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#cigogne blanche
philoursmars · 2 months
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle. Bri étant fatiguée, c'est Sylviane qui me fait découvrir la belle île d'Oléron.
Avant le pont, sur le continent, la ville fortifiée de Brouage. Elle accueille un nid de cigogne. La voir craqueter est extraordinaire ! (craqueter ? craquetter ? claqueter ? claquetter ? PFFF !!!!! krakété !)
Sur la dernière, un cygne (et un tadorne qui pointe son bec à l'arrière-plan)
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Cigogne blanche - La réprésentation de la cigogne qui apporte les bébés est apparue vers 1850. D'après cette légende alsacienne appelée également la légende du puits de Kinderbrunnen, les femmes qui voulaient un enfant devaient faire un vœu au dessus de ce puits, qui serait entendu par un gnome à barbe blanche. Il se dit qu'au dessous de la cathédrale de Strasbourg, il y avait un lac souterrain où attendaient les âmes des enfants qui allaient venir au monde. Pour assouvir le souhait de ses femmes, le gnome prenait donc sa barque argentée et attrapait directement le bébé à l'aide d'un filet d'or. C'es à cet instant que la cigogne venait chercher le bébé pour l'amener à ses parents dans son berceau.
En Alsace, lorsqu'une cigogne survole en rase-motte une jeune femme, on dit qu'elle attendra un enfant dans l'année.
Lieu : Bio-Topia Dunkerque
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mariepascaleremy · 2 months
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14 FÉVRIER : ST VALENTIN & FÊTE DE LA CIGOGNE...
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Il fut un temps très ancien de l’humanité où les hommes avaient encore une conscience nébuleuse proche du sommeil, et où les femmes n’étaient fécondables qu’une fois l’an. A l’approche du printemps, l’humanité recevait des signes lui indiquant qu’elle entrait dans un temps où les femmes devenaient fertiles. Celles-ci percevaient les anges du ciel leur annonçant la venue de leurs enfants. Ils naissaient tous, 9 mois plus tard, durant les Nuits saintes, entre Noël et l’Épiphanie. Aujourd’hui, notre conscience est éveillée. Nous ne percevons plus les anges et les femmes sont fertiles n'importe quand dans l'année. Il ne reste du lointain passé qu’un symbole, celui du vol majestueux des cigognes revenant dès février dans nos régions. Tels les anges annonciateurs d'enfants que nous percevions autrefois, les blanches cigognes nous rappellent ce temps de fertilité annuel où nous étions encore régi par les Dieux et soumis au seul cycle du cosmos. Chez les anciens romains, la migration printanière des Cigognes se produisait au moment des Lupercales (de luperaus = fertilité), fêtes de la fertilité et de la purification des femmes. Aujourd'hui, le retour des cigognes coïncide avec la Saint-Valentin, transformant la fête de fertilité en célébration de l'amour. C'est une occasion de réfléchir sur la nature de l'amour, de se demander si "tomber amoureux" signifie une chute ou une transfiguration, avec des implications sur l'importance du sacrifice et du dévouement dans les relations.
BONNE ST VALENTIN À TOUS !
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le village de Kintzheim en Alsace 🥨
Kintzheim, un village au cœur de l'Alsace
Niché au sud du département du Bas-Rhin, à quelques encablures de Sélestat et d'Orschwiller, le village de Kintzheim vous plonge immédiatement dans un paysage typiquement alsacien. Avec son château, ses maisons à colombages, ses magnifiques forêts de sapins et ses vignes à perte de vue, le décor est planté.
Surplombé par les coteaux du Hahnenberg et les collines du grand cru Praelatenberg, la commune est au centre d'une grande terre viticole.
Levez la tête et admirez le spectacle d'un vol de cigognes. Ces oiseaux migrateurs ne s'y sont pas trompés et élisent chaque année domicile sur les cheminées du bourg.
Les nombreuses activités à faire en famille à Kintzheim
Impossible de s'ennuyer à Kintzheim ! Dans un rayon de quelques kilomètres vous avez accès à une multitude de sites exceptionnels à visiter en couple, en famille ou entre amis.
La Montagne des Singes
L'Alsace n'est pas connue pour être un territoire des singes !
Pourtant plus de 200 macaques de barbarie batifolent en semi-liberté au cœur de la forêt de Kintzheim. Plus précisément dans les 24 hectares du parc de la Montagne des Singes.
Cette espèce de primates issue des montagnes d'Afrique s'est parfaitement adaptée aux rudes hivers alsaciens.
Dans ce parc animalier vos enfants seront ravis de nourrir ces singes friands de pop-corn !
Le Château de Kintzheim et sa Volerie des Aigles
Dans son écrin majestueux, la Volerie des Aigles du Château de Kintzheim est née il y a plus de 50 ans. Depuis l'origine son objectif est de contribuer à la sauvegarde des espèces en danger. En outre, elle souhaite réhabiliter l'image des rapaces aux yeux du grand public.
Aujourd'hui ce parc accueille petits et grands pour des visites et des animations avec des spectacles et des animaux en vol libre.
Le Château du Haut-Koenigsbourg
Ce n'est pas un hasard si le Château du Haut-Koenigsbourg a souvent servi de décor pour le cinéma.
Plantée à 757 mètres d'altitude, cette forteresse patiemment restaurée domine par l'ouest le village de Kintzheim.
C'est incontestablement l'un des plus beaux sites d'Alsace. Cela fait de lui un lieu incontournable à visiter.
Son superbe panorama sur la plaine d'Alsace, la Forêt Noire, les Vosges et même les Alpes vaut à lui seul le détour.
Cigoland, le parc à cigognes de Kintzheim
Vous voulez passer une excellente journée de détente avec vos enfants ? Un parc à taille humaine dédié à la préservation de la cigogne blanche existe depuis plus de 40 ans.
L'objectif pédagogique initial de Cigoland a depuis été complété par l'installation d'une vingtaine d'attractions.
Vous assisterez également à des animations adaptées à tous les âges pour tout savoir sur l'emblématique échassier d'Alsace.
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VIVA PORTUGAL!
C'est parti !!!
Longue est la route pour rejoindre notre destination : Carvoeiro en Algarve.
Plusieurs itinéraires s'offrent à nous, nous choisissons celui qui passe par le pays Basque. Cela tombe bien, nous adorons cette région et plus particulièrement Saint Jean de Luz.
Partis depuis poltron minet, nous prenons possession de notre chambre à Ascain, en milieu d'après-midi. Nous profitons de l'accalmie météo pour rejoindre Saint Jean de Luz où nous organisons un pique nique apéritif face à la baie et au magnifique coucher du soleil.
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En rentrant à l'hôtel, nous croisons ce panneau improbable qui nous fait immédiatement penser à notre fils!
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Nous passons la frontière à 6h30 en direction de Caceres, en Espagne, notre seconde étape.
Après l'autoroute très sinueuse du pays Basque espagnol, se succèdent de très longues plaines agricoles bien grillées. Déconcentrés par ces paysages désertiques, nous en avons oublié de regarder notre niveau d'essence...dommage!, car après une première partie de route constellée de station service tous les 10 km, celles-ci se font beaucoup plus rares! Fidèles à notre réputation, nous sommes cependant sauvés par l'ami "Repsol" (=Total espagnol).
Nous arrivons à Caceres en milieu d'après-midi sous une pluie battante. Tant pis pour la piscine! L'hôtel Extramadura, chiné sur Booking, est un peu comme la ville, d'une architecture rétro des années 70. Armés d'un parapluie, nous partons à la conquête de la partie ancienne de la ville. Après un pique-nique dans notre chambre, nous y retournons le soir : objectif, déguster une sangria! Les monuments anciens sont très joliment mis en valeur par un éclairage. La musique d'un bar branché nous invite à passer le pas de porte. La sangria "maison" est plutôt bien chargée en alcool blanc, Gin?!
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Le copieux petit déjeuner nous permet également de prévoir notre pique-nique du midi.
A 10h55, (9h55 locales), nous passons la frontière portugaise, où des cigognes, nichées sur des pilônes, nous accueillent. Les plaines désertiques font place à des champs vallonnés et verdoyants de chênes liège.
Nous faisons une halte à Evora, qui mérite mieux que le court moment que nous lui avons consacré. Capitale de l'Alenjero, c'est une belle petite ville qui comporte entre autre de nombreux vestiges de l'antiquité.
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Nous arrivons enfin à Carvoeiro ! Nous donnons rendez-vous à Jean-Michel, notre contact français local. Notre petite maison sur 3 étages, est située dans un quartier résidentiel dans la partie haute de la ville. C'est une maison mitoyenne avec de petites cheminées qui nous a immédiatement fait penser aux "Trullis" vus dans les Pouilles, en Italie.
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Ici, toutes les maisons sont blanches, avec des jardins exotiques. Nous pouvons aussi profiter d'une piscine partagée.
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Comme il faut remplir le réfrigérateur, nous prenons la destination des 3 mousquetaires. Eh oui, la France est là aussi ! En sortant du supermarché, il fait nuit, le GPS ne connait pas notre rue et le téléphone affiche aucune connexion internet… Nous mettons un certain temps avant de retrouver, enfin!, (grâce à Olivier) , notre maison dans ce labyrinthe !
Le lendemain, nous avons rendez-vous avec Jean-Michel, qui avait proposé une marche jusqu'à sa (très grande) villa, pour un apéritif destiné à nous présenter la région proche et les usages portugais locaux.
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Voici la plage de Carvoeiro.
Les jours suivants, nous visitons les environs et nous constatons que la circulation en voiture est souvent compliquée, parce que les indications de lieux sont aléatoires.
Visite de Portimao, située à quelques kilomètres de Carvoeiro.
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Plage de Praia da Rocha
Nous y avons déniché un tout premier restaurant, petit et fréquenté par les locaux, des plats typiques et pas chers.
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Nous randonnons à Alvor, petit port à 15 km de Carvoeiro. Très belle randonnée sur la plage, longue de plusieurs kilomètres et aménagée de chemins de bois qui permettent la marche à marée haute dans la lagune, sur l'arrière.
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J8▪️Duderstadt - Ebergötzen
15,8 km [166,1]▫️+145 m [+2 870]▫️21 °C
L'étape du jour a ceci de particulier que c'est moi qui l'ai créée intégralement. Le chemin “officiel” passe bien plus au sud, mais les rares villages traversés n'offraient pas d'hébergement. Le seul que j'ai trouvé était ici à Ebergötzen, bien plus au nord, trop au nord pour ajouter juste une verrue au tracé. Il a donc fallu être plus radical et imaginer un itinéraire fait de chemins de champs et de petites routes, en espérant que la carte soit à jour et ne cache pas quelques pièges. Nous verrons bien !
Le chemin se déroule sans encombres au milieu d’une campagne agricole et sous un ciel couvert qui laisse parfois tomber quelques gouttes mais en quantité insuffisante pour appeler ça de la pluie. Nous croisons par ordre d’apparition un vorace charançon, un sautillant chevreuil, un impérial milan royal et de placides cigognes, ce qui n’est pas si mal en termes de biodiversité (nous avons appris à nous contenter de peu).
De loin, l'hôtel à la façade peinte a fière allure. De près, un peu moins. Le restaurant est fermé depuis trois ans, m'avait informé le propriétaire lorsque je m'étais enquis si nous pourrions y manger le dimanche soir, mais le dernier menu est toujours affiché, s'effaçant lentement sous l'effet du soleil et du temps. C'est un peu la métaphore du lieu. Issue de la même imprimante mais un peu plus fraîche, une feuille nous indique un numéro à appeler. Quelques minutes plus tard, un vieux monsieur nous hèle d'un « Bonjour » malicieux avant de repasser en allemand. Nous le suivons. L’accès se fait par le côté. Nous entrons dans la salle de restaurant pour remplir la fiche. C'est sombre. Une grande table a été reconvertie en circuit de train électrique. Des outils traînent. Le propriétaire gravit difficilement les marches de moquette bleue qui mènent à notre chambre. Papier saumon, rideau vert, draps rouges, couette noire rehaussée de rouge, bureau gris et penderie blanche. De la recherche aussi à la salle de bain avec, au-dessus du carrelage, une bande de papier peint à motif de poissons et au plafond des vols de mouettes. Logique.
À 17 heures pétantes, nous quittons notre nid d’amour pour la Gästehaus du village qui vient d’ouvrir. Ne nous méprenons pas, elle vient d’ouvrir car ses horaires d’ouverture du dimanche sont 17:00-20:00. Sinon, elle est ouverte depuis longtemps et serait plus proche de fermer, si j’en juge l’âge et l’état de forme de ses propriétaires-serveurs-cuisiniers…et l’âge des clients. Les plus jeunes sont de bons cinquantenaires, tous les autres ont passé le cap de la soixantaine, voire plus. Et tout le monde mange à six heures du soir ! Mireille, on file un mauvais coton. Pour l’année prochaine, je crois que j’ai trouvé un chemin qui passe à Ibiza avec DJ rando !
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claudehenrion · 1 year
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Du droit à la liberté de pensée...
  Je dois reconnaître que les mots qui viennent sous mes doigts sont souvent très acerbes et parfois mordants, lorsqu'il est question de ces Nuls qui se sont auto-propulsés, sous des suffrages prétendus ''en toute connaissance de cause'', aux commandes de beaucoup trop d'Etats, dont le nôtre. Tout semble se passer comme si un film d'horreurs, dites à tort ''le progressisme'', obscurcissait pour l'humanité, les anciennes capacités de cogiter, de gamberger et de piger, remplacées par le roman noir de notre ''quotidien'' et ses laideurs mortelles. D'où certains excès...
Cette petite faiblesse de style a évidemment été remarquée par des lecteurs qui me demandent parfois (dont 2 fois récemment, d'où ce ''billet'') comment je m'arrange pour jongler avec un vocabulaire imagé et une pratique ''catho'' revendiquée –sans fierté particulière, mais sans la petite gêne qui congèle les tièdes frigorifiés ! (NB : tout-de-même, j'ai eu de la chance d'avoir été déposé dans une famille pratiquante par la gentille Cigogne –celle qui transportait les bébés nouveaux-nés, avant les césariennes sous péridurale, puis sous hypnose, et avant l'insémination artificielle, cette immense victoire du progrès (?) sur l'obscurantisme (??). Merci, la Cigogne !).
Car aucun faux-fuyant n'est accepté : Dieu nous demande, avec une insistance qui frise la lourdeur, d'aimer nos ennemis, même dans l'église dite ''post-conciliaire'' qui a pourtant remplacé le Dieu sévère et exigeant de mon enfance par la version ''soft'' d'un Dieu plus mièvre : les marches blanches ont remplacé processions, ''Pardons'' et autres événements polymorphes où sacré et profane s’entremêlaient dans la clarté cultuelle et culturelle d'une religion ''gagnant-gagnante'' qui s'efface de plus en plus souvent devant les assauts d'une autre foi, exogène, qui n'a rien de bon à nous apporter mais qui  nous impose ses us et ses coutumes, ce que certains considèrent normal –ce que ce n’est pas, bien sûr, en dehors de leur univers...
L'ancien Ad Majorem Dei Gloriam'' des jésuites (''AMDG'' = rien n'est assez beau pour la plus grande gloire de Dieu), se dit aujourd'hui, chez les mêmes : ''il ne faut pas faire de vagues (même vagues !)... il faut ''accueillir'' qui se dit ''migrant'' (?)... il faut s'excuser d'être chrétien... et il faut faire passer les fantasmes de Greta Thunberg avant le service, ex-prioritaire, de Dieu''... La Foi de nos aïeux  a abandonné la France de nos fils à un triste destin qui se manifeste chaque jour, mais n'est pas plus souhaitable pour autant... Comme on c’était prévisible (une civilisation ne pouvant naître et vivre qu'adossé à une religion, une foi, un Dieu), l'Occident, converti au consumérisme et au rien du tout (c'est pareil !), sombre.
Revenons à nos moutons –ou plutôt, à nos brebis : ''Vous devez aimer tout le monde'', insistait Saint Claude de la Colombière, un de mes Saints patrons, qui précisait : ''S'il y a un seul homme que vous n'aimez pas, vous manquez à la Charité'' (in ''De l'amour du prochain'', p 436). Mais qu'y puis-je, si... je n'y peux rien ? Je n'y arrive pas, pas du tout, avec certaines personnes... Mon avocat va avoir un sacré boulot pour me défendre devant des journalistes et des politicards, ces inconsistants insistants qui ne méritent pas d'être convaincus (qui devrait s’'écrire en deux mots, ici. Mais il faut rester ‘’bien élevé’’), tant ils ont tout faux.
Seulement, voilà : à l'âge que j'atteins, il vaut mieux être du côté ensoleillé du grand Chemin : on ne sait toujours ni le jour, ni l'heure, mais on sait que l'un et l'autre se rapprochent à toute vitesse ! J'ai eu l'idée de préparer ma plaidoirie en citant Alphonse Daudet qui, dans les Lettres de mon moulin (''A Milianah''), disait avoir vu ''de vieux arabes qui, sous le prétexte que le Coran dit qu'''Une seule goutte d'alcool est maudite'', trempaient componctueusement un doigt dans leur verre de vin, le secouaient très fort pour en faire tomber ''la goutte maudite'' et... buvaient le reste, mais c'est trop risqué : je serais accusé d'islamophobie ! Il faut que je trouve autre chose... Peut être paraphraser St Mathieu : ''Que ta main gauche ignore ce que ta main droite tape sur ton clavier''. Mais ça a un côté ''Alzheimer'' qui me déplaît...
Je pourrais tenter un ''Mais je ne leur suis pas franchement hostile... Et même... je ne doute pas qu'ils aient certaines qualités'', mais ça ne va pas aller, non plus : j'ai beau me tire-bouchonner les circonvolutions –ou les ''badigouinces'', pour parler comme Rabelais--, je n'arrive pas à leur en trouver une seule (de qualité, bien sûr). Je les trouve, tous, intrinsèquement nuls... et c'est avec sincérité que je les qualifie d'incultes, de cuistres et de tartuffes, et que je les trouve, tous, stériles, arides, arrogants, prétentieux, pédants, dépassés, démodés, méprisants et menteurs...
Par exemple, il ne faudra jamais oublier (ni pardonner : ce serait trop facile !) le scandale des ''intubations'' qui ont assassiné tant de pauvres gens qui ne demandaient qu'à vivre... ni nos soignants et nos pompiers jetés à la poubelle parce que le chef avait ''envie d'emmerder'' ceux qui ne partagent pas ses certitudes anti-scientifiques. Et en plus... il y a leurs horribles lois prétendues sociétales et qui ne sont que mortelles et vides de toute humanité... Pardonner, dites-vous ? En mon nom propre, à la rigueur, je pourrais peut-être y arriver, en me donnant des coups-de-pied. Mais ai-je le droit de pardonner au nom d'autrui ?
Et pourtant, dans le fond, je ne leur en veux pas tant que ça, à titre personnel : ayant décidé de ne pas subir ce non-vaccin dont personne ne savait rien (chose curieuse, c'était avant que ma fille Alexandra ne découvre qu'il était... prudent d'être sage et sage d'être prudent), je fais donc partie de ceux qui n'ont jamais ''eu'' le covid. Et comme la plupart de mes proches ont aussi suivi ce principe de précaution, les miens sont tous passés entre les gouttes-- ceux ont attrapé ce machin-truc pas chouette du tout... sont ceux qui ont été vaccinés et qui l'ont tous eu une fois, deux fois, parfois plus. Quant à leurs mesures vexatoires et inutiles, mon âge et mon mode de vie ont fait qu'elles m'ont à peine effleuré (par exemple, je n'ai dû me signer leur humiliante ''Attestation dérogatoire'' que 2 ou 3 fois en tout, pour ''bouger'' de 5 mètres une voiture garée juste devant ma porte... Dernier point : pratiquement pas un seul de mes proches n'a –jusqu'à ce jour-- été victime de leurs scélérates ''lois sociétales''. Donc... je ne leur en veux presque pas de n'être que ce qu'ils sont, et leur bêtise militante à tout détruire ne ferait plutôt rire... jaune.
Mais alors, me direz-vous, d'où vient ce besoin que j'ai de les désigner par ce qu'ils sont, de les appeler par leurs noms, de rappeler leurs méfaits, et de clamer la vérité sur leurs exactions, leurs mensonges, leurs erreurs de jugement, leur absence de jugeote, leur inculture scientifique, leur malhonnêteté intellectuelle, et le triste état dans lequel ils vont laisser la France ? D'où ? Mais de la France, justement ! Enfant de la guerre, j'ai grandi dans ''l'amour de la Patrie''. Nos parents, nos merveilleux instituteurs et nos excellents professeurs ne nous parlaient que ce ça, et nous récitions chaque jour : ''Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie, ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie''. Autres temps, autres mœurs ! Mon amour de la France explique mon rejet de la macronie.
Car ce qu'ils font à et de la France est insupportable, les rues de nos villes mutilées et empuanties en attestent. L'horrible Arnaud Amory vociférait : ''Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens''. Mes petits excès de langage espèrent trouver là une justification : je refuse de regarder passivement ma chère France sombrer, par la faute de gens dont on ne sait plus s'ils sont sataniques, nuls, cons, criminels, ou tout ça à la fois...  Et j'espère que, quand viendra pour moi le jour du grand ''test d'aptitude'' terminal (mon Parcoursup pour l'éternité, en quelque sorte)... Dieu reconnaîtra les siens... ou : ''un sien'', moi en l'espèce !
H-Cl.
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vanespygal · 2 years
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El Rocio est un village western recouvert de sable. Toutes les maisons sont blanches et désertées la plupart de l'année. Tous les ans une fête religieuse qui s'appelle Romaria se déroule à la Pentecôte et regroupe des millions de personnes. Plus de 120 confréries vêtues des costumes traditionnels, venues des quatres coins du monde à cheval, à pieds ou en caravane sont là pour honorer la vierge d'El Rocio. Pendant que nous marchions à travers les rues nous avons pu observer les décorations restantes. Cette fête dure à peu près une semaine pendant laquelle les croyants réunis dans la petite chapelle prient, allument des cierges et défilent en longues processions avec la vierge. Cet endroit est aussi une des entrées du plus grand parc naturel d'Europe où nous avons pu observer des cigognes, des flamands roses, des chevaux et pleins d'autres oiseaux. Il s'appelle Donana.
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Lili et Zaé
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manieresdedire · 2 years
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Réveil
Après plusieurs mois fertiles en évènements perturbants, petite pause :
rêverie 
             évasion
                            délire
         utopie
                      mélancolie ...
litanie
            soupirs.
MOI J'AURAIS VOULU
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Parcourir le monde, découvrir ses merveilles et comprendre ses mystères ;
               Observer la nature et les astres ;
                              Connaître l'Europe, l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l’Océanie et les pôles ;
                 Rencontrer les autres ;
      Écouter ; Apprendre ...
               Tant de choses à faire et si peu de temps
PARCOURIR le Siam et la Thaïlande ; le Vietnam, le Caucase, le Sénégal et le Niger ; le Pérou, le Cameroun, la Kabylie, l'Australie ; le Kansas et l'Ontario ; l'Italie, le Québec ; les Carpates sans oublier l'Ardèche, les Cévennes et la Camargue ; le Morbihan, le Yémen, la Tchétchénie, l'Arménie, l'Ingoudie ; la Tanzanie et le Yucatan  ...
DÉCOUVRIR les souks des casbahs Algériennes et les fjords Norvégiens ; les lochs Écossais ; les icebergs du Groenland ; les geysers d'Irlande ; trop tard pour les bouddhas de Bâmiyân ; les favelas de Rio ; l'Auvergne et ses puys ; Samarcande et Assouan ; l'archipel de Palaos et de Zanzibar ; le Rajasthan et ses palais ...
SUIVRE les chemins de l'Inca ainsi que ceux de Compostelle ; la grande muraille de Chine ; les pistes du Far-West et du Kalahari ; les crêtes des Pyrénées et la cordillère des Andes ...
TRAVERSER la banquise et ses blizzards, la vallée de la mort, la jungle de Bornéo, les forêts profondes de conifères du Transvaal, le lac Titicaca et le Tanganyika, le désert d'Atacama et celui de Gobi ...
SURPLOMBER le grand canyon ; les gorges du Tarn ; les falaises d’Étretat ; les chutes du Niagara ...
DÉVALER les pentes enneigées de l'Himalaya, celles du Mont Blanc et de l'Aneto ; de l'Oural, de l'Etna et celles enfumées du Popocatepetl ...
DESCENDRE les grands fleuves du monde, Nil, Missouri, Mississippi, la Iéna, l'Orénoque et le Zaïre et plus simplement la Garonne, la Durance et encore le Tage, le Rubicon, l'Uele ...
TRANSHUMER avec les peuples Valaque et Tsaatan ; avec les bergers Pyrénéens et Vosgiens ...
MIGRER avec les oies sauvages, les cigognes d'Alsace, les immenses troupeaux de gnous, les gracieux papillons du Brésil et les hirondelles ...
COURIR avec les chevaux sauvages de Patagonie et ceux de Gengis Khan ; avec les chiens de traineaux huskys, malamutes et samoyèdes ...
VOIR les incontournables Machu Picchu et Katmandu, Cordes sur Ciel venue tout droit du Moyen Age, Pompéï l'ensevelie, Tijuanaco, Santander ; les arènes d'Arles ; dommage pour le colosse de Rhodes ; Saint Bertrand de Comminges et le site de Troie ; les ruines des villes Nazcas ; le royaume de Sabbat ; Guizèh et la vallée des rois ; les Baux de Provence et les châteaux cathares sur leur piton rocheux ; Syracuse et l'île d'Ouessant ; les grandes ailes blanches des moulins à vent et les petits seaux des norias artisanales ...
ME FONDRE dans les étendues glacées de Mandchourie et d'Alaska ainsi que les déserts brûlants du Sahara et du Colorado ; dans le bocage Vendéen et les rizières d'ici ou d'ailleurs ; dans les salines de Sicile, les champs de tulipe de la Hollande et les sapins du Canada ...
ME PERDRE dans les bayous de Louisiane, dans le maquis Corse, les forêts Khmères, les marais du Poitou et la mangrove ; dans les profondeurs des abysses et pourquoi pas les étoiles et les lointaines galaxies ...
VIVRE au milieu des troupeaux de mérinos de Cornouailles, des derniers aurochs ou bisons, des petits chevaux de Przervalski ...
GARDER les troupeaux des Massaï, les rennes des Lapons, les chèvres africaines aux longues oreilles ; les chamelles des hommes bleus et les lamas des Mayas ; les chameaux laineux de Bactriane et les yacks du Tibet ...
NAGER en apnée avec les Gitans de la mer à la suite des dauphins et des raies Nanta ; avec les baleines bleues et celles à bosse ; les otaries et les narvals et même avec Nessie le "monstre" du loch Ness et les orques tueuses ...
DANSER avec les gracieuses grues du Japon et les cobras sacrés ...
JOUER du cor Suisse et du yukulele ; des tambours du Bronx et même de la flûte de Pan ; et pourquoi pas du didgeridoo  ...
HURLER avec les loups et les lémuriens ...
CONNAITRE le yiddish et le sanskrit, le wolof, le basque et le breton ; le yakoute et les hiéroglyphes ; le corse, le sumérien et le créole et peut-être même l'espéranto langage universel  ...
APPRENDRE les danses Zoulous ; à jouer de la cornemuse et de la kena ; la sardane et la polka ; la bourrée et les danses slaves ; à utiliser le banjo et l'ocarina ; les valses de Vienne et la langue sifflée des bergers Grecs ...
OBSERVER les colibris et les perroquets ; les oiseaux lyres et le quetzal pourvoyeur de plumes pour les coiffes des Incas ; les kangourous et le secret bien caché dans leur poche ; les éléphants et les grands singes des montagnes au dos argenté ; le serpent liane ; les ours bruns et les ours blancs avant qu'ils ne disparaissent ; ceux à lunette et le grizzli ; les oiseaux de paradis aux plumes et danses irréelles et ceux qui sont de véritables artistes en matière de nid ...
EXPLORER la canopée amazonienne et les grottes sous-marines ; le gouffre du Vercors, l'île de Pâques protégée par ses moaïs et les cités perdues d'Ankhor ; celles des Aztèques et des Toltèques ainsi que celles du Mexique ...
CHERCHER le légendaire yéti et les fabuleuses licornes ; l'orang outang, le grand et le petit panda, le koala, le raton laveur comique avec son masque de Zorro ; l’étrange ornithorynque et le dugong ; les Iroquois et les Hurons ; les derniers Inuits et les hommes Sentinelle ...
TROUVER le pays des rêves avec tout son petit peuple d'elfes, lutins, gnomes, sorciers, korrigans ; les walkyries et les sirènes ; Merlin l'enchanteur et la fée Morgane ...
RENCONTRER les Peuls, les Pygmées ; les femmes girafes aux innombrables anneaux et les indiens à plateaux ; les anciens coupeurs de têtes Jivaros et les descendants des cannibales ; les Népalais ; les bateliers de la Dordogne et de la Volga ; les filles de Galilée, les Dogons et les Waganias ; les anciens nomades Hmongs ; les pêcheurs d'algues Dayaks et ceux d'huîtres perlières ; les intrépides cueilleurs de miel du Népal ...
ÉCOUTER les griots africains, les marabouts et les conteurs ; les ancêtres de tous les peuples ; les youyous des femmes arabes et les tyroliennes ...
ESSAYER les yourtes mongoles, les igloos esquimaux, les cases africaines, les wigwams apaches, les huttes, les paillotes mais aussi les gabarres et les caravelles de Christophe Colomb, les radeaux des Pascuans et ceux en jonc torota des indiens Aymara ...
COMPRENDRE les énigmatiques dessins de Lascaux et autres lieux, les anciens druides de Stonehenge ; l’Égypte avec ses mystères et ses pyramides ; le vaudou et le secret des chamans ...
ADMIRER le Kilimandjaro et ses cerisiers en fleurs ; les madras martiniquais ; les cactus aux fleurs éphémères ; la voie lactée et la grande ourse ; les baobabs, les orchidées aux formes étranges, le corail avant son déclin ; les jardins suspendues de Babylone et la faune incongrue des fonds sous-marins ; celle extravagante des régions inconnues ; les minarets d'Iran et l'armée enterrée de l’empereur Qin ...
CARESSER l'ivoire, l'��bène et l'acajou, le cède du Liban, le palissandre, le pin des Landes, l'eucalyptus ...
TRANSFORMER la soie, la pourpre et l'indigo, le topaze et le saphir, le rubis et l’agate, l'opaline, l'ambre et la coralline, l'aigue marine ...
RESSENTIR le vent du Ténéré, les alizés, les embruns du Zambèze, le Simoun, le Mistral et la Tramontane ...
RESPIRER les épices de Ceylan ; le parfum des plantes exotiques, des caféiers, des cacaoyers, des palmiers dattiers, des bananiers ainsi que la fleur de tiaré et le coprah donnant le monoï à l'odeur suave des îles Marquises ; les effluves éphémères des bambous en fleurs, les senteurs des plaines d'Ukraine et l'odeur nauséabonde de la rafflesia ...
Tant de choses ... si peu de temps ...
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     ET JE SUIS LA !
Flo
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zehub · 3 months
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Les cigognes blanches sont de retour en France
À l’occasion du retour des cigognes blanches en France, n'hésitez pas à rejoindre des ornithologues de la LPO pour observer ces oiseaux.
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oenodyssee · 3 months
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33 milliards de capsules
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Chez Laurent Habrard // Domaine Laurent Habrard // Crozes-Hermitage // Côte-du-Rhône // 16 hectares
Milan noir : quand il descend la vallée à cette altitude voit-il, comme moi, le Rhône en canyon large ? Entre contreforts de l’Ardèche, rive gauche, et contreforts de la Drôme rive droite, un défilé plus sinueux qu’on ne le perçoit au sol ? Cigogne blanche : quand elle remonte le cours du grand fleuve, voit-elle, comme moi, se dresser la colline de Tain-l’Hermitage puis, derrière, bordé par la Route Nationale 7, le nord de Crozes-Hermitage – où se trouve l’essentiel des 32 parcelles pourpres (syrah) et des 12 parcelles blondes (marsanne avec une fraction de roussanne) que compte le domaine Laurent Habrard dans cette appellation ? Les rouges plutôt dans la plaine argileuse, les blancs hissés sur les coteaux de lœss ? La cave et la maison de Laurent sur le bulbe de Gervans ? La veine granitique donnant le cap d’Ozon, sur l’autre rive, adresse de la plus petite des deux parcelles de Saint-Joseph appartenant à Laurent ? Milan noir à nouveau : il tourne au-dessus du triangle planté de syrah comme à l’affut d’une proie, saisit un courant chaud, dévale loin au sud, jusqu’à l’escarpement où niche la parcelle sœur. Quittant le Saint-Joseph, il vire sur l’aile gauche, traverse de nouveau le fleuve, survole le fleuron du domaine, un demi-hectare de marsanne en Hermitage, et atteint la platitude alluviale où s’est logée la plus récente et la plus méridionale parmi les pièces du puzzle Habrard. Je suis à Gervans dans le bureau attenant au chai. Avant de nous rendre chez lui, dans la maison ossature bois qu’il a fait construire entre deux parcelles de marsanne, Laurent a tenu à me montrer la cinématique aérienne qu’il est en train de finaliser avec les outils de Google Earth.
Nous venons de faire une longue visite du chai qui m’a réservé quelques surprises. Souvent, ce qui semble logique pour les vignerons engagés dans des pratiques bio ou nature, l’activité est présentée à travers ce prisme, les bémols et les interprétations personnelles n'intervenant, quand ils interviennent, qu’en second plan. Avec Laurent tout l’inverse : d’abord ses préventions à l’endroit des levures indigènes (« je dois vendre 80 000 bouteilles, je ne peux pas prendre le risque qu’il y ait un défaut. »), ensuite le protocole méticuleux mis en place pour s’en passer. Idem pour l’utilisation du soufre. D’abord le constat du plus grand confort et du coût moindre de travailler au tracteur sur les parcelles de plaine (« si je pouvais en avoir plus ! ») ensuite le cheval dans des raidillons étroits. De quoi me faire un peu douter. Puis, arrivant presque fortuitement dans la conversation, les engagements. Ancrés dans des convictions fortes. La décision de reprendre le domaine familial à la condition expresse de le passer au plus vite en bio (« le conventionnel, tous ces produits, je n’avais jamais trouvé ça net ») puis en biodynamie ; la plantation de haies et d’arbres dans les vignes  ; la réduction de l’empreinte carbone par l’utilisation de bouteilles légères : (« avoir un contenant lourd, ça fait chic, on pense que le vin est meilleurs, mais c’est du pur marketing ») et surtout la mise en circulation d’une pétition visant à simplifier les démarches douanières pour les vignerons souhaitant se passer de Marianne (« la production annuelle mondiale de capsules, toute matières confondues, représente l’équivalent de 1100 Airbus ! J’ai travaillé la question, elle est simple à régler sur le plan juridique mais doit être portée sur le plan politique. Je suis allé voir mon sénateur qui m’a fait comprendre qu’il me soutiendrait s’il y avait du monde derrière moi. D’où la pétition ». Le compteur est aujourd’hui à 2486 signataires sur les 5000 nécessaires pour lancer l’action. On peut s’y joindre et relayer en cliquant ici.
Je suis dans la cuisine avec Laurent et son compagnon Benjamin, maraîcher et volailler bio. Je leur ai joué Rhapsode en version poche et nous buvons maintenant un Crozes-Hermitage rouge 2018 joliment structuré.  (« dans cette appellation cela devient très intéressant à partir de 5 ans. ») Au cours de la discussion j’apprends que les parcelles sont vinifiées et élevées séparément avant d’être assemblées. Pour certains millésimes une tête de cuvée est constituée dès avant la fin des vendanges. Elle portera le prénom de l’un des employés, Marion, Sylvain ou Kevin – tous par ailleurs intéressés financièrement aux résultats de l’entreprise – ou de l’un de ses parents Marcel et Marie-Thérèse qui, à 81 et 79 ans continuent de l’aider. (« C’est pour eux, je crois le meilleur antidépresseur qui soit. Leur vie et leur rencontre se sont faites à la vigne. Mon père qui devait reprendre le domaine créé trois générations plus tôt ne s’intéressait qu’au végétal et c’est à ma mère venue d’Ardèche pour les vendanges que mon grand-père, après le mariage, a transmis la vinification. Enseigner cela à une femme, une pièce rapportée, « d’en face » qui plus est, nécessitait un certain caractère à l’époque. Mais sans doute n’avait-il pas d’autre choix. En tous cas, ils m’ont donné le goût du travail. Je ne suis quasiment jamais parti en vacances quand j’étais enfant et aujourd’hui encore, à quarante-neuf ans, j’ai du mal à prendre une semaine. Voire mon dimanche. Mais... j’y travaille. »).Je suis dans le bistrot de Talencieux, non loin de chez Nicolas Bladel chez qui je vais passer la soirée du 11 novembre. Je regarde la bouteille de Crozes-Hermitage 2019 "Sylvain" que m’a confiée Laurent pour lui. Sur la contre-étiquette un message est écrit à la main : « Salut Nicolas, bonne soirée avec notre troubadour colporteur ». Ce que je remarque, surtout, c’est le slogan du domaine : Laurent Habrard, un vigneron heureux.
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philoursmars · 2 months
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle. Bri étant fatiguée, c'est Sylviane qui me fait découvrir la belle île d'Oléron.
Avant le pont, sur le continent, la ville fortifiée de Brouage. Elle accueille un nid de cigogne. La voir craqueter est extraordinaire !
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Cigogne blanche - Son alimentation est entièrement animale (insectes, lombrics, petits mammifères, reptiles, etc.). Elle est capable de s'adapter aux ressources changeantes selon les saisons.
Lieu : Parc des Cytises, Bénifontaine
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mariepascaleremy · 3 months
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BONJOUR FÉVRIER 2024
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Février vient du mot latin ′′ februare ′′ qui signifie outil de purification. Dès le 2 c’est la fête des chandelles ou Chandeleur : nous célébrons la fête mariale du jour de la Purification dite aussi la Présentation au Temple (l’Enfant Jésus y est présenté 40 jours après sa naissance) ; le 10 c'est le Nouvel An chinois, qui nous fait entrer dans l'année du Dragon (suite à l'influence organisatrice du Lapin lors de l'année lunaire précédente). Mardi gras tombe le 13, jour des crêpes et des beignets. Le 14 revêt une importance particulière puisqu'il marque non seulement le début du Carême avec le Mercredi des cendres (et son jeûne) mais c'est aussi le jour de la Saint-Valentin et le retour des cigognes blanches... Un mois de février de 29 jours qui, parce qu'il ne se produit qu’une fois tous les quatre ans, fait murmurer que la journée détient un pouvoir spirituel important...
BON MOIS DE FÉVRIER À TOUS !
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briceducruix · 4 months
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La cigogne
Cigogne blanche
Comme une avalanche
S'élevant dans ce ciel azur
Au fur et à mesure
On dirait un ange
Ça me change
Ailes déployées
En totale liberté
Libre de voyager
Libre de glisser
Profond émerveillement
Comme peut l'être un enfant
De voir autant de grâce
Cette vision je l'embrasse
Autant de beauté
Ne t'arrête jamais de voler.
#poeme #cigogne #beaute
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Nouveau sur ma boutique ! Onze nouvelles aquarelles originales sont disponibles : Chouette hulotte, Tigre blanc, Zèbre, Cassis, Cigogne blanche... Toutes sont des pièces uniques et chacune a son histoire. Bonne découverte ! :)
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