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#Ramellzee
graffiti-library · 2 years
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- Guerilla Art - 2009 - 112 pages - 19.7-23.7cm - hardcover
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theprinceeli · 4 years
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Supreme x RAMELLZEE
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fabulosfab · 5 years
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FabWazHere Ramellzee MaximeDrouet FluctuArt #FabWazHere #Ramellzee #MaximeDrouet #FluctuArt #Fabulosfab https://www.instagram.com/p/B2hSOcDigiM/?igshid=l0otem1q3rra
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moviescramble · 7 years
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Barbican Cinema - The Grime and the Glamour: NYC 1976-90
New York in the 70s and 80s: a time of fear, poverty, uncertainty…and unparalleled artistic freedom. This autumn Barbican Cinema screens The Grime and the Glamour, a unique film season which captures a period of significant historical change and creative energy in New York. The city’s economic decline can be glimpsed through movies: in litter-strewn streets, in abandoned and decaying buildings,…
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ayesha-journal · 7 years
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ritual stretch prep
Cult Of Ramellzee @ the Saatchi Gallery 2014
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twixnmix · 3 years
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Jean-Michel Basquiat and Toxic (Torrick Ablack) photographed by Christopher Makos in New York City, 1983. 
Toxic met Basquiat shortly after his show at the Annina Nosei Gallery in 1982. They both had a Puerto Rican mother and shared similar interests. In November 1982, Toxic and Ramellzee accompanied Basquiat to Los Angeles while he prepared for his March 1983 show at the Gagosian Gallery. They dubbed themselves the Hollywood Africans as a social and political comment of African Americans stereotypes in the entertainment industry. The trio can be seen in Basquiat’s paintings Hollywood Africans in front of the Chinese Theater with Footprints of Movie Stars (1983) and Hollywood Africans (1983).
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thecomicon · 5 years
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Thought Bubble 2019: Looking At Hip Hop And Comics With Dave Gibbons And Juice Aleem
Thought Bubble 2019: Looking At Hip Hop And Comics With Dave Gibbons And Juice Aleem
Afrika Bambaataa and The Soul Sonic Force
With the choice between Kieron Gillen waxing lyrical about his magnum opus, The Wicked + The Divine, or my good friend, Juice Aleem, along with David Gibbons, talking about the links between Hip Hop culture and comics, I chose the latter. Planning to only stick around for the first hour of this two-hour talk and workshop, by the end of the first hour I…
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jazzgroupiez · 6 years
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My vinyl collection earned a major W today! The Jean-Michel Basquiat produced single “Beat Bop” by Rammellzee and K-Bop circa 1983. #jeanmichelbasquiat #ramellzeevskrob #ramellzee #kbop #samo #nyc #graffiti #art #80s #hiphop #vinyllyitssunday #tbt
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kineticcvr · 6 years
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Ramelzee and Basquiat were the badest motherfuckas in the art world. Though they were sometimes more like frienemies due to Ramelzee being a little jealous of Jean's commercial success. In 1983 they collaborate on a record together called Beat Pop where the multu talented Ramelzee rapped and Basquiat produced the beat and cover art. Baquiat was no stranger to production. He had a noise band called Grey that was blazing the NYC punk scene. Ramelzee predated Basquiat in the relms of street art and painting but wasn't as celebrated until way later. When they made the Beat Pop single they were at odds. Ramelzee kinda chumped Jean by telling a interviewer that "Jean didnt do anything but foot the bill for the record." Jean laughed it off, but it bothered him. Ramelzee was one of Jean's hero's and influences. And for one moment in time the universe synched these two together to create Hip-hop's Holy Grail. It was a short lived moment but beautiful. They pressed 500 copies and never worked together again. The original pressing of this record can be found being auctioned for millions of dollars way before Wutang and Martin Skrelli. 1983 was the year two art legends became Hip-hop legends. #jeanmichelbasquiat #ramellzee #BeatPop #HipHopLegends #ArtLegends #Frenemies #HolyGrail #NewYorkLegends #Samo #BlackHistoryMonth #StreetArtLegends #MostMyHeroesDontAppearOnNoStamp #BlackArt #AllCity #KingsOfNY
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thatonesuheirhammad · 6 years
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index found rockaway ramellzee gulf between tracks. s.hammad
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let-em-sleep · 6 years
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?, Ramellzee
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graffiti-library · 2 years
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- Book exhibition “KladMuur” in Groningen, 2022 - 
-Softcover -
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yellodisney · 5 years
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cheryldunn · 6 years
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#ramellzee show #glenn obrien
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albumcovers6-blog · 7 years
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Ramellzee and K-Rob
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Artist: Basquiat
Title: Beat Bop
Medium: Graffiti influenced clash of imagery and text
Date: 1983
Link:https://en.wikipedia.org/wiki/Beat_Bop#Cover_art
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aicejje · 7 years
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Alex Face: le troisième oeil
Alex Face : Le troisième œil
 Actuellement en train d’exposer à la Bangkok CityCity galerie…
 Vous avez peut-être vu ses tags dans les ruelles de Klong Toey, ou au BTS National Stadium. Alex Face est aujourd'hui l'un des tagueurs les plus célèbres de Thaïlande. Il travaille non seulement dans les rues de Bangkok, mais a exposé à Londres, Taipei, Tokyo, Londres et d'autres villes internationales. Sculpture, peinture sur toile et tags, guitare et ukulélé: Alex Face, de son vrai nom Patcharapol Tangruen, est un artiste passionné.
Petit, dessiner était sa principale distraction. Alex Face se souvient encore vivement du jour où il a tenu un crayon dans la main pour la première fois. « J'avais trois ou quatre ans. Ma tante a offert des crayons de couleur et un carnet de coloriage, raconte-t-il. Je n’arrivais jamais à rester dans les bords, et ça me frustrait beaucoup. Puis j’ai réussi à remplir un cercle parfaitement au crayon rouge, et ça a été le début de mon amour pour le dessin. » Que de chemin parcouru ! Alex Face a dessiné toute son adolescence. Au lycée, il a participé au club d'art local et s’est entraîné pour de nombreuses compétitions. Cependant, ce n'est qu’en première année de License en arts appliqués qu'il a découvert le graffiti. « J'étais allé à la bibliothèque avec deux amis pour nos recherches. Et je suis tombé par hasard sur un livre qui traitait du graffiti américain... ça a été la révélation. »
 Mais qu'est-ce que le « street art » ? On pense d’abord à des images fugitives, provocantes ou incompréhensibles qui apparaissent au détour d’un rond-point, sur des immeubles voués à la destruction. Parfois crées au pochoir, souvent à la bombe, ces œuvres marquent et transforment le paysage urbain. L’Art Urbain, aussi qualifiée de « Pressionisme » par la Pinacothèque de Paris, est une école artistique qui a émergé dans les années soixante-dix aux États-Unis. Au début, de jeunes femmes et hommes « graphaient » leur nom ou leur pseudonyme sur les parois des métros. Puis d'autres ne se lancent dans des images plus complexes. De cette première génération, on peut retenir Ramellzee, Phase 2, Basquiat, Lady Pink... Le mouvement d’art urbain est par ailleurs une expression de révolte. À travers les décennies, de nombreux artistes comme Ladamenrouge ou Banksy ont signé des tags contestataires ou provocants, cherchant à interpeller le public en investissant visuellement l'espace. L’art urbain est une contre-culture et est encore illégal dans de nombreux pays, France et Thaïlande inclues. Malgré cela, Alex Face pense que cet art est mieux accepté à mesure que le temps passe. « Aujourd'hui, il y a des festivals de street art, des expositions dans des galeries... Quand nous commencions à tagger, nous n'y pensions pas. »
 La carrière d'Alex Face a suivi une évolution parallèle à la l’intégration progressive de ce mouvement en marge de la société. À ses débuts, il taguait des immeubles abandonnés suite à la bulle immobilière de 1997, et allait au plus vite pour se prémunir des hasards de la rue : police, pluie, acholiques, etc. «  Une fois, j’ai tagué le mur d’un haut-gradé de l’armée qui a juré qu’il me ferait battre. J’ai dû changer d’adresse ! » À présent, il peint sur toile et expose en intérieur. Une constante cependant : Alex « Face » peint toujours des visages, et c’est de ce sujet qu’il tire son pseudonyme.
 « Je n’a jamais eu envie d'écrire quelque chose d’incompréhensible dans une police incompréhensible, une marque de spécialiste qui vise uniquement les autres spécialistes. Dès le début, j'ai voulu que tout le monde puisse comprendre ce que je faisais. Alors j'ai commencé par tagguer mon visage partout, de la même façon, pour dire « coucou ! Je suis là ! ». Je voulais aussi que les gens s'interrogent : pourquoi le même visage partout ? ». Tagger une figure lui permet aussi de jouer avec l'espace et les angles de vues.
C'est quand sa fille est née qu'il a décidé de changer de visage. « Je l'ai tenue dans mes bras et je l'ai observée... Vous savez, les nouveau-nés ont cette expression un peu fripée, un peu grognon... Et je me demandé quelles raisons elle pouvait bien avoir de s’inquiéter. »
 Inspiré par sa fille, mais distincte de l’enfant, est née une nouvelle figure : un bébé en costume de lapin déchiré, possédant trois yeux, et arborant toujours une expression bougonne. La symbolique interroge volontairement.
 L'expression mécontente représente les soucis qu'Alex Face se fait pour la prochaine génération. Il s'inquiète de la disparition des rizières en Thaïlande, et de leur remplacement systématique par des usines polluantes. « La nourriture est la chose la plus fondamentale du monde: comment pouvons-nous perdre cela de vue ? » s'interroge-t-il. Le costume de lapin renvoie à l'innocence des enfants. « Quand ma fille n'avait que cinq mois, j'ai vu un reportage télévisé sur un père qui avait battu son bébé... » Les enfants sont sans défense face à la société. Adultes, ils pourront aussi être exploités : « J'ai choisi de peindre une déchirure à la hauteur du sein pour interpeller. Les seins des femmes adultes sont utilisés sur des affiches publicitaires pour vendre des produits, ce que l’on ne fait pas avec les enfants. Mais dans tous les cas, on ne devrait pas exploiter les corps. » Enfin, les yeux ont aussi une symbolique complexe. Les prunelles de l'enfant son vairons, une rouge et une bleue comme deux boxeurs Thaïlandais sur le ring. Alex Face aime les couleurs contraires : en 2009, il a peint un visage rouge et un visage jaune s'embrassant. Quant au troisième œil, il renvoie à la mythologie orientale, aux spectres et aux voyantes que les Thaïlandais consultent souvent. « L'enfant voit une dimension qui ne nous est pas accessible... ». Alex Face ajoute que cela lui permet de voir des messages cachés.
 Il appartient à chacun d’ouvrir son troisième œil pour comprendre sa sixième exposition « ALIVE », actuellement à la Bangkok CityCity Gallery. Cette exposition est à la fois un retour aux sources et porteuse d'un message très actuel. Retour aux racines car Alex Face s'est inspiré de Monet, Monet qu’il a découvert lors de ses études et qui est son artiste préféré. « Au début de ma carrière, je voulais être un artiste peintre et non un taggueur ! J'étais très inspiré par le mouvement impressionniste, surtout par les couleurs propres à Monet. J'ai voulu imiter ses tableaux urbains, et j'ai voyagé jusqu'à Chiang Mai, gravit le Doi Suthep pour peindre la ville de haut. » Aujourd'hui, Alex Face a trouvé sa place à Bangkok, ou il expose régulièrement sur toile. Il regrette cependant de moins tagguer dans la rue. « Quand je peins des immeubles, des rues, chacun peut me voir. La rue est hasardeuse, mais elle permet aussi les rencontres... Dans la rue, des sans-abris peuvent voir mes peintures, des locaux viennent discuter avec moi et me font des suggestions. Ces gens ne rentreront jamais dans une galerie. » L'art est plus puissant dans la rue, selon lui, car alors il se partage entre tous et de manière égale. Dans une galerie, l'art est contenu en intérieur, ne s’impose plus dans l’espace public, et se destine à la vente. Alex Face fait ainsi une distinction entre l'art qu'il peint sur commande, pour vivre, et ce qu'il fait pour son bonheur personnel.
 Cependant, on peut trouver un message caché même dans une galerie. Au premier coup d'œil, les tableaux et sculptures de l'exposition, à l'instar de la série des Nymphéas de Monet, semblent calmes et paisibles... des aquarelles s'enroulent autour des nénuphars, et l'enfant dépeint se repose sur une fleur géante. Mais l'eau est trouble : qui sait ce qu'elle cache ? Dans certaines peintures, le bébé a la bouche sous l'eau, et ne peut pas parler. Au creux de quelques nénuphars, on aperçoit des rangées de dents... « ALIVE » signifie que l'enfant ne s'est pas encore noyé, qu'il y a encore espoir. Et Alex Face espère que le public s'interrogera en observant ses œuvres. « L'art a toujours un message, affirme-t-il. Mais c'est à vous de l'interpréter. »
   ENCADRÉ : Sous des eaux tranquilles…
 Alex Face expose à la Bangkok CityCity Gallery, au soi Sathorn 1. On peut admirer ses peintures et sculptures du mercredi au dimanche, l’après-midi de treize heures à dix-neuf heures. La collection sera exposée jusqu’au 19 février.
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