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#Exode Juin 1940
brieucgwalder · 5 months
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A Brittany trilogy
Chapter 1, Exodus. Cont’d Previously on “Exodus”: the narrator, Renée is a young girl of Rennes, in Brittany. When the WWII offensive starts in May 1940, her parents send her to stay with her cousin, in Morlaix, a distant town. When France collapses in June 1940, Renée and her cousin, Maryvonne, decide to walk the nearly 200 kms back to Rennes. Among millions of refugees crowding the road, they…
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federer7 · 2 years
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Guerre 1939-1945. Exode. France, juin 1940
Photographie de Pierre Jahan
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percehaies · 3 years
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Exode de civils français, juin 1940
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snap221com · 4 years
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VIDEO. A l’occasion des 80 ans de l'« exode », un Nordiste se souvient de cette « belle aventure »
VIDEO. A l’occasion des 80 ans de l’« exode », un Nordiste se souvient de cette « belle aventure »
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Un Nordiste de 94 ans a vécu l’exode en 1940 — 20 Minutes
En mai et juin 1940, des millions de Françaises et de Français ont été poussées sur les routes pour fuir l’avancée des soldats allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.
A 94 ans, Gérard Ridelaire se souvient de cette période où il a dû quitter Maubeuge pour la Dordogne avec sa famille.
Quatre-vingts ans plus tard, il raconte cette…
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snap221me · 4 years
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VIDEO. A l’occasion des 80 ans de l'« exode », un Nordiste se souvient de cette « belle aventure »
VIDEO. A l’occasion des 80 ans de l’« exode », un Nordiste se souvient de cette « belle aventure »
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Un Nordiste de 94 ans a vécu l’exode en 1940 — 20 Minutes
En mai et juin 1940, des millions de Françaises et de Français ont été poussées sur les routes pour fuir l’avancée des soldats allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.
A 94 ans, Gérard Ridelaire se souvient de cette période où il a dû quitter Maubeuge pour la Dordogne avec sa famille.
Quatre-vingts ans plus tard, il raconte cette…
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go-poirier · 4 years
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mamie Odile,
tu es née a une époque lointaine ou la France
se "dégauloisait" dans la souffrance.
1940 ou l'odyssée des bottes sur les pavés
pas de dandy maudit en ces temps de couvre feu confiné.
l'année 1940 , comme une vaste débandade
comme un exode sanglant
comme un mille pattes géant
sous la canicule
Paris se vidait
se ruait au milieu des champs
ou plus personne ne trayait les vaches
qu'on entendait gémir dans la campagne.
Jamais les Français n'avaient pensé
être à ce point abandonnés
par un gouvernement dépassé par les événements
livrés à eux-mêmes, à Vichy et aux Allemands.
la ligne Maginot n'a finalement retenue
que des amères  illusions.
Trois jours avant l'été, le 18 juin,
le général de Gaulle lançait son appel de Londres.
Au même moment, le maréchal Pétain entrait dans la collaboration.
La saison s’annonçait chaude.
on apprit par la radio que l'arrivée des « Boches » était imminente.
et puis,un jour , bruyamment
par les fenêtres entrouverte sur l'été
on a vu Trois motards dans les rues d'Issé
ouvrant la voie aux  blindés
avec leur  capot  recouvert d'une énorme croix gammée.
c'etait un temps déraisonnable
ou chacun se mettait a table.
L'essence était rare et Les panneaux en lettres gothiques,
symbolisait l'humiliation de toute une nation.
pendant tout ce temps , ton père ,était retenu comme prisonnier
dans une ferme , en Autriche
ton père que tu n'avais jamais vu, jamais entendu.
et puis , avec l'aide d'une grande soeur aimante et rassurante
de l'acharnement et le foi de certains
et aussi un peu des américains
les croix gammées ont finie par tomber
des résistants revanchards se sont improvisés
et les allemands ont fini par filer a l'anglaise.
les choses allaient changer, et ta vie ; finalement
dans une belle embellie 
allait pouvoir enfin commencer.
en  1945 les Français fredonnait «l'Accordéoniste» d'Edith Piaf et,
sur fond d'amour et de démobilisation,
un jour de juillet ,une charrette dans la cour des coudrais ,s'est présentée
un homme hirsute et dépenaillé en est descendu ,
hagard ; fatigué , soulagé et ému
cet homme n'était pas très beau
ton père venait de rentrer.
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eric-sauvat · 4 years
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Exode
Lavoûte-Chilhac, Dimanche 29 mars 2020
Exode
Sortie des Hébreux d'Égypte sous la conduite de Moïse, en direction de la Terre promise (entre 1250 et 1230 avant J.-C.).Fuite des populations civiles françaises devant la progression de l'armée allemande en mai et juin 1940. Une petite réfugiée du Nord entra dans ma classe; l'exode l'avait sérieusement ébranlée, elle avait des tics et bégayait Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958
J'ai rêvé que nous faisions l'exode,Donat et moi installés dans la Prima-quatre de Papa Élie qui la conduisait, Manou à son côté, nous étions coincés dans une file de voitures civiles et de camions de soldats déserteurs que mitraillaient les avions allemands.
Nous n'en menions pas large ma sœur et moi calés tant bien que mal sur le matelas à l'arrière cachant les quatre bidons d'essence qui devaient nous permettre d'atteindre Lavoûte ; en sus nous devions tenir à leur écart les provisions, moi le lourd sac de charcutailles, Donat celui du pain plus léger.
Nous traversions Étampes, une ville terriblement bombardée où plus tard nous habiterions ; pour l'heure nous n'en savions rien, juste préoccupés de poursuivre notre route protégé par le drapeau blanc surmontant la voiture pour ne pas être cible des avions allemands.
Tout était ennemi : les autres voitures de réfugiés aux quels il fallait cacher que nous avions de l'essence, les camions des militaires dont il fallait s'écarter, les avions allemands, nous devions nous méfier de tout.
Quand nous aurons fini le jambon et les saucissons, Papa Élie nous pêchera des poissons, il a emmené ses cannes à pêche et nous aurons aussi les œufs des poules en vrac dans le coffre arrière.
L'exode ça s'organise.
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Les Sons et Silence de la Guerre :  production industrielle et indiscrétions
a) La production industrielle
« We speak it by mines, munitions plants, assembly lines and navy yards and factories, we speak it loud, we’re American working men, they speak it in a foreign land with weapons in every hands whatever they try, we got to reply in a language they understand (… )»[1]
« Nous parlerons par les mines, les munitions, les usines, les lignes de montage et les chantiers naval et les fabriques ; nous parlerons fort, nous sommes des travailleurs Américains ; ils parleront ce langage dans une terre étrangère avec les armes dans toutes les mains, et tout ce qu’ils pourront essayer nous aurons une réponse, dans le langage qu’ils comprennent! »
Tels étaient les sons de la Deuxième Guerre mondiale, les sons de la production industrielle, figés dans la chanson «Arms For The Love of America» de Barry Woods, sortie avant même l’attaque de Pearl Harbor. Voyons comment Tin Pan Alley encouragea le front intérieur à fabriquer du matériel de guerre.
En 1929, le 29 octobre, la bourse de New-York crash un jeudi, qui restera dans l’Histoire comme étant le célèbre «jeudi noir». Les États-Unis rapatrièrent les fonds prêtés à l’étranger ce qui transforma une crise boursière en une crise économique mondiale.  Les trois-quarts de la population active des pays industrialisés se retrouva aussitôt sans emploi.
Cette situation d’extrême pauvreté perdurera dix ans, et en 1939, pratiquement tous les chômeurs travaillaient dans l’industrie de production de guerre, et cela même si les États-Unis n’étaient pas encore entrés dans le conflit. Cela s’explique par le fait qu’une entente était survenue assez tôt dans le déroulement de la guerre entre Churchill et Roosevelt, selon laquelle les États-Unis s’engageaient à fournir du matériel militaire à une Angleterre qui en avait plein les bras avec les raids aériens incessants; les menaces de débarquement Nazis, et les blocus de ravitaillement exercés par les dangereux U-Boot.
Les industries américaines ont atteint une productivité sans précédent : entre juin 1940 et juillet 1945, date à laquelle capitula le Japon, dix-sept millions de travailleurs ont œuvré dans l’industrie de guerre.
Ainsi, le thème de la productivité a attiré l’attention de l’industrie musicale; Frank Loesser, Harold Rome Henderson, Irving Caesar, Johnny Mercer, Irving Berlin… Tous des grands noms qui ont pris à cœur de promouvoir la force industrielle Américaine qui a produit 86000 Tank, 296000 avions, 15 millions de fusils, pistolets et mitrailleuses, 40 millions de munitions, 4 millions de tonnes de projectiles d’artillerie lourde, 64000 chalands de débarquements d’homme (LCD) et de tanks (LCT), 5400 navires marchants, 6500 bateaux et autres, sans parler des casques, uniformes, radars, rations K, matériel médicaux et jeeps. D’ailleurs, l’une des premières chanson écrite sur le sujet l’a été par Irving Berlin avant même le 7 décembre 1941 : «Arms For The Love of America» chantée par Barry Wood. Elle est en même temps un texte patriotique : 
«Arms for the love of America, and for the love of every mother’s son that depending on the work that must be done by the man behind the man behind the gun(…) »;
« Des bras pour l’amour de l’Amérique, et pour l’amour de chaque mère de ces gars qui dépendent du travail qui doit être fait par l’homme qui est derrière l’homme derrière le fusil (…) »
un texte incitatif à faire de son mieux pour les ouvriers car d’eux dépend la victoire ou la défaite : 
« (…) Oh the fight for freedom can be lost or won by the man behind the man behind the gun(…)»; « Sur la bataille pour la liberté peut-être gagnée ou perdue par l’homme derrière l’homme derrière le canon » et c’est la partie parlée de la chanson qui donne une idée de la force industrielle des États-Unis – partie que l’on soupçonne être objet de propagande : « You want to hear the sound of tools, ok, here’s how that language sound. The roar of leefs, the clang of steel, that’s the language we speak it brother, speak it loud we’re American working men (…) we fought to the arms, we roll the steel, refine the oil, merching the pots, make podwer aluminum engins, mortars, merchant men and tanks, shells, and fighting planes (…) we swing the sledge or draw the plans we run a press or set a gage we drive a truck or keep the books we work with muscle or with brain (…) just a whisper wait till we shout (…) millions of ton of steel million of barrells of oil (…) »
“Vous voulez entendre le son des outils, d’accord, voici comment résonne ce langage : le grondement des volontaires, le bruit métallique de l’acier, c’est un langage que nous parlons, mes frères, parlez-le fort, nous sommes des travailleurs américains (…) Nous nous battons avec les bras, nous roulons l’acier, nous rafinons l’essence, nous fabriquons les pots, nous faisons de la poudre, de l’aluminium, des moteurs, des mortiers, des chars d’assaut, des munitions pour les canons, et des avions de combats (…) Nous fabriquons des luges, nous dessinons des plans, nous travaillons sur les presses ou nous calibrons les jauges, nous conduisons des camions, nous tenons les livres, nous travaillons tant avec les muscles que le cerveau (…) C’est seulement un chuchotement mais attends que nous crions !(…) Des millions de tonnes d’acier, de barils de pétrole (…) »
Dans ces chansons sur l’industrie de guerre, on remarque que les paroliers ont déployés beaucoup d’imagination et de subtilités dans le traitement de ce thème.  Les toutes premières étaient plus générales, néanmoins, l’une d’elle a eu du succès auprès des auditeurs : « On The Old Assembly Line» écrite par Bud Green et Ray Henderson. Elle va plus loin en remarquant que le travailleur Américain et l’argent vont gagner la guerre : « When we overalls combines with the night sign there’ll be the might sign, there’ll be mines and mines of American smiles from factory to the mines.»
Mais après l’encouragement au travail, Tin Pan Alley se fit un devoir de prévenir l’imprudence, car un ouvrier mort ou blessé est un ouvrier qui ne produit pas. À cet effet, Irving Berlin écrivit « The Ballad of Sloopy Joe» qui parle d’un travailleur insouciant qui se fait tuer : 
« We put what we could find Joe into a lovely coffin(…) » Avouons que l’image frappe! Gageons qu’après avoir entendu cela, les travailleurs devraient y penser à deux fois avant de poser des gestes imprudents!  Sur la même note (sans jeu de mots) Irving Berlin a, quant à lui, écrit une chanson qui donne la parole à un enfant dont les parents travaillent tous les deux en usine et qui leur demande d’accomplir leur tâche avec prudence : « Facteur of the Factory » (1943) : «(…) Wear those overalls of blue they are safer than a skirt .»
D’autres aspects des nécessités du travail ont été abordées par Tin Pan Alley. Tout d’abord, à partir de 39, il y eut un exode rural où des villes peu ou pas industrialisés ont gagnés jusqu’à cinq fois leur population. Quatre millions de personnes ont quités leurs foyers pour travailler dans l’industrie de guerre. La grande majorité d’entre eux étaient issus du Sud du pays.
Une chanson qui n’a pas fait grand bruit, se basait sur le titre d’une autre devenue parti prenante du folklore Américain : « Home On The Range» pour varier le thème sur l’humour. Effectivement, «There’s Nobody Home On The Range» parla des cow-boys ayant quittés les prairires désormais fantômes pour aller mettre la main à la pâte de la production industrielle inhérente à la guerre. Le refrain affirme : «Grand’ma doesn’t ride her geldin she’s out at locked weldin’ » et «All the pistol packin’ mamas are Douglas buildin’ bombers. »[2]
Deuxièmement, tous ces mouvements de population, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’ont pas provoqué un boum immobilier, bien au contraire, il y eut beaucoup de remises hypothécaires. Les ouvriers ont pris pour habitude de louer des appartements, et souvent, pour des périodes de douze heures, c«’est à dire pour le temps où ils n’étaient pas à l’usine, auquel cas un autre de ses collègues louait ce même appartement pour les douze heures restantes dans la journée. La chanson «He Went To Work in The Morning (She Went To Work in The Night)» illustre bien cette réalité. Notons au passage que cette chanson eut deux versions. L’une originale, qui trop osée ne passa pas la censure, et l’autre expurée, qui néanmoins ne fut pas un gros succès. D’ailleurs, sur les feuilles de musique, on pouvait lire « Radio Version ». Elle nous parle de deux travailleurs sur les shift qui, co-locataires d’un appartement, communiquent entre eux en se laissant des mémos : «she would take in the milk in the morning and he took out the dog at night. ».
Et pour terminer, un autre aspect qu’ont abordé les chansons de Tin Pan Alley sur les nécessités de la vie ouvrière, est celui de la paix. Non pas la paix qui résulterait du mustisme des canons et des mortiers, mais bien celle dont a besoin tout travailleur pour bien dormir et récupérer pendant une bonne nuit (ou journée, tout dépendant) de sommeil.
Pendant les années quarante, rappelons-nous les récits de nos parents et grands-parents qui faisaient état de ce « bon vieux temps » où passait le chariot de l’aiguiseur de couteaux; celui du chiffonner, et du laitier qui passaient à domicile. Ainsi, la résonnance des sabots des chevaux, le grincement des roues de bois sur les vieux pavés, et le bruit des bouteilles de vitre (le plastique n’existait pas) qui s’entrechoquaient peut aujourd’hui nous rendre nostalgique, mais pour ceux qui travaillaient douze heures chaque nuits – et même plus – ces bruits journaliers devaient être singulièrement agaçants!! Les Four Kings Sisters ont enretistré ce qui, à la fin de 1944, fit un véritable Hit et qui encore de nos jours se retrouvent sur les compilations CD des 40’s : la chanson « Milkman Keeps Those Bottles Quiet», écrite par Don Raye et Gene de Paul. Elle parle d’un ouvrier qui travaillant de nuit désire dormir et ne pas être dérangé afin de bien accomplir son travail (on peut ici sobodouré ici une propagande subtile) 
« Milkman, stop that grade a riot! Now the noise os the riveter I don’t mind it cause the man with the whiskers has a lot behind it but I can’t keep pitchin’ with that victory crew when you’re makin’ me punchy with that bottled moo .»
a) Les indiscrétions
Pendant la Seconde guerre mondiale, on peut dire, sans trop se tromper que le phénomène de l’espionnage fut plutôt marginal en Amérique. Effectivement, peu d’agents de l’Abwehr [1], et de la Gestapo [2] traversèrent l’océan et passèrent nos frontières où ceux de nos voisins du sud.
Néanmoins, ce bilan a pu être fait après la guerre, pendant celle-ci, il fallait être prêt à toute éventualité, et on ne voulait prendre aucun risque : l’ennemi pouvait écouter les conversations et ainsi être informé accidentellement d’opérations militaires qui auraient pu être compromises. Sans parler du fait que la rumeur très prolifique en temps de guerre, pouvait faire autant de dégât que le Kanone Schwerer Gustav à Sébastopol [3].
Aux États-Unis, c’est l’Office of civil Defense» qui était chargé de contrôler les conversations imprudentes chez les civils. Tout comme pour la conscription, la production industrielle, l’économie de guerre et le rationnement, Washington a encore une fois fait appel à l’industrie musicale qui a répondu « présente » une fois de plus.
Paroliers et musiciens ont parlé de cette réalité de toutes les façons possibles, cependant, certains ont choisi d’aborder ce thème de façon sérieuse, tels Gene Carroll et Glenn Rowell avec la chanson « Silence is Golden» en 1942 dans la collection « Moral Songs Collection»; ainsi que Lew Pollack et Hermann Ruby avec «Zip Your Lips» : « If you have a boy in uniform you should be very proud, if you happen to know where is to go, don’t dare to say it loud ».
Dans la lutte à la rumeur, remarquons la chanson de Harold Rome intitulée « Mr Chucklehead » qui « warns us that our Allies are gonna pull a fast one, who says that he hates rumors then gives out with the last one”, ainsi que “I Shut My Mouth (I Ain’t Talkin’)” chantée par Frances Faye, Ruthe Bryer et Roselyn Hershenson qui dit “I shut my mouth I ain’t sqwawkin when I hear an idle story I’m no mockin’ bird. I shut my mouth for dear old glory shhh! Shhh! Mum’s the word”.
Ces chansons ont certes aides la cause de façon ponctuelle, mais on ne peut pas dire qu’elles ont fossilisé un empreinte indélébile dans les traces du temps.
Cependant, il y en a une qui elle, est encore aujourd’hui est encore jouée dans les radios spécialisées (dont la station Rat Patrol Radioqui diffuse la programmation originale qu’écoutaient les Américains sur le front intérieur de 1939-1945, et cela, gratuitement) et qui s’intitule «Shhh! It’s A Military Secret». Elle fait parler un soldat qui énumère de quoi il faut ou non parler et qui en fin de compte, conclut : «Let’s just talk about love cause that’s what I’m thinkin’ of and it’s no military secret taht I love you!». Elle fut enregistrée en 1942. Duke Ellington quant à lui a voulu frapper l’imagination avec « A Slip of The Lip (Can Sink a Ship)» fut aussi un hit dans la catégorie « rumor control ».
Après 1942, il n’y eut qu’une seule chanson sur ce thème, intitulé «Your Tail Is Showing » qui affirme que si vous êtes instigateur d’une rumeur, « then your tai lis showing and Hitler made a Monkey out of you! »(1943).
En conclusion, comme on peut le constater, le gouvernement Américain a encore une fois utilisé l’industrie musicale pour faire passer ses messages à la population, que ce soit afin de lutter contre la rumeur – toujours très populaire en tant de guerre – ou encore de sensibiliser la population à ne pas trop parler au risque que des oreilles ennemies les écoutent, ou encore soit pour encourager les travailleurs dans les industries indispensables à la guerre comme les usines de munitions ou de véhicule lourds et blindés. Ces chansons incitaient également ses ouvriers à la prudence, ou encore leur permettait de rire des inconvénients du métier, que pouvaient être tant le laitier, les shifts de 12 heures ou la location d’appartements.
Ces chansons ont ainsi été aussi indispensables à l’effort de guerre alliée que tous les soldats, armes, équipement ou véhicules qui ont pu être envoyés en Europe.
BIBLIOGRPHIE SOMMAIRE:
1- __________, "Infanterie et artillerie : la bataille du matériel", dans 2e Guerre Mondiale, 6, sept-nov 2006. pp. 43-47.
2- FUSSELL, Paul, La Guerre : psychologie et comportements pendant la Seconde Guerre mondiale, Paris, "coll. Points-Histoire", 162, 414p.
3- JONES, John Bush, Songs That Fought The War Popular Music and The Home Front 1939-1945, New-York, Ed Brandeis.
[1] Agence de Renseignements de l’armée régulière, la Wehmacht. Dirigée par l’Amiral Canaris.
[2] Police Secrète de la SS, dirigé jusqu’en 1942 par Reinhardt Heydrich et par la suite par Ernst Kaltenbrunner jusqu’en 1945.
[3] Le canon allemand de 800mm, nommé Shwerer Gustav(gustave lourd) était le plus gros calibre de la Seconde Guerre mondiale., Ce fut les usines de Krupp qui le construisirent de 1937 à 1941. Comme tous les canons du IIIè Reich, il fut nommé d’après les membres de la famille Krupp, Gustav Krupp von Bohlen. Le canon était posé sur 4 chariots ferroviaires de 10 essieux chacun circulant sur 2 voies de chemin de fer parallèles avec un espacement axial de 4m. l’obus de 4.8 tonnes pouvait être propulsé sur 48 km. Les hommes de troupes ont surnommé cette arme « Dora »
[1]Paroles de la chanson “Arms For The Love of America”, 1941, écrite par Irving Berlin et chantée par Kay Kyser & His Orchestra. Ici, c’est la version de Barry Woods que nous retiendrons, qui comporte une partie a cappella.
[2]Le “Pistol Packin’ mama” est ici un clin d’oeil à une chanson de Al Dexter (1942) qui a été ensuite repris par les Andrews Sisters et Bing Crosby. Elle fut la chanson country la plus populaire pendant la Seconde guerre mondiale.
[3]Agence de Renseignements de l’armée régulière, la Wehmacht. Dirigée par l’Amiral Canaris.
[4]Police Secrète de la SS, dirigé jusqu’en 1942 par Reinhardt Heydrich et par la suite par Ernst Kaltenbrunner jusqu’en 1945.
[5]Le canon allemand de 800mm, nommé Shwerer Gustav (gustave lourd) était le plus gros calibre de la Seconde Guerre mondiale., Ce fut les usines de Krupp qui le construisirent de 1937 à 1941. Comme tous les canons du IIIè Reich, il fut nommé d’après les membres de la famille Krupp, Gustav Krupp von Bohlen. Le canon était posé sur 4 chariots ferroviaires de 10 essieux chacun circulant sur 2 voies de chemin de fer parallèles avec un espacement axial de 4m. l’obus de 4.8 tonnes pouvait être propulsé sur 48 km. Les hommes de troupes ont surnommé cette arme « Dora »
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brieucgwalder · 5 months
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A Brittany trilogy
Chapter 1: Exodus I just celebrated my birthday. I turned 14 on May 18th. At last I can stop wearing knee-high socks. I had my eye on a pair of stockings or platform shoes. I thought my birthday would be fun. But not really. Despite my mother’s delicious chocolate cake, the overall spirit was gloom. War has been declared last year. In September. My father has been in a foul mood ever since. He…
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Guerre 1939-1945. Exode de mai-juin 1940 en France
Photo: LAPI
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