La Grande Corniche
Non, il ne s’agit pas de la Grande Corniche au-dessus de Nice, même si les parents de Tim l’ont parcourue en moto en juillet 1952. Il s’agit de la corniche d’une grande armoire qu’un ami a dénichée et proposée à Tim: 2m65 de haut, la bête est de taille!
Comme toute armoire un peu ancienne qui se respecte, elle est pourvue d’une corniche amovible mais pas si légère que ça. Au moment d’emporter…
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But I'm a Cheerleader (1999)
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Souvent -, le soir, on entend un chant très pur et l’on pense à la mort d’une cantatrice, car cette voix qui chante expire avec la provenance de la nuit : c’est la fin de l’été, dans un pays de montagne. L’air est vif et sec. Au tiers de la pente, on domine une très vaste plaine qui repose, visible jusqu’à ses confins, dans la clarté du soir. Le vent s’élève de l’ombre, franchit l’herbe qu’il ploie et le feuillage des arbres. Il passe à la lumière qui se retire vers le haut. Il fait l’obscurité qui gagne. C’est pourquoi la voix chante que la nuit est proche - à moins que ce ne soit l’inverse et qu’elle n’annonce que la nuit va cesser et qu’il faut prendre garde.
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Un vértigo puede sobrevenir, no adviene. O mejor, en su interior nada adviene. Es el puro suspenso del advenir: cesura o síncopa. Esto es lo que quiere decir «tener una ausencia». Lo que queda suspendido, en espera, inclinándose repentinamente a la extrañeza, es la presencia del presente (el ser-presente del presente). Y lo que adviene entonces, sin advenir (pues así es lo que, por definición, no puede advenir), es –sin ser– la nada: lo «ningún ente» (ne-es). El vértigo es una experiencia de la nada: del (no) advenir, «propio» como dice Heidegger, de la nada. Como en cualquier experiencia, no hay en ella una «vivencia», porque toda experiencia es experiencia de la nada. Y el vértigo lo es, en igual medida que la angustia descrita por Heidegger, o la risa de Bataille. O el fulgurante reconocimiento del amor. Lo es, en realidad, como lo son todas las experiencias –infinitamente paradójicas, «imposibles»– de la muerte: de la desaparición del presente. Lo doloroso aquí, es tener que recordar que Celan eligió darse muerte (el infinito más finito de la dádiva) arrojándose a las aguas del Sena.
—Philippe Lacoue-Labarthe, «I. Dos poemas de Paul Celan» en La poesía como experiencia. Traducción de José Francisco Megías.
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Philippe Lacoue-Labarthe, La melodia ossessiva
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Déboires, suspense et fin mot
Déboires, suspense et fin mot
Vous savez par notre précédente publication que nous attendions une réponse rapide de la SAFER: nous avions opté pour une procédure accélérée de 72 heures au lieu des deux mois réglementaires, moyennant finances (700€) et avec un accord de principe de l’organisme auprès de l’agent immobilier. En fait, l’office notarial a mis plus de temps que nous ne pensions pour leur envoyer la demande…
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Cinéastes de notre temps: Le dinosaure et le bebé. Dialogue en huit parties entre Fritz Lang et Jean-Luc Godard (André S. Labarthe, 1967)
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