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#employés municipaux
dassonville · 9 months
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Après les inondations de notre commune, notre maire a remercier l'ensemble des employés municipaux, les élus et surtout les pompiers qui sont venus en renfort de divers départements, ainsi que tous les bénévoles. Amitiés du Pas-de-Calais
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blimmo · 9 days
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La Municipalité de Val-des-Monts informe sa population que les bureaux municipaux, incluant les bibliothèques, seront fermés le mercredi 18 septembre 2024, de 12 h à 13 h, à l’occasion d’un dîner entre employés. Nous vous... Cet article Fermeture exceptionnelle des...
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if-you-fan-a-fire · 4 months
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"Rumeur de grève des employés municipaux," La Patrie (Montreal). May 16, 1934. Page 1 & 2. ---- Deux démentis catégoriques ont été prononcés ce matin par l'échevin J.-M. Savignac, président du comité exécutif, au cours d'une entrevue qu'il avait avec les journalistes.
"Je n'ai jamais dit", a déclaré le notaire Savignac, parlant d'une nouvelle parue dans un journal du matin, "que la Cité avait l'intention, an cours de la prochaine session spéciale du gouvernement provincial, de demander les moyens nécessaires pour imposer une taxe directe de trois pour cent sur les revenus. Ce n'est pas du tout ce que j'ai déclaré. Ce que j'ai dit aux propriétaires de Saint-Denis c'est que la ville a vait l'intention de présenter à la Législature un projet d'impôt sur les revenus et je n'ai jamais fixé de montant définitif à ce su jet. Ce que nous voulons, c'est un impôt solide sur les gros revenus afin de dégrever le pau- l'évre propriétaire qui aujourd'hui sue sang et eau pour obtenir des moyens de vivre".
Le deuxième démenti da président concerne la nouvelle parue dans les journaux du matin à l'effet que les salaires des employés municipaux seraient diminues de 8 1-3 pour cent, moyennant suspendion d'un mois de salaire.
"Je n'al jamais déclaré une telle chose", nous a dit M. Savignac. "Les salaires des employés municipaux ne seront pas réduits. Tout ce que j'ai demandé était un sacrifice de la part de tous, comme nous l'avons fait dans le temps de la guerre. Si des employés sont priés de prendre un congé d'un mois sans salaire, lis seront immédiatement repris dès que le besoin s'en fera sentir à l'hôtel de ville, au même salaire, qu'ils avalent auparavant Ce n'est pas une diminution de salaire, cela", continue le président de l'exécutif, "c'est simplement an sacrifice que nous dermandons à nos employés. Il me semble que ees derniers, comme tous les autres, les propriétaires par exen ple, pourraient faire un sacrifice pour sauver la situation financiere de la cité de Montréal."
UNE GREVE ? Interrogé par le représentant de la "Patrie" au sujet de la rumeur que si l'administration municipale baissait les salaires des employés municipaux ces derniers feraient grève, M. Savignac se contenta de sourire et dit: "Veyons! De tellez rameurs ne peuvent être sérieuses. Les employés municipaux ne déclareront aucune grève, à mon avis, simplement parce que nous leur demandons un sacrifice. D'ailleurs, ne seraient-ils pas les premiers à en souffrir?"
LES OPINIONS Plusieurs échevins, interrogés à ce sujet, se sont déclarés plutôt sceptiques. Réduire les salaires à raison, d'un douxième annuel leur semble impossible. C'est une chose qu'il ne faudrait pas faire, ont déclaré plusieurs. Cette nouvelle, d'après eux, est venue souvent sur le tapis, mais il n'en est j'amais rien résulté. Ce sera probablement la même chose qui se répètera cette année.
Plusieurs échevins nous ont aussi déclaré que s'il fallait absolument que les salaires des employés municipaux soient diminués, il faudrait au moins choisir ane échelle de diminution équitable. "Pourquoi", nous ont demandé plusieurs, "réduirions-nous de même façon, c'est-à-dire sur la même base, des salaires qul chez certains sont de $10,000 par année et d'autres ne sont que de $1,000. Si l'on réduisait de 25 p.e. les gros salaires en abaissant graduellement la proportion jusqu'aux salaires, disons par exemple de $1,800.00, est-ce que cela ne serait pas plus équitable? Et la ville en retirerait autant."
A tout événement, la question est vivement discutée à l'hôtel de ville, mais l'opinion quasi générale en dehors des bureaux du comité exécutif, c'est que la chose ne se fera pas.
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toutmontbeliard-com · 6 months
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Une prime pouvoir d’achat va être versée aux agents municipaux et du CCAS de Montbéliard
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Le décret n°2023-1006 du 31 octobre 2023 prévoit la création d’une prime de pouvoir d’achat exceptionnelle forfaitaire. Cette prime est créée pour soutenir le pouvoir d’achat des agents publics qui perçoivent une rémunération brute annuelle inférieure ou égale à 39 000 euros. Dans la fonction publique territoriale, contrairement aux deux autres versants de la fonction publique (Etat et hospitalière), cette prime n’est pas versée automatiquement, mais nécessite une délibération du conseil municipal après avis du comité social territorial. Le versement de cette prime sera également soumis au Conseil d’Administration du Centre Communal d’Action Sociale de Montbéliard. Le Conseil municipal de Montbéliard réunit le mardi 2 avril 2024 a délibéré positivement sur cette démarche. Sont éligibles au bénéfice de la prime de pouvoir d’achat, les agents de la Ville et du CCAS de Montbéliard, les fonctionnaires stagiaires et titulaires quel que soit leur cadre d’emploi, les agents contractuels de droit public quel que soit leur type de contrat et les assistants maternels et assistants familiaux employés par la collectivité. Ils pourront bénéficier de la prime de pouvoir d’achat s’ils remplissent les trois conditions cumulatives suivantes : avoir été nommé ou recruté par un employeur public à une date d’effet antérieure au 1er janvier 2023 ; avoir été employé et rémunéré par un employeur public à la date du 30 juin 2023 ; avoir perçu une rémunération brute inférieure ou égale à 39 000 euros sur la période courant du 1er juillet 2022 au 30 juin 2023. Sont exclus les agents en disponibilité ou en congé parental à cette même date, position n’ouvrant pas droit à rémunération. Les agents nommés ou recrutés à temps non-complet sont éligibles à la prime de pouvoir d’achat. Le montant sera néanmoins calculé proportionnellement à la rémunération perçue ainsi qu’au temps de travail effectué. La prime de pouvoir d’achat sera versée par la Ville et le CCAS de Montbéliard sera versée au mois de mai 2024. Elle est soumise aux cotisations et contributions de sécurité sociale ainsi qu’à l’impôt sur le revenu. Read the full article
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newsendip · 8 months
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Des employés municipaux suédois doivent désormais accepter une réduction de salaire pour avoir accès à du café sur leur lieu de travail. Les villes suédoises subissent de plein fouet l'augmentation des prix alors que des coupes budgétaires sont prévues dans les écoles.
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Cancer de la peau : une menace l'été pour les travailleurs en extérieur
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Le danger des rayons ultraviolets du soleil est bien réel, et particulièrement pour les travailleurs en extérieur. Le cancer de la peau est une menace croissante et, malheureusement, négligée par de nombreux professionnels. Avec une augmentation constante des cas de mélanome en France, il est essentiel de souligner l'importance des mesures de protection contre le soleil pour les travailleurs en plein air. Un dilemme sanitaire : les travailleurs exposés au soleil et le risque de cancer de la peau Le cancer de la peau est une maladie qui touche la peau et peut être causée par une exposition excessive au soleil ou d'autres facteurs. À lire aussi : Il est important d'appliquer de la crème solaire quotidiennement, même en l'absence de soleil Des mesures de protection trop peu appliquées Alarmant est le fait qu'un tiers des travailleurs français exposés au soleil n'appliquent pas les mesures de protection adéquates, mettant ainsi en péril leur santé. En effet, l'absence de protection solaire lors d'une exposition prolongée au soleil peut accroître le risque de développer un cancer de la peau, y compris le mélanome, qui est le plus dangereux. L'augmentation des cas de mélanome en France Chaque année, la France recense 100 000 nouveaux cas de cancers de la peau, une statistique préoccupante qui ne cesse de croître. Plus inquiétant encore, les cas de mélanome, la forme de cancer de la peau la plus grave, sont en constante augmentation. Vous devez regarder cette vidéo pour mieux prévenir le cancer de la peau : https://www.youtube.com/watch?v=jXzcJptbjz8&ab_channel=CentreLonBrard Une campagne de sensibilisation en faveur de la protection solaire au travail Devant cette problématique de santé publique, le Syndicat National des Dermatologues Vénérologues (SNMV), en partenariat avec l'Association des Maires Ruraux de France, a lancé une campagne de sensibilisation destinée aux travailleurs en extérieur. Les mesures de protection encouragées L'objectif de cette initiative est d'inciter les employés municipaux, ainsi que tous les travailleurs exposés au soleil, à prendre des mesures de prévention adéquates. L'adaptation des horaires de travail pour éviter les heures d'ensoleillement maximal, l'usage de vêtements protecteurs et de crèmes solaires, ainsi que la surveillance régulière de la peau pour déceler les signes de cancer sont vivement encouragés. Terminez avec : L'utilisation de lampes UV lors de la manucure présente un risque de développer un cancer de la peau Prévenir le cancer de la peau : un devoir pour tous La prévention du cancer de la peau est l'affaire de tous. Chaque travailleur en extérieur, chaque employeur et chaque citoyen a un rôle à jouer pour minimiser l'impact des rayons UV sur la santé. Il est crucial de sensibiliser davantage au danger que représentent ces expositions solaires prolongées et non protégées. La vigilance, la protection et l'éducation sont nos meilleurs outils pour combattre cette menace silencieuse qu'est le cancer de la peau. ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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rojinfo · 1 year
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Le HDP condamne l'arrestation illégale des co-maires de Patnos par le gouvernement
Le conseil des Administrations Locales Démocratiques du Parti démocratique des peuples (HDP) a émis une déclaration concernant l’arrestation des co-maires et des employés municipaux dans le district de Patnos, à Ağrı, survenue plus tôt aujourd’hui. La déclaration souligne que l’opération menée contre la municipalité de Patnos, gérée par le HDP, démontre une fois de plus que « le gouvernement,…
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Depuis près de 15 jours, tous les médias parlent du tragique accident de Pierre Palmade ayant engendré des blessures graves à trois personnes. Ce 22 février 2023, le maire du village de l’humoriste a pris une décision radicale. Pour rappel, le vendredi 10 février, un violent accident de la route a été provoqué par Pierre Palmade, qui était sous l’emprise de cocaïne. Mis en examen et placé sous bracelet électronique le 17 février dernier, l’enquête pour homicide et blessures involontaires se poursuit. Nouveau rebondissement ces derniers jours, Pierre Palmade se retrouve au cœur d’une nouvelle enquête,celle de « détention d’images pédopornographiques. » De son côté, le maire de la ville de l’humoriste a pris une décision radicale, comme le rapporte le média Closer. Le maire de Cély-en-Bière, village situé en Seine-et-Marne, a demandé à tous ses employés municipaux de ne plus aborder le sujet de Pierre Palmade. Ce dernier souhaite éviter tout risque de débordement concernant cette triste affaire, malgré les témoignages qui ne cessent de se multiplier. Malheureusement, le maire ne peut pas empêcher ses habitants de parler, et d’ailleurs, l’une des voisines de l’humoriste s’est confiée :« il aime faire la fête, mais il n’a jamais fait de bruit. C’est un homme très simple et toujours poli. ». Un autre habitant a ajouté : « Je suis sûre qu’il se foutra en l’air avant d’aller en prison. Un dernier shoot mortel de cocaïne… » 14 avril 2023
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Autrefois
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grenobleagglo · 2 years
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Explosion des impôts locaux avec une question simple : jusqu'où peut monter le nombre des employés municipaux dans l'agglomération grenobloise ou le poids toujours croissant du budget de fonctionnement ? De façon surprenante, il n'y a pas d'étude précise sur l'évolution du nombre des salariés publics locaux à périmètre comparable d'exercices de compétences dans le temps. Années 90, la Ville de Grenoble = 3 000 salariés. Mais la Ville de Grenoble exerce alors toutes les compétences qui représentent un nombre élevé de salariés : assainissement, eau, voiries, mobilités ... Le SIEPARG représente alors une grosse centaine de salariés. 2020, la Ville de Grenoble = 3 855 employés municipaux et la Métropole dépasse les 2 000 salariés. Une explosion des effectifs ! Une Commune comme St Martin d'Hères c'est 1 400 salariés pour 35 000 habitants. C'est à dire 40 % des effectifs que la Ville de Grenoble comptait dans les années 90 pour 160 000 habitants. Est-ce que la qualité des services rendus a connu une progression identique de qualité accompagnant cette explosion des effectifs ? Non. Il faut donc chercher ailleurs les
explications. Au moment où il est question partout de sobriété, pourquoi les politiques ne parlent-ils jamais de la sobriété fiscale avec une sobriété des effectifs publics ?
20/03/2023
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raisongardee · 3 years
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“Mais, d’une façon générale, il est certain qu’entre cent employés municipaux ou des postes ou des chemins de fer il y aura plus d’uniformité qu’entre cent cordonniers, tailleurs ou, même paysans. La standardisation de leur cerveau doit être beaucoup plus avancée, en raison de l’uniformité plus grande de l’ambiance dans laquelle ils exercent leur activité. Aussi manifesteront-ils les mêmes goûts, et leurs jugements de valeurs seront à peu près identiques.”
Werner Sombart, Comment le capitalisme uniformise le monde ?, trad. André E. Sayous, 1927.
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blimmo · 12 days
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11 au 18 septembre 2024 La Municipalité de Val-des-Monts informe sa population que les bureaux municipaux, incluant les bibliothèques, seront fermés le mercredi 18 septembre 2024, de 12 h à 13 h, à l’occasion d’un dîner entre employés. Nous vous... Cet article...
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if-you-fan-a-fire · 1 year
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"Les chômeurs de Verdun iraient voir M. Gordon," La Presse. July 11, 1933. Page 15. ---- Le maire Ferland promet de les conduire s'il n'a pas de réponse d'Ottawa. --- MM. SULLIVAN ET LAURIN ----- Le conseil municipal de Verdun, à l'issue de son assemblée d'hier soir, a reçu la visite de ses deux représentants à la Chambre des Communes. Me John-A. Sullivan, député de Sainte-Anne-Verdun. et M. Georges-P. Laurin, député de Jacques-Cartier, Verdun, s'attendait à recevoir d'eux une réponse définitive de l'hon. W. Gordon, ministre du travail, relativement à la contribution du gouvernement fédéral aux travaux de chômage dans Verdun, travaux pour lesquels le gouvernement de Québec s'est déjà engagé à fournir $246.200 à condition que le féderal souscrive le même montant.
Mais les deux députés déclarèrent tour à tour que M. Gordon s'était excusé au cours de la journée de ne pouvoir encore leur donner une réponse définitive, parce que le cabinet fédéral n'avait pas pu au cours de sa réunion tenue hier midi, atteindre cet item de la liste des questions à l'étude. Ils ont cependant la promesse du ministre du travail que le cabinet fédéral étudiera à sa prochaine séance le cas des chômeurs de Verdun.
Le maire déçu Après cette déclaration des deux députés, Son Honneur le maire Hervé Ferland se leva pour exprimer tout son désappointement de ne pas avoir de M. Gordon une réponse attendue depuis déjà une semaine, les deux députés, MM. Sullivan et Laurin ayant déjà depuis ce temps donné leur approbation à la liste de travaux de chômage soumise par le maire. "La situation d'un grand nombre de nos chômeurs est lamentable," a explique M. Ferland. "Un grand nombre d'entre eux sont sans chaussures et sont loin d'avoir toute la nourriture dont ils auraient besoin. La ville de Verdun est une ville essentiellement résidentielle et se trouve par le fait même dans une situation exceptionnelle au point de vue du chômage".
Promesse à tenir "J'ai promis," d'ajouter le maire de Verdun, "que six mois après mon election les secours directs auraient été supprimés dans Verdun pour être remplacés par des travaux et j'entends tenir ma promesse ou bien je cesserai d'être maire de Verdun. La semaine dernière, au cours d'une assemblée publique su parc Woodland. J'ai dit aux chômeurs de Verdun que si M. Gordon ne donnait pas son assentiment à l'entreprise de travaux de chômage en fournissant le même montant que Québec nous a accordé, j'irais avec eux à Ottawa réclamer ce à quoi ils ont droit".
"Je répète cette promesse devant nos deux députés et les prie de faire savoir à l'hon. M. Gordon que al le cabinet fédéral n'a pas pris de décision à ce sujet dans six jours, il verra arriver à Ottawa les chômeurs de Verdun avec leur maire en tête".
Le voyage à Chicago Au cours de l'assemblée régulière du conseil qui a précédé la visite des deux députés, le maire Ferland s'est prononcé catégoriquement contre le projet qu'avait approuvé le comité exécutif de faire payer par la ville de Verdun les dépenses de voyage du maire et des échevins qui voudront aller assister au congrès de 'Union des Municipalités" à Chicago, du 9 an 16 septembre prochain. "Il n'est pas convenable," a dit M. Ferland, "que nous nous payions un tel voyage de plaisir à même les tends publics, alors que nous sommes obligés pour balancer notre budget de réduire les salaires de nos employés municipaux". La majorité des échevins ont alors décidé de renvoyer cette question à une assemblée de comité pour plus ample étude.
Par contre le maire s'est montré favorable à une dépense de cinquante-sept dollars pour annoncer la ville de Verdun dans des causeries à la radio, disant que cette dépense rapporterait plus à la ville de Verdun que le montant dépensé.
Le conseil municipal a aussi adopté le rôle supplémentaire d'évaluation pour les nouvelles constructions dont la valeur totale est de $305,000, dont $100,000 de propriétés impossibles et $206,000 (évaluation de la nouvelle école protestante de l'avenue Bannantyne) représentant la propriété non imposable.
Tous les échevins, ainsi que M. L J. Grondin, trésorier, et M. A.-J. Burgess, greffier, assistaient à cette assemblée présidée par le maire Ferland.
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lamergelee · 4 years
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 50]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49] Le jour 50, Gustave F. déserta. Les brigades sanitaires seraient-elles en mode cuisine ? En mode police ? En mode gendarmerie ? En mode armée ? Les brigades sanitaires arriveraient-elles en escadrille ? À cheval ? Seraient-elles formées de régiments, de corps de troupe, placées sous l'autorité d'un chef unique et elles-mêmes intégrées à une unité supérieure ? Descendraient-elles des collines au galop jusqu’aux paisibles villages, poseraient-elles le pied dans les cours d’humbles fermes ancestrales et leur stéthoscope sur les humbles Français suspects d’héberger une maladie plus contagieuse que l’indécent banal cancer aux pesticides ? Mais non ! Les brigades ne seront pas du tout comme ça ! Les brigades seront en tout point normales, elles seront composées principalement de salariés de l’Assurance maladie, peut-être aussi des employés de centres communaux d’action sociale (CCAS) et de conseils départementaux ou d’organismes comme la Croix-Rouge, par exemple, rien n’est encore certain à cent pour cent, elles seront, en tout cas, constituées de salariés normaux, qui font leur job normalement, on les appellera « brigades » c’est fun, pour les associer à l’effort national. Au total, 3 000 à 4 000 personnes seraient mobilisées. Mobilisées ? Mais non, ces personnes feront leur travail, voilà tout, pas de panique, c’est pour leur donner un peu la patate ! D’ailleurs 2 000 collaborateurs supplémentaires étaient prêts à venir immédiatement en renfort si nécessaire, avait assuré le directeur de l’Assurance maladie dans Les Échos. En renfort ? Mais non ! Ce n’est pas un renfort, « renfort » c’est une façon de parler qui sonne bien, renfort veut dire, comme d’habitude, intérimaires, CDD, travail précaire tout ce qu’il y a d’ordinaire. Les brigades sanitaires allaient être par ailleurs intégrées dans un dispositif plus large, impliquant notamment le personnel de santé et les services municipaux et on ne sait pas qui encore, on verra. Selon le président du conseil scientifique, 30 000 personnes au total pourraient être mobilisées. Mobilisées ? Mais non ! Elles seront au taquet c’est tout, pas de guerre on vous dit ! Gustave se sentait plus que jamais déserteur pourtant, il désertait les applaudissements, il désertait le lavage du masque maison, il désertait l’application du formulaire de sortie obligatoire, il désertait même de temps à autre le formulaire lui-même et longeait les murs jusqu’au bureau de tabac, se faufilait entre soir et aube sans son papelard pour aller voir son ami planétaire, un déserteur lui aussi, qui chantait tranquille comme un Boris Vian des airs pas patriotes, ou pour flâner comme un vieux chien sous la lune immobile. Il désertait les transports collectifs, les baptêmes du feu, les onctions préfectorales, les messages divins, les messes à rallonge, il désertait tout, d’ailleurs il avait les cheveux longs dans la nuque et le poil négligé. Idéal pour se faire un petit bédo à la fenêtre. (À suivre).
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alexar60 · 5 years
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La fuite
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A l’autre bout de la ville, on trouvait une usine particulièrement étrange. Personne ne sut ce qu’on y fabriquait. On vit de nombreux camions entrer et sortir sous la surveillance extrême de gardes bizarrement armés. De même, tout le monde put voir les moyens high-tech utilisés concernant la sécurité du site. Les véhicules qui avaient le droit d’y circuler, étaient matriculés à l’image des voitures diplomatiques. En fait, personne habitant la ville n’y travailla. Les employés vivaient dans une mini-ville au sein de l’entreprise. Leurs enfants eurent leur propre école, il y avait même une clinique privée. Parfois, le Président Directeur Général se montrait durant les soirées officielles mais il restait toujours évasif quant à la fabrication des produits de l’usine. Officiellement, c’était une entreprise de colorants et produits dangereux ; suffisant pour être classé SEVESO. Seulement, une autre usine de ce genre existe aussi. Elle contribue à faire vivre la cité en employant plusieurs centaines d’habitants contrairement à cette étrange usine.
Les gens s’habituaient à sa présence quand tout arriva soudainement. Les alarmes résonnèrent durant la nuit, jamais l’usine n’était autant éclairée. Elle flashait, illuminant le ciel au point d’inquiéter la population. Déjà que sa réputation n’était pas terrible, mais cette nuit, les fans des théories du complot eurent de quoi écrire sur les réseaux sociaux : Explosion ou fuite radioactive, mutation liée à des expériences chimiques ou médicales, évasion d’un extra-terrestre qui en avait marre de se faire charcuter, révolte de prisonniers type Guantanamo… Enfin toutes les théories les plus farfelues furent émises.
Deux jours après, je ressentis encore cette étrange peur dans la région. Les policiers avaient eu ordre de visiter chaque maison voisine, chaque lieu isolé et d’arrêter les voitures sans donner la moindre explication aux médias. Ils cherchaient quelque-chose c’est tout ce que je savais. Juste après une fouille du coffre de ma voiture ainsi que de sous le siège arrière, je repartis et me dirigeai vers l’ancien collège. Abandonné depuis longtemps, il avait été prévu de le réhabiliter. Alors, j’avais été sollicité pour vérifier s’il était possible de le restaurer en différents services municipaux. J’avais la clé, toutefois, comme la porte était ouverte, je n’eus pas besoin de l’utiliser. J’entrai vérifiant l’état de chaque mur dont la peinture s’effritait; les salles vides semblèrent tristes. De plus, j’entendis les échos de mes pas tellement le bâtiment était démeublé. Il n’y avait rien à part des toiles d’araignées. Je marchai tranquillement, observant, prélevant quelques échantillons par endroits afin de connaitre le taux d’amiante lorsque j’entendis tousser. « Il y a quelqu’un ? » criai-je. Sans réponse, et me souvenant de la porte d’entrée fracturée, je pensai immédiatement à un SDF. Dès lors, je préférai me taire ni bouger afin de discerner s’il y avait un possible danger. Même le silence semblait triste. Je marchai doucement, cherchant à ne pas effrayer l’intrus, ou plutôt à le surprendre. Mais rien ne se fit entendre. Alors, je continuai mon enquête concernant l’amiante et la vétusté du lieu.
A peine cinq minutes après, un toussotement retentit de nouveau. Cette fois, j’avais repéré son origine. Prenant mon courage à deux mains, je me précipitai dans ce qui fut le centre de documentation. J’entrai précipitamment, montrant mon plus mauvais regard quand je les aperçus. Elles étaient assises, adossées contre un des nombreux piliers de la pièce. Elles essayèrent d’abord de se cacher puis en me voyant, elles décampèrent, courant d’une étrange façon, comme si elles n’avaient jamais couru. Leur longue robe blanche rappelait les hospices psychiatriques du XIXe siècle. Leurs cheveux longs pourtant bien coiffés laissaient à penser qu’elles étaient jumelles. Toutefois, il y avait une énorme différence dans la forme de leur visage. Elles courraient ; seulement pieds nus, elles ne purent aller loin avant que je les rattrape.
J’avais réussi à empoigner la première qui allait sortir de la bibliothèque empêchant en même temps la seconde de fuir. Elle se mit à courir dans tous les sens dans l’immense salle telle une malade, tandis que je calmai et raisonnai sa compagne. Cette dernière criait comme un animal sauvage. Je pus toutefois la rassurer en la lâchant et simplement avec un ‘chut’ dont je découvris son effet apaisant. Elle me regarda de ses yeux noirs. Son visage semblait comme neuf, loin d’être abîmé par la vie. Même ses mains ne contenaient aucune ride d’usure. Je me présentai. Elle me regarda, continuant à écarquiller les yeux. Je compris qu’elle ne parlait pas français ; ni anglais, ni espagnol, ni aucune langue dont j’avais quelques bribes. Pendant ce temps, son amie arrêta de courir. Epuisée, elle se laissa tomber le long du mur sous la fenêtre. Je crus l’entendre pleurer. D’un geste lent pour ne pas les effrayer, je sortis de mon sac une bouteille d’eau et proposai à la plus proche de boire. Elle me dévisagea sans comprendre. Je portais la bouteille à mes lèvres et bus une gorgée, puis je tendis la bouteille qu’elle prit. Seulement, elle ne comprit pas le principe et laissa couler la moitié de l’eau contre son menton. Toutefois, je vis un léger sourire sur son visage après avoir bu. Elle tourna la tête vers sa copine et l’appela en utilisant une espèce d’onomatopée. Apparemment, elles étaient muettes puisque l’autre répondit de la même façon pendant qu’elle se relevait et s’approchait de nous. Elle prit à son tour la bouteille et laissa couler l’eau tout en lapant du bout de sa langue tendue. En voyant sa façon boire, j’ai pensé à des enfants sauvages.
Il a fallu plusieurs minutes pour me faire comprendre. Elles acceptèrent de me suivre. J’abandonnai mon travail et  les emmenai à l’hôpital afin de les soigner et les aider. Durant le trajet, je remarquai leur totale ignorance des voitures. Déjà, l’une d’elle vomit une sorte de bile blanche. Je constatai ainsi qu’elles n’avaient rien mangé. Je profitai donc d’un arrêt pour leur offrir mon repas, deux sandwichs très vites dévorés ainsi que quelques mandarines. Je fus stupéfait de le voir croquer dans la peau du fruit ; elles n’avaient jamais mangé de mandarine auparavant. Je conduisis la voiture ensuite vers l’hôpital. En passant devant l’usine, elles eurent un sursaut. L’une d’elle paniqua, criant des mots incompréhensibles. La seconde fit de même. Elles pleurèrent, sautant, hurlant, vociférant telles des malades en pleine crise d’hystérie. Soudain, elles se calmèrent aussi vite dès que nous quittâmes l’endroit. Elles continuèrent à regarder l’immense bâtiment sinistre clôturé de barbelés. L’une d’elle soupira, posant sa tête sur l’épaule de son amie. Cette dernière lui caressa les cheveux tout en essuyant ses joues mouillées par quelques larmes. Je roulai sans difficulté, sans rencontrer de barrage, jusqu’à l’hôpital. Là, je les accompagnai aux urgences, expliquant la situation. L’hôtesse d’accueil pensa avoir affaire à des migrants clandestins. Toutefois, elle prit mon nom, me donna un numéro, et me fit patienter avec les deux jeunes femmes. Nous attendîmes une bonne heure. En découvrant un distributeur, j’offris quelques barres chocolatées qu’elles dévorèrent sans difficulté. J’attendis quand un jeune interne appela mon nom.
Il remonta ses lunettes à plusieurs reprises, signe qu’il était perplexe. Il inspecta chacune des filles, leurs jambes, leur dos, leur pouls. Il m’utilisa pour expliquer comment ouvrir et tirer la langue. Il ne savait que dire. Puis, il me prit à l’écart : « Vous les avez trouvez ou ? » « Dans l’ancien collège » répétai-je. Il semblait perdu avant de dire : « Elles sont en très bonne santé. Mais, avez-vous vu leurs pieds et leurs mains ? On croirait des peaux de bébé comme si elles n’avaient jamais marché ». Je restai muet ne sachant quoi exprimer. « Et c’est pareil, c’est quoi cette tenue ? Elles sortent d’où ?» ajouta-t-il. Il nous abandonna, préférant un autre diagnostique. Je restai avec les miss ; leurs manières étaient tracassantes car elles se comportaient comme des filles de six ans malgré un physique de vingt ans. Alors, je les rassurai par moment en leur faisant des grimaces ou m’amusant à loucher. Je me suis même amusé à chantonner « le soleil brille ». Cela fonctionna puisque leurs yeux s’illuminèrent, irradiant en même temps leur minois d’un large sourire. Je constatai pour la première fois leurs dents blanches et soignées. Nous n’attendîmes pas longtemps avant que le médecin revienne avec un collègue plus vieux. Il observa les deux filles, discuta avec son confrère puis il me posa les mêmes questions. Je n’eus pas fini de répondre qu’un groupe de policiers fit irruption dans la salle, entrant sans ménagement pour les autres patients ni pour le personnel. La tête des deux filles fut immédiatement recouverte d’un sac en toile noire, un agent plaqua au sol  l’interne qui voulait s’interposer tandis qu’un autre m’empoigna par le col, menaçant d’utiliser son arme si je tentais quelque-chose. Je pus voir que leur uniforme de gendarme quoique semblable n’avait rien d’officiel. D’ailleurs, ayant affaire avec les policiers de la ville, je n’en connaissais aucun présent à ce moment. Le groupe disparut aussi vite, emportant avec eux les filles dont les cris étaient étouffés.
Quelques jours après, il se produisit un événement étrange dans l’usine. Les voisins constatèrent d’énormes feux, tel des brasiers au milieu de la cour. Certains témoignèrent avoir entendu des chants, comme si des milliers de personnes fredonnaient « le soleil brille ». Et puis, il y a une odeur insupportable. Malgré les plaintes, la police ne put intervenir ni entrer. Cela dura deux jours, puis plus rien. L’usine fut abandonnée, tout le matériel déménagé en une nuit, laissant place à des légendes. La plus connue reste celle racontée par des amateurs d’exploration urbaine : Ils auraient découverts des ossements humains carbonisés ainsi que du matériel de chirurgie. Quant à moi, j’ai mon idée. Surtout après avoir reconnu à la télévision l’une des deux filles. Elle raconta comment, après quelques greffes, elle survécut à un cancer généralisé faisant l’apologie d’une entreprise dont le logo est encore visible à l’entrée de l’usine. Son langage était très clair et n’avait rien des interjections utilisés par son clone…vraiment rien !
Alex@r60 – janvier 2020
Photo : Ihon Gouldin ?
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canardumidi · 4 years
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Pierrot Labeyrie était en queue de cortège lors de la dernière manifestation pour la défense de l’hôpital public, le 16 juin 2020. Handicapé par une récente opération, l’ex-conseiller municipal de la liste des Motivé-e-s pestait contre le chef des employés municipaux qui ferment traditionnellement la marche de tous les défilés au centre-ville avec leurs balayeuses. “Il m’emmerde, je traîne la patte mais je peux encore pédaler sans problème”, dit l’ancien élu, toujours vert.
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L’utopie prend source dans les expertises habitantes
Lorsque Thomas More écrit « L’Utopie », il analyse tout d’abord les qualités, les défauts et les évolutions de la vie quotidienne de son époque, dans tous ses aspects. Cette observation sera le terreau de la conception de sa société et de sa ville idéale, dans lesquelles il imagine de nouveaux modes de gouverner, d’habiter, de se déplacer, de travailler et de s’amuser.
Cette première semaine à Montbozon nous a permis de rencontrer une diversité de personnes : habitants, commerçants, jeunes du périscolaire, professionnels établis dans la commune, élus, professionnels de l’aménagements, porteurs de projet, propriétaires d’espaces vacants, employés municipaux, etc. Par le croisement de ces multiples regards, des réflexions communes et des singularités émergent. Peut-être seront-elles la base de l’utopie collective de la revitalisation du centre bourg :
De loin, Montbozon semble immerger dans la végétation, les limites du bourg étant marquées par des murs, chemins, vergers et champs.
Les principes d’intercommunalité et de fonctionnement en réseau des villages peinent à s’intégrer dans les esprits.
Malgré une population constante, les habitudes de transport et de consommation ont conduit à la vacance des commerces, laissant des rez-de-chaussée et vitrines en décrépitude.  
Les habitations ont toujours évolué par l’action des habitants au fil des générations, seulement aujourd’hui, le bâti entrelacé en centre bourg semble se figer et les initiatives sont contraintes par les pressions réglementaires, normatives et thermiques.
Dorénavant, des extérieurs privés, jardin, garage, etc. semblent indispensables à toute installation sur Montbozon.    
L’attachement au village des habitants retraités se révèle par une volonté d’y rester et d’y vieillir, le patrimoine et le terroir animent les passions.
Tandis que les équipements se construisent aux extrémités du village, au cœur, le dangereux carrefour de la Carotte reste engoncé et la place de Verdun est dévouée au stationnement.
Les montbozonnais - anciens, nouveaux habitants, étudiants, bénévoles - ont des compétences diverses et réalisent des actions multiples mais le manque de communication freine leur mise en relation, ce qui produit souvent des événements en comités restreints.
Un lieu commun manquera suite au départ de la Salle Stella.
Une architecture, curieuse, inhabituelle, en rupture avec le tissu pourrait prendre place à Montbozon.
Les dimanches ensoleillés et l’été, Montbozon prend un autre rythme, au bord de l’Ognon et dans les chemins se croisent des habitants, touristes, cyclistes, jeunes, campeurs, etc.
Des caves, souterrains, cuves, sources et tunnels légendaires forment un réseau sous le sol du bourg…
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