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#Le marché aux fleurs de la Madeleine
unjouruntableau · 4 months
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Louis Marie de Schryver, Le marché aux fleurs de la Madeleine, 1891.
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blueiscoool · 2 years
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Eugène Galien-Laloue Le Marché aux fleurs de la Madeleine
Signed E. Galien-Laloue (lower left). Watercolor and gouache heightened with white on card. Sheet: 18 by 32 cm. Framed: 40 by 52 cm.
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mote-historie · 11 months
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Dessin de Bocly, Colette et J. Dory, Le Marché aux Fleurs de la Madelein ..., Creation Madeleine Premet, Art Gout Beaute: Feuillets de l'élégance féminine, January 1924.
Bilboquet. - Petite Robe de Visite en velours noir, borde de crepe de Chine et incrustation de drap rouge.
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bestmark3ting · 5 years
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Paris, France 🇨🇵 Flower market - Queen Elisabeth II ▶️¡L’Île de la Cité esconde numerosas sorpresas! En la place Louis Lépine, entre la catedral Notre-Dame de Paris y la Sainte-Chapelle, el marché aux fleurs (mercado de flores) acoge a los aficionados de botánica y a los curiosos desde 1830. A la vez cubierto y descubierto, el mercado se compone de pabellones de la época 1900. La selección es amplia: flores de estación, flores exóticas, orquídeas, plantas, arbustos… Un lugar de paseo ideal, insólito y atractivo. Otros 2 mercados de flores en París: place de la Madeleine (8 h - 19 h 30 todos los días excepto el domingo) y place des Ternes (8 h - 19 h 30 todos los días excepto el lunes). 🔸 🔸 ▶️✈️Le sugerimos que nos siga y utilice nuestro hashtag #playviajar su publicación podrá ser mencionada, y será incluida en nuestra galería.❤️ 🔸 🔸 🔸 🔸 Do you like this post? 🅵🅾️🅻🅻🅾️🆆 🆄🆂 . ▶️Follow us! more destinations in @playviajar ▶️¡Síguenos! más destinos en @playviajar ▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️▶️ #garden #flower #market #mercado #paris #flores #marche #fleurs #flowers #nature #travel #fiori #photography #naturaleza #цветы #beautiful #newyork #primavera #çiçekler #france #jardin #love #wolken #green #flor #mercat #paysage #instagood (at Marché aux fleurs Reine Elizabeth II) https://www.instagram.com/p/B8bQFSwq5V_/?igshid=wtk7zzzxzhx2
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rouelibre · 5 years
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#6 La femme Orangina
#6 La femme Orangina
ça avait commencé comme une journée normale. Elle s'était tirée du lit à grands renforts d'autos récompenses, décontenancée par ses pointes de cheveux qui rebiquaient, vestiges d'un sommeil écrasant contre l'oreiller moelleux. Le nez bouché et la face grise, elle achemina son grand corps dans la cuisine où la cafetière italienne l'attendait. Entre deux baîllements l'objet en inox était sur la plaque, prêt à gourgousser lorsque l'eau aurait atteint son optimum de chauffe. Dehors le jardin se révélait sous les lueurs du jour, on ne devinait plus les outils de jardin en désordre, la table couverte de miettes, le chien qui sommeillait au pied du teck. Sans un regard pour les préciosités matinales d'une nature morte, elle s'habilla s'une jupe orange et d'un débardeur blanc, avala à la hâte ses céréales dans un silence d'éveil et s'enfuit dans la rue fleurie, slalomant entre les voitures pressées. son chemin était tortueux mais même de bon matin il avait l'avantage d'offrir une mosaique colorée d'odeurs , de sons et de vues différentes. D'abord, la descente du chemin , une route un peu défoncée avec du goudron morcelé et des ralentisseurs desservant quelques chiens mal léchés à l'affût d'une bonne roue de vélo à se faire.  De chaque côté, des marmailles accompagnés de tantines, sprintant déjà avec leur sac à dos vissé sur les épaules, les tantines leur apportant les dernières recommandations de la journée ( "On écoute la maîtresse, on crie pas, on ne tape pas, on ne dit pas de gros mots. Et puis, donne la main à ton frère). On alterne entre paquets humains pressés et toisons végétales foisonnantes. Des bougainvilliers roses et blancs, parfois jaunes si on savait y poser l'oeil, des jacarandas ployant sous le poids des fleurs, des alamandas jaunes canari invitant les oiseaux à se faire des confidences. Elle respira à pleins poumons ; un court instant de répit respiratoire avant de tomber sur la zone des bouchons. A cette pensée son coeur se serra un peu. Non pas qu'elle avait peur des voitures, mais cette lourdeur des gaz d'échappement mêlés à la poussière, à l'odeur de cigarette émanant des voitures vitres ouvertes, et ce soleil qui tapait déjà achevaient de lui prédire une arrivée au travail avec une peau dejà plus très fraîche. En quittant la pente elle traversa la zone industrielle, croisant plusieurs camions chargés prêts à livrer leur cargaison matinale, s'ébrouant de leur diesel réveillé tôt, avant le jour. La zone de bouchons commençait  à  s'étirer devant elle, elle freina un coup. Jusqu'au gros rond point du bas, elle avala les doublons de véhicules, lassée de ce chemin quotidien avec des airs de déjà vu, elle avait commencé à élaborer ses statistiques journaliers. 150m  de file . 35 voitures 26 personnes en train de téléphoner ou taper un SMS en conduisant 14 voitures avec un pot d'échappement défectueux qui lui déversaient en pleine figure des particules et lui brouillaient le teint. 7 hommes qui tournaient la tête sur son passage. 3 qui l'ont sifflée. Elle avait arrrêté de compter les boites burger king et Mc DOnalds en bord de route. Trop déprimant. Elle préférait se régaler avec l'image, un peu en contrebas, des champs de cannes vert tendre qui se laissaient être fouettés par l'arrosage. Au loin, le grand Bénare partait en pente douce, en baignade vers la mer. Géant de roche qui du haut de ses 2898m se courbait jusqu'aux vagues dans une bosse douce façon madeleine chocolatée. Passé la zone de bouchons elle s'enfonça tranquillement dans la ville, choisissant avec soin les bonnes rues, celles que personne ne pense à prendre.  En arrivant en haut de la rue victor le vigoureux, le sourire germa sur ses lèvres. Ses muscles se détendirent, près à se laisser entraîner dans la descente vertigineuse qui suivait la courbe de la rue. Le délice etait de voir depuis cette hauteur l'océan qui surplombait les immeubles et les cases traditionnelles. En bas, comme une vue de tube à essais par la rue enserrée de bâtiments, les rouleaux blancs venaient se briser sur la barrière de corail. Les jours de grande houle, on observait ce carré bleu se ponctuer de mouettes d'écumes blanches, et les jours de grand beau on avait parfois la chance de saluer un paille en queue, se promenant d'un air curieux devant les effrenés de la routine hebdomadaire, du voituroboulot dodo. L'ivresse de la descente lui donnait le sentiment chaque matin de vivre un instant de parc d'attractions, de prendre son manège quotidien.Quand la rue était bien dégagée, elle piquait des sprints à 50m/h, riant le nez au vent artificiel, ses mèches de cheveux mal coiffés collées à l'arrière de son casque. Et arrivée au feu, elle reprenait ses esprits, prête à l'avant dernière partie du voyage. Elle avait eu le temps de passer devant le lycée, puis le collège, et de pousuivre ses statistiques. 15 Lycéens 13 collégiens 17 paires de casques et d'oreillettes 28 téléphones en main. 4 échanges verbaux avec regard adressé. La rue du marché couvert etait une de ses étapes préférées. Dans un bout de rue éclairée elle s'élança, jetée en avant par la fièvre d'être la première au feu vert, devant tous ces ronchons à 4 roues elle jubilait. L'école coranique était juste à côté, elle passa devant une brochette d'enfants emmitouflés dans leurs Djellabas, colorés tels des arc en ciels de bleus,violets, roses, verts.  Un peu plus loin, le nuage tant attendu était là, prêt à être traversé. On ne pouvait pas sentir l'âme de La Réunion sans y passer et y laisser un peu de soi. En quelques mètres elle avait fait le tour de tous les comptoirs, conquérante épicière. Le poivre, prédominant et piquant, écrasait presque l'acidité de la paille des paniers, des bertels en vacoa tressé, des pochettes de cuir malgaches.  En insistant, en se concentrant, on devinait la suavité des encens, et l'odeur rôtie enveloppante du massalé.  Le brouhaha des halles indiquait que les gens déjà s'y affairaient, causant affaires et nouvelles du quartier. L'ombre de la rue laissa place au soleil peu à peu. Elle attaquait déjà la dernière partie , rétropédalant de regret presque d'être déjà si proche de son bureau. La rue en travaux laissait l'accès bouché aux voitures, mais en bonne cycliste discrète elle se faufila doucement sur le bitume encore frais, achevé quelques jours avant. Les petits commerçants n'avaient pas encore ouvert leurs volets, la boulangerie en face de la résidence sortait timidement les premières fournées de la matinée. Elle était en bas. L'océan, tout près, glissait un bruit furieux de roulis, l'appelant  à venir le saluer. Il restait encore 5 minutes, alors elle gara son vélo comme à l'habitude, contre un petit palmier. En traversant les jardins de la plage, un sentiment de plénitude l'accueillit. Tout ce calme  au bord de l'eau , on ne le rencontrait que le matin tôt, il se partageait entre elle et les rares joggeurs, des promeneurs de chiens bonhommes, des touristes à peine débarqués la main sur l'appareil à l'affût , les yogis en mal d'images paradisiaque souhaitant se relier au sable. L'air était frais, avec un fond d'été dedans. Elle respirait comme elle buvait, à grandes goulées ce souffle d'extérieur avant  de s'enfermer pour la journée. Les bateaux sagement rangés au port attendaient qu'on veuille bien les aérer de leur parking flottant et les emmener loin près des merveilles de la mer. Les palmiers commencaient à projeter une ombre chinoise bienvenue sur la promenade, où le bois commençait à chauffer. Les fils des filaos se balançaient dans un mouvement métronomique réglé en mode cool. -"encore une belle journée"  Se dit-elle. Emplie d'allégresse, elle fit marche arrière pour rentrer vers la résidence, marchant d'un pas assuré, désormais enrichie de tout ce que ses yeux et oreilles avaient déjà rencontré en ce début de matinée. Pendant qu'elle patientait au feu rouge piéton, elle n'avait pas remarqué l'homme en face d'elle qui téléphonait. Ce ne fut que lorsqu'elle passa à côté de lui qu'elle comprit pourquoi il l'avait regardée avec un sourire. - "hum , Orangina ! Fine en haut grosse en bas ! " Dépitée, elle fit mine de ne pas répondre. En arrivant dans son bureau et s'examinant dans la glace, elle jeta un oeil sur sa jupe orange.Et son tee shirt blanc. Et sa carrure de poire belle hélène largement plissée de cellulite. La femme Orangina. Quel con. Elle se promit de garder ça sous le coude, des fois qu'elle serait en manque d'inspiration pour le Nanowrimo. Et ce soir, assise à la terrasse d'un café avec la vue sur le soleil qui s'enfuit derrière l'horizon, elle repense en voyant ce orange à l'anecdote de ce matin.
La femme Orangina belle comme un soleil d'été, filant sur son vélo entre les ronchons metallisés et les chiens de mer mal léchés. Elle a décidé d'utiliser son quotidien comme un support de création. Il paraît qu'on appelle ça la sublimation. Elle sourit. Encore des mots qui sortent, cette fois ci ils ne seront pas restés uniquement dans sa tête. Ils rayonnent sur la toile.
Comme un soleil d'été.
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onlyartshop · 7 years
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Edouard Cortès. Le marché aux fleurs, Place de la Madeleine Эдуар Кортэс. Цветочный рынок на площади Мадлен. c. 1920-1925
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