#déménagement pas cher

[soumissionsdemenageurs]

25 prix en exemple pour camions de déménagement

Les frais facturés par les déménageurs peuvent varier considérablement en fonction de la date et de la ville où vous avez besoin de leurs services, ainsi que du type de déménagement requis. Par exemple, déménager le 1er juillet au Québec coûtera généralement plus cher en raison de la forte demande liée à ce jour de fin de tous les baux. En choisissant de déménager à une période différente de l'année, vous pourrez considérablement réduire votre facture. Pour éviter les coûts élevés, il est conseillé de planifier votre déménagement dès que possible et de comparer les prix proposés par différents déménageurs. Vous pouvez facilement le faire en remplissant un court formulaire sur https://soumissionsdemenageurs.ca/prix-camion-demenagement-quebec/. Nos partenaires, des entreprises de déménagement présentes dans toute la province (Montréal, Québec, Sherbrooke, Saguenay, Gatineau, Trois-Rivières, etc.), vous fourniront gratuitement leurs soumissions. Cette procédure ne vous engage à rien et vous permettra de réaliser des économies significatives. Prenez simplement 2 minutes de votre temps pour profiter de cette opportunité d'épargner!

[soummaison-blog]

10 avantages d’un déménagement professionnel

Lorsqu’on déménage, il y a plusieurs bienfaits certains à faire affaire avec des déménageurs. En effet, il y aura moins de chances de bris, d’accidents et de blessures, car ces travailleurs font preuve d’efficacité. Une assurance déménagement vous protège ainsi que vos biens. C’est une façon abordable d’éviter une grande partie du stress de la difficile journée de déménagement. De plus, vos proches se sauvent de devoir vous aider et se déplacer. Les déménageurs s’adaptent aussi très bien à tout besoin précis nécessaire au changement d’adresse. Pour obtenir les meilleurs prix pour déménager en toute quiétude d’esprit, remplissez le formulaire du https://www.soumissionsmaison.com/prix-demenagement/. Nos partenaires déménageurs fiables vous offriront des comparaisons de prix (soumissions gratuites !) ainsi que de services afin que vous fassiez le meilleur choix adapté à votre budget. Services sans engagement partout au Québec (Montréal, Saguenay, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières, Gatineau…).

[bruderherzlove]

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[lorienn-art]

FR [Florida Woman goes to Japan] Salut les gens ! Bon, je viens enfin de terminer cette petite BD de 5 pages ; j’ai passé littéralement trois mois dessus (notamment à cause du taff et de mon déménagement). Ça casse pas trois pattes à un canard mais malgré tous les défauts que je lui trouvait quand je la faisais, je me suis promis de la terminer quoiqu’il arrive. Donc même si elle est très loin d’être parfaite (autant sur le plan de la technique que celui de la narration), je suis quand même fière d’en être arrivée à bout car ça me prouve que je suis capable de mener des projets jusqu’à la fin ! Cela dit, si je dois refaire une BD (et dieu sait que j’ai encore beaucoup d’autres idées en stock...), je ne pense pas que je la ferait comme ça, entièrement à l’aquarelle (c’est beaucoup trop long et mes demi-godets on pris cher).. Bref, j’espère qu’elle vous plait quand même ! _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

EN [Florida Woman goes to Japan] Heyy people! Well, i’m finally done with this little 5 pages comic; I spent literally three months on it (especially beause of my summertime job and because I moved in a new flat). It’s not an incredible masterpiece but, despite all the mistakes I could see in this work, I absolutely wanted to finish it, no matter what. So even if it’s far from being perfect (both on the technical and the narrative sides), I’m still proud of myself as it proves me that I’m able to lead a project to its end! However, if I have to make another comic (and god knows I have plenty of ideas), there is no way I’ll colour it with watercolour again (it’s wayyy too long and I killed my half pans).. Anyway, I still hope you like it!

[alain-keler]

Vendredi 27 janvier 2012. Slovaquie.

Le soleil est de retour. Le froid est toujours là. Le sol est un peu plus dur, c’est à dire plus glissant. Surtout dans le village Rom.

Le maire actuel a été élu en décembre 2010. Il est membre du parti Chrétien-Démocrate, au pouvoir à Bratislava, la capitale de la Slovaquie. Il a hérité de la situation complexe du déménagement des Roms.

Il a essayé de nous l’expliquer. C’est une véritable embrouille. La Romska Osada (le village Rom) se trouve techniquement sur le territoire d’une commune voisine avec laquelle il n’a aucun lien de communication, pas de route directe. Par contre la seule route qui existe relie le village Rom au village blanc, (celui où il y a l’église et la mairie) qui, techniquement est une autre commune. C’est vraiment là que tout se complique. L’ancien maire de ce village (battu aux dernières élections) visiblement n’aimait pas les Roms. Nous l’avions rencontré et c’est ce qui s’était dégagé de l’entretien avec lui. C’est donc lui qui a déclenché tout le processus du déménagement et de construction de ce qui ressemble à Auschwitz (voir un chapitre précédent).

Mais pour faire simple, le terrain qu’il choisit est à plusieurs kilomètres de sa mairie et se trouve à côté d’un autre village d’où il est relié par une route. Mais, tout comme le premier village, il n’y a aucune route directe pour aller dans le village où il y a la mairie et l’église. Vous me suivez ? Vous avez de la chance. Pour faire rapide, personne ne veut de ces Roms et ils cherchent tous à les éloigner d’eux.

A la question qu’en pensez-vous qu’il y aura le déménagement, il répond sans hésiter « jamais ». Le projet a déjà coûté 3.500 000 €, il en manque 500 000 pour le finir et il va y avoir des élections en Slovaquie. Ses collègues du parti ne répondent ni à ses courriers, ni à ses appels téléphoniques.

Voilà une embrouille qui est en partie financée par l’Union Européenne (vous, moi, nous).

Ça fait cher la blague.

Pendant ce temps, les enfants Roms du village font comme tous les enfants du monde lorsqu’il y a de la glace, ils s’amusent. Et ils ont raison.

[mijureunion]

J'ai un jour de retard sur mes billets Tumblr, c'est terrible !

En même temps, j'ai eu la flemme de le faire...

Alors, que s'est il passé avant-hier ? Eh bien figurez vous que vous vous trompez : nous nous sommes levés tôt ! Au Tampon, il y a le marché Forain le samedi matin, à 2min à pieds de là où on logeait. Donc on a accompagné Nicole et Bruno, la tante et l'oncle de Camille ! Très chouette marché sur un parking au milieu des palmiers ! Pas de photo de l'ensemble, mais juste celle d'un gars du coin :

Encore un Gouzou ?! Oui, et c'est pas fini (enfin pour ce billet, si). Sur place, un vrai marché, pas comme en métropole où la moitié des vendeurs ont des jouets en plastique qui cassent en 2 jours, des torchons brodés ou des chapeaux pas chers. Là, presque uniquement de l'alimentaire. Et des prix... Mon dieu les prix... Je voulais remplir les paniers qu'on transportait de fruits. À titre d'exemple, on trouve des Ananas Victoria, de la Réunion donc, à Montpellier. Mais c'est 7/8€ l'ananas. Ici, ils sont autour d'un euro la pièce !

Je vous passe le détail des achats, mais pas celui des douceurs : en plus des fruits, on a bien sûr pris des samoussas, qu'on a mangé en entrée / apéro (et le dernier piment farci du stand, mais il était au thon. C'etait pas fou). Les samoussas étaient bons, mais la pâte trop épaisse et la garniture un poil moins bonne. Moralité : il faut écouter Nicole et les prendre là où elle a l'habitude ! On a aussi pris des douceurs donc : des boulettes bananes, des... petites pâtisseries orientales, sorte de pâte à la consistance proche de la pâte d'amande, mais plus friables et parfumés, soir à la cardamome, soit à la pistache. On a pris aussi des xxxxx (nom à vérifier), les grandes oreilles frites à gauche de la photo. J'ai tout goûté (forcément, esprit scientifique, pas l'occasion tous les jours, tout ça...) Et j'ai une préférence pour les pâtisseries orientales et les boulettes bananes, le petit goût de friture va bien avec la pâte à la banane !

On a passé du temps à table ce jour là, avec des gens différents, donc je ne rentre pas dans les détails. Après le café, vers 16h, on s'est décidés d'un coup à aller jeter un coup d'oeil à un point de vue pas très loin de là : le belvédère de Bois-Court. Vous vous souvenez que j'ai précisé que c'était l'hiver ici ? La majorité du temps, ça me fait glousser. Mais là, on est montés en altitude pour aller au belvédère. En fin de journée, quand le temps n'est pas fou...

Donc là non seulement la température a chuté en montant, mais il pleuvait, avec le vent qu'il peut y avoir avec l'altitude, et j'étais en short... J'ai profité du point de vue sur Grand Bassin, tout en bas, mais mes jambes moins !

Je vous laisse avec la vue panoramique, la taxe féline et le teaser du prochain billet !

Dans le prochain épisode : déménagement !

[purpleroadpalacehero]

Demain c’est la signature chez le notaire pour la maison

Cette maison le tien beaucoup à cœur car c’est une maison de famille ( oncle et tante de mon père qui sont maintenant décédé) c’est une maison où on allait souvent pour les voir, les aider etc

Je suis heureux de savoir que la maison reste dans la famille et encore plus à moi

Mais je crois que je me rend pas compte que demain c’est chez moi, genre à partir de demain si je veux je peux faire ce qu’il me plaît dans la maison à tel point que j arrive pas à mettre de mots là dessus

Avec toute les galèrent pour l avoir la première nuit je pense que je vais faire une nuit de coma tellement que je vais dormir

Maintenant je pense au déménagement de mes affaires et il y a un truc qui me stresse c’est comment on va rentrer le billard sans le casser et comment on va l emmener? je l’es acheter il y’a longtemps donc j’avais plein d’amis pour aller le chercher le soulever et tout mais aujourd’hui comment je vais faire ?

Aller plus que quelques jours et ça sera fini je serai cher moi et j’espère que tout le stress va partir que je vais retrouver un bon sommeil et arrêter de dormir l’après-midi

[madeleinesdiarysims]

cher journal,

ça pouvait plus tarder.. j’ai fini par tout lui avouer

en fait, je pense que si je le disais à personne c’était comme si c’était pas vrai.. que c’était pas entrain de se passer

j’ai peur de tout, j’ai peur qu’il arrive quelque chose au bébé, j’ai peur du déménagement qu’on va devoir faire (on peut pas vivre avec un chien et un bébé dans un studio), j’ai peur du changement

je vais devoir quitter la ville que j’aime pour me fonder un foyer dans une maison, dans une autre ville loin de tout le monde..

c’est un pas tellement grand, j’angoisse tellement

j’ai peur de tout perdre alors que c’est censé être une bonne chose mais en même temps je suis heureuse mais.. bref

au moins idris à bien prit la nouvelle, sachant que je prenais la pilule on était pas censé avoir un enfant tout de suite mais il m’a dit que si je voulais le garder alors il serait là pour moi

il l’a même annoncé à rubis

madeleine

[traces-ecrites]

Il était une fois une famille qui vivait dans un joli village et y menait une vie tranquille. Il y avait un papa, une maman, un charmant garçon et une fille adorable. La vie allait son cours, avec ses fluctuations, ses joies et ses tracas, comme dans des centaines, des milliers de familles. Il n’y aurait pas vraiment d’histoire à raconter, autre que celle de la vie qui va, sans le cataclysme qui a frappé cette famille, il y a précisément 4 ans (4 ans à peine ? 4 ans déjà ?).

Le petit garçon au regard d’ange devenait un beau jeune homme et abordait le seuil qui mène à l’âge adulte. C’est une période délicate : comment devenir un homme, un « vrai », comment réussir à prendre sa place, comment trouver un équilibre entre force et gentillesse, détermination et douceur, courage et sensibilité ? Généralement, on finit par y arriver, avec plus ou moins de bleus et de bosses. Lui a choisi un autre chemin : un matin, au lieu de retourner au lycée, il est parti rejoindre les anges, prématurément.

Quel cauchemar pour sa famille, contrainte de continuer à vivre avec l’inacceptable ! Quand on traverse une épreuve — un accident, une maladie, une perte brutale, quand on se retrouve au cœur de la tourmente, à vivre un cauchemar, on croit toujours que rien de pire ne pourrait arriver. Là, c’était la réalité : rien de pire ne peut arriver que de pleurer la perte d’un être infiniment cher parti trop jeune.

Pour tenter de cicatriser la blessure, on tente de comprendre. On le sait : le monde peut se montrer violent, en particulier à l’adolescence, pour des personnalités d’apparence trop tendre. Il peut arriver qu’elles se retrouvent victimes de personnalités toxiques, méchantes, perverses. Il y a un mot pour désigner cela : le harcèlement, « mode de persécution consistant à enchaîner de façon répétée des agissements et des paroles hostiles afin de démoraliser et d’affaiblir psychologiquement la personne qui en est victime. »

Aujourd’hui, plus encore qu’il y a 4 ans, il en est souvent question : harcèlement sexuel, harcèlement au travail, harcèlement scolaire. Pourtant, concrètement, cela reste difficile à dénoncer, encore plus à prouver. Dans l’histoire que je raconte ici, il s’agit d’une hypothèse très crédible, mais rien n’a été officiellement établi. Il est difficile de démêler les écheveaux dans lesquels s’entrecroisent les fils de nos vies.

Et il faut bien que la vie continue… Après une longue période de peine et de cicatrisation douloureuse, une évidence est apparue aux parents endeuillés : il fallait changer de vie. Repartir de zéro, qui n’y a jamais pensé ? Tous ceux qui en rêvent ne franchissent pas toujours le pas. Eux oui : reconversion professionnelle, apprentissage d’un nouveau métier, vente de la maison, déménagement, démarrage d’une nouvelle existence. Se dépouiller du passé pour mieux se tourner vers l’avenir.

Il fallait changer de vie

Se lancer dans un projet en relation avec la nature est vite devenu une évidence. S’éloigner de la ville et de son agitation désordonnée, se rapprocher de la terre pour s’accorder aux rythmes des jours et des saisons. Une fois la décision prise, les opportunités se sont présentées comme des évidences. Le moment était venu de devenir agricultrice et agriculteur, éleveurs de chèvres et producteurs de fromages bio.

Je suis allée leur rendre visite, d’abord au marché dominical d’un village proche, puis à la chèvrerie. Je m’y suis rendue en compagnie de la plus jeune de mes filles. C’est elle le trait d’union qui me relie à cette histoire. Elle est entrée en 6e en même temps que le garçon aux yeux d’ange, ils ont été proches pendant les années collège. Ils avaient le même âge, à deux jours près. Elle vient d’avoir vingt ans. Elle aussi reste marquée pour toujours.

J’ai passé une journée merveilleuse à la chèvrerie. Ces moments d’échange respiraient la simplicité et la douceur. Nous avons partagé un sympathique pique-nique, où la dégustation de fromages de chèvre tenait le devant de la scène : quel régal ! Mots-clés : frais, doux, tendre, moelleux, savoureux.

La rencontre avec les chèvres a été un autre moment joyeux. Ce sont des animaux malins et affectueux. Chacune a son caractère, toutes semblent bien s’entendre. Elles disposent d’une grande liberté, se déplaçant à leur guise entre l’étable, une grande prairie en pente et un petit bois. Point fixe : la traite, le matin (il faudrait revenir très tôt pour y assister). Elles manifestent de la curiosité pour les humains qui les approchent, en quêtant même les caresses. L’une d’elles était malade récemment. De l’attachement et de la complicité sont palpables entre elle et l’humaine qui l’a soignée.

Nous avons aussi beaucoup parlé. Lui plus discret, elle plus volubile, tous les deux montrent l’envie d’aller de l’avant. Il y a un temps pour le silence, dans le laboratoire de la fromagerie, où la concentration est de mise, pour fabriquer les fromages. Il y a un temps pour la parole, pour échanger et partager, mettre des mots sur la vaste question « qu’est-ce qui donne un sens à la vie ? »

C’était chaleureux et émouvant. Le « Petit Prince parti trop tôt rejoindre les étoiles », comme se plaît à l’imaginer sa maman, aurait sûrement aimé se trouver là, assis avec nous sur des bottes de paille. D’ailleurs, n’était-il pas bien présent, dans nos souvenirs et dans nos cœurs ?

[bruderherzlove]

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[christophe76460]

Bonjour et Shalom du Seigneur Jésus-Christ à vous tous mes ami(e)s, et famille en Christ. Je vous aime de l'amour de Jésus-Christ ❤⚘️

J'ai à cœur de parler aujourd'hui de "la dépression ". J'ai entendu souvent dire que la dépression était un mauvais esprit qui vous tourmente, et parfois nous entendons dire " un esprit de dépression ". Mais, avant tout cela c'est une maladie . La dépression n'est pas un péché, mais nous sommes responsables de notre réaction à ce mal.

Si la foi n'est pas un "vaccin" contre la dépression, elle permet de tenir dans l'épreuve, surtout si des proches chrétiens sont là pour rappeler les merveilleuses promesses de Dieu.

Il arrive à tout le monde d'avoir des hauts et des bas. Mais la dépression, elle, est une maladie qui perturbe au quotidien les activités d'une personne. Une grande tristesse prend place dans la vie de la personne dépressive. Il y a deux genre de tristesse : La tristesse " normale "et la tristesse liée à la dépression. En tout cas, certaines personnes sont assaillies par des pensées négatives, et souffrent parfois d'un manque d'estime de soi et d'une culpabilité excessive.

La Bible , la Parole de Dieu, parle d'hommes et de femmes qui ont été profondément démoralisés. Anna, par exemple, " avait l'âme amère ", ou selon d'autres traductions, était ;

{1Samuel 1:10}

" très affligée ", " très triste "

Le prophète Elie, lui, a un jour été si désespéré qu'il a demandé à Dieu de lui enlever la vie ! {1 Rois 19:4}.

Personne ne peux maîtriser la totalité de cette situation, d'état de dépression, et personne n'est à l'abri de coups durs . Nous pouvons cependant prendre des mesures concrètes pour ne pas laisser les pensées négatives dominer notre vie.

La dépression est un mal très répandu, qui affecte des millions de personnes, chrétiennes ou non. Ceux qui en sont atteints éprouvent d'intenses sentiments de tristesse, de colère, de désespoir et de fatigue, avec divers autres symptômes. Il arrive qu'ils se jugent lamentables au point d'entretenir des idées suicidaires et perdre tout intérêt pour les choses ou personnes qu'elles aimaient. Une dépression est souvent provoquée par les circonstances de la vie, comme la perte d'un emploi, le décès d'un être cher ou un divorce, ou encore par des problèmes psychologiques liés à une addiction ou une faible estime de soi. C'est pour cela que Jésus-Christ dit de s'attacher à lui plus qu'à toutes autres choses .

Nous devons faire l'effort conscient de ne pas nous enfermer en nous-mêmes, mais de rediriger nos efforts vers l'extérieur. En confessant , en extériorisant nos sentiments et émotions. Les sentiments de dépression peuvent souvent être surmontés si la personne concernée détourne le regard d'elle-même pour le tourner vers Christ et les autres. Il y a plusieurs facteurs qui peut à long terme conduire à une dépression:

* Des blessures de l'enfance. La maltraitance, les abus sexuels, les carences affectives,(manque d'amour).

*Une séparation, un décès, un déménagement, du mobbing.

*La dégradation de la santé, la restriction des possibilités physiques, des douleurs chroniques, la diminution de la mémoire et la peur de la mort.

*L'usage des drogues dures ou douces, de l'alcool.

*Le matérialisme qui "oblige" à travailler davantage et qui fait naître ainsi des tensions. Une perte du bien-être en faveur du bien-avoir.

La personne se sent dévalorisée et perd l'estime d'elle-même. Elle se sent coupable, même de choses qu'elle n'a pas commises. Les personnes dépréssives sont triste. 😢

{Psaume 34:18}

"L'Eternel est près de ceux qui ont le cœur brisé ; et il sauve ceux qui ont l'esprit écrasé ".

Personnellement, je vois la dépression comme un esprit qui vous aspire toute votre énergie . Il est claire que nos pensées en sont pour quelques choses. Le non pardon , et souvent aussi la peur d'être juger, fond que la personne s'enferme dans une prison.

"Jésus-Christ est venu pour libérer les captifs , pour guérir les malades."

Nous pouvons contribuer avec l'aide de l'amour de Jésus-Christ , aider et aimer les personnes qui sont dans cette état de dépression . J'ai beaucoup de compassion pour ces personnes , car elles sont victimes et prisonnière du mal de ce monde . La dépression est un des plus grand fléau de ce monde.

J'ai voulu parler de cela , car nous sommes tous de près ou de loin, confrontés par cela . Je vous encourage à prier et louer Jésus-Christ, pour que votre esprit soit inondé de sa Lumière et non pas rester prisonnier des pensées noir.

Au nom de Jésus-Christ . En Christ pour toujours ❤⚘️

[actu24hp]

Chère Abby : Je suis en deuil pour mon mari. Il est toujours en vie, mais il s’est levé et est parti il ​​y a six mois

CHER ABBY: Je suis en deuil pour mon mari. Il est toujours en vie, mais il est parti il ​​y a six mois et m’a envoyé un texto disant qu’il avait fini. Il vit avec une autre femme. Je ne l’ai pas vu venir. Nous planifions notre déménagement à la retraite dans notre cabine. Un week-end, il m’a chassé de la cabine et trois heures plus tard, elle l’a rejoint là-bas. Je me sens perdu. À ce stade, je…

[monexistencerelative]

Petites boîtes, la dépendance à l’objet

Très chers lecteurs, je suis ravie de vous retrouver et suis impatiente de vous présenter le sujet du jour intitulé  » petites boîtes « . Aujourd’hui, nous allons aborder les concepts du choix, de l’objet et de l’oubli.

Chers amis, vous avez très certainement une boîte dans laquelle vous préservez des effets personnels tels que des cadeaux, colifichets, porte-bonheur, photos, ou autres… N’est-ce pas ?

Une boîte peut être soit vide, soit pleine.

Je suis à peu près certaine que la votre renferme des trésors ; vestiges de la personne que vous avez été, que vous êtes et qui vous souhaiteriez être. Partant de ce principe, nous pouvons alors s’interroger sur la place que nous attribuons à l’objet et pourquoi est-il si difficile de s’en séparer? Mes amis, détendez-vous, aucun jugement ne sera porté mais soyons honnêtes… vous et moi sommes tous (un peu) matérialistes. La question que je vous pose est « on jette ou on garde  » ce qu’il s’y trouve ? – Ça dépend ! me répondrez-vous ?

Alors, que gardez-vous et pourquoi ?

Au fils de nos expériences on accumule toutes sortes d’objets, mais au fond que représentent t’ils ? Est-ce à la hauteur de l’investissement d’une relation passée (filiale, amicale, sentimentale, professionnelle) ? Est-ce que je m’y rattache car il me rappelle inconsciemment la façon dont j’ai été aimé(e), écouté(e) et témoin de l’attention que l’on me portait jadis ?

Attendez-vous une réponse de ma part ? La seule que je puis vous donner est que vous avez déjà la réponse en vous.

Éléments déclencheurs & décisions …

Pour ma part, le premier déclencheur a été mon déménagement suite à une séparation. Cette dernière a été une vraie délivrance, je l’intitule « mon plan de sauvetage ». J’ai toute quitté pour m’installer à l’autre bout du territoire sans en connaître quoi que ce soit. J’y ai donc amené toutes les affaires d’une vie (y compris tout ce qui se trouve chez mes aïeux). Avant de sauter le pas, je bénéficiais d’un très bref délais pour répondre à ces 2 problématiques : les finances & la logistique (espace de stockage).

Je me suis résolue à mettre en vente une partie de mes affaires et contrainte de laisser l’autre partie à Chiabrena* (qui n’est autre que mon ex). Faire le tris dans l’urgence est un moment redouté et il n’est possible de garder uniquement ce dont nous avons besoin ET de ce que l’on aime réellement.

Etats des lieux méthodiques

Il est nécessaire de faire divers états des lieus. Le premier étant « physiques » : quels objets je possède et combien (quantité) ? Le second se veut « mental » : pourquoi j’ai ces objets (raison) ? et le dernier est « émotionnel » : quels sont les personnes et les souvenirs rattachés à ces objets (sentiment) ? De ça en découle une interrogation supplémentaire : Sur quels critères se base-t ‘on  pour attribuer de la valeur ?  Arbitraire, non ?

Durant cette période de tris pré-déménagement / post-emménagement, je sentais une incommensurable pression, comme si le « poids » de ma vie était là dans ces cartons. Je flirtais avec ambivalence entre la nostalgie d’un passé douloureux et le soulagement d’aller de l’avant. On accumule des objets au cours de son existence, les pièces rétrécissent, et on finit par se dire que c’est plus possible.

Pourquoi “trier” nous fait autant suer ? On repousse cette étape parce qu’au fond nous savons que ça va être une contrainte (temporelle, physique et même nettoyer les vitres devient une activité bien plus distrayante).

A-t ’on réellement le courage de se faire face ? Les objets sont notre reflet dans le miroir, ainsi que les stigmates de ce qui n’est plus. S’ils ne sont pas dans une boîte, ils sont exposés aux yeux de tous…

Prenez ce « truc », ça traine là. En vrai, on ne peut plus se le voir…

Reprenons,  un objet est un symbole, souvent lié à une personne (ou un lieu) et nous ramène à elle. Il devient la preuve de ce qu’on a vécu, par conséquent détient une valeur sentimentale. Témoin d’une de nos histoires, de notre bonheur insouciant. Se séparer de l’un d’entre eux peut se révéler d’une violence inouïe. Cela conclu à une rupture avec son “ancien soi”, de son ancienne vie.

Analogie de la pierre

Au printemps dernier, Dame K. m’interrogeait sur le sens symbolique de se débarrasser de mes cailloux*. Elle fait référence plus précisément à « mon sac à dos remplis de cailloux », soit aux événements douloureux et autres traumatismes vécus que je porte sur les épaules. Faire un travail sur soi permet d’un un premier temps de retirer une pierre et de la garder dans la main, et dans un second temps de déposer cette pierre. L’analogie est intéressante, si je déplace la pierre, mon dos (ma conscience) est allégé(e) mais il m’empêche tant bien que mal à me servir de mes mains. On peut choisir de déposer ce poids pour se délester et lâcher prise, soit on peut faire le choix de bâtir.

Jeter c’est oublier ?

Je pense que tout objet n’est pas “bon” à garder, et ce peu importe la valeur financière ou sentimentale de ce dernier. Garder peut entretenir un chagrin latent, s’en séparer reviendrait à se délivrer, à reprendre le dessus et transformer les émotions négatives en joie. Êtes-vous tiraillé(e) entre : protéger les souvenirs qui font partie de vous et faire une croix sur votre passé ?

Que redoute-t-on ? Avons-nous peur que notre trace soit effacée ? Pourquoi être si triste d’oublier ou d’être oublié(e) ? (J’aborderai cette thématique dans une autre chronique). D’où vient ce besoin d’exister au travers de l’objet ? Secouez-vous ! Cessez d’accumuler, détachez-vous de l’emprise qu’a l’objet sur votre état, gardez l’utile et l’agréable.

Il n’y a pas de « oui mais… » qui tiennent

Mes chers lecteurs, n’y voyez aucune invective contre votre personne, comme je le rappelle, Mon existence relative est un lieu d’échanges bienveillants. Ici, il est question de vous interpeler, de vous questionner sur vos schémas, d’éveiller votre conscience.

Faire du tris engage de nombreux tumultes, des remises en questions, des déclics parfois douloureux mais ils sont tous passagers. La séparation d’un objet nécessite de faire un choix alors prenez le soin de ne pas vous y attarder, cela pourrait se révéler contre-productif. Le trouble doit être vif et temporaire, retirez le sparadrap d’un coup net et précis ! C’est déjà oublié.

Amicalement vôtre, Lady B. Van Der Fiak

[omagazineparis]

Comment faire grimper le prix de sa maison ?

Il n’est pas rare de voir des biens immobiliers qui disposent d’atouts exceptionnels. Lors de la revente ou de la mise en location du bien, ces points forts sont mis en avant pour attirer les cibles. Tour d’horizon sur les différents éléments qui font grimper le prix d’un bien immobilier.  L’environnement joue sur le prix Un bien implanté dans un quartier dynamique aura une valeur plus élevée. Pour faire grimper son prix, ne manquez pas de mettre en évidence les stations de métro, les commerces et les autres infrastructures qui se trouvent à proximité. Cette stratégie permet aux acquéreurs potentiels de mieux situer le bien. C’est aussi nécessaire pour justifier son prix plus élevé comparé aux autres biens similaires implantés dans un autre quartier.   La vue et l’exposition Quel que soit l’emplacement du bien (en ville, dans les montagnes ou au bord de la mer), une très belle vue aura toujours une influence positive sur son prix. C’est un élément-clé qui provoque le coup de cœur chez les potentiels acheteurs. Rappelant qu’une belle vue signifie souvent meilleur ensoleillement.  Outre la vue, il paraît également intéressant de préciser l’exposition pour faire grimper le prix du bien. L’exposition est/ouest est la plus recherchée, car elle permet de profiter d’un ensoleillement suffisant toute la journée et en toute saison.   L’espace extérieur aide à faire grimper le prix de la maison Une maison qui possède un espace extérieur comme le jardin, la piscine ou la terrasse coûte relativement plus cher. Ces éléments sont considérés comme une véritable valeur ajoutée qui permet aux occupants de se sentir chez soi comme en vacances.  - Le prix de vente est majoré de 20% pour une maison avec piscine, - Le prix au mètre carré de terrasse 25 à 50% plus élevé que celui du mètre carré habitable du logement, - Les maisons implantées en ville et qui possèdent des jardins peuvent se vendre jusqu’à 15% plus cher qu’une maison classique. A lire également : 7 conseils pour un déménagement sans stress Faire grimper le prix de sa maison grâce à l’agencement du bien Un agencement optimal est un critère important notamment pour les petites surfaces. Pour ce type de bien, chaque mètre carré est essentiel. Un agencement bien pensé permet d’optimiser l’espace. Si le logement possède une très grande entrée non aménagée, une pièce avec beaucoup d’angles ou encore un large couloir, vous devez le réaménager pour augmenter sa valeur. Vous pouvez, par exemple, ajouter des rangements dans l’entrée. Si vous ne trouvez pas d’idée, contactez un professionnel du home staging. Il se charge de valoriser le bien pour faire grimper sa valeur.  Read the full article

[revapkr]

inflation de problèmes

lundi 30 janvier 2023

ce lundi fait parti des lundis qui ne fonctionnent pas. à chaque semaine son lancement et parfois le lundi se tord la cheville. là par exemple j'ai envie de me plaindre mais je n'oserais le faire auprès de personne car franchement ça intéresse qui ce genre de litanies. les trucs nuls du quotidien ça énerve ça énerve tellement c'est vif et soudain mais ça passe tout seul et je crois pas que ça vaille la peine d'embêter ceux qu'on aime avec ces surcouches négatives. parce que oui il y a déjà les sous-couches, les couches et les surcouches de problèmes. chacun.e les siennes. si t'as des enfants c'est encore pire. t'as accès à toute la gamme.

alors ce matin il est très tôt, 7h23 je suis gare de Lyon assise dépitée sur un siège rouge inconfortable à boire un café à 3euros50centimes face à une climatisation immense c'est pour ça que la place était libre - cet emplacement est le pire surtout quand tu viens de dehors qu'il fait 2 degrés et qu'il ne fait aucun sens d'allumer la climatisation ça bousille l'énergie ptn offrez moi l'argent que vous dépensez dans cette climatisation remboursez moi les 3euros50centimes de café, les 60 euros de supplément payés à la sncf car le ptn de métro 14 a décidé de s'interrompre soudainement alors que j'étais dedans et que mon train ne m'attendait pas, remboursez moi les 15 euros de uber enfin non c'était pas uber c'était bolt car ils faisaient une promotion ils sont toujours en promotion en ce moment mais je me demande si ce n'est pas une opération marketing comme dans les boutiques de fringues où ils augmentent le prix de base pour afficher un prix soldé qui correspond au prix initialement affiché. remboursez moi tout ça que je ne pouvais pas me permettre de payer ça fait une semaine que je n'achète pas d'huile d'olive ni de lessive car les deux ensemble ça couterait 20 balles et qui a 20 balles à dépenser en ce moment ? personne non tout est trop cher je déménage je ne sais pas comment payer le déménagement et c'est un problème nul car j'ai déjà tellement de chance de pouvoir déménager de pouvoir dormir sous un toit chauffé d'avoir un endroit à paris pour vivre j'ai trop de chance alors oui c'est pas grave de pas avoir d'huile ce qui est grave c'est qu'on est bien trop nombreux à pas pouvoir s'en acheter pareil pour le pq j'en ai plus alors j'utilise les paquets de mouchoir qu'il me reste mais c'est stupide c'est pas du tout rentable les mouchoirs ça coute cher mais je les ai déjà donc ça m'évite de payer quelque chose en plus et quand je n'aurai plus de mouchoirs j'irai acheter du pq car les mouchoirs c'est secondaire et tu peux te moucher avec du pq même si ça fait mal aux narines

j'aime même pas ce café j'ai du l'acheter pour me sentir légitime de m'assoir et d'attendre 1h30min le prochain train car à cause du métro j'ai loupé le train et tu me diras qu'il aurait fallu que je parte plus tôt mais je suis partie plus tôt déjà c'est juste que c'est jamais suffisant en fait c'est ça le problème de nos jours c'est ça oui rien n'est jamais suffisant

et les parents ils font comment pour acheter des couches ?