#delphine houba
Explore tagged Tumblr posts
Text





















© EDanhier
715eme Meyboom, Bruxelles.
#meyboom#715e#meyboom 715e#edanhier#eric danhier#ville de bruxelles#visitbrussels#brussels#bruxelles#brussel#bxl#bxhell#bruxhell#belgique#belgium#folklore#philippe close#karine lalieux#fabien maingain#delphine houba#bx#bel#be#madame chapeau
1 note
·
View note
Text
#Rénovation en vue pour le bâtiment #Vanderboght à la rue de l’Ecuyer
#Rénovation en vue pour le bâtiment #Vanderboght à la rue de l’Ecuyer
#Rénovation en vue pour le bâtiment #Vanderboght à la rue de l’Ecuyer La Ville de Bruxelles et le Fédéral unissent leurs forces pour rénover l’emblématique bâtiment Vanderborght et lui offrir une identité forte répondant à des objectifs culturels et touristiques ambitieux. Sur proposition des Echevines de la Régie foncière, Lydia Muytebele, et de la Culture et du Tourisme, Delphine Houba, le…

View On WordPress
0 notes
Text
MEYBOOM 2021

PRINS ZONDER CARNAVAL & Gilde member Clement Jacques Vossen were invited by Marceline to attend the Meyboom !

Here with Madame Chapeau

the president of Meyboom

guardian

The bourgmestre Philippe Close and échevine Delphine Houba of Bruxelles

Garde Champetre

trying to climb the meyboom with the Woltjes in the background

For more info look at the website.
0 notes
Text
What Do We Know About Doctor-Prescribed Museum Visits?
https://sciencespies.com/news/what-do-we-know-about-doctor-prescribed-museum-visits/
What Do We Know About Doctor-Prescribed Museum Visits?


Doctors in Brussels are prescribing museum visits to their patients who are struggling with stress due to the COVID-19 pandemic. Museum therapy isn’t new and doctors in other places, such as Montreal, have also been prescribing visits to the local art museum as therapy. Not all programs are the same, though, but researchers have been studying whether these interventions are effective.
In September, Brussels city councillor Delphine Houba announced that she planned to start a three month trial to allow doctors at a mental health unit of the Brugmann hospital to prescribe museum visits to their patients who were suffering from stress. With a prescription, patients can attend several participating museums around Brussels as part of their recovery from COVID-19-induced mental health problems.
The trial will run until the end of this year, when it will be re-evaluated, but similar programs have been implemented in other places. Houba’s idea for the Brussels-based art intervention strategy came from an earlier initiative in Canada.
In 2018, the Montreal Museum of Fine Arts and Médecins francophones du Canada started a program that let doctors prescribe their patients with a museum visit in addition to their other treatments. They got a special “prescription pad” with 50 sheets which they could give to any of their patients to get free access to the Montreal Museum of Fine Arts.
In June 2019, Fortune reported that participants in the Montreal program had at that point redeemed 185 of the prescriptions that had been handed out by doctors. But there doesn’t seem to have been a systematic report yet to summarize whether the system was deemed successful.
However, the Montreal Museum of Fine Arts has taken part in several other health-related projects. One in particular, “Thursdays at the Museum”, has been formally documented in peer-reviewed scientific papers. In this project, 150 participants over the age of 65 took part in weekly interactive art activities at the museum. At several points during the course of the 12 weeks of the study, they answered a questionnaire about their well-being. Based on their answers, McGill University researchers determined that the art activities at the museum increased the overall mood and wellbeing of the people that took part.
In the UK, a similar study called “Museums on Prescription” ran from 2015 to 2017. This research project also looked at the psychological wellbeing of older people who took part in organised events at a museum. For this project, the activities were offered as a 10-week series of events at seven different museums. Each museum offered something else, so it could be interactive art-making workshops or behind the scenes meetings with curators, for example. This study, too, showed a positive effect on wellbeing among people who participated in the museum activities.
But both these studies were carefully coordinated so that people took part in organised and monitored events where they were directly engaged with other participants and the museum staff. It’s not the same as simply sending someone to a museum for free. Maybe it was the sense of being part of a group or being guided along activities that made the participants in the museum studies feel better – not necessarily the act of “being in the museum”. So it’s hard to say whether simply prescribing a museum visit will have the same effect.
Still, sending patients to a museum when they seem to need a distraction isn’t likely to harm them, even if it’s not clear whether it will work for everyone. As the vice-president of Médecins francophones du Canada, Hélène Boyer, said in an interview with CBC News at the launch of the museum prescription project in Montreal “It’s so rare in medicine that you prescribe something and you do not need to worry about all those side-effects (…).”
So if you get offered a free visit to the museum by your doctor, take it and enjoy the art.
#News
0 notes
Text
HOUBA, HOUBA, OUBAPO !
FESTIVAL ANGOULÊME
Nicolas Trespallé / © Laura Park
PFC
Non, ce n’est pas le nom d’un nouveau groupe de rap branchouille mais l’acronyme de Pierre Feuille Ciseaux, projet façonné par l’association ChiFouMi, qui repousse un peu plus loin les potentialités de la BD en transformant une activité intérieure et solitaire en performance collective placée sous le signe de la contrainte. Forme de consécration pour ses initiateurs, PFC intègre cette année la programmation de la Mecque de la bande dessinée. Enfin.
L’idée de départ était outrageusement simple, encore fallait-il y penser. Pour les membres de la structure ChiFouMi, composée de férus de BD alternative, il s’agissait de réunir quelques-uns de leurs créateurs BD préférés dans un même endroit pour le simple plaisir de les voir travailler ensemble. Porté par un ancien libraire, « June », alias Julien Misserey, le projet aboutit pour la première fois il y a dix ans grâce à l’aide providentielle de Lionel Viard alors responsable de la programmation culturelle de la Saline royale d’Arc-et-Senans où se tiendra la première édition.
Vingt auteurs venus de la galaxie indé répondent présents à l’appel pour cette résidence studieuse d’une semaine, parmi lesquels des piliers de l’OuBaPo (Ouvroir de Bande dessinée Potentielle, équivalent graphique de l’OuLiPo) tel Étienne Lecroart, mais aussi JC Menu, co-fondateur de l’Association. Les autres invités qui se connaissent ou non sont choisis pour leur univers graphique fort et surtout par leur désir de rejoindre une aventure artistique et humaine unique.
Derrière la séquence performative proprement dite, PFC prend d’ailleurs soin de ménager aussi un espace d’exposition et propose une série de tables rondes et de projections diverses qui viennent enrichir ce travail commun. Si la forme évolue sensiblement, le concept dans ses grandes lignes se poursuit dès lors et gagne vite une certaine aura. PFC attire ainsi du sang neuf dès la deuxième édition avec l’arrivée d’autres figures de la scène alternative : Benoît Preteseille, L.L. de Mars, le Suisse Baladi ou l’Américain Anders Nilsen. Car PFC n’a que faire des frontières et s’ouvre rapidement à « l’internationale indé ». La tenue d’une session de PFC à Minneapolis, Minnesota, en 2013 couronne ce parti pris avec la présence de l’immense Charles Burns qui se retrouve presque comme un débutant et avoue alors son trac de ne pas être à la hauteur.
Au total, en une décennie, c’est près d’une centaine d’auteurs venus d’une quinzaine de pays qui ont relevé le défi de PFC. Or, en quoi consiste-donc ce happening ?
Le projet collaboratif se doit de répondre à une série de contraintes définies par les organisateurs ou proposées par les intervenants, des initiatives qui, du reste, sont parfois suivies ou échouent selon leur degré de complexité. Le corpus d’épreuves n’est donc pas arrêté et évolue. Le défi peut être classiquement de raconter un récit à travers l’itération, c’est-à-dire en utilisant une seule et même case ou en s’essayant au palindrome qui pousse à développer une histoire pouvant se lire dans les deux sens. On pourrait également citer « le carré en expansion » où un auteur dessine une case, un deuxième vient dessiner trois autres cases autour (selon la forme d’un L), quand un troisième en rajoute cinq de plus etc. L’éventail sans fin des exercices qui peuvent au besoin se densifier, se mêler, pousse les auteurs, parfois installés dans leurs retranchements, les invitant à trouver des solutions à des problèmes, à discuter entre eux pour faire naître des choses, l’idée sous-jacente étant de les sortir de leur zone de confort personnel.
Certains habitués de l’improvisation s’en sortent naturellement mieux que d’autres et l’intérêt est de tirer tout le monde vers une direction même si cette dernière, nécessairement instable, se redéfinit en permanence comme un perpétuel work in progress. En sorte, PFC conçoit la bande dessinée en tant que forme mouvante. C’est une tentative de création permanente, un moyen de montrer que la bande dessinée est un échange et un art vivant. Comme PFC repose sur une mise en danger, la participation comporte des risques, mais pour l’artiste, l’intérêt est qu’il incite à casser les habitudes graphiques, à montrer à chaque aspirant laborantin ses limites pour l’aider à s’en affranchir. Car l’envie est d’abord de se laisser porter et déborder par le mouvement, l’inviter au lâcher-prise, réinterroger sa pratique du dessin en se jetant à l’eau.
Par son histoire, le FIBD d’Angoulême se devait naturellement d’accueillir cette initiative atypique qui s’annonce comme un moment fort de cette édition. Ont d’ores et déjà répondu présents pour cette 6e manifestation quelques mascottes de l’événement — Menu, Préteseille — et une délégation française de fleurons de la scène alternative comme Simon Roussin ou Delphine Panique. Ils seront rejoints par des dessinateurs du monde entier dans une liste qui ne cesse de s’allonger parmi lesquels Anders Nilsen ou Noah Van Sciver. Cette efflorescence créative aura la tâche de montrer au public que la bande dessinée est une forme artistique à part entière, plus encore qu’elle peut s’émanciper en dehors du livre et de l’imprimé. Que de la contrainte naît aussi paradoxalement une forme de liberté.
www.pierrefeuilleciseaux.com
0 notes
Text
Le Prix Georges Octors de la Ville de Bruxelles a été décerné
Le Prix Georges Octors de la Ville de Bruxelles a été décerné
– À l’initiative du Bourgmestre Philippe Close et de l’Échevine de la Culture Delphine Houba (photo) la Ville de Bruxelles a décidé de créer « Le prix Georges Octors de la Ville de Bruxelles » en hommage au grand musicien, violoniste et chef d’orchestre bruxellois décédé en juin 2020. Georges Octors a durablement marqué la vie artistique belge comme directeur musical de l’Orchestre National de…

View On WordPress
0 notes