Tumgik
#Frère d'âme
patheticbatman · 9 months
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Part Two
I’m very proud of these dolls, and I’m also leaving them at my parents’ house, so I did a little photoshoot with some books as background so I can have nice pictures of them.
This is the second post, so check out the first for more info!
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First up we have Pocahontas (real name Matoaka) with Elatsoe, by Darcie Little Badger. It’s a why-dunnit, not a who-dunnit, about a Lipan Apache girl who has some serious ghost powers. Pocahontas was a tough one, but I decided to go with a book I love about a modern Lipan Apache (Indigenous) girl, written by a modern Lipan Apache (Indigenous) woman. I know a lot of people have strong feelings on both the real life Matoaka and the cartoon Pocahontas, and how she symbolizes a lot of sad and terrible changes for Turtle Island. So I thought putting the doll and this book together would provide an interesting contrast, one that the real life Matoaka may find horribly interesting.
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Second is Esmeralda with At Night All Blood Is Black, by David Diop (the French title means Soul Brother - I believe that the title is a play on the English Idiom, At Night All Cats Are Grey, meaning you cannot see meaningful differences in the right circumstances). It’s a very interesting though sorrowful novel about a Senegalese Tirailleur (Infantryman) who was sent to France during WWI. I don’t think Esmeralda would read this normally, but if she was in a sad mood, I think the theme of fluctuating humanity during conflict, and being a Person of Color in France (even centuries later!) would interest her.
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Third up is Mulan with Lady of Ch’iao Kuo: Warrior of the South, by Laurence Yep. When I drew pictures for Mulan’s poem (years ago now!) I headcanoned in my explanation that Mulan and Lady Xian, princess of the Li Xian people in modern day Guangdong, were close enough in history that they *might* have met and been friendly. Mulan is typically from further North and West than Guangdong, and would be part of the colonizing side in this case sadly, but I feel like they would respect each other as fellow powerful women.
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Fourth is Melody (Ariel’s daughter) with A Song Below Water, by Bethany C. Morrow. I think she’d go into the book with certain expectations, like I did, about the plot, and then get drawn in by the real story. Let’s just say the cover gave me assumptions that lead to a great twist for me personally. Also, I think Melody would relate to the mystery of her magical parent’s true background. The book celebrates the lesser known fantasy species, and approaches the danger of traffic stops, police brutality and protesting for Black people, and how that intersects with being a woman, with care and love. If they ever make a live action Little Mermaid 2, I feel like that would also speak to Melody.
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Fifth is Kida with The Ones We’re Meant To Find, by Joan He. Kida is from a fantasy ancient civilization, and this book depicts a sci-fi futuristic one, but there’s more similarities than one might initially think. Both exist due to the hubris of humanity, and in reaction to serious pollution topside. And both explore (or at least mention) a relationship between two women separated by the change in their civilization, and with a boy who seems to know too much. I’m not sure Kida would necessarily read this story, aside from its attractive and exotic (to her, at least) take on the world above, which she has not seen for millennia, but this story is similar enough to Kida’s movie that I felt it fell under the adaption category instead.
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Sixth is Jane (from Peter Pan 2, Wendy’s daughter) with Peter Pan on Scarlet, by Geraldine McCaughrean. The Disney movie is NOT based on this book, but both do mention Wendy’s family being affected by a World War, though this one has WWI and the movie has WWII. Interestingly, both have a sympathetic Hook initially. ‘Twas a lovely read, and in my opinion matched the original book based on the play.
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Seventh is Giselle with The Wind in the Willow, by Kenneth Grahame. I just felt Giselle would enjoy the idea of cute talking animals (but not so much the war storylines of Redwall) so I put her with this book.
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Eighth is Tiana (<3) with Wildwood Dancing, by Juliet Marillier. Funnily enough, I do actually have the *sequel* to the book her movie was based off of, but I’ve never read the original, so I decided it doesn’t count. But this is my favorite mixed up fairy tale novel that features a Frog Prince storyline, so I went with it. The villain is also a greedy butt who doesn’t care for his own people, and the protagonist is often underestimated, due to her appearance and gender. In any case, I love this book so much that I illustrated the first chapter, lol.
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Ninth is Rapunzel with Rapunzel’s Revenge, by Shannon, Dean and Nathan Hale. I loved this adaption since I was a kid (honestly more than Tangled) and I’m pleased to finally own it.
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Last is Merida, with The Edge on the Sword, by Rebecca Tingle. The book is about a warrior princess a thousand years ago in what is England today, with a forced engagement storyline, so I figured this would be right up Merida’s alley.
Part One
Part Three
Part Four
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the-crow-binary · 5 months
Note
In onore del giorno SYL... Ti sfido a scrivere una drabble in francese su Macula! >:P
Oppure qualcosa più semplice, top 5 ship preferite? 🥺
...va pour le top 5. (j'arrive pas à écrire Maculaaaaa 🥺 pourtant je veux vraiment le faire, mais c'est duuuuuur 😭)
Du coup
5 - Malter. 😏 Deux bâtards égoïstes et manipulateurs qui prennent plaisir à s'utiliser mutuellement... 😏 J'ai besoin de voir plus de choses sur eux. ❤️
4 - Trevor. OK JE TRICHE UN PEU POUR CELUI-LÀ MAIS ÉCOUTE- TU PEUX PAS ME DEMANDER DE CHOISIR ENTRE ISAAVOR ET HEVOR ET DRAVOR ET Benevor MÊME GRAVOR (ok je pense quasi jamais à Grant x Trevor, mais quand même. Je pense qu'ils seraient mignon ensemble.) TREVOR RENDS JUSTE TOUT LES SHIPS DANS LEQUEL IL EST SEXY ET INTÉRESSANT ET TENDU ET AAAAAAAAAAAAA JE L'AIME ET L'ADORE.
3 - Isaactor. ILS ME BRISENT LE COEUR MAIS JE LES AIME ET C'EST DE TA FAUTE. ILS AURAIENT PU ETRE MEILLEURS AMIS POUR LA VIE ET SE MARIER ET SE FAIRE DES BISOUS POUR TOUJOURS MAIS CE N'ÉTAIT JAMAIS LEUR DESTINÉE. 😭 TOUT ÇA PARCE QUE DRACULA. MÊME MORT IL SE MET ENTRE LES DEUX CE BÂTARD
2 - Mactor. Nos blorbos 🥺 Le chevalier et son seigneur. 🥺 Les amants vouées à se rencontrer trop tard. 🥺 Hecula sans l'abus et les Horreurs, mais qui n'aurait jamais dû arriver... 🥺 "Mathias était l'âme sœur d'Hector, mais Dracula n'avait pas d'âme." 🥺 JUSTE. EUX. JE SUIS SI FAIBLE 😭
2.1 (c'est mon top je fais ce que je veux >:<) - Macula. Un jour, je ferais comprendre au monde pourquoi..... 😭
1 - Ex eaquo entre Hecula et Dramont parce-que GAH. J'ai déjà expliqué pour Dramont mdr. Et puis pour Hecula... lis tes fics, frère 😭 C'est un ship horrible et tordu et Hector a bien mérité de buter Dracula lui-même ❤️
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icariebzh · 7 months
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"../...Tu le sais je suis né d'un père et d'une mère humains. Mes soeurs, pas plus qu'eux, n'ont quatre pattes, une tête bête, ni des yeux rouges. Mes enfants non plus. De mon côté, j'ai aussi l'apparence d'un être humain, un peu sombre, peut-être. J'aime l'herbe, mais ne la broute pas, et j'habite un studio donnant sur les arbres à Montmartre, au pied du Sacré-Coeur. C'est là où je reprends conscience de ma vie. Il y a certainement eu en elle des choses qui m'ont totalement échappé...car je ne les cherchais pas.
Ces phrases que je transcris sont les premières d'un texte intitulé le mouton noir mélancolique. Près de deux cents pages rédigées à la main d'une écriture soignée, corrigées et annotées jusqu'à la fin. Sur la chemise bleue qui les renferme, mon père a écrit  "à romancer". Ce texte, il le destinait à d'autres. Ma soeur et moi pour commencer. Il a passé les derniers mois de sa vie à l'écrire, dans le petit appartement que nous lui avions aménagé: une pièce blanche et claire, au rez-de-chaussée d'un immeuble moderne précédée d'un couloir en coude , sur lequel ouvraient une cuisine, une salle de bain, une penderie, et dont la paroi du fond  était entièrement occupée par une baie vitrée qui donnait sur voie plantée d'arbres. Il y avait dans ce lieu comme dans certaines chambres d'hôtel, quelque chose d'impersonnel et de rassurant. Dès que nous l'avons vu nous avons su qu'il y serait bien, qu'il y échapperait à la peur. Nous y avons installé les meubles et les bibelots rescapés de la vente  à Drouot, une grande bibliothèque où tenaient ses livres de droit et les cartons remplis de ses cahiers, un divan et un bureau, des tapis usés, une console Empire, des tableaux de mon grand-père, une photographie en noir et blanc de la Malouinère de Saint-Méloir-des Ondes: les reliques d'une dynastie de notables qui recomposeraient autour de lui le décor d'une vie respectable, lente et feutrée. Les psychiatres l'ont autorisé à quitter la clinique où depuis un an il était enfermé. Il allait pouvoir recommencer à vivre. C'est dans cette chambre qu'il est mort, neuf mois après.Tout de suite, il s'est approprié cette nouvelle scène. Et durant ces neuf mois, le temps d'une gestation, il s'est inventé un nouveau rôle. Il avait été le Malade, il serait le Médecin; il avait été le Fou, il serait le Sage. Il s'est remis à lire; pas de romans mais des essais, saint Thomas et Hannah Arendt, Jung et Plotin ( ce sont les névrosés qui lisent des romans m'avait dit un psychiatre rencontré peu après sa mort, les psychotiques préfèrent la poésie et la philosophie, ils creusent plus loin dans le réel). Lui-même, dans sa chambre blanche, il se rêvait penseur, moine-savant. il était Abélard isolé et banni, ou l'un de ces mélancoliques de la Renaissance assis à son écritoire, entouré de livres, de globes, de vanités et de miroirs ternis. Ce texte qu'il écrivait, n'est pas l'histoire de sa vie mais celle de sa maladie. J'ignore qui est ce "Tu" auquel il s'adresse d'emblée, ce tu qui "sait"; un autre malade, compagnon d'armes, frère d'âme? Celui que la maladie avait, en lui, laissé invaincu, impassible? Ce "Procureur implacable" dont il dit que, sa vie entière, il l'a redouté et qu'il espérait fléchir enfin? Ou bien encore une femme, une compagne rêvée comme celle que s'inventent les enfants tristes et les adolescents solitaires, une Héloïse, dit-il: Que n'ai-je une Héloïse à qui écrire parfois dans ma solitude?" ../..." Citation et extrait de "Personne" un roman de Gwenaëlle Aubry-Editions Mercure de France-
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christophe76460 · 2 months
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PAIN QUOTIDIEN 💡
THÈME : AUX PIEDS DE JÉSUS-CHRIST (suite 2)
Marthe et Marie étaient toutes deux touchées par la maladie et la mort de leur frère Lazare (Jean 11:1-44).
À Son arrivé, Christ fut accueilli par Marthe dont les premiers mots furent : "Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort" (v.21). Ce sont exactement les mêmes paroles que celles que prononcera plus tard Marie (v.32).
Lorsque Marie fut venue là où était Christ, elle Le vit, se jeta à Ses pieds. Pour la deuxième fois, cette femme dévouée se trouve à cette humble place, aux pieds du Seigneur pour pleurer.
Pleurer au bord de la tombe d'un être cher, le monde même peut le faire, mais cela n'apporte aucune consolation au cœur affligé. Mais pleurer aux pieds de Christ, c'est y trouver le réconfort de Son amour. Car Il est capable de ressusciter ce qui est mort en Son temps.
Marie qui était autrefois aux pieds de Christ pour apprendre, est maintenant aux mêmes pieds pour pleurer et être consolée.
N'ayons pas honte de faire connaître notre véritable état d'âme aux pieds de Christ. Il comprend ce que nous ressentons parce qu'Il l'a ressenti Lui aussi. Soyons vrais et ne cachons rien à notre Sauveur. Il se soucie profondément de nous.
Cette histoire vraie de Marthe et Marie nous montre où déposer nos besoins et soucis. Elle nous enseigne que Jésus-Christ est capable de résoudre n'importe quel problème en Son temps. Il a parfois recours au surnaturel, comme c'est le cas ici, mais Il peut aussi employer des moyens naturels, comme lorsqu'Il chassa les changeurs du temple (Matth.21:12).
Notre destin est entre les mains de Dieu (Ps.31:15-16). À l'instar de Marthe et Marie, venons à Jésus-Christ afin de recevoir Son aide dans tous les domaines de notre vie.
Pleurez-vous aux pieds des hommes ou à ceux de Christ ? À suivre.
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ondessiderales · 3 months
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Ode à la joie
Kaworu, dernier ange et dernier messager
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Traduction
Kaworu : C'est beau de chanter. Le chant enrichit l'âme. C'est là le plus grand accomplissement des Lilins. Tu ne trouves pas, Shinji Ikari ?
Shinji : C'est donc toi le Cinquième Enfant ? Euh… Nagisa ?
Kaworu : Tu peux m'appeler Kaworu, Ikari. Shinji : Tu peux aussi m'appeler Shinji.
Kaworu : Tu évites autant que possible d'établir un premier contact. As-tu peur du contact avec les gens ? Quand on ne connaît personne, on ne risque ni de se faire trahir ni d'être blessé. Mais tu te sentiras toujours seul. L'homme ne pourra jamais faire disparaître éternellement sa solitude. Car l'homme est seul. Mais l'homme arrive à vivre car il arrive à l'oublier.
Shinji : C'est l'heure. Kaworu : Déjà ? Shinji : Oui. Il faut aller se coucher. Kaworu : Avec toi ? Shinji : Non ! Je pense qu'ils t'ont préparé une chambre. Une chambre à part. Kaworu : Entendu. Le cœur de l'homme souffre constamment. Ainsi, il a l'impression que vivre, c'est souffrir. Un cœur est délicat comme du verre. Surtout le tien. Shinji : Ah oui ? Kaworu : C'est pour cela que tu as ma préférence. Shinji : "Ta préférence" ? Kaworu : Cela veut dire que je t'aime.
Kaworu : L'homme ne peut rien bâtir du néant. Rien accomplir sans s'accrocher à quelque-chose. Car l'homme n'est pas un dieu.
Misato : Sortir si tôt le matin et parler tout seul.
Misato : Il m'a repérée ? Non, impossible.
Kaworu : Tout se déroule comme les Lilins le veulent.
Kaworu : Allons-y. Viens, alter ego d'Adam et serviteur des Lilins.
Kaworu : Shinji en met, du temps.
L'EVA-01 descend la route 2 à la poursuite de la cible ! Shinji : Le voilà.
Kaworu : Je t'attendais, Shinji. Shinji : Kaworu !
Kaworu : Les Eva… Nées d'Adam, elles sont des abominations pour les hommes. Et les Lilins sont prêts à les utiliser pour survivre. Je ne le comprends pas.
Kaworu : Les Eva sont faites de la même matière que moi. Car je suis aussi né d'Adam. Nous pourrions fusionner si elles n'avaient pas d'âme. L'âme de l'Eva-02 s'est pour l'instant repliée sur elle-même.
Shinji : Un Anti-Terror Field ! (Champ Anti-Terreur) Kaworu : Oui, c'est comme ça que vous Lilins l'appelez. Le lieu sain que nul ne peut violer. La lumière du coeur. Les Lilins savent aussi que l'AT Field est ce mur que chacun a dans son coeur. Shinji : Mais je n'en sais rien, Kaworu !
Kaworu : Le destin de l'homme. L'espoir de l'homme est écrit dans le chagrin.
Kaworu : Non ! Ce n'est pas lui ! Lilith ? Je vois, c'est donc ça, Lilins
Kaworu : Merci, Shinji Je voulais que tu stoppes l'Eva-02. Sinon, j'aurais peut-être continué de vivre avec elle. Shinji : Pourquoi, Kaworu ? Kaworu : Car continuer de vivre est ma destinée Même si cela doit entraîner l'extinction de l'homme. Mais je peux mourir ainsi. La vie et la mort ont la même valeur, pour moi. Choisir sa mort est la seule et absolue liberté qui soit.
Shinji : Kaworu… Kaworu : C'est mon testament. Maintenant, efface-moi de ce monde.
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Ode à la joie
Étincelle Ô joie divine, jaillie de l'Elysium ! L'allégresse nous anime, pour entrer dans ton royaume.
Par ta magie sont unanimes, des peuples jadis divisés. Là où ton aile repose, règne la fraternité.
Soyons unis comme des frères, d'un baiser au monde entier. Amis ! bâtissons une ère de paix pour l'Humanité.
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atthedas · 4 months
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Mise à jour n°31
Nouvelle mise à jour du mois de juin sur Ainsi tomba Thédas ! Lien vers le forum.
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Crédits : Vika Yarova, ArtStation ; Ronan Toulhoat, ArtStation ; Charlie Bowater, DeviantArt.
La rivière coule.
L'eau perce les Tréfonds d'un monde abandonné à la nature, abandonné à la surnature : sous leurs pieds se découvre une ville effondrée et se dérobe un danger permanent. Ces lieux que découvrent explorateurs et exploratrices paraissent hors du temps et inquiètent. Voilà l'effet que produit toute expédition dans les sous-sols du monde, m'a-t-on déjà souvent rapporté : il n'y a que les vieux gardes plus habitués à l'obscurité qu'au soleil pour troquer cette surprise avec une désinvolte indifférence… Quelle indifférence, pourtant, quand le monstre des contes de fées détalejuste devant vous ?
Le courant s'échappe des lèvres et des cœurs complices le temps d'une fête : elle passe et efface ces différences et ces rancœurs qui, de jour, d'ordinaire, rythment toutes ces vies. On rit et l'on danse, on se laisse emporter dans une dernière farandole : ce palais-là goûte les richesses d'âmes généreuses plus que de vaisselle brillante. Des âmes qui réservent de dernières surprises de flammes et de papiers pour divertir ces frères, ces filles, ces amis et ces amantes… Qui saura regarder vers les cieux divins avec un dernier regard brillant ?
Les clapotements résonnent des battements de ces paupières à peine masquées : masquées pour l'exercice, masquées pour la parade, masquées pour cacher ces regards devenus fuyants et coupables. Voilà que le plat principal est servi à la grande réception du Prince et que chacune, chacun, découvre dans ses biens un nouveau billet inattendu : son contenu goûte avec acidité et amertume, ou avec un sucre appétissant… À qui, donc, s'adressaient les mots que ces convives tenaient entre leurs mains ?
La rivière s'écoule : elle emporte avec elle les pierres et les plumes, les corps et les illusions.
Statistiques
Ainsi tomba Thédas compte actuellement 53 comptes pour 51 personnages validés ! Les Factions sont globalement toutes équilibrées, sauf la Garde des Ombres qui a un désavantage.
Animation en cours : L'évènement touche à sa fin ! Vous trouverez plus d'informations ici. Les personnages éphémères sont ouverts aux nouveaux.elles joueur.euse.s !
Prédéfinie mise à l'honneur
Nom : Cayetana Dunaid. Âge : 38-39 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Marches Libres (Tantervale). Occupation : Conseillère économique auprès du Conseil de Starkhaven. Religion ou croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Veuve.
J’ai toujours grandi avec l’idée que l’argent résout tout, qu'un coffre bien rempli ouvrait à tous les possibles, que tout s’achète pourvu qu'on lui donne de la valeur. N’en suis-je pas la preuve ? Je suis née roturière, fille de marchands antivans, et me voilà à conseiller les plus grands, à leur dire comment placer leur argent et comment me remercier. Je vois leurs regards, leur mépris, leur admiration, leur envie aussi : parce que je ne suis pas noble, parce que j’ai mérité ma place ou parce que je suis certainement la personne la plus riche de cette ville. Ceux qui me jalousent me trouvent pingre, mais je connais les chiffres et je sais que ce sont les petites gouttes qui font les grandes rivières. Et d'ailleurs, pour faire de Starkhaven un fleuve prospère, je n'ai pas eu peur de lancer une guerre ouverte contre la pègre pour redonner ses trésors à ma cité : j'ai su être l'étrangère qui a défendu les intérêts de ma cité d'adoption... et qui lui sera jusqu'à la fin fidèle. Voir plus...
Scénario mise à l'honneur
Nom : Felicia Valisti. Âge : 35-40 ans. Genre : Féminin (Libre, mais rédigée au féminin). Peuple : Humain. Nation d'origine : Antiva. Occupation : Ancienne templière itinérante désormais Garde des Ombres. Religion ou croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Libre.
Que je porte sur mon cœur le divin soleil ou l'implacable griffon, cela ne change rien : je dévoue mon existence au service de Sa Lumière et cherche à accomplir Son œuvre. Ma route s'est enfoncée dans la boue et a résonné contre les pierres taillées : j'ai survécu au lourd héritage de ma naissance, j'ai délaissé les pires manœuvres politiques, j'ai lutté contre les assassins ; mais j'ai surtout cherché sans fin Sa Justice, offrant en Son nom une seconde chance à ceux qui étaient maudits, protégeant en Son nom ceux qui se croyaient perdus. Seulement, en quelle justice croire quand les hommes ne cessent de la bafouer, pétris de péchés ? Seulement, en quelle justice croire quand l'Enclin éclate et nous laisse impuissants ? La terre de mes aïeux est tombée après que je l'ai retournée durant de longues années de labeur : et peut-être ai-je disparu parce que mes racines y sont si profondément enfouies que je n'aurais su vivre sans… de templière, me voilà devenue Garde des Ombres : quelle femme serai-je lorsque je réapparaitrai à ce monde qui me croyait partie ? Voir plus...
Organisation mise à l'honneur
Volatiles et enjoués, connue des esprits les plus renseignés – et, pourtant, rares sont celles et ceux que leurs tours et leurs spectacles n'ont pas su amuser : la Compagnie du Chant des Rêves se présente à vous dans une révérence espiègle avant de reprendre son art.
La Compagnie du Chant des Rêves est une devanture. Il s’agit en réalité d’une confrérie de malfrats liés par la camaraderie et l’entraide – sans pour autant que ses membres n’aient des intérêts communs. On s’y protège sans pour autant s’entraider, et la principale règle est de ne jamais agir contre un autre membre du groupe. Certains sont apostats, d’autres espions, assassins, voleurs, arnaqueurs ou un peu de tout cela. Les allégeances réelles sont aussi diverses que les personnages et personne ne cherche à y donner une cohérence, une direction. Les décisions y sont collégiales.
Malgré cela, les saltimbanques de la Compagnie sont bien cela aussi : des artistes. Tous sont assez doués dans leur domaine pour vivre d’un art et assurer une couverture cohérente au groupe. Cette considération est essentielle dans leur recrutement (qui se fait par cooptation). Quelques exemples de rôles : danseurs, acrobates, jongleurs, comédiens, marionnettistes, musiciens, cracheurs de feu, dresseurs d’animaux, metteurs en scène, etc.
La Compagnie du Chant des Rêves revendique un certain goût pour le mysticisme et l’ésotérisme. Leurs spectacles sont toujours emprunts de symboles et de mystères, et ces pratiques ont tendance à attirer la suspicion des templiers et la foudre des citoyens les plus zélés. Les artistes, conscients de la dangerosité de ces limites, proposent régulièrement des spectacles à la gloire du Créateur, et ne vont jamais frontalement à l’encontre des principes chantristes. Les membres de la Compagnie choisissent à leur arrivée un nom parmi les Arcanes majeures du Tarot. L'objectif est double : renforcer l'identité de la troupe et le mystère dans leurs représentations, et protéger les identités réelles des membres. De nombreux membres ne se connaissent réellement que sous ce nom. Voir plus...
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onmyweed · 10 months
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Mercredi 9 août 2023.
Kingston Upon Thames.
Point de vue de Joseph.
- Reveilles toi gros con. J'entends la voix de Finn, mon frère.
Je remet ma tête sous ma couette.
- Lâches moi, j'ai mal à la tête.
J'entend des bruits de bouteilles en verrez, certainement celles que j'ai vu hier soir.
Je sortis ma tête de la couette et vis effectivement Finn avec ma bouteille de vodka vide à la main.
- Je vois ça. Il jette la bouteille dans la poubelle de ma chambre d'une manière assez vulgaire. Viens, on a des trucs à faire aujourd'hui.
- Non, je reste ici.
- Joseph Michael Cole n'est pas d'humeur pour sortir... Il me regarde d'un oeil étrange, et je n'aime pas ça.
Le démon de minuit t'as piquer, ou c'est le fille que j'ai vu dans la voiture avec toi hier qui t'as piquer ?
- Putain mais ferme la, j'ai trente quatre ans, j'ai plus besoin de baby-sitter.
Je lui lance mon coussin dans la gueule, mais ça le fait rire plus qu'autre chose.
- Donc, c'est cette fille. Mais tu sais quel âge elle a ?
Merde. Finn marque un point. Quel âge a Alaé ? C'est vrai qu'elle paraît jeune maintenant que j'y pense.
- Elle est majeure, c'est déjà pas mal.
Enfin j'espère.
Il faut que je demande à Alaé quel âge elle a, car je ne peux pas lui faire faire le tapin si elle est mineure, et je n'aurais meme jamais du coucher avec elle sans savoir son âge... Mais elle m'a comme hypnotisé, peut être car on se ressemble physiquement, ou bien mentalement, ou alors parce que je la sens dangereuse et impossible à impressionner.
Malheureusement pour elle, à ce jeu là, je suis le plus fort et personne ne peut m'égaler, parce que moi aussi je n'ai peur de rien et comme elle, je n'ai plus d'âme depuis bien longtemps.
Alaé m'a rembarrer hier, je n'ai pas apprécier, et donc pour ça, elle sera ma pute.
- Oh oh je te parle !
Finn était à présent assit sur mon lit.
- Mais lâches moi !
- Il faut que tu prennes tes médicaments.
- Je les emmerde ces médocs de merde, ils me bouffent le cerveau, j'ai pas besoin de ça.
- C'est pas plutôt toute la came que tu prends qui te bouffe le cerveau ?
- Vas te faire foutre, et dégage.
Finn ne dit rien de plus et finit par partir. J'espère qu'il ne va pas entrer dans la deuxième chambre parce que Alaé est censée être là.
Je me lève enfin de mon lit et enfile un caleçon, je prend la clé de la deuxième chambre que j'ai préalablement fermée au cas où une certaine petite baggareuse aurait voulu partir pendant la nuit.
Quelle pute. Je me sens énervé quand je pense à elle. Peut importe.
J'ouvre la porte de la chambre avec la clé.
Personne.
J'aime pas ça, mais vraiment pas du tout.
Le fenêtre est ouverte, je cours directement vers cette dernière. Il y a un espèce de traillage à côté de la fenêtre, et elle a du descendre par là.
Je ne sais pas pourquoi mais je me met à rire, les nerfs. Oui, c'est les nerfs.
Cette petite garce a descendu quatre étages en passant par la fenêtre.
J'avoue que je suis responsable pour ce coup-ci. J'ai été faible. J'ai coucher avec elle car je la trouvais attirante, mais je l'ai enlevée pour rien, elle m'avait simplement croiser au pub, ça aurait pu s'arrêter là, mais moi, comme un con paranoïaque j'ai penser qu'elle m'avait reconnue et qu'elle allait me balancer alors qu'il n'y avait aucune raison.
En revanche, maintenant c'est différent. Je l'ai séquestrer toute la nuit chez moi, elle aurait de bonnes raisons d'aller balancer.
Je prend mon téléphone portable et appelle Josh.
" - Oui mec
- Josh je veux que tu me mette trois hommes devant le commissariat, trois autres devant la gendarmerie pour toute la journée. Si ils voient une fille blonde, les yeux bleus avec pas mal de tâches de rousseurs, ils vont la voir pour lui demander son nom et si elle dit qu'elle s'appelle Alaé vous me la ramenez, saine et sauve.
- Ok pas de soucis"
Je raccroche et pars m'habiller. Après ça, je tire trois traces de blanche et me met en route.
Je prend mon téléphone portable et rentre dans mon application Gps. Cette petite conne pensait vraiment que j'étais un amateur.
Quand elle s'est engueuler avec justement Josh hier au pub, son téléphone était posé sur le comptoir. José, le barman s'est simplement contenté de le prendre et de rentrer une petite puce microscopique dans l'appareil et le reposer sur le comptoir comme si de rien n'était.
Quelque chose m'échappe, mais quand Alaé est rentré au pub et qu'elle n'a vu que des hommes, pourquoi n'a-t-elle pas fait demi tour ?
Parce que c'est une grosse salope.
Oui, bonne déduction.
Le téléphone de Alaé capte vers Bristol.
Je me met en route jusqu'à la petite ville qui a bercer ma jeunesse, j'en ai fais des conneries à Bristol, bien que j'en fasse encore ici aussi, et même 15 ans après.
Je m'allume une cigarette.
Pourquoi je ne l'ai simplement pas laisser partir libre ? Il a fallu que je fasse le con.
Tout ça pour avoir raison une fois de plus.
Quand je vais retrouver Alaé, je vais la niquer, dans tous les sens du terme.
Elle ne peut pas m'éviter, je sais exactement ce que je fais, et elle ne m'echappera pas.
Comme l'a dit mon frère, j'ai des pulsions à tendance un peu obsessionnelles. J'avoue que la plupart du temps, mes obsessions se tournaient plutôt vers les fils de pute qui voulaient ma peau, que ce soit les flics, ou bien les autres. Mais là c'est différent. L'objet de mon obsession est une fille, qui je l'espère, est majeure.
~~
J'arrive à l'adresse où est censé être Alaé. C'est un parc.
Je la vois, il est midi et il n'y a personne dehors. Seulement elle, assise sur un banc, dos à moi.
Je m'allume une cigarette et avance doucement vers elle.
Je m'asseois à côté de Alaé. Elle tourne la tête vers moi, et se recule légèrement.
- Ne fais pas semblant d'avoir peur, tu n'as pas peur. Je lui dis, et elle hausse les épaules.
- Comment tu m'as retrouver ?
- Secret professionnel.
- Pourquoi tu es là Joseph ? Il faut que j'aille faire la pute dès maintenant ?
- Étant donné que tu t'es barrée en pleine nuit par la fenêtre je devrais te faire tapiner immédiatement, mais en réalité tu ne m'as rien fait, alors je ne te ferais rien faire.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ? C'était pas du tout ce que j'étais censé lui dire.
- Merci. Elle me dit sans pour autant me regarder.
Pourtant, moi je la regarde. Ses yeux mauvais, sa bouche tirée. Elle me fait beaucoup penser à moi. C'est une tête brûlée.
- Tu as quel âge ? Je lui demande.
- Dix neuf ans.
Ouf. Un soucis en moins. Et toi ?
- Trente quatre.
- Avec ta gueule d'ange, je me demande comment c'est possible que tu sois aussi mauvais. Alaé venait de me clouer sur place.
- Je pourrais te retourner le compliment, on se ressemble physiquement, et pourtant tu as l'air aussi mauvaise que moi à l'intérieur.
- Je suis très mauvaise.
Elle sourit tout en regardant au loin.
- Tu as manger ? Je lui demande.
- Non.
- Viens. Je me lève du banc et lui tend ma main. Elle la prend directement et se lève.
- J'ai la voiture de Tabatha.
- On ira la prendre après, viens dans ma voiture.
Elle ne dit rien et me suit.
Je me gare devant le B.C Bristol. C'est un street food.
- Tu connais ici ? Elle me demande.
- Tu aimes quoi comme hamburger ?
- Avec du cheddar et du boeuf.
- Et la boisson ?
- Un coca.
- J'arrive.
Je sors de la voiture et entre dans l'enseigne.
Point de vue de Alaé.
Pourquoi Joseph me fait-il autant d'effet ? Lorsqu'il est près de moi, je ressens des sortes de frissons et pourtant dieu sait que je ne l'apprécie en rien... Mais mon corps et mon cerveau m'indiquent le contraire.
Quand je repense à la manière dont nous nous sommes touchés hier, mon coeur palpite. C'était comme si on s'était toujours connus, comme si nos corps se connaissaient. C'était magique et hors du temps.
Mais dès lors que nous avions fini, il avait reprit son regard froid et méprisant.
Dix minutes plus tard, Joe revient avec la poche de nourriture.
Il me donne ma boîte avec mon hamburger et ma boisson. Je croquais dedans.
- C'est super bon ce truc. Je dis, la bouche pleine.
- Le meilleur de Bristol.
- Tu connais ici ?
Je demande et Joseph hoche la tête.
- J'y ai pas de très bon souvenirs, mais oui je connais bien.
- Quels mauvais souvenirs ?
- C'est pas ton problème ça.
Son sourire a toujours l'air de cacher quelque chose, c'est très intriguant.
- Pourquoi tu me regarde comme ça ? Je lui demande.
- Je peux te retourner la question ?
- Et je serais assez intelligente pour ne pas te répondre.
Nous sourions.
Je finis mon hamburger et mon coca dans le silence et m'allume une cigarette.
- Merci, c'était très bon. Je lui dis.
- Pourquoi tu es venue jusqu'ici ? Me demande Joseph.
- J'ai rouler sans vraiment savoir où j'allais.
- Ta grand mère sait que tu es là ?
- Oui, j'ai la permission de vingt heures.
- Tu n'as pas eu peur de mettre ta grand mère en danger en partant de chez moi?
- Tu n'as pas une tête de tueur de mamie, puis je sais que tu la connais.
- Je connais tous le monde ici.
- Tu connais quarante mille personnes ? Ça m'étonnerait.
Je riais.
- Pas mal d'entre eux en tous cas.
Il sort de sa voiture et part au guichet de retrait en face de nous.
Cette banque a l'air sinistre et abandonnée, mais elle ne l'est sans doute pas puisque le guichet marche.
D'ailleurs je devrais peut être payer mon repas à Joe.
Lorsqu'il reviendra je lui dirais.
Il est au telephone. Il est habillé en long manteau marron avec un jean noir et une chemise blanche en dessous.
Il était beau, merde, vraiment beau, et puis le charme, c'est ce qui fait la beauté d'un homme, et je le trouve très charmant.
Il raccroche le téléphone et revient dans la voiture.
- Je te ramène à la voiture de ta grand mère et tu me suis pour rentrer jusqu'à Kingston.
- Ok.
Il démarre la voiture et nous faisons demi tour pour revenir à la voiture de Tabatha.
On arrive rapidement devant le parking qui mène au parc.
J'allais sortir de la voiture mais Joseph me prend par le poignet.
- Tu penseras à changer ton pansement. Il me dit. Je touche mon front et ressens encore une lourde douleur, j'avais presque oublier que j'avais ça au front. Je devrais penser à prendre une douche.
- Tu veux que je te paye mon repas ?
Joseph met sa main gauche sur ma nuque et rapproche mon visage du sien brusquement.
- Ne viens plus au bar de hier, c'est dangereux. Il me regarde dans les yeux.
- Mais moi j'ai peur de rien.
Ses yeux brillent, ils sont scintillants.
Il déplace sa main gauche sur ma joue et caresse cette dernière avec son pouce.
- Je sais pas ce que tu m'as fais, et j'aime pas ça. Il embrasse mes lèvres, doucement, avec plus de tendresse.
- De toutes façons, on ne va plus se voir non ?
Je parlais doucement, pourquoi ? Aucune idée. Les yeux de Joseph étaient tellement troublants...
- Non, normalement on se reverra pas. Il dit, et je hoche la tête.
- Alors salut.
- Ouais, salut.
Je sors de la voiture et me dirige vers celle de Tabatha.
Je sors un pochon de beuh et me roule un petard.
Ce jeune que j'ai vu sur l'aller pour Bristol était sympa, je lui ai donner vingt livres et il m'a donner dix grammes. Je pense qu'il voulait me draguer, et que c'est pour ça qu'il m'a offert au moins cinq grammes gratuitement. Tant mieux, je ne reverrais jamais ce garcon, mais au moins j'en ai profiter sans même le vouloir.
Je pourrais me faire à ce pays, tout est tellement différent. L'ambiance, les magasins, les pubs, les garçons...
Joseph n'est toujours pas parti. Je sais qu'il m'a dit que je devais le suivre jusqu'à Kingston Upon Thames, mais j'ai un GPS sur mon téléphone, je peux y aller toute seule.
Je finis mon roulage et allume le joint ainsi que la voiture, Joe aussi démarre et passe devant moi, je le suis donc.
En même pas 48 heures j'ai coucher avec un bandit, j'ai failli me faire tuer par un ami à Joseph, et en plus, j'ai été à Bristol.
À vrai dire, je pense que c'est la cocaïne qui me fait tenir, bien que j'en ai pris seulement hier. L'effet commence à se dissiper, je sais que quand je vais dormir, ça va être une journée entière, car j'ai beau n'avoir peur de presque rien et avoir une grande gueule comme un homme, mais je suis avant tout humaine et donc je me fatigue à un moment.
Je vois Joseph rouler en face de moi, je suppose qu'il m'a dit de le suivre car il connaît des raccourcis que j'ignore. Il m'a dit qu'il connaissait bien Bristol donc cette ville ne doit avoir aucun secret pour lui.
Je tirais sur mon joint, er continuais la route tout en écoutant les diverses musiques qui passent à la radio.
~~
J'arrive en bas de chez Tabatha, et je vois la voiture de Joseph se garer à côté de moi.
Il sort de sa voiture.
- Je voudrais bien ton numéro, si tu veux ?
- D'accord.
Il s'approche alors de moi et je lui épèle mon numéro de téléphone.
Il me regarde.
- Merci, bonne soirée.
- Toi aussi Joe.
Je rentrais chez Tabatha sans me retourner.
Je lui plais, c'est sur que je lui plais. Il me plaît aussi. Mais je ne veux pas commencer quoi que ce soit avec qui que ce soit. Je ne ressens rien, et l'amour est un poison, les relations en elles-mêmes sont des poisons. Je ne peux pas laisser ça arriver.
Je ne saurais l'expliquer, mais quelque chose en moi adorerais revoir Joseph. Ça fait tellement cliché d'être sous le charme d'un homme mysterieux et qui plus est, imprévisible. On dit que les opposés s'attirent, mais deux êtres qui se ressemblent autant mentalement que physiquement, que dit-on de ces gens là ?
Je n'en sais rien... En fait, en ce qui concerne cet homme je ne sais rien, je suis totalement perdue.
Finalement, je n'aurais pas dû sortir. Ça ne m'a apporter que des ennuis. Pourquoi est-ce que je ne peux pas être comme toutes ces filles, aller au lycée, avoir un petit copain que je verrais au café le plus proche pour qu'on révise ensemble ? Pourquoi je ne peux pas être ce genre de fille qui a un copain parfait, un travail ou des études parfaites ? Quelques fois, je me dis qu'être différente c'est une chance, et puis la seconde d'après, je me dis "j'en ai rien à foutre putain" . Alors je ne suis jamais vraiment avancée.
Dieu a décider de me créer ainsi, c'est bien pour une raison. Je suppose.
J'entrais chez Tabatha, qui m'attendait devant la porte telle un gendarme.
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
- Hier, Joe vient presque pour t'enlever, ce matin tu rentres et tu me dis que tu t'es enfui par une fenêtre, et maintenant je te vois avec lui, rigoler et faire je ne sais quoi d'autre.
Tabatha, elle par contre, ne rigole pas cette fois-ci.
- Je suis revenue entière, c'est ce qui compte non ?
- Ce qui compte ce n'est pas que tu reviennes, c'est que tu ne partes pas, et encore moins avec ce garçon-ci.
- Je sais que ça peut te paraître étrange, mais il n'est pas mechant Tabatha, et puis je suis rentrée à l'heure, sans égratignures.
- Tu es défoncée, tes yeux ne voient même pas correctement ! Je t'ai fais confiance et je n'aurais pas dû, je pensais que ta mère exagérait, mais tu arrives toujours à te mettre dans des situations périlleuses, alors maintenant tu vas dormir et on en reparlera demain.
Je ne demande pas mon reste et pars dans la chambre qui m'est attribué. Qu'est-ce qu'il fallait que je lui dise ? Que ce qu'elle raconte est faux ? Que je n'attire pas les problèmes ? Ce serait mentir. Depuis aussi loin que je me souvienne, ma grande gueule m'a souvent amenée à me retrouver dans des situations embarassantes.
Je devrais apprendre à me la fermer, mais je ne peux pas, la parole est mon système de défense. Si je perd cette parole, je perd aussi une partie de moi. Je me sentirais vide sans elle.
Je prend une cigarette de mon paquet, déjà presque vide. Je l'allume et regarde par la fenêtre que je viens d'ouvrir.
La pluie s'est arrêter, et je finis ma cigarette dans le calme et dans mes pensées.
- Tabatha ! Je peux prendre une douche ? Je demandais en criant presque pour qu'elle m'entende.
- Oui, et débarrasse toi de cette odeur de cul.
Outch. Je ne connaissais pas Tabatha sous cet angle. Elle peut être assez mauvaise finalement.
J'entre dans la salle de bain. Elle était assez petite et la baignoire est ancienne, bien que très propre. Tabatha prend soin de cet appartement mais les murs sont à démolir, et les meubles à changer. Cet appartement pourrait avoir un potentiel, même la salle de bain est assez grande.
Je me déshabille et entre dans la baignoire.
Au moment où je me nettoyais, je me rend compte que je me debrasse en même temps de l'odeur de Joseph, c'est comme si j'enlevais l'empreinte qu'il avait laisser sur ma peau.
Je me nettoie rapidement et sors de la baignoire avant d'attraper la serviette rose en face de moi et de me sécher.
Putain de gouttes qui glissent sur mon dos.
Je ne supporte pas ça. J'ai horreur des cheveux mouillés.
Je me sèche à la va vite et met ma tête en avant d'enrouler ma serviette autour de mes cheveux, et transformer cette dernière en un espèce de turban.
J'entend Tabatha discuter, elle doit être au téléphone. Je décide de coller mon oreille à la porte de la salle de bain.
Je ne peux pas ouvrir, elle n'est pas loin derrière et je me ferais prendre. Tout est plus intéressant lorsque l'on écoute les gens sans qu'ils le sachent.
" - Moi aussi Richard... / Non, chez moi ce n'est plus possible / Parce-que Alaé et Joseph sont en contact / Oui, il ne faut pas laisser ça passer, ma petite fille est en danger / Que veux tu faire ? On est vieux maintenant je ne sais pas si on peut faire grand chose / oui tu as raison, je vais l'appeler / moi aussi Richard, je t'aime "
Je rêve. Non mais je rêve. Alors là c'est le pompon !
Je pensais que Tabatha parlait avec ma mère, ou bien une amie, mais en fait non, elle parle à son copain ? Amant ? J'ai plus l'impression que ce soit son amant plutôt que son compagnon à vrai dire. À ce que j'ai compris, Tabatha a dit qu'ils ne pouvaient plus se voir chez elle, lui étant sans doute marié, ils ne peuvent pas aller chez lui. En plus elle parle de ma vie privée à n'importe qui. En tous cas, ce Richard a l'air de connaître Joseph, et ça, c'est à approfondir.
J'enfile un tee shirt blanc et un jean slim bleu et des chaussettes. Je sors de la salle de bain et entre directement dans ma chambre, mais Tabatha entre sans même frapper.
- J'ai fais quelque chose de mal ? Je lui demande. Elle est entrée tellement vite que j'ai cru qu'elle allait me dire que la maison est en feu.
- Non.
Elle referme la porte aussitôt. Elle est bizarre.
Je prend mon téléphone portable. Rien.
Je repose ce dernier vulgairement sur mon lit. Je peux apercevoir en face de moi quelques maisons assez bourgeoises. Elles sont un peu éloignées mais avec des jumelles je pourrais mieux voir.
Ce n'est pas de ma faute, j'adore les maisons, elles ont quelque chose de très.... Cambriolables.
Mais ce n'est pas aussi facile que dans les films, déjà, pour que ce soit fait correctement, il faut plusieurs jours sans sortir, et c'est ce qu'il va m'arriver je pense. Tabatha m'a bien fait comprendre que je ne sortirais plus. Ou du moins sans elle.
En tous cas, je ne savais pas que à soixante trois ans elle a toujours une vie sexuelle. C'est .... Bizarre. Je sais que c'est comme ça pour tous le monde, mais c'est quand même bizarre.
Elle est quand même jeune, ma mère a 40 ans et moi dix neuf. On fait les enfants assez jeunes dans ma famille, mais je trouve ça cool. Malgré tout, je ne veux pas d'enfants. Je trouve que c'est chiant, et que ca crit. Je ne vois pas l'intérêt pour être honnête. On est déjà assez dans la misère pour en apporter à un autre petit être qui n'a rien demander. C'est mon choix, c'est comme ça.
Maintenant que j'y pense, Joseph ne s'est pas protégé lorsque nous avons coucher ensemble... Je prend la pilule donc la grossesse n'est pas un problème, mais par contre les maladies sont un problème.
Je ne sais pas avec qui Joe a coucher avant moi, il se peut qu'il ai été un peu partout... Je veux dire, je ne dois pas être la seule à être sensible à son charme, et c'est un sacré beau parleur assez convaincant lorsqu'il s'y met.
Peut importe, je verrais bien, je m'en branle en fait.
- Tu as manger ? Tabatha crie.
- Oui c'est bon merci.
Elle ne répondit pas.
Mon téléphone vibre.
J'ai un appel, c'est un numéro que je connais pas, certainement Joseph.
Je répond.
«- Allô ?
- C'est moi.
Il dit comme si j'étais censé savoir. Bien que je le savais.
- Oui ?
- Je crois que ... Merde ... Ouais je crois que je veux bien être avec toi un peu, aujourd'hui ou demain, tu vois.
J'entend à sa voix qu'il a bu, et qu'il est en train de tirer sur une clope, ou un joint.
Mon coeur tape fort contre ma poitrine.
- Ouais, enfin, je crois que je suis interdit de sortir.
- Ça va t'arrêter ?
- En fait, non.
Je pouvais sentir qu'il souriait au téléphone.
- Tu vas passer par la fenêtre de chez ta grand mère aussi ?
- Je vois pas d'autres solutions.
- Je t'envoie un message quand je suis en bas. » il raccroche.
Super.
Je vais à la fenêtre, nous sommes au troisième étage, chez Joseph il y'en a quatre, mais ici, il n'y a pas de traillage. Il est actuellement quinze heures, donc Tabatha va certainement faire la sieste d'ici sous peu, sauf si elle s'est donner pour mission de ne pas me laisser voir Joe puisque c'est ce qu'elle a fait comprendre à ce Richard.
Maintenant, comment faire ? À vrai dire, c'est assez simple. J'ai toujours avec moi une ancre, comme l'ancre d'un bateau. C'est assez lourd et c'est pour ça qu'avant de partir de chez mes parents je l'ai mise dans mon sac tout au fond pour qu'ils ne s'en rendent pas compte, et pensent que j'ai pris deux tonnes de vêtements. De toutes façons, c'est moi qui ai porté ce sac.
Il ne s'agit évidemment pas d'une vraie ancre, car c'est réellement très lourd et je ne pourrais pas l'emporter partout où je vais. Mais c'est une réplique, et ça accroche très bien aux fenêtres.
Je prends au moins les dix draps qui se trouvent dans le placard en bois de la chambre et les assemble en faisant des nœuds. J'espère que Tabatha ne va pas arriver dans la chambre sans prévenir comme il y a vingt minutes.
Mon téléphone vibre et j'en conclus que Joseph est en bas.
Je récupère mon assemblage qui est en fait assez long.
J'ouvre la fenêtre, je vois Joe en bas, il regarde en ma direction et s'avance en souriant, ayant comprit que je voulais qu'il réceptionne le bas du drap. Il mit sa cigarette entre ses lèvres et me tends ses mains comme pour indiquer qu'il est prêt.
Je jette ma confection et il l'attrape. J'accroche ensuite les crochets de l'ancre au bord de la fenêtre et vérifie que c'est bien solide.
Je passe ensuite par dessus la fenêtre et commence à descendre doucement. Ça va que ce n'est quand-même pas très haut.
J'arrive rapidement en bas et Joseph me donne sa cigarette. Je la prend et tire une latte.
- Et tu le récupère pas ?
- Je verrais bien, mais Tabatha va se rendre compte que je suis partie. Elle va tout récupérer.
Joseph sourit et nous entrons dans sa voiture, heureusement que j'ai pris mon sac à main.
- Tu fais souvent ça ? T'echapper par les fenêtres ? Il me demande, je peux sentir qu'il a bu du whisky.
- Ça m'arrive.
Joe démarre la voiture et nous prenons la route pour aller je ne sais où.
Un silence reigne tout d'un coup, et Joe doit ressentir la même chose que moi puisqu'il allume le poste de radio, laissant la première station sur laquelle il tombe.
- Je peux te poser une question ? J'ose rompre le silence.
- Ouais.
- Est-ce que tu te protèges avec les autres filles ? Parce que tu sais...
- T'inquiète pas j'ai pas le sida, on va faire des test maintenant si tu veux. Il me coupait la parole. Quel toupet, il ose être énervé, mais c'est une question normale.
- Non, c'est bon.
Il ne répond pas et le calme pesant reprit.
Pourquoi m'a-t-il appeler si il décide d'être teigneux ? Simplement parce que je suis un petit jouet, il sait que je viens d'arriver et il me prend pour une petite chose fragile que l'on peut manipuler, sauf qu'il est tombé sur le mauvais numéro, il ne sera pas hargneux avec moi plus longtemps.
- Tu comptes me répondre de cette manière à chaque fois que je vais parler ? Parce que je peux aussi me barrer. Je ne me démonte pas, j'en oublie presque qu'il a déjà été soupçonné de meurtre.
- Surveille ton langage avec moi, je suis pas ta grand mère ou ta mère !
Je ne sais pas ce qui me prend mais je serre le frein à main d'un seul coup, obligeant Joseph a maneuvrer pour ne pas avoir d'accident avec la voiture derrière nous.
Une fois que le danger est évité, Joseph se gare dans un chemin assez boueux. Merde.
Il arrête le moteur de la voiture et prend ma nuque très brutalement. Sa mâchoire est serrée et ses yeux rejettent de la haine.
- Écoutes moi bien petite garce... Il attrapait mes cheveux et les tirait légèrement. Ma machoire se crispe. Je vais lui niquer ses morts. Personne ne me fait ça et encore moins une sale pute qui couche avec n'importe qui, j'avais décidé de t'epargner mais tu desobeis, et moi on ne me désobéi pas.
Il prit ma tête et la cogne contre le tableau de bord. Merde.
Je relève la tête et lui met mes deux doigts dans les yeux, mais il ne tarda pas à entrer les siens dans ma bouche. Sa main libre tirait mes cheveux et je décidais de mordre ses doigts.
Il les enlevait directement par douleur et j'en profitais pour lui donner un coup de boule.
Il me lâche et j'en profite pour sortir de la voiture et courir aussi proche de la route que possible.
Je me sens tomber à terre, c'était lui, Joseph. Ce misérable petit fils de pute sans cœur et sans remords. Je n'arrêtais pas de bouger mes jambes afin qu'il n'essaie pas de m'atteindre. Je pourrais essayer de me relever mais il en profiterait pour me maîtriser encore une fois.
Quand je pense que j'ai coucher avec lui.
Il sort une arme de son pantalon et je me relève alors.
- Vas y, tire, je te jure que tu me rendrais un énorme service. Je riais, je ne sais pas si c'était nerveux ou simplement que ça venait du coeur.
Je le vis arriver vers moi, et après, plus rien. Le trou noir.
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l-autre-monde-bar · 11 months
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Il y a quelques temps, l'Autre Monde a perdu l'un de ses capitaines. Une disparition soudaine et tragique. Alors forcément, faisant partie de la famille, il méritait ces quelques mots. Il mérite que vous sachiez que si l'Autre Monde est ce qu'il est aujourd'hui, c'est en partie grâce à lui.
Si vous êtes des clients réguliers de l'Autre Monde, vous avez certainement du le croiser au cours de ces derniers mois. Toujours de bleu vêtu, parce que oui c'était sa couleur, Olympe est à l'origine du projet "𝐑𝐨𝐨𝐟𝐭𝐨𝐩". Il s'agit d'un espace dédié à l'amusement et au sport.
A la base de cette collaboration, une amitié vielle de 25 ans. Olympe et moi, nous nous sommes rencontrés à la maternelle. Je me rappelle encore de ce moment. Alors qu'on tentait de voler mon goûter, il est arrivé à a fait en sorte qu'on me le rende. Ça a été le début de cette histoire. Olympe a toujours été comme un second frère pour moi, celui sur qui je pouvais compter dans n'importe quelle galère, l'épaule la plus solide sur laquelle pleurer quand ça n'allait pas. Il a supporté mes doutes, mes coups de pression, et mes états d'âmes pendant près de 25 ans.
C'est après de nombreuses sollicitations qu'il finit enfin par accepter et se lancer dans ce pari fou et de me rejoindre. Alors qu'on s'installait sur le toit pour siroter deux cocktails, le jeune homme avait alors balancé on idée génialissime qui allait pouvoir encore permettre de diversifier nos activités. Olympe était plutôt calme et discret, tout mon contraire. Il était aussi la voix de la sagesse et la raison, celui qui te remet les pieds sur terre. Il se mettait que rarement en avant et est en réalité mon parfait opposé. Cependant, nos passions communes nous ont rapprochées et nous ont permis de tisser des liens très forts. Nous étions tellement différents mais également complémentaires.
Aujourd'hui Olympe nous a quitté mais d'une certaine manière, il vivra toujours à travers cet endroit magique qu'il a créé et ses nombreux cocktails qui raviront toujours vos papilles.
𝐀𝐥𝐰𝐚𝐲𝐬.
S.
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𝐼𝑡'𝑠 𝑏𝑒𝑒𝑛 𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑑𝑎𝑦 𝑤𝑖𝑡ℎ𝑜𝑢𝑡 𝑦𝑜𝑢, 𝑚𝑦 𝑓𝑟𝑖𝑒𝑛𝑑 a𝑛𝑑 𝐼'𝑙𝑙 𝑡𝑒𝑙𝑙 𝑦𝑜𝑢 𝑎𝑙𝑙 𝑎𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑖𝑡 𝑤ℎ𝑒𝑛 𝐼 𝑠𝑒𝑒 𝑦𝑜𝑢 𝑎𝑔𝑎𝑖𝑛. 𝑊𝑒'𝑣𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑒 𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑤𝑎𝑦 f𝑟𝑜𝑚 𝑤ℎ𝑒𝑟𝑒 𝑤𝑒 𝑏𝑒𝑔𝑎𝑛. 𝐼'𝑙𝑙 𝑡𝑒𝑙𝑙 𝑦𝑜𝑢 𝑎𝑙𝑙 𝑎𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑖𝑡 𝑤ℎ𝑒𝑛 𝐼 𝑠𝑒𝑒 𝑦𝑜𝑢 𝑎𝑔𝑎𝑖𝑛
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pandora--rpg · 1 year
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Personnages Secondaire
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Crowley
Crowley est un démon des croisements, ce qui veut dire que c'est lui que les humains invoquent pour passer des contrats, et c'est donc lui qui envoies les différents démons accomplir les demandes. 
Crowley a pourtant de plus grandes ambitions que cela, finit de passer les contrats, il veut être le chef des démons, il veut prendre la place de Lucifer et pour ce faire, il a pris Lancha sous son aile, le cachant de son paternel...qui sait, un jour, Lancha pourrait connaître sa véritable force, tuer son père, et vu qu'il ne désire pas vivre en enfer, laisser son bienfaiteur prendre les rênes du royaume.
He oui, Crowley peut paraître sympa, mais c'est toujours par intérêt pour ses petits projets ambitieux.
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La Faucheuse
La faucheuse, Lancha ne connaît pas son véritable nom, il ne connaît que son rôle, et contrairement à ce que tout le monde pense, la faucheuse n'est pas la mort, elles sont des employées de celui-ci, qui emmène les âmes dans le monde caché ou le monde céleste. Invisible aux Humains, seuls les démons et les anges, ainsi que les hybrides, peuvent les voir, et n'essayer pas de les amadouer, de les acheter, elles ne sont intéressées par rien du tout et n'obéissent cas leur maître, la mort. Et vu que celui-ci n'est pour aucun camp, que ce soient les humains, les anges ou encore les démons, il ne fera jamais bosser ses faucheuses pour ceux-ci, tout ce qui compte, c'est le travail des âmes, et de voir petit à petit mourir ce monde, voir un nouveau naître et encore mourir, et ainsi de suite.
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Lucifer
Lucifer, tout le monde connaît cet ange déchut emblématique de la bible, mais personne ne sait vraiment qu'il existe vraiment et qu'il n'est pas seulement un mythe que l'on fait croire aux croyants. Et pour cause, Lucifer ne peut aller dans le monde des humains comme avant et montrer sa toute puissance, enfermer dans le monde caché par son créateur, Dieu, il patiente, attendant que ces démons lui rapportent assez d'âmes pour pouvoir enfin s'échapper d'ici et se venger sur ses frères et soeurs, sur son père, et sur toute l'humanité dont il convoite le monde !
Néanmoins, et dans de très rares moments, il arrive à Lucifer de concevoir des enfants, quand des humaines arrivent dans le monde caché par des failles, et croient le, il ne fait ça que pour le pouvoir de ses Nephilims qui pourrait lui servir pour quitter ce lieu et mener sa guerre.
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yes-bernie-stuff · 1 year
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◀ 7 JUILLET ▶ Tout Pour Qu'Il Règne
Entrez par la porte étroite... car étroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie... Matthieu 7:13-14
Tout ce qui est noble est difficile
Si nous voulons vivre en disciples de Jésus-Christ, n'oublions pas que tout ce qui est noble est difficile. La vie chrétienne est ardue autant que glorieuse, mais sa difficulté ne nous fait ni trembler, ni reculer, elle nous stimule à la victoire. Est-ce que le merveilleux salut de Jésus-Christ a un tel prix à nos yeux que nous sommes prêts à faire tout pour qu'Il règne ? Dieu sauve les hommes par sa grâce souveraine qu'il accorde à cause de la Rédemption accomplie par Jésus. Il produit en nous la volonté d'agir selon son bon plaisir. Mais il nous faut mettre en oeuvre ce salut dans la vie de chaque jour. Dès que nous croyons à sa Rédemption, nous commençons à obéir et nous découvrons qu'il nous en rend capables. Si nous échouons, c'est que nous n'avons pas mis en pratique ce que nous avons reçu. Dans les moments difficiles, nous sommes mis à l'épreuve. Si nous avons obéi à l'Esprit et mis en pratique, dans notre vie quotidienne, ce que Dieu nous révèle, nous serons soutenus à la fois par la grâce de Dieu et par les habitudes que nous aurons acquises. Remercions Dieu de nous confier des tâches difficiles. Son salut rend joyeux, mais appelle à l'héroïsme et à la sainteté. Il révèle ce dont nous sommes capables. Jésus est venu "pour conduire à la gloire un grand nombre de fils", et Dieu ne veut rien nous épargner de l'éducation d'un fils. Il ne fait pas de nous des êtres avachis, car la grâce de Dieu transforme hommes et femmes à la ressemblance de Jésus-Christ leur frère. Pour vivre dans l'existence quotidienne la noble vie de disciple de Jésus, il faut une ferme discipline. La noblesse d'âme exige un constant effort. - Lire plus ici
https://chretien.news/meditations-bibliques/?Tid=189&t=2
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plumedepoete · 1 year
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En souhaits d'anniversaire - Lucienne Maville-Anku
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En son élan écrire Les pensées de son cœur Faire confiance à sa plume Qui tracent les sillons L'on commence à la ligne Sans espoir de finir Si vient souffler le vent Pour sa page emporter Restent les souvenirs De ce qu'on a confié À la page futile De ses vers si fragiles Le vent l'a emportée. Pour soi une pensée Faire confiance au destin Vite passe le temps Tel l'instant d'un moment Déjà cinquante-huit ans Ce treizième de mai Là suis-je allongée En l'ici du présent Tous mes vœux du moment Poème spontané Emportés par le vent Reste la poésie Fidèle compagnie Que rien ne peut voler En mon cœur elle écrit En cet unique jour 'Joyeux anniversaire' Je serai pour toi père Je serai pour toi mère Sœur, frère et ton amie Tout est si éphémère En ce monde blessé Demeure la poésie L'espoir d'âmes meurtries Au sein de leurs malheurs Lumière d'espérance  Leur offre-t-il sa danse Vient-il sécher leurs pleurs À tous une pensée De mes vœux un sourire De mon sourire des vœux Qu'ils soient chacun heureux En souhaits d'anniversaire & ©️Lucienne Maville-Anku, 13/05/23, 09 :15 Read the full article
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beatlesonline-blog · 1 year
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lesombresdeschoses · 1 year
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YVONNE O'DONNELL
Il est parfois bon d'écrire les choses. Celles qui nous ont troublés, meurtries et qui continuent de nous hanter.
Premier septembre 1939, Hitler anéantissait la Pologne. Mon père et mon grand-père avaient connu la boucherie de 14-18. Ce dernier y laissa ses os. Mon père se suicida onze ans plus tard, la crise de 1929 le ruinant jusqu'au dernier cent. Je n'avais pas vraiment connu l'opulence d'avant le crash de mes parents, j'étais trop jeune. Ma mère et moi quittâmes New York pour nous installer à Paris, chez sa sœur et son époux, un éditeur. Lorsque la guerre fut déclarée à la France, mon oncle nous envoya, avec sa famille, à Chartres, dans la maison de campagne, pour nous y rejoindre quelques jours plus tard. Les troupes allemandes ne tarderait pas à envahir la capitale.
C'était la panique. La grande débâcle. Il avait essayé de nous mettre à l'abri, finalement ce fut pire. Ils furent tous tués. Toute ma famille. Du moins, ce qu'il en restait. Ça courait, ça hurlait de partout, les balles sifflaient, les avions, les chars grondaient. Dans cette cohue terrifiante je perdis mon oncle, ma tente, leur deux filles et ma mère. L'image de ces morts me hantait. Je ne savais plus où j'étais. Je me souvenais à peine de mon identité. Tout tournait autour de moi. J'avais ce bout de tissus à la main. « Cours ! » me criait cette voix au loin. J'étais aveuglée par les flammes, cette fumée épaisse. La vision d'horreur restait obstinément gravée dans ma mémoire. Ces morts méconnaissables, inhumains. Assaillie par ce chaos, je m'écroulai dans les rues d'une ville plongée en enfer.
À mon réveil, je n'avais plus la tête sur le pavé plein de sang, mais dans un doux et moelleux oreiller, comme on en faisait à New York. Était-ce un nuage ? Étais-je au paradis ? J'avais oublié ce qu'était un vrai lit depuis que nous avions fuit Paris. Sur la table de chevet était posé un plateau, sur lequel étaient disposés un verre de lait et du pain. Au loin, sans doute dans l'autre pièce, la radio ronronnait les mauvaises nouvelles. Ce pays s'écoulait comme un château de cartes. Mon foulard était tout ce qui me restait de ma mère. Je le retrouvait posé sur ma poitrine en m'éveillant. Une délicate attention qui me fit chaud au cœur. J'en avais besoin. Je me sentais vidée. Vidée jusqu'à plus d'âme. Ni terreur, ni compassion, pas même un semblant de tristesse. Je trouvais surprenant que cette maison soit restée entière. Mais qui avait assez de grand cœur pour perdre son temps à secourir l'insignifiante que j'étais ? J'imaginais la charmante famille : un papa, une maman, des frères, des sœurs. Quel monstre ! Les corps des miens fumaient encore, quelque part dans les décombres, et moi, l'ingrate, je pensais déjà les remplacer ! Mes rêveries se dissipèrent bientôt. Je le vis apparaître sous le chambranle de la porte. Il avait la quarantaine, élégamment vêtu. Il s’approcha de mon lit, je me redressai avec difficulté. Cet air posé, contradictoire avec les événements du moment, me surprit particulièrement.
— Vous vous portez mieux à ce que je vois.
Son regard croisa le mien. Cette détermination profondément encrée dans ses yeux noir obsidienne, je pouvais la toucher. Cette détermination se matérialisait en moi, j'étais pétrifiée. Je sus dès cet instant que cet homme ne se rendrait jamais sans combattre, que le seul adversaire de taille à l'affronter était la mort elle même.
— Qu'y a-t-il mademoiselle, voulez vous que je vous laisse ?
Il s'apprêtait a partir, je le saisis brusquement par le poignet. Pas un son ne sortit de ma gorge. Nous restâmes ainsi, silencieux, pendant on long moment. Nos regards plongés dans celui de l'autre, nous prenions conscience de la fin, tandis que la radio annonçait l'échec des troupes défensives. Chartres en ruines, l'armée française anéantie, les soldats allemands pillaient, violaient, tandis que la population désertait. Que nous fallait-il de plus pour détruire le moral ?
C'était le 17 juin 1940, je sortais d'une nuit de cauchemars monstrueux.
Des morts mutilés, désarticulés, défigurés me poursuivent dans les ruines embrassées de la ville. Soudain je trébuche sur le corps d'une femme, du moins ce qu'il en reste. Un tronc dont les boyaux s'étendent à l'infini. Sa tête tient à peine à une artère, les cheveux ensanglantés collés à un visage déformé par l'agonie et l'horreur. Ses yeux, grand ouverts, me fixent. Son regard me pénètre l'âme de l'abomination subie. Victime de l'hécatombe. Cette femme, ma mère. « Pourquoi m'as tu abandonnée ? » crie-t-elle sans cesse.
— Maman...
Odieuse matinée, prélude à une exécrable journée. Et pour commencer en beauté, mon généreux sauveur avait disparu. Je trouvai un mot sur la table du salon :
« Il y a de quoi manger à la cuisine, surtout ne sors pas, je reviens ce soir. »
Il était hors de question de rester enfermée. Puis je n'avais rien à me mettre. Bien que Chartres était grande, pour une adolescente de mon âge, elle avait subi de graves dommages. La ville semblait avoir été rasée. Les bombardements avaient commencé le 8 avril. Deux semaines d'épouvante. Les habitants fuyaient malgré un arrêté préfectoral menaçant de réprimer sévèrement les déserteurs. L'anarchie régnait. Je finis par trouver ce qu'il me fallait. J'eus honte de mon geste, mais je dus voler vêtements et chaussures. Je n'avais pas le choix, n'ayant aucun argent. Une fois rentrée, je fus surprises de constater le vide dans l'appartement. Mais où était passé mon hôte ? Il ne s'était même pas présenté. Il n'avait pas fuit, c'était certain. Pas cet homme. Tout finissait par se brouiller dans ma tête.
Le 22 juin 1940 l'armistice était signé. Hitler nous possédait. Les lâches ! Ce gouvernement de traîtres abandonnait la France pour vendre son peuple à l'ennemi. Maréchal Pantin. L'humanité me décevait profondément et je n'avais que seize ans. Ce fut encore une nuit agitée. Je me réveillais toutes les heures, affolée, en sueur :
Ils le torturent, ils veulent sa capitulation, mais il ne cède pas. Il s'écroule sur le plancher d'une sinistre salle, à peine éclairée. Seul dans une cellule froide, son corps endolori.
Me réveillant subitement, je fut prise de convulsions, une forte fièvre me brûlait jusqu'aux os.
Ils lui plonge la tête dans de l'eau glacée, puis la ressortent juste avant qu'il ne se noie. Ils recommencent, encore et encore.
J'avais de plus en plus de mal à respirer. Recroquevillée dans mon lit, je lutais contre cette hallucination. La disparition de mon sauveur m'obsédait. Je ne connaissais même pas son nom. Je n'avais pas eu le temps de le remercier.
Seul dans une cellule froide, il commet le geste ultime.
Ma température recouvrit la normale. Je puisai assez de force pour me lever. J'entrepris une petite chasse au trésor sur l'identité de mon mystérieux inconnu. Je réunis bon nombre de documents révélant qu'il était préfet de son département, qu'il avait derrière lui une belle carrière politique, qu'il avait fait des études de droit, qu'il était né à Marseilles, mais surtout qu'il s'appelait Étienne Leroy. Je découvris pléthore d'illustrations de sa main. Je faisais sa connaissance d'une façon inhabituelle et étrange. Je devais le retrouver. Je m'apprêtais de façon à paraître plus âgé : une femme à la recherche de son époux me paraissait être un scénario plausible.
J'entrepris m'a quête dans une ville désormais hostile, où prudence et méfiance était de mise. Je le retrouvai dans l'hôpital d'une ville voisine. Me faufilant dans les couloirs de l'établissement j’empruntai une blouse d'infirmière. Finalement la fable de l'épouse angoissée ne me fut d'aucune utilité. Je le découvris alité, méconnaissable, des bandages sur tout le corps, le visage tuméfié. Il ne me reconnut pas.
— J'ai déjà reçu mes soins, mademoiselle, laissez moi tranquille.
Il devait rentrer.
— Ce n'est pas si simple de faire son devoir quand on est en danger.
— Je vous demande pardon ? demandai-je interloquée.
— La mort ne me fait pas peur. Mon destin est tout tracé.
— Bon, il est temps de rentrer.
Le pauvre homme semblait délirer. Je lui caressai le visage en lui remettant une mèche de cheveux. Nos regards se croisèrent. Il cessa de parler. Il se leva de son lit tant bien que mal, puis m'indiqua où était ses vêtement. Je l'aidait à s'habiller. Nous nous connaissions depuis peu et pourtant il me semblait que c'était depuis toujours. Il ne me raconta pas ce qu'il s'était passé, mais je m'en doutais. Je savais. Je l'entendais parfois, dans son sommeil. Je pouvais lire dans ses yeux la naissance de la grande résistance de la nation. Il n'était pas le seul, mais j'eus le privilège de le côtoyer. J'eus l'honneur de l’accompagner dans son projet durant les pires années vécu par l'Europe en ce temps. À l'instar de ce héro qui, un jour m'avait sauvé la vie, je m'engageai dans une lutte sans merci, contre l'ennemi de l'humanité. Une nuit, je surpris Étienne en pleine discussion avec un ami.
— Nous ne devons pas accepter la défaite. Il nous faut nous opposer aux allemands, entreprendre une action clandestine, mais avec prudence et bon escient. Il faut d'abord nous compter, nous grouper pour pouvoir mieux agir ensuite.
Il dut remettre en état son département. Travailler pour la « nouvelle France » sans éveiller les soupçons. J'œuvrais dans l'ombre de cet homme. Il ne devait rien connaître de mes agissements. Je ne voulais pas qu'il en pâtisse. Étienne était plus important pour la résistance que je ne l'aurais jamais été, mais je ne pouvais rester inactive à regarder le monde sombrer dans la tyrannie. J'étais jeune, mais ce n'était pas par goût de l'aventure que j'entreprenais de m'insurger contre le système. Ma famille fut massacrée au nom d'une idéologie dénuée de sens, vile et cruelle. Je ne pouvais concevoir que l'on puisse haïr son prochain sous le prétexte absurde de sa différence de race, de religion ou d'orientation sexuelle. Accuser, sans fondement, une minorité de la déchéance d'une nation provoquait chez moi une aversion sans limite.
Les premiers mois, je me contentai d'observer. J'entretenais le foyer, telle une épouse dévouée. J'écoutais les commerçants, les voisins, tentant de discerner les collaborateurs des résistants. Je restais discrète quant à ma présence chez Étienne. J'étais « une cousine éloignée » dont la maison avait été détruite lors des bombardements. Je disposais d’un avantage non négligeable : je parlais anglais et allemand sans que personne ne le sache. Pas même mon hôte. Leroy disparaissait souvent sans prévenir. Il ne me parlait jamais de ses activités « officieuses ». J'avais un jour forcé son coffre, caché dans le meuble de son bureau. J'y trouvai des documents cryptés, dont je n'eus aucun mal à trouver les clés de déchiffrage qui changeaient chaque semaines. Sans le savoir il était mon mentor. J'étais sa disciple assidue. Grâce à ses sources je me constituai mon propre réseau, puis me procurai différentes identités, afin d'infiltrer l'ennemi. Je finis l'année avec un inestimable bagage de renseignements et de savoir-faire. J'avais cette particularité, très utile, d'apprendre vite. J'exécutai chacun de mes rôles avec un réalisme désarment, au point de me mettre en danger, plus que de raison. Étienne se sentait responsable de moi. Je tenais à le préserver de l'angoisse que lui susciterait mon « engagement patriotique ».
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christophe76460 · 4 months
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LE CHEMIN QUE NOUS PARCOURONS
"Béni soit le Seigneur, le Dieu de notre salut, qui nous comble chaque jour de bienfaits. Selah" (Psaume 68:19). KJF
Chers amis, il a été observé que le voyage d'un millier de kilomètres commence par un seul pas. Chaque kilomètre derrière nous en laisse moins devant nous et la distance réduite qui nous sépare de notre destination doit nous motiver à aller de l'avant.
On dit d'Abraham qu'il "attendait la cité qui a des fondements, dont Dieu est l’entrepreneur et le créateur." (Hébreu 11:10). Comme Abraham, les hommes et les femmes de foi cités dans le chapitre 11 de l'épître aux Hébreux "sont tous morts dans la foi, sans avoir reçu les promesses, mais les ayant vues de loin, ils en ont été convaincus, ils les ont embrassées, et ils ont confessé qu'ils étaient étrangers et pèlerins sur la terre" (Hébreux 11:13).
Vous et moi parcourons la même route que nos anciens prédécesseurs. Notre voyage ne se mesure pas en kilomètres, mais il exige de la maturité de la part de ceux qui souhaitent l'accomplir avec succès. Voici quelques points à garder à l'esprit.
Premièrement, ne nous laissons pas distraire. Jésus nous met en garde : "13 Entrez par la porte étroite, car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui y entrent ; 14 mais étroite est la porte, resserré est le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent"
(Matthieu 7:13-14). Il est regrettable que le diable ait réussi à "aveugler les yeux des incrédules" (2 Corinthiens 4:3-4), à tel point que les masses ne sont même pas conscientes de l'existence de la destination inévitable vers laquelle elles se dirigent (Apocalypse 20:12-15 ; 21:8).
Il existe de nombreuses distractions utilisées par l'ennemi pour nous entraver dans notre voyage, peut-être même pour nous empêcher d'atteindre notre destination. Il y a beaucoup d'âmes précieuses qui sont empêchées d'atteindre leur destination spirituelle parce qu'elles permettent à Satan de les détourner de ce qui est vraiment important. Certains ont pris un "chemin de traverse" et sont entrés dans la voie large pour jouir d'un plaisir momentané. La "convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie" (1 Jean 2:15-17) les ont distraits en chemin et ils ont fini par poursuivre les choses temporelles plutôt que les choses éternelles.
Deuxièmement, ne nous décourageons pas. Il y a des obstacles sur le chemin de notre maison céleste qui, s'ils sont franchis, peuvent nous décourager dans notre voyage. En voici quelques-uns : 1. les péchés sexuels, en particulier la luxure. 2. Les cœurs impitoyables. 3. Les mensonges. 4. L'orgueil. 5. La division. 6. La convoitise. 7. Ne pas contribuer à l'œuvre de Dieu sur terre. 8. L'ivresse. 9. L'envie. 10. La jalousie. 11. Ne pas honorer les dimanches. 12. Les mauvaises pensées. 13. La peur. 14. L'inquiétude. 15. La haine. 16. La colère et le meurtre. 17. Ne pas lire la Bible. 18. Une vie sans prière.
Il y a des circonstances imprévues qui viennent à bout de nous. Le fait que nous devions lutter contre nous-mêmes (Galates 5:16-17) peut très bien être le plus grand obstacle que nous rencontrons sur notre chemin. Ensuite, il y a les gens qui nous découragent. Ils ne le font peut-être pas intentionnellement, mais une parole désobligeante ou le fait de ne pas soutenir nos mains dans le travail que nous faisons sont des choses qui nous découragent souvent. Lorsque nous ne voyons pas immédiatement les fruits de notre travail, nous avons tendance à nous décourager et à abandonner en désespoir de cause.
Si vous vous sentez découragé en cours de route, prenez votre Bible et relisez ces paroles du Saint-Esprit écrites de la main de Paul : "C'est pourquoi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant sans cesse à l'œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n'est pas vain dans le Seigneur" (1 Corinthiens 15:58).
"Ne nous lassons pas de bien faire, car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous fatiguons pas. Comme nous en avons donc l'occasion, faisons du bien à tous, et surtout à ceux qui sont de la maison de la foi" (Galates 6:9).
Troisièmement, soyons déterminés. Un homme a dit ceci : "Lorsque nous nous trouvons dans une situation qu'il faut endurer et traverser, il vaut mieux s'y résoudre, y faire face avec fermeté et s'y adapter de la meilleure façon possible. C'est ainsi que l'on atténue le mal, alors que se tourmenter et s'énerver ne fait qu'accroître ses propres tourments".
La détermination porte plusieurs noms : persévérance, persistance, ténacité, résolution, ténacité. Elle consiste à garder les yeux fixés sur un objectif et à ne pas s'arrêter, quels que soient les découragements, les difficultés ou les obstacles, jusqu'à ce que cet objectif soit atteint. Voici donc trois clés importantes pour entamer, supporter et achever notre voyage vers le ciel : ne pas se laisser distraire, ne pas se décourager et être déterminé.
L'histoire de l'humanité est marquée par une longue liste d'hommes et de femmes qui ont commencé le voyage, qui ont fait face à la calamité et aux difficultés, mais qui ont abandonné. Pour reprendre les mots du Psalmiste, ils ont "rebroussé chemin" (Psaume 78:9). Les chrétiens doivent faire un pas (un jour) à la fois (Matthieu 6:24). N'oublions jamais que nos péchés ont été pardonnés (2 Pierre 1:9). Ne perdons jamais notre amour pour le ciel (Colossiens 3:1-4).
Les avantages de la détermination et la récompense de l'achèvement du voyage dépassent de loin l'alternative (Apocalypse 2:10 ; 14:13 ; 22:14-15). N'OUBLIEZ PAS : chaque jour qui passe derrière nous est un jour de moins devant nous, et la distance réduite qui nous sépare de notre destination doit nous motiver à aller de l'avant. Au Dieu des cieux soit la gloire, car sa volonté est faite (1 Corinthiens 10:31).
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gilda14 · 2 years
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La course et la famille
J'aurais donc fait les 20 km de Paris (connectés) à Turin. La vie n'est pas sans surprises. Sieste impossible : de très lourds travaux dans l'appartement du dessous, just my luck. Soirée chez ma cousine N. dans un appartement magnifique à l'arrière de Superga. Ça ne doit pas être trop pénible d'être confinés dans cet appartement-là. Nous recoupons nos versions des légendes de famille. On remarque que dans l'ensemble nos versions diffèrent suffisamment peu pour qu'un noyau en soi crédible. Lucio Battisti, pour mémoire. Enzo était le fils d'un frère de mon grand-père. (mais Francis le cinéphile n'est plus là pour que je le lui raconte). Les lendemains de funérailles peuvent être des moments chaleureux.
Les réassureurs n'assurent déjà plus les assurances pour les particuliers concernant les risques climatiques => de catastrophes naturelles "aggravées", sur le bâti. Bientôt nous serons comme les Californiens dépourvus d'assurance contre les tremblements de terre car leur coût est si prohibitifs qu'elles n'existent plus qu'en théorie. Ça en dit long sur l'état d'avancement du dérèglement climatique. Et on ne saurait taxer les compagnies de réassurance d'être écolo militantes, elles n'ont pas d'états d'âme.
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buxberg · 2 years
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Le roi Lion
Chef-d'œuvre de Disney, l'un des meilleurs films d'animation de l'histoire du cinéma, le dessin animé Le Roi Lion touche non seulement le cœur des enfants, mais aussi le cœur endurci des adultes cyniques.  Sorti en 1991, l'image animée plaît toujours au public par sa pertinence, son dessin vif et sa sincérité inconditionnelle.  L'histoire de Mufasa - le brave roi de tous les animaux, son fils Simba et le traître Scar.  Dans la savane chaude, se joueront des passions de cour dont même Shakespeare et son Hamlet n'ont jamais rêvé.
 Baby Simba est le futur roi de toute la savane, il grandit dans une famille aimante dans laquelle il se prépare peu à peu à ses devoirs royaux.  Tout le règne animal n'a pas d'âme dans un enfant agité, à l'exception de son propre oncle Scar, qui rêve de renverser son frère aîné Mufasa du trône depuis de nombreuses années, et la présence d'un futur héritier ne fait que réduire ses chances de la Couronne.  L'insidieux Scar propose un plan cruel et ignoble, à la suite duquel Mufasa meurt et Simba, se sentant coupable, quitte sa savane natale pour toujours.  Mais comment Scar, prudent et sans cœur, peut-il gouverner avec sagesse et équité ?  Simba retournera-t-il dans sa famille ?  Intrigues royales entre les habitants de la savane, véritable amour paternel et trahison fraternelle.
 Une énorme équipe des meilleurs spécialistes d'Hollywood et du studio Disney a travaillé sur le dessin animé légendaire.
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