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#antenne régionale
kingonews · 2 years
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POUR SE RAPPROCHER DE SES USAGERS: L'AGENCE BÉNINOISE POUR L'ENVIRONNEMENT OUVRE UNE ANTENNE RÉGIONALE À PARAKOU GRÂCE AU PROJET WACAP-ReSIP.
POUR SE RAPPROCHER DE SES USAGERS: L’AGENCE BÉNINOISE POUR L’ENVIRONNEMENT OUVRE UNE ANTENNE RÉGIONALE À PARAKOU GRÂCE AU PROJET WACAP-ReSIP.
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zehub · 2 months
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Relance nucléaire et énergies renouvelables : les alertes de l’Autorité environnementale
Les conséquences du nucléaire et des énergies renouvelables sur l’environnement et la santé ne sont pas toujours maîtrisées, alerte l’Autorité environnementale dans son rapport annuel. Relance du nucléaire, déploiement des énergies renouvelables… Les installations liées à la production électrique ne sont pas neutres pour l’environnement. Tel est l’un des messages délivrés par le rapport annuel 2023 de l’Autorité environnementale (AE) et la synthèse annuelle 2023 de ses antennes régionales (missions (...)
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entomoblog · 4 months
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L'Atlas des Coccinelles de la Région Auvergne Rhône-Alpes
See on Scoop.it - Insect Archive
L’association Arthropologia coordonne un atlas régional des coccinelles et vous propose de prendre part à cette dynamique.
Ce projet est l’occasion de rassembler et de valoriser les dynamiques locales existantes en favorisant le partage et l’émulation sur le territoire
  Pour vous guider durant les trois ans de ce projet, nous vous proposons un guide méthodologique (lien à venir)
Pas UNE mais DES Coccinelles !
La plus célèbre d’entre elles, la Coccinelle à 7 points, concentre souvent toute l’attention, aux côtés d’ailleurs d’une espèce exotique introduite, la Coccinelle asiatique. Il existe pourtant 80 autres espèces de coccinelles actuellement connues en Région Auvergne Rhône-Alpes.
  En réalité, les coccinelles présentent de grandes diversités morphologiques : presque la moitié des espèces mesurent moins de 2 mm, ne possèdent souvent pas de points ou ne sont même pas rouges !
  On compte sur vous pour aller débusquer ces espèces parfois oubliées !
Comment les reconnaitre ?
Les coccinelles sont des insectes qui appartiennent à l’ordre des coléoptères, caractérisés notamment par leur paire d’ailes antérieures rigides, les élytres, qui recouvrent et protègent la paire d’ailes membraneuses, souples et fines, qui leur permet de voler. Les coccinelles sont reconnaissables grâce aux critères suivants :
Leurs antennes terminées « en massues »
Le dernier article des palpes maxillaires qui est en forme de hache
Les tarses composés de 4 articles
Des variations impressionnantes !
L’apparence des coccinelles peut être trompeuse. Chez une même espèce, les individus peuvent arborer des motifs très variés ! Voici par exemple la Coccinelle à 10 points (Adalia decempunctata). Elle peut adopter des formes bien différentes, ce qui ne facilite pas toujours la détermination. Heureusement ce n’est pas le cas de toutes les espèces !
  Bernadette Cassel's insight:
  "Si votre structure est intéressée pour participer au projet, merci de nous contacter pour que l’on œuvre ensemble à une meilleure connaissance des coccinelles sur le territoire !"
L’association Arthropologia
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bachassclub · 5 months
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VERS L'ABANDON D'UNE ANTENNE RELAIS (SFR) SUR UN SITE ARCHÉOLOGIQUE D'INTÉRÊT MAJEUR POUR CHABEUIL
Il n’y aura très probablement pas d’antenne-relais sur la Gontarde, dans le quartier paisible des cimetières, sur les hauteurs champêtres et promeneuses de Chabeuil. L’opérateur (SFR) qui restait en lice sur ce projet de construction recule, et s’en va voir ailleurs dans la commune. C’est qu’un arrêté de la préfète de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a notablement changé la donne ; il est daté du 13 mars dernier et émane de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) ; il ‘porte prescription et attribution d’un diagnostic d’archéologie préventive’ et arrête, dans son article 1 : ‘une opération de diagnostic archéologique est mise en œuvre préalablement à la réalisation du projet (situé) Lieu-dit Les Rampons (aka la Gontarde), section ZY, parcelle 1, réalisé par SFR’. La perspective de ce diagnostic, coûts et délais, a semble-t-il amené l’opérateur à renoncer à son implantation sur ce site. On détaille plus bas cet arrêté, très riche d’enseignements relatifs au passé de Chabeuil, archéologiques et historiques.
D’autre part, l’annonce publique que le collectif chabeuillois Nuisances-Antennes Chabeuil (NAC) vient de faire paraître (29 avril) est plutôt affirmative, optimiste en tous cas ; elle précise et confirme les informations d’origine préfectorale. Et en ajoute d’autres de provenance toute Communale, qu’on en juge : ‘les actions du collectif commencent à faire bouger les lignes de façon significative. Il semble que nous ayons été entendus. (…) Le maire de Chabeuil nous informe que : ‘Free doit réfléchir à un autre site d’implantation et aucune autorisation ne leur a été accordée sur la parcelle de la Gontarde pour une deuxième antenne’. Avant de donner une toute autre perspective au projet, toujours citant Alban Pano : ‘la Commune a engagé des négociations avec les opérateurs. Ces dernières les conduit à réfléchir à d’autres hypothèses d’implantations sur la commune.’
La formulation municipale, citée par le collectif, est donc claire : les opérateurs sont invités à chercher ailleurs. Pour les proches du dossier, c’est bien net : la Commune va proposer d’autres situations, d’autres parcelles communales.
Cette affaire agite Chabeuil depuis septembre 2023 et un vote unanime (gauche écologiste comprise) du Conseil municipal concédant une parcelle municipale à des opérateurs de téléphonie pour la construction de ces fameuses antennes. Du côté des cimetières, donc. Le Conseil Municipal chabeuillois dans son ensemble  avait à cette occasion montré toutes ses limites, dans une délibération montée et discutée à la va-vite, entre un rapporteur bonasse et pas très regardant sur les arguments ('on ne verra pas l'antenne du rond-point de la fusée)('on ne la verra pas, elle sera peinte en vert') et une opposition (groupe Dragon) parfaitement grotesque se félicitant même du montant du loyer perçu par la Commune (des cacahouètes établies à 5000 €/an), sans parler d'écolos (groupe Trempil) dépassés par les événements, n'ayant visiblement pas travaillé leur sujet. L'ensemble votant sans moufter la concession d'une parcelle municipale à des opérateurs qui ont dû se pincer devant tant de bonne volonté complice. Le bien commun des chabeuillois bradé, comme à la parade.
Jusqu’à ce que le collectif NAC proteste vivement quand la déclaration préalable (DP) de travaux fut connue, en février dernier. Dès ce moment le projet change, assez vite : on passe à une seule antenne (30 mètres tout de même, sur un des points haut de la ville) et un seul opérateur, SFR, reste dans le projet, sur ce site tout au moins. Pétition, article de presse, banderoles, service Facebook efficace et offensif, présence nombreuse et remarquée au Conseil municipal du 28 mars : la mobilisation du collectif aboutit à un branle-bas dans Landernau et à un émoi certain dans les tuyaux du maire de Chabeuil, qui repart au charbon, bien forcé.
Jusqu'à ce que votre Bachass'Club favori publie la très belle lettre d'un archéologue amateur, précise et détaillée, datant de 1968 et tirée fort à propos des archives municipales. Dans cette lettre de haute tenue, tant civique que scientifique, Michel Rouveure signale la présence dans le secteur de 'sépultures à incinération' et spécifie qu'il a produit à leur sujet une 'communication écrite à la circonscription Archéologiques Rhône-Alpes des Antiquités historiques'. Très solide document, dont se saisit alors Nuisances-Antennes Chabeuil, avant de le communiquer à l'Institut National de Recherches Archéologiques et Préventives (INRAP) dont la réaction auprès du collectif ne se fait pas attendre. L'Institut manifestant (en substance) un 'gros intérêt scientifique pour le chantier...on arrive...le site est important pour l'histoire de Chabeuil'. Manquait plus qu'à motiver le fameux arrêté préfectoral, dont on parlait au début de cet article, ce qui fut fait sans attendre.
Attardons-nous maintenant sur l'arrêté de la préfète de Région, qui intéresse au premier chef l'histoire de Chabeuil. Son article 4 précise en effet les objectifs scientifiques poursuivis par l'INRAP et situe très bien les enjeux : 'ce projet s'étend sur une emprise de 4260 m2 (...) il est situé entre deux sites d'importance.' Vient ensuite la citation du document Rouveure, enrichie visiblement par une documentation propre à l'INRAP : [le sauvetage de l'époque] a permis de relever le plan d'un ensemble funéraire composé d'au moins huit dépôts secondaires de résidus de crémation richement dotés en mobilier archéologique (gobelet d'Acco*, sigillées**, balsamaires en verre, bélier sculpté en tabletterie, monnaie en alliage cuivreux, urne, vases offrande, clouterie, macro-restes végétaux carbonisés.') Bref, du sérieux, plus sérieux encore et plus précis semble-t-il que les attendus du courrier de Michel Rouveure en 1968. L'ensemble funéraire est daté 'du 1er siècle après JC'.
Toujours dans son article 4, toujours au sujet des vestiges anciens, l'INRAP rejoint Michel Rouveure et propose d'associer le site concerné à un 'habitat reconnu en 1940 dans l'ancienne propriété Duc où une pièce dotée d'un pavement mosaïqué en opus tessalatum *** avait été mis au jour.' La perspective historique semble donc très intéressante, telle qu'elle pourrait être dégagée par ces fouilles, d'une portée plus large quant à l'étude de Chabeuil aux temps très anciens : 'ensemble domanial ou plus conséquent, la question de la caractérisation de cet ensemble funéraire reste évidemment ouverte'. On comprend que le diagnostic envisagé intéresse tout l'arrière pays chabeuillois, qui mérite donc une étude approfondie.
D'autant que ce fameux article 4 n'en reste pas là : il élargit le site où a été repéré l'ensemble funéraire à une zone située au hameau du Monestier (sur les hauteurs, niveau passerelle nord, quand on monte route de Combovin à droite, à l'aplomb d'un transformateur) : 'au niveau du hameau de Monestier, les sites du Prieuré et du cimetière médiéval de Saint Jean-Baptiste bordent la limite orientale du projet qui nous occupe'. Au total donc : 'archéologiquement, ce secteur de Chabeuil est donc particulièrement sensible puisqu'il prend place entre deux sites dont les occupations renvoient d'une part au haut-Empire et d'autre part à la période médiévale.'
Bref, l'INRAP n'a pas dérangé la préfète de Région pour rien : il apparaît que le chabeuillois remonte à la plus haute antiquité, comme dirait le bon Vialatte. L'institut national prend l'affaire très au sérieux, et justifie une intervention par des motifs scientifiques très conséquents, susceptibles d'ouvrir de très belles et très profondes perspectives historiques pour Chabeuil. Pas vraiment l'endroit dont il convient de déranger l'ancestrale sérénité par un chantier d'antenne, dût-il favoriser la propagation d'une 5G inutile et autres ondinettes superfétatoires.
La préfète enquille ensuite dans son article 5 des 'principes méthodologiques' longs comme le bras, qui reviennent en somme à une série de contraintes sévères encadrant le projet de fouilles : sondages, plans, relevés, tests et autres rapports figurent dans une sorte de cahier des charges qui a de quoi rebuter les plus persévérants des téléphonistes. Et à la fin, on comprend bien que les coûts et les délais induits par les travaux de fouilles envisagés ont conduit SFR a étudier une autre implantation pour son antenne-relais. SFR, d'après le collectif qui a pêché la confirmation à la meilleure source, s'est semble-t-il maintenant tout à fait 'détourné de cette parcelle.' C'est bien ce qu'on disait tout à l'heure, citant le dernier communiqué du Collectif : la Commune a maintenant engagé des négociations avec les opérateurs, qui envisagent d’autres hypothèses d’implantations sur la commune.
Pour être tout à fait rassuré, pour que le recul de SFR soit officiel, Nuisances-Antennes Chabeuil attend l’annulation de la Déclaration Préalable de travaux et de la convention actuelle signée avec SFR. Ajoutant pour maintenir une pression de bon aloi : 'dans l'attente d'une décision définitive et officielle, le collectif reste mobilisé.'
Nos morts tiennent donc le bon bout : on va leur foutre une paix éternelle qu'ils ont bien mérité, et cette éternité va durer encore un peu. Ils se sont allongés-là depuis le Haut Empire, mis à l'abri des fantaisies polluantes des uns et des autres ; ils vont continuer de profiter de leur privilège de morts plus ou moins anciens, pour reposer en paix. D'une certaine manière, la cohorte nombreuse de nos morts empilés là-haut nous aura protégé des décisions d'élus par trop expéditifs et irréfléchis.
Pour finir, dans cette affaire, une question subsiste : le jeudi 28 mars 2024, lors de la réunion du Conseil municipal de Chabeuil, le groupe d'opposition Le chemin des possibles a tenu à poser une question à propos de ces antennes. Cécile Trempil, après un aveu très honnête concernant son vote du 28 septembre ('je me suis peut-être trompée'), évoquait un problématique 'manque de concertation de la Commune'. Mais dans sa réponse Alban Pano a ignoré l'arrêté de la Région, pourtant daté du 13 mars, pourtant pris en main par ses services dès le 20 mars et qu'il connaissait donc parfaitement. Il ne l'a pas porté à l'information du Conseil Municipal et, a fortiori pas porté au débat pour éclairer celui-ci. Soit un manque total de respect pour la Représentation locale et, au delà, un manque de respect pour les chabeuillois, qui méritent mieux que des débats tronqués.
claude meunier
*Les gobelets dit « d'Acco » sont des gobelets en céramique à parois fines de forme Déchelette 57 à décor moulé, originellement produits au tournant du ier siècle de notre ère (époque augustéenne, 27 av. J.-C. - 14 apr. J.-C.) par l'atelier d'Aco, maître potier d'Italie du nord. Ils ont été abondamment imités par des ateliers de la région lyonnaise, de Gaule du centre et de Gaule du sud. (fiche wiki)
**La céramique sigillée, anciennement appelée poterie samienne, est une céramique fine destinée au service à table caractéristique de l'Antiquité romaine. Elle se caractérise par un vernis rouge grésé cuit en atmosphère oxydante, plus ou moins clair et par des décors en relief, moulés, imprimés ou rapportés. Certaines pièces portent des estampilles d’où elle tire son nom, sigillée venant de sigillum, le sceau. Ce type de poterie rencontra un très grand succès dans le monde méditerranéen à partir du règne d'Auguste.(fiche wiki)
*** L’opus tessellatum (du latin tessella, cube, dé à jouer) est la forme courante de mosaïque antique. Cette technique de mosaïque convient bien aux dessins géométriques et est notamment employée pour les motifs de remplissage ou les fonds. La propriété Duc mentionnée ici est située à quelques encablures du site concerné.
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ouyander · 1 year
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L’ONG Plan International a célébré lundi la Journée internationale des droits de la fille sur le thème "Comment la mésinformation et la désinformation affectent le droit à la participation et de liberté d’expression des filles’’, annonce un communiqué transmis à Kafunel. Plan Sénégal préoccupé par la désinformation et la sécurité en ligne des jeunes filles Un nouveau rapport publié à la suite d’une enquête menée auprès de 26.000 jeunes filles et femmes dans le monde par l’organisation révèle qu’une fille sur cinq, soit 20 % des filles interrogées, se sentait physiquement en danger en raison des fausses informations, rapporte la même source. mangrove www.kafunel.com produits planete Le rapport, intitulé "Entre le vrai et le faux" indique également que "le fait d’être exposées à des mensonges et à des demi-vérités influence fortement la manière dont les filles appréhendent les sujets d’actualités tels que la pandémie de COVID-19 et la politique en général", lit-on dans le communiqué. Citant le rapport, le texte souligne que "dans le monde, une personne sur trois déclare se sentir stressée, soucieuse et angoissée du fait de la publication de fausses informations sur Internet et affirme que sa santé mentale s’en trouve affectée". Manque de confiance en elles parce que les échanges... Toxique Planète www.kafunel.com le scandale invisible des maladies chroniques De André Cicolella Au Sénégal, ajoute la même source, des entretiens approfondis menées par Plan International indiquent que les filles ont le sentiment d’être en danger et manquent de confiance en elles parce que les échanges en ligne augmentent les tensions sociales au sein des communautés. "Depuis plus d’un an, les antennes régionales de Plan International Sénégal, à savoir, Kédougou, Louga, Saint-Louis, Kaolack Thiès et de Dakar, renforcent la sécurité en ligne, en informant sur les astuces pour détecter le vrai du faux par les jeunes et les filles en particulier, sur les conséquences des violences en ligne, de la désinformation, de la mésinformation et sur les mécanismes de signalement en ligne portés par la Commission de Protection des données Personnelles (CDP)", indique le communiqué. Permettre à 7500 filles et 500 jeunes hommes à être des citoyens confiants Concernant l’édition 2021 de la Journée Internationale des Droits de la Fille, le texte signale que "les effets probants de ces renforcements de capacités, permettront à 7500 filles et 500 jeunes hommes à être des citoyens confiants, et actifs du numérique". A lire aussi Le Sénégal a obtenu des ‘’Progrès Significatifs’’ en matière de Planification Familiale A cet égard, fait-il savoir, le témoignage de la fille leader Fatou, âgée de 21 ans, est assez révélateur : "j’ai été obligée de fermer mon compte Facebook à cause de nombreux messages à caractère sexuel que je recevais quotidiennement. Grâce à la plateforme Kaddu Jiggen-Girls Out Loud, nous disposons d’un espace d’échange sécurisé entre filles". La plateforme Kaddu Jiggen-Girls Out Loud est un espace en ligne sûr sous la forme de groupes Facebook fermés -réservés aux filles- et animés par des membres du personnel de Plan International depuis 2018. Sauvegarde des jeunes, malgré la distance géographique Les filles sont autorisées à se connecter entre elles et avec nos conseillers de protection de la sauvegarde des jeunes, malgré la distance géographique. La curiethérapie ou brachythérapie www.kafunel.com l’implantation de grains radioactifs A lire aussi Pauvreté au Sénégal : Les mises au point du ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération Pour Plan International, "il urge d’investir dans l’éducation aux TIC et dans l’alphabétisation numérique en soutenant les initiatives d’acquisition de compétences numériques et d’autonomisation".
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naantokhi · 1 year
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L’ONG Plan International a célébré lundi la Journée internationale des droits de la fille sur le thème "Comment la mésinformation et la désinformation affectent le droit à la participation et de liberté d’expression des filles’’, annonce un communiqué transmis à Kafunel. Plan Sénégal préoccupé par la désinformation et la sécurité en ligne des jeunes filles Un nouveau rapport publié à la suite d’une enquête menée auprès de 26.000 jeunes filles et femmes dans le monde par l’organisation révèle qu’une fille sur cinq, soit 20 % des filles interrogées, se sentait physiquement en danger en raison des fausses informations, rapporte la même source. mangrove www.kafunel.com produits planete Le rapport, intitulé "Entre le vrai et le faux" indique également que "le fait d’être exposées à des mensonges et à des demi-vérités influence fortement la manière dont les filles appréhendent les sujets d’actualités tels que la pandémie de COVID-19 et la politique en général", lit-on dans le communiqué. Citant le rapport, le texte souligne que "dans le monde, une personne sur trois déclare se sentir stressée, soucieuse et angoissée du fait de la publication de fausses informations sur Internet et affirme que sa santé mentale s’en trouve affectée". Manque de confiance en elles parce que les échanges... Toxique Planète www.kafunel.com le scandale invisible des maladies chroniques De André Cicolella Au Sénégal, ajoute la même source, des entretiens approfondis menées par Plan International indiquent que les filles ont le sentiment d’être en danger et manquent de confiance en elles parce que les échanges en ligne augmentent les tensions sociales au sein des communautés. "Depuis plus d’un an, les antennes régionales de Plan International Sénégal, à savoir, Kédougou, Louga, Saint-Louis, Kaolack Thiès et de Dakar, renforcent la sécurité en ligne, en informant sur les astuces pour détecter le vrai du faux par les jeunes et les filles en particulier, sur les conséquences des violences en ligne, de la désinformation, de la mésinformation et sur les mécanismes de signalement en ligne portés par la Commission de Protection des données Personnelles (CDP)", indique le communiqué. Permettre à 7500 filles et 500 jeunes hommes à être des citoyens confiants Concernant l’édition 2021 de la Journée Internationale des Droits de la Fille, le texte signale que "les effets probants de ces renforcements de capacités, permettront à 7500 filles et 500 jeunes hommes à être des citoyens confiants, et actifs du numérique". A lire aussi Le Sénégal a obtenu des ‘’Progrès Significatifs’’ en matière de Planification Familiale A cet égard, fait-il savoir, le témoignage de la fille leader Fatou, âgée de 21 ans, est assez révélateur : "j’ai été obligée de fermer mon compte Facebook à cause de nombreux messages à caractère sexuel que je recevais quotidiennement. Grâce à la plateforme Kaddu Jiggen-Girls Out Loud, nous disposons d’un espace d’échange sécurisé entre filles". La plateforme Kaddu Jiggen-Girls Out Loud est un espace en ligne sûr sous la forme de groupes Facebook fermés -réservés aux filles- et animés par des membres du personnel de Plan International depuis 2018. Sauvegarde des jeunes, malgré la distance géographique Les filles sont autorisées à se connecter entre elles et avec nos conseillers de protection de la sauvegarde des jeunes, malgré la distance géographique. La curiethérapie ou brachythérapie www.kafunel.com l’implantation de grains radioactifs A lire aussi Pauvreté au Sénégal : Les mises au point du ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération Pour Plan International, "il urge d’investir dans l’éducation aux TIC et dans l’alphabétisation numérique en soutenant les initiatives d’acquisition de compétences numériques et d’autonomisation".
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blog59-world · 3 years
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Meilleurs adaptateurs pour autoradio DAB: 2018 test de groupe.
Vous voulez installer une radio numérique DAB dans une ancienne voiture? Nous avons testé huit adaptateurs DAB populaires pour établir le meilleur
Vous voulez que votre voiture ait accès au meilleur son et à la plupart des stations de radio? Ensuite, vous aurez besoin d'une radio numérique. Alors que la plupart des acheteurs de voitures neuves obtiennent DAB en standard, les propriétaires de véhicules plus âgés doivent faire avec FM. C'est là que les adaptateurs DAB entrent en ils syntoniser les systèmes audio en voiture existants sur les fréquences DAB.
De nombreux adaptateurs disponibles aujourd'hui sont faciles à installer plug-and-Play unités, en utilisant soit la fréquence FM de la voiture ou un port auxiliaire intégré pour alimenter le signal numérique à l'unité principale. Certains ont également Bluetooth pour aider les conducteurs de vieilles voitures connecter des téléphones pour les appels mains libres. Nous avons réglé huit systèmes pour choisir le meilleur.
Comment nous les avons testés
La clarté du son a été la clé ici. Nous voulions des adaptateurs qui transmettaient des signaux radio clairs à la voiture, et qui n'étaient pas susceptibles de craquage ou de perte de signal en déplacement. La facilité d'utilisation et l'installation simple étaient d'autres priorités. Nous avons également fait une note de fonctionnalités supplémentaires, et notre facteur final a été le prix des fabricants et des sources en ligne.
Veuillez cliquer ici pour accédé dans un autre site concernant avec l’ Autoradio Ford Transit
Verdict
Le Top-spec pure Highway sécurise la victoire ici, mais il ne gagne pas beaucoup. Nouvelle entrée Nextbase et vieux rival AutoDAB ont fait de grands progrès au fil des ans, et les différences séparant les trois premiers sont marginaux.
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critiques
Pure Highway 600
Nous avons déjà testé pure Highway 400, mais avec des rivaux maintenant, y compris Bluetooth et d'autres fonctionnalités, nous sommes allés jusqu'à la gamme de 600. Comme d'habitude avec pure, il impressionne hors de la boîte. Grâce au fil de mise à la terre magnétique et au design simple, c'est facile à installer et a été le plus rapide pour syntoniser les fréquences DAB via les-in ou FM.
Alors que certains rivaux ont un écran tactile, le bouton rotatif de pure permet de changer de station plus rapidement et plus facilement. De façon décisive, la qualité sonore était excellente, sans craquelations sur notre disque. Nous avons aimé combien il était facile de brancher notre téléphone via Bluetooth, pour accéder à des fonctionnalités comme la diffusion de musique Spotify.
Veuillez
Nextbase 350BT
Le premier adaptateur DAB du géant Nextbase est impressionnant. Nous avons aimé les extras sur le 350BT, comme l'essuyer pour nettoyer le pare-brise et obtenir le meilleur signal d'antenne possible. Par conséquent, la qualité du son était excellente. Sur le mouvement, nous avons entendu un craquelé une seule fois, et le bouton rotatif rend les stations de commutation facile. Le réglage des favoris était aussi simple. Des informations comme les titres de programmes radio et les noms ont été affichées, et il y a Bluetooth pour le couplage de téléphone.
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AutoDAB GO +.
Le nouveau GO + a l'affichage le plus impressionnant de loin. Il est le seul appareil avec un écran tactile, et a bien marqué avec ses menus clairement disposés, ainsi que des informations telles que les noms des artistes et des titres de chansons. Si seulement il était plus réactif aux prods lors du changement de stations. La qualité du son était bonne, à part quelques craquations. Le prix est un autre point fort. Si le prochain GO + a une meilleure expérience utilisateur et une meilleure qualité sonore, il pourrait gagner notre test.
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SmartDAB AutoDAB.
Au lieu d'un adaptateur régulier, le Smart DAB intelligent utilise des Smartphones (les applications iOS et Android sont disponibles) comme interface. Le menu de l'application est le même que sur le GO +, il est donc facile à naviguer. Encore une fois, les titres de la chanson et de la radio sont affichés, et il y a des catégories régionales de stations. Notre Smartphone s'est avéré plus réactif que sur le GO +, mais vous avez besoin d'un support de téléphone. Le signal radio de la boîte de l'adaptateur fourni était bon, et alors qu'il y avait quelques craquelations, aucune des stations a chuté de signal.
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Pure Highway 200.
Pour ceux qui ont un budget plus serré, pure Highway 200 mérite d'être envisagé. Il ressemble à l'autoroute 600, mais a un affichage plus petit et moins de fonctionnalités; Il n'y a pas de connectivité Bluetooth ou d'autres téléphones mobiles. L'installation est aussi facile qu'avec le 600, grâce à un fil magnétique de mise à la terre et à une simple configuration d'antenne. La qualité du son était bonne en mouvement, avec très peu de distorsion. L'échange entre les stations a été facile grâce au bouton rotatif, et nous avons pu placer jusqu'à 20 stations comme préréglages.
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AutoDAB FM.
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L'AutoDAB FM utilise les signaux FM de la voiture pour syntoniser les fréquences numériques. Nous avons trouvé qu'il fonctionnait bien à 87.50 MHz, mais les résultats ont été mélangés. Un boîtier d'adaptateur et une antenne sont fournis, comme le Smart DAB, mais la qualité du signal n'était pas aussi bonne. Il a occasionnellement chuté, et des craquations pourraient être entendues sur notre route d'essai. Une télécommande vous permet de basculer les stations, même si elle s'est avérée difficile à coupler et délicate à utiliser sur la marche.
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aibagence · 2 years
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Le district sanitaire de Dano a reçu une nouvelle ambulance
Le district sanitaire de Dano a reçu une nouvelle ambulance
Burkina-Santé-Don-Ambulance Le district sanitaire de Dano a reçu une nouvelle ambulance Dano, 14 septembre 2022 (AIB).La direction régionale de la santé et de l’hygiène publique du Sud-ouest a remis une ambulance flambant neuf au CMA de Dano le mardi 13 septembre 2022. Fin de la détresse au Centre médicale avec antenne chirurgicale(CMA) de Dano pour manque d’ambulance. Le mardi 13 septembre 2022,…
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kingonews · 2 years
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POUR SE RAPPROCHER DE SES USAGERS: L'AGENCE BÉNINOISE POUR L'ENVIRONNEMENT OUVRE UNE ANTENNE RÉGIONALE À PARAKOU GRÂCE AU PROJET WACAP-ReSIP.
POUR SE RAPPROCHER DE SES USAGERS: L’AGENCE BÉNINOISE POUR L’ENVIRONNEMENT OUVRE UNE ANTENNE RÉGIONALE À PARAKOU GRÂCE AU PROJET WACAP-ReSIP.
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reseau-actu · 6 years
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Conspués, menacés, insultés et désormais de plus en plus souvent frappés, les journalistes vivent une sale période depuis deux mois. Les violences exercées contre eux le week-end dernier, vis-à-vis d’une équipe de la chaîne d’information LCI à Rouen notamment, ont ébahi la profession, désormais ciblée par certains extrémistes pour ce qu’elle est, et non pas pour ce qu’elle fait. De quoi faire craindre la possibilité imminente d’un drame. Le mouvement des gilets jaunes rappelle très durement aux médias la défiance dont ils font l’objet auprès d’une grande partie du public. Le mot est faible : à ce stade, mieux vaudrait parler de colère, de détestation, voire de haine. Chez les journalistes, la situation est ressentie avec injustice. Jamais sans doute les titulaires d’une carte de presse n’ont été aussi bien formés que maintenant, aussi soucieux des enjeux déontologiques, aussi éveillés aux biais de la production de l’information. Les reproches qui leur sont adressés sont le plus souvent formulés avec excès. Quant aux violences, elles sont inexcusables, atteignant directement la bonne marche de la démocratie.
Ceci dit, et sans aucunement vouloir justifier la moindre agression, si l’on veut réparer cette fracture, il semble nécessaire de s’interroger : les journalistes n’ont-ils absolument aucun tort ? Ne méritent-ils pas une partie de la méfiance qu’ils inspirent ? Libération a invité à l’autocritique 25 professionnels de l’information, de tous supports et médias, aux positions hiérarchiques variées, choisis pour leur capacité à regarder en face les pratiques du métier. Contrairement à leur image d’individus imperméables à la critique, nourrie par le réflexe de défense corporatiste souvent automatique en public, les journalistes ne sont pas – d’après notre expérience – hostiles à l’autoflagellation, pourvu qu’elle se fasse à l’abri des regards extérieurs. La terrible pression économique qui plombe le secteur des médias (à bout de souffle, à cause d’une décrue générale des revenus) et contraint la bonne pratique du métier ne sert pas d’argument refuge à tous les reproches.
«Nous faisons des journaux qui ne s'adressent pas à la masse des gens»
Un défaut est reconnu par la quasi-totalité des personnes interrogées (dont la totalité souligne que les violences contre la presse sont impardonnables). Les journalistes ont une conscience aiguë de leur uniformité sociale et culturelle, de l’absence de diversité parmi eux. Très souvent, ils vivent à Paris ou dans les métropoles, ont fait des études supérieures (souvent Sciences-Po et/ou une école de journalisme), viennent des classes moyennes supérieures, et disposent en moyenne d’un pouvoir d’achat plus élevé que le reste de la population. D’après l’Observatoire des métiers de la presse, le salaire médian des journalistes titulaires (74 % de la profession) était d’environ 3 549 euros brut par mois en 2016, soit environ 2 800 euros net. Celui de l’ensemble des Français était de 1 800 euros net en 2015 selon l’Insee. Un chiffre plus en phase, quoique supérieur, à celui des journalistes pigistes et en CDD (autour de 1 900 euros brut). «Le profil socioculturel des journalistes parisiens est très éloigné de celui des gilets jaunes, constate Jean-Marc Four, chef du service international de Radio France. Ce décalage crée les conditions d’une défiance. Les journalistes n’ont pas une connaissance intime et spontanée des ronds-points ou que la limitation de la vitesse à 80km/h a été vue comme une agression du pouvoir central.» Cofondateur du média d’investigation local Médiacités, Sylvain Morvan a une jolie formule pour résumer le problème : «Les journalistes écrivent librement ce qu’ils sont socialement programmés à écrire.»
«Les journalistes écrivent librement ce qu’ils sont socialement programmés à écrire.» Sylvain Morvan, cofondateur de Médiacités
Le fameux reproche de la «déconnexion» des journalistes ne serait-il pas fondé, au moins en partie ? Guillaume Erner, pour qui il est dangereux de faire des «amalgames» entre les différents médias, récuse l’argument. Le matinalier de France Culture cite le sociologue Max Weber : «Il n’est pas besoin d’être Jules César pour comprendre Jules César. On doit défendre cette position, sinon on perd l’universel.» Donc la légitimité à exercer le métier de journaliste. Juste position théorique, qui n’éteint cependant pas les interrogations. Ex-journaliste à iTélé (devenue CNews), désormais à Explicite, Elorri Manterola l’admet : «La déconnexion me paraît réelle. En plus, on traîne entre journalistes, on se marie ensemble, on est dans l’entre-soi. Parfois on écrit surtout pour nos sources et nos confrères, des personnes surinformées qu’on a envie d’impressionner. Peut-être devrait-on moins traîner dans les cabinets ministériels et revenir à des sujets concrets…» Rédacteur en chef de l’Humanité, journal du peuple s’il en est, Jean-Emmanuel Ducoin bat sa coulpe : «La presse écrite ne raconte pas la vraie vie des gens et on le prend en pleine gueule aujourd’hui. Je suis hanté par cela. Nous faisons des journaux qui ne s’adressent pas à la masse des gens. Où raconte-t-on la souffrance, la vie derrière les murs des entreprises ? Même à l’Huma, on n’y arrive plus tout à fait. On devrait se démultiplier, on ne le fait pas faute de moyens.» Au bord du gouffre, le quotidien créé par Jean Jaurès vient de lancer un appel aux dons.
«Les liens des journalistes locaux avec les territoires s’effilochent, le maillage se desserre. On traite de moins en moins les petits événements de la vie quotidienne, comme la kermesse d’une association. Les gens voient moins le journaliste du coin.» Philippe Gestin, journaliste au Trégor et maître de conférence à l'université de Rennes
La semaine dernière, une étude du Conseil supérieur de l’audiovisuel sur la diversité à la télévision a jeté une terrible lumière sur les impasses des journalistes. Elle est venue rappeler que les catégories socioprofessionnelles supérieures y représentaient «88 % des personnes présentées» dans les programmes d’information en 2018. Autrement dit, les classes populaires et moyennes n’apparaissent presque pas à la télévision. N’accablons pas le petit écran. La presse écrite, qui cherche désormais à vendre des abonnements numériques à 10 ou 15 euros par mois, n’a-t-elle pas naturellement tendance à vouloir plaire aux individus aisés plutôt qu’aux défavorisés ? Il suffit de se reporter aux pages «lifestyle» et «voyages» des journaux et magazines, pleines de gadgets à 300 euros et de nuits d’hôtel au bout du monde, pour comprendre où penchent l’intérêt strictement économique de la presse et le lectorat qu’elle rêve de séduire.
En 2018, 20 000 des 35 000 cartes de presse en circulation étaient détenues par des habitants de la région parisienne. Rien d’étonnant : tous les médias nationaux, à l’exception notable des réseaux publics France 3 et France Bleu, sont installés à Paris. «Les médias se sont éloignés des gens. Ils s’intéressent à la prise de décision et piochent de plus en plus haut», observe Patrick de Saint-Exupéry. Il y a un an, ce dernier lançait le magazine Ebdo sur le constat qu’une partie de la population française ne lisait plus la «grande» presse. Le projet a vite capoté, mais l’analyse de départ n’en était pas moins juste. «Hors de Paris, la presse nationale se donne de moins en moins les moyens d’enquêter, dit Sylvain Morvan, de Médiacités. La presse régionale aussi ferme des antennes locales. Des villes petites et moyennes deviennent des déserts médiatiques. L’actualité locale est moins bien traitée, les journaux perdent en qualité. Il est probable que cela joue sur la défiance.» Maître de conférences à l’université de Rennes, Philippe Gestin est également journaliste au Trégor, l’hebdomadaire de la région de Lannion (Côtes-d’Armor). Il remarque que le désamour des médias, longtemps cantonné aux journalistes nationaux, s’étend désormais aux locaux. «Les liens des journalistes locaux avec les territoires s’effilochent, le maillage se desserre, nos travaux de recherche le montrent. On traite de moins en moins les petits événements de la vie quotidienne, comme la kermesse d’une association. Les gens voient moins le journaliste du coin. Cette figure disparaît de l’imaginaire, elle n’est plus une référence. Et ça marche dans l’autre sens : il y a des personnes qu’on ne touche plus, qu’on ne voit plus. C’est frappant dans la crise des gilets jaunes : sur les ronds-points, il y a plein de gens que je ne connais pas.» La disparition des kiosques et des points de vente de la presse n’arrange rien. «Les médias n’ont sans doute pas assez ouvert leurs portes. Il faut être tansparent, expliquer comment on travaille et on débat, pour retrouver de la confiance avec le public», suggère Amaelle Guiton, présidente de la Société des journalistes et des personnels de Libération.
«Au lieu d’expliquer, on souffle sur des clivages idéologiques faciles. Les gens l’ont très bien compris, et ça les énerve.»
Pas assez de terrain, trop de commentaires ? «L’année 2017, avec la présidentielle, a produit du reportage comme rarement. Il n’y a pas un département où un journaliste du Monde n’a pas passé du temps, tempère Philippe Ridet, grand reporter au quotidien. On n’a peut-être pas vu le degré d’exaspération, mais on l’a racontée.» Chez les autres journalistes sondés, la critique du manque de reportages revient néanmoins avec insistance. Notre profession serait devenue trop bavarde, passant son temps à donner son avis à elle plutôt que la parole aux autres. Antoine Genton, ex-président de la société des journalistes d’iTélé pendant la longue grève menée contre leur actionnaire Vincent Bolloré : «Les gens se rendent compte qu’il y a plus de plateaux avec des invités. Les budgets de reportage sont réduits d’année en année. C’est sûr, ça coûte moins cher de faire l’Heure des pros (l’émission de débats animée par Pascal Praud sur Cnews) que d’envoyer des journalistes sur le terrain…» Une figure de l’antenne de LCI le déplore :«Chez nous, il n’y a pas de reportage d’immersion. Nous sommes une chaîne d’experts.» C’est-à-dire de commentateurs, de spécialistes, de polémistes. Bref, «d’éditorialistes», du nom de ces journalistes qui squattent les studios pour livrer leurs «opinions» alors qu’ils n’ont souvent pas produit un reportage depuis des lustres. Ces figures médiatiques, bien mieux rémunérées que le reste de la profession, ne font pas l’unanimité parmi les journalistes interrogés.
«Beaucoup de journalistes considèrent que leur rôle est de dire le bien et le mal, comment il faut penser. Les gens ont l’impression d’avoir des curés en face d’eux.» Natacha Polony, directrice de Marianne
C’est surprenant, mais les intéressés eux-mêmes peuvent être d’accord. Natacha Polony, directrice de Marianne, qu’on voit et entend plusieurs fois par semaine dans les médias : «Beaucoup de journalistes considèrent que leur rôle est de dire le bien et le mal, comment il faut penser. Les gens ont l’impression d’avoir des curés en face d’eux.» La tentation du commentaire est-elle réservée aux vedettes de l’analyse télévisuelle vite troussée ? C’est l’avis de Brice Couturier, chroniqueur sur France Culture : «Avant, nous avions le monopole de l’information. Désormais, l’information nous devance sur les réseaux sociaux. Nous avons réagi en idéologisant à mort, en devenant des directeurs de conscience. Mais en réalité, un journaliste a peu de compétences, il est généraliste, car on n’approfondit pas les sujets en école de journalisme. Au lieu d’expliquer, on souffle sur des clivages idéologiques faciles. Les gens l’ont très bien compris, et ça les énerve.» Brice Couturier n’échappe cependant pas lui-même à l’envie du commentaire, qui martèle sur le réseau social son soutien à Emmanuel Macron. «Sur les réseaux sociaux, je milite, se justifie-t-il. Mais à la radio, je respecte mon engagement d’impartialité.» Respectable schizophrénie. Mais peut-elle être comprise du grand public ?
Avec une «élite» apparaissant comme donneuse de leçons, la corporation souffre tout entière d’une image d’arrogance. Injuste ? «La façon dont beaucoup de journalistes se placent au-dessus des petites gens me choque. Il y a de la condescendance dans la façon de les décrire, un manque d’humilité générale», souffle la journaliste d’un hebdomadaire. Les médias, univers hyperpersonnalisé où l’on signe tout ce que l’on produit, ne sont par nature pas les meilleurs endroits pour dégonfler les egos. La chose ne s’est pas arrangée avec l’apparition de Twitter, bac à sable social préféré des journalistes, qui y profèrent à longueur de journée bons points, anathèmes, ironies et leçons de morale. Journaliste à Vice, Paul Douard a publié il y a quelques mois un article plein de second degré, intitulé «Je suis journaliste et vous avez raison de me haïr». Extrait : «Twitter a sans doute été inventé pour que les journalistes aient l’impression d’être utiles. Ainsi, je peux y “décrypter” l’actualité au lieu de le faire dans des articles, mais surtout je peux entretenir mon “personal branding”. […] Soyons clairs : nous sommes imbuvables avec nos leçons de morale permanentes sous forme de “threads” [successions de tweets formant des histoires, ndlr] que personne ne lit […], comme si nous étions investis d’une mission divine consistant à ouvrir les yeux d’une population trop conne pour comprendre quoi que ce soit.»
«La chaîne d’info, c’est l’usine. On se contente d’imprimer une dépêche avant de sortir. On n’a pas forcément le temps de lire le Monde, etc. Cela produit de la médiocrité.» Elodie Safaris, ex-iTélé
Et si les journalistes se confondaient trop souvent avec des intellectuels qu’ils ne sont pas ? Pour Natacha Polony, cela traduit un manque de clairvoyance : «Il y a un problème de culture générale dans l’ensemble de la société. Dans certains métiers, comme le journalisme, ça pose un peu plus de problèmes.» Et la directrice de Marianne de remarquer que les bibliothèques sont rares dans les écoles de journalisme, où l’enseignement est plus souvent technique (tourner avec une caméra, faire du montage audio) que fondamental (peu de cours d’histoire, de philosophie…). Elodie Safaris, ex-iTélé, tout près de changer de métier : «La chaîne d’info, c’est l’usine. On se contente d’imprimer une dépêche avant de sortir. On n’a pas forcément le temps de lire le Monde, la presse internationale, etc. Cela produit de la médiocrité.»
Nicolas Becquet, du quotidien belge l’Echo, pointe en miroir le succès de Rémy Buisine, le reporter qui fait de longs directs sur Facebook pour le média Brut, très populaire auprès des gilets jaunes : «Proximité, écoute, humilité et simplicité, voilà ce qui caractérise son attitude face aux manifestants. L’exercice du live façon “Brut” est une forme de retour aux sources, une interprétation des nombreuses missions dévolues aux journalistes : regarder, s’étonner et restituer. Le tout, à hauteur d’homme. Une approche à l’antithèse de la perception qu’ont les classes populaires des médias dits traditionnels.» Pour le même, le succès de Buisine est aussi celui du nouveau format numérique du direct, sur lequel – ce n’est pas un hasard – se sont rué les gilets jaunes ces dernières semaines, ringardisant les vieilles pratiques médiatiques de la profession. «Il aura fallu une vingtaine d’années pour que les médias prennent le Web et les réseaux sociaux au sérieux. Ce n’est pas seulement l’émergence d’un supermédia que nous avons manqué : nous avons échoué à tendre un miroir fidèle à une société en plein questionnement. Aujourd’hui, tout le monde s’y met mais le retard a abouti à un déclassement des journalistes dans l’opinion», poursuit Nicolas Becquet.
Course à l'audience, réseaux sociaux : «Nous avons oublié le quotidien des Français»
Un autre gros écueil regretté par les journalistes est «la course à l’audience» à laquelle ils déplorent participer. Le travers est bien connu pour ce qui concerne les chaînes de télévision gratuites, courbées sur les recettes publicitaires. La vive concurrence à laquelle se livrent les chaînes d’information a ravivé le problème, dans une infernale compétition à la polémique, la petite phrase, le spectaculaire, au détriment du temps long, de la réflexion, de la nuance. Une reporter de BFM TV s’étonne du discours de sa direction : «“Audience égale confiance”, disent-ils. Mais non, ce n’est pas vrai. La preuve, notre chaîne cartonne, mais on vit un rejet total sur le terrain.» Pointer du doigt les seules chaînes d’info serait facile. La manie de l’audience est partagée. La création du site Rue89, il y a douze ans, fut une réaction de contre-proposition à l’info-spectacle. Pourtant, dit sa rédactrice en chef, Nolwenn Le Blevennec, «nous sommes tombés, nous aussi, à pieds joints dans le piège de l’audience. On était scotchés à Chartbeat [un logiciel d’analyse du trafic internet en temps réel, ndlr], on prenait la moindre vague virale, on fonctionnait par mots-clés, on faisait des rebonds sur des polémiques futiles, on surtitrait les articles. On a mis de côté le qualitatif. Mais pour inspirer de la confiance, il faut avoir une colonne vertébrale. Ces cinq dernières années, on n’a pas été assez attentifs à ça.» Un espoir : la presse est en train de changer de modèle économique, passant à l’abonnement numérique payant, fondé sur la satisfaction d’un parc de lecteurs fidèles. Ce qui oblige – théoriquement – à privilégier la qualité.
«Twitter est une caisse de rétrécissement de l’information, qui diminue le nombre de sujets traités et qui polarise.» Jean-Marc Four, de Radio France
Encore faut-il que les journalistes parviennent à se détacher des réseaux sociaux, qui les entraînent dans une dangereuse course à l’instantanéité et au buzz. «On n’y prêtait pas attention il y a quelques années, on a aujourd’hui le nez collé dessus, s’inquiète Jean-Marc Four, de Radio France. Il ne s’agit pas de ne pas les regarder, mais leur fonctionnement pose question. Plus il s’y dit un truc énorme, plus il fait du bruit. C’est le propos de Yann Moix par exemple [sur son non-désir pour les femmes de 50 ans, ndlr]. Et l’autre principe du réseau social est de fonctionner par communautés. Il y a là un refus du réel, une segmentation du monde peut-être sans précédent. Twitter est une caisse de rétrécissement de l’information, qui diminue le nombre de sujets traités et qui polarise.» Ce prisme nécessairement déformant porte en lui le risque d’un suivisme entre journalistes, d’une incapacité à se détacher du tout-venant, de l’actualité institutionnelle, des vagues d’émotion. Ex-correspondant de Radio France au Liban, Omar Ouahmane, revenu en France en septembre, regrette que les journalistes ne soient plus «des lanceurs d’alerte». «On a attendu que les immeubles s’effondrent à Marseille pour travailler sur le sujet. Même chose pour les gilets jaunes. Ils viennent nous rappeler qu’ils existent. On s’intéresse à leurs conditions de vie, parce qu’ils sont dans la rue. Mais leur colère était légitime hier. Et l’invisibilité décuple la colère. Nous sommes passés à côté, car il y a eu ces dernières années Daech, le Bataclan, Charlie… nous avons oublié le quotidien des Français. Il a été traité bien sûr, mais pas suffisamment.»
Un cas d’école de suivisme dans la corporation a été, il y a deux ans, l’observation passionnée du «phénomène» Macron. Plus ou moins critique selon les médias, ce décorticage a assurément manqué à l’époque de lucidité, chez presque tout le monde, quant au positionnement politique du chef de l’Etat – cette fâcheuse croyance au «ni droite ni gauche». Le reproche est aujourd’hui constitutif de la détestation des gilets jaunes pour la presse. Mais curieusement, il ne revient pas naturellement dans les conversations. «On s’est pris au jeu de Macron, concède enfin une figure de LCI. On a peut-être manqué de discernement. Il nous a fascinés, intéressés. Eblouis au point de manquer de recul ? Je constate qu’on ne l’épargne pas depuis qu’il est au pouvoir, depuis l’histoire de la baisse des APL [allocations pour le logement, ndlr] à l’été 2017. Mais, avant cela, on s’est peut-être emballés, on a suscité une forme d’enthousiasme et d’attente. Malgré nous.» La faute à un manque de diversité politique dans la profession, encore ? Toujours se méfier des généralités. Mais… «Dans le milieu, la remise en cause du système global est faible, raconte Elodie Safaris, ex-iTélé. On accepte le monde libéral et capitalisé. Les gens que j’y ai rencontrés étaient souvent de gauche un peu molle, rarement de gauche ou de droite radicales. Dans les moments d’élection, on voit que tout le monde a un peu les mêmes idées.» Jadis «au service du peuple», le journalisme «est désormais honni pour être au service des élites et contre le peuple», écrivait récemment la politologue Géraldine Muhlmann dans le Monde. Et si les médias avaient majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir, critique de tous les ordres établis ?
«Les citoyens se sentent manipulés, même si ce n’est pas toujours vrai, même si beaucoup de journalistes travaillent en toute liberté. L’affaire est grave. Nous devons tous en prendre conscience.» Jean-Emmanuel Ducoin, de l'Humanité
De la même façon, rares sont les journalistes qui s’interrogent spontanément sur la concentration à l’œuvre dans le secteur de la presse. La plupart des grands médias sont détenus par quelques milliardaires ayant des intérêts industriels (c’est le cas de Libération, propriété de Patrick Drahi). Cette situation fait bouillir la marmite de critiques du grand public. Mais le milieu se distingue par son absence de réaction collective, s’abritant derrière des chartes censées les protéger des interventions extérieures. Un tort ? «Presque tous les journalistes disent qu’ils font leur métier librement, que les propriétaires ne sont pas derrière leur dos. Peut-être, mais cela nuit quand même à la crédibilité de ces médias auprès du public», s’étonne Sylvain Morvan, de l’indépendant Médiacités. «C’est un problème, pas la peine de se cacher derrière son petit doigt», convient Natacha Polony, dont Marianne est possédé par le magnat tchèque de l’énergie Daniel Kretinsky. «Ce contexte pèse énormément dans le cerveau des citoyens, s’alarme Jean-Emmanuel Ducoin, de l’Humanité. Ils se sentent manipulés, même si ce n’est pas toujours vrai, même si beaucoup de journalistes travaillent en toute liberté. L’affaire est grave. Nous devons tous en prendre conscience.» On a jamais fini de faire son autocritique.
Les chaînes d'info, mal aîmées des gilets jaunes et des journalistes
Pauvres chaînes d’information en continu. On les savait qualifiées d’«ennemies» par certaines figures des gilets jaunes et vilipendées par le pouvoir politique pour leur médiatisation massive de la mobilisation. On les découvre, au cours de notre enquête auprès de vingt-cinq journalistes, tout autant critiquées par leur corporation, qui leur reproche de donner une mauvaise image du métier.
«On ne fait pas le même métier»
Dans le discours commun, elles sont devenues – et la plus puissante d’entre elles, BFM TV, au premier chef – le symbole de la «malinformation» de notre époque. Comme l’était TF1 dans les années 90, quand l’antenne de Bouygues, au sommet de sa gloire, rythmait l’actualité. Et lorsqu’on interroge des journalistes de la presse écrite, le mépris que les chaînes d’info inspirent s’exprime sans filtre. «On ne fait pas le même métier, balance Eric Fottorino, directeur de l’hebdomadaire le 1 et ex-patron du Monde. Elles organisent le spectacle autant qu’elles le captent.» Grand reporter au Monde, Philippe Ridet ne dit pas autre chose : «BFM TV te vend l’idée qu’il peut se passer quelque chose à tout moment. C’est le meilleur compagnon de la solitude. Si tu regardes les images des gilets jaunes, tu as l’impression que c’est la guerre civile.»
La focale grossissante et répétitive caractéristique des chaînes d’info, en édition spéciale quasi permanente sur les gilets jaunes depuis deux mois, concentre les critiques. «Cette boucle d’image modifie la perception du réel», ­observe la patronne de Marianne, Natacha Polony, pourtant habituée de leurs studios. Schématiquement, la profession, à qui l’on enseigne que la précipitation est le pire ennemi du bon travail, tance la course à l’immédiateté à laquelle se livrent les chaînes d’info, incarnée par ces reporters débitant des duplex «sur place» à la chaîne. Où est la prise de distance nécessaire à la compréhension de l’événement ? La mise en contexte par l’addition des points de vue ?
Sur les chaînes d’info, ces tâches sont censées être le rôle des éditorialistes et chroniqueurs qui passent des heures en plateau à commenter l’actualité. Mais à force de pérorer sur tout et rien, y compris sur les sujets dont ils ne sont pas de grands spécialistes, ils essoufflent sur le fond une formule pourtant efficace au vu des résultats d’audience. «C’est du bla-bla, du vide, ça meuble en permanence. C’est insupportable. Ça te donne envie de casser ta télé», s’emporte Nolwenn Le Blevennec, rédactrice en chef de Rue89 à l’Obs.
«Il y a parfois un effet d'emballement à l'antenne»
Arrive-t-on à un point de bascule ? La violence de la crise des gilets jaunes à l’égard des chaînes d’info a été telle que ces critiques ont infiltré les rédactions. Depuis peu, elles émergent en interne. A BFM TV, une grande réunion a été organisée le 8 janvier, lors de laquelle les journalistes ont vidé leur sac. Certaines stars de l’antenne, comme Alain Marschall, sont allées jusqu’à remettre en cause la couverture de certains épisodes – en l’occurrence l’hypermédiatisation de la seconde arrestation d’Eric Drouet, l’une des figures du mouvement actuel. «Il a beaucoup été question de la place du reportage à l’antenne, rapporte François Pitrel, président de la Société des journalistes de la chaîne d’info en continu. On a envie que le travail de la rédaction soit davantage valorisé. Il y a parfois un effet d’emballement à l’antenne, on a du mal à lâcher une actualité.»
Sous couvert d’anonymat, une reporter déplore la propension de la chaîne à «feuilletonner» un seul événement pendant des heures, voire des jours – une méthode qui s’est installée selon elle depuis l’incroyable campagne présidentielle de 2017. «Cela revient à dire : la seule chose digne d’intérêt, c’est ça. Mais en vertu de quoi décidons-nous cela ?» s’interroge cette consœur, précisant «aimer» sa chaîne malgré tout. Une autre regrette que BFM TV «donne trop la parole à des gens qui s’autoproclament experts de quelque chose» , visant notamment les éditorialistes qui parlent en leur seul nom, mais engagent toute la rédaction dans l’esprit des téléspectateurs. A BFM TV, en treize ans d’existence, on n’avait jamais assisté à une telle libération, et si critique, de la parole. «Ce dialogue est positif et constructif», se réjouit son patron, Hervé Béroud. Des groupes de travail ont été constitués pour réfléchir à des changements et des améliorations. Ils doivent être annoncés à toute l’équipe en début de semaine prochaine.
Textes Jérôme Lefilliâtre Photos Thibaud Moritz, Stéphane Lagoutte, Arnold Jerocki / Divergence, Cyril Zanettacci / Agence Vu pour Libération ; Sébastien Calvet / Divergence Production Libé Labo
Article publié le samedi 19 janvier 2019.
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entomoblog · 4 months
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L'apollon : Aidez-nous à mieux connaître la répartition de ce papillon en nous signalant vos observations en Franche-Comté !
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L’apollon est un magnifique voilier qui ne montre le bout de ses antennes que de la mi-mai à la fin août. Il fréquente les pelouses sèches montagnardes à dalles rocheuses riches en fleurs sur lesquelles poussent diverses espèces d’orpins, et notamment l’orpin blanc (Sedum album), plantes nourricières de sa chenille.
  L'apollon : en quête d'insectes
  "Autrefois connu de quelques localités de plaine, les effets du changement climatique couplés à la destruction ou la modification de ses habitats ont obligé l’espèce à migrer en altitude afin d’y (re)trouver les conditions idéales à son développement. Ainsi, il n’est aujourd’hui plus observé en dessous de 800 m en Franche-Comté (sauf exceptions à la marge), soit une remontée spectaculaire d’environ 300 m d’altitude en 20 ans ! Il est ainsi considéré comme vulnérable sur la Liste rouge de Franche-Comté. Afin d’améliorer les connaissances fondamentales sur sa distribution régionale, un travail de recensement des stations occupées a été engagé entre 2021 et 2023. Les résultats obtenus indiquent que la tendance supposée à la régression s’est confirmée, avec une situation très préoccupante pour le Doubs et une contraction en altitude dans leJura. Aussi, afin d’aider les équipes du CBNFC-ORI et du PNR du Haut-Jura à préserver les stations encore existantes en encourageant la mise en place de mesures de conservation des populations encore dynamiques, nos deux structures accompagnées de l’OPIE vous invite à participer à une enquête dédiée à cet emblème de nos montagnes."
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esidwaya · 2 years
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Promotion culturelle et touristique : Le FDCT se décentralise dans les Hauts-Bassins à travers l’ouverture d’une antenne régionale
Promotion culturelle et touristique : Le FDCT se décentralise dans les Hauts-Bassins à travers l’ouverture d’une antenne régionale
Composée de deux cellules – l’une en charge de l’accompagnement financier et l’autre du renforcement des capacités et de l’information – l’antenne régionale du Fonds de développement culturel et touristique(FDCT) dans les Hauts-Bassins est officiellement ouverte. C’est la ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Valérie Kaboré, qui a lancé, le mardi 05 juillet 2022, à…
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lemiroirdelinfo · 2 years
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Bobo-Dioulasso : le FDCT à désormais son antenne régionale des Hauts-Bassins
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ka9oukeuktakal · 3 years
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Didier Raoult va être poursuivi par l'Ordre des médecins, une procédure "banale" selon son avocat. L'Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône a décidé de porter plainte contre le professeur Didier Raoult, a annoncé ce jeudi sur BFMTV son avocat Me Fabrice Di Vizio, confirmant une information du Parisien. Le professeur Didier Raoult va comparaître devant les instances disciplinaires de l'Ordre des médecins après le dépôt d'une plainte lui reprochant neuf entorses déontologiques, comme la violation de la confraternité, l'information erronée au public, l'exposition à un risque injustifié ou encore le charlatanisme. Il lui est également reproché d'avoir fait la promotion de l'hydroxychloroquine pour lutter contre le Covid-19. Didier Raoult poursuivi par l'Ordre des médecins Cette promotion contrevient à l'article R.4127-13 du code de la Santé publique qui dispose que "lorsque le médecin participe à une action d'information du public de caractère éducatif et sanitaire, il doit ne faire état que de données confirmées, faire preuve de prudence et avoir le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il doit se garder à cette occasion de toute attitude publicitaire". "Je n'ai aucune inquiétude" C'est à la suite d'une plainte déposée par la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) que l'Ordre des Bouches-du-Rhône a convoqué le professeur le 6 octobre dernier. Didier-Raoult- Puis l'instance a décidé, en assemblée plénière, de transmettre la plainte du SPILF auprès de la chambre disciplinaire régionale. Cette procédure intervient après de nombreux signalements déjà adressés à l'Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône. A lire aussi  Didier Raoult parle de Coronavirus d’une « manipulation » et dénonce le « plus grand scandale scientifique de tous les temps » "Des médecins qui sont poursuivis par l'Ordre, c'est parfaitement banal. Je n'ai aucune inquiétude. Ce n'est pas parce que Didier Raoult est poursuivi qu'il va être condamné", a assuré son conseil sur notre plateau. Le fait que le Conseil de l'ordre des médecins des Bouches-du-Rhône ait pris la décision de se joindre à la plainte du SPILF lui donne de la portée. En effet, celle-ci n'était initialement pas recevable car seul le ministre de la Santé, le procureur, le directeur de l'ARS et les conseils départementaux de l'Ordre ont le pouvoir de poursuivre les praticiens hospitaliers dans l'exercice de leur fonction de service public. "Le Pr Raoult ne sera pas radié" Didier Raoult devrait comparaître devant la chambre disciplinaire régionale de l'Ordre des médecins "dans quelques mois", a indiqué son conseil à l'Agence France-Presse (AFP). Cette chambre, présidée par un magistrat administratif, peut décider de sanctions allant d'un simple avertissement à une radiation. "J'ai une expérience incontestée de ces dossiers. Ceux qui pensent la radiation du Pr Raoult possible n'ont jamais mis les pieds devant la chambre disciplinaire. Moi vivant, le Pr Raoult ne sera pas radié et ne sera pas condamné", a affirmé Me Fabrice Di Vizio sur notre antenne. Aucun calendrier ni date d'audience n'ont pour l'heure été fixés. "Cela va être long et cela nous amènera sans doute en 2021", a commenté à l'AFP l'Ordre national, en précisant que le délai de traitement de ce genre de plaintes par les chambres disciplinaires de première instance était de 10 mois en moyenne.
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entomoblog · 5 months
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Enquête sur la tenthrède Elinora maculipes – OPIE antenne Occitanie
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Le CEN Occitanie travaille actuellement sur la définition d’une liste régionale ZNIEFF des Hyménoptères Symphytes (plus communément appelés tenthrèdes), dont la biologie est proche de celle des papillons. Afin d’améliorer nos connaissances, le CEN et l’Opie lance une enquête sur une espèce emblématique et mal connue, récemment découverte dans la région, Elinora maculipes. Très rarement observée au niveau national, toujours sur les fleurs d’Iberis amara sa plante-hôte probable, il s’agit d’une des très rares tenthrèdes connues uniquement en France.
Que vous vous intéressiez aux insectes ou aux plantes, votre aide nous sera précieuse ! Nous avons préparé une fiche pour vous aider à chercher et à reconnaitre l’espèce sur le terrain :
  Fiche-synthetique-Elinora-maculipes_avril-2023
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