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#certitude d'interrompre
mega-adam-blr · 1 year
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De tout, il resta trois choses: La certitude que tout était en train de commencer, la certitude qu'il fallait continuer, la certitude que cela serait interrompu avant que d'être terminé. Faire de l'interruption, un nouveau chemin, faire de la chute, un pas de danse, faire de la peur, un escalier, du rêve, un pont, de la recherche... une rencontre.
Fernando Pessoa
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delacaleaugrenier · 7 years
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Tu sais?
Ça m'manque comme tu disais "Non, j'suis pas d'accord", T'avais ce don, d'interrompre des "certitudes" ou des évidences jamais ébranlées En toute grâce Tant et si bien qu'à tous les coups J'étais d'emblée d'accord avec toi Avec vous, parce que vu que t'as pas qu'un peu de qui tenir cet art là Aux grands damnements, De ceux qui moquaient ( et moquent encore ), tantôt mon influençabilité tantôt mon instabilité, tanttard ma constante effronterie provocatrice... Sache(z) que ça manque, de pouvoir affirmer que " ahben oui, géométriquement parlant, c'est sans équivoque! " Et en plus, j'le pense toujours, tu vois?
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claudehenrion · 7 years
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Lendemain d'investiture (réussie)..
.  Je vous dois la vérité. Dégoûté par une campagne électorale nauséabonde et indigne de la France, j'avais pris la décision d'interrompre ce ''Blog'' : 5 nouvelles années à pester contre un successeur-féal (''Il sait ce qu'il me doit'', plastronne feu-Moi-Président entre deux regards complices à en rendre Julie jalouse !), c'est trop me demander. Je suis comme orphelin, depuis que la France a tourné le dos à son Histoire pour se vautrer dans les laideurs de la Socialie hollandaise.  J'ai ‘’testé’’ ce désir de me retirer sur une dizaine de lecteurs qui m'ont découragé avec force...  Je ne sais pas encore si je les en remercie ou si je leur en veux -avec affection !
    Monsieur le Président de la République, vous dites vouloir réconcilier tous les Français. Mon plus grand espoir est que les 2 français sur 3 qui doutent de votre capacité à y arriver soient convaincus que vous avez compris l'enjeu historique de votre rôle... et donc bien modifié votre ‘’projet’’. Symboliquement, en ce lendemain d'investiture, j’ai tenu à ‘’ressortir’’ un billet déjà publié le 28 novembre 2013 :  
‘’ La France, tout simplement...
  Ayant traversé en entier la seconde guerre mondiale et d’autres drames, dans ma longue vie, j'ai appris à aimer la France d'un amour réfléchi qui puise sa raison d'être dans la légende des siècles et leur vérité historique. J'aime et je garde tout : sa langue, sa culture, son histoire, ses réussites, ses Rois, ses Empires et ses Républiques, et même ses échecs quand elle en a eus (un peu moins, peut-être).  
  J’aime ses architectures traditionnelles si diverses, la variété de ses paysages, son climat, ses campagnes, ses accents régionaux menacés, ses mers et ses montagnes, ses plaines et ses lacs, son unité dans la différence, ses traditions (tels les ''santons'' de nos merveilleuses crèches… qui sont insupportables pour de soi-disant “libres penseurs” -qui ne sont ni libres ni penseurs !), ses lourds beffrois carillonnants, ses clochers graciles et ses cathédrales puissantes, les milliers de petits calvaires perdus au creux des chemins, témoins si émouvants de la foi de nos ancêtres depuis son baptême en 496, son histoire, les valeurs millénaires qui ont structuré sa belle œuvre coloniale si abîmée par des mensonges à dormir debout, ses révoltes parfois... mais aussi ses habitants, leurs “coups de gueule” et leurs défauts (trop complaisamment soulignés de nos jours)… j'aime tout !      
 J’aime ce que fut la France : elle était admirée et respectée, car elle était admirable et respectable… Mais il m'arrive, et de plus en plus souvent, de regretter qu'elle soit devenue… ce qu’elle est : étant un peu moins de tout ce qui la définissait et qui la rendait aimable, elle risque en permanence de perdre son âme, à jamais…
  Tout ce que chacun de nous peut penser ne peut s'exprimer que parce que nous partageons cette langue merveilleuse que l’on nous a enseignée, avec et dans un système clair et précis de références historiques et de valeurs structurées.                  Chacun de nous n’est que le produit de tout ce qui vient d’elle : idées, réflexes, pensées, jugements, souvenirs, sens esthétique, goûts, culture, notre “esprit gaulois”, nos raffinements culinaires… et jusqu'à notre penchant parfois exagéré pour la critique… (avec une exception : la repentance honteuse, cette perversité !).
  C’est cette certitude calme et réfléchie que j’appelle “mon patriotisme”, avec tout ce que ce mot comporte de beau à mes yeux, et de moins bon, paraît-il, aux yeux de ces gens qui se croient intelligents uniquement parce qu’ils disent tous la même chose fausse au même moment, entre eux : ils n'ont à offrir, on le sait maintenant, que désordre, utopies mortifères, désolation, violence, haine, repentance injustifiée, multiculturalisme chimérique, communautarisme létal… et la sinistrose qui est le seul “bien” (un ‘’bien’’ intrinsèquement ‘’mauvais’’, si j’ose ce jeu de mots !) que la folie conFISCatoire de la Gauche irresponsable nous permet de garder encore.
  ’‘Attaché à ma patrie par une tradition familiale déjà longue, nourri de son héritage spirituel et de son histoire, incapable en vérité d’en concevoir une autre ou je puisse respirer à l’aise, je l’ai beaucoup aimée et servie de toutes mes forces’’, écrivait Marc Bloch (que l'on ne cite jamais assez). Dans une lettre à ses parents, il ajoutait   “Vous m’avez appris à mettre certaines choses au dessus de la vie même”, sculptant ces mots pendant les drames sans nom de la  guerre… où, seulement parce qu’il s’appelait Bloch, on allait lui prendre cette vie... moins valable à ses yeux que son amour pour sa Patrie. Prémonition, ou beauté d'une âme ?
  Le très républicain Ernest Lavisse avait écrit, dans la préface de son “Histoire de France” : “Tu dois aimer la France parce que la nature l���a faite belle, et parce que son histoire l’a faite grande”… Les modes changent, mais vraiment pas dans le sens qu'il faudrait, hélas, et j’ai honte des repentances compulsives d’aujourd’hui, toutes à contre-vérité, toutes réinventées, perverses et nocives puisque, hélas, déconnectées de toute vérité autre que la doxa officielle, partisane et mensongère.
  Notre patrimoine bimillénaire, notre histoire dont nous pouvons être fiers sans limites, notre culture française, belle à en être admirée par tous, sont là… A nous de reprendre notre destin en mains ! N’ayez pas peur, recommandait Jean-Paul II. Tout est ouvert, tout est prêt à renaître, et le futur sera ce que nous le ferons…’’. 
  Ce futur doit être différent de ce que des politiciens incultes et sans vision ont fait de notre présent en réinventant des critères politiquement corrects qui ne sont proches ni de notre Histoire ni de ce que Pierre Gaxotte appelait  le génie français.    Nos élites actuelles, plus déculturées qu'il n'y paraît, se sont noyées dans toutes les mauvaises idées qui triomphent par leur faute.  Aujourd'hui, j'avais envie de le partager avec vous… Pour des raisons différentes de celles de votre prédécesseur, c'est donc plein d'espoir que je vous dis : Bonne chance, Monsieur le Président.
H-Cl, pcc.
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