#craquant
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praline1968 · 4 months ago
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dannika-jeon · 1 year ago
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Je te regarderai dans les yeux en souriant. Et toi, tu pourras même me toucher l'avant bras ! Cette fois ci on va percer c'est sur.
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Les gens tomberaient en adoration devant ton sourire mignon et le contact de ma main sur ton bras. Quel nom de ship ils nous donneraient d'après toi? Malnika?
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Oops?
Il semblerait que je l'ai encore fait... J'ai osé toucher l'épaule de mon garde du corps et maintenant la toile s'est enflammée. Pitié dîtes-moi que ça va s'essoufler plus vite cette fois-!
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sylvain48 · 5 months ago
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craquant 💕😍♨👅💋🔝🔥
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danetteabdl · 5 months ago
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White or black are same with me !
Les deux sont tendres et craquants…
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coovieilledentelle · 2 months ago
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Lundi matin, le soleil paresseux s'étire, la lumière filtre. Un doux parfum s'échappe de la cuisine, Où le petit-déjeuner met la matinée en scène.
Des crêpes dorées, empilées , Des myrtilles , Un pain rustique, à la croûte craquante. Un café fumant . Le corps s'étire, les muscles s'animent, Prêts à saisir les défis .
Lundi matin, promesse d'un nouveau départ... Bonne semaine
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nanalineni · 4 months ago
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un paris-brest, une tropèzienne, un mille feuille qui se détruit quand on croque dedans, une crème brûlée, un fraisier avec une génoise à la pistache, un flan parisien bieeen crémeux, une tarte à la praline lyonnaise, une tarte au citron bien fraiche, une tarte tatin, un kouign amann, des cannelés bien craquants collants fondants... je vous aime les pâtisseries françaises...
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imarigil · 10 months ago
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Clips from "Le Parc" (Anjelin Preljocaj) rehearsal and actual performance.
Feat. Alice Renavand and Mathieu Ganio - moments just before he lifts her up for the iconic flying kiss.
His eyes say it all.
Je pourrais aussi mentionner qu'il est tout aussi craquant même rasé avec une biscotte et coiffé avec un pétard!
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shakeskp · 8 months ago
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Encore des histoires de mont-blancs
Après ma diatribe contre le mont-blanc de l'Aki, @redfoxline m'a recommandé celui de la pâtisserie Kenta et Akira, si un jour j'avais l'occasion de passer par Rouen. Or ! Il se trouve que par un hasard assez extraordinaire, je venais justement à Rouen ce samedi.
J'avais un timing serré : mon train arrivait à 11h07 et j'étais attendue chez ma sœur pour l'anniversaire de ma nièce à midi. Le train a bien sûr eu dix minutes de retard - pour la ligne Paris-Le Havre, c'est le tarif de base.
J'arrive à la pâtisserie au pas de course pour découvrir qu'elle n'ouvre pas à 11h comme indiqué en ligne, mais à 12h désormais... Je repars la tête basse et la glacière vide (oui, j'avais pris une mini-glacière, je suis une professionnelle).
La chance était malgré tout de mon côté, car alors que je n'y croyais pas, je suis libérée suffisamment tôt pour repartir à nouveau au pas de course à la pâtisserie... Où il restait du mont-blanc ! Le monsieur est allé me le monter exprès en cuisine, la classe.
La dame à qui j'ai parlé était un peu déroutée quand je lui ai dit que je repartais à Paris avec, mais ma glacière l'a rassurée !
Au moment de déguster après un sobacha pour me préparer le palais, j'avais bien décidé de prendre en compte le fait qu'il avait voyagé dans le train ET le métro parisien.
Je n'ai pas eu besoin.
Parce que ça, ça, ce sont des gens qui ont compris que l'intérêt du mont-blanc, c'est la châtaigne !!!!! Que c'est bien joli de vanter que ta crème de marron, elle est faite maison et avec des châtaignes d'Ardèche AOP récoltées à la main une nuit de lune bleue par des prêtresses en robe diaphane, ça ne sert à RIEN si c'est pour y en mettre une très fine couche de vermicelles sur un cumulus de chantilly !
Non, là, il y a une couche de crème de marron raisonnable, et dedans il y a des a des vraies châtaignes. La crème fouettée est légère et pas trop sucrée, la meringue a juste la bonne épaisseur pour apporter du craquant.
J'en conclu que si le mont-blanc de l'Aki était si mauvais, c'était pour que je découvre celui-ci. Merci @redfoxline <3 <3 <3
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impossiblyholyparadise · 9 months ago
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Candaulisme 
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
                « Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes... 
                « Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
                « Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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what-feast-at-night · 5 months ago
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Contexte
Liverpool, 1984.
"T'étais où?"
Sa voix éraillée me fait sursauter. Je cesse d'appeler le chat et me redresse, le coeur battant, dans un cliquetis de métal, de chaînes et de cuir. Les Sex Pistols hurlent dans mes oreilles et c'est d'une main tremblante que je laisse tomber mes écouteurs le long de mon cou. Je n'ai pas le courage de peser sur Pause. Ma mère a encore bu. Enfin... je crois. Quelque chose cloche. Il y a cette odeur de tabac froid et de fer dans le living-room et de... quelque chose. Quelque chose qui me serre la gorge et me donne envie de reculer, de fuir. Un relent épais, stagnant, comme si la maison elle-même avait commencé à pourrir de l’intérieur. Une odeur de suie rance et d’eau noire, celle des ruelles détrempées après les émeutes. Celle des quais, quand la vase remonte et qu’on jurerait sentir des choses mortes sous la surface. La maison est toute noire. Je distingue à peine sa frêle silhouette, sur le fauteuil. La fumée de sa cigarette et sa tête, affaissée sur l'accoudoir.
Je déglutis, ma mère n'est plus elle-même depuis des mois, déjà. Des conneries. Des oublis. Des chutes de toutes sortes. Des délires apocalyptiques. Papa dit que c'est les nerfs. On n'a plus d'argent depuis qu'il a perdu son boulot, au Port. On va perdre la maison. Et Billy... Billy a cette maladie dont on ne doit pas parler, vous comprenez? Ils appellent ça le Sida, maintenant.
Thatcher nous a abandonné. Il n'y a plus de boulot pour personne. Plus d'espoir. Plus rien. Rien que des vies brisées, des émeutes et de la violence, ici, à Toxteth. Parfois, j’ai l’impression que la ville entière devient comme elle, comme ma mère. Flasque, creuse, vidée de tout sauf de sa propre merde.
"Allez 'Man. Viens te coucher, tu veux?"
Je fais un pas. Un pas de trop.
Je perds l'équilibre. Je glisse. Je tombe. C'est chaud, c'est visqueux. C'est poisseux, sous mes mains. Ça pue, bon sang, ça pue… le cuivre, la charogne et cette maudite odeur rampante qui me prend à la gorge. Et c'est quand je la vois se tordre et se lever en craquant que je comprends.
Ce n'est plus ma mère que j'ai en face de moi.
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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Une maman a réussi à capturer le moment magique où ses jumeaux se découvrent pour la première fois. C'est craquant !
#au-jardin-de-mon-coeur
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sylvain48 · 1 year ago
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craquant 🔥🔝👅♨💋💪
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rebeuinlove · 1 year ago
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Hmmmmmm Craquant beau goss ces mecs hmmmmm🤩🤩😍😍🥰🥰😍😍😍🤩
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camisoledadparis · 7 months ago
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saga: Soumission & Domination 338
Adam notre Flic
La soirée du samedi est agréable. On boit un peu trop et je ne peux laisser Adam (le Flic) repartir bourré. Quand on va se coucher, je l'accompagne à la chambre du premier qu'il avait occupé la veille mais cette fois il est seul.
Dimanche matin : Réveil en milieu de matinée. Je mate le canal qui enregistre la chambre de notre invité. Il sort juste de la douche et se rhabille. Je le vois hésiter puis ne pas remettre son slip de la veille. Je décide d'aller le chercher en jock sous mon peignoir.  Quand je frappe à sa porte il m'ouvre aussitôt. Je lui dis que le petit déjeuner est prêt avant qu'on fasse un peu de sport. Il me suit et nous retrouvons Ludovic et PH en train de prendre un café. Ils sont en jock prêts pour une séance sportive. J'annonce le programme. Sport jusqu'à midi, déjeuner, repos, arrivée des garçons...diner puis je les reconduis chez Max pour la semaine. Adam est partant. Après un petit déjeuner succinct, nous descendons à la piscine pour l'échauffement. Je passe un maillot à Adam qui n'avait pas prévu de rester. Il nage mais est loin d'être un bon nageur. Il nous lâche pour aller courir sur un tapis de course à côté. Nous finissons nos 3/4 d'heure de préparation. Séchage rapide, échange des maillots contre des jocks et nous passons sur les postes de muscu. Là, notre invité est meilleur. Sans pousser aussi lourd que moi, il se place aux alentours de PH ce qui est déjà pas mal. On sue une heure de plus à pousser de la fonte. Les muscles gonflent, les corps brillent, c'est sexe tout d'un coup ! J'assure Adam sur le banc de développé-couché. Il peine dans les derniers soulevés de ses séries. A 80Kg c'est honorable, ce doit ne pas être loin du 100% de son poids. Ses pecs sont bien carrés, épais et plats. Ses tétons se dressent aussi quand il pousse la barre. Il est devient vraiment craquant. Et évidement je ne peux m'empêcher de bander. Ma queue déforme mon jock, repousse le tricot élastique juste au-dessus de son nez. Il ne peut maintenant plus ignorer l'intérêt qu'il suscite en moi. Ce qui me fait plaisir c'est que je vois la même chose se produire dans son jock.
Quand il repose la barre sur son support avec mon aide, je me plie dessus et tombe en avant, ma tête vers son entrejambe. Ma bouche ouverte coiffe l'emplacement de son gland. Alors que je pensais qu'il allait me repousser, je le sens repousser la poche de mon jock et prendre ma bite dans sa bouche et rapidement dans sa gorge. Il me surprend car avec nos deux " petits frères ", il s'était montré plus que dominant. Finalement il est peut être recto/verso. J'entends Ludovic me dire que les deux jeunes ne vont pas apprécier. Je me redresse, le temps de lui dire qu'ils sont gentils mais là, c'est une urgence à traiter. Ils en profiteront ce soir de leur policier. Sorti de son emballage et vu la profondeur qu'il atteint dans ma gorge j'estime son sexe à 21cm par 6 de diamètre ovale. De mon côté, mes 20x5 sont gonflés à bloc et ma rondelle me démange. Je le laisse trente secondes le temps d'attraper une kpote et un tube de gel. Quand je reviens il n'a pas bougé. Je le couvre, une noisette de gel de part et d'autre et je m'assois sur lui. Ses mains se crispent sur la barre chromée encore chargée de ses poids. Je ne cède rien et m'enfonce sa bite jusqu'à poser mes fesses sur le haut de ses cuisses. Je comprends le plaisir que nos deux jeunes ont pu prendre avec elle. L'ovale de sa bite est très agréable tout comme son gros gland rond qui bute et rebute à chaque passage contre ma prostate. Je m'accroche à la barre juste à côté de ses mains et chevauche cette nouvelle queue. A nos côtés PH et Ludovic sont résignés. Ils nous laissent seuls. Je prends un bon plaisir à pomper cette bite avec mon cul. Ses mains lâchent la barre et viennent serrer ma taille. Il accentue mes descentes et me garde un instant enfoncé avant de me relâcher pour que je puisse remonter. Mes cuisses brulent. Mes quadriceps tétanisent mais je garde le rythme. Encore deux coups de son gland contre ma prostate et j'explose. Je jute jusque dans ses cheveux, zébrant son torse, son cou et ses joues de plusieurs trainées de mon sperme. Je m'écroule sur lui alors que sa queue sort naturellement de ma rondelle. Petite douche rapide et nous montons au 4ème retrouver mes deux " consciences ".
Le déjeuner nous attend. Ils arrêtent de faire la gueule avant le fromage. Ils savent que je suis difficilement raisonnable alors m'empêcher de faire quelque chose, de plus sexuel, c'est de l'ordre de l'impossible ! Au dessert on en rit tous. Ludovic admet que je suis probablement le seul à pouvoir me permettre ça avec son frère sans qu'il n'en veuille à Adam. Il prend la 300C pour chercher son frère et Max. Ils nous font la fête quand ils arrivent au blockhaus. Pas besoin de dire quoi que ce soit, Enguerrand me serre dans ses bras et me demande si j'ai aimé me faire défoncer par Adam autant qu'eux deux. Je lui prends le visage entre mes deux mains, le fixe dans les yeux puis lui roule une pelle entière, exigeante, vorace. Quand nous en terminons, PH conclue tout haut que je suis pardonné. Enguerrand lui répond que de moi, il accepte tout vu la dette qu'il avait. Je fronce les sourcils, pas la peine que notre Flic vienne à apprendre mes " activités " parallèles. Il comprend et change de sujet en annonçant qu'ils n'avaient que deux pauvres petites heures devant eux. Max attire alors Adam et Enguerrand vers le 1er étage. C'est bien 1h50 plus tard qu'ils reviennent sentant tous les trois le savon. Echanges de bisous dans le garage et je reconduis nos deux lycéens chez Max alors qu'Adam nous confirme qu'il passera le mardi soir suivant.
Mardi soir : J'informe les escorts présents c'est-à-dire tous les homos plus Côme et un des " médecins " qu'allait venir un lieutenant de police pour nous enseigner l'art de recevoir un premier coup marquant mais sans conséquence nous permettant de justifier de l'état de légitime défense. Ils sont tous au courant de ce qui est arrivé à Max et Enguerrand et les conséquences policières. Max complète l'information en les avertissant que le type est homo mais qu'il est pour eux deux, donc il les remerciait de ne pas le draguer. Viktor me regarde et dit qu'il ne me croirait pas si je leur dit que j'ai pas baisé avec lui. C'est Enguerrand qui répond à ma place. Il leur dit que moi c'est différent, j'ai tous les droits, ils le savent et d'après ce qu'il a compris, ils sont même d'accord avec lui. Mais ce qu'il accepte de moi, il ne l'acceptera pas forcément d'un autre. Il tempère l'avertissement avec un " mais si ça se passe lors des touzes post sport, ils feront avec ". Le nouveau membre du " club " arrive sur ces entrefaites. Le temps de traverser le garage, il voit qu'un groupe travaille dans la serre autour de la piscine. On monte au 2ème. La pièce est pleine malgré l'extension du rez-de-chaussée.
Il est un peu sidéré du nombre de mec qui s'entraine. Je l'attends alors qu'il se met aussi en jock (que je fourni). Puis on tourne pour lui présenter tous les mecs présents. A ce niveau, c'est François et PH qui s'occupent des lutteurs. Ils viennent nous voir l'un après l'autre pour une présentation plus poussée de leurs enseignements. Dans le monte-charge qui nous descend vers l'autre salle de sport, il me dit que les mecs sont méchamment canons. Il est intrigué par les piercings dorés qui ornent un téton de certains mecs. Je lui dis juste que les lutteurs avaient ôté les leurs pour se battre. Nous entrons dans le jardin. Là aussi nous attend une brochette de beaux mecs. Anthony est en train de coacher les trois nageurs qui utilisent les 3 lignes d'eau. De l'autre côté du bassin, le tatami est dirigé par Jona et Sosthène (la capoeira demande de l'espace !). J'appelle Anthony. Il descend du rebord du bassin. Lui est en maillot. Mais un Aussiebum qui lui remonte le paquet de façon légèrement indécente. Je le présente comme notre responsable diplômé du pôle natation du groupe. Quand je présente Adam, j'annonce qu'il va devoir élaborer un programme intensif pour sa mise à niveau. Protestation de l'intéressé. Mais je lui fais admettre que dans cette discipline il est un peu à la ramasse. Son crawl est désordonné et il a du mal à aligner un km sans s'arrêter deux ou trois fois. Nous rencontrons après les " maîtres " du tatami. Jona l'entretien rapidement sur le sujet principal de sa venue. Je m'aperçois alors qu'Adam est encore meilleur que je ne pensais en combat. Jona n'arrive à le mettre au sol qu'avec ses connaissances estivales. Adam est surpris de se retrouver sur le dos. Il se rétabli d'un coup de rein avant d'aller serrer la main de Jona, impressionné. Il nous demande si le reste de l'équipe est de ce niveau. Jona lui dis que plus ou moins selon les affinités de chacun envers un des sports de base, karaté, krav maga, boxe française ou capoeira. Mais l'apport, depuis la rentrée, des techniques américaines nous a tous transformés en machine très efficace. Avec ce qu'il voit à coté de nous, Adam n'en doute pas. Il me demande si je n'ai pas d'autres étudiants en médecine dans mon équipe car il se rappelle maintenant qu'il a été en intervention aux urgences de l'hôpital pour trouver un " perturbateur " déjà maitrisé et maintenu à terre avec le genre de clé qu'il venait de voir ici. J'avoue qu'il doit y en voir maintenant presque une demi-douzaine à s'entrainer avec nous.
Je le laisse avec Jona. Avec lui, il détermine les façons de prendre un coup marquant sans dégâts. Je retrouve Anthony et fait le point avec lui des capacités à nager d'Adam. Il me dit qu'il veut le voir à l'oeuvre. L'entrainement du premier trio arrivant à sa fin, il appelle Adam. Je lui trouve un maillot " Funky trunks " qui moule ses fesses et son paquet idéalement. Anthony le pousse dans l'eau et le fait nager. Je regarde. La brasse coulée est correcte mais la coulée courte. Le crawl est peu efficace avec des battements de pied frénétiques. Le dos crawlé est de même quant au papillon, inconnu au bataillon. Anthony descend dans le bassin et commence par diriger son crawl. Si Adam n'est pas un très bon nageur, il sait écouter les conseils même s'ils viennent de mecs plus jeunes que lui. Une heure plus tard, il a vraiment fait des progrès. Lui-même est content du résultat. Max et Enguerrand déboulent pour le tirer de l'eau et l'embarquer sous les douches. La prise en commun ne l'étonne pas mais comme nous sommes nombreux à passer, la promiscuité est grande et il ne peut s'empêcher de bander ! Les habitués sourient. Avec le temps ce genre de frottements ne les fait en général plus bander. Une " prise " en main par un collègue, oui !
Max tire Adam coté piscine et Enguerrand suit. On les laisse mais nous entendons rapidement les bruits caractéristiques d'une chaude baise. Coté douches, ça se met à bander ferme. C'est parti pour une touze improvisée. Sans même se sécher, les kpotes sortent des pochettes, se déroulent sur des bites avant de se retrouver bien au chaud de culs accueillants. La kpote que je porte fait connaissance avec les muqueuses internes de Sosthène. J'ai toujours un faible pour les derniers arrivés ! Ça prend peu de temps pour voir apparaitre la tête de nos trois tourtereaux. Adam m'avouera plus tard n'avoir jamais baisé qu'avec 3 mecs en même temps au maximum. Là, les 20 mecs présents sont plus craquants les uns que les autres même s'il a un faible pour les deux plus jeunes.
Je vois Enguerrand le pousser dans les bras de Sosthène. Je l'entends aussi qui lui demande s'il s'est déjà fait un black. Je les laisse avant d'entendre la réponse mais je vois mon petit beau-frère préparer la rondelle noire alors que son policier d'Adam se fait pomper grave par la bouche qui va avec. Je joue avec quelques-uns de mes escorts. J'ai rarement à chercher qui veut faire l'amour avec moi. Je tâte du cul de Simon, Nikolaï et de Clément, me prend dans le mien les bites de Jona et de João, bon début de soirée finalement. Quand je sors de mes plans, je trouve Adam en train de sodomiser Sosthène tout en se faisant rouler des pelles par Max et c'est Enguerrand qui se fait sucer. Puis ce dernier cède à l'appel de la queue de Sosthène. Il se glisse à reculons sous son ventre et je le vois grimacer alors que sa rondelle se fait élargir par le gros sexe black. L'empilement et beau à voir, blanc noir blanc. L'inverse d'un Oréo !
En attendant je vois qu'Adam prend son pied. Quand Max ajoute à son mélange de langue une stimulation de ses tétons, il fait exploser le lieutenant. Il est même obligé de le retenir pour qu'il ne bascule pas en arrière sous la violence de son orgasme. Dessous j'entends Enguerrand qui gémis puis Sosthène qui lui gueule dans les oreilles alors qu'il remplit sa kpote. On se retrouve tous pour un nouveau passage sous les douches. Les hormones se sont calmées et c'est par quelques claques dans le dos qu'Adam est confirmé dans le groupe. A voir le sourire qui lui barre le visage, ç'a l'air de lui plaire. Malgré ses 28ans, il ne dépare pas. Seul son surplus de poils le différencie. Il se sent suffisamment à l'aise pour prendre ses deux amoureux dans ses bras et leur rouler des pelles devant tout le monde. C'est lui qui me demande s'il pourra revenir " travailler " avec nous. Je n'ai pas le temps de donner ma réponse que fuse de toute part des " oui ", des " ce serait bien j'ai pas pu lutter avec lui ", d'Anthony " c'est indispensable vu ton niveau de nage " et comme ça d'à peu près tous les participants. J'attends que tout le monde y soit allé de son argument pour lui dire que c'était ok tant que ce qu'il voit ici n'en sort pas. Sans être encore au fait des " à cotés " des prestations de ma société, il comprend que ce n'est pas le genre de vie qui le fera grimper dans la hiérarchie.
On fait donc comme ça et il est invité à revenir.
Le soir même je reçois son dossier par l'intermédiaire de DGSE. Il est issu d'une famille de juges, d'avocats et de policiers. Orphelin de père, il lui reste sa mère juge. Une soeur plus jeune et un frère de même. Elle fait des études de droit direction avocat, le plus jeune est totalement hors de ce circuit aux beaux-arts à Paris. Le garçon est bien noté. Il a fait ses premières années de terrain dans le 93 avant d'être envoyé dans cette capitale régionale. Etudes de droit brillantes, concours de commissaire passé trop jeune pour le devenir aussitôt (écrit réussit), plus de bons résultats à son école de police il est sur un chemin qui le mènera rapidement à ce poste. Le dossier " supplémentaire " note qu'il est gay, peu de rencontre, pas d'attaches ni de compromissions. Je renvoi un message pour savoir si le fait qu'il se colle à notre " groupe " risque d'être noté dans son dossier. La réponse est immédiate, " c'est de mon ressort donc non cela ne figurera pas "
Ouf je m'en serais voulu de plomber sa carrière.
Jardinier
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coovieilledentelle · 1 year ago
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Craquant et fleuri sera ce debut de journée
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la-nuit-je-mens · 5 months ago
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Divine acte 5
Epice piquante et chaude de fantasmes osés, à la peau salée de larmes de ses soumis amants...
Divine ondulait sous les yeux de son hôte ,elle le fixait intensément,charmeuse de serpent...
De chatte,elle se sentait devenir chienne et dans ce charmant bestiaire détacha son taureau encordé...Ce dernier la suivit docilement, mené en laisse jusqu'à un divan profond et large où avait trouvé place l'impassible et énigmatique Candyman...
Divine, le frôlant presque, s'installa a genoux sur le divan,son fin visage et sa crinière n'était qu'à quelques centimètres du visage de Monsieur le confiseur,car c'était ainsi que Divine s'adressait au craquant Candyman,
Sa croupe ronde et offerte, elle ordonna à son taureau de mettre à profit sa belle érection pour la baiser sauvagement....et pendant que le butor pénétrait profondément en elle,sous ses coups de butoir ,ses petits seins fermes s'agitaient devant les yeux gourmands de Monsieur C...
Ce dernier sentait l'étoffe de son pantalon se tendre...
Comment résister à la tentation de profiter de sa bouche divine, d'envahir ses lèvres entre-ouvertes par les soupirs de plaisir...?
Le minotaure enfin libre de ses pulsions animales pilonnait maintenant la Divine à la mesure de la frustration qu'elle lui avait infligé...sans retenue,les mains agrippées fermement a ses hanches, il défonçait cette chatte si juteuse en fusion dans une saillie des plus débridée....
Criant presque sous les assauts de son sextoy de chair,Divine fixait toujours goulûment Monsieur C et plus particulièrement ses lèvres si bien dessinées, ne voyait il pas qu'elle attendait le secours de son baiser, qu'attendait il pour lui prendre la bouche,saisir ses cheveux de sa forte poigne et faire ployer sa nuque pour l'embrasser fougueusement, profondément, mêler sa langue à la sienne...?
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