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#Comtesse de Valois
beatricecenci · 1 year
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Élisabeth Vigée Le Brun (French, 1755-1842)
Portrait d’une dame dite Jeanne de Valois comtesse de la Motte
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comtessezouboff · 1 year
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Louis XIV's Gallery of Beauties
A retexture by La Comtesse Zouboff — Original Mesh by @thejim07
This set of 20 portraits was comissioned by the king himself in the 1650s to Charles and Henri Beaubrun (except for a portrait of Henrietta Anna of England, Comissioned to Nicolas Mignard) The portraits comprises the queen, royal princesses and ladies of the court. They hanged at the king's appartments at Versailles. In the 1670s the paintings were progressively relegated to the king's minor residences, but in 1837, Louis-Philippe, King of the French turned Versailles into a museum and rejoined the paintings, in the Louis XIV Rooms, where they remain.
The set includes 20 portraits, with the original frame swatches, fully recolorable. The portraits are of:
Anne Genèvieve de Bourbon, Duchess d'Estouteville and Longueville
Françoise-Athénaïs de Rochechouart (later, Marquise de Montespan)
Anna Martonozzi, Princess of Conti
Anne Louise Boyer, Duchess of Noailles
Anne Marie Gonzaga, Countess Palatine
Anne de Rohan-Chabot, Princess de Soubise
Catherine Henriette d'Harcourt, Duchess d'Arpajon
Catherine de Neuville, Countess d'Armagnac
Charlotte Catherine de Gramont, Proncess of Monaco
Charlotte Isabelle Angélique de Montmorency-Bouteville, Duchess of Mecklenburg-Schwerin
Elizabeth of Orléans, Duchess of Guise and Joÿeuse
Françoise Madeleine d'Orléans (née de Valois) Duchess of Savoy
Françoise Mignot, Mareschalle of l'Hospital
Françoise de Neufville, Duchess of Chaulnes
Gabrielle-Louise de Saint-Simon, Duchess of Brissac
Henrietta Anna of England, Duchess of Orléans
Madeleine-Charlotte d'Albert-d'Ailly, Duchess of Foix
Marguerite Louise d'Orléans, Grand Duchess of Tuscany
Marguerite-Louise-Suzanne de Béthune-Sully, Countess of Gyche
Marie Thérèse of Austria, Queen Consort of France and Navarre
Found under Decor > Paintings for 940 §
Retextured from the "portrait of Anne Marie Louise d'Orléans", found here
Table, torcheres and floor by @thejim07
Rest of the decor by @joojconverts
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Drive
(Sims3pack | package)
(Useful tags)
@joojconverts @ts3history @ts3historicalccfinds @deniisu-sims @katsujiiccfinds
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tatsuma-forever · 11 months
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rating random historical figures that appear in the rose of versailles by their names (+ their titles but in french for the drama):
Antoine-Louis-Marie de Gramont, duc de Guiche: wtf is a gramont. 4/10
Bernard Châtelet: like the dog? 2/10, -1 for the Rosalie situation
Charles-Philippe de France, comte d’Artois: would be better if it was just Philippe because one Charles is more than enough. 3/10
Charlotte de Polignac/Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche: yeah i’d kill myself too if that was my name. 1/10
Christoph Willibald Gluck: 6/10
Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau: sounds fake. 5/10
Jeanne de Valois-Saint-Rémy, comtesse de la Motte: remy like the rat!! 4/10
Yolande Martine Gabrielle de Polastron, comtesse puis duchesse de Polignac: holy moly. 6/10
Étienne-Charles de Loménie de Brienne: Étienne was the only good part. 3/10
Louis-Joseph Xavier François de France: goes pretty hard ngl. 8/10
Louis-Stanislas de France, comte de Provence, Louis XVIII: i’ve had enough Louis. i am done. 4/10
Marie-Thérèse Charlotte de France, duchesse d’Angoulême: mrs. Antoinette was not playing around with her kids names goddamn. Thérèse is a banger name. 7/10
Louis Marc Antoine Rétaux de Villette: another goddamn Louis. 4/10
Sophie Piper/Eva Sophie von Fersen: Sophie Piper sounds like the name of a mommy vlogger. 0/10
Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, duc de Lorraine et de Bar: he’s literally mentioned once and never again, but holy shit, that’s definitely a name. 7/10
Rosalie Lamorlière: YEAAHHHHH LET’S GO. ROSALIE LAMORLIÈRE WAHOOOO!!!! 11/10!!!!
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De son vrai nom Alfred-Georges Gressent, Georges Valois est né à Paris le 7 octobre 1878. Il perd son père très jeune et de 5 à 13 ans est élevé par ses grands- parents maternels en Seine et Marne.
“ Mon grand-père, ouvrier chaudronnier, était républicain et libre-penseur. Avec l'instituteur, il fit de moi un homme libre. Avec ma grand-mère, il m'enseigna le travail et la méthode. ”
À 13 ans, il entre dans une école professionnelle à Paris, d'où il est exclu deux ans plus tard pour “ manifestation intérieure ”. Il est successivement employé chez un marchand de toiles , dans les bureaux du journal France Nouvelle, chez un fabricant de clarifiants, chez un maroquinier.
“ À 16 ans, j'ai été arrêté comme anarchiste, ce qui était faux. ”
À 17 ans, il part pour Singapour employé chez un commerçant français ; à 19 ans, il rentre en France pour étudier. “ J'étais devenu anarchiste. ”.
À cette époque, il rencontre Julien Sorel et devient l'un de ses disciples.
À 22 ans, il est incorporé dans l'armée puis réformé pour tuberculose.
À 24 ans, il tente de devenir horloger à Genève, mais de là, il part à Moscou comme précepteur chez un comte russe où il épouse la dame de compagnie de la comtesse. Il rentre en France en août 1903 et travaille jusqu'en 1912 à la librairie Armand Colin.
Ses premiers écrits datent de 1905-1906. Il prend le pseudonyme de Georges Valois et publie l'Homme qui vient, puis La monarchie et la classe ouvrière.
Il entre alors à l'Action Française. Mais son action s'exprime plus dans des mouvances marginales telles que le cercle Proudhon dont il est l'un des fondateurs en 1912 et dont la tendance très lutte des classes le mettait plutôt en opposition avec l'Action Française.
Ce qui l'attire, c'est que le Roi doit (et peut, estime-t-il) être contre le Parlement composé trop souvent de politiciens soumis aux puissances d'argent.
En 1912, Georges Valois fonde et prend la direction de la Nouvelle Librairie Nationale. Il est à cette époque le numéro trois de l'Action Française aux côtés de Charles Maurras et Léon Daudet. Il est l'économiste singulier de la droite et de l'extrême-droite.
C'est un extraordinaire lanceur d'idées.
Georges Valois s'intéresse surtout à l'économie sociale, à l'organisation des métiers et et des syndicats, seuls capables de lutter contre les banques et les trusts qui sont des parasites.
Mobilisé en 1914 comme deuxième classe, il devient officier et il est à Verdun jusqu'en 1916. En 1915, il théorise, dans un ouvrage intitulé le Cheval de Troie, l'invention du char d'assaut qui va être mis au point par le général Estienne.
Pendant la guerre, Georges Valois commence à se séparer de l'Action Française. Le soutien et les interventions de Léon Daudet pour sauver Georges Valois de la mort, après une blessure en 1916, empêchent une rupture brutale. Mais en 1925, la rupture est totale.
Georges Valois fonde alors la première ligue fasciste française : Le faisceau des combattants et des producteurs et un journal Le Nouveau Siècle ainsi que plus tard la Librairie Valois.
Le faisceau est créé sur le modèle mussolinien, mais il est “ non anti-socialiste, ni anticommuniste, ni antisémite ”. Il a pour but de créer au-dessus des partis et des classes un véritable “État national et populaire ”.
Georges Valois milite pour une monnaie ferme, contre l'inflation et toute dévaluation. Lors d'une grande assemblée générale à Reims en juin 1926 (certains parlent de 25 000 personnes), Georges Valois en appelle à une évolution vers le socialisme contre le poincarisme.
Ayant acquis la conviction de ne pouvoir lutter contre la ploutocratie avec les masses à tendances nationalistes, Georges Valois dissout le Faisceau en mars 1928, en appelle à une “ République syndicale ” et regarde vers le socialisme révolutionnaire. Il publie L'Homme contre l'argent, un ouvrage “ tournant décisif ” pour toute une époque.
À partir de 1931, il travaille avec Albert Thomas et d'autres à la rédaction de la Nouvelle Encyclopédie, mais la mort de ce dernier en 1932 met un terme à ce qui devait être un “ formidable mouvement culturel ”. En 1934, création du journal Nouvel Åge qui deviendra quotidien. Georges Valois prend des positions de plus en plus pacifistes et même gauchistes. Il démontre le soutien des capitalistes français et anglais à Franco et dénonce la gauche quand elle ne sert que de paravent au capitalisme.
En 1938, il mène campagne contre les accords de Munich. Les opposants sont alors rares : le 5 octobre, seuls les 73 communistes, le socialiste Jean Bouhey et H. de Kérillis ont voté contre, Churchill y sera d'abord
favorable, de Gaulle ne fera aucun commentaire. Pour Valois, il faut vaincre l'Allemagne sans guerre, instituer un blocus économique de l'Allemagne et de l'Italie.
Mais abandonnons un instant Georges Valois et revenons à l'été 1936 pour suivre les interrogations et engagements d'un jeune militant : Roger Maria a 18 ans cette année- là. Il a adhéré à la SFIO deux ans auparavant et se veut plutôt proche de la tendance gauche révolutionnaire de Marceau Pivert. Roger Maria se définit comme marxiste léniniste, mais critique à l'égard de l'orientation de la politique stalinienne. La décision de Léon Blum de non-intervention dans la guerre d'Espagne est pour lui un choc. Il démissionne de la SFIO.
À cette époque, Roger Maria suit régulièrement des conférences à la Mutualité. En février 1937, le hasard le conduit à suivre la démonstration brillante que fait Georges Valois du soutien de fait des capitalistes français et anglais à Franco.
Les deux hommes s'apprécient et Georges Valois propose à Roger Maria de collaborer avec lui. Roger Maria suivra Georges Valois jusqu'aux Ardillats. Seule la déportation les séparera.
Mais aujourd'hui encore Roger Maria est fidèle à Georges Valois et c'est en grande partie grâce à lui que nous avons pu réaliser cet article.
En juillet et août 1940, Georges Valois et son adjoint Gustave Rodriguès sont à Bayonne. Ce dernier se suicide. Georges Valois passe au Maroc où il crée un groupe clandestin qui édite une lettre confidentielle. Fin octobre 1940, il est arrêté “ par précaution ” et emprisonné à Meknès puis transféré à Clermont-Ferrand où il retrouve Pierre Mendès-France dans la même prison militaire. Les deux hommes se connaissent déjà puisque Georges Valois a aidé Pierre Mendès-France dans la préparation de sa thèse de docteur en droit sur la Banque des Règlements Internationaux.
Le 27 avril 1941, Georges Valois est libéré. Il retrouve à Vichy Roger Maria qui est démobilisé le 30 avril et s'apprêtait à gagner la France Libre par l'Afrique du Sud…
Georges Valois et Roger Maria, devenu son secrétaire, au lieu de rejoindre Londres, décident alors de “ s'exiler ” dans la région lyonnaise où ils ont des amis dans divers groupes de résistance. Georges Valois pense pouvoir acquérir une librairie.
“ Je suis trop connu pour passer dans la clandestinité, je vais me mettre en quelque sorte, en résidence surveillée officielle pour que la police sache que je ne m'occupe plus qued'activités éditoriales non politiques ”.
En mai 1941, ils sont à Couzon au Mont d'Or où ils prospectent la région. Georges Valois se rend compte qu'une librairie lyonnaise serait tout de même trop surveillée et il opte finalement pour une “ résidence ” plus discrète. L'hôtel du Val d'Ardières aux Ardillats est alors à vendre pour une bouchée de pain. Voilà une résidence, à l'écart, où l'on peut se faire oublier, mais qui permet aussi de recevoir des amis.
Fin juin, 1941, Georges Valois, ainsi que son épouse, emménagent au Val d'Ardières. Roger Maria est là aussi.
Ils vont alors mener deux activités rédactionnelles parallèles. L'une , officielle, traite de l'histoire des coopératives, de la législation des jardins ouvriers, donne aussi des conseils de jardinage au travers de fascicules ronéotés de 4-6 pages que reçoivent quelques deux cents abonnés. Les “ amis ” reçoivent, eux, en supplèment clandestin une lettre politiqueavec renseignements ou études sur… disons l'actualité.
Régulièrement, Roger Maria poste ces périodiques mensuels puis hebdomadaires en éparpillant ses dépôts pour ne pas se faire repérer dans diverses boîtes aux lettres d'un large secteur couvrant Belleville, Villefranche et Lyon.
En 1943, avec Cerf-Ferrière et Delmas, de Combat , basés à Beaujeu, Georges Valois publiera une nouvelle revue Après.
Seul, ensuite, il écrira sous le pseudonyme d'Adam, un numéro spécial d'Après, intitulé La France trahie par les trusts. Tapée à la machine aux Ardillats et imprimée à Villefranche sur Saône, c’ est la brochure la plus volumineuse publiée par la Résistance.
Arrêtés par l'équipe de Barbie, Georges Valois et Roger Maria sont conduits au fort Montluc à Lyon et interrogés par la Gestapo. Roger Maria a été “ passé à tabac ” et plus ou moins torturé mais Georges Valois n'a semble-t-il jamais été frappé. Roger Maria nous a dit :“ Il est passé pour un idéaliste farfelu prêchant la réconciliation entre les peuples pour une économie nouvelle. Dans ces interrogatoires, la difficulté vient de ce que nous sommes interrogés séparément, que nous ne savons pas non plus ce que nos questionneurs savent déjà par les perquisitions effectuées . Nous arrivons à communiquer et à coordonner nos propos destinés à nous faire passer pour des intellectuels idéalistes et pacifistes ”.
Quand même condamnés à mort pour le principe, leur peine est commuée en déportation en camp de concentration. Roger Maria verra une dernière fois Georges Valois au fameux camp (français) de Compiègne, appelé Royal Lieu… une sorte de gare de triage pour toutesdestinations vers les camps nazis.
Roger Maria sera contraint, comme tant d'autres jeunes déportés de travailler en usine pour l'armée allemande, dans une hallucinante fabrique d'obus à Wattenstedt-Bruunschwick.
Transféré à Hanovre en mars 1945, il parvient avec un camarade à s'échapper au cours d'un convoi de nuit qui conduisit mille seize de ses compagnons à périr dans une tuerie au lance-flammes.
Recueilli dans une ferme, il est aidé par un prisonnier de guerre. Cachés dans un entrepôt agricole, ils échappent encore à un bombardement et seront enfin libérés le lendemain par un char anglais.
Georges Valois, de son côté est déporté au camp de Neuengamme où il se retrouve dans un groupe de déportés âgés, préposé aux tresses, en compagnie du marquis de Moustiers, du célèbre biologiste et dirigeant communiste Marcel Prenant, du général Bardi de Fourtou (de l'affaire Staviski) et de quelques autres “ notables ” de la Résistance “ intello ”.
Grâce à l’écrivain Louis Martin-Chauffier qui l'y a rencontré, dans ce même drôle de groupe de vétérans, nous savons comment il rêvait, encore là-bas, de refaire le monde…
Transféré au camp mouroir de Bergen-Belsen, Georges Valois meut, atteint du typhus, le 18 février 1945.
Avec la collaboration de Roger Maria publié dans le Pied de Rochefort, en 1996.
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rafaelasmelo · 4 years
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Visita da Condessa Rafaela ao Teatro de Santa Isabel em 2019.
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roehenstart · 2 years
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Marguerite d'Orléans, Countess of Vertus in Champagne, daughter of Louis of France, Duke of Orléans & Valentine of Milan, was married around 1424 to Richard of Brittany, Count of Estampes (4th son of Jean, Duke of Brittany) who died in 1438.
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gogmstuff · 3 years
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Top left: ca. 1780 dame dite Jeanne de Valois comtesse de la Motte by Élisabeth Vigée Le Brun (location ?). From tumblr.com/blog/view/sims4rococo76 1602X2000 @72 1.4Mj.
Top right: Seated lady in elegant attire, holding a fan by Carl Van Loo (Sotheby's - 23Sep21 auction Lot 74 via pinterest.com/amisiak1193/stroje-damskie-1700-1800/) 1397X2000 @72 1.4Mj. This may be from the 70s.
Bottom left: 1780s Woman holding flowers in her apron attributed to Marie-Geneviève Bouliar (location ?). From tumblr.com/blog/view/jeannepompadour 1145X1500 @72 2.9Mp.
Bottom right: 1789 Woman by Élisabeth-Louise Vigée Lebrun (Muzeul Național de Artă al României/National Museum of Art of Romania - Bucharest, Romania). From tumblr.com/blog/view/history-of-fashion 861X1017 @72 209kj
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Portrait d'une dame dite Jeanne de Valois comtesse de la Motte by Élisabeth Vigée Le Brun (c. 1780)
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books0977 · 7 years
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Portrait of a Lady said Portrait of Jeanne de Valois, Comtesse de la Motte (c.1780). Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (French, 1755-1842). Oil on canvas.
A certain tendency would have one see in our model, with a somewhat enigmatic smile, the features of the instigator of the Queen's necklace affair, Jeanne de Valois, Countess de la Motte. It was in 1780 that she had sought the title of Countess and tried to integrate into certain cenacles, a date that might suit the portrait.
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nanshe-of-nina · 3 years
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Daughters of the Breton Dukes, part II
Mari, comtesse de Saint-Pol. Daughter of Yann II, dug Breizh and Beatrice of England, Countess of Richmond. Mother of Mahaut de Châtillon, comtesse de Valois; Beatrice de Châtillon, dame de Crèvecœur; Isabeau de Châtillon, dame de Coucy; Marie de St Pol, Countess of Pembroke; Éléonore de Châtillon, dame de Granville; and Jehanne de Châtillon, dame de Maisy.
Blanche, dame de Conches. Daughter of Yann II, dug Breizh and Beatrice of England. Mother of Marguerite d’Artois, comtesse d’Évreux; Jehanne d’Artois, comtessa de Fois; Marie d’Artois, Markgrafin van Namen; and Jehanne d’Artois, comtesse d’Aumale.
Eleonora, abbesse de Fontevraud. Daughter of Yann II, dug Breizh and Beatrice of England.
Beatriks, dame de Laval. Daughter of Arzhur II, dug Breizh and Yolande de Dreux. Mother of Catherine de Laval, dame de Villemomble,
Janed, dame de Cassel. Daughter of Arzhur II, dug Breizh and Yolande de Dreux. Mother of Yolande de Flandre, comtesse de Bar.
Alis, comtesse de Vendôme. Daughter of Arzhur II, dug Breizh and Yolande de Dreux. Grandmother of Catherine de Vendôme, comtesse de La Marche.
Janed, dugez Breizh. Daughter of Guy VII, kont Pentevr and Jehanne d’Avaugour. Mother of Marc’harid Bleaz, comtesse d’Angoulême and Mari Bleaz, duchesse d’Anjou.
Janed, Baroness Drayton. Daughter of Yann Moñforzh and Jehanne de Flandre, dugez Breizh.
Marc’harid Bleaz, comtesse d’Angoulême. Daughter of Janed, dugez Breizh and Charles de Blois.
Mari Bleaz, duchesse d’Anjou. Daughter of Janed, dugez Breizh and Charles de Blois. Grandmother of Marie d’Anjou, reine de France and Yolande d’Anjou, comtesse de Montfort. Great-grandmother of Yolande d’Anjou, duchesse de Lorraine and Marguerite d’Anjou, Queen of England.
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"Portrait d'une Dame" dit "Portrait de Jeanne de Valois-Saint-Rémy, Comtesse de la Motte" par Élisabeth Vigée Le Brun, circa 1780.
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galleryofunknowns · 5 years
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Elisabeth Louise Vigee le Brun (b.1755 - d.1842), ‘Portrait of a Lady, said to be Jeanne de Valois, Comtesse de la Motte’, 1700s, French, sold for 125,000 EUR in Sotheby’s Tableaux, Sculptures et Dessins Anciens et du XIXE siecle auction, June 2017
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spardaxwarchief · 6 years
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L-Let go of me...THE BLOOD OF HOUSE VALOIS RUNS THROUGH MY VEINS!!!
Comtesse de la Motte, Innocent Rouge Chapter 34
I honestly can’t stand this bitch and I’m glad she’s getting what she deserves so she can quit screaming that
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rafaelasmelo · 4 years
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Visita da Condessa Rafaela ao Abrigo Nossa Senhora de Lourdes sob tutela do Irmão Tarcísio Botelho em 2020. 
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cimmerianweathers · 7 years
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Portrait of a Lady (said to be a portrait of Jeanne de Valois, Comtesse de la Motte), by Élisabeth Vigée Le Brun, 1780s. Oil on canvas.
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karrova · 6 years
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Portrait of a lady, said Lady Jeanne de Valois, Comtesse de la Motte (detail)
 Elisabeth-Louise Vigée Le Brun
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