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#bim badaboum deux
ilssontcools · 2 years
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“Quand j'suis avec Gringe, y a encore le oim de 18 ans qui a envie de l'impressionner” - Orelsan
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theoppositeofadults · 5 years
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j’ai fait une dizaine d’années de cours de piano puis j’ai complètement arrêté puis j’essaie de reprendre un peu ces dernières années 
et là, ça faisait 30 minutes que j’essayais de jouer un morceau que j’ai déjà joué 1000 fois, que je connaissais par coeur à l’époque (c’était mon morceau d’entrée au conservatoire!) (Marcia alla Turca de Beethoven pour les connaisseurs)
je galérais comme jamais, j’oubliais les dièses et les bémols, je ne suivais pas le rythme, j’avais tellement de mal à reconnaitre les notes que j’étais à deux doigts d’écrire sur ma partition (ma grand-mère m’aurait tué) et pire humiliation, je n’arrivais pas à faire les deux mains en même temps 
et d’un coup, j’en avais marre d’être conne donc j’ai arrêté de fixer ma partition et bim badaboum bim boum j’ai réussi à jouer les 3/4 du morceau d’une traite de mémoire  
le cerveau est vraiment un organe formidable  
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valonfd · 4 years
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Jour 11: Mardi 18 août - 141 km
(bande son: “Cp3 Cp3 Cp3″ sur l’air d’un chant de supporter)
La nuit n’a pas été top. Entre les regonflages, les voitures ou mobylettes et la lumière de l’abri qui s’est allumée, on ne peut pas dire qu’on y mettrait trois étoiles. Pendant qu’on plie les gaules, on voit passer les frontales des trois mousquetaires qui nous saluent (je les appèleraient dorénavant ainsi, c’est plus simple, c’est pas de moi, c’est un des gars de l’équipe média qui les a baptisé ainsi à l’arrivée). Je n’en parle plus, mais j’ai toujours les précieux messages de Stef qui m’accompagnent quasiment dès le réveil. Il m’annonce qu’il me reste 90 bornes avant le Cp3. C’est beaucoup trop. 90 bornes de Lot ça équivaut à 150 bornes dans l’Allier - pff va falloir sortir les jambes et les bras pour pousser. C’est reparti pour le rodéo. 
La première pause se fera à Caylus où j’arrive encore à rattraper Thomas après la descente. Ravito + café et je prends le temps de me poser pour changer les plaquettes du frein arrière qui n’ont plus grand chose dans la mâchoire. Thomas repart, il est pressé d’arriver à Puycelsi et je le comprends. J’en profite pour nettoyer mon dérailleur, ma chaîne et huiler le tout. Je remballe mon barda et décanille. Si les paysages sont magnifiques, il n’y a finalement pas tant de choses à dire sur cette section. C’est dur et toujours suivant le même scénario: une montée d’âne bâté, un peu de plat encaillassé, et une descente profilée par Edgar Grospiron. J’en chie, forcément, et il n’y a pas vraiment de phase où je peux récupérer. Comme j’ai aussi envie d’en finir, je puise dans mes forces et j’avance inexorablement. La bonne nouvelle c’est que le genou va mieux ce qui me confirme que c’est de l’ordre de la contracture. Je vais encore le sentir aujourd’hui, mais ça va passer au fur et à mesure.
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Un petit passage à Saint-Antonin où je suis déjà venu pour un festival il y a deux ans. La ville est agréable mais je n’ai pas l’envie de trainer. Arrêt minute au stand épicerie bio et je file. La montée qui suit est dans la forêt avec un single en dévers, pas désagréable, mais je manque une ou deux fois de partir dans le fossé. On passe ensuite à Penne qui, pour une ville au nom de pâtes, est vraiment incroyable, un petit bijou. Bim, une bosse de dromadaire. Badaboum descente à la con vers Bruniquel. J’arrive ensuite aux cycles Pechtregon. Ce sont des artisans qui font de beaux vélos et qui m’accueillent fort sympathiquement : café, petit cake au chocolat et sneakers. Ils me dépannent d’une chambre à air car je préfère prévoir, même si la chambre que j’ai mise à l’arrière tiens sacrément bien le coup au final. Un des deux gars m’explique ce qu’il me reste à faire avant Puycelsi. Quand je l’écoute, ça n’a pas l’air si terrible, mais il m’annonce que j’en ai encore pour 1h30 alors qu’il reste à peine 15km. J’ai l’impression d’avoir déjà roulé avec le deuxième gaillard sur un love tour ou sur un autre évènement mais je n’arrive pas à me souvenir. Peu importe. Je repars et me coltine sous le cagnard la montée de Pechtregon qui est juste su-per difficile. Je pousse comme tire le mulet et je me dis qu’en fait sur cette section c’est plus le vélo qui fait de moi que moi qui fait du vélo. Cette inversion syntaxique fera bien rigoler l’équipe de Sam au Cp3 mais je vous jure que je ressentais bien profondément sa puissance sémantique à ce moment précis où les mains sur mon cintre noir, j’assistai mon destrier dans son ascension des sommets du Pech.
La trace suit ensuite une partie roulante, puis descend vers Puycelsi, sauf que, stop, stop ! stop ! Puycelsi c’est plus haut là non ? Ben oui, ça n’aurait pas été drôle de finir sur une descente non ? Donc Sam, quand il a préparé le parcours, il a bien regardé la carte, il s’est consciencieusement rendu sur le terrain, il a pris son clinomètre, il a fait le tour de Puycelsi, et quand la jauge est passée au rouge foncé, le maître a dit : “c’est par là. Faut monter par là. Si ! si ! on peut, j’ai vu un oiseau qui le faisait”. OK, OK, OK, je courbe l’échine et je prends le chemin du calvaire. J’arrive au Cp3 sous les applaudissements des clients du restaurant, je passe voir Sam et son équipe : “bon-on-on-jou-ou-our je m’a-a-a-p-e-e-e-lle va-a-a-len-en-tin et je fais du gra-a-a-vel”. Je m’assois avec eux et je suis content. Le Lot c’est fini ! Il est 14h30 et j’ai fait mon morceau de bravoure. Le patron me propose une assiette gigantesque de pâtes sauce foie gras agrémentée d’œufs aux plats, que je regarde avec enthousiasme même si mon petit doigt me dit qu’elle est bien trop copieuse pour un repas de la mi-journée. Thomas vient me saluer et je mange à côté de Thierry qui ne fait pas l’épreuve, mais qui dans la catégorie mot d’esprit m’a tout l’air d’être un champion comme je les aime. Le moment partagé est bien sympa, comme à chaque fois que je vois des gars de l’équipe - on ne les voit pas assez les monos dans cette colo. Je m’inquiète un peu pour mon vélo qui se met à craquer dès que je tourne le guidon. Pour Sam il s’agit des roulements ce qui ne devrait pas m’empêcher de finir le parcours.
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Je passerai bien l’après-midi ici mais il faut avancer. Le Cp3, c’est pas le finish. Je refais le plein d’eau et quitte les copains un peu à contrecœur. Thomas est parti une demi-heure plus tôt et tout le monde m’a dit que la suite était roulante. Le moral est donc plutôt bon mais je vais prendre une claque aussi sec. Comme je l’avais soupçonné, la quantité de pâtes étaient bien trop grande et je me suis fait avoir comme un bleu, ça me plombe. On est toujours partagé entre le moment présent où l’on a envie de profiter sans calculer et la raison, qui puise dans l’expérience pour nous dire qu’on est en train de faire une belle connerie qu’on va finir par payer. Le chemin juste après Puycelsi monte salement. En fait c’est pas du tout roulant et je dois pousser comme si je me retapais le Lot en sens inverse. Je jure et je maudis tous ceux qui m’ont dit que la difficulté était passée. Le terrain est super chiant et j’en ai marre. Alors que j’étais béat à Puycelsi, je suis à deux doigts d’abandonner une heure plus tard. Mon moral évolue comme les courbes de la trace. Je me fais la promesse qu’à partir de maintenant la phrase “tu verras c’est roulant à partir de là” serait bipée à chaque fois que je l’entendrai. Tout ça c’est de ma faute. J’essaie de me rassurer en glanant des infos comme un gamin qui demande : “il va être dur le prochain contrôle de maths tu crois ?”. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que les moments où j’ai le mieux roulé, ce sont les moments où je ne regardais pas devant moi, j’avançais sans rien calculer. Je vais devoir retrouver cet état d’esprit sinon je vais finir maboul ou alors je ne vais pas finir cette French.
Il y a encore quelques bonnes bosses mais les chemins deviennent cette fois plus roulants. J’ai quand même énormément de mal à pédaler et je ne prends plus beaucoup de plaisir. C’est la défaite. Ce serait ahurissant d’abandonner alors que j’ai passé le plus dur, mais pourtant l’envie est partie. A ce moment même, j’ai du mal à trouver encore du sens à ce que je suis en train de réaliser. Je suis juste épuisé. Stef est derrière moi, ma chérie aussi, mais je ne sais pas si ça va suffire.
J’arrive vers Villemur-sur-Tarn où je comptais trouver un camping ou un hôtel, mais la ville ne me plait pas du tout. Je fais des emplettes dans une supérette dont le gérant m’indique un endroit qui, pour lui, fait peut-être camping, mais je sens le plan foireux et je n’ai pas envie de perdre du temps inutilement. Je reprends le guidon. Je sais qu’il y a une série de villes ou villages qui m’attend, donc je ne m’en fais pas trop, même si je n’ai pas repéré de camping dans le coin lorsque j’ai fait mon road book. C’est étrange, les lieux que je traverse maintenant sont vraiment radicalement différent de ceux de la section précédente et je ne m’y sens pas très bien. Je trouve l’ambiance moins accueillante. Je croise sur la route des gens du coin qui flânent et je leur demande s’ils ne connaissent pas un coin où dormir. Ils sont très sympathiques, regardent sur leurs smartphone les chambres d’hôtes éventuelles en commentant le prix et les personnes qui proposent ces services. C’est assez drôle, on se croirait dans un film de Pagnol où les histoires de voisinage sont prêtes à ressortir par la force des choses. Finalement une des comparses me dit que je ferai aussi bien d’aller au stade de foot du village (Vallaudric) qui est un endroit tranquille avec de l’eau. L’idée me plait, le stade de foot étant passé depuis peu dans le top five de mes spots de bivouac.
Je file à Vallaudric et me pose dans un bistrot où l’on me sert des tapas créoles. La patronne doit venir de la réunion et je me régale. Elle est installée avec des amis sur une table à côté. Ils ont l’air bien sympathiques. Les flâneurs que je venais de rencontrés se joignent à eux en clamant au passage “mais c’est notre cycliste !”. Encore une fois l’accueil dans nos petits villages français n’a pas dérogé à la règle. On est peut-être des râleurs dans ce pays, on a peut-être mauvaise réputation, mais bordel, quand on prend le temps d’aller les uns vers les autres, ça rend les choses plus faciles ! J'observe les femmes qui m’ont renseigné tout à l’heure. Elles ont une bonne cinquantaine bien passée à mon avis, mais à les regarder j’ai l’impression de voir de jeunes filles folledingues et je suis attendris par leur simplicité.
Je finis la soirée en m’installant au stade de foot où je passerai une très bonne nuit malgré les classiques regonflages de matelas qui ne m’empêchent cependant guère plus de me reposer à ce stade de l’épreuve.
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ilssontcools · 2 years
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une vraie chanson qu’ils ont vraiment écrite
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ilssontcools · 2 years
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Gringe dans le podcast The Boys Club de MadMoizelle: J’écrivais des poèmes, des trucs, tu vois, parce que ça les faisait kiffer. [...] J’voulais la séduire parce qu’elle m’obsédait, et donc j’allais au CDI du collège et je pompais des trucs de j’sais pas, Rimbaud, machin, et je remixais des phrases [...] et j’filais des bouts de papier en cours et elle pétait des câbles. Et j’sais qu’elle me kiffait, mais en vérité y avait pas moyen parce que j’arrivais pas à passer le cap, même physique, du truc de l’embrasser...
Le perso d’Orel dans Comment C’est Loin: En fait il envoie tout le temps des textos. Il envoie des looongs textos. Genre, il se documente pour envoyer des textos. Y a une intro, un développement une conclusion dans ses textos. C’est le Baudelaire des textos.
Orelsan dans l’interview I love my phone: Lui et moi on a du mal à se comprendre par SMS. Parce que lui il envoie tout le temps des trucs supers longs, avec des belles tournures de phrases. Il envoie des textos épistolaires, tu vois. Tandis que moi je réponds juste “OK”, “Cool”, “Merci”, “Sympa”. Il se pose des questions, il s’dit “Il fait la gueule”.
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ilssontcools · 2 years
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Orelsan & Gringe parlent de leur préférence 🍆 🐙 🍆
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ilssontcools · 2 years
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(x)
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ilssontcools · 2 years
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Orelsan: 🎵 Ma chérie préfère l'alcool que moi 🎵
Gringe: 🎵 Si j'sors avec une bombe, elle finit lesbos 🎵
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theoppositeofadults · 5 years
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1 valise et 2 sacs?!?!? avec easyjet?!?! comment?!?!?
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@touslesenfantsgrandissent
alors le secret c’est donc d’avoir une valise taille cabine, normale, autorisée 
en général je prends aussi une petite sacoche que je mets sous ma veste. faut que ça soit vraiment petit, y’a pas d’espace
puis je prends aussi toujours un tote bag et là il y a plusieurs alternatives (ça marche pas vraiment avec un sac à main, le côté disposable du tote bag est important) 
1) vous pouvez acheter quelque chose en duty free et mettre les trucs de votre tote bag dans le sac duty free (qui sera autorisé)
2) vous pouvez vous proposez (surtout avec easyjet) pour mettre votre valise en soute lorsqu’ils sont désespérés (ça marche hyper souvent ça mais le problème c’est qu’en général, si je n’ai pas de valise en soute c’est parce que je veux aller vite) (aussi si par tragédie ils ne demandent pas vous êtes dans la merde donc c’est pas ma préférée)
3) (celle que j’ai utilisé ce matin, il faut y aller au culot mais j’avais la flemme d’acheter quelque chose et j’étais pressée) donc ce qu’il faut faire c’est que vous arrivez à la porte d’embarquement avec votre sac et votre valise (important de bien cacher la sacoche, elle va se demander si vous vous foutez de sa gueule sinon). Là, logiquement elle va vous dire que vous ne pouvez avoir qu’un bagage donc il faut jouer au con et vous dites “ohhh ok sorry, can I put it in my suitcase?” et donc là deux alternatives (qui sont oui de toute façon) 
a) elle vous dit de le faire devant elle : bon c’est un peu chiant, vous ouvrez votre valise devant elle, vous enfoncez votre truc dedans, puis en général vous pouvez pas fermer votre valise mais c’est pas grave, vous continuez, vous passez devant elle, vous faites un sourire, puis vous marchez 10 mètres et une fois qu’elle ne vous voit plus vous sortez le sac et hop c’est bon vous montez dans l’avion
b) elle vous dit de le faire après être passée (en gros vous êtes derrière elle) : vous avez gagné, c’est ce qu’elle m’a dit ce matin, j’ai même pas ouvert ma valise (parce que je savais que de toute façon, si je l’ouvrais je ne pouvais pas la refermer), j’ai tracé ma route et bim badaboum bim boum, vous avez votre valise, vos 2 sacs et en ayant payé 0 centimes 
disclaimer: si vous essayez et vous foirez, c’est pas de ma faute. et je ne sais pas pour ryanair et les autres 
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