Tumgik
#Marcel Barbeau
oldsardens · 10 months
Text
Tumblr media
Marcel Christian Barbeau - Beauté baroque. 1964
10 notes · View notes
pwlanier · 2 months
Text
Tumblr media
Barbeau, Marcel
Mamianourme
1966
Acrylic on canvas
Agnes Museum
15 notes · View notes
magsmapsmtl · 1 year
Photo
Tumblr media
Ain’t nobody messin’ with my clique.
Aile Rêve Senshi | Jul. 07, 2014 | The Aile Reve team of Young Queens
You may have seen some us in the city in mid-transformation, but to witness the Aile Reve Senshi experience, you need to meet us. This month’s issue is all about the Scouts; get to know us: • Neetzie: Niti Marcelle Mueth is the AR Assistant Art Director. Graphic designer, illustrator and photographer, she is our first pair of eyes. • NotYourExotic: Iris Linares is the AR Juice Guru and Health Editor. Always ready with a recipe to power up, she’ll have you hooked in no time. • Jenn #TeamNoSleep: Jennyfer Martyn is the AR video queen and captain of #TeamNoSleep. When she isn’t capturing a moment while creating magic with her camera, she is at the center of a party exuding pure energy. • Princess Hatshepsut: Anaelle Stephanie Hatshepsut is our Princess. As editor-in-chief, she pulls all the right strings to share her vision with the world… whether they’re ready or not. • EmJae: Our model, our muse, our inspiration. Marie-Jude Salomon turns heads with her height, her strut, and her elegance. Her non-conventional beauty is what we’re all about; don’t get too confortable! • Mags: WHO DAT, WHO DAT. #itme #omg. Cartoonist and music editor, my love for Sailor Moon has no bounds, and I express it through these mediums. • Valerie: Our second pair of eyes, Valérie Barbeau-Munoz is another AR photographer, who specializes in making the magic in every scene materialize with her vibrant edits. Did I mention she’s stationed in Japan? JAPAN. ~She’s closer to being a Sailor Senshi than I’ll ever be T__T~ #MaVie
2 notes · View notes
societascriticus · 4 days
Text
La femme qui fuit (TNM)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-04 : www.societascriticus.com
Tumblr media
Adaptation théâtrale : Sarah Berthiaume
Mise en scène : Alexia Bürger
Production : Théâtre du Nouveau Monde
Argument
Où est Suzanne ? Elle est partie. Elle est la femme qui fuit. La femme qui abandonne ses deux jeunes enfants. En 1952. Comment est-ce possible ?
Qui est Suzanne ? Elle est peintre et poète. Elle est proche du groupe des automatistes qui, à travers son manifeste collectif Refus global, déboulonne les entraves à la liberté et ouvre la porte à la modernité au Québec en 1948.
Sa petite-fille, Anaïs, cherche aujourd’hui à comprendre qui était cette femme-mystère avide de liberté. Elle enquête, tire les fils du parcours de vie de sa grand-mère depuis l’enfance. Elle la cherche, la poursuit sans relâche.
Qu’est devenue Suzanne Meloche après sa séparation avec son mari, Marcel Barbeau, et l’abandon de Manon, trois ans, de François, un an ?
Les hommes qui ont traversé sa vie, les villes qu’elle a habitées, son engagement auprès du mouvement des droits civiques aux États-Unis, sa solitude, son désespoir, ses délires… Anaïs apprend à connaitre cette grand-mère qui n’a pas voulu faire sa connaissance.
Anaïs n’est pas seule dans sa quête. Elle est entourée sur scène d’un groupe de personnes qui font corps avec elle. C’est ensemble que le chœur reconstitue l’histoire de Suzanne, entre l’intime et le collectif. — Danielle Laurin
La femme qui fuit est une œuvre de fiction. La mise en situation des personnages et des évènements est purement imaginaire.
Distribution
DAVID ALBERT-TOTH
ALEX BERGERON
LUCINDA DAVIS
CATHERINE DE LÉAN, Narratrice
ÉVELINE GÉLINAS, Suzanne
JUSTINE GRÉGOIRE (en alternance), Suzanne enfant
MARIE-FRANCE LAMBERT, Suzanne
LOUISE LAPRADE, Suzanne
AGATHE LEDOUX (en alternance), Suzanne enfant
JEAN-MOÏSE MARTIN
PARFAITE SÉGOLÈNE MOUSSOUANGA
OLIVIA PALACCI
DANIEL PARENT
MAXIME-OLIVIER POTVIN
JACQUES POULIN-DENIS
ANNA SANCHEZ
ANNE THÉRIAULT
ZOÉ TREMBLAY-BIANCO, Suzanne
FABRICE YVANOFF SÉNAT
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-09-22)
La femme qui fuit peut être lue de plusieurs façons. D’abord, la quête de la mère/grand-mère absente pour Anaïs Barbeau-Lavalette (1) et sa mère, Manon Barbeau (2). Qui était-elle vraiment? Pourquoi cette fuite. Une histoire de famille !
Mais, il y a aussi tout un contexte autour de cette histoire. Quelle était la place des femmes dans les années 1950? C’est donc à cette plongée psychohistorique que nous convie cette pièce.
Enfin, pour les plus politiques, comme moi, on voit l’effet du pouvoir autocratique, même dans une démocratie, car, entre les élections, le Pouvoir peut être dictatorial. Et, Maurice Duplessis (3), avec ses alliés religieux les plus réactionnaires, a vu à la destruction non seulement idéologique, mais économique, des signataires du Refus global (4) qui s’opposaient au Pouvoir cléricopolitique de l’époque. Du jour au lendemain ils ont perdu leur travail à l’École du meuble (5) ou dans d’autres institutions de la province du Québec contrôlé par le régime duplessiste et l’Église catholique. C’était l’époque de la Grande Noirceur. (6)
Ils figuraient sur la liste noire de l’Union nationale (7) et de l’Église catholique, qui exerçaient un pouvoir considérable au Québec. Ils étaient maintenant comme des parias condamnés aux petits boulots ou à l’exil pour survivre, car les portes des grandes institutions leur étaient en partie toutes fermées, sauf peut-être quelques institutions qui tenaient tête à ce gouvernement bien appuyé par l’Église. (8) On brisait ainsi les forts en tête et les intellectuels qui osaient s’opposer aux Pouvoirs en place. Mais, on brisait aussi des ménages et des familles.
C’est une triste histoire, mais instructive, surtout à notre époque, où la popularité des populistes augmente. Quelle est leur première cible? La même que Duplessis visait : les intellectuels qui remettaient en cause les explications trop simplistes de ces dirigeants autocratiques qui savaient très bien s’allier à la religion pour manipuler le peuple. On peut d’ailleurs voir des parallèles entre le duplessisme et le trumpisme dans cette pièce, car, pour ces réactionnaires, on est libre seulement si on entre dans le rang de leur pensée religiopolitique. Ce qui n’y entre pas est tabou ou interdit. Sous Duplessis, nombreux étaient d’ailleurs les interdits moraux, tout comme ils reviennent sous le trumpisme.
Mais, le pire, c’est qu’une partie de la gauche mime maintenant cette droite réactionnaire, créant de nouveaux interdits et devenant de plus en plus contrôlante elle aussi. À ceux qui critiquent le « wokisme » de gauche, je dirais qu’il est plutôt un calque et une réponse au « wokisme » de droite.
Pour revenir à Suzanne Meloche (9), elle souffre doublement. D’abord, de ce climat délétère, mais ensuite de cette relégation de la femme en arrière-plan. Quand elle prend une toile pour exprimer son trop-plein et sa révolte, Marcel Barbeau (10) la brise en effaçant sa peinture, car les toiles sont rares et il se les réserve. C’est l’homme, c’est le peintre et, faute du travail à l’École du meuble, le couple n’a plus les moyens de ses ambitions artistiques ! L’Église et l’Union nationale ont sévèrement et durablement puni leur participation à ce manifeste revendicatif qu’est le Refus global.
On sent venir la fin du couple, Barbeau partant à l’extérieur pour de longues périodes et Suzanne rongeant son frein, seule avec les enfants. Elle en viendra à tout quitte pour vivre sa révolte.
Tristement, le centre qui cherchait un certain équilibre entre les différentes valeurs, libertés et responsabilités à la sortie de la Grande Noirceur disparait lentement lui aussi. S’il savait naviguer entre progressisme et conservatisme, cette position est de plus en plus jugée comme plate, non décisionnelle, voire incompétente, face aux populistes qui offrent des solutions miracles, tranchantes et radicales, même si elles ne sont que des idées qui passent rarement la rampe de l’analyse scientifique. Mais, qu'en ont-ils à faire de la science les populistes?
Maintenant, le centre se radicalise lui aussi vers l’extrême centre, moins porté sur les compromis. Il devient plus radical sur certaines valeurs au point de manquer de souplesse où l’on en aurait pourtant bien besoin. Au « thèse-antithèse-synthèse » de Karl Marx, on oublie maintenant la synthèse pour en venir aux coups entre les tenants de thèses opposées. Le dialogue et le compromis, pour trouver une voie de passage pour la majorité, disparaissent pour notre plus grand désespoir au point que « Jagmeet Singh semblait « vouloir se battre » avec Pierre Poilievre » il y a quelques jours à peine à la Chambre des communes. (11)
Pour tout dire de l’ambiance belliqueuse actuelle, le fondateur du Parti communiste semble moins radical que les chefs de partis politiques canadiens ou états-uniens actuels, particulièrement les populistes. On n’a qu’à penser à un certain Donald Trump, par exemple ! Il est vrai que Karl Marx était un intellectuel issu de la bourgeoise et non un populiste mal dégrossi. C’est bien pour dire…
Notes
1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anaïs_Barbeau-Lavalette
2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Manon_Barbeau
3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Duplessis
4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Refus_global
5. https://fr.wikipedia.org/wiki/Éole_du_meuble_de_Montréal
6. https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_Noirceur
7. https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_nationale_(Québec)
8. On peut penser ici à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval et à son doyen, le père Georges-Henri Lévesque :
- https://www.expo-virtuelle.fss.ulaval.ca/decole-faculte/maurice-duplessis-et-la-faculte.html
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges-Henri_Lévesque
9. https://fr.wikipedia.org/wiki/Suzanne_Meloche
10. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Barbeau
11. Mélanie Marquis et Joël-Denis Bellavance, Prise de bec à la Chambre des communes. Jagmeet Singh semblait « vouloir se battre » avec Pierre Poilievre, La Presse, 19 septembre 2024 : https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-09-19/prise-de-bec-a-la-chambre-des-communes/jagmeet-singh-semblait-vouloir-se-battre-avec-pierre-poilievre.php
0 notes
stealfocus · 4 years
Photo
Tumblr media
ARTIST: Marcel Barbeau
128 notes · View notes
feedmeteaandoranges · 5 years
Text
Tumblr media
Marcel Barbeau with his papier mâché sculpture, Oblongue étaline (Oblong slack), 1952.
5 notes · View notes
vizuart · 5 years
Photo
Tumblr media
Marcel Barbeau - Rétine ma jolie (1969)
15 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Marcel Barbeau
Rétine Virevoltante (Twirling Retina). 1966, acrylic on canvas, 220 x 220 cm. Musée d'art contemporain de Montréal, Canada 
35 notes · View notes
solocontenido · 3 years
Text
Tumblr media
Marcel Barbeau
Canadian (1925-2016)
Rétine virevoltante (1966
2 notes · View notes
hmj · 4 years
Photo
Tumblr media
2 notes · View notes
fenetres-sur-art · 4 years
Text
Tumblr media
Marcel Barbeau
3 notes · View notes
pwlanier · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media
13 notes · View notes
mcgiggers · 6 years
Text
Québec City - January 2019 (Winter Road Trip)
Just back from a day trip to the province’s capital to take in the Marcel Barbeau exhibit, “Marcel Barbeau: in Motion”, at the Musée national des beaux-arts du Québec.  The spontaneous outing was well worth the three-hour drive back and forth. The beautiful venue, great works and captivating story behind Barbeau all contributed to making the show a top-tier art viewing experience and a fantastic tribute to the artist, one of the signatories of the Refus Global, the manifesto that launched the abstract movement in Québec and across Canada in the late 40’s.
Notwithstanding Barbeau’s contribution to the art scene, the exhibit was his first major retrospective, and although long overdue, it magnificently put into perspective a career that spanned seventy years and one that featured leading edge experimentation and discovery in non-figurative art. In applying his craft, Barbeau used a broad array of techniques (staining, soaking, sprinkling, rubbing, scraping, cutting and pasting), materials (oil, ink, enamel, felt pen) and support mediums (paper, canvas, jute, wood panels). More importantly, however, and following his strong artistic intuition, Barbeau continuously pushed boundaries by pursuing various abstract styles that yielded his own brand of Automatism, tachiste works, minimalist drawings, collages, kinetic paintings, shaped canvases, sculptures and even transdisciplinary performance paintings.  As such, there was great variety in Barbeau’s creative output over the course of his career and the exhibit showcased many representative period pieces. The highlights included: “Rosier-feuilles”, 1946, oil on wood panel (19.3 x 29.7 in.), an early abstract gestural work that preceded the formation of the Automatist movement; “Natashkouan”, 1956, oil on canvas (71.7 x 83.9 in.), an all-over tachiste painting; “Régates”, 1964, acrylic on canvas (79.9 x 60.0 in.), an op art interpretation of surface patterns seen on the St. Lawrence River; “Aie aie aie Wawaska”, 1968, acrylic on canvas (80.7 x 66.3 in.), two minimalist canvases positioned to simulate moving shapes in space; “Le Mouvement du soir”, 1980, acrylic on paper glued on canvas (107.1 x 215.9 in.), a lyrical performance piece painted as part of a dance seminar at Bishop’s University; and, “Chanson de salomandre”, 2013, acrylic on canvas (53.9 x 53.9 in.), a pairing of previously explored styles - a curved line and random paint drippings on a monochrome base. Beyond these and numerous other specific works, the expansive views afforded by the fabulous exhibit space provided amazing vistas and the special opportunity to appreciate groupings of works.
Barbeau passed away in 2016 at the age of 90. Unfortunately, the exhibit concluded its run on Sunday and will not be travelling to other cities (at least not yet) where it could easily stand up to the best of the best, including in Paris and New York where Barbeau spent considerable time and produced great works.  As a small consolation, an exhibit catalog was published and is available.
 From the Plains of Abraham to Jurassic Park … after being humbled by Double-D and his Spurs (somehow that just doesn’t ring right), the Dinos bounced back with impressive back-to-back wins over the weekend. With K’Why at the helm (and no Lowry), the Raptors beat the Bucks for the first time this season, and then behind Lowry’s leadership in his highly anticipated return to the line-up (and no K’Why), they took care of the Pacers. At some point hopefully, these guys will be on the court at the same time for a few games in a row. As it stands, K’Why and Lowry have only played 21 of 42 games together. Developing a genuine comradery over the second half of the season will dictate how far this team goes beyond that. In the interim, the Dinos retain Eastern Conference bragging rights which is something fans can nervously continue to appreciate.
 For more information on Barbeau, the exhibit, or the fate of the Dinos as the second half of the season unfolds, “Just Google It”.
 There you have it sportsfans,
 MC Giggers
(www.mcgiggers.tumblr.com)
Reporter’s Certification
I, MC Giggers, hereby certify that the views expressed in this report accurately reflect my personal views and that no part of my compensation was or will be, directly or indirectly, related to the specific views expressed herein.
I also certify that I may or may not own, directly or indirectly, works of artists mentioned in this report and that I may or may not have a strong bias for such artists and, more generally, for “Pictures of Nothing”.
0 notes
voilaquebec-blog · 6 years
Text
Marcel Barbeau. En mouvement
Le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) est fier de consacrer une rétrospective majeure à Marcel Barbeau (1925-2016), un artiste audacieux, engagé et sans compromis, une figure notoire de l’art contemporain du Québec. Du 11 octobre 2018 au 6 janvier 2019, Marcel Barbeau. En mouvement offrira un panorama exceptionnel de la production de l’artiste, à travers plus d’une centaine d’œuvres, reflet d’une carrière particulièrement foisonnante s’étalant sur sept décennies.
La plus importante exposition jamais réalisée sur l’artiste embrassera donc l’ensemble de sa carrière — du milieu des années 1940 jusqu’à sa toute dernière production — élucidant les périodes marquantes de sa trajectoire pour ainsi jeter un regard attentif et frais sur cette démarche essentielle, bien que méconnue. Orchestrée autour de cinq thèmes phares, l’exposition mettra en lumière des œuvres exceptionnelles dont : Rosier-feuilles (1946), Natashkouan (1956), Tomac (1960), Rétine optimiste ou Salute (1964), Kitchenombi (1972), Fenêtre sur l’avenir (1991-1992) et Graviers dressés sur l’algue (1999). Parmi les œuvres rassemblées, une sculpture magistrale nouvellement restaurée, La Piémontaise (1988) saura réjouir les visiteurs. Marcel Barbeau. En mouvement Pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ Du 11 octobre 2018 au 6 janvier 2019
Tumblr media
RENSEIGNEMENTS : 418 643-2150 ou 1 866 220-2150 / mnbaq.org
0 notes
feedmeteaandoranges · 5 years
Text
Tumblr media Tumblr media
1978, Marcel Barbeau, Place des Arts, Performance with Toronto Dance Theather
1 note · View note
colin-vian · 6 years
Photo
Tumblr media
Marcel Barbeau
39 notes · View notes