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Berthe Morisot (1841-1895, French) ~ Apollon révélant sa divinité à la bergère Issé, d’après François Boucher, 1892
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Ambiguous REDRAW p1
Hello Everyone ! Happy new year !! I'm back with a "new" comic to start the new year !
For the ones that have been following me for a while, you will recognise this comic ! It is a redraw of a very old comic that I did back in the day, during my Wakfu era. It was incredibly fun to revisit it, seeing all my progress.
Thank you for sticking around, I hope you'll enjoy this one o/
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Yvette Élodie Issé Auclaire : A Week
{ 1 } hair // necklace // dress // stockings // boots // { 2 } hair // bow // earrings // necklace // top // skirt // leg warmers // uggs // { 3 } hair // glasses // earrings // top // skirt // leg warmers // shoes // { 4 } hair // glasses // necklace // earrings // dress // leg warmers // shoes // bag // { 5 } hair // hat // earrings // necklace // outfit // shoes // bag // { 6 } hair // headphones // necklace // outfit // heels // bag // ty to all the creators !!@charonlee @serenity-cc @eggu-sims @madlensims @rimings @dansimsfantasy @saruin @arethabee @sunberry @simpliciaty-cc @antosims @dallasgirl79 @kikiw-sims @babyetears @korkassims @cheng-chih @simgirlz @vyxen @nightcrawler-sims @theevyxen @jellymoo @s-club-tbr @sonyasimscc @loreleisims @greenllamas
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Esquel, petite pause bien méritée 😌
Hola todos,
Après le spectacle fabuleux de la Cueva de Las Manos, nous avons mis le cap en direction d’Esquel avec l’idée d’y séjourner 2-3 jours. Nous avons trouvé une cabaña incroyable, si confortable qu’elle nous a même poussé à prolonger le séjour. En tout, nous avons passé 5 jours sur place.
Esquel c’est un petit havre de paix entouré de montagnes avec un paysage très vert. On avait la vague impression de retrouver la Haute-Savoie et nous n’aurions pas été surpris de trouver le Mazot de Charles au détour d’une ruelle.
Durant nos quelques jours sur place nous avons été nous balader dans les environs de la ville, nous avons enfin dégusté la viande Argentine si réputée pour ses saveurs (sans surprise, elle était excellente) et nous avons été au Parque Nacional Los Alceres qui offre de sublimes randonnées au bord d’un lac bordé de montagnes. En bref, un séjour très doux, reposant et qui nous en a mis plein les mirettes une fois de plus.













Après Esquel nous avons repris la route et nous avons fait une pause d’une nuit à San Carlos de Bariloche. On nous avait décrit la ville comme étant la Suisse de l’Argentine mais, honnêtement, je n’ai pas du tout eu cette impression. Pour accéder au cœur de la ville il faut d’abord traverser un véritable bidonville (ici ils appellent ça « villas ») dans lequel nous avons pu être confronté à la vraie misère que subit le pays depuis la crise économique. Si le centre-ville et la partie plus huppée de la ville servent de cache misère, nous n’avons cependant pas eu l’impression d’être au milieu d’un environnement suisse, plutôt réputé pour sa richesse, ses montres et son chocolat. L’énorme différence entre la partie pauvre et la partie plus riche de la ville nous a néanmoins donné cette petite claque nécessaire, celle qui nous rappelle notre chance d’être deux touristes européens plutôt aisés. La ville est assez sujette aux vols et cela n’a rien d’étonnant, nous nous sentions un peu coupables en déambulant dans les rues touristiques du centre, gavées de gringos venus dépenser leur argent. Nous sommes repartis avec un goût un peu amer en bouche, même si nous avons passé une super soirée en amoureux avant le départ. Point important cependant, nous avons vu notre tout premier Gauchito Gil, une figure sainte pour les argentins. Plusieurs histoires ont fait sa légende mais certains miracles après sa mort l'ont issé au rang de divinité.

Nous sommes désormais en direction de Mendoza, les températures remontent peu à peu et c’est à nouveau agréable de dormir en tente. Nous avons fait une halte près d’une jolie rivière cette nuit.




Nous sommes actuellement dans un petit bled perdu appelé Zapla. Charles est tombé un peu malade, il a une vilaine crève, on a donc pris une cabaña pour qu’il puisse se reposer ! Il sera sûrement sur pieds demain, il se sent déjà mieux après une bonne douche chaude.
Je vous tiens au courant de la suite !
Besitos,
Luna
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André-Cardinal Destouches (1672 - 1749) - Issé, pastorale héroïque (extraits)
Ensemble Les Surprises Louis-Noël Bestion de Camboulas, direction
Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles Olivier Schneebeli, direction
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"Apollon Révélant sa Divinité à la Bergère Issé" de Berthe Morisot d'après François Boucher (1892) à l'exposition "Berthe Morisot et l'Art du XVIIIe siècle" au Musée Marmottan Monet, Paris, février 2024.
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Berthe Morisot, Apollon Révélant sa Divinité à la Bergère Issé (after François Boucher)
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François Boucher, 1703-1770
Apollon révélant sa divinité à la bergère Issé, 1750, huile sur toile, 129x157 cm
Musée des Beaux-Arts (Tours), Inv. 1794-1-1
* Le thème des amours d’Apollon et Issé emprunté aux Métamorphoses d’Ovide (VI, 124) connut un très vif succès dès les premières années du 18ème siècle, grâce à L’Opéra Issé, créé en 1697 par André Cardinal Destouches sur un livret d’Antoine Houdar de la Motte. L’Opéra fut joué pour la première fois à Fontainebleau devant la Cour le 7 octobre 1697, mais la première représentation officielle eut lieu à Trianon le 17 décembre suivant en l’honneur du mariage du duc de Bourgogne et de Marie-Adélaïde de Savoie. Cette pastorale fut par la suite représentée de multiples fois et fut considérée comme le chef-d’œuvre du genre.
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~ Among the successful compositions of the Parisian André Cardinal Destouches, we find Issé, pastoral héroïque, whose libretto was written by La Motte in 1697. In the eighteenth century, in the main parts of the god Apollo and the shepherdess Issé, two of the nobles more known of the time: the Viscount of Rohan and the Marquise of Pompadour. This context was also inspiration for the canvas by François Boucher which represented in 1750 the moment when Apollo revealed his divine nature to Issé, in this canvas preserved in the Musée des Beaux-Arts de Tours. ~
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et la deuxième partie avec Claude et Michel de l’Île du Don
https://www.youtube.com/watch?v=-rUTCpRjt-w
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The Mission p2
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Yvette Élodie Issé Auclaire 💗
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Pallas et Arachné (VI, 1-145)
Pallas avait écouté ce récit et ces chants; elle avait approuvé la vengeance des neuf Sœurs : “Mais ce n'est pas assez de louer, dit-elle ensuite en elle-même; je dois mériter d'être louée à mon tour, et ne pas souffrir qu'on méprise impunément ma divinité”. Alors elle se rappelle l'orgueil de la lydienne Arachné, qui se vante de la surpasser dans l'art d'ourdir une toile savante. Arachné n'était illustre ni par sa patrie, ni par ses aïeux : elle devait tout à son art. Natif de Colophon, Idmon, son père, humble artisan, teignait les laines en pourpre de Phocide. Née dans un rang obscur, assortie à cet époux vulgaire, sa mère n'était plus. Cependant, malgré son origine, et quoiqu'elle habitât la petite ville d'Hypaepa, Arachné, par son travail, s'était fait un nom célèbre dans toutes les villes de la Lydie.
[14] Souvent les Nymphes de Tmole descendirent de leurs verts coteaux; souvent les Nymphes du Pactole sortirent de leurs grottes humides pour admirer son art et ses travaux. On aimait à voir et les chefs-d'œuvre qu'elle avait terminés, et les trames que sa main ourdissait encore avec plus de grâce et de légèreté.
Soit qu'elle trace à l'aiguille les premiers traits; soit qu'elle dévide la laine en globes arrondie; soit que, mollement pressés, de longs fils s'étendent imitant, par leur blancheur et leur finesse, des nuages légers; soit que le fuseau roule sous ses doigts délicats; soit enfin que l'aiguille dessine ou peigne sur sa trame, on croirait reconnaître l'élève de Pallas. Mais Arachné rejette cet éloge. Elle ne peut souffrir qu'on lui donne pour maîtresse une immortelle : “Qu'elle ose me disputer le prix, disait-elle ! si je suis vaincue, à tout je me soumets”.
[26] Pallas irritée prend les traits d'une vieille. Quelques faux cheveux blancs ombragent son front, et sur son bâton elle courbe une feinte vieillesse.
Elle aborde Arachné, et lui tient ce discours : “On a tort de mépriser et de fuir les vieillards. L'expérience est le fruit des longues années. Ne rejetez pas mes conseils. Ayez, j'y consens, l'ambition d'exceller parmi les mortelles, dans votre art; mais cédez à Pallas. Invoquez l'oubli de votre orgueil téméraire, de vos superbes discours, et la déesse pourra vous pardonner”.
[34] Arachné jette sur elle un regard irrité. Elle quitte l'ouvrage qu'elle a commencé, et retenant à peine sa main prête à frapper, et la colère qui anime ses traits : “Insensée, dit-elle à la déesse qu'elle ne reconnaît pas, le poids de l'âge qui courbe ton corps affaiblit aussi ta raison. C'est un malheur pour toi d'avoir vécu si longtemps. Que ta fille, ou ta bru, si tu as une fille, si tu as une bru, écoutent tes leçons. Je sais me conseiller moi-même; et, pour te convaincre que tes remontrances sont vaines, apprends que je n'ai point changé d'avis. Pourquoi Minerve refuse-t-elle d'accepter mon défi ? pourquoi ne vient-elle pas elle-même me disputer le prix ?”
“Elle est venue” ! s'écria la déesse : et soudain, dépouillant les traits de la vieille, elle lui montre Pallas. Les Nymphes la saluent. Les femmes de Lydie s'inclinent avec respect devant elle. Arachné seule n'est point émue; elle rougit pourtant. Un éclat subit a teint involontairement ses traits, et s'est bientôt évanoui, pareil à l'air qui se teinte de pourpre au lever de l'Aurore, et qu'on voit blanchir aux premiers feux du jour.
[50] Emportée par le désir d'une gloire insensée, elle persiste dans son entreprise, et court à sa ruine. La fille de Jupiter accepte le défi; et renonçant à donner des conseils inutiles, elle s'apprête à disputer le prix. Aussitôt l'une et l'autre se placent de différents côtés. Elles étendent la chaîne de leurs toiles, et l'attachent au métier. Un roseau sépare les fils. Entre les fils court la navette agile. Le peigne les rassemble sous ses dents, et les frappe, et les resserre. Les deux rivales hâtent leur ouvrage. Leurs robes sont rattachées vers le sein. Leurs bras se meuvent avec rapidité; et le désir de vaincre leur fait oublier la fatigue du travail.
[61] Dans leurs riches tissus, elles emploient les couleurs que Tyr a préparées; elles unissent et varient avec art leurs nuances légères : tel brille, en décrivant un cercle immense dans la nue, cet arc que de ses rayons le soleil forme sous un ciel orageux; il brille de mille couleurs : mais l'œil séduit n'en peut saisir l'accord imperceptible, et séparer les nuances, qui semblent en même temps se distinguer et se confondre. Telle est la délicatesse de leur travail. Sous leurs doigts, de longs fils d'or s'unissent à la laine, et sur leurs tissus elles représentent des faits héroïques.
[70] Pallas peint sur le sien le rocher de Mars, et le différend qu'elle eut avec Neptune sur le nom que porterait la ville de Cécrops. Les douze grands dieux sont assis sur des tr��nes élevés; ils brillent de tout l'éclat de l'immortalité. Leurs traits indiquent leur rang et leur grandeur. Au milieu d'eux, Jupiter porte sur son front la majesté suprême du monarque de l'univers. Neptune est debout. Il frappe le rocher de son trident, et de ses flancs ouverts s'élance un coursier vigoureux. C'est par ce prodige qu'il prétend au droit de nommer cette antique contrée. La déesse se peint elle-même, armée de sa lance et de son bouclier. Le casque brille sur sa tête, et la redoutable égide couvre son sein. De sa lance elle frappe la terre, qui soudain produit un olivier riche de son feuillage et de ses fruits. Les dieux admirent; et Pallas, par sa victoire, termine la dispute, et couronne son travail.
Mais afin que sa rivale apprenne, par l'exemple, ce qu'elle doit attendre de son audace insensée, elle représente dans les angles de son tissu quatre combats pareils. Les figures sont beaucoup moins grandes; mais elles ont toutes le caractère qui leur est propre, et l'œil les distingue facilement.
[87] Ici la déesse peint Hémus, roi de Thrace, et Rhodope, son épouse, qui, dans leur fol orgueil, osèrent prendre les noms de Jupiter et de Junon. Autrefois souverains, ils sont aujourd'hui deux monts couronnés de frimas.
Là, elle représente le destin déplorable de la reine des Pygmées. Elle avait osé défier l'épouse du maître des dieux. Changée en grue, elle est condamnée à faire la guerre à ses sujets.
Plus loin, elle trace l'aventure d'Antigone, qui avait eu l'audace de se comparer à Junon. Ni les murs d'Ilion, ni Laomédon, son père, ne purent la garantir du courroux de la déesse; et, changée en cigogne, elle est encore vaine de la blancheur de son plumage.
Dans le dernier coin du tissu on voit le malheureux Cyniras embrassant, dans les marches d'un temple, ses filles, ainsi métamorphosées par Junon. Il est étendu sur le marbre, et semble le baigner de ses pleurs.
[101] Minerve borde enfin ce tissu de rameaux d'olivier. Tel est son ouvrage : elle le termine par l'arbre qui lui est consacré.
Arachné peint sur sa toile Europe enlevée par Jupiter. L'œil croit voir un taureau vivant, une mer véritable. La fille d'Agénor semble regarder le rivage qui fuit; elle semble appeler ses compagnes, et craindre de toucher, d'un pied timide, le flot qui blanchit, gronde, et rejaillit à ses côtés.
Elle peint Astérie résistant, mais en vain, à l'aigle qui cache Jupiter; Léda, qui, sous l'aile d'un cygne, repose dans les bras de ce dieu; ce dieu, qui, sous les traits d'un satyre, triomphe de la fille de Nyctéus [Antiope] et la rend mère de deux enfants; qui trompe Alcmène sous les traits d'Amphytrion; qui devient or avec Danaé, feu pur avec Égine, berger pour Mnémosyne, et qui, serpent, rampe et se glisse aux pieds de la fille de Déo.
[115] Et toi, Neptune, aussi, elle te peint auprès de la fille d'Éole, sous les traits d'un taureau. Tu plais à la mère des Aloïdes, sous la figure du fleuve Énipée; faux bélier, tu trompes Bisaltis; coursier fougueux, tu triomphes de la déesse des moissons; mère du cheval ailé, Méduse, aux cheveux de serpent, t'aime sous la forme d'un oiseau, et Mélantho, sous celle d'un dauphin.
Elle donne aux personnages, elle donne aux lieux les traits qui leur conviennent. On voit Apollon prendre un habit champêtre, ou le plumage d'un vautour, ou la longue crinière d'un lion; enfin, sous les traits d'un berger, il séduit Issé, fille de Macarée. Arachné n'a point oublié Érigone abusée, qui presse Bacchus caché dans un raisin; ni Saturne, qui bondit en coursier près de Phylire, et fait naître le centaure Chiron. L'ouvrage est achevé; la toile est ornée d'une riche bordure, où serpente en festons légers le lierre entrelacé de fleurs.
[129] Pallas et l'Envie n'y pourraient rien reprendre. La déesse, qu'irrite le succès de sa rivale, déchire cette toile, où sont si bien représentées les faiblesses des Dieux; et de la navette que tient encore sa main, elle attaque Arachné, et trois fois la frappe au visage. L'infortunée ne peut endurer cet affront; dans son désespoir, elle court, se suspend, et cherche à s'étrangler. Pallas, légèrement émue, et la soutenant en l'air : “Vis, lui dit-elle, malheureuse ! vis : mais néanmoins sois toujours suspendue. N'espère pas que ton sort puisse changer. Tu transmettras d'âge en âge ton châtiment à la postérité”.
Elle dit, et s'éloigne, après avoir répandu sur elle le suc d'une herbe empoisonnée. Atteints de cet affreux poison, ses cheveux tombent, ses traits s'effacent, sa tête et toutes les parties de son corps se resserrent. Ses doigts amincis s'attachent à ses flancs. Fileuse araignée, elle exerce encore son premier talent, et tire du ventre arrondi qui remplace son corps les fils déliés dont elle ourdit sa toile.
sources :
texte fondateur : https://bcs.fltr.ucl.ac.be/META/06.htm
gif : @teded
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Decouverte du patrimoine de Tokushima a la Maison de l UNESCO

©TokyoatParis
Le département de Tokushima n’est pas connu que pour l’un des matsuri les plus célèbres du Japon, l’Awa Odori. Il est aussi le berceau d’une gastronomie riche et de bien d’autres patrimoines culturels comme naturels à découvrir en toutes saisons.
Je vous présentais la semaine dernière un aperçu du patrimoine culturel de Tokushima à travers le Ningyô Jôruri d’Awa. De cette même région, est issu l’Awa Odori, raison pour laquelle la région est très prisée des touristes en août, mais c’est aussi dans cette région qu’est né le bleu d’Awa, ou ai-zome le fameux bleu indigo japonais. Les touristes de passage dans cette région peuvent même participer à des ateliers pour faire soi-même la teinture indigo.

Objets en bleu indigo d’Awa présentés à la Maison de l’UNESCO ©TokyoatParis

©TokyoatParis
Tokushima c’est aussi une découverte spirituelle à travers le pèlerinage des 88 temples de Shikoku dont le département abrite plus d’une vingtaine de temples.

La marinade de crabe par la cheffe Masayo Hashimoto ©TokyoatParis
Côté gastronomie, ce sont les agrumes qui semblent être les spécialités de cette région, en attestent trois recettes de dégustation proposées avec des produits de Tokushima, tous réalisées par la cheffe du restaurant Momoka (Paris 9ème), Masayo HASHIMOTO : une marinade de crabe mou et Naruto wakame à la gelée de Tosazu (à base de vinaigre de riz et de bouillon dashi) -et que je n’ai pas goûté en raison d’intolérance aux crustacés, un chirashi au parfum de Sudachi (une sorte de mini citron vert), et un wagyu à la sauce yuzurikko accompagné de truffe.

Le chirashi par la cheffe Masayo Hashimoto ©TokyoatParis

Le wagyu sauce yuzurikko par la chef Masayo Hashimoto ©TokyoatParis
Mon coup de coeur allait vers ce dernier, un vrai délice et puis généreux en truffe ! La sauce yuzurikko est une sorte de pâte de miso au yuzu donnant une légère acidité et un goût sucré et qui accompagnait parfaitement le plat. Et il semble que cette sauce soit vendue chez Workshop Issé !

La pate yuzurikko est en vente chez Issé d’après l’étiquette au dos du produit ©TokyoatParis
Je suis sûre que cette sauce saurait parfaitement agrémenter un simple bol de riz. Outre ces ingrédients, Tokushima a certaines spécialités culinaires comme le râmen qui a pour particularité dans cette région d’être servi avec un oeuf cru à diluer. Vous pouvez aussi y trouver le Minami Awa Don, le Hirara yaki (sorte de pierrade) ou encore des pâtisseries à base de patate douce ou Naruto Kintoki.

Les trois saké présentés à la Maison de l’UNESCO ©TokyoatParis
Quand on parle de gastronomie japonaise, on ne peut pas ne pas parler de nihonshu ! Trois sakés ont été proposés durant cette dégustation à la Maison de l’UNESCO, dont un Junmai (Narutotai Junmai Genshu Mizu to Kome), qui a obtenu une médaille de platine à Kura Master 2019 ! Ce n’est néanmoins pas mon préféré, mon coup de coeur allant vers le Junmai Daiginjyo appelé Ayane de chez Miyoshikiku Shuzo. A ceux qui se poseraient la question : oui, le Salon du Saké approche à grands pas (c’est ce week-end !), mais a priori non, il n’y aura pas spécifiquement de saké de Tokushima. Mais peut-être en trouverez-vous sur un des stands de distributeurs ?
Tokushima se trouvant à 1h30 d’avion depuis Tôkyô Haneda, ou à un peu plus de 4h en Shinkansen et trains rapides depuis Ôsaka, il n’y a aucune raison de ne pas s’y rendre ! Il existe en plus de nombreux patrimoines naturels à découvrir. Peut-être avez-vous relevé que je parlais de Naruto wakamé ? Il s’agit d’algues de Naruto, non pas comme le célèbre personnage de manga mais plutôt comme la ville éponyme où se trouve le tourbillon de Naruto (Naruto no Uzushio) ! C’est un phénomène naturel observable depuis une plateforme passant au-dessus ou depuis un bateau. Parmi de nombreuses choses à visiter, il se trouve à l’opposé de Naruto la vallée d’Iya qui devrait faire le bonheur des randonneurs et où se trouvent également les gorges d’Oboke. Oboke Iya est en prime une station de onsen avec des ryokan pour vous héberger et ainsi profiter non seulement de visiter et profiter du paysage mais aussi de vous relaxer après une bonne journée de visite dans un bain. Personnellement, c’est là que j’irai si un jour j’ai l’occasion de visiter Tokushima.
Pour en savoir plus sur Tokushima (en anglais), cliquez ici.
Remerciements à Pasona Noentai
Toute reproduction interdite sans mention de la source et du copyright.
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@isseizakaya #foodporn #instafood #foodparis #parisfood #instaparis #karaage #edamame #izakaya #japanesefoodporn #korokke #japanesefoods #paris (à Izakaya Issé) https://www.instagram.com/p/B0Eqn8lIKZW/?igshid=1ot45wznrdbdo
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