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#conseil municipal
toniolibero · 1 year
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Conseil municipal de Lyon du 28 septembre 2023 : les délibérations de la rentrée
C’est la rentrée pour les élus lyonnais, avec son lot de délibérations culturelles, sociales, écologiques… Bref, ce qui fait la vie administrative d’une ville. On notera que Lyon – va aider ses commerçants impactés par les manifs anti-réforme des retraites, – installer des box sécurisés pour les vélos, – créer trois terrains de beach-volley, – favoriser l’allaitement dans les crèches et l’espace…
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bearucheton · 2 years
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albionmakolli · 2 years
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Albion Makolli, conseil municipal
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birbliothecaire · 6 days
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Flemme de finir Le gang des prodiges parce que l'héroïne vient d'essayer de s'opposer au projet de guerre civile des méchants en leur proposant "on pourrait s'enfuir et bâtir une communauté libertarienne au milieu de nulle part" meuf tu vis en dictature
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ruemorinpointcom · 21 days
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Communiqué de Mireille Jean et de Jacques Cleary
Rencontre du DG de la ville avec les commerçants du centre-ville, « Une rencontre insatisfaisante pour les commerçants » Continue reading Communiqué de Mireille Jean et de Jacques Cleary
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Réunion de sensibilisation au CMJ (Conseil Municipal des Jeunes)
Ce mercredi 11 septembre 2023 de 11h30 à 12h30, se déroulera une réunion de sensibilisation au Conseil Municipal des Jeunes (CMJ). Elle est obligatoire pour les délégués de classe du collège les Amandeirets et est ouverte aux volontaires.
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20secondesfr · 2 years
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Philippe Poutou aime sa femme aussi
Comme de nombreux hommes politiques français, Philippe Poutou a voulu montrer son amour à sa femme par les actes. Pour ce faire, il a embauché sa compagne comme assistante dans le cadre de ses activités municipales à Bordeaux, comme François Fillon avant lui et tant d’autres.
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thebusylilbee · 14 days
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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empirearchives · 1 month
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Councils of Prud'hommes
The Councils of Prud'hommes were a labour council created by Napoleon. As one of Napoleon’s many working class reforms, they were elected councils which solved disputes between workers and their employers.
Historian Robert B. Holtman called them “an early attempt at satisfactory management-labor relations in the new era of industrialization” and said “Through the councils of prud'hommes France became the first modern state to have a court for industry” (The Napoleonic Revolution).
First appearing in Lyon in 1806, conseils de prud'hommes were conceived as industrial justices of the peace that also developed a conciliatory approach while specialising in the regulation of economic activities. Proposals to establish such councils had already been formulated in the context of eighteenth-century conflicts between artisans and guild officials, in order to cope with the issue of subordination in labour relations. The need to establish local institutions to monitor labour relations had also been noted by the Constituent Assembly in 1791. But the creation of conseils de prud'hommes also resulted from powerful struggles led by workers over the revolutionary period. As noted by Guicheteau, it represented the outcome of multiple experiments led by different actors, most notably in Lyon, with the aim of applying revolutionary principles to the field of labour relations.
The councils’ officials were representatives elected from within trade communities—merchants, master-artisans and eventually also workers. Their success was also impressive, and new councils were soon created in other cities, so that by the end of the century they had spread throughout the country. In cities where prud'hommes remained absent, justices of the peace continued to deal with labour conflicts. Though at first also created to deal with commercial matters such as brand and quality control, prud'hommes rapidly narrowed their focus down to labour relations. It is crucial to note that, though they were ruling on individual disputes, their decisions had crucial collective implications.
Prud'hommes pronounced judgements and gave conciliatory advice on every aspect of labour relations, and thus played a pivotal role in the structuring of social relations of production. In doing this, they systematically refused to grant arbitrary powers to employers or to let unfettered market competition determine working conditions. A close analysis of prud'hommes’ decisions conducted by Cottereau clearly and amply confirms this. Whenever they felt that their rights were not respected, workers would appeal to these courts.
Employers were not granted the right to define individual tasks or the organisation of work. Methods of production could only be established by workers alone or jointly with employers, according to local trade usages, but could not simply be imposed from above by employers. Until the last third of the nineteenth century, prud'hommes objected to the establishment of all internal factory or workshop regulations that did not respect customary trade customs. In this, they were often backed up by municipal and regional political authorities.
Bargaining also took place within a framework defined by municipal policies and the decisions of conseils des prud'hommes, establishing minimum wages and tariffs; and whenever the bon droit was infringed upon, discussions, arguments and (sometime violent) conflicts emerged.
The point is not simply that the employers’ powers were importantly circumscribed. Over the first two-thirds of the nineteenth century, such powers, at least in a unilateral form, were nowhere to be found. Prud'hommes and local or regional authorities justified their decisions and interventions by stressing the fact that issues pertaining to labour relations and the organisation of production were ‘public matters’. The separation of ‘economic’ and ‘political’ spheres specific to capitalism, which implies the privatisation of political powers to organise production, and their confinement to an ‘economic’ sphere, simply did not exist in France until the last decades of the nineteenth century, an authentic relationship of reciprocity characterised labour relations and was largely accepted, and sometimes even actively defended, by most employers, as well as by workers. As Cottereau explains, justices de paix and prud'hommes enforced, and helped to define the contours of, a moral economy, and this economy was at times also upheld by collective struggles.
The reason why so many historians have overlooked prud'hommes:
Importantly, these trade communities were also no longer backed by the central state. Sets of customary norms represented a kind of local and semi-clandestine legislation. Consequently, prud'hommes made sure not to over-publicize some of their decisions, as many could have been—and were, in fact, on relatively rare occasions, until the last third of the nineteenth century—recognised as illegal by superior law courts and high state officials and politicians. This partly explains why their crucial regulatory role within the nineteenth-century French economy has been so often ignored by historians.
Thus, for instance, after the central state’s intervention to abolish the tariffs set by Lyon’s municipal government for the silk industry in 1831, and following the popular revolts that ensued that same year and in 1834 (which will be discussed in the next chapter), the city’s prud'hommes continued to administer and to enforce piece rates clandestinely, with the support of the trade community and in direct opposition to the official liberalism.
Source:
Xavier Lafrance, The Making of Capitalism in France — Class Structures, Economic Development, the State and the Formation of the French Working Class, 1750-1914, ch. 3
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swgzl · 8 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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toniolibero · 1 year
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Conseil municipal de Lyon du 11 mai 2023 : les vœux de la discorde
Fin de conseil municipal houleuse en ce jeudi 11 mai, alors que la majorité a décidé d’amender un vœu et une motion portés par les groupes d’opposition, en se basant sur une interprétation fragile du règlement intérieur. Une première dans la vie institutionnelle municipale. Un événement inédit s’est produit en toute fin du conseil municipal du 11 mai 2023, nécessitant même une suspension de…
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bttf-rpg · 9 months
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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lemondeabicyclette · 7 months
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Un vétéran des forces militaires spéciales s'est exprimé lors de la période de commentaires publics d'une récente réunion du conseil municipal de la ville de McKinney au Texas, condamnant l'assaut génocidaire d'Israël contre Gaza et le soutien des États-Unis au génocide.
"Je m'appelle Alan Shebaro", a déclaré le vétéran du 3e groupe des forces spéciales de 47 ans - qui a combattu pendant l'occupation de l'Irak dirigée par les États-Unis - lors de la réunion du 20 février à McKinney, au Texas, au nord de Dallas.
"Je connais la guerre", a-t-il poursuivi. "Ce qui se passe en Palestine en ce moment n'est pas une guerre. C'est la déshumanisation, c'est le génocide, c'est le nettoyage ethnique d'un peuple pour prendre sa terre.
"Il n'y a rien de plus américain que de s'exprimer contre ce qui ne va pas. »
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bachassclub · 8 months
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Piochée ces derniers jours chez Éric Ciotti, cette image légendée comme suit : '…nous allons faire décoller notre ville '. Nice, bien sûr. Les chabeuillois connaissent bien ce mode de recours propagandaire et néanmoins tintinophile, l'emploi de la même fusée, support de la même métaphore du 'décollage'. Devenue donc un topique LR, quand les sondages, eux, refusent précisément de 'décoller' et que la situation politique de ce parti est justement celle-là : l'apesanteur.
LE COUP DE MOU D'ALBAN PANO. Mardi 23 janvier, le Conseil municipal de Chabeuil présentait ses voeux à la population. Du monde au centre culturel, et on semblait enfin revenu aux jauges d’avant Covid, quatre cent personnes aux premiers décomptes. L’an dernier, seule l’équipe majoritaire avait été invitée sur scène par le maire de Chabeuil et cette entorse à la démocratie représentative locale, une faute de débutant, avait été sévèrement jugée en son temps : correction donc en 2024 où l’ensemble du Conseil Municipal des chabeuillois avait été plus justement et décorativement disposé sur l’estrade. Seule absente sur scène, Cécile Trempil, représentante et singleton du Groupe Le Chemin des possibles, qui, en matière de voeux, avait préféré assister à ceux du valentinois Jimmy Levacher (LFI, qui lançait à Valence sa campagne municipale pour 2026), qui venaient d’avoir lieu. Autre absence notable, celle des services techniques, dont on ne repérait que peu de représentants, d’autant plus isolés que l’élu qui s’occupe d’eux dans sa délégation, Stéphane Planta, était absent lui aussi. Stéphane Planta a pris du champ avec l’action municipale, on en reparle plus bas… Pour le reste, le public habituel : corps constitués, sous-préfet, mirlitaires zà lavalières, associations chabeuilloises, fiers notables et pompiers divers et variés. Et Nicolas Daragon, bien sûr, qui a très sûrement son rond de serviette féodal (LR) à Chabeuil. Sans oublier Nathalie Iliozer, binôme d’Alban Pano au Conseil Départemental, qui y a ses pantoufles (LR) et sa tenue complète de chaperon. Bref de l’ordinaire, assez pauvrement ritualisé cette année, sans tambours ni trompettes, comme on dit.
Non, la surprise est plutôt venue du discours d’Alban Pano, terne, morne, et marqué tout du long par de nombreux bafouillages et glissements. Un discours ‘savonné’, qui suivait ensuite sa pente de clichés et d’images convenues, pour un maire pas en forme, ça se voyait et s’entendait, fatigué, loin de la pop’politique enjouée à quoi les chabeuillois commençaient à s’habituer, loin de cet habituel (souvent incongru, mais parfois emballant, voire charmant) optimisme insouciant qui faisait jusqu’alors la ‘marque’ Pano.
Chabeuil a affaire d'ordinaire à un jeune maire fluide et à l'aise, énergique mais ce soir-là la ville découvrait son Pano sans allant et sans joie de vivre, au discours qui ne décollait pas de cette tristesse empesée et des lourdeurs de style qui vont avec, prononcé gorge sèche et voix éteinte.
Intermezzo : un court film de réclame au montage rapide, bien rythmé, où crépitaient les images archibattues de fusées, de feu d’artifice, de biquettes environnementales, photogéniques, et brouteuses, de Tintin, de Tintin et encore un peu de Tintin, obstinément imposé comme signature visuelle de Chabeuil, sur fond d’infantilisation de la ville, encore et toujours.Alban Pano était fatigué, voilà tout.
Après que son petit clip touristico-tintinophile ait échoué à relancer la cérémonie, à lui redonner un peu d’élan politique et de ressort programmatique, il devait poursuivre sur le même ton. C’était censé évoquer des projets et mettre l’année 2024 en perspective, bref, donner de l’allant à l’année qui vient, mais rien, ou si peu n’attachait plus au fond de la gamelle :
-Projet Cuminal (une salle audiovisuelle dans l’enceinte de l’ancienne école de Chabeuil), mais sans les images montrées au dernier Conseil Municipal. Dommage. Et sans le montant global annoncé (Dans son compte rendu, le Dauphiné Libéré comblera cette information déficiente : 1,4 M€) : un peu court pour une première présentation publique d'un projet pourtant séduisant par bien des aspects.
-Une politique environnementale faiblarde, qui, les années passant, s’efface sûrement du bilan Pano et de son adjoint. Rien, hormis une nième (et très brève) mention du ‘relamping’ de l’éclairage.
-Mieux, au même chapitre, Alban Pano réalise le tour de force de passer sous silence les Points d’Apport Volontaires (PAV), pourtant la plus grosse affaire communale (entreprise par l’agglo…) de 2023, qui a d’abord pris du retard et qui, depuis l’installation des PAV en question, pétouille notoirement, exigeant des services des efforts répétés de nettoyages des alentours. Et ça tombe mal, parce ces fameux PAV sont du ressort du même évanescent adjoint à l’environnement, dont la délégation s’avère toujours plus faible : rien non plus sur le moustique tigre, rien sur le Canal des Moulins… Et rien de rien pour le traitement des déchets organiques pourtant obligatoire depuis le 1er janvier.
-Des ‘études’ pour l’école Cavalli, à Parlanges, sans plus de précision d’échéances (‘la fin de mandat’…) Rénovation de la salle des fêtes des Faucons, toujours sans beaucoup de précision.
-Ah si…la voirie, voilà la grande affaire, au moins budgétaire. Comme tous les ans. Le Dauphiné Libéré fait les comptes : 700 000 € en 2022 et 2023 et 900 000 € jusqu’en 2026.
-Ah si…on ne pouvait pas s’en sortir comme ça, sans Tintouin à Chabeuil, forcément Tintouin qui, en 2024 proposera de s’agiter autour des Cigares du Pharaon. Cette gaudriolante perspective [triompher à coup sûr (enfin!) de méchants trafiquants d’opium] rend un peu de sourire au maire de Chabeuil, qui annonce un programme de mobilisation citoyenne : ‘préparez vos babouches et vos cigares’. Un demi-clin d’oeil d’Alban Pano, avant qu’il replonge son discours dans la morosité d’une plainte très politique contre la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) traitée sur le ton très facile de la démagogie antiparisianiste, contre une loi qui serait imposée d'en haut, à quoi on oppose un imparable slogan ‘ici, ce n’est pas Paris’. Mais sans bien sûr aborder le sujet au fond : le logement social, bien sûr, ni apporter les chiffres qu’il faudrait fournir sur les perspectives de l’équipe Pano en la matière. Une autre paire de manches.
Bref, on se traînait : Alban Pano avait besoin d’un dopant, d’une relance. Ça tombe bien, IL est là, assis au premier rang du banc de touche. IL se lève et se dirige vers le micro et annonce dans un demi sourire : ‘…je vais refaire le discours d’Alban’. Une vanne (on est entre amis, n’est-il pas ?), qu’IL veut sans doute sympathique, mais qui annonce trop lourdement la redite littérale qui allait suivre. Parce que redite il y eut, Nicolas Daragon (il s’agit bien de LUI,) ne faisant en somme que répéter le discours d’Alban Pano, sans trop de vergogne. Sous couvert de présidence de l’agglomération de Communes, le maire de Valence repassait ni plus ni moins, les plats du discours du maire de Chabeuil, et déroulait son menu d’actualités locales, à l’aise, chez lui, tout sourire…IL poussait même l'imitation jusqu'à escamoter LUI aussi des PAV qui sont pourtant de la compétence de l'Agglo, se privant d'une bonne défense et illustration, concrète, de son institution, à quoi ça sert, et combien ça ‘rapporte’ à la Commune. Raté.
Nicolas Daragon devait ensuite reprendre pesamment la marotte LR, cette très fameuse ligne argumentaire d'un ruissellement bénéfique Wauquiez-Mouton-Daragon-Pano (LR inc.). Soit une continuité de financement Région-Département-Agglo-Commune théorisée ce soir-là comme suit : '…notre vision commune (LR) permet de développer nos territoires…'
Nicolas Daragon ne se lasse pas non plus de répéter ‘mon ami Alban par-ci et cher Alban par-là, appuyant sans aucune pudeur sur le tutoiement, répétant et flagornant : ‘Alban est un maire comme on (LR) les aime…’
Marie-Pierre Mouton présidente du Conseil Départemental (LR) l’an dernier, Nicolas Dragon cette année, les parrains et marraines politiques et partisanes viennent meubler les voeux d’Alban Pano et étoffer ses prestations, masquer ses difficultés, comme s’ils prenaient leur tour de baby sitting dans la petite classe de Chabeuil. Dans quelle autre ville du quartier est-ce que ça se passe comme ça ? Nulle part. Partout ailleurs les maires sont seuls maîtres de l'annonce de leurs projets, et de l'exposé de leur bilan, bien assez grands pour rester maîtres du rapport démocratique avec leurs administrés. Parce que c’est vexant, à la fin, cette infantilisation (encore !) de Chabeuil. Quand Les Républicains du coin vont-ils enlever les roulettes du petit vélo du maire de Chabeuil, pour qu’il fasse enfin seul le tour de la piste de ses voeux et de son bilan ?
Cérémonie dans la cérémonie, Alban Pano remettait ensuite une médaille de ‘citoyen’ ou ‘citoyenne’ d’honneur à six personnalités chabeuilloises, bien connu.es en ville, chenu.es et blanchi.es sous le harnais de l’action locale. Pour l’’énergie nouvelle’ dont aime à se vanter Alban Pano, on repassera, mais ça mettait un peu de chaleur humaine dans la soirée. Notabiliser des notables, c’est pas vraiment une performance et ça a le défaut surtout de distinguer (en les flattant) quelques chabeuillois, laissant dans l’ombre les associations qui les portent. Alban Pano décorait ainsi la trésorière de l’association des amis du Canal des Moulins de Chabeuil, sans même mentionner le nom de son association. Oubli, négligence ou mesquinerie, on ne sait trop...
BRÈVES COMPLÉMENTAIRES, qui expliquent le passage à vide du maire de Chabeuil, tel que mis en évidence ci-dessus :
-Le poste de Directeur Général des Services (DGS) de Chabeuil est à nouveau vacant. Poste à pourvoir, roulez jeunesse, tournez manège, le 1er mars, pour cette pièce centrale de la machinerie communale. Le titulaire était en place depuis juillet seulement, après la foirade de l’embauche de Vincent Campens, premier DGS de l’ère Pano, indûment recruté ‘hors classe’. La préfète de l’époque avait toussé et posé un recours au tribunal administratif de Grenoble : Campens avait piteusement quitté la place. Son remplaçant n’a donc pas tenu longtemps à Chabeuil et le recrutement du remplaçant du remplaçant est en cours, annonce publique publiée le 25 janvier, et aussitôt signalée par le groupe d’opposition Le chemin des possibles dans sa publication (Facebook) dominicale.
-La Chambre régionale des comptes a procédé à un ‘contrôle simple’ de la Commune de Chabeuil, et doit rendre bientôt son rapport ordinaire, qui concerne la période 2018-2023. Ce qui devrait en ressortir, rapidement : les subventions aux associations posent un problème, et l’absence de critères d’attribution surtout.///La location de salles à ces mêmes associations et la mise à disposition de salles soulèvent quelques questions. Sur le même sujet, on note que Groupe le Chemin des possibles a posé un recours au tribunal administratif contre une ‘délibération fixant les tarifs pour l’utilisation des salles municipales’. Rapport, recours : il y a donc bien un sujet sérieux.///Plus largement, le rapport relève une absence de politique de recrutement dans les services, pas de Ressource Humaines à proprement parler.///Toujours dans les services : une prime importante devra être intégrée dans les salaires, la situation actuelle étant irrégulière. S’attendre à des secousses sur ce sujet, internes et budgétaires. De même facture : les heures supplémentaires sont trop nombreuses et devront être régularisées.///Trop de commandes publiques passent ‘en interne’. A revoir.///Pour le reste, et dans la mesure ou ce contrôle est dit ‘simple’ : la Commune est déclarée ‘bien gérée’.
-Les services techniques, encore eux : ils ont de fait boycotté les voeux du maire (aux services) début janvier. Ce qui n’est pas rien, et traduit un climat tendu entre les élus de la majorité et les services. Les causes d’après plusieurs témoignages, recueillis à des sources multiples : 1-L’élu en charge, Stéphane Planta, délégué aux services techniques est aux abonnés absents, occupé par une carrière professionnelle nouvelle et prenante. Les services se plaignent à qui veut les entendre de ce manque d’interlocuteur. La délégation ‘services techniques’ est maintenant vide : problème. 2-Les DGS passent et veulent laisser leurs marques dans les services de la Commune. On enchaîne les nominations, on esquisse des recrutements, on réforme les organigrammes et…on s’en va. 3-Le népotisme qui avait présidé aux recrutements opérés par Vincent Campens dans les premiers temps de l’ère Pano passe toujours aussi mal. Il avait mis en place des proches, notamment au service accueil de la mairie, et une telle disparité de traitement provoque de multiples difficultés.
-Changement de poste au périscolaire : une titulaire très expérimentée part à la MJC. D’après quelques témoignages, ça tangue, au moment où, devant les besoins manifestes, la Commune ouvre des places supplémentaires à Gustave André, quand les listes d'attente s'allongent, et où les coûts pour les familles vont semble-t-il augmenter.
-L'actualité nationale vient d'imposer à Alban Pano une présence soutenue en appui à son parti, au moment où celui-ci tentait de récupérer à toute force la colère des agriculteurs : très présent dans un soutien appuyé à 'nos' agriculteurs, comme il dit, comme dit LR. Présence sur le barrage de Bourg-de-Péage, photo et déclaration conclusive à Valence. Sur ce sujet aussi, l'intégration verticale et l'alignement strict d'Alban Pano sur les préoccupations politiques partisannes des Républicains, son absence d'autonomie, a un prix : il est en surchauffe, surexposé. En novembre dernier, il a été élu délégué LR dans la troisième circonscription de la Drôme (164 inscrits, 88 votants) et il doit maintenant remplir ce rôle partisan. Pas de problème, mais ça ne doit pas l’empêcher en quoi que ce soit de travailler pour sa commune, ni bouffer son temps ni l’obliger à imposer à ses administrés, à tout bout de champ, les cadres locaux de son parti. On comprend bien à la fin, le coup de mou du maire de Chabeuil : grosses difficultés dans les services, absence de Directeur Général des Services, et nécessité d'une présence partisane aux côtés d'un parti LR à la peine au plan national. C'est sans doute trop pour un jeune maire inexpérimenté, qui vient d'arriver aux responsabilités, dans une ville qui, au passage, n’est pas LR.
claude meunier
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Calendrier des conseils d’arrondissements et municipal (Saguenay)
Du mardi 23 juillet au mardi 27 août 2024 Continue reading Calendrier des conseils d’arrondissements et municipal (Saguenay)
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LES DENTS DE LA MER (1975)
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Pendant l'été du 1er juillet 1974, sur l'île d'Amity, un groupe d'étudiants fait la fête sur la plage. Une jeune femme s'éloigne du groupe pour un bain de minuit alors que son flirt s'endort sur la plage, ivre. Après quelques brasses, la jeune femme est attaquée par une force mystérieuse, elle tente de résister mais est happée et disparaît dans l'eau en poussant des cris de terreur. Quelques secondes après, la mer retrouve son calme nocturne. Personne ne sait ce qui vient de se dérouler.
Le lendemain, à la suite de la déclaration de la disparition de la jeune femme, Martin Brody, nouveau chef de la police locale originaire de New York, découvre les restes de la victime. Il attribue aussitôt cette mort à une attaque de requin, mais sous la pression du conseil municipal et aussi en raison de son inexpérience sur cette île, il suit les recommandations du médecin légiste de l'île et conclut à une mort accidentelle (noyade et choc avec un bateau).
Quelques jours après, un enfant est happé à son tour par le requin, et cette fois les témoins sont nombreux à assister à la scène. Le doute n'est plus permis : un requin rôde le long des plages d'Amity.
Le conseil municipal est confronté à un choix douloureux. Il peut adopter des mesures de protection le temps de se débarrasser du requin, c'est-à-dire interdire la baignade. Mais ceci mettrait en péril l'activité touristique de l'île à quelques jours du 4 juillet, la fête nationale américaine.
De plus, la mère de l'enfant a passé une annonce dans les journaux locaux et promet 3 000 dollars à qui tuera le requin. Le conseil s'inquiète de la publicité négative sur la ville et également de l'arrivée en masse de pêcheurs plus ou moins qualifiés pour obtenir la récompense. Parallèlement, Quint, un pêcheur local, propose ses services au conseil municipal pour tuer le requin mais il exige 10 000 dollars.
Le chef Brody essaie de son côté d'en savoir plus sur les requins et fait appel à l'institut océanographique pour avoir les conseils d'un expert. Matt Hooper, l'expert, arrive sur l'île le 2 juillet. Dès son arrivée, il demande à examiner le corps de la première victime et démontre de manière irréfutable qu'il s'agit d'une attaque de requin. Peu après, le même jour, des pêcheurs tuent un requin-tigre. Le maire exulte mais Brody, sur les conseils de Hooper, émet des doutes sur la responsabilité de ce requin dans les attaques : la mâchoire qui a attaqué la première victime serait beaucoup plus grosse que celle du requin pêché. Le maire refuse de suivre les recommandations du chef de la police et pense avant tout à l'afflux de touristes pour le 4 juillet. Les plages seront surveillées, mais interdiction de les fermer, même après qu'une autopsie du requin prouve qu'il avait le ventre vide.
Le 4 juillet, alors que la police et les gardes-côte surveillent la mer, le requin parvient à déjouer la surveillance et attaque à nouveau. Le maire n'a plus le choix : il accepte la proposition de Brody et engage Quint pour tuer le requin. Bien qu'il soit aquaphobe, Brody est de la partie. Hooper se joint également à la chasse pour apporter son expertise sur les requins. Quint et Hooper ne s'apprécient guère pour commencer mais brisent la glace avec une beuverie en mer. Après plusieurs essais, les trois hommes tentent un ultime essai pour tuer le requin. Hooper descend dans une cage anti requin avec un poison dans son harpon pour le lui faire avaler. Mais le requin attaque et détruit la cage manquant de peu de dévorer Hooper qui se réfugie au fond. Le requin attaque à nouveau et tue Quint. Brody réussit à faire avaler une bouteille d’oxygène au requin et le tue en le faisant exploser en tirant sur la bouteille avec un fusil. Hooper remonte à la surface et retrouve Brody. Ils réussissent à atteindre le rivage durant le générique de fin.
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