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#Les Valseuses
365filmsbyauroranocte · 2 months
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Isabelle Huppert in Les Valseuses (Bertrand Blier, 1974)
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jeanfrancoisrey · 9 months
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Tarte à la figue chez Les Valseuses à Apt…
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klaus1964b · 1 year
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Brigitte Fossey, Gérard Depardieu & Patrick Dewaere in 'Les Valseuses' (scene on the train), 1974
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frnndlcs · 1 year
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Les Valseuses, Bertrand Blier, 1974
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jukbox · 2 years
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Stéphane Grappelli, Ballade, Les Valseuses OST, 1974
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adelakilina-capture · 7 months
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LES VALSEUSES
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justineportraits · 1 year
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Henri de Toulouse-Lautrec Au Moulin Rouge, les deux valseuses 1892
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gatutor · 4 months
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Cartel película "Los rompepelotas" (Les valseuses) 1974, de Bertrand Blier.
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jamie-007 · 7 months
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https://youtu.be/eNGfrUV8NEs
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connait à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
G. Brassens
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"Les Valseuses"
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365filmsbyauroranocte · 3 months
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Les Valseuses (Bertrand Blier, 1974)
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les-cris-des-fendues · 2 months
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Ph. DR - Benoîte Groult et Paul Guimard
CHAPITRE VIII
C'EST ROUGE ET PUIS C'EST AMUSANT
C'est dur, mais il n'y a pas d'os dedans. Ça bouge tout seul, mais ça n'a pas de muscles. C'est doux et touchant quand ça a fini de jouer, arrogant et obstiné quand ça veut jouer. C'est fragile et capricieux, ça n'obéit pas à son maître, c'est d'une susceptibilité maladive, ça fait la grève sans qu'on sache pourquoi, ça refuse tout service ou ça impose les travaux forcés, ça tombe en panne quand le terrain est délicat et ça repart quand on en a plus besoin ; ça veut toujours jouer les durs alors que ça pend vers le sol pendant la majeure partie de son existence… Mais comme disaient les chansonniers de La Tomate il y a quelques dizaines d'années : « c'est rouge… et puis c'est amusant ! » Il paraît que nous aurions adoré avoir un truc comme ça. Il paraît que quand on en a pas, c'est bien simple, on a rien. Et puis ce n'est pas fini : à côté du machin, il y a les machines. Et là, c'est nettement pire ! Ces objets-là gagneraient à être dissimulés à l'intérieur. On ne met pas en vitrine une marchandise aussi peu engageante.  Si nous avions ce genre de valseuses à la place de nos seins par exemple, j'entends d'ici, les plaisanteries, les remarques perfides et les horreurs qu'on débiterait sur le corps féminin ! Où elles sont placées, pauvres minouchettes, on dirait deux crapauds malades, tapis sous une branche trop frêle. C'est mou, c'est froid, ni vide, ni plein, ça n'a aucune tenue, peu de forme, une couleur malsaine, le contact sépulcral d'un animal cavernicole ; enfin c'est parsemé de poils rares et anémiques qui ressemblent aux derniers cheveux d'un chauve. Et il y en a deux ! Vues de dos, le porteur étant à quatre pattes, elles font irrésistiblement penser à un couple de chauves-souris pendues la tête en bas et frémissant au moindre vent, comme on en rencontre par milliers sur les arbres des îles du pacifique. Un ingénieur qui aurait inventé ce système-là pour entreposer des spermatozoïdes se serait fait mettre à la porte. Disons-le tout net : votre panoplie, mes chéris, même si vous ennoblissez la pièce maîtresse du titre de phallus, ne forme pas un ensemble extraordinaire. (...)Les religions qui en ont fait un symbole à adorer ont été amenées à le styliser sérieusement. Et pourtant nous l'aimons, cette trinité, avec humour parce qu'elle est objectivement laide, avec amour parce qu'elle est subjectivement émouvante. Mais qu'on ne nous empoisonne plus avec cette prétendue envie de pénis, qu'on ne nous définisse plus, au physique et au moral, par rapport au pénis et qu'on nous soulage de tous ces psychanalystes et sexanalystes qui s'acharnent à réanimer nos vieux conflits au lieu de nous apprendre à nous aimer nous-mêmes, ce qui est une condition essentielle pour aimer l'autre. Sinon, nous allons le prendre en grippe, l'objet, comme certaines ont commencé à le faire. Ce serait dommage pour tout le monde.
P191-192-193
Benoîte Groult « Ainsi soit-elle » Livre de poche
Un gros petit clin d’œil @coulisses-onirisme
Prophétique Benoîte?
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klaus1964b · 1 year
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Miou-Miou, Gérard Depardieu & Patrick Dewaere in 'Les Valseuses', 1974 
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Je suis dans une sorte de réflexion, où j'écoute le passé de ma mère, décédée. Elle m'a dit, peu avant sa mort 'là, il y a mes carnets'. Elle désignait un petit meuble en bois a tiroir, 'tu les liras hein', semblait-elle dire, surtout.
J'ai pas bien compris pourquoi elle voulait que je le sache, pourquoi c'était important. Je me disais qu'il y avait un truc sur moi.
Je ne voulais pas. Lire. Ses pensées.
Puis un jour j'ai lu. Il n'y avait pas grand-chose. Peu de pages écrites. Je me suis demandé si j'avais bien gardé ses carnets. Et depuis ce jour, je me demande... Jusqu'à tout à l'heure. Je faisais la cuisine. Les pensées ont dérivées vers ces souvenirs. Ses souvenirs. Ses carnets.
En même temps est passée une chanson que je pensais être tirée des valseuses, les paroles... Putain, l'étais porté ! Comme par ce qu'avait pu ressentir ma mère, qui me communiquait une terrible vérité en me confiant 'je ne voulais pas de ça pour ma fille, pas ça, non'.
[En fait c'est Diabologum]
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Je me suis dit très étrange, comme connexion. Je me suis dit que j'aurais en fait dû être une fille. Qu'elle avait changé ça, m'avait d'une manière ou d'une autre transformé en garçon. Pour ne pas que je vive ce qu'elle avait ressenti, elle, à son époque ('femme libre", m'a dit mon père plus tard dans le vent).
J'aurais un psy, je lui confierais, que je me crois très différent de ce que je suis. Ca explique beaucoup de choses. Comme si ma mère avait tenu la main de sa fille sans lui dévoiler qu'elle n'aurait pas du être garçon, et qu'il allait falloir vivre avec.
Une femme peut-elle, dans son ventre, désigner son embryon et en changer le genre ? C'est tellement explicatif... Ca résonne avec tellement d'indices. Messages un peu cachés, voix des anges et des oiseaux qui attirent l'attention sur 'dis, tu dirais pas que ça, quand même c'est...' et de pointer sans doigt, sans mot, un petit truc...
J'ai entendu ma mère dire à sa mère "un jour tu m'as traitée de putain !" Ma mère était surement bien autre chose que ce ça mère ce jour là lui disait.
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Les passantes de G. Brassens. Strophes supprimées du poème original d'Antoine Paul:
...A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulut rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal...
...A ces timides amoureuses
Qui restèrent silencieuses
Et portent encor votre deuil
A celles qui s'en sont allées
Loin de vous, tristes esseulées
Victimes d'un stupide orgueil...
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adelakilina-capture · 7 months
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LES VALSEUSES
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