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#Franck darcel
etiennedaho · 4 months
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đŸ–€MARQUIS DE SADE (AUSSI) EN UNE DU NOUVEAU MOOKđŸ–€
Il y a une semaine nous vous prĂ©sentions la Une de notre trimestriel du printemps. BaignĂ©e de lumiĂšre dorĂ©e, aurĂ©olĂ©e du retour miraculeux de Beth Gibbons avec "Lives Outgrown», la couv’ du Magic n°231 annonce un dossier de 16 pages qui raconte, commente, et chronique « l’art de l’esquive » de la voix de Portishead, prĂ©sence aussi discrĂšte qu’inoubliable dans la pop de ces trente derniĂšres annĂ©es.
Mais ce n’est pas tout...
En retournant votre nouveau mook (dĂ©sormais en route vers la boĂźte aux lettres de nos abonnĂ©s), surprise : Magic s’habille aussi de noir avec une deuxiĂšme Une qui rend hommage Ă  l’un des piliers du panthĂ©on rock de chez nous : Marquis de Sade.
Avec son trĂšs beau portrait signĂ© de notre photographe Julien Bourgeois, la quatriĂšme de couverture de ce numĂ©ro loue "la race des seigneur » du quatuor rennais. Si Philippe Pascal, son chanteur disparu en 2019 quelques mois aprĂšs la reformation du groupe, en Ă©tait l’incarnation torturĂ©e, alors Frank Darcel, son guitariste et confondateur, en Ă©tait le moteur qui s’emballe. Il nous a quittĂ©s Ă  son tour le 14 mars dernier et Magic ne se voyait pas composer un sommaire qui n’aurait pas fait une place Ă  "ce menhir en mouvement perpĂ©tuel".
Pour l’occasion, notre cahier Rembobinages renferme un dossier spĂ©cial de 34 pages qui raconte l’histoire collective, la rĂ©union de 2017 dĂ©battue Ă  l’oral, le temps des projets d’avenir (Ă  travers un entretien posthume inĂ©dit) et la trajectoire singuliĂšre (entre New York, la Bretagne et le Portugal) de Frank Darcel.
Ce dossier exceptionnel, nos abonnĂ©s auront la chance de le dĂ©couvrir dans une poignĂ©e de jours (arrivĂ©e prĂ©vue autour du vendredi 7 juin dans leur boĂźte aux lettres). Si vous n’en faites pas (encore) partie, pas de panique, vous pouvez commander ce numĂ©ro dĂšs maintenant en suivant le lien en bio 🔗
À trĂšs bientĂŽt pour le sommaire complet du numĂ©ro !
Photo © @julienbpics pour Magic | Design © David Guibaud
#marquisdesade #frankdarcel @marquis_rennes
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jlpn · 7 years
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 Rennes, France
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etiennedaho · 6 months
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Mon cher Frank, mon ami, toi sans qui
..des milliers de souvenirs affluent et les mots ne me viennent pas pour exprimer ce vide.
Merci d’avoir Ă©tĂ© dans ma vie et de l’avoir changĂ©e Ă  jamais.
Photo: Xavier Lambours
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etiennedaho · 6 months
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etiennedaho · 2 years
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Étienne ce soir en invitĂ© surprise de Marquis au petit bain.
Vidéo : David Lefranc
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etiennedaho · 3 years
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Etienne Daho en tournage Ă  la tour des Horizons Ă  Rennes
Le chanteur Etienne Daho tourne actuellement le clip du titre Je n’écrirai plus si souvent qu’il a Ă©crit pour l’album de Marquis. Une journĂ©e de tournage a eu lieu tour des Horizons Ă  Rennes
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/etienne-daho-en-tournage-a-la-tour-des-horizons-a-rennes-77e77d52-96de-11eb-ba63-dd87e37c9e97
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etiennedaho · 4 years
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ETIENNE ET MARQUIS
Etienne participe Ă  « Aurora » l’album de Marquis (ex Marquis de Sade) qui sortira ce 5 fĂ©vrier chez Caroline / Universal. La chanson dont le texte est un hommage Ă  Philippe Pascal, le chanteur de Marquis de Sade brutalement dĂ©cĂ©dĂ© le 12 septembre 2019, s’intitule « Je n’écrirai plus si souvent ».« Frank Darcel et Thierry Alexandre sont venus me voir à Paris pour me proposer deux musiques différentes, très belles toutes les deux. Mais de suite j’ai eu plus d’affinités avec celle qui allait devenir Je n’écrirai plus si souvent. A ce moment là j’étais un peu hanté par la brutalité de la mort de Philippe. Comme nous tous. Et j’ai écrit  ce texte clairement inspiré par lui, comme un hommage collectif et un tĂ©moignage de notre affection pour lui »
 Les autres guests de l’album sont: Dargelos (Les Nus), Dominic Sonic, Sergeï Papail (Frakture) Ivan Julian (Voivoids, Richard Hell), Richard Lloyd (Television), Dirk Polak (Mecano), Marina Keltchevski et James Chance. https://marquis.lnk.to/Aurora
https://gonzomusic.fr/marquis-aurora.html
Marquis - le groupe
La presse:Rolling Stone
****Télérama ( 3 clés)
Photo: Richard Dumas
@pierre-jean35
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etiennedaho · 5 years
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Hommage Ă  Philippe Pascal dans les inrockptibles de cette semaine
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etiennedaho · 2 years
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etiennedaho · 2 years
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MARQUIS
Marquis a sorti son premier album Aurora en février 2021, et commence seulement à fouler les scÚnes du fait de la situation sanitaire.
Aujourd’hui Marquis (sans « de Sade ») est un tout nouveau groupe que contemplent 40 ans
d’histoire. Une diachronie digne de Borges que valide l’ñge de ses membres : trois babyboomers et un millennial faisant corps et cause commune sur un premier album au goĂ»t d’adieu et de renouveau. Du Marquis, premiĂšre Ă©poque, on retrouve Frank Darcel, guitariste principal auteur-compositeur et rĂ©alisateur. Thierry Alexandre et Éric MoriniĂšre,
respectivement bassiste et batteur, charpentent l’ensemble comme au temps de Rue de Siam. Quant Ă  Simon Mahieu, jeune flamand au pĂ©digrĂ©e en construction, il rĂ©ussit Ă  combler l’absence de Philippe Pascal, sans en effacer la trace. Ainsi, ni maniĂšre de rĂ©surrection, ni hommage Ă  proprement parlĂ©, Aurora achĂšve un cycle et en inaugure un nouveau.
NICOLAS COMMENT
Photographe et auteur-compositeur, Nicolas Comment vit et travaille à Paris. En 2005, sa rencontre avec Rodolphe Burger, puis avec Jacques Higelin et Yves Simon (pour lesquels il travaille sur les albums « Amor doloroso » et « Rumeurs », 2006), le rapproche du monde de la musique,
En janvier 2021 paraĂźt « Nouveau », chez MĂ©diapop (physique) et Kwaidan / Idol (digital) album concept qui associe musique, photographie et littĂ©rature Ă  l’occasion du centenaire de la disparition du mythique poĂšte Germain Nouveau. Il sera sur scĂšne en trio pour ce concert en premiĂšre partie de MARQUIS.
En concert le 8 Juin au petit bain Ă  Paris, la billetterie est ouverte :
https://billetterie.petitbain.org/evenement/08-06-2022-20-00-marquis-nicolas-comment?fbclid=IwAR3Zx8dQFZY-uSbxst07QU-83QrlxDIcm9oyhC9joY0A7TWjh8joPNa-FpA
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etiennedaho · 2 years
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Le rĂ©alisateur HervĂ© Portanguen avec Éric MoriniĂšre, batteur, Frank Darcel, guitariste et Thierry Alexandre, bassiste. | OUEST-FRANCE
Rennes. Un documentaire sur l’épopĂ©e du groupe de rock Marquis
Dans Marquis, noblesse punk, le réalisateur Hervé Portanguen raconte le groupe rennais mythique dans ses tragédies et ses défis, avec ce nouvel album Aurora, qui a réuni la famille musicale rennaise des années 1980. 
L’article complet sur le lien suivant :
 https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-un-documentaire-sur-l-epopee-du-groupe-de-rock-marquis-4bb90e26-bc12-11ec-a45e-c7c889f915a9
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etiennedaho · 4 years
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album de MARQUIS
Cet album pour lequel nous sollicitons votre soutien a commencĂ© d’ĂȘtre enregistrĂ© Ă  l’étĂ© 2018 et devait devenir le troisiĂšme album de Marquis de Sade. Quatorze musiques originales avaient Ă©tĂ© initialement gravĂ©es sur le disque dur du studio NDE Ă  Saint-Jean-du-Doigt, plus la reprise de « Ocean ». Philippe Pascal a chantĂ© deux de ces nouvelles chansons entre dĂ©cembre 2018 et janvier 2019. Ces deux chansons, dont les textes ont Ă©tĂ© Ă©crits en anglais par Philippe, ne seront pas sur cet album de Marquis, mais sortiront fin 2021 dans un coffret qui rĂ©sumera l’intĂ©gralitĂ© de la carriĂšre de Marquis de Sade.
https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/album-de-marquis?fbclid=IwAR00xvSaXT-2ZaPMI4z0ialC7mVBu_nURysC1VQTKvZr4t7KKYP0YFGaxa8
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etiennedaho · 7 years
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Antoine de Caunes accompagné de Charline Roux, reçoit :
- Etienne Daho pour la sortie de son dernier album Blitz(Capitol). Il présente également une exposition Daho l'aime Popà la Philharmonie de Paris jusqu'au 29 avril 2018.
- Philippe Pascal et Frank Darcel de Marquis de Sade.  
La Pop Liste d'Etienne Daho :
Son livre culte : Correspondance (1946-1959),  Albert Camus et RenĂ© Char, Gallimard Son film culte : 120 battements par minute, Robin Campillo, 2017 Sa chanson culte : Roller Skate, Nick Hakim, 2017 Sa sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e culte :  La caravane de l’étrange (CarnivĂ le), Daniel Knauf pour HBO, 2003  
« Qu’est-ce que le mot “pop” signifie ? Lorsque j’étais enfant et adolescent, je ne me suis jamais prĂ©occupĂ© des genres et passais allĂšgrement de la chanson populaire Ă  l’underground, avec un mĂȘme plaisir non coupable. Lorsque je connus mes premiers succĂšs, pour Ă©chapper aux modĂšles dominants et Ă  la rigiditĂ© sectaire du rock et de la variĂ©tĂ©, je m’autodĂ©finis comme chanteur pop. Le swing de Trenet, le rock de Boris Vian ou la pop anglaise sophistiquĂ©e de Françoise Hardy permirent aux gĂ©nĂ©rations suivantes de se retrouver en zone libre. Aujourd’hui, la pop a des contours fluctuants et se moque des dĂ©finitions. Elle dresse des ponts entre les diffĂ©rents univers musicaux. Elle dĂ©cloisonne, brasse, mĂ©tisse, rĂ©concilie les genres et arrache les Ă©tiquettes. DĂ©livrĂ©e de la rigiditĂ© des codes, toute une nouvelle gĂ©nĂ©ration hisse trĂšs haut le drapeau d’une pop dĂ©complexĂ©e, vive, variĂ©e, foisonnante et libre. »                                                                                                                       Etienne Daho 
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jlpn · 7 years
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Marquis de Sade @ Le Liberté (Rennes) // 16.ix.17
Lorsque j’apprends en aoĂ»t que Marquis de Sade se reforme pour une soirĂ©e unique mi-septembre Ă  Rennes, c’est comme si on m’avait annoncĂ© qu’Ian Curtis Ă©tait ressuscitĂ© et que Joy Division faisait une nouvelle tournĂ©e. Je m’empresse d’acheter un billet, sachant pertinemment que le concert sera complet. « Culte », « lĂ©gendaire », « prĂ©curseur », « mythique » sont autant d’adjectifs Ă©culĂ©s que l’on a utilisĂ©s Ă  tort et Ă  travers pour des groupes de la France alternative (et d’ailleurs) du dĂ©but des annĂ©es 1980. Mais pour moi comme pour nombre de Français de ma gĂ©nĂ©ration, Marquis de Sade est sans conteste la rĂ©fĂ©rence phare de nos jeunes annĂ©es passĂ©es Ă  Ă©couter de la musique post-punk. C’est le groupe français qui a lancĂ©, dĂšs la fin des annĂ©es 1970, la transition entre punk et mouvance coldwave. Avec un son unique, un talent indĂ©niable et un charisme sans limites.
C’est une exposition artistique organisĂ©e par le graphiste Patrice Poch pour les 40 ans de la crĂ©ation de Marquis de Sade qui a Ă©tĂ© l’occasion de reformer le groupe le temps d’une soirĂ©e (unique ou non, nul ne sait encore).  Les membres d’origine sont bien là : le chanteur-parolier Philippe Pascal, le guitariste-compositeur Franck Darcel, Thierry Alexandre Ă  la basse, Eric MoriniĂšre Ă  la batterie et Daniel Pabeuf aux saxophones. Ils sont accompagnĂ©s pour l’occasion du guitariste Xavier « Tox » GĂ©ronimi qui avait jouĂ© avec Pabeuf au sein d’Ubik et du jeune Paul Dechaume aux claviers. Mon seul Ă©tonnement est de ne pas voir Ă  leurs cĂŽtĂ©s Anzia, guitariste de la premiĂšre heure. Parmi les spectateurs, quelques noms de la scĂšne bretonne : Etienne Daho, Pascal Obispo, Bertrand Belin, Yann Tiersen, ou encore Dominique A.
Le concert de ce soir se donne Ă  guichets fermĂ©s devant quelque 3 000 privilĂ©giĂ©s dont la plupart n’avaient Ă  l’époque pas eu l’occasion ou tout simplement pas l’ñge de voir le groupe sur scĂšne avant qu’il ne donne son dernier concert Ă  Maubeuge en juin 1981. Pascal et Darcel avaient alors dĂ©cidĂ© de mettre fin Ă  l’aventure de quatre ans pour poursuivre diffĂ©rentes voies musicales. Le premier avait fondĂ© Marc Seberg qui avait sorti un excellent premier album Ă  l’intensitĂ© brute et froide en 1983 avant de se perdre dans un nĂ©oromantisme surproduit par la suite. Les trois autres membres avaient formĂ© le groupe Octobre qui fit ses dĂ©buts en 1982 avec le superbe maxi « Next Year in Asia » avant de sortir un ultime album et d’assurer la premiĂšre partie des deux concerts de David Bowie Ă  l’Hippodrome d’Auteuil en juin 1983.
On sent bien que personne ce soir n’est lĂ  par nostalgie, que ce soit sur scĂšne ou dans le public : il ne s’agit pas de revivre le passĂ© mais, pour un soir, de rĂ©parer les occasions ratĂ©es, de reprendre le fil de ce qui aurait pu ĂȘtre. L’émotion est palpable dĂšs les premiĂšres notes ; sur scĂšne, Philippe Pascal a du mal Ă  cacher son bonheur d’ĂȘtre lĂ , tout en exhibant la mĂȘme fragilitĂ© et la mĂȘme maladresse qui faisaient dĂ©jĂ  le charme histrionique de son personnage de pantin dĂ©sarticulĂ© il y a prĂšs de 40 ans. En plus du rĂ©pertoire quasi-intĂ©gral de leurs deux albums, une reprise de « White Light, White Heat » du Velvet Underground a servi de prĂ©texte pour faire monter sur scĂšne les anciens membres du groupe Christian Dargelos (par la suite chanteur des Nus), Pierre Thomas (batteur de Marc Seberg) et SergeĂŻ Papail (bassiste de Frakture). En revanche, la reprise de « Hero » du groupe Neu! qui clĂŽtura la soirĂ©e Ă©tait sans doute de trop, mais ne ternit pas pour autant le sentiment d’avoir vĂ©cu un moment sans Ă©gal.
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etiennedaho · 8 years
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Le LoudĂ©acien Frank Darcel a Ă©tĂ© le premier producteur d’Étienne Daho.© Ouest-France
Le musicien et producteur loudéacien a réussi à regrouper affiches, documents, instruments
 et retrace à travers son exposition Rok, le mouvement breton, à la médiathÚque.
Rien qu’à son allure, on ne peut se tromper. Frank Darcel est un rockeur, un vrai. La voix grave, on l’imagine sur scĂšne, guitare entre les mains, emporter leur public. Et pour lui, « tout a commencĂ© ici ». Ce n’est pas d’hier. Frank Darcel est nĂ© en 1958. Un enfant de LoudĂ©ac qui a grandi Ă  Plessala.
« Ma scolaritĂ©, dans le secondaire, je l’ai faite ici. J’ai dĂ©marrĂ© avec l’orchestre de jazz Ă  l’école », se souvient cet homme robuste. Pour autant, il n’est pas jazzman pour un sou. « J’ai essayĂ©, mais je n’étais pas bon », sourit-il. Cependant, la musique le fascinait. Alors en classe de terminale, il dĂ©cide « avec des potes », de monter un groupe de rock. « Le jazz, c’était trop fatigant
 »
« Pourquoi pas un musée ? »
Mais arrive le temps des Ă©tudes supĂ©rieures. Frank part Ă  Rennes, pour des Ă©tudes de mĂ©decine. « Au bout de deux ans, je n’ai pas rĂ©sistĂ© Ă  l’arrivĂ©e du punk, j’ai tout arrĂȘtĂ© pour rejoindre la musique », se rappelle le musicien.Son groupe, Marquis de Sade, devient l’un des pontes du rock en France. Jusqu’à leur dernier concert, dans les annĂ©es 80. « Le dernier des billets est ici », montre-t-il dans une vitrine de la mĂ©diathĂšque de LoudĂ©ac, oĂč il expose jusqu’au 1er mars.
Ces souvenirs, il les garde. « Je ne suis pourtant pas collectionneur
 Mais aujourd’hui, je fais plus attention, quand je vois la valeur de certaines choses ! » Comme cette affiche de la toute premiĂšre tournĂ©e d’Étienne Daho, Ă©galement prĂ©sente Ă  la mĂ©diathĂšque. « Étienne Daho, pas breton ? Tu parles ! Il Ă©tait dans la mĂȘme Ă©quipe que nous ! Et puis, je suis son tout premier producteur
 »
Depuis plusieurs annĂ©es, Frank Darcel s’intĂ©resse particuliĂšrement Ă  la musique en Bretagne. Deux Ă©pais livres, Rok, sont parus, retraçant son histoire. « C’était le challenge aprĂšs Marquis de Sade. Comprendre pourquoi la Bretagne est la rĂ©gion de France la plus rock. » Un travail collĂ©gial. Mais les explications sont arrivĂ©es. « C’est sociologique en fait ! » Les radios libres anglaises captaient bien en Bretagne, permettant d’écouter toutes ces influences. La naissance de la ligne de la Brittany Ferries Saint-Malo - Portsmouth, « qui permettait d’aller passer des week-ends Ă  Londres pour Ă©couter des groupes. On chopait la culture anglaise plus facilement que les Marseillais ! »
GrĂące Ă  ses nombreux contacts dans le monde de la musique, Frank Darcel a pu rĂ©cupĂ©rer pour l’exposition des affiches de collection, mais aussi des objets, comme la harpe d’Alan Stivell. Le rĂȘve du LoudĂ©acien, maintenant, serait de pouvoir ouvrir un musĂ©e, « pourquoi pas Ă  LoudĂ©ac d’ailleurs, c’est le carrefour de la Bretagne », sur le thĂšme des musiques actuelles bretonnes.
Jusqu’au 1er mars, exposition Rok, Ă  la mĂ©diathĂšque de LoudĂ©ac. EntrĂ©e libre.
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etiennedaho · 5 years
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NĂ© Ă  Oran, en AlgĂ©rie, Etienne Daho ne s'est installĂ© en Bretagne que dans les annĂ©es 60 et c'est en 1979, lors des Transmusicales de Rennes qu'il fait sa premiĂšre apparition en public dans le groupe Entre Les Deux Fils DĂ©nudĂ©s De La Dynamo. Alors en licence d'anglais Ă  la facultĂ© de Rennes, Etienne Daho organise un concert pour rencontrer son groupe prĂ©fĂ©rĂ©, les Stinky Toys, composĂ© d'Elli Medeiros et de Jacno qui l'encouragent Ă  Ă©crire et Ă  chanter. Franck Darcel (lead guitare du groupe Marquis de Sade), lui propose de l'aider Ă  faire ses maquettes. Étienne Daho le chef de file de la "pop française", mais aujourd'hui, la pop, il dit ne pas trop savoir ce que c'est, sinon un mot commode, qui au temps de ses dĂ©buts, aidait Ă  se faire une place entre rock et variĂ©tĂ©s. Ses dĂ©buts c'Ă©tait Ă  l'aube des annĂ©es 80, et pas loin de quarante annĂ©es plus tard Étienne Daho est toujours lĂ  et bien lĂ , nul n'est besoin Ă  prĂ©sent de l'Ă©tiqueter. "L’avantage d’un long parcours, c’est qu’on s’inscrit peu Ă  peu dans la vie des gens", dit-il, sans aucun doute avec raison. Week-end Ă  Rome, TombĂ© pour la France, Épaule Tattoo, Duel au soleil ou encore Des attractions dĂ©sastre et Boulevard des Capucines, sont autant de titres accrochĂ©s Ă  nos souvenirs. #radiorec2019 @radiorec2019@rec_et #ÉtienneDaho
http://lgbtentraide.website-radio.com  
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