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#chaumière
guilbertjj · 2 months
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philoursmars · 8 months
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Petite balade en Wallonie, il y a 15 jours, plus précisément l'Archéo-site d'Aubechies. Ici des habitats reconstitués.
les 4 premières : habitat celtique de l'Âge du Fer, culture de la Tène, 100 av. J-C.
les 3 autres : habitat de l'Âge du Fer, culture de Hallstatt, 450 av. J-C.
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Couligny - Some houses and fields neighbouring the station
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chaotic-history · 6 months
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Fucking wild that people on here will glorify mass violence/killings of anyone when the entire ideas of progressivism are founded on like. the basis that all human life has value.
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unjouruntableau · 6 months
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Louis Aston Knight, Chaumière au bord de la rivière, Normandie, nd.
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i12bent · 2 years
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Karin Parrow (March 4, 1900 - 1984) was a Swedish painter and part of Göteborgskoloristerna. She was one of 13 kids - her big brother being the famous troubadour Evert Taube. Like him she was quite adventurous, and during her studies in Paris at the Académie de la Grande Chaumière in 1929, she married a sea captain and set off.
Her art consists of colorful and playful landscapes, still lives and portraits, and it hangs at most major Swedish museums.
Above: Badande kvinnor, no year - oil on canvas (Bohusläns museum)
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jules-and-company · 3 months
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« chiotte » —> « merde » —> « peste », l’évolution des jurons de nico lors d’une bataille corse où je l’ai plumé
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Restaurant La Chaumière in Malnoue, eastern suburbs of Paris
French vintage postcard, mailed in 1928
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marjoange34 · 6 months
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Sims 2 Les Chaumières de Pré au Lard@SimsetteGirl
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dixvinsblog · 11 months
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La licorne et l’oiseau- Jacqueline Fischer - Illustration Nicole Pessin
Nicole et Jacqueline l’alliance de la poésie et de l’illustration…deux talents, deux sensibilités unis pour nous offrir un beau moment poétique et artistique… Le poéme “La licorne et l’oiseau” fait partie du recueil réalisé en 2020 ” LICORNES ET SORTILEGES ” et que vous pourrez découvrir en janvier prochain sur le blog. Tu as jeté tes airs à mon poitrailOiseau, en cadeau de nocesEt je peux à…
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gavroche-le-moineau · 10 months
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“A scamp who, instead of amusing himself and enjoying life, went off to fight and get himself shot down like a brute! And for whom? Why? For the Republic! Instead of going to dance at the Chaumière, as it is the duty of young folks to do!”
M. Gillenormand really said "Marius should have been at the club"
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random-brushstrokes · 4 months
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Martha Stettler (Swiss, 1870-1945)
Together with her partner Alice Dannenberg, she founded the ‘Académie de la Grande Chaumière’ in Paris in 1904, where she later became its head, much to the disdain of Swiss artist Ferdinand Hodler, who said, “We do not want women here!” He was determined to prevent women having any access to the Swiss professional association of painters and sculptors (GSMBA). Stettler ran the academy successfully in spite of the misogynistic attitudes she was faced with in her work. It was favoured by students because of its easy-going approach to learning, and the school’s alumni included a star-studded cast; Alberto Giacometti, Meret Oppenheim and Louise Bourgeois. Stettler also became the very first and only woman to exhibit her art at the 12th Venice Biennale in 1920. (source)
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philoursmars · 8 months
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Petite balade en Wallonie, il y a 15 jours, plus précisément l'Archéo-site d'Aubechies. Ici des habitats celtiques de l'Âge du Fer reconstitués.
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eternal--returned · 5 months
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Alphonse Mucha ֍ Paul Gauguin playing Mucha's harmonium in his studio, Rue de la Grande Chaumière, Paris (1893-4)
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jacquesbonhomie · 6 months
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Vincent Van Gogh
‘La Chaumière’ 1885
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artsandculture · 2 months
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
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