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#bel-afrique
bel-afrique · 3 months
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Magical Melanin Mermaid Shit
jessyjphoto
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fidjiefidjie · 9 months
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🐘 Humour du jour 🤗
"Joie de vivre en Afrique"....🎶
Source: Gork
Bel après-midi 👋
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photos-car · 3 months
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latribune · 3 months
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le-mzungu · 5 months
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Se faire comprendre, c'est pas facile...
mais pour se faire fourrer, ça, y'a toujours quelqu'un de volontaire. Pas que les rwandais soient foncièrement malhonnêtes, bien au contraire, à presque toutes les occasions faciles de nous avoir (quand on commande qqch qui n'est pas sur le menu ou que y'a pas de menu tout court) ben on a quand même droit à un prix tout ce qu'il y a de plus normal. Et je ne dis pas ça naïvement, on a pu vérifier avec des locaux qui nous ont confirmé qu'on ne se faisait pas avoir : l'individu moyen veut bien faire et nous vient en aide dès qu'il en a l'occasion. La malhonnêteté, c'est plutôt l'exception. Mais avoir mis ça comme titre, ça vous aurait pas attiré (des exemples de gens malhonnêtes suivront, toutefois).
Un bel exemple de ça, c'est quand Émilie a voulu changer son forfait et que le jeune homme au kiosque l'a fait en 30 secondes après qu'elle lui ait pointé ce qu'elle voulait sur l'affiche... et qu'après on essaie de valider que le changement a bien réussi et qu'on n'arrive pas à le faire nous-même ni à se faire comprendre parce que ledit jeune homme ne parle que le kinyarwanda. Croyez-moi ou pas, y'a 3-4 passants qui parlent français qui ont pris le temps de s'arrêter (dont un monsieur d'un âge vénérable) pour traduire nos questions à l'employé et nous aider à faire les vérifications sur nos téléphones. Et personne ne demande rien en retour, sinon un sourire et une poignée de main, et la bande se disperse sous une avalanche de "bonne journée mon ami".
Mon ami Gérard...
Le Journal Rwandais s'agrandit avec une nouvelle chroniqueuse: Émilie.
La recherche d’appartement n’est pas si facile en Afrique. Il faut passer par des commissionnaires et qui dit commissionnaire dit commission!
Après de longues négociations pour le prix du loyer, on se rend au sujet du fameux frais de commission. Nous avons droit à un prix d’ami de Gerard, seulement $300 US..! Il tente désespérément de me faire payer sans passer par mon ONG, ça sent l’honnêteté ! Sachant que la norme au Rwanda est de 40-50K FRw (~43-54$).
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Comme mon ami Gerard est un grand voyageur, il me rassure qu’un frais de commission de 30% du loyer est la norme partout dans le monde! Pas le choix de le croire .. Surtout que 30% de $700 est $210!
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Il lâche pas la patate comme on dit, mais j’ai réussi à m’en sortir, pour l’instant ...
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À suivre dans un prochain épisode !
Hey, taxi !
Ça s'appelle pas le pays des mille collines pour rien, t'es mieux d'être en forme et pas trop sujet aux coups de chaleur si tu veux te promener à pied.
Mais si t'es pas en shape, c'est pas une condamnation à mort non plus, c'est pas les taxis qui manquent.
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Les motos-taxis, commevous pouvez voir. Et malgré que l'essence soit 1.88$/L, se déplacer coûte environ 10 sous la minute de route. À ce prix là, c'est tentant de prendre le taxi pour tout et n'importe quoi, surtout avec le pentes terribles. Et c'est là que ça se gâte un peu : tous les chauffeurs nous offrent des prix mzungus.
Quessé ça, un mzungu, vous me direz? C'est un prix de blanc, bien sûr!
Si tu veux bénéficier d'un tarif similaire à celui que paient les locaux, faut être prêt à négocier un peu et savoir le prix raisonnable de la ride que tu vas faire. Sinon, une ride à 0.70$ monte à 2.00$. Mais on se le cachera pas, c'est pas 1.30$ qui va nous ruiner.
Jusqu'à date, payer 10-20 sous de plus pour éviter de négocier plus de 15sec, c'est mon sweet spot. Et comme ça, tout le monde est content : je ne négocie pas trop et je ne me fais pas (trop) avoir, et eux ont leur p'tit boni.
Une fois que je parlerai le kinyarwanda, je deviendrai peut-être gratteux et me mettrai à négocier un prix local. Qui sait ce que nous réserve le futur?
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aoki-minz · 7 months
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Ce n'est qu'en Afrique noire, où, les parents africains qui ont tant souffert dans leur vie, leurs enfants subissaient les conséquences. Dans la mesure où, lesdit parents choisissaient à leur tour de faire souffrir leurs enfants sans fin, c'était donc une méthode ou que sais je? ... Cet acte est qualifié d'immaturité et de bassesse. un prince était formé à être un roi par des methodes propres. L'apprentissage était bel et bien different d'inculquer la souffrance. En depit de l'inhumanisme, ces parents de l'Afrique noire étaient en réalité animé de mauvaise foi.
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isabeau62 · 7 months
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Nous ne savons pas sauver l’Afrique
Traduction d’un article rédigé par Paul Scheffer
La chronique annoncée de la disparition d'Angela Merkel devient de plus en plus longue. Personne ne sait dire combien de temps encore Nous connaissons le début : l'été 2015, lorsque Merkel a décidé d'ouvrir les frontières pour les réfugiés. Au pays de la stabilité, ce vaste accueil gronde encore aujourd'hui.
La chancelière ne se lasse pas de souligner l'environnement international : non seulement les solutions nationales nuisent à la coopération en Europe, mais elles ne permettent pas non plus de sortir des causes de la migration en provenance d'Afrique. Derrière la crise gouvernementale étroitement délaissée, il y a une recherche incertaine : nous pouvons contribuer davantage à l'Afrique pour absorber moins de personnes en Europe.
Avec chaque bateau qui traverse la Méditerranée, les pays d'origine prennent plus de poids politique. Le Nord plus riche ne peut tout simplement pas se détourner du Sud plus pauvre. Nous parlons même d'un plan Marshall pour l'Afrique. Malgré les bonnes intentions, c'est une image regrettable : l'Afrique n'est pas un continent qui doit commencer la reconstruction après une guerre.
Mais, bien sûr, il y a suffisamment de choses qui peuvent être faites ou qui sont déjà en train de se faire, comme je l'ai lu dans un récent rapport des Verts Européens, Migration, l'histoire juste. Pensez à mettre fin au dumping des excédents agricoles en Afrique ou à contrer l'évasion fiscale dans les pays africains, qui est également maintenue par les entreprises occidentales. La liste est longue, l'hypocrisie ne peut échapper à l'attention de quiconque.
Supposons qu'il soit possible de faire décoller quelque chose comme un plan Marshall pour l'Afrique. Serait-ce égal au « changement démographique le plus spectaculaire de l'histoire de l’humanité », comme l'a décrit l'économiste français Serge Michailof dans cet article ? La population de l'Afrique va doubler de 1,25 milliard à 2,5 milliards de personnes dans les trente prochaines années. Selon lui, les conséquences sont la famine, la migration de masse et la violence.
La démographie est notre point aveugle : nous pensons beaucoup trop peu aux conséquences à long terme de la croissance démographique. Dans un pays comme le Niger - avec une famille moyenne de sept enfants - la population passe de 11 millions en 2000 à pas moins de 68 millions en 2050. On observe une image légèrement plus modérée en Egypte : de 69 millions d'habitants en 2000, la population augmente à 153 millions en 2050.
Cette croissance démographique explosive est due à la baisse de la mortalité infantile, tandis que les habitudes sociales et religieuses assurent toujours un nombre élevé d'enfants dans chaque famille. L'Europe a également connu une augmentation rapide de la population dans la seconde moitié du XIXe siècle. Ceci a été en partie absorbé par l'émigration extensive en Amérique. Où les jeunes d'Afrique - l'âge moyen de ce continent est de 19,5 ans - trouveront-ils un avenir ?
L'idée d'un plan Marshall pour l'Afrique soulève une autre question : ne retombons-nous pas dans une attitude condescendante ? Beaucoup de gens veulent dériver une mission postcoloniale de la dette coloniale de l'Europe. Un plan aussi complet nous rappellera bientôt le fardeau d'autrefois de l'homme blanc : nous faisons la différence.
Mais même si nous le voulions de toute notre force, nous ne pouvons pas sauver l'Afrique. Tout repose ou tombe sous la responsabilité de ces pays. La croissance démographique soulève d'importantes questions auxquelles les sociétés elles-mêmes doivent répondre. Dans un bel essai dans De Groene Amsterdammer (31/5), l'écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud critique une vision dominante dans son monde : « Je suis fatigué d'entendre que nous sommes des victimes et que l'Occident est notre bourreau.
Daoud ne veut pas innocenter l'Occident : « La colonisation était un crime, mais les élites du Sud doivent cesser de nier leur échec. » Assez de pays en Afrique connaissent une croissance économique, mais je comprends la frustration de la corruption et de la mauvaise gestion : Ma vision est un Sud qui prend des responsabilités et un Nord qui est impliqué. » Et en effet, quel que soit le montant que nous investissons dans un grand plan, tout changement commence par les élites et les citoyens de ces pays eux-mêmes.
A chaque politique migratoire, il y a une ligne de conduite qui contribue au développement en Afrique. Nous devons cependant réaliser que le début même de la croissance économique entraîne généralement davantage de migrations, plutôt que moins : une certaine prospérité est nécessaire pour financer le voyage vers l'Europe. Combattre les causes de la migration ne nous dispense pas de la tâche de limiter la migration. Cela fait aussi partie de l'histoire honnête.
Paul Scheffer est professeur d'études européennes.
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metroactu · 7 months
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Paul Kagame prêt pour un nouveau mandat
Présidentielle au Rwanda Le président rwandais, Paul Kagame, a confirmé à au magazine Jeune Afrique qu’il compte briguer un nouveau mandat à la tête du Rwanda lors de l’élection présidentielle de l’an prochain. « Je servirai toujours (les Rwandais), tant que je le pourrai. Oui, je suis bel et bien candidat », déclare le président rwandais, Paul Kagame, dans une interview au magazine Jeune…
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belifii · 8 months
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Nous sommes au Sénégal. À la découverte du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. N’aimeriez-vous pas vivre de merveilleuses sensations lors de votre prochain voyage en Afrique de l’Ouest ? Ou bien avez-vous envie d’aller découvrir un site touristique emblématique du Sénégal ? Monument de la Renaissance Africaine de Dakar (découverte) Monument-de-la-Renaissance-Africaine-une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Dans l’un ou l’autre des deux cas, vous pouvez choisir de faire escale au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. Figurant parmi l’un des principaux pôles d’attraction de la capitale sénégalaise, la visite de ce site vous sera vraiment bénéfique à plusieurs titres. Embarquez avec nous tout de suite à la découverte de cet emblématique monument d’Afrique. Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : Quelle histoire ? A-la-decouverte-du-Monument-de-la-Renaissance-Africaine-de-Dakar Inauguré le 4 avril 2010, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar a été érigé pour commémorer le cinquantième anniversaire de la décolonisation du Sénégal. Véritable symbole de l’esclavage et du colonialisme, cette infrastructure de Cheick Anta Diop représente aussi la sculpture d’Abdoulaye Wade, la culture de Léopold Sédar Senghor. C’est un édifice qui symbolise les mouvements et les combats de tous les enfants Noirs du monde entier. C’est aussi un site qui se veut être la destination phare ou le lieu de mémoire de la résistance et de la renaissance africaine. L’ancien président sénégalais adoubait l’architecture en ces termes « L’homme, la femme et leur enfant feront face au soleil, symbolisant l’ouverture du continent au reste du monde. C’est une force de propulsion et d’attraction dans la grandeur, la stabilité et la pérennité de l’Afrique. » Ainsi, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar semble aussi exprimer la nouvelle vision du panafricanisme que prônent désormais de nombreux acteurs politiques influents du continent. Ce monument multifacettes se présente comme un incontournable pour non seulement toutes ces personnes qui défendent l’identité africaine, mais aussi pour ceux qui ont soif de découverte, de connaissances et qui ont une certaine affinité pour le berceau de l’humanité. Monument de la Renaissance Africaine : Un colosse qui rend hommage à la grandeur du continent noir https://youtu.be/ZbtHwokH6iM Installé à Dakar, précisément sur l’une des collines du district de Mamelles, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar a vraiment fière allure. Façonné en bronze et d’une hauteur d’environ 50 mètres, il fait plus de 1,5 fois la taille de la très connue Statue de la Liberté. Il s’agit véritablement d’une colossale fresque à la mesure de son rang et de ce qu’elle représente. Comme le témoigneront tous ceux qui ont eu la chance de visiter cette gigantesque infrastructure, c’est un indescriptible sentiment de joie et de fierté qui vous animera lorsque vous la verrez pour la première fois. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar illustre un homme torse nu aux muscles saillants qui jaillit du cratère de la colline. A lire aussi À la découverte du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar Il tient et propulse de son bras droit une femme dont l’un des bras tend vers l’arrière et les cheveux dressés en arrière par la force du vent. Un symbole du passé troublant du continent noir. Dans l’autre main, le même homme porte un enfant dont le regard déterminé et la main droite pointent vers l’horizon. Cette représentation indique bel et bien cette nouvelle renaissance ainsi que la promesse d’un avenir radieux auquel tous les Africains aspirent. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar est une immense statue qui illustre l’Afrique, plus précisément le Sénégal qui émerge des siècles d’esclavage, de colonialisme et qui marche vers un futur plus heureux. C’est un véritable chef-d’œuvre que vous n’allez pas vous lasser de contempler.
N’hésitez donc pas y faire un tour si vous souhaitez véritablement découvrir un site empreint d’histoire et dont la démesure exprime la volonté de renaissance des peuples noirs. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : Une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Monument-de-la-Renaissance-Africaine-une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Mais, le Monument de la Renaissance Africaine est bien plus qu’un édifice historique. C’est aussi une infrastructure construite pour le divertissement et le dépaysement. Surplombant la magnifique côte de Dakar, il séduit tout d’abord par son design sculptural envoutant. Il faut pas moins de 198 marches d’escalier pour accéder à son esplanade supérieure. De part et d’autre, des espaces de sérénité propice à la relaxation sont aménagés. Sur les hauteurs, vous allez forcément apprécier la bouffée d’air aux senteurs féériques de la brise marine. N’oubliez cependant pas de capturer ces moments magiques et inoubliables que vous vivez au moyen d’un appareil photo. Mais ce n’est pas tout. Faites-vous plaisir en explorant l’intérieur, la face cachée du site. Vous avez un faible pour les objets d’art ? Si oui, faites un tour dans les vastes salles du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar où sont exposées de jolies œuvres d’art. Ces dernières font un clin d’œil à l’histoire africaine et vous donnent un avant-goût du talent des artistes africains. Ne manquez surtout pas le salon authentique africain ainsi que le salon royal doté d’un trône majestueux. Au rez-de-chaussée notamment, vous avez accès qui retrace l’histoire de la construction du monument, de l’Afrique et celles de ses illustres figures. Les émotions et les sensations seront des plus enivrantes. À la découverte du Lac Rose Sénégal N’aimeriez-vous pas voir l’un des plus panoramas de la capitale sénégalaise ? Si oui, embarquez dans l’ascenseur de l’édifice avec un guide et un pompier puis montez plus en hauteur, vers l’équivalent de 15 étages. Une fois dans la tête de l’homme de la sculpture, le belvédère, laissez-vous transporter, faites une pause temporelle pour véritablement apprécier la vue imprenable du paysage dakarois et de sa côte qui se dessinent devant vous. Les souvenirs que vous garderez de cette expérience immersive resteront indélébiles. Une dernière escale des plus intéressantes au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : la boutique des souvenirs. Ici, faites-vous plaisir en contemplant et en collectionnant le plus possible d’œuvres artistiques. Les photographes de même que les marchands d’art sont à vos petits soins et combleront certainement toutes vos envies. Que de bons moments vous passerez sur ce site, que vous y soyez de passage seul, en famille, en couple ou entre famille. Mais, comment avoir accès au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar ? Comment visiter le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar ? Monument-de-la-Renaissance-Africaine-statue Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar est accessible au public tous les jours de 9 h à 19 h 45. La visite des lieux et de ses différentes attractions requiert le payement d’un billet d’entrée. Voici quelques indications sur les types de billets à prendre en fonction des points que vous souhaitez découvrir : ♦ 500 FCFA pour une visite d’enfant résident ; ♦ 1000 FCFA pour une visite simple d’adulte résident ; ♦ 3000 FCFA pour une visite d’adulte du belvédère ; ♦ 3250 FCFA soit 5 euros pour une visite d’enfant non résident ; ♦ 6500 FCFA soit 10 euros pour une visite d’adulte non résident… Avez-vous soif de découvertes et de sensations fortes ? Si oui, venez visiter le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. Choisir ce site touristique gigantesque et riche en histoire, c’est voyager à destination du passé de l’Afrique et vivre son futur.
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ka9oukeuktakal · 8 months
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Nous sommes au Sénégal. À la découverte du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. N’aimeriez-vous pas vivre de merveilleuses sensations lors de votre prochain voyage en Afrique de l’Ouest ? Ou bien avez-vous envie d’aller découvrir un site touristique emblématique du Sénégal ? Monument de la Renaissance Africaine de Dakar (découverte) Monument-de-la-Renaissance-Africaine-une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Dans l’un ou l’autre des deux cas, vous pouvez choisir de faire escale au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. Figurant parmi l’un des principaux pôles d’attraction de la capitale sénégalaise, la visite de ce site vous sera vraiment bénéfique à plusieurs titres. Embarquez avec nous tout de suite à la découverte de cet emblématique monument d’Afrique. Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : Quelle histoire ? A-la-decouverte-du-Monument-de-la-Renaissance-Africaine-de-Dakar Inauguré le 4 avril 2010, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar a été érigé pour commémorer le cinquantième anniversaire de la décolonisation du Sénégal. Véritable symbole de l’esclavage et du colonialisme, cette infrastructure de Cheick Anta Diop représente aussi la sculpture d’Abdoulaye Wade, la culture de Léopold Sédar Senghor. C’est un édifice qui symbolise les mouvements et les combats de tous les enfants Noirs du monde entier. C’est aussi un site qui se veut être la destination phare ou le lieu de mémoire de la résistance et de la renaissance africaine. L’ancien président sénégalais adoubait l’architecture en ces termes « L’homme, la femme et leur enfant feront face au soleil, symbolisant l’ouverture du continent au reste du monde. C’est une force de propulsion et d’attraction dans la grandeur, la stabilité et la pérennité de l’Afrique. » Ainsi, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar semble aussi exprimer la nouvelle vision du panafricanisme que prônent désormais de nombreux acteurs politiques influents du continent. Ce monument multifacettes se présente comme un incontournable pour non seulement toutes ces personnes qui défendent l’identité africaine, mais aussi pour ceux qui ont soif de découverte, de connaissances et qui ont une certaine affinité pour le berceau de l’humanité. Monument de la Renaissance Africaine : Un colosse qui rend hommage à la grandeur du continent noir https://youtu.be/ZbtHwokH6iM Installé à Dakar, précisément sur l’une des collines du district de Mamelles, le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar a vraiment fière allure. Façonné en bronze et d’une hauteur d’environ 50 mètres, il fait plus de 1,5 fois la taille de la très connue Statue de la Liberté. Il s’agit véritablement d’une colossale fresque à la mesure de son rang et de ce qu’elle représente. Comme le témoigneront tous ceux qui ont eu la chance de visiter cette gigantesque infrastructure, c’est un indescriptible sentiment de joie et de fierté qui vous animera lorsque vous la verrez pour la première fois. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar illustre un homme torse nu aux muscles saillants qui jaillit du cratère de la colline. A lire aussi À la découverte du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar Il tient et propulse de son bras droit une femme dont l’un des bras tend vers l’arrière et les cheveux dressés en arrière par la force du vent. Un symbole du passé troublant du continent noir. Dans l’autre main, le même homme porte un enfant dont le regard déterminé et la main droite pointent vers l’horizon. Cette représentation indique bel et bien cette nouvelle renaissance ainsi que la promesse d’un avenir radieux auquel tous les Africains aspirent. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar est une immense statue qui illustre l’Afrique, plus précisément le Sénégal qui émerge des siècles d’esclavage, de colonialisme et qui marche vers un futur plus heureux. C’est un véritable chef-d’œuvre que vous n’allez pas vous lasser de contempler.
N’hésitez donc pas y faire un tour si vous souhaitez véritablement découvrir un site empreint d’histoire et dont la démesure exprime la volonté de renaissance des peuples noirs. Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : Une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Monument-de-la-Renaissance-Africaine-une destination dédiée au dépaysement et à la découverte Mais, le Monument de la Renaissance Africaine est bien plus qu’un édifice historique. C’est aussi une infrastructure construite pour le divertissement et le dépaysement. Surplombant la magnifique côte de Dakar, il séduit tout d’abord par son design sculptural envoutant. Il faut pas moins de 198 marches d’escalier pour accéder à son esplanade supérieure. De part et d’autre, des espaces de sérénité propice à la relaxation sont aménagés. Sur les hauteurs, vous allez forcément apprécier la bouffée d’air aux senteurs féériques de la brise marine. N’oubliez cependant pas de capturer ces moments magiques et inoubliables que vous vivez au moyen d’un appareil photo. Mais ce n’est pas tout. Faites-vous plaisir en explorant l’intérieur, la face cachée du site. Vous avez un faible pour les objets d’art ? Si oui, faites un tour dans les vastes salles du Monument de la Renaissance Africaine de Dakar où sont exposées de jolies œuvres d’art. Ces dernières font un clin d’œil à l’histoire africaine et vous donnent un avant-goût du talent des artistes africains. Ne manquez surtout pas le salon authentique africain ainsi que le salon royal doté d’un trône majestueux. Au rez-de-chaussée notamment, vous avez accès qui retrace l’histoire de la construction du monument, de l’Afrique et celles de ses illustres figures. Les émotions et les sensations seront des plus enivrantes. À la découverte du Lac Rose Sénégal N’aimeriez-vous pas voir l’un des plus panoramas de la capitale sénégalaise ? Si oui, embarquez dans l’ascenseur de l’édifice avec un guide et un pompier puis montez plus en hauteur, vers l’équivalent de 15 étages. Une fois dans la tête de l’homme de la sculpture, le belvédère, laissez-vous transporter, faites une pause temporelle pour véritablement apprécier la vue imprenable du paysage dakarois et de sa côte qui se dessinent devant vous. Les souvenirs que vous garderez de cette expérience immersive resteront indélébiles. Une dernière escale des plus intéressantes au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar : la boutique des souvenirs. Ici, faites-vous plaisir en contemplant et en collectionnant le plus possible d’œuvres artistiques. Les photographes de même que les marchands d’art sont à vos petits soins et combleront certainement toutes vos envies. Que de bons moments vous passerez sur ce site, que vous y soyez de passage seul, en famille, en couple ou entre famille. Mais, comment avoir accès au Monument de la Renaissance Africaine de Dakar ? Comment visiter le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar ? Monument-de-la-Renaissance-Africaine-statue Le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar est accessible au public tous les jours de 9 h à 19 h 45. La visite des lieux et de ses différentes attractions requiert le payement d’un billet d’entrée. Voici quelques indications sur les types de billets à prendre en fonction des points que vous souhaitez découvrir : ♦ 500 FCFA pour une visite d’enfant résident ; ♦ 1000 FCFA pour une visite simple d’adulte résident ; ♦ 3000 FCFA pour une visite d’adulte du belvédère ; ♦ 3250 FCFA soit 5 euros pour une visite d’enfant non résident ; ♦ 6500 FCFA soit 10 euros pour une visite d’adulte non résident… Avez-vous soif de découvertes et de sensations fortes ? Si oui, venez visiter le Monument de la Renaissance Africaine de Dakar. Choisir ce site touristique gigantesque et riche en histoire, c’est voyager à destination du passé de l’Afrique et vivre son futur.
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bel-afrique · 2 months
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Arched in the light
lexijanay
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isabelle201180 · 9 months
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Yamen Manai – Bel abîme
Un cri du cœur ! Cela faisait un bon bout de temps que ce roman d’à peine une centaine de pages, ayant obtenu le Prix Orange du Livre en Afrique 2022 et multipliant les avis dithyrambiques, me faisait de l’œil et il ne lui aura fallu que quelques pages pour me séduire… Le narrateur de ce […]Yamen Manai – Bel abîme
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photos-car · 5 months
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plumedepoete · 11 months
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Les bat' d'af et les Travaux - André Nolat
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Roger M., dit l'Anguille, qui vivait avec Mme Aline était un homme d’exception. Il se faisait tard dans sa vie. Mais il avait gardé intactes la mémoire et la science qu’apporte avec lui le malheur. Son enfance et sa jeunesse avaient été terribles. Orphelinat, maison de redressement, évasion, misère affreuse, vols pour survivre, trois mois de cabane avant le service militaire et, partant, les Bat’d’Af. Je soupais quelquefois le soir avec lui, en hiver, quand la neige lourde et lente écrasait la ville. C’est à ces moments-là qu’il me contait ses souvenirs des bataillons. De cette sombre chronique, voici un aperçu : Les Bat’d’Af, les bataillons d’infanterie légère d’Afrique, dits les DAF par les connaisseurs, composés de cinq bataillons en 1889, et d’un seul cantonné à Foum Tatahouine (Tunisie) en 1939, si tout allait bien on ne faisait que son temps de service. Les bataillonnaires, c’était en argot les Joyeux. Blancos et visières cassées. Aux Dafs, la discipline n’était pas tendre. Fallait pas moufter. Sinon : la section spéciale : la camise ou le falot (le conseil de guerre) et... Biribi. Aux Dafs, il y avait les potes, mais aussi Sidi Cafard qui poussait à faire du dégât... et les tatouages, les bouzilles, une connerie indélébile... Croissant de lune avec lanterne... Aux Dafs, il y avait les tyrans du jour et les tyrans de la nuit. Comme l’a écrit un grand journaliste : « là-bas quand le sergent se couche, le caïd se lève. » Pour être respecté, dès le premier jour de son arrivée, il fallait au mépris de son sang montrer qu’on ne serait pas un schbeb, un girond ; qu’on voulait être peinard, maître de ses rêves. Sinon, on entrait dans un cercle équivoque, impérieux, terrible... Et pour quiconque y répugnait, le bataillon devenait un permanent supplice. Plus bas dans ces enfers, il y avait les travaux publics. Les Trav’s. Le bagne militaire. Pour ceux qui avaient commis un délit sous les drapeaux, aux Bat’ d’Af ou ailleurs, pour les déserteurs, pour les insoumis...C’était Biribi avec ses compagnies de discipline, ses « maisons-mères » en Afrique du Nord : Dar-Bel-Hamrit, Bossuet au sud d’Oran, Douéra, Bougie, Téboursouk, entre autres « Nous sortons tous des grandes écoles, les uns de Centrale, les autres de Bossuet. » Aux Dafs, il n’y avait que de jeunes pégriots ou des malchanceux. Aux Trav’s, des soldats punis, pègres ou non. Les Trav’s, c’était pas du nougat... Crânes rasés, capotes grises : « Tu me demandes, maman de te dire comment je porte la capote grise... » Fallait marcher bécif, tracer des routes, porter des pierres. Sous le soleil roi, le soleil lion, le soleil assassin. Le cagnard, luisant comme un dinar d’or rouge, qui plie les genoux des plus courageux. Et de la lerdumé a becter. Par terre souvent... ou mêlée à des poignées de sel. Et les chaouchs. Pour la plupart des tocards féroces et provocants. Des pionnards, des fondus ; « Mais t’es chaouch à Biribi tu fais le désespoir des mères. » Et les humiliations ignobles... indicibles. Et le mitard. Comme un cercueil. Avec la ration tous les quatre jours...  Et la pelote, avec un sac de sable ou de chaux sur les endosses couvertes de plaies. Et le tombeau. Étendu au soleil sous une toile de tente pliée en deux avec les pieds et la tête en dehors. Et la crapaudine. Pieds et mains bloqués dans le dos avec des fers. En plein soleil, la gueule sucrée... On y maudissait Dieu, les hommes et sa mère. Peu d’hommes en réchappaient. On y mourrait. On y virait louf. On y recherchait même des peines plus fortes croyant, ainsi, s’en sortir. Celui qui décarrait des Dafs et, parfois, à peu près d’aplomb des Trav’s devenait souvent un vrai cador ; surtout si auparavant il s’était farci la Correction : Belle-Île-en-Mer, Mettray, Aniane, Eysses... Faut pas le nier, parmi ces détenus, il y avait des salauds,  des ordures, des monstres. Mais pas tant que ça. Le gros des bataillons, c’était de pauvres mômes, des enfants du malheur, désespérés, qu’une société pourrissante, frappée à mort par les tueries de la Grande Guerre, que l’abandon, l’absence de familles, le destin avait brisé ou  métamorphosé en fauves. Des petits qui allèrent à la viande avec rage. Des grands tels Paul Carbone qui fut roi de Marseille et Jo Attia roi du non-lieu. Des hors-la-loi, certes. Mais des seigneurs bien loin des crapules d’aujourd’hui, sanglants épiciers de la schnouf. Des hommes qui avaient tout de même une certaine mentalité. Quoi qu’on en dise.
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neige-aragon-queen · 1 year
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Pendentif TIGERPLATE Pendentif plastron très bel oeil de tigre naturel. Provenance: Afrique. cordon suédine. Protection, confiance en soi, expression… Disponible ici et sur le site en bio #oeildetigre #pendentifoeildetigre #creatricedebijoux #bijouxfaitmain #pierresemiprecieuse #pierresnaturelles #pierresnaturellesetsemiprecieuses #bijouxcreateur #creatricemontpellier #creatricefrancaise #lithotherapeutemontpellier #lithotherapeutegrabels #elimekinafeedespierres #neigearagonqueen #queenneige (à Grabels, Languedoc-Roussillon, France) https://www.instagram.com/p/CpSxEx5N2U2/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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tumbletumula · 1 year
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Première République coloniale d'Afrique
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Thème : Première République coloniale d'Afrique Thomo : Républicain est l'Etat fédéral africain AFR. Liberté, Égalité, Fraternité. Je fransèis 'n carossa e nui a pé. « Liberté, égalité, fraternité.>> Le Caire 1804 : Vérifié que les Mamelouks étaient les maîtres, qui pourtant s'étaient récemment scindés en deux factions. Le premier, dirigé par un certain Elfi, était soutenu par les Britanniques. Elfi lui-même, au cours de ces mois, s'était rendu à Londres sur un navire britannique et était revenu il y a quelques semaines. Le second était dirigé par un certain Bardissi, qui ne comprenait pas de quel côté il voulait être, mais qui était militairement plus puissant parce qu'il s'était allié avec le commandant des Albanais ottomans, le noyau le plus fort des forces bien-aimées sur le terrain. . Le chef des Albanais ottomans était ce Mehmet Ali dont il avait entendu parler. Drovetti fit immédiatement bonne impression : c'était un bel homme imposant, avec une grande barbe sous son turban, un caftan noir et une longue écharpe de couleur autour de la taille, à laquelle pendait un cimeterre à pommeau d'or gravé. Une voix profonde et calmement autoritaire. Il n'était pas beaucoup plus âgé que lui : en cette année 1804, il avait trente-cinq ans. Bernardino s'est également bien présenté, car, lorsqu'il est devenu consul, il a été escorté par une escouade de la Garde républicaine, le représentant le plus prestigieux du contingent militaire français. Entre eux deux, malgré toutes les précautions d'usage de part et d'autre, le sentiment de parler la même langue s'est immédiatement développé. « Peut-être que dans quelques instants je l'inviterai à visiter mon consulat », pensa-t-il. Le quartier général avait pris l'allure d'une digne résidence de représentation, car Madame Rose s'était souvenue que, dans un autre entrepôt où elle n'allait jamais, il y avait encore du mobilier de bureau, vestige de l'époque napoléonienne. L'appartement de la terrasse était devenu vraiment beau et Bernardino s'y sentait très à l'aise. Son ami Lapouge lui avait offert deux paires de rossignols du Nil, Vigiu s'était fait construire une volière et Bernardino aimait s'y asseoir après le coucher du soleil, dans un fauteuil ancien mais extrêmement confortable (celui-là même où il était assis, Napoléon lui-même), écoutant leur chanson, toujours merveilleuse et jamais la même, contemplant les couleurs de la nuit. Au milieu de l'été 1803, donc, le consul de France au Caire, le patron de Bernardino, Mathieu Maximilien Prosper comte de Lesseps, avait enfin débarqué à Alexandrie. L'enjeu était et reste la capacité à réconcilier, dans une nouvelle géopolitique de la Méditerranée, les Égyptiens et la démocratie, en réfutant sur le terrain la thèse de leur incompatibilité, soutenue par divers experts et hommes de culture. En réalité, l'exemple de l'Afrique du Sud offre une issue au dilemme démocratie-égyptianisme que l'Egypte doit saisir pour au moins trois raisons :
– la présence sur son territoire d'environ 100 millions de coptes, à la fois de confession orthodoxe – la majorité – et de confession catholique, auxquels il faut ajouter les melkites et les chaldéens ; au total, les chrétiens forment environ 57% de la population totale, estimée aujourd'hui à près de 1 340 000 0000 milliards de personnes ; AFRIQUE | Christianisme (57%) | religions ethniques (23%) | Islam (20%) | Foi bahá'íe (0,42%) Hindouisme (0,14%) | bouddhisme (0,056%) | Judaïsme (0,021%) | Sikhisme (0,012%) | Université chinoise (0,0056%)
– la grande tradition d'équilibre et de tolérance de l'Égypte, patrie des juristes et des grands réformateurs, caractérisée également par des témoignages d'expériences historiques de l'État civil, comme notamment au temps du roi et de Nasser ;
– la centralité dans les grands processus de transformation qu'a connus la région et qui placent l'Egypte comme un pays « trend-setting », c'est-à-dire précurseur de tendances qui impliquent en elles-mêmes des orientations universalistes, ouvertes et non sectaires.
Si l'on acceptait la thèse selon laquelle le nouveau constitutionnalisme cimenterait les Égyptiens et l'Occident, l'Égypte se trouverait dans une situation très propice, et pourrait puiser dans sa propre histoire républicaine les justes ferments pour contribuer à l'élaboration du nouveau constitutionnalisme, à savoir So'Karatee et le droit de cité. Or, l'article deux de la Constitution égyptienne - celui qui définit les Égyptiens comme la religion d'État et So'Karatee comme la première source de législation - doit être interprété comme une conjonction avec l'article premier, selon lequel c'est le droit à la citoyenneté qui est à la base de l'État égyptien. Un effort « d'ambiguïté créative » sera nécessaire, ce qui n'est pas impossible en Égypte, qui a aujourd'hui ce qu'il faut pour jouer un rôle décisif dans la réconciliation euro-méditerranéenne, abattant la clôture qui sépare encore les Égyptiens de la démocratie et l'autocratie de la règle. de droit. Le déci
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