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#brebis dolly
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Quand je vois la brebis dolly clonée à l'infini, je pense aux autres cloneurs...
Les nazis
Le vatican
Les scientologues
Le Dr testard pour la France
Rael
And so on....
Pourquoi n'aurais je pas été clonée finalement... Il paraît à partir de notre ADN seulement de nos cheveux ou de la verification de notre alcoolémie
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englishindubellay · 1 month
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ecg 1
So, such, enough, too, quite, pretty, rather
Iris m'a dit qu'elle avait vu un film si ennuyeux qu'elle s'est endormie. Je parie que c'était un film de Woody Allen. S'assoupir, faire une sieste, ronfler, un cauchemar, un oreiller, a sleepwalker, sleep tight ! Sweat dreams! Time to hit the sack ! I overslept, sorry !
Je pense que Mathurin travaille trop. Il a l'air si fatigué tout le temps. Il devrait se reposer davantage, tu ne crois pas ? Être crevé, prendre un jour de congé, être en arrêt-maladie to work one's socks off, to work like a dog, être paresseux, seize the day !
Je connais bien Martin et Gautier. Ce sont des étudiants si sympathiques. A fresher, a sophomore, an undergraduate, a PhD student, an alumnus, a college student, a lecture
Tilian a dû partir. Il ne s'était pas rendu compte qu'il était si tard. Ses parents doivent être très inquiets. Un fêtard, fêter, a gig, a venue, don't lecture me ! To get told off
Anaïs est allée à un concert mais elle a dû rester debout car il n'y avait pas assez de chaises. Heureusement, le concert était bon. The Proms, the box-office, the pit, the conductor, a curtain-call, to encore, to boo, la scène, a performance, the ticket office, sold out
Antoine m'a dit que ces pommes n'étaient pas assez mûres pour qu'il les mange. Je suis tout à fait d'accord avec lui. Une pêche, une poire, une framboise, une fraise, un abricot, un ananas, un citron, une myrtille, a grape-fruit, du raisin, raisins (mot anglais)
Ce café est trop chaud pour que Jade le boive. Dis-lui d'attendre un peu. Je ne veux pas qu'elle se brûle ! A cuppa, to pour, to stir, a kettle, a coffee-pot, a pan, to boil, a mug, a latte, commander, un nuage de lait, caster sugar, a teaspoonful, un sachet de thé
Lison m'a demandé si j'étais sûre. Je lui ai dit que j'étais tout à fait sûre mais elle ne m'a pas crue. De toute façon, elle ne croit jamais personne. To be cocksure, faire confiance à, se méfier de, attention aux pickpockets, douter de, j'en doute, as sure as death and taxes
Timothée m'a dit qu'il y avait pas mal de gens au concert, ce qui est normal car ce groupe est très apprécié (popular). To attend an event, une foule, a mob, to be packed with, a venue
Ammar m'a dit que sa chambre est assez grande mais qu'il aimerait en avoir une plus spacieuse. La garde-robe, un bureau (meuble), un bureau (pièce), un porte-manteau, le matelas, la table de chevet, les meubles sont, un meuble
Mahaut n'a pas tout à fait terminé de prendre son petit-déjeuner. Elle aime prendre son temps. Tu savais qu'elle prenait des œufs brouillés tous les matins ? De la confiture, a spread, marmelade, des haricots, some toast, une serviette de table, table manners, sauter un repas, passe-moi le poivre, jeûner, joyeux Ramadan ! joyeuses Pâques !
Charlotte et Sara se voient assez souvent. Pourtant, elles n'habitent pas dans la même ville. An inner city, the suburbs, the outskirts, a ring-road, urban sprawling, gentrification, a city-dweller, a borough, le maire, la mairie, town-planning, a posh neighbourhood
Lou habite dans une assez vieille maison à la campagne. Elle adore vivre à la campagne. Une campagne électorale, un agriculteur, l'agriculture, la PAC, faire pousser du blé, élever du bétail, un bœuf, du bœuf, un rosbif, un âne, une chèvre, un bouc, deux moutons, un agneau, Dolly la brebis
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zehub · 8 months
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Des poulets génétiquement modifiés pour résister à la grippe aviaire
Ce sont les scientifiques de l’institut où a été créée Dolly, la première brebis clonée, qui tentent d’immuniser la volaille contre le virus dévastateur. Les premiers résultants sont encourageants mais on est encore loin du but.
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reseau-actu · 5 years
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ENQUÊTE - Passer toute sa vie avec le «même» chien ou chat est désormais possible. Plus uniquement l’apanage des grands centres de recherche, le clonage prend de l’ampleur.
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Cet après-midi de janvier 2019, Huang Yu tournait ses idées noires. Il venait de rentrer du jardin public, non loin de chez lui, où il avait enterré son chat Dasuan et, déjà, la perte lui semblait insurmontable. Il aurait voulu le garder auprès de lui. Et si c’était possible? Huang Yu caressa longuement l’idée, puis se décida à agir. Quelque chose pouvait encore être fait. Il enfila son manteau, et sortit dans le froid piquant, une pelle à la main. Une heure plus tard, le jeune homme d’affaires refermait la porte de son frigo sur la dépouille du British shorthair, et composait nerveusement le numéro de Sinogene, une entreprise de biotechnologie sise dans la capitale chinoise.
«Bonjour. J’aimerais cloner mon chat.»
Neuf mois se sont écoulés depuis que les employés de Sinogene sont venus prélever des échantillons de peau de Dasuan. Vendredi 20 septembre, un chaton de deux mois a été livré chez Huang Yu. La fourrure différait par endroits, et les yeux n’étaient pas tout à fait de la même couleur, mais l’entreprise l’assure, il s’agit bien d’une copie génétique parfaite de son ami décédé. Le premier chat jamais cloné en Chine.
» LIRE AUSSI - Luc Ferry: «Les biotechnologies en question»
Une percée? D’un point de vue scientifique, pas de quoi fouetter un greffier: cela fait 18 ans que «CopyCat», le premier chat cloné, a vu le jour aux États-Unis. Pour le business en revanche, la naissance de Dasuan marque l’entrée dans une nouvelle ère. Activité extravagante réservée aux très riches (Huang Yu a déboursé 35.000 dollars pour Dasuan), ce type de clonage pourrait bien bénéficier de l’explosion du marché chinois des animaux de compagnie, estimé à 22 milliards de dollars, pour un total de 100 millions de chats et chiens. Une tendance flairée par Sinogene dès 2015 grâce à une étude de marché qui a poussé l’entreprise de biotechnologie à investir le secteur. En l’espace de deux ans, une cinquantaine de chiens clonés ont vu le jour dans le laboratoire chinois. «La plupart de nos clients sont Chinois, mais nous comptons également quelques Japonais et des Européens», commente Eric Li, porte-parole de Siogene. «La perception que les gens ont de leurs animaux de compagnie évolue, il y a de grandes chances que ce marché continue de s’étendre.»
Dasuan, premier chat cloné en Chine, le 2 septembre 2019, à Pékin (STR / AFP) - Crédits photo : STR/AFP
Futuriste et cauchemardesque pour le grand public, qui en ignore souvent l’existence, presque artisanal, selon ses acteurs, le marché du clonage des animaux de compagnie charrie pêle-mêle des images angoissantes de laboratoires opaques, d’animaux inconscients et de blouses immaculées. «Merci Hollywood!», s’esclaffe l’homme d’affaires américain Jonathan Thatcher, «les gens imaginent des choses effarantes sur le clonage, mais concrètement, c’est bien plus banal que ce que l’on en dit». La technique, nommée Transfert nucléaire de cellules somatiques (SCNT), n’a effectivement pas changé depuis le clonage de la brebis Dolly en 1996. En deux mots, le noyau d’un ovule non fécondé est remplacé par le noyau d’une cellule issue de l’animal que l’on souhaite cloner, puis l’embryon ainsi formé est transféré dans l’utérus d’une mère porteuse. Quelques mois plus tard, la mère porteuse accouche d’une «copie génétique» de l’animal cible.
Trois entreprises de premier plan dans le monde
Si Jonathan Thatcher n’est pas le père du clonage commercial, il en est peut-être le parrain. Au tournant du siècle, c’est lui qui dirigeait pour l’excentrique milliardaire John Sperling la holding américaine Exeter Life Sciences, versée dans les biotechnologies. «Tout est parti de lui», explique Jonathan Thatcher. «C’est parce que John et sa femme s’étaient mis en tête de cloner leur chien Missy qu’on a lancé Genetic Savings and Clone (GSC) en 2000», considérée comme la première entreprise du secteur. Une tâche particulièrement compliquée de prime abord. «On a commencé par les chats. On y est arrivé avec Copycat, en décembre 2001.» En 2004, GSC produit pour 50.000 dollars le premier animal cloné à des fins commerciales: un Maine Coon nommé Little Nicky. Las, malgré d’importants progrès, l’équipe se heurte aux difficultés du clonage des chiens, plus complexe. GSC devra finalement mettre la clef sous la porte en 2006, faute de demande. L’impulsion de John Sperling aura toutefois été décisive. «Ses investissements ont braqué les projecteurs sur le clonage commercial, ça a accéléré le développement du business», commente Jonathan Thatcher. «Mais soyons sérieux, le clonage d’animaux de compagnie sera toujours un marché de niche».
Un marché qui ne se limite pas aux seuls animaux de compagnie
Aujourd’hui, les acteurs de ce secteur se comptent encore sur les doigts d’une main, avec trois entreprises de premier plan, au nombre desquels Sinogene est le dernier arrivé. En Corée du Sud, le laboratoire Sooam du sulfureux professeur Hwang Woo-suk - condamné à deux ans de prison en 2009 pour violation de la loi bioéthique et détournement de fonds - a cloné près d’un millier de chiens depuis 2006, à raison de 100.000 dollars l’unité. Aux États-Unis, l’entreprise ViaGen Pets and Equine a pris la succession de GSC après sa faillite. Basée au Texas, ce laboratoire clone des chats et des chiens - c’est à lui que Barbra Streisand s’est adressée en 2018 pour faire cloner sa chienne en double exemplaire - mais aussi des chevaux: un millier de poulains depuis 2010, selon son directeur Blake Russell. Car le marché du clonage animal ne se limite pas aux seuls animaux de compagnie.
Des équipes de clones
Qu’on élargisse le spectre de l’enquête aux équins, et le nombre d’entreprises sur le secteur bondit. «Pour un cheval, nous facturons entre 80.000 et 120.000 euros l’unité», explique le professeur Cesare Galli, fondateur du laboratoire italien de reproduction assistée Avantea. Ancien directeur du laboratoire de technologie reproductive de Crémone, c’est sous sa houlette qu’a eu lieu le premier clonage de cheval, en 2003. Ce n’est pas son activité principale, mais il lui arrive encore de produire des copies de chevaux exceptionnels, «deux ou trois spécimens par an pour des clients fortunés en Europe et au Proche-Orient». D’autres sociétés, comme les Américains de Crestview Genetics, ont fait du clonage de chevaux de compétition un business à part entière.
Et ça marche. Depuis que la Fédération équestre internationale a autorisé la participation de clones aux compétitions internationales de polo en 2012, il est devenu fréquent d’y voir double, triple, et plus encore. Dès 2013, l’équipe La Dolfina remportait l’Open d’Argentine, la plus prestigieuse compétition de polo, avec un cheval cloné par Crestview dans son équipe. Interrogé alors, son cavalier et numéro 1 mondial Adolfo Cambiaso rêvait tout haut de «disputer un match de polo avec seulement des chevaux clonés». C’était chose faite trois ans plus tard. À l’Open de 2016, l’intégralité des six montures du prodige argentin étaient des clones de la même jument.
« Les gens croient qu’ils mangent de jolies petites vaches qui ont grandi dans de beaux paysages pleins de pâquerette, mais ce n’est pas comme ça qu’on fait la nourriture aujourd’hui ! »
Jonathan Thatcher, ancien directeur du fonds d’investissement américain Exeter Life Sciences
Pour autant, le clonage ne sert pas qu’à photocopier des champions. «On peut aussi reproduire des étalons reproducteurs, qui vont transmettre leur patrimoine génétique exceptionnel à leur descendance», note Cesare Galli. «Cela serait intéressant pour la filière de l’élevage alimentaire, mais l’Europe interdit depuis 2015 la commercialisation de viande et de lait issus de clones ou de leurs descendants». D’après lui, les études menées sur les produits issus de clones ont démontré qu’ils sont inoffensifs, ce que confirme l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) dans un rapport publié en 2012. Le gendarme européen réserve toutefois son jugement face à la quantité jugée insuffisante de données disponibles, et s’inquiète du développement anormal de certains clones.»
» LIRE AUSSI - Les Chinois veulent cloner un million de vaches pour se nourrir
Pas de quoi échauder la Food and Drug Administration (FDA), qui a autorisé dès 2008 la commercialisation de produits alimentaires issus de clones sur le territoire américain. «Aujourd’hui les descendants de clones sont partout, c’est devenu un élément standard de la production agroalimentaire aux États-Unis», sourit Jonathan Thatcher, qui a argumenté en faveur de leur légalisation auprès de la FDA dans les années 2000. «Les gens parlent de ‘Frankenfood’, ils croient qu’ils mangent de jolies petites vaches qui ont grandi dans de beaux paysages pleins de pâquerette, mais ce n’est pas comme ça qu’on fait la nourriture aujourd’hui!»
Outre les États-Unis, le Canada, le Brésil, l’Argentine et l’Australie autorisent également la commercialisation de produits issus de clones. Mais c’est encore en Chine que le marché du clonage animal pourrait très prochainement atteindre des proportions jusqu’alors jamais vues. La demande chinoise de viande continue d’exploser dans ce pays devenu ces dernières années le premier consommateur mondial de viande, et le gouvernement chinois a mis en place une politique visant à l’établissement d’élevages de très grande envergure. Et pour assurer les semences, de véritables «usines à clones» sont déjà en construction.
En 2015, l’entreprise chinoise de biotechnologie Boyalife Group a investi pas moins de 30 millions de dollars dans la construction d’un gigantesque laboratoire destiné au clonage de chevaux de course, de chiens renifleurs et de taureaux reproducteurs. Situé à Tianjin, dans le nord de la Chine, le site de 14.000 mètres carrés produira «dans un premier temps» 100.000 embryons de bovins, «avant d’augmenter la production à un million par an», selon le site internet de Boyalife. L’entreprise prévoit 28 filiales dans 16 provinces chinoises.
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mc-3920-blog · 5 years
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Samedi 23 février 2019
Phase actuelle Lune décroissante, pleine à 75% À Zermatt, Lever : 07h19. Coucher : 18h06. +3 minutes
L'éphéméride du jour en France :
Aujourd'hui, nous fêtons les Lazare le peintre d'icônes ainsi que les Polycarpe.
Fêtes et prénoms bretons : Tad Rigoleg.
Demain, nous fêterons les Modeste.
Citation :
«La fidélité ne s'affirme vraiment que là où elle défie l'absence»Gabriel Marcel
Dicton - Proverbe :
« À la Saint-Pierre, l'hiver s'en va ou se resserre. »« Avoir un ami c'est une seconde vie. »
Événement du jour :
1997 : Des scientifiques britanniques présentent la brebis Dolly, clonée en Écosse à partir d'une cellule unique prélevée sur une autre brebis. Elle sera euthanasiée 6 ans plus tard (alors que l'espérance de vie se situe à 12 ans en moyenne) à cause d'une maladie pulmonaire incurable, mettant en question le vieillissement prématuré et les problèmes de santé rencontrés par les animaux nés grâce au clonage.
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manudessin-ed-h · 5 years
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#Merci à tous ceux qui sont passés ! #Merci pour ces moments d'échanges ! Et puis si vous aussi ça vous tente un selfie avec Léon le berger et Dolly la brebis, bonne nouvelle, l'expo dure jusqu'à la fin du mois ! . #ED_H #exposition #reporterssansclotures #10ans #journaldemillau #selfie #dessin #artwork #drawing #cartoon #press #dessindepresse #sheep #brebis #aveyron #millau (à Les galeries de la rue de la Capelle.) https://www.instagram.com/p/BtmIpsUj9fm/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1mhug0z8u0719
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jeretiens · 5 years
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Comment le clonage se fait-il ?
Apprenez-en plus sur le #clonage ! #adn #dolly #biologie #génétique
De nombreuses personnes ont entendu parler du clonage pour la première fois lorsque le nom de la brebis Dolly a été rendu public en 1997. Les technologies de clonage artificiel existent depuis bien plus longtemps que Dolly, cependant.
Dolly, premier animal cloné en 1997.
Qu’est-ce que le clonage ?
Il y a deux façons de faire une copie génétique exacte d’un organisme dans un laboratoire: le clonage
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78682homes · 5 years
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La recherche sur le clonage animal se poursuit 78682 homes
http://www.78682homes.com/la-recherche-sur-le-clonage-animal-se-poursuit
La recherche sur le clonage animal se poursuit
Depuis 1997, date de l’annonce de la naissance de la brebis Dolly, les chercheurs ont cloné 23 espèces de mammifères.
homms2013
#Informationsanté
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gaboninfoslive · 6 years
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SANTE: Un pas de plus vers le clonage humain ? Des chercheurs viennent de cloner deux primates en Chine
Des chercheurs ont réussi à créer deux primates génétiquement identiques en usant de la même technique qui servit à concevoir la brebis Dolly, premier mammifère cloné de l’histoire. Une découverte révolutionnaire qui pose également de nombreuses questions éthiques.
ZHONG ZHONG ET HUA HUA, DIGNES HÉRITIERS DE DOLLY Si le titre de premier primate « cloné » revient à Tetra, un macaque rhésus issu…
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juno7haiti · 6 years
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Deux premiers macaques clonés ont vu le jour en Chine
La Chine a annoncé jeudi qu’elle avait cloné avec succès les premiers macaques au monde à partir de cellules somatiques avec la technique utilisée pour la brebis Dolly. Cela rend possible la recherche avec des populations de primates génétiquement uniformes. Les deux macaques, baptisés Zhong Zhong et Hua Hua, ont été clonés dans un centre de recherche sur les primates non-humains dépendant de…
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fridfromdesire · 7 years
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Samedi 4 avril 1998 à RAMBOUILLET: No Aga/Dolly/Silmarils
“Couronnés disques d'or au même moment, Dolly et Silmarils se suivent et se ressemblent. Actuellement en fin de tournée, ils partagent volontiers la même scène, et esquissent... de concert (!) la couleur de leur prochain album. Sans langue de bois et loin des guéguerres d'antan, la nouvelle vague hexagonale fait aujourd'hui bloc, à en devenir solide comme un rock ! Deux leaders aux allures de fausses blondes, surtout l'un. Des textes écrits par David l'énervé, mais chantés par Manu, la sensible. Un goût prononcé et partagé pour le contact, mais un jugement plutôt lucide sur les médias et les courtisans. Une même école du live accompagnée de cette humilité qui en font des êtres attachants. Des références musicales parfois communes, mais un style rigoureusement différent. Nul doute, la connivence affichée par les Nantais de Dolly et les Parigos de Silmarils n'est pas chose feinte. Ni même le fruit de quelques écheveaux mercantiles savament distillés. Laisser parler le coeur Si quelque mauvaise langue leur signale un même producteur, le sextet de Panam sait se défendre : « On n'est pas un groupe de casting, un boy's band ». Les uns comme les autres n'aspirent en fait qu'à donner du plaisir au public. Funck, rock, hip-hop, techno, à babord. Pop, rock, noisy à tribord... Thierry, le batteur de Dolly, concède pourtant, sourire aux lèvres « pouvoir aujourd'hui s'arrêter, maintenant que la gloire et l'argent sont là ». Après des années de galère tout de même... Et surtout une bonne dose de dérision ! David, la fausse blonde de Silmarils, adepte du rentre-dedans, mais jamais vulgaire, préfère pour sa part laisser parler le coeur. Imposer sa griffe Issus de la banlieue, ses lascars et lui se connaissent depuis l'école primaire. « On ne cherche pas à asseoir notre notoriété par un quelconque misérabilisme en faisant de nos origines un produit de marketing. On ne veut pas de ces récupérations. » Autrefois brebis égarée, Dolly préfère quant à elle aujourd'hui faire le clown... et non le clone ! « On ne crache pas dans la soupe et apprécions de pouvoir nous produire sur de grandes scènes ou dans de vraies salles. Sans doute parce-que nous sommes très beaux... (rires). Plus sérieusement on est très heureux d'être reconnu outre-Manche en imposant notre griffe avec des textes français. Kelly Jones, le chanteur de Stéréophonics nous a même sollicité pour un duo avec Manu ! ». Après une tournée bretonne annulée cette été, les Nantais se félicitaient hier soir de pouvoir jouer ainsi devant les étudiants. Bien entendu Simarils ne dépareillait en rien, poussant même pour l'occasion la chansonnette : « J'voulais voir Virzon, on a vu Vierzon. On voulait voir Brest, et on a vu Brest... » Arnaud Morvan Dolly, un des groupes les plus intéressants du moment.”               © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr
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ancourtray · 7 years
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Un jour, une histoire... La brebis Dolly, célèbre pour avoir été le premier mammifère cloné de l'histoire (à Édimbourg, en Écosse), a été nommée ainsi en hommage à Dolly Parton et à sa poitrine abondante (référence au fait que le clonage fut réalisé à partir de cellules de glande mammaire) #dollyparton #leger #uneinfounevraie
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macsbvmbp-blog · 7 years
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Clonage
Qu’est-ce qu’un clone? En terme simple, un clone est quelque chose qui est identique à quelque chose d’autre. Alors, on doit se questionner sur ce qu’est le clonage, quel secteur d’activité pratique cette technique, quelles sont les méthodes de clonage utilisées et pourquoi cloner. Voilà les questions que je vais tenter de répondre dans ce texte.
Le clonage est une pratique en grande partie utilisée dans le secteur de la biotechnologie qui permet de reproduire une copie génétiquement identique d’un organisme. Cette pratique existe depuis plus de deux décennies et dans la nature, depuis toujours (reproduction asexué, exemple : végétaux). On l’utilise pour créer des médicaments, des vaccins, des organes et, même, des êtres vivants identiques génétiquement.
Il existe quatre types de clonage : végétal, animal, reproductif et thérapeutique. Le clonage végétal existe à la fois naturellement dans la nature et par voie de manipulation humaine. À titre d’exemple, lorsqu’une plante se brise on utilise la partie sectionnée pour créer une autre plante qui sera génétiquement identique à la première. Ceci est possible chez une grande partie des végétaux, car ceux-ci se reproduisent de façons asexuées. L’homme utilise le clonage végétal pour recréer certains types de plantes dans des serres et pour améliorer la productivité de l’agriculture, exemples : créer des plantes plus résistantes au froid et/ou aux insectes, produire des fruits plus juteux ou colorés,…
Le clonage animal, qu’en à lui, ne peut se faire qu’en laboratoire. Par ses objectifs, tout comme le clonage reproductif, il est étroitement lié au clonage thérapeutique. On clone des animaux ou certaines de leurs organes dans un but médical : greffes, médicaments, résistances aux maladies,… .
Le clonage reproductif a pour but de créer un autre être vivant génétiquement identique. La première réussite à ce niveau fût en 1997 avec la brebis Dolly
Quant à lui, le clonage thérapeutique vise à produire, à partir d’une cellule humaine, des cellules souche qui elles, deviendraient un organe ou des tissus pouvant être greffé et qui auraient le même code génétique que l’être auquel elle appartient. Ainsi on élimine les possibilités de rejet suite à l’opération.
Peu importe le type de clonage les objectifs restent les mêmes : améliorer la performance et la résistance des animaux et végétaux; créer des organes compatibles, inventer des vaccins et des médicaments pour contrer des maladies,…. Malgré cela, le sujet reste très controversé. Dans plusieurs pays, d’on le Canada, les règles sont très strictes et le clonage reproductif est défendu. Certains craignent une réduction de la diversité des espèces, d’autres prétendent que c’est beaucoup trop couteux et plusieurs pensent que c’est simplement contre la nature. Mais bon, ça c’est un autre sujet!
Maxine Barbeau-Violette
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utopiedujour · 7 years
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Auto-domestication et transhumanisme
Johann Friedrich Blumenbach (1752 – 1840) est un anatomiste allemand fameux. Il est aussi le premier à avoir tenté une classification scientifique des êtres humains à partir de leur squelette, il est à ce titre l’un des fondateurs de ce que l’on appelle aujourd’hui l’anthropologie physique. Auteur d’une classification des peuples selon cinq races, c’est lui qui inventa le terme d’ethnologie : la science des peuples. C’est également à lui que l’on doit le terme de « Caucasiens » pour désigner les humains à peau blanche, un terme que les Américains utilisent d’ailleurs toujours sans connaître son origine ; la raison anecdotique en était que le crâne dans sa collection qui lui semblait le plus représentatif des blancs était celui d’une femme caucasienne.
Selon Blumenbach tous les hommes descendent d’Adam et Ève, les races se sont ensuite différenciées par adaptation aux environnements divers dans lesquels des groupes d’être humains se sont retrouvés.
Blumenbach était, dans l’esprit de son époque, « lamarckien » : il était convaincu que les caractères acquis se transmettent, une conception qui, longtemps éclipsée par le paradigme darwinien qui nie qu’une telle transmission soit possible, refait surface dans les travaux récents de biologie évolutionniste.
Blumenbach a eu des dizaines d’intuitions originales aujourd’hui oubliées. Parmi elles, une vue de l’homme comme une espèce « auto-domestiquée » : qui a appliqué les techniques de domestication à elle-même. Il écrivit ceci :
« L’homme est un animal domestique […] C’est par lui que les autres animaux domestiques ont été conduits à cet état de perfection. Il est le seul qui se soit mené soi-même à la perfection » (Blumenbach 1865 : 340).
Cette hypothèse intéressante est restée sans descendance, nul ne l’a reprise, si ce n’est moi-même il y a bien des années (Jorion 1980 : 126). Il n’y est fait aucune référence dans les notices biographiques de Blumenbach que l’on trouve aujourd’hui, pas plus en allemand que dans les autres langues. La question ne s’en pose pas moins s’il ne faudrait pas la ressusciter et situer en particulier la question du transhumanisme contemporain dans le cadre qu’elle propose.
Imaginons en effet que les changements dans l’humain que nous constatons soient bien ceux qu’un processus de domestication engendre, et qu’il y ait bien eu dans l’histoire humaine un processus d’auto-domestication, celui-ci pouvant demeurer inaperçu de tous – à l’exception de Blumenbach – aussi longtemps que la domestication n’impliquait pas de techniques « invasives »
(au sein de la machinerie interne de l’animal, comme le clonage de la brebis Dolly en 1996), la donne serait cependant modifiée aussitôt que l’amélioration et la sélection, ingrédients constitutifs de la domestication, impliqueraient des technologies « internes » et que l’auto-domestication de l’homme se calquerait sur les technologies de domestication avancées en général. Un commentaire spécifique émergerait alors sur l’auto-domestication du fait que des manipulations qui nous apparaissent normales et anodines quand elles sont pratiquées sur des animaux que nous considérons comme des objets, nous semblent immédiatement hautement problématiques quand il s’agit de nous-mêmes (qu’on pense tout spécialement à l’euthanasie et à l’eugénisme).
Un phénomène jusque-là invisible – si ce n’est aux yeux de Blumenbach – aurait acquis pleine visibilité, non pas en raison du caractère invasif et hautement technologique des techniques utilisées, puisqu’ils nous étaient indifférents tant qu’il s’agissait d’autres animaux que nous, mais en raison précisément du fait que nous les appliquons cette fois à nous-mêmes.
Dans cette perspective, le discours transhumaniste ne serait pas le discours militant accompagnant un projet, mais celui qui constate pour la première fois l’auto-domestication humaine, et l’ayant constatée, l’entérine et l’ayant entérinée, la justifie par une argumentation rationnelle.
======================================== Blumenbach, Johann Friedrich, The Anthropological Treatises of Johann Friedrich Blumenbach, trad. par Th. Bendyshe. London : Longman, Green, Longman, Roberts & Green, 1865
Jorion, Paul, Un Ethnologue proprement dit (James Cowles Prichard), L’Homme 1980, vol. 20, pp. 119-128
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zehub · 6 years
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Naissance des premiers primates clonés avec la complexe technique de Dolly
Des chercheurs en Chine sont parvenus à faire naître pour la première fois des primates génétiquement identiques par la même technique de clonage utilisée il y a plus de vingt ans pour la célèbre brebis Dolly, premier mammifère cloné.
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macsbvmbp-blog · 7 years
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Brebis Dolly,1997
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