaie étaient placées en dépôt.
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La salle de lecture
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Détail de l'un des coffres
En sortant de la salle de lecture, et en traversant ce qui, du temps de la Zecca, était une rue, nous pénétrons dans une petite salle, plus intime, dédiée à la consultation des manuscrits, et où viennent travailler en moyenne 3 ou 4 lecteurs par jour. Une fois gravie la double volée d'escaliers bordant la pièce, j'observe avec étonnement l'originale répartition des magasins, disposés tout autour de la salle de lecture et s'étalant sur plusieurs étages. Au premier palier, sur le flanc droit, se trouve la réserve des manuscrits, longue pièce où se succèdent les rayonnages à un rythme serré. C'est ici que sont conservées les collections les plus précieuses de la bibliothèque. Parmi elles, se détache un ensemble d'imposants codices, uniformément reliés de cuir brun. Il s'agit des précieux ouvrages hérités de la bibliothèque du cardinal Bessarion2, qui fut à l'origine du premier fonds de la Marciana – à l'origine appelée Libreria di San Marco –, en 1468. Parmi eux, d'inestimables manuscrits grecs, dont le fameux Venetus A3, plus ancien manuscrit complet connu de l'Iliade. Cet emplacement au premier étage n'est pas du au hasard, bien au contraire : les manuscrits sont ainsi protégés des ravageuses acqua alta qui peuvent pénétrer jusque dans l'intérieur de la salle de lecture et commettre de lourds dégâts sur les livres, à l'image de celle du 12 novembre, advenue quelques jours après mon départ, qui dans la nuit du 11 au 12 détériora plusieurs livres dédiés à la consultation en salle4. Un risque à la fois récurrent et rare auquel il est actuellement difficile de remédier.
En sortant de la réserve, nous empruntons un petit escalier qui nous mène jusque dans les bureaux du personnel, installés dans le Palazzo della Libreria, bâtiment commandé par la République de Venise au grand architecte Jacopo Sansovino (1486-1570) pour abriter la donation de Bessarion. Chacune des différentes pièces en enfilade dispose d'une vue grandiose sur le Palazzo ducale ou sur la lagune et l'église de San Giorgio Majore.
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La vue sur la Piazzetta, le Palais des Doges et la basilique...
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... et celle sur la lagune et l'église de San Giorgio Majore
Les plafonds des bureaux sont décorés de motifs architecturaux à l'antique et de médaillons historiés datant du XIXe siècle, vestiges du temps où Napoléon avait décidé de déplacer les livres de la Libreria di San Marco au Palazzo Ducale pour loger dans le Palazzo della Libreria son fils adoptif et vice-roi d'Italie Eugène de Beauharnais.
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Mon bureau. Étagères et plafond peint
Aujourd'hui, la bibliothèque s'étale en tout sur trois bâtiments : la Zecca, le Palazzo della Libreria, tous deux œuvres de Sansovino, et les Procuratie Nuove, édifice qui, avec les Procuratie Vecchie et la basilique, structurent la place Saint-Marc. La bibliothèque, chose rare, dispose également de son propre atelier de restauration.
La reproduction des manuscrits, des vetrini à l'ère numérique
Un peu plus tard dans mon stage, Orsola m'emmènera à l'ouest du bâtiment, dans la fototeca, véritable conservatoire des différentes techniques de reproduction des manuscrits au fil du temps. Des curieuses plaques de verre – les vetrini – de la fin du XIXe siècle aux reproductions numériques enregistrées sur le serveur, en passant par les microfilms, fotocolor, CD-ROM, disques durs et facsimilés, la diversité des méthodes est impressionnante. Aujourd'hui, les reproductions sont faites par des prestataires extérieurs dans un laboratoire de photographie situé au rez-de-chaussée de la bibliothèque et conservées sur un serveur appelé communément « TECA ». Les anciennes techniques de reproductions ne sont pas pour autant définitivement mises au placard une fois obsolètes, puisque l'on peut consulter les microfilms dans des salles attenantes aux salles de lecture et que, pour des raisons pratiques, certaines reproductions numériques sont réalisées à partir de microfilms ou reprises de données qui ont été antérieurement stockées sur CD-ROM.
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Bréviaire Grimani, fol. 206r facsimilé, Edizione Leida 1904
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Bréviaire Grimani, fol. 206r facsimilé de 1862
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Vetrino d'une partie du même fol.206r du Bréviaire Grimani
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Une archiviste dans son milieu naturel
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Liber simplicibus du XVe s. (Lat. VI, 59), fol.363r, fotocolor (1969)
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Le même folio, dans sa version numérique
La musique à la Marciana
Les manuscrits de musique sur lesquels je concentre mon attention ont pour la plupart été acquis par Girolamo Contarini (1770-1843), membre d'une noble et ancienne famille vénitienne. Il légua à sa mort une bibliothèque riche de livres d'histoire et de géographie, de chroniques, mais également de 120 manuscrits musicaux qu'il tenait de Marco Contarini (1632-1689), procurateur de Saint-Marc et collectionneur passionné d'ouvrages de musique.
La conservation de la musique n'est pas la vocation première de la Marciana, qui du fait de ses origines bessarioniennes, s'orienta d'abord vers la conservation des manuscrits grecs. Pourtant, les aléas des donations, aussi bien que le rayonnement qui caractérisa Venise dans le domaine musical dès la fin du XVIIe siècle, font que la bibliothèque conserve aujourd'hui un riche fonds de musique manuscrite et imprimée. Cette dernière est conservée dans une pièce bordée d'étagères en bois, au cœur des labyrinthiques Procuratie Nuove.
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La réserve des imprimés de musique
On y trouve des exemplaires imprimés par Ottaviano Petrucci, qui, en 1501, fut le premier à imprimer un recueil entier de musique. En consultant d'autres ouvrages, on comprend l'évolution de la technique des imprimeurs qui, au fil du temps, préférèrent la gravure sur plaques de cuivre aux coûteux et complexes caractères mobiles utilisés par Petrucci.
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Frontiscpice d'un exemplaire des Canzonette alla Napolitana de Giacopo Moro da Viadana, imprimé à Venise en 1581
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Le même exemplaire, p.62. Les notes sont imprimées à l'aide de caractères mobiles
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Claudio Merulo, Toccate d'intavolatura d'organo, 1598, p.11. La partition est gravée sur une plaque de cuivre. La seconde portée de la partition est composée de 8 lignes !
Les manuscrits musicaux que je suis amenée à consulter tous les jours, quant à eux, sont pour beaucoup des copies et recueils de morceaux déjà écrits. Cependant, la rapidité d'écriture et la fréquence des ratures dans certains des ouvrages laissent penser qu'il s'agit de premières ébauches. Ce fut l'occasion pour moi de me familiariser avec des compositeurs vénitiens comme Girolamo Venier (1650-1735) ou Angelo Baldan (1747?-1803?), ou originaires d'autres villes italiennes, comme le napolitain Giovanni Paisiello (1740-1816). Après une observation minutieuse des livres, je dois compléter avec le plus de précision possible les notices qui seront ensuite consultables en ligne, sur le catalogue commun de la Vénétie et celui des bibliothèques italiennes.
L'une des merveilles que je découvre est un recueil de Canzoni da Batello, qui sont des chansons populaires qu'entonnaient autrefois les gondoliers pendant leurs trajets. Les chants des gondoliers sont à l'origine de plusieurs types d’œuvres musicales, comme celui de la barcarola, courte composition musicale au rythme ternaire, inspirée par le mouvement de rame du gondolier, à laquelle s'essaieront des compositeurs comme Mendelssohn ou Offenbach.
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Recueil de Canzoni da Batello datées par l'auteur de 1747 à 1776 par l'auteur du manuscrit
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"Quà la marmotina", l'une des chansons du recueil
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Le manuscrit a été couvert d'une reliure à décor
Pour mener à bien ma mission, je peux compter sur Orsola, mais également sur Luciana Battagin, qui, venue de la musicologie, est aujourd'hui responsable du secteur Théâtre et Musique. Comme les autres membres du personnel de la bibliothèque, dont la diversité des parcours est surprenante, toutes deux sont de véritables couteaux-suisses qui, en plus de leurs fonctions principales, prennent en charge une quantité d'autres tâches, comme l'information au public ou la gestion des demandes de reproductions photographiques.
Au détour d'une recherche sur le catalogue en ligne, une mention « Rossini autografo » ne manque pas d'attirer l'attention d’Orsola et la mienne. Après plusieurs recherches qui me mèneront jusque dans les archives de la bibliothèque, dans les combles, ainsi qu'à la Fondazione Levi, logée dans un somptueux palais donnant sur le Grand Canal, nous parvenons à conclure qu'il s'agit en effet d'un manuscrit autographe de Gioachino Rossini, seul manuscrit répertorié de sa sonate Egle ed Irene, acquis par la bibliothèque à l'organiste et compositeur Giovanni Concina (1869-v.1946). Ces recherches me permettent de rédiger un court texte sur le manuscrit, en ligne sur le site de la bibliothèque.
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Gioachino Rossini, Egle ed Irene, 1814?, It.IV, 1810 fol.2r
Ce stage de deux mois, définitivement trop court, s'achève par un concert au Palazzo Labia. Ce palais, dans le sestiere Cannaregio, est l'un des sièges de la RAI, le principal groupe audiovisuel italien. Au programme : les quatuors n°1 pour piano et cordes de Martinů et de Brahms. De quoi me faire encore davantage regretter ce stage en compagnie de Rossini, des gondoliers et des caffè-brioche sur la lagune.
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Orsola et moi au Palazzo Labia, devant les fresques de Giambattista Tiepolo
Notes
La bibliothèque conserve près de 13000 manuscrits, 3000 incunables, 24000 cinquecentine, et plus de 622000 livres imprimés
Bessarion (1403-1472) est un prêtre originaire de Trébizonde, créé cardinal par Eugène IV en 1439. Après avoir un temps défendu la position de l’Église grecque face à l’Église latine, il plaida pour la réconciliation des deux Églises à partir de 1439.
Le manuscrit est consultable en ligne à cette adresse
Pour suivre l'actu de la bibliothèque, cf leur page Facebook ou leur compte Twitter
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todayclassical · 7 years
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April 08 in Music History
1533 Birth of organist, publisher, and composer Claudio Merulo.
1692 Birth of violinist and composer Giuseppe Tartini in Italy.
1697 Birth of composer Pierre Prowo.
1708 FP of G. F. Handel´s oratorio La Resurrezione "The Resurrection", with Arcangelo Corelli conducting at the Bonelli Palace in Rome.
1708 Birth of composer Georg Zarth.
1722 Birth of composer Johann Wolfgang Kleinknecht.
1739 London music publisher John Walsh, Jr. publishes Handel's Trio Sonatas, Op. 5.
1756 Birth of Dutch composer Joseph Gehot in Brussels. 
1799 Death of composer Johann Michael Schmidt.
1810 Death of Italian castrato Venanzio Rauzzini. 
1843 Birth of Danish composer Asger Hamerik in Copenhagen. 
1848 Death of Italian opera composer Gaetano Donizetti.
1870 Death of Belgian composer Charles Auguste de Bériot in Brussels. 
1873 Birth of soprano Caecilie Rusche-Endorf in Dortmund. 
1876 Birth of American bass Henry Scott in Pennsylvania. 
1876 FP of A. Ponchielli´s opera La Gioconda at the Teatro alla Scala in Milan.
1881 Birth of composer Fernand Lamy.
1882 Birth of Austrian soprano Helene Wildbrunn in Vienna.
1885 Birth of composer Dimitrios Levidis.
1889 Birth of English conductor Sir Adrian Boult in Chester. 
1893 FP Margaret Ruthven Lang's Dramatic Overture by the BostonSymphony 
1894 FP of A. Bruckner´s Symphony No. 5. in Graz. Franz Schalk conducting his version of Bruckner's score. 
1895 Birth of composer Sigurdur Thordarson.
1896 Birth of composer Karl Hermann Pillney.
1897 Birth of German composer and musicologist Herbert Eimert
1902 Birth of Russian mezzo-soprano Maria Petrovna Maksakova in Astrachan. 
1904 Birth of composer John Antill.
1906 Birth of Canadian tenor Raoul Jobin in Quebec. 
1909 Birth of composer Olavi Pesonen.
1910 Birth of Austrian tenor Paul Kuen in Salzburg
1919 Birth of Dutch composer Piet Post in Amsterdam.
1920 Death of American composer Charles Tomlinson Griffes.
1921 Birth of Italian tenor Franco Corelli in Ancona.
1921 Birth of composer Jan Novak.
1927 FP of E. Varèse´s Arcana for orchestra. Philadelphia Orchestra, Leopold Stokowski conducting.
1928 Birth of tenor Willi Brokmeier in Bochum. 
1928 Death of Italian bass Gaetano Azzolini. 
1929 Birth of Austrian bass-baritone Walter Berry in Vienna. 
1930 Birth of American baritone John Reardon in NYC. 
1931 FP of D. Shostakovich´s ballet The Bolt at the Academic Theater of Opera and Ballet in Leningrad.
1931 Arturo Toscanini conducts American music for the first time. Abram Chasins ´Flirtation in a Chinese Garden and Parade. Toscanini and the New York Philharmonic in NYC.
1933 Birth of composer Jaroslav Smolka.
1935 FP of B. Bartók´s String Quartet No.5, by the Kolisch Quartet at the Library of Congress in Washington, DC.
1935 FP of Robert Bennett's "Maria Milibran" in New York City.
1937 Birth of German bass Hermann Christian Polster in Leipzig.
1937 Death of American composer Arthur Foote, at age 84, in Boston. 
1938 Birth of composer Barton Keith McLean.
1938 Birth of American tenor Vern Sutton in Oklahoma City. 
1938 FP of Walter Piston´s Symphony No. 1, by the Boston Symphony, with the composer conducting.
1940 Birth of English mezzo-soprano Meriel Dickinson in Lancashire. 
1947 Birth of Italian mezzo-soprano Bruna Baglioni in Frascati. 
1947 Birth of German tenor Walter Raffeiner in Wolfsberg.
1949 Birth of German soprano Sabine Hass. 
1949 FP of L. Bernstein´s Symphony No. 2 The Age of Anxiety by the Boston Symphony conducted by Serge Koussevutzky, Bernstein was piano soloist.
1953 Birth of English soprano Diane Montague in Winchester.
1953 Birth of composer Gary Philo.
1954 Death of Austrian soprano Fritzi Scheff. 
1957 Birth of English baritone Anthony Michaels-Moore in Essex. 
1964 Birth of English soprano Janice Watson in London. 
1983 Death of Swedish baritone Sigurd Björling. 
1983 FP of Christopher Rouse´s Rotae Passionis "Passion Wheels" for chamber ensemble. Boston Musica Viva, Richard Pittman conducting in Boston.
1985 FP of Michael Torke´s The Yellow Pages for chamber quintet, at Yale University by the Yale Contemporary Players in New Haven CT.
1985 Death of Russian composer Boris Tikhonovich Kozhevnikov.
1989 FP of Libby Larsen´s Songs from Letters of Calamity Jane to her daughter, for soprano and orchestra, by soprano Mary Elizabeth Poorel in NYC.
1993 Death of American mezzo-soprano Marian Anderson.
1994 Death of soprano Irene Eisinger. 
1994 FP of John Harbison's Cello Concerto. Yo-Yo Ma and the Boston Symphony, Seiji Ozawa conducting in Boston.
1996 Death of English bass Donald Adams. 
1999 FP of Bright Sheng´s Three Songs for pipa and cello, by Wu Man; pipa and Yo-Yo Ma; cello, at The White House in Washington, DC.
2003 FP of Yehudi Wyner's Commedia. Richard Stolzman, clarinet and Emmanuel Ax, piano, in Princeton, NJ.
2004 FP of David Lang´s Loud Love Songs by Evelyn Glennie, percussionist with the Eos Orchestra/Sheffer, NYC.
2011 Death of Mexican composer Daniel Catan in Austin Texas.
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imprimatureditore · 7 years
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Venerdì 3 novembre alle ore 18.00 presso la Sala Concerti del Centro Culturale Polivalente in via Roma 4 a Castelnovo ne' Monti (RE), Rossella Canadè presenta il suo libro inchiesta Fuoco criminale. Con l'autrice interverranno Enrico Bini, sindaco di Castelnovo ne' Monti, Fiorenza Brioni, attivista per la legalità nonché ex sindaco di Mantova, Claudio Meneghetti, esperto e studioso delle mafie al Nord. Modera il direttore della Gazzetta di Reggio Emilia Stefano Scansani. Durante l'evento sono previsti intervalli musicali a cura dell'Istituto Musicale "A. Peri - C. Merulo" di Castelnovo ne' Monti. Letture dell'attore Nicola De Buono.
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Claudio Merulo, Canzona decimaottava, Canalgrande, Marco Mencoboni
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composer-portraits · 8 years
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16th Century Portrait of Late Renaissance Composer Claudio Merulo (1533-1604) by Italian artist Annibale Carracci
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onthisdayinearlymusic · 12 years
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April 8
1533 - The Italian composer, organist and music publisher Claudio Merulo, one of the finest keyboard players of his time and organist at San Marco in Venice since 1557, was born in Correggio. 
1692 - The Italian composer, violinist, teacher and music theorist Giuseppe Tartini was born in Pirano, Istria (now in Slovenia). 
1708 - Handel's Oratorio per la Resurrezione di Nostro Signor Gesù Cristo, with a libretto by Carlo Sigismondo Capece, was first performed at the Palazzo Bonelli, the residence of Marchese Francesco Ruspoli, with Arcangelo Corelli leading an unusually large orchestra from the violin and a cast including the castrati Signor Matteo and Signor Pasqualino as the Angel and Mary Cleophas, the tenor Vittorio Chicceri as John the Evangelist, the bass Signor Christofano as Lucifer and the soprano Margherita Durastanti as Mary Magdalene, which caused the Marchese to be admonished by Pope Clement XI due to a papal ban on women performing in public and in the second performance on the next day Durastanti was replaced by a castrato named Pippo, in the service of the exiled Polish queen Maria Casimira. 
1810 - The Italian soprano castrato and composer Venanzio Rauzzini, who had sung in operas by composers including Hasse, Piccinni, Traetta and Mozart (who besides Lucio Silla, also wrote the motet Exultate, jubilate for him), died at the age of 65 in Bath, where he had been living since 1777. 
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Claudio Merulo (1533-1604) Detto anche Claudio da Correggio,(Merlotti) CUMQUE BEATISSIMUS MARCUS EVANGELISTA Liber primus sacrarum cantionum quinque vocum Claudii Meruli Corrigiensis organistae S. Marci.Venezia - Angelo Gardane, 1578. QUONIAM ENSEMBLE Laura Crescini, voice Paolo Tognon, sopran dulcian Vincenzo Onida, tenor dulcian Claudio Sartorato, ranckett Pietro Pasquini, organ Video recording: Sala Giardino. Crema (CR) Italy. 16th December 2013
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