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#Marie-Ginette Guay
moviemosaics · 16 days
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The Nature of Love
directed by Monia Chokri, 2023
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letterboxd-loggd · 4 years
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On the Road (2012) Walter Salles
June 20th 2020
43 notes · View notes
secareanu · 5 years
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RAVENOUS (2017) dir. Robin Aubert
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alexserna · 7 years
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El tráiler de Los Hambrientos lleva el apocalipsis zombi a Canadá
Los Hambrientos (Les Affamés) es una película canadiense que se estrenó en el Festival de Cine de Toronto y que se ha exhibido en varios festivales de género, pero es hora de que llegue a salas mexicanas. La cinta es dirigida por Robin Aubert y en México será distribuida por Corazón Films.
Protagonizada por Marc-André Grondin, Monia…
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extrabeurre · 6 years
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Gala Québec Cinéma : Les 7 finalistes de la catégorie Meilleur film
Le Gala Québec Cinéma aura lieu dans un peu plus de deux semaines, le dimanche 3 juin. (Il sera précédé du Gala Artisans Québec Cinéma le mardi 29 mai.)
Voici mes impressions à propos des 7 films en nomination dans la catégorie Meilleur film :
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Les Affamés (Robin Aubert)
Voici un film à la fois dépouillé et complet, parsemé autant de gags et de gore que de poésie, de surréalisme et d’émotion, le tout étant admirablement mis en scène par Aubert, qui déborde d’idées visuelles et qui les exécute toutes avec brio. Avec une série de personnages mémorables joués par quelques acteurs —Marc-André Grondin, Luc Proulx, Édouard Tremblay-Grenier —, mais d’abord et avant tout une superbe distribution d’actrices de différentes générations, comme dans Mad Max : Fury Road, de la petite Charlotte St-Martin, qui vole pratiquement le film (elle fait parfois un peu penser à Manon dans Les Bons débarras), à l’hilarante Monia Chokri, l’étonnamment badass Brigitte Poupart et les attachantes Marie-Ginette Guay et Micheline Lanctôt. Le meilleur film québécois d’une année où le cinéma de genre — au sens large (voir aussi :La petite fille qui aimait trop les allumettes, Le problème d’infiltration) — a dominé la production locale.
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Boost (Darren Curtis)
Présenté au Festival du nouveau cinéma en 2016 et sorti en salle au Québec en avril 2017, Boost est rien de moins qu’une révélation. À des années lumières du cinéma du terroir, voici un thriller urbain hyper percutant, qui nous montre un monde et des personnages très rarements vus dans le cinéma québécois. On est immédiatement captivés par Nabil Rajo et Jahmil French dans les rôles de deux adolescents noirs de Parc-Extension, issus de familles d’immigrants, qui travaillent dans un garage après l’école et qui, parallèlement, magouillent avec un gang de voleurs de voitures de luxe. À cet égard, la scène de vol de voiture à Hampstead est un petit bijou de suspense. Autre moment fort : la virée en voiture volée, habitée par un fort sentiment de danger et de débauche. Il y a quelque chose de fascinant dans cette histoire de jeunes qui sont attachants même s’ils prennent une série de mauvaises décisions. Le troisième acte est particulièrement intense, alors que les protagonistes réalisent trop tard que les gangsters qu’ils fréquentent (dont l’extraordinaire Ntare Guma Mbaho Mwine) n’entendent vraiment pas à rire…
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Chien de garde (Sophie Dupuis)
Les cinq premières minutes de Chien de garde, avant que le titre emplisse l’écran, sacrent toute une volée au spectateur. Un peu comme pouvait le faire l’ouverture de Good Time, elle aussi particulièrement intense et introduisant une histoire de frères criminels. Dans le cas présent, il y a JP, joué par le solide Jean-Simon Leduc, et son petit frère Vincent, incarné par l’incroyable Théodore Pellerin, aussi vu dans Isla Blanca et Ailleurs. Ce dernier offre une performance remarquable dans Chien de garde : fébrile, imprévisible, hyperactive, abrasive, désinhibée… À l’image de cet explosif premier long métrage de Sophie Dupuis, mi-drame familial à la Mommy (avec l’excellente Maude Guérin dans le rôle de la mère), mi-film de gangsters (avec Paul Ahmarani en caïd des « mean streets » de Verdun), qui ne ressemble pas à grand-chose qui se fait ici ces temps-ci.
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La Petite fille qui aimait trop les allumettes (Simon Lavoie)
Librement adapté du roman de Gaétan Soucy, La petite fille qui aimait trop les allumettes nous plonge immédiatement dans une proposition audacieuse, plus près de la fantaisie onirique/cauchemardesque que du récit conventionnel. Simon Lavoie crée un climat intrigant, atmosphérique, troublant, sensuel, glauque. Comme Le problème d’infiltration et Les Affamés, La petite fille qui aimait trop les allumettes confirme que le cinéma québécois peut oser l’étrangeté, le fantastique, le surréalisme, l’horreur. C’est une œuvre immensément maîtrisée sur la folie des hommes et l’émancipation d’une jeune fille. Un long métrage débordant de moments mémorables — probablement plus que tout cette scène déchirante où la jeune fille passe la nuit avec le « diable dans le caveau ». Assurément un des meilleurs films de l’année.
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Le Problème d’infiltration (Robert Morin)
Voici un film absolument fascinant sur la descente dans la psychose d'un homme, racontée brillamment de façon visuelle et sonore à travers une douzaine de tableaux. Cet homme, c'est Louis, un chirurgien esthétique incarné de façon déchirante et terrifiante par un Christian Bégin à son meilleur. En plus de signer le scénario et la réalisation, Robert Morin agit comme directeur photo et monteur de cette œuvre visionnaire, où chaque plan-séquence impressionne techniquement tout en illustrant avec intelligence et sensibilité la perte de contact avec la réalité du protagoniste. Avec l'aide inestimable d’André-Line Beauparlant à la conception visuelle, mais aussi de Louis Collin, Stéphane Bergeron & Marcel Chouinard au son, Morin crée une expérience immersive, hypnotique, expressionniste. La finale, alors que s’élève la musique de Bertrand Chénier, est tout simplement grandiose. 
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Les Rois mongols (Luc Picard)
Une jolie recréation d’octobre 1970, avec une succession de « needle drops » plus ou moins appropriés à l’époque (les chansons proviennent du milieu des années 1960 au milieu des années 1970). La jeune Milya Corbeil-Gauvreau est une formidable découverte et les autres jeunes acteurs sont également bien dirigés par Luc Picard. La façon dont un drame familial personnel est entremêlé à ce qui se passe avec le FLQ et la Loi sur les mesures de guerre est intéressante, bien qu’un peu invraisemblable. Mention spéciale à l’excellente musique originale de Viviane Audet, Robin Joël Cool et Alexis Martin.
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Tuktuq (Robin Aubert)
Mi-fiction, mi-documentaire, Tuktuq est le second volet d’un cycle de cinq films tournés sur cinq continents, faisant suite au précédent À quelle heure le train pour nulle part, qui se déroulait en Inde. Comme ce film paru en 2009, Tuktuq a un aspect surréaliste, Aubert insufflant une étrangeté au réel qu’il filme, notamment par l’entremise du montage et de la conception sonore. Tuktuq, c’est autant du cinéma direct qu’une certaine forme de cinéma de genre (il y a au moins une séquence qui tient carrément de l’horreur). Un film pré-apocalyptique, pourrait-on dire, avec également une veine satirique à la Robert Morin (les conversations téléphoniques avec le sous-ministre). Tuktuq est finalement un film foncièrement engagé, un plaidoyer pour la survie du territoire et de la culture des Inuits, menacés par les politiciens et les compagnies qui veulent exploiter leur “sous-sol”, quitte à les déporter… Un film essentiel.
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derekglieber · 6 years
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La vie familiale de François Morency: du livre à l’écran
Du statut Facebook au livre, du livre à l’écran, tout s’est passé de façon fulgurante. <@Ri> Discussions avec mes parents <@$p> est paru en mars 2017 et le premier épisode de la télésérie sera diffusé chaque lundi dès le 10 septembre.
Le projet télé s’inspire des faits familiaux réellement vécus par François Morency mais en raison du format à respecter, l’auteur et humoriste y a ajouté davantage de fiction. Il a respecté la logique et la cohérence des personnages familiaux mais a changé les prénoms pour donner plus de latitude au créateur, en l’occurrence lui-même. Il joue cependant son propre rôle dans la série. Évidemment, comique oblige, l’auteur a aussi volontairement exagéré et travesti la réalité afin de rendre encore plus drôle ce qui au départ avait un potentiel amusant. «Par exemple, mon père a toujours été obsédé par la sécurité. J’ai exploité ce trait et dans la série, il engage un agent de sécurité qui fait régulièrement des rondes chez nous», s’amuse François Morency.
L’affiche de la série.
Québec au centre de l’intrigue
L’humoriste, qui a passé 25 ans de sa vie dans le quartier Saint-Sacrement, a pu tourner quelques scènes dans la Capitale. Même si la plupart des épisodes ont été tournés en studio à Montréal, l’auteur et comédien a pu garder l’esprit de Québec. «La ville est encore en moi», soutient celui dont les parents y résident toujours. De plus, par un drôle de hasard, les comédiens qui jouent les parents de François Morency (Marie-Ginette Guay et Vincent Bilodeau) sont de Québec également, tout comme sa sœur, interprétée par Caroline Bouchard. Seul le comédien qui interprète le frère de François Morency, Blaise Tardif, ne vient pas de la région.
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villedequebec1 · 7 years
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Mme G. est de retour
Un peu plus d’un an après avoir vu son travail récompensé par l’Association québécoise des critiques de théâtre, Marie-Ginette Guay se prépare à enfiler de nouveau la robe de chambre rouge de Mme G. Succès à Premier Acte en avril 2016, la pièce de Maxime Beauregard-Martin est de retour avec une nouvelle série de représentations, …
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onparledefilms-blog · 7 years
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FICFA - Jour 8 - Séance 31 à 34 + BGL de fantaisie VAM
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Dans le cadre de la 31e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA), nous allons publier chaque jour l`horaire des films et au moins une raison pourquoi vous devriez aller ce soir!
Ce midi, à l’Auditorium de la Galerie d'art Louise et Reuben-Cohen de L'Université de Moncton :
BGL DE FANTAISIE
Canada (Québec), 2017, Documentaire d'auteur, 83 min, v.o. française/anglaise, s.-t. français/anglais
Pourquoi y aller? Reprise de hier : Après vingt ans de carrière, le collectif en art contemporain BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) se voit confier la réalisation de trois projets d'envergure. Le défi est de taille : produire deux œuvres d'art public monumentales – une à Montréal et l'autre à Toronto – et représenter le Canada à la 56e Biennale de Venise. C’est la 1ère représentation.
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Ce soir, à 19h, à L'Amphithéâtre Jacqueline-Bouchard :
PRE-DRINK
Canada (Québec), 2017, Drame, 23 min, v.o. française, s.-t. anglais
LES FAUX TATOUAGES
Canada (Québec), 2017, Comédie sentimentale, 87 min, v.o. française, s.-t. anglais
Pourquoi y aller? C’est la fête dans les deux films. C’est également la conséquence de l’alcool. Avec un ami gay et transgenre pour le court-métrage Pre-Drink, et une relation dans étiquette pour Les faux tatouages. Les deux films célèbre la jeunesse et la découverte.
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Ce soir, à 19h, à la salle 7 du Cineplex Dieppe :
DANS LA COUR DE VIVIANNE GAUTHIER
Canada / Haïti, 2017, Documentaire biographique, 11 min, v.o. française / créole, s.-t. anglais
BARBARA
France, 2017, Drame, 97 min, v.o. française, s.-t. anglais
Pourquoi y aller?  Plusieurs angles de la danse y sont abordé, mais pas l’activité. On y raconte la vie bien remplie de Vivianne Gauthier, femme octogénaire qui a vécu de la danse toute sa vie. Suit le film d’ouverture dans la section Un Certain Regard du festival de Cannes 2017. Ce film de Mathieu Amalric se concentre sur le tournage du film Barbara, et l’actrice et le réalisateur qui se font envahir par ce monde. 
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Ce soir, à 21h, L'Amphithéâtre Jacqueline-Bouchard :
PARTIE DE CHASSE
Canada (Québec), 2016, Thriller, 8 min, v.o. française, s.-t. anglais
LES AFFAMÉS
Canada (Québec), 2017, Horreur, 96 min, v.o. française, s.-t. anglais
Pourquoi y aller? C’est une soirée horreur, où on apprend à chasser avec Sarah dans une partie de chasse. Les affamés est un film de zombie québécois, primé comme étant le Meilleur film canadien au Toronto International Film Festival, et le prix du public. De plus, il a gagné prix du public Ø au  Festival du Nouveau Cinéma 2017. Le film de Robin Aubert met en vedette entre autres Marc-André Grondin, Monia Chokri, Micheline Lanctôt, Brigitte Poupart, Charlotte St-Martin, Marie-Ginette Guay, Luc Proulx et Édouard Tremblay-Grenier
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Ce soir, à 19h, à la salle 7 du Cineplex Dieppe :
L'ATELIER
France, 2017, Drame, 113 min, v.o. française, s.-t. anglais
Pourquoi y aller? En sélection officielle pour Un Certain Regard à Cannes 2017, le film suit un écrivain qui veut écrire un roman noir avec Olivia, une romancière connue. Au cours de sa recherche, il va avoir une friction entre la nostalgie de sa ville et le présent.
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letterboxd-loggd · 4 years
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Our Own (Les nôtres) (2020) Jeanne Leblanc
June 7th 2020
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extrabeurre · 7 years
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2017 : Ça que c'tait
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Écrire une critique est toujours subjectif. Faire un Top 10, encore plus. Est-il vraiment possible de déclarer : « Voilà, ces 10 films sont officiellement les meilleurs de l’année »? Tout au mieux, on peut affirmer que ce sont les 10 préférés de la personne qui a fait la liste... et encore là, seulement au moment où elle a été publiée. 2017 marque la vingtième année où je publie un Top 10, et il n’y a littéralement aucune de mes listes précédentes que je ne modifierais pas avec le recul — pour changer l’ordre, remplacer quelques titres, voire recommencer à zéro. Cela dit, je prends toujours un grand plaisir à cet exercice. Rien n’est plus personnel pour un critique que de distiller toute une année en une courte liste. Ce qu’on y inclut, tout comme ce qu’on n’y met pas, en dit beaucoup sur notre conception du cinéma, sur ce qui nous touche, ce qui nous fait rire, ce qui nous trouble, ce qui nous excite, ce qui nous fait peur, ce qui nous fait rêver…
Sans plus tarder, voici le Top 10 de mes films préférés de l’année.
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1 - Dunkirk (Christopher Nolan) 
Le temps peut paraître trop long, comme pour ces jeunes soldats attendant longuement d’être secourus sur les plages de Dunkerque. Ou on peut craindre de manquer de temps, comme ce pilote incarné par Tom Hardy qui voit rapidement arriver la fin de ses réserves d’essence alors qu’il abat une succession d’avions ennemis. Ou bien on se retrouve pris entre deux temps, en mer, entouré de dangers potentiels. Avec une ingéniosité hallucinante, Christopher Nolan et son monteur Lee Smith jongle avec trois récits se déroulant chacun à un rythme distinct, se croisant les uns les autres à divers moments. Brillamment mis en scène, avec une approche visuelle magistrale et une conception sonore complètement immersive, toutes deux particulièrement impressionnantes en IMAX, Dunkirk est rien de moins qu’un chef-d’oeuvre et aisément le meilleur film de l’année.
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2 - Phantom Thread (Paul Thomas Anderson) 
Dix ans après There Will Be Blood, le scénariste-réalisateur Paul Thomas Anderson et l'acteur Daniel Day-Lewis refont équipe pour Phantom Thread, une histoire d'amour sur fond de haute couture se déroulant à Londres dans les années 1950. Un embargo critique m’empêche de vous en dire plus jusqu’au jour de la sortie en salle au Québec. Phantom Thread prendra l’affiche le 12 janvier 2018.   
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3 - Guardians of the Galaxy Vol. 2 (James Gunn)  
Pour être un bon père, pas besoin d'être un dieu. Pas besoin d'être parfait. L'essentiel, c'est d'être là quand c'est important... Et cela, ça va au-delà des liens du sang. Voici la morale de ce brillant film de science-fiction qui est miraculeusement encore meilleur que l'original. Les héros qu’on aimait déjà sont toujours aussi drôles et attachants (Peter, Gamora, Drax, Rocket, Groot), certains personnages secondaires deviennent ici centraux de façons inattendues (Yondu, Nebula), et de nouveaux personnages fascinants (Ego, Mantis) se joignent à la famille. James Gunn réalise ici le film le plus imaginatif, le plus beau, le plus émouvant du Marvel Cinematic Universe à ce jour, avec encore une fois la meilleure trame sonore de l’année.
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4 - Mudbound (Dee Rees) 
Comme un Grand Roman Américain de John Steinbeck adapté par Terrence Malick, mais surtout un long métrage que seule une femme afro-américaine aurait pu réaliser. À la fois épique et intimiste, ce drame d’époque se déroulant juste avant, durant et après la Seconde Guerre mondiale raconte l’histoire d’une famille blanche et d’une famille noire qui cohabitent de façon tendue sur une terre agricole au Mississippi. Explorant des thèmes tels que le racisme et le syndrome de stress post-traumatique, le film inclut une sublime narration en voix hors champ et de tout aussi sublimes images, même si le récit est souvent incroyablement sombre et douloureux. La scénariste et réalisatrice Dee Rees est une brillante raconteuse et elle met en scène avec brio chaque scène, obtenant notamment le meilleur de son excellente distribution d’ensemble. Si ce n’était pas un film distribué par Netflix, Mudbound mènerait probablement la prochaine course aux Oscars.
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5 -  Les Affamés (Robin Aubert)
Voici un film à la fois dépouillé et complet, parsemé autant de gags et de gore que de poésie, de surréalisme et d’émotion, le tout étant admirablement mis en scène par Aubert, qui déborde d’idées visuelles et qui les exécute toutes avec brio. Avec une série de personnages mémorables joués par quelques acteurs —Marc-André Grondin, Luc Proulx, Édouard Tremblay-Grenier —, mais d’abord et avant tout une superbe distribution d’actrices de différentes générations, comme dans Mad Max : Fury Road, de la petite Charlotte St-Martin, qui vole pratiquement le film (elle fait parfois un peu penser à Manon dans Les Bons débarras), à l’hilarante Monia Chokri, l’étonnamment badass Brigitte Poupart et les attachantes Marie-Ginette Guay et Micheline Lanctôt. Le meilleur film québécois d’une année où le cinéma de genre — au sens large (voir aussi : La petite fille qui aimait trop les allumettes, Le problème d’infiltration) — a dominé la production locale.
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6 - Three Billboards outside Ebbing, Missouri  (Michael McDonagh) 
Probablement le scénario le plus ingénieux de l’année. Le récit a quelque chose d’à la fois imprévisible et inévitable. Fatidique. Et la manière dont Martin McDonagh module le ton de chaque séquence, chaque moment, chaque réplique, est magistrale. Scène après scène, on s’amuse énormément à regarder les différents acteurs interagir avec la phénoménale Frances McDormand ou entre eux. En même temps, le tout est parsemé de moments de vérité douloureuse ou d’ironie morbide, alors nos rires restent parfois pris dans notre gorge. C’est sur un fil très mince que se maintient brillamment le film, quelque part entre le plaisir et l’inconfort. Three Billboards outside Ebbing, Missouri dépeint une spirale de violence, où chacun agit selon ses propres intérêts, de façon justifiée ou pas, entraînant directement ou indirectement des conséquences inattendues. 
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7 - Star Wars: The Last Jedi (Rian Johnson)
Moins direct dans son approche que The Force Awakens, qui nous présentait rapidement et efficacement trois nouveaux protagonistes (Rey, Finn, Poe) particulièrement attachants, en plus d'offrir à Han Solo un formidable dernier tour de piste, The Last Jedi renferme néanmoins certaines des meilleures scènes dramatiques, comiques et d'action de toute la série, ainsi que plus de trouvailles visuelles que jamais. En restant vague pour ceux qui ne se sont pas encore précipités en salle, je pense notamment à Rey et Kylo Ren dans la salle du trône de Snoke, au point culminant d’un montage alterné où la trame sonore devient soudainement silencieuse, et au tour de Force de Luke Skywalker. On sent vraiment qu’on se dirige vers la finale de cette nouvelle trilogie, et on est déjà impatient de découvrir ce qui arrivera à nos héros préférés dans l’épisode IX.
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8 - Logan (James Mangold)
Un film au souffle épique, avec des scènes d’action incroyablement brutales et sanglantes. C’est aussi un film étonnamment contemplatif et atmosphérique par moments, nous faisant vraiment ressentir le spleen du vieux Logan, qui commence à en avoir marre de cette interminable existence de violence. À ses côtés, on retrouve un professeur Charles Xavier nonagénaire, pris de démence et ayant perdu le contrôle de ses pouvoirs télépathiques… Ils sont éventuellement rejoints par Laura, une fillette troublée, mais qui s’avère formidablement badass. Si Hugh Jackman tire sa révérence après cette neuvième apparition en Wolverine comme il l’a annoncé, il n’aurait pas pu choisir un meilleur film final. Je l’ai adoré dans ce rôle dès le premier X-Men en 2000, mais jamais auparavant on n’avait pu autant apprécier à la fois toute la rage animale et la fragile humanité du personnage que dans Logan.
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9 - Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve) 
Comme le classique de Ridley Scott, le film de Denis Villeneuve est un exemple épique de « worldbuilding ». Chaque scène, chaque plan déborde de détails qui suggèrent tout un univers de possibilités. Villeneuve, son directeur artistique Dennis Gassner et son directeur photo Roger Deakins créent une vision du futur fascinante et constamment captivante visuellement. Au-delà de l’orgie d’images saisissantes, on savoure également un brillant essai sur la notion d’humanité et la nature de la mémoire via le prisme de la technologie, thèmes déjà présents dans l'opus de Scott.  Le scénario de Hampton Fancher & Michael Green ne manque pas d’idées intrigantes et de rebondissements surprenants, Villeneuve parsème le tout de moments de suspense et d’action hyper efficaces et, on ne peut pas le répéter trop, les images de Deakins sont sublimes.
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10 - mother! (Darren Aronofsky) 
Alors que les détails étranges s’accumulent et que l’atmosphère devient de plus en plus tendue, menant à certaines des séquences les plus intensément chaotiques de la filmographie du réalisateur de Requiem for a Dream et Black Swan (ce qui n’est pas peu dire!), on réalise qu’il y a manifestement plusieurs niveaux de lecture possibles. Il y a bien sûr beaucoup de symbolisme biblique (la Création, Caïn et Abel, la venue d’un enfant-sauveur, etc.), mais aussi une fascinante allégorie du processus créatif d’un artiste (de l’inspiration à l’éventuelle adulation du public), une métaphore écologique (mère Nature assaillie par la civilisation destructrice), une vision dérangeante du mariage et de la procréation, et bien plus encore. Voici un thriller psychologique méticuleusement conçu et parfaitement exécuté, porté par des performances extraordinaires de tous les acteurs, Jennifer Lawrence en tête. 
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tqryyc-blog · 13 years
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Download Continental: A Film Without Guns Film In Ipod Quality
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Actors:
Gilbert Sicotte Fanny Mallette Réal Bossé Pauline Martin Dominique Quesnel Marie-Ginette Guay Marie Brassard Denis Houle Gary Boudreault
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Find trailers, reviews, and all info for Continental, a Film Without Guns by Stphane Lafleur on this page. micro_scope - films - continental, a film without guns with Marie-Ginette Guay, Gilbert Sicotte, Fanny Mallette et Ral Boss A Man wakes up on a bus. Continental - A Film without Guns - Rotten Tomatoes Review: The latest critic and user reviews, photos and cast info for Continental - A Film without Guns Continental, un film sans fusil - Wikipedia, the free encyclopedia Continental, un film sans fusil (English title: Continental, a film without guns) is a 2007 Canadian comedy-drama film directed and written by Stphane LaFleur. Seldom has black humour been done so well. He gets off the bus, and finds. . Angelina - Continental: A Film Without Guns Dvdrip Continental: A Film Without Guns movie download Actors: Marie Brassard Denis Houle Pauline Martin Gilbert Sicotte Marie-Ginette Guay Gary Boudreault Fanny Mallette R&#xE9. Night has fallen. Continental, a Film Without Guns on mubi.com. Continental, un Film Sans Fusil (Continental, a Film Without Guns. Written and directed by Stphane Lafleur. 'Continental, a Film Without Guns': Look at all the lonely people Continental, a Film Without Guns (out of 4) Starring Fanny Mallette, Ral Boss, Marie-Ginette Guay and Gilbert Sicotte. Continental, a Film Without Guns - Movie info: cast, reviews. The New Continental: A Film Without Guns Movie - Aelfredaobo's blog Continental: A Film Without Guns movie download Actors: Dominique Quesnel Denis Houle Gilbert Sicotte Marie Brassard Daniel Desputeau Gary Boudreault Fanny Mallette. The Full Continental: A Film Without Guns Movie - Khaldunoba's blog Continental: A Film Without Guns movie download Actors: Pauline Martin Denis Houle Marie-Ginette Guay Ral Boss Gilbert Sicotte Fanny Mallette Marie Brassard. First-time Canadian helmer Stephane Lafleur's defiantly eccentric French-language comedy-drama Continental, un film sans fusil (AKA Continental: A Film Without Guns) 2007. On the surface, this film about the everyday lives of some unusually mundane characters, sounds extraordinarily boring
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extrabeurre · 7 years
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FNC 2017 : LES AFFAMÉS de Robin Aubert
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Avec Les Affamés, Robin Aubert signe un véritable film de genre d'auteur. Un film de zombies, certes, mais surtout une œuvre qui s'inscrit parfaitement dans sa filmographie, teintée qu'elle est de son humour décalé, de sa vision unique et de sa grande sensibilité.
Les Affamés, c'est moins un récit conventionnel qu'une série de tableaux post-apocalyptiques, où les décors bucoliques de la campagne québécoise sont envahis par le chaos et la violence d'une invasion de morts-vivants. Aubert joue beaucoup sur les contrastes : le bruit qui fracasse soudainement le silence, la frénésie qui succède au calme. Ceci fait parfois sursauter, parfois rire, mais dans tous les cas, cela crée un sentiment d'incertitude et de tension.
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L'incroyable beauté des images créées par Aubert, sa conceptrice artistique André-Line Beauparlant et son directeur photo Steeve Desrosiers, autant lors des scènes ensoleillées que lors d'une envoûtante séquence nocturne ou lors d'un formidablement atmosphérique passage dans un épais brouillard, contraste également avec le sang qui gicle, les détonations d’arme à feu et les coups de machette. Mais ce qui épate encore plus, c'est la gestion du temps ainsi que l'usage d’ellipses et de hors-champ d’Aubert autant dans son scénario que dans sa réalisation et son montage.
Autre bon coup du cinéaste : esquisser de façon évocatrice une série de personnages mémorables joués par quelques acteurs — le drôle et charismatique Marc-André Grondin, Luc Proulx, Édouard Tremblay-Grenier et quelques brèves apparitions notables —, mais d'abord et avant tout une superbe distribution d'actrices de différentes générations, comme dans Mad Max : Fury Road, de la petite Charlotte St-Martin, qui vole pratiquement le film (elle fait parfois un peu penser à Manon dans Les Bons débarras), à l’hilarante Monia Chokri, l’étonnamment badass Brigitte Poupart et les attachantes Marie-Ginette Guay et Micheline Lanctôt.
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Les Affamés, c’est un film à la fois dépouillé et complet, parsemé autant de gags et de gore que de poésie, de surréalisme et d’émotion, le tout étant admirablement mis en scène par Aubert, qui déborde d’idées visuelles et qui les exécute toutes avec brio. Il fallait être dans le Cinéma Impérial durant la très courue première québécoise au Festival du nouveau cinéma pour entendre le public fortement réagir lors des moments clés du film, dont au moins une pièce d’anthologie! 
On sort de la projection la tête peine d’images, certaines sublimes, d’autres horrifiques. Des images qu’on n’arrive pas toujours à expliquer, mais qui nous hanteront longtemps... et qu’on a déjà hâte de revoir.
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Les Affamés prend l’affiche au Québec le 20 octobre.
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