#André S Labarthe

[365filmsbyauroranocte]

Cinéastes de notre temps: Le dinosaure et le bebé. Dialogue en huit parties entre Fritz Lang et Jean-Luc Godard (André S. Labarthe, 1967)

[gouldblogger]

Sylvie Guillem for Raymonda, from Sylvie Guillem at Work (1987) directed by André S. Labarthe.

[byneddiedingo]

Anna Karina in Vivre Sa Vie (Jean-Luc Godard, 1962)

Cast: Anna Karina, Sady Rebbot, André S. Labarthe, Guylaine Schlumberger, Gérard Hoffman, Monique Messine. Paul Pavel, Dimitri Dineff, Peter Kassovitz, Eric Schlumberger, Brice Parain. Screenplay: Jean-Luc Godard. Cinematography: Raoul Coutard. Film editing: Jean-Luc Godard, Agnès Guillemot. Music: Michel Legrand.

The essential tension of Vivre Sa Vie comes from Jean-Luc Godard's dry intellectual detachment and self-conscious filmmaking set against his exquisitely passionate involvement with Anna Karina. It shows itself at the very beginning, when Godard gives us almost a mug shot treatment of Karina's face -- frontal, right profile, left profile -- and then follows with an extended scene that features only the back of her head. And it continues through to the end in which Edgar Allan Poe's story about an artist who sucks the life out of his beloved by painting her portrait foreshadows the death of Karina's character, Nana. On one level, the film posits art as the enemy of life, while on the other, art becomes a source of life. In the latter case, I'm thinking of the celebrated scene in which Nana is brought to tears by watching Renée Falconetti in The Passion of Joan of Arc (Carl Theodor Dreyer, 1928). It can be argued that Nana identifies with Joan as a fellow martyr: Joan to her faith in God, Nana to her faith in herself -- viz., the speech in which she claims "responsibility" for everything she does. Vivre Sa Vie is full of such intellectual puzzles, including the extended conversation between Nana and the philosopher Brice Parain. But it's Karina's performance that lifts the film out of the thicket of mid-century existentialism that it threatens to become ensnared by. She makes Nana one of the essential characters not just of the French New Wave but of the entire history of movies.

[tippytopoftrees]

"Taxi Driver mis en pièces par Martin Scorsese" (1995) André S. Labarthe

[lemagcinema]

L'Amour fou: Chef-d'oeuvre post-68 de Rivette

Un film de Jacques Rivette Avec: Bulle Ogier, Jean-Pierre Kalfon, Josée Destoop, Celia, André S. Labarthe, Dennis Berry, Maddly Bamy, Étienne Becker, Yves Beneyton, Liliane BordoniSébastien, metteur en scène de théâtre, vit avec Claire, comédienne. Il monte Andromaque de Racine, elle doit y jouer le rôle d’Hermione. Mais durant les répétitions, un conflit les oppose et Claire quitte soudainement le théâtre. Tandis que Sébastien décide de faire appel à Marta, son ancienne épouse, pour la remplacer, Claire sombre dans le désespoir.

Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/films/top/lamour-fou-chef-doeuvre-post-68-de-rivette/

[philippebresson]

Cher Monsieur Dolan,

J'entends votre fatigue, et vous avez évidemment le droit de renoncer (un temps ?) au cinéma. Mais l'argument que vous avancez ne tient pas la route du tout ; certes "un film projeté devant une salle vide n'existe pas", disait à raison André S. Labarthe. Mais un film projeté devant dix spectateurs dont un au moins est touché et peut-être à jamais, existe bel et bien. C'est navrant de vous entendre dire que presque personne n'a vu vos derniers films, au prétexte qu'ils n'ont pas rencontré un succès phénoménal comme ce fut le cas pour les précédents.

"Je n’ai plus l’envie ni la force de m’engager dans un projet pendant deux ans pour que presque personne ne le voie. J’y ai mis trop de passion pour être aussi déçu..." (X. Dolan)

"Dans un monde qui s'écroule, l’art ne sert à rien", dites-vous encore, et vous rajoutez que vous allez faire de la publicité ? Je ne vous suis pas bien là, cher Xavier Dollars, Dolan, pardon ! Ma langue a fourché...

Je repense à cette phrase de Marcel Duchamp : "L'art n'est pas quelque chose qui vaut de l'argent, il se définit par le choix du créateur". Et puis à celle-ci aussi, de ce cher Oscar Le Sauvage (Wilde) : "Le cynisme c'est connaître le prix de tout et la valeur de rien". Pourquoi je vous dis ça ? Disons que je dis ça comme ça. Je dis ça, je dis (pas) rien.

Au plaisir de voir un jour - et d'en être à nouveau bouleversé - un film inédit signé Dolan dans une salle de cinéma, fût-elle un mouchoir de poche.

P. B.

[seviqny]

vivre sa vie (1962)

[already-14]

[orpheusz]

[inthemoodforportnawak]

Stéphane Lavoué - Pasco and Co

[365filmsbyauroranocte]

Cinéastes de notre temps: Le dinosaure et le bebé. Dialogue en huit parties entre Fritz Lang et Jean-Luc Godard (André S. Labarthe, 1967)

[schizografia]

Osservate i volti di Cauchon, di Massieu, di Loyseleur ecc. che Dreyer contrappone al volto di Jeanne. Non sono controcampi, sono specchi. Il che, probabilmente, spiega il modo curioso con cui le inquadrature sono articolate fra di loro. Il solo controcampo possibile per il volto di Jeanne, per questo sguardo nel vuoto, è lo spettatore. Godard lo ha capito, come ha capito che opporre il volto di Falconetti a quello di Karina significava mettere in evidenza l’ultimo grande asse che un montaggio degno di tal nome dovrebbe prendere in considerazione: quello che permetterà allo spettatore di dare un senso al suo film.

André S. Labarthe

[mycinematheque]

[lentecreativo]

[theprojectionroom]

Between Dog and Wolf: John Ford (André S. Labarthe, 1965)