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#Galeries de la Capitale
corneille-moisie · 1 year
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Ok je vais jamais aux galeries parce que c'est juste fucking trop grand pis y a trop de monde, bref j'ai pas d'affaire dans ce mall-là ew
fait que 1. je comprends même pas pourquoi y m'envoient des emails
2. avec des typos ???
3. à propos de quelque chose dont je me contre-calice 🤔
genre congrats, tu viens de vraiment t'assurer que je mettes jamais plus ever les pieds aux galeries de la capitale 👍🏻
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anticbrvtalist · 11 months
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnétique de l’Angleterre » ! Où donc ai-je lu ces mots ? » (Léon Bloy)[1]
Nous ne croyons pas à la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congé à temps. Sans doute était-il fatigué de tituber dans un monde qui meurt. Dès la fin du siècle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratère foré par l’économie monde, plongeant à pic dans le tiède enfer du non-lieu global. Même Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho géographie, d’exposer aux non-initiés ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientôt plus rien à personne. Nous fûmes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sévit pas à l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a épuisé la valeur d’échange s’évapore, disparaît. Même les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiés, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chère Ann, ce Londres s’était tout entier évanoui ; et bientôt, ferait défaut jusqu’à l’humanité encore accessible à de tels souvenirs. Il aura vu le dôme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars désaffectés, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusé dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement écouté par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une désespérante tolérance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la cité des résurrections »[2]. Cette ville lui était à ce point devenue étrangère qu’il ne pouvait plus suivre à l’instinct les affluents de la Tamise, ces méandres aux propriétés magiques jadis cartographiées par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les rivières de Stamford brook et de Walbrook. Désormais incapable de soulever les strates de l’histoire immédiate, mais toujours possédé par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, à quarante ans, enterré vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la première tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-être Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il désirait, de toutes ses forces, différer l’avènement. Peut-être devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entière, allait devenir telle qu’elle figure dans la série Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIè, énonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achève, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poètes sont toujours les premiers à s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un précurseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tâtonne vers la sortie, cherche machinalement son âme comme on s’assure de la présence d’un membre fantôme. Le Brexit, bien sûr, ne résoudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant à l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot à la remorque des États-Unis, tourné vers l’ailleurs, le grand large, l’Océan Pacifique peut-être, pour une dernière aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre à se défaire du monde. Très jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « système », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidé de la société » : cette dernière, il sut la tenir à distance, cultivant l’art de la clandestinité, luttant constamment contre toute forme imposée ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignée d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vécut son homosexualité comme une malédiction, un défi, trop orgueilleux qu’il était pour quémander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplément de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularité draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dès 1984, à écarter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacés, passèrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de côté, la vie de John Balance fut esquive, dérobade radicale. De la société, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’appréhendé latéralement, surtout les êtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’âme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oublié. Cette approche oblique strictement observée, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-à-dire un bruit, un son, que l’on peut prélever, domestiquer, puis torturer à loisir avant de le restituer, méconnaissable, à la société épouvantée.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une étrange réputation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, évoquant à mots couverts auprès d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entièrement peinte en noir, les murs tapissés d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, où il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces étranges inclinations vinrent aux oreilles du cinéaste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rétracter, effrayé. Pourtant, à les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les présentent de noir vêtus, cheveux ras, encapuchonnés dans d’informes sweat shirts, soit la défroque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils étaient passés maîtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dès 1991, ils avaient déjà, par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expérience claustrophobique, se changea en caisse à stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayée de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un député tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes à l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensées, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dé-civilisation dont ils déplorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogénéité qu’ils possèdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dépit d’un mode de vie suicidaire, jalonné d’expérimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblée le pressentiment de l’avènement d’un monde unidimensionnel, hostile à toute intériorité. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment écho aux paroles d’un Barrès, qui, à l’apogée de son « culte du moi », au début du XXè  siècle, déclarait : « Les barbares veulent nous fondre en série ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom à la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de réversion, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quête de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait déjà les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tôt. L’histoire révèle à périodes régulières quelques jeunes gens suffisamment mécontents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible à rendre son secret. John Balance s’identifiait à René Crevel mais ce serait plutôt à Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poète égaré dans son inlassable quête d’« états de stupeur fixe ». (...)
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carraways-son · 8 months
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Samedi
Visité avant-hier deux expositions à la Galerie photographique du Château d'eau : d'abord le road trip familial d'Arno Brignon à la découverte des habitants et paysages de douze villes américaines portant les noms de grandes capitales européennes (en haut), et "Rien à perdre", plongée intime de Philémon Barbier dans le quotidien de rappeurs des milieux populaires (ci-dessus). Au retour, la Garonne , dorée par les derniers feux du jour, frissonnait sous le vent. Ce soir, j'ai voulu écouter l'album de Gérard Mancet "Le langage oublié", mais je n'y arrive plus. En revanche, je me suis noyé avec bonheur dans le rock si nerveux et élégant de Robert Palmer, mort il y a déjà 20 ans. Et j'ai dansé sur mon fauteuil, d'une fesse à l'autre, ce qui m'a fait repenser à ces mots de Chantal Thomas ("Journal de nage") : Je fais avec les moyens et les limites dont je dispose. Je sais danser sans bouger les pieds, je sais chanter sans émettre un son. Pareil.
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lecameleontv · 8 months
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Captures des moments off (2024) en dehors des Tournages des Emissions et des Episodes de la nouvelle saison 13 de l'émission télévisuelle française Danse Avec les Stars, diffusée sur la chaîne privée TF1, l'acteur James Denton.
Une bonne occasion de promouvoir à l'internationale l'attractivité de la capitale... pour les JO 2024 ^^. .... avec la gastronomie qui va avec en essayant les 'Bouillons' de la capitale :
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Et si vous ne savez pas quoi faire de votre ancienne cheminée à cause du réchauffement climatique, James Denton a une idée^^ :
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... en comptant en français^^ ... :)
L'acteur a également profité d'être en France pour voir Pragues.
L'acteur James Denton s'était déjà rendu à plusieurs reprises en France, et à Paris (galeries du Louvres et ) dans le cadre de son rôle d'égérie de la marque Daniel Hechter.
sources : et
Alias Mr Lyle dans la série Le Caméléon
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chez-mimich · 2 years
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DESTINI INCROCIATI: DA VIA GREPPI A BEAUBOURG
Al Centre Pompidou di Parigi dal 18 novembre prossimo fino al 4 dicembre, nell’ambito del ciclo de La Cinémathèque du Documentaire à la Bpi (la Bpi è la Bibliothèque publique d’information) viene proiettato il film documentario “De part et d’autre”. Un film che parla di alberi (ma anche di relazioni). Gli alberi infatti comunicano attraverso ramificazioni, anche sotterranee e nascoste, una specie di sistema nervoso che ha molto a che vedere con quello umano. Il film è diretto da Matthieu Chatellier e montato da Daniela De Felice. I due non sono solo una coppia nel lavoro, ma anche nella vita e la loro produzione filmica è ormai corposa. Si tratta di film documentari per chi ama la riflessione su tematiche sociali e politiche, ma non solo. Vorrei ricordare “(G)rêve Général(e)” del 2007 sull’occupazione sull’occupazione studentesca dell’Università di Caen, “La Mécanique des corps” del 2016, documentario sulla costruzione e l’adattamento al corpo di un arto artificiale, lo struggente “Ardenza” del 2022, film su dolore e nostalgia, modellato sulle vicende personali e famigliari di Daniela De Felice. Vorrei ricordare anche “Mille fois recommencer” magnifico film sulla scultura e sulla materia scultorea del 2020, “Doux amer” (2011), racconto di una malattia feroce. Vicino al Centre Pompidou, dietro al “Quartier de l’Horologe”, al numero 30 di Rue Beaubourg, ecco la “Galerie Daniel Templon”, una delle storiche gallerie d’arte parigine che in queste settimane propone “Paysages insomniaques” di Philippe Cognée, raffinato pittore contemporaneo francese (nato a Nantes nel 1957), che lavora principalmente con la cera fusa e frantumata che crea un effetto spaesante per i suoi soggetti prettamente urbani. La Galerie Templon fu fondata da Daniel Templon negli anni Settanta e si caratterizzò subito per la capacità di ospitare artisti già affermati e numerosi giovani artisti dell’epoca. Per buttare lì qualche nome: Daniel Buren, Arman, Jean-Miche Basquiat, Jim Dine, Willem de Kooning, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, Julian Schnabel, Richard Serra, Fran Stella, Andy Warhol. La direttrice della Galerie Daniel Templon di Rue Beaubourg è attualmente Gloria Sensi, già consulente di un altro tempio sacro del mondo artistico parigino e internazionale, come la Galerie Perrotin. Daniela De Felice e Gloria Sensi, due giovani donne ormai affermate hanno qualcosa in comune, ma non lo sanno. Oltre ad essere italiane, oltre ad essere nel mondo delle arti visive e oltre a vivere ed operare a Parigi (Daniela in realtà vive a Caen, ma lavora nella capitale), Daniela e Gloria si sono formate, in anni diversi, in quella scuola spesso considerata dei “brutti, sporchi e cattivi” che è stato il liceo artistico di Novara, dove le ho conosciute da adolescenti. A dire la verità hanno in comune anche il fatto di essere nate e cresciute nel magentino, ed anche questo ho dovuto ricordarglielo io. Chissà che Daniela e Gloria diventino amiche, il finale della storia lo richiederebbe…
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ataturquie · 1 day
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Cette exposition, de Paris à Istanbul, nous invite à découvrir des modes de vies, des civilisations Anciennes et Modernes. Cette exposition va nous rapprocher et nous permettre de dialoguer du temps ; où les images nous révèlent les mystères cachés de l'Orient et de l'Occident. En tant que chasseur d'images, le photographe, nous invite à une unité de regard et d'harmonie entre, peut-être, les deux plus belles villes du Monde. Les photos, nous éclairent à l'ombre du XXIᵉ siècle des secrets de la beauté de Paris et d'Istanbul.
DOGAN ELAT : Diplôme de l EDC Paris Business School, où Je fût responsable de La Vie Associative. Mon intérêt pour l’Art m’a permis d’exposer mes photos dans plusieurs galeries (Linda Farrell, Capitale Galerie Musée Louvre) et organiser ma propre Exposition à la Galerie du Vieux Colombier, intitulée “Paris Mon Regard” 2015- 3éme place au concours De « Paris/Plage » à la Mairie de Paris. 2019- Photo du Mois : du Journal Indépendant de Neuilly sur Seine. 2023/2024- Membre permanent du Jury « concours International de la Photographie » 2024- Exposition à Istanbul, Göçebe Tualler
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Hana est le joyau de la famille Cheong. Cadeau inespéré de la vie des deux adultes déjà bien âgés quand ils se voient offrir le plaisir de la parentalité, ils se donnent, entièrement, à leur fille. Parce qu’ils savent, dans le fond, qu’ils n’auront pas Hana pour bien longtemps. Ils l’ont attendue, pendant si longtemps, leur petite fleur. Mais peu importe à quel point ils la chérissent, l’enfant reste furieusement introvertie. Elle est très réservée, et ça ne s’arrange pas quand elle entre à l’école. La petite Hana n’est pas loquace, et c’est pour cette raison qu’elle se fait systématiquement marcher sur les pieds par la terre entière. C’est inacceptable, aux yeux de ses parents. Hana a huit ans, les larmes aux yeux, alors que ses parents se tiennent à ses côtés, devant son institutrice, qui manifeste son inquiétude de voir leur fleur bousculée par ses camarades de classe. Son père ne peut pas apprendre aux autres enfants à être plus délicats. Mais il peut apprendre à Hana à se défendre. Mais ça ne dure qu’un temps. Sa mère, depuis longtemps déjà, cultive l’envie d’exporter sa galerie d’art au Japon, pays dont elle rêve de toute façon pour sa retraite. Il n’y a qu’une seule personne que le père d’Hana aime plus que la petite, et c’est bien sa femme. Alors, quand elle a douze ans, Hana et ses parents déménagent au Japon, s’installent dans l’immense capitale. Désormais expatriés, c’est presque immédiatement qu’Hana se renferme dans sa carapace. Les autres élèves japonais ne sont pas spécialement agréables avec la petite coréenne qui ne parle quasiment pas la langue, et ils se moquent régulièrement d’elle. 
Et puis, l’incident. Des filles de sa classe lui cherchent des problèmes - ce qui devait être une scène habituelle d’humiliation tourne au vinaigre quand une des filles commence à lui tirer les cheveux. Parce que pour la première fois, Hana réplique. Elle ne sait pas comment est partie la gifle, en est la première surprise, mais ça réveille quelque chose chez elle. Hana a le droit au respect, et elle a le droit de se battre pour récupérer la dignité qui lui est dûe. C’est un alors un sacré virage qui s’opère.
Avec l’apprentissage déraisonné de ses parents qui veulent la voir s’épanouir, et sa nouvelle confiance en elle, Hana change plus ou moins radicalement. Loin de l’adolescente renfermée qu’elle avait pu être, elle devient une petite insolente, qui n’a plus tellement peur de quoique ce soit, ou bien de rendre les coups qu’on peut vouloir lui donner. Évidemment, cette nouvelle attitude lui vaudra des remontrances de la part de ses professeurs à l’école, mais Hana justifie chacun de ses actes : personne ne lui manquera de respect, son insolence est pour le bien public. Elle a trop subi, trop souffert, et elle refuse de retourner à ce statut de victime. Alors peut-être qu’elle est surveillée par les enseignants, mais ça lui permet tout de même de quitter le radar de ceux qui la harcelaient auparavant, parce qu’enfin, elle se défend.
Laissée en paix, loin des regards inquisiteurs, Hana termine ses années de lycée sereine, et se laisse la chance de mûrir pour devenir la femme qu’elle est aujourd’hui. A sa majorité, Hana est cette femme pleine de conviction, qui travaille d’arrache-pied, pour pouvoir s’offrir un avenir confortable à elle, mais aussi à ses parents, désormais à la retraite. Mais la retraite n’est pas faite pour ses parents et Hana aurait dû le voir venir. Elle a dix-neuf ans, quand sa mère les quitte en premier, et dévasté par le chagrin d’avoir perdu l’amour de sa vie, c’est son père, six mois plus tard, qui décède à son tour.
Seule personne restante de sa famille, Hana n’a plus qu’elle-même sur qui compter. Elle vit toujours à Tokyo, où elle a rejoint une faculté d’histoire. Depuis petite, Hana est fascinée par le métier d’antiquaire de son père, et il lui apparaît que c’est un hommage digne d’espérer pouvoir suivre ses traces. Et sa vie, elle la continue autant que faire se peut. Sa vie sociale ne s’étend pas particulièrement, parce que la jeune femme est trop préoccupée par son avenir pour chercher à avoir des relations stables dans sa vie. Et puis, comme de nombreux Tokyoïtes, Hana se trouve dans le quartier de Shibuya, quand la pluie de météores frappe. Mais elle ne sait pas, Hana, que c’est une pluie de météores. Pour elle, c’est juste le calme intense, avant de découvrir l’univers horrifique de Borderland. Hana est terrifiée par les jeux de la mort, mais sa détermination naturelle l’empêche de s’effondrer entièrement, et de chercher, à tout prix, de survivre. Il lui faudra trois jeux avant de rejoindre la Plage, dont elle avait entendu parler par les autres joueurs.
Mais la Plage, finalement, c’est le plus terrible des cauchemars, parce que sa survie ne tient qu’à son aptitude à ramener des cartes. Elle n’a pas la meilleure des attitudes avec les activistes - dieu sait qu’elle n’a pas sa langue dans sa poche, la brune, générant systématiquement des conflits avec Niragi, qui rêve d’obtenir la tête d’Hana sur une pique. Qu’à cela ne tienne, elle rêve d’en faire autant. A la Plage, Hana est généralement froide - hormis avec Kuina et An, on ne la voit pas discuter avec les autres. Alors forcément, ça lui traîne une réputation de calculatrice hors-pair, entre autres, parce qu’elle est extrêmement secrète sur les jeux qu’elle peut gagner, et elle refuse de dévoiler ses atouts.
Son vrai problème, ce sont surtout les jeux de pique qui lui posent problème, et c’est pour cette raison qu’Hana commet l’impensable : elle s’allie à un activiste, Nao. Nao son allié, et puis Nao son sauveur.  C’est le cinq de pique qui signe leur alliance - et le jeu suivant signe leur relation. Dans un monde aussi dramatique que Borderland, où tout s’accélère, il ne faut pas longtemps à la jeune femme pour développer des sentiments pour Nao. Ces derniers sont réciproques, évidemment, mais ça n’est pas tellement possible de s’afficher, compte tenu de la cible qu’elle a dans le dos. Le jeu de la sorcière, donc, est décisif. Parce qu’Hana pense avoir perdu Nao, qui la défendait, et assénée par la douleur, elle tente  d’assassiner Niragi. Et même si Nao n’a pas disparu, une partie d’Hana, elle, a brûlé dans le bûcher. La brune est aux côtés de son homme, pour les jeux des Rois et des Reines, mais elle est définitivement changée, habitée par une peur panique de se voir séparée de Nao.
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Hana a des habitudes bien à elle : elle vérifie toujours que Nao respire quand il dort à ses côtés, et elle est physiquement incapable de dormir si elle n’a pas la tête sur sa poitrine. Une fois Mina de retour dans leur vie, Hana la prendra sous son aile de manière immédiate, et la traitera comme sa sœur, brossant ses cheveux avant de dormir tous les soirs. Hana se moque bien souvent d’Usagi et d’Arisu, et de leur maladresse légendaire - mais elle ne laisse personne d’autre se moquer d’eux, et s’en trouve particulièrement protectrice. 
⁕ La spécialité d’Hana sont les jeux de trèfles - même si ses plans sont en apparence un peu ridicules, elle fonctionne mieux en équipe que toute seule. Elle se défend également très bien sur les jeux de carreaux. Les jeux où elle s’avère indubitablement en difficulté sont les jeux de pique, car elle n’est pas particulièrement sportive. 
⁕ Comme tous les autres survivants de Borderland, Hana n’a aucun souvenir des jeux après son réveil. Pourtant, à l’hôpital, elle est machinalement attirée par Nao, sans l’expliquer, et passe des heures à son chevet.
⁕ Hana, comme beaucoup d’autres survivants de Borderland, s’en sort avec des traumatismes. S’il n’est pas facile d’effrayer la jeune femme, elle a, depuis le jeu de la sorcière, une peur panique du feu, sous quelque forme que ce soit, et elle est particulièrement terrifiée à l’idée d’un incendie. Elle a aussi tendance à très mal gérer sa culpabilité, notamment lorsqu’elle pense avoir tué Niragi, ce qui la pousse à machinalement se renfermer sur elle-même. Force est de constater, cependant, que ses plans restent toujours aussi irraisonnés lorsqu’ils impliquent Nao, parce qu’elle est très souvent aveuglée par son amour pour lui.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Hana est relativement mince, mais il est évident que depuis son arrivée à Borderland, elle s’est définitivement musclée. Elle a toujours été brune, et n’a jamais souhaité changer, et de toute évidence, son arrivée à Borderland ne le lui permet pas. Depuis le jeu du loup, elle a une cicatrice, et de manière générale, il est difficile de la voir sans bleus. Elle a également déjà eu le nez fracturé durant un jeu. A la mort de ses parents, Hana s’est fait tatouer une pièce d’échec sur le bras droit, et elle a également une branche de cerisier sur la cheville gauche. A cause des codes de la Plage, Hana s’est malgré elle un peu trop retrouvée en tenue légère - pourtant, dans le monde réel, la brune n’apprécie pas les vêtements près du corps, et préfère largement le confort de ses jeans.
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Hana est plutôt intelligente, et surtout très loyale. Il est impossible de nier que c’est une battante, même si, souvent, cela est considéré comme un défaut : preuve en est, elle est parfaitement incapable de contenir ses mots pour elle, et elle a tendance à toujours vouloir avoir le dernier mot. Bien que du genre secrète, c’est en réalité parce qu’elle est une immense stratège. On lui prête souvent un air indifférent, mais elle est surtout très observatrice. Considérée comme plutôt impulsive, elle peut même être perçue comme manipulatrice, avec de sacrés problèmes de gestion de sa colère. Hana apparaît, en outre, particulièrement égoïste, notamment à la Plage : elle a su faire comprendre qu’elle ferait tout pour sa survie, avant celles des autres. Cette perception des choses change légèrement après la rencontre de Nao. 
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dijonbeaune · 27 days
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Les 15 restaurants préférés de Fidel Gastro à Dijon
Un rapide tour dans sa galerie photo, et notre chroniqueur gourmand Fidel Gastro ressort quelques tables dijonnaises qui ont ses faveurs. Pour celles qui n’y figurent pas encore… invitez-le ! Sélection à retrouver dans Dijon Capitale n°9. La Cave se Rebiffe Un peu de charcuterie tranchée sous nos yeux pour commencer, puis les indémodables pâtes-burrata des Pouilles avec olives taggiasche, et un…
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MARDI 30 JUILLET 2024 (Billet 2 / 3)
C’est notre cousine Catherine (W.B.) qui nous a informés de sa présence, pourtant à 2 pas de chez nous. Mais le hasard a fait que nous n’étions pas allés depuis quelques jours dans cette partie du Centre Beaugrenelle où se trouvent les salles du Cinéma Pathé.
Bien évidemment, nous nous y sommes rendus aussitôt. Chers lecteurs/abonnés parisiens, banlieusards ou de passage à Paris, nous vous conseillons cette visite. Profitez-en ensuite pour vous faire une petite toile et, pourquoi pas, aller déjeuner, avant ou après, dans un des restaurants présents sur le site. Vous aurez le choix. Nous, nous avons un petit faible pour le restaurant « Panasia » (cuisine asiatique « fusion food ») et si vous aimez la nourriture mexicaine, « l’Indian Café » n’est pas mal non plus.
Mais revenons à la star récemment installée, « LA TOUR EIFFEL », pas la vraie… l’autre !
Lisez le petit topo ci-dessous, il devrait exciter votre curiosité.
____________________________
Il y a quelques mois, après de très nombreux rebondissements, Richard Plaud décrochait enfin un record du monde, celui de la plus haute Tour Eiffel réalisée entièrement avec des allumettes. Et à l’occasion des Jeux olympiques cette remarquable construction sera visible gratuitement à Paris.
C’est sans doute l’un des symboles français les plus connus au monde. Pourtant, si les touristes viennent du monde entier pour la contempler, la Tour Eiffel est parfois boudée par les Parisiens. Trop fréquentée, trop visible, ils en ont marre, et ça peut se comprendre. Mais on vous propose aujourd’hui de la découvrir sous un angle complètement nouveau. C’est au cœur du 15e que vous aurez la chance d’en découvrir une réplique miniature pas comme les autres… et pas si miniature que ça !
C’est au mois de décembre dernier, après 8 ans d’un travail acharné, que Richard Plaud présente sa construction monumentale (dans tous les sens du terme) aux juges du Guinness World Record. Seulement, voilà, il y a un hic, il n’a pas utilisé les allumettes homologuées par le guide. Pour s’économiser du temps, et sans doute de l’argent, l’inventeur fou (et très patient) a acheté directement auprès d’un fabricant les petits bâtonnets avant qu’ils ne reçoivent leur bout de soufre. Mais le règlement est clair, pour battre le record du monde, qui s'élevait à un peu plus de 6 mètres, il fallait acheter des allumettes standards, et retirer à la main, sans les casser, la partie rouge. Heureusement, après avoir fait appel, il décroche tout de même le titre, grâce à sa maquette, haute de 7,19 m !
Après de tels rebondissements, cette création exceptionnelle, tant par son histoire que par sa forme, méritait donc d’être exposée en public. Et quel meilleur moment que celui où le monde entier se presse dans les rues de la capitale ? Alors si admirer plus de 700 000 allumettes en équilibre vous tente, rendez-vous jusqu’au 12 août au centre commercial Beaugrenelle, pour observer cette création qui aura nécessité plus de 4200 heures de travail !
Centre commercial Beaugrenelle 12, rue Linois – 15e Côté Cinéma et Galeries Lafayette Jusqu’au 12 août 2024
Métro : Charles Michel
(Source : « lebonbon.fr »)
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latribune · 3 months
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claudrakoto · 4 months
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🌸 Découvrez l'écosystème enchanteur de la région Antsinanana à Madagascar 🌿
Bienvenue à Toamasina, capitale de la région Antsinanana, où la nature dévoile ses trésors tropicaux. Plongez dans un monde où la végétation luxuriante et la diversité florale créent un spectacle éblouissant.
🌺 Portrait des Fleurs de Toamasina Dans notre récent article de blog, nous vous emmenons à la découverte des magnifiques portraits floraux capturés lors d'une escapade à la station balnéaire de Foulepointe. Admirez la splendeur des Mussaenda roses, des Hibiscus vibrants, des Allamanda éclatantes, et bien plus encore. Chaque fleur raconte l'histoire de cette région unique, où la beauté naturelle règne en maître.
📸 Un Bouquet de Couleurs Des Mussaenda roses entourées de feuillage luxuriant, des Hibiscus prêts à éclore, et des Allamanda jaunes éclatantes – nos photos révèlent la diversité et la richesse de la flore locale. Ces images capturent l'essence même de la biodiversité tropicale de Toamasina.
🌴 Plongez dans la Beauté Naturelle Explorez notre article pour une immersion complète dans l'écosystème fascinant de la région Antsinanana. Les Crotons colorés, les petites fleurs d'Ixora, et les majestueux palmiers bordant les allées vous attendent dans notre galerie florale.
Découvrez la magie de Toamasina et laissez-vous inspirer par la nature dans toute sa splendeur ! 🌿
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toutmontbeliard-com · 4 months
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Sortir ce week-end à Montbéliard
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Voici la sélection ToutMontbeliard.com d’idées sorties pour ce week-end : VENDREDI 17 MAI 2024 - Marché du soir dans le Pays de Montbéliard, de 17h00 à 22h00 > infos - Au fil de l'Art à Seloncourt, série d'expositions amateur, Vieille église de Seloncourt Rue du Château d'eau, avec Mme Bourquin vernissage à 18h00, de 17h00 à 19h00 en semaine et de 14h00 à 18h00 week-ends et jours fériés, entrée libre - Marché Audin’Bio & Local à Audincourt, Place du Marché, de 10h00 à 18h00 - Magic’Halles, soirée musicale au Marché Couvert d'Audincourt, avec Roland Bée and Co, à 19h00 - Exposition "Des saisons et des peintres" à Montbéliard, La Galerie 41 rue de Belfort, avec Claude Chaneaux et Renaud Taillevand, de 14h00 à 19h00 - Exposition "Rétrospective" de Gérard Doutreleau à Audincourt, Espace Gandhi, vernissage à 17h30 SAMEDI 18 MAI 2024 - Capitale française de la Culture : Tour du bus sonore à Audincourt, création sonore et radiophonique, Quartier Montanot les Forges, de 10h00 à 17h00 > infos - Capitale française de la Culture : Nuit des musées à Montbéliard, performance dansée & mapping par Jeanne Morel et Paul Marlier, Esplanade du Château, à 21h00 > infos - Nuit des Musées à Montbéliard : Esplanade du Château Montbéliard-Würtemberg, visite commentée de l'exposition "Etienne Oehmichen et la nature" à 20h00 - Nuit des Musées à Montbéliard : Musée d'Art et d'Histoire Hôtel Beurnier-Rossel, visites commentées à 19h30, 21h00 et 22h30 - Nuit des Musées à Montbéliard : Pavillon des Sciences, de 19h00 à 23h00 - annulé : Nuit des Musées à Montbéliard : Esplanade du Château Montbéliard-Würtemberg, performance de danse et mapping "L'Envol" à 21h45 - Foire aux livres à la Roselière de Montbéliard, de 8h00 à 19h00, par la Ligue contre le cancer - Week-end structures gonflables à Pont-de-Roide-Vermondans, Salle polyvalente Michel Tarreinbergue 4 rue des Acacias, à partir de 10h00, par l'Amicale des sapeurs-pompiers de Pont-de-Roide-Vermondans - Exposition photo Mode Ouverture avec Emmanuel Rivallain pour "Si silencieux cyclistes" à Audincourt, Le Ph’arts 8 rue de Seloncourt, de 14h00 à 18h00 - Exposition "Des saisons et des peintres" à Montbéliard, La Galerie 41 rue de Belfort, avec Claude Chaneaux et Renaud Taillevand, de 14h00 à 19h00 DIMANCHE 19 MAI 2024 - Foire aux livres à la Roselière de Montbéliard, de 8h00 à 19h00, par la Ligue contre le cancer - Week-end structures gonflables à Pont-de-Roide-Vermondans, Salle polyvalente Michel Tarreinbergue 4 rue des Acacias, à partir de 10h00, par l'Amicale des sapeurs-pompiers de Pont-de-Roide-Vermondans - Brocante mensuelle à Audincourt, Place du Marché - Exposition photo Mode Ouverture avec Emmanuel Rivallain pour "Si silencieux cyclistes" à Audincourt, Le Ph’arts 8 rue de Seloncourt, de 14h00 à 18h00 - Exposition "Des saisons et des peintres" à Montbéliard, La Galerie 41 rue de Belfort, avec Claude Chaneaux et Renaud Taillevand, de 14h00 à 19h00 - Randonnée pédestre avec les Sports Réunis du Pays de Montbéliard aux Cascades de Todnau (Allemagne), 5h30 de marche, 740m de dénivelé, 17km, départ à 8h30 de la Roselière à Montbéliard > infos LUNDI 20 MAI 2024 - Foire aux livres à la Roselière de Montbéliard, de 8h00 à 19h00, par la Ligue contre le cancer Une idée sortie à proposer pour un prochain week-end ? Contactez-nous via www.toutmontbeliard.com/contact Read the full article
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omagazineparis · 5 months
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Les 5 meilleurs panoramas de Londres à 360 °
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Pour découvrir Londres dans son ensemble, rien de tel que prendre de la hauteur ! La capitale britannique regorge d’endroits qui offrent une vue époustouflante des principaux quartiers et monuments. C’est une expérience magique à ne pas manquer lors d’une escapade à Londres. De plus, certains de ces points de vue sont accessibles gratuitement. Voici nos 5 meilleurs panoramas de Londres à découvrir absolument ! Le London Eye  Le London Eye est l’une des attractions les plus prisées par les touristes. Cette grande roue avait été installée pour les festivités de l’an 2000, initialement pour une durée de 5 ans. Située en bordure de la Tamise, elle fait désormais partie intégrante du paysage londonien. Le London Eye est constitué de capsules vitrées qui hissent les visiteurs jusqu’à 135 mètres de haut. Ainsi, les différents monuments se dévoilent graduellement. Au sommet, une vue à couper le souffle sur Londres !  Le dôme de la cathédrale Saint-Paul  Avec sa coupole monumentale, la Cathédrale Saint-Paul est l’un des monuments phares de la capitale britannique. Le billet d’entrée (payant) donne accès au sommet de l’édifice, lequel culmine à 111 mètres au-dessus du sol. Mais il faudra gravir 528 marches ! Panorama de la ville depuis le sommet de Saint-Paul's Cathedral Le dôme se compose de galeries circulaires ouvertes sur la ville : la galerie des Murmures puis la galerie de Pierre. Enfin, pour les plus courageux, l’ascension se poursuit jusqu’à atteindre la Golden Gallery. On pénètre dans l’antre de la structure, constituée de couloirs sinueux et d’escaliers vertigineux. La galerie Dorée présente l’un des plus beaux panoramas de Londres. C’est le point le plus élevé du dôme, à 85 mètres de hauteur ! Depuis cet observatoire circulaire, on observe les gratte-ciels de la City et de Canary Wharf, le London Eye, The Shard, le Tower Bridge, le millenium Bridge et la Tate Modern en perspective, ainsi que la Tamise. En lien : Pourquoi partir en Islande ? The Shard : le plus haut des panoramas de Londres  Culminant à près de 310 mètres de hauteur, The Shard est le plus haut gratte-ciel d’Europe. Achevée en 2012, la tour surplombe fièrement la ville. Avec 11000 panneaux de verre et 44 ascenseurs, elle est devenue le point de repère de l’est londonien. Centre d’affaires, the Shard comporte aussi des restaurants, un hôtel ainsi que des appartements privés. Enfin, le sommet de l’édifice, « l’aiguille », est ouvert au public avec ses deux plateformes d’observation, aux 69eet 72eétages. Vous découvrez une vue vertigineuse sur tout Londres et jusqu'à 64 km à la ronde. Le dernier étage réserve un incroyable panorama à 360° avec sa terrasse en plein air partiellement ouverte. Et le spectacle se prolonge jusque dans les toilettes du Shard ! Pour éviter les longues files d'attente, réservez à l'avance la date et l'horaire de votre visite sur The View from The Shard. The Sky Garden  Non loin de la cathédrale Saint-Paul, se trouve un immeuble emblématique surnommé le « Talkie-Walkie », en raison de sa silhouette caractéristique. Le 20 Fenchurch Street abrite au 35eétage un jardin ainsi qu’un bar et des restaurants. Sky Garden, un jardin suspendu au dernier étage d'un gratte-ciel de la City. © skygarden.london The Sky Garden, c’est aussi une vaste plateforme d'observation offrant l’un des panoramas de Londres les plus spectaculaires. À travers les immenses baies vitrées, on peut notamment admirer les gratte-ciels de la City, dont le Gherkin, le fameux édifice en forme de « cornichon ». Depuis la terrasse, observez les monuments situés le long de la Tamise : Tower of London, Tower Bridge, London Bridge, la Cathédrale Saint-Paul, la toute récente tour One Blackfriars, et au loin le quartier d’affaires Canary Wharf. Pour accéder gratuitement au Sky Garden, il faut penser à sélectionner plusieurs jours voire semaines à l’avance un créneau horaire sur le site Internet du Sky Garden. Sinon, il suffira de réserver une table pour déjeuner, dîner ou boire un verre.  La terrasse du Tate Modern Le Tate Modern est le principal musée d’art moderne de la capitale anglaise. L’édifice abritait une ancienne centrale électrique. Entièrement réhabilité, le Tate Modern propose gratuitement expositions et manifestations autour de l’art contemporain. Mais il constitue aussi un point d’observation majeur de la capitale britannique. Le 10eétage du Blavatnik Building comporte une terrasse panoramique ouverte sur les toits de la ville. De là, on peut observer les plus hauts immeubles de Londres, dont the Shard, situé à quelques minutes seulement du musée. De plus, la terrasse offre une vue imprenable sur les rives de la Tamise, le millenium Bridge et la cathédrale Saint-Paul.  À lire aussi : Week-end à Londres : 6 lieux insolites à connaître Read the full article
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veloelectriqueeurope · 7 months
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À la découverte des quartiers bohèmes de Saint-Gilles et d'Ixelles en fatbike électrique
Place Flagey : Un point de départ emblématique
La Place Flagey, véritable carrefour culturel de Bruxelles, s'anime au gré des artistes et des passionnés qui la fréquentent. Entourée de cafés animés et de bâtiments historiques, cette place emblématique est le point de départ idéal pour une exploration électrisante à travers les quartiers bohèmes de Saint-Gilles et d'Ixelles.
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Dans cette région animée, l'Avenue Louise se déploie majestueusement, offrant un mélange éclectique de boutiques de créateurs, de galeries d'art et de cafés branchés. Les cyclistes électriques peuvent déambuler le long de cette artère, imprégnant l'atmosphère artistique qui caractérise cette partie de la ville.
À la découverte de l'art urbain : Maison Horta et Parvis de Saint-Gilles
La Maison Horta, chef-d'œuvre de l'architecture Art Nouveau, est un incontournable de votre escapade. Nichée dans les ruelles sinueuses d'Ixelles, cette demeure emblématique témoigne du génie créatif de Victor Horta. En explorant ses lignes organiques et ses détails complexes, les visiteurs sont transportés dans l'âge d'or de l'art et de la culture à Bruxelles.
À proximité, le Parvis de Saint-Gilles offre un éventail éclectique d'expression artistique. Des fresques murales vibrantes aux installations artistiques surprenantes, ce lieu dynamique témoigne de la vitalité de la scène artistique locale. En flânant à vélo électrique le long de ces rues animées, les voyageurs sont invités à découvrir les multiples facettes de la culture alternative qui anime ce quartier.
Expérience culinaire à la Friture René
Après une journée riche en découvertes, une pause gourmande s'impose à la Friture René. Nichée dans les ruelles pittoresques d'Anderlecht, cette institution culinaire régalera les papilles des plus gourmets. Avec son ambiance conviviale et son menu traditionnel, la Friture René offre une immersion authentique dans la cuisine bruxelloise. Les cyclistes affamés peuvent savourer des plats emblématiques tels que les moules, l'américain préparé et une sélection de bières locales, dans un cadre chaleureux et accueillant.
Actualités : Musée des Égouts
En parlant d'expériences insolites, le Musée des Égouts mérite une mention spéciale. Niché sous les rues animées de Bruxelles, ce musée fascinant offre un aperçu unique du monde souterrain de la ville. Avec ses visites guidées informatives, les visiteurs peuvent explorer les couloirs labyrinthiques des égouts et découvrir l'histoire fascinante de leur création. Une expérience inoubliable pour les curieux en quête de découvertes originales à Bruxelles.
Dans cette exploration à vélo électrique à travers les quartiers bohèmes de Saint-Gilles et d'Ixelles, les voyageurs sont invités à se perdre dans les ruelles pittoresques, à s'imprégner de l'art urbain dynamique et à savourer les délices culinaires locaux. Une escapade électrisante au cœur de la capitale belge, où chaque coin de rue révèle un nouveau trésor à découvrir.
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