#federation viticole

[tourbrune]

Le printemps s’est placé sous le signe de la pluie. Les parcelles sont tellement imbibées d’eau qu’il n’est pas envisageable d’y passer des machines. Cela ne modifie pas beaucoup mon quotidien, n’ayant pas d’engins agricoles.

La pluie a du bon; Elle m’a permis de retirer facilement les poteaux à changer; Elle me rend le buttage à la pioche plus aisé. Je n’avais pas pu le faire l’année dernière à cause de la sécheresse. Les parcelles commencent à prendre leur allure bio. Les pulvérisations d’extraits de plantes ont commencé et le débourrement ne devrait plus tarder. Les bourgeons gonflent.

Les lies sont presque toutes prêtes à être livrées à la distillerie. Cette partie « cave » n’est pas facile pour moi. Il faut se lancer et aussi faire preuve d’endurance : y aller et observer, ne rien lâcher et accueillir, se faire confiance et écouter, …

La formation de la CAB Pays de la Loire sur les pépinières suit son cours, toujours aussi enrichissante et celle de la fédération viticole sur les détections des arômes de molécules a commencé. Ce sont tous des moments importants qui permettent de rompre l’isolement du métier, de partager, de comparer, d’apprendre. Ce n’est pas toujours facile de prendre le temps d’y participer mais c’est toujours bénéfique.

  Être buttée Le printemps s’est placé sous le signe de la pluie. Les parcelles sont tellement imbibées d’eau qu’il n’est pas envisageable d’y passer des machines.

[trocwine]

Retour sur l’évènement La WineTech s’invite à Paris #2 !

Le mardi 30 mai, c’était la deuxième édition de « La WineTech s’invite à Paris » au Campus Cluster, une soirée réunissant 19 startups membres du mouvement, qui a permis à plus de 400 invités de découvrir les innovations le plus ambitieuses et solides du secteur.

« Le vin a désormais un nouveau terroir, celui du numérique » -Arthur Tutin

Deux tables rondes furent organisées :

La première table ronde animée par Arthur Tutin, co-fondateur de la WineTech et fondateur de TrocWine traitait de la consommation du vin à l’ère du numérique. « Le numérique réduit les intermédiaires, le consommateur de vin est-il aujourd’hui plus proche du vigneron ? » mais encore « pour le consommateur, la numérisation mène-t-elle à une meilleure connaissance du vin ? ». Pour répondre à ces questions, étaient présents : Erwann de Barry de TWIL, Vincent Chevrier fondateur de VinoTeam, co-fondateur et porte-parole de la WineTech ainsi que Philippe Pujau de Caveasy.

La seconde table ronde traitait de la transformation des métiers du vin par le numérique, animée par Stéphanie Mundubeltz, rédactrice en chef de L’Usine Digitale, accompagnée de Vinosoft avec Sylvain Gautier, WineServices avec Guillaume Fourcade, Caviste Authentique avec Matthieu Corradini et enfin, Actiwine avec Eric Levy.

Ces deux conférences ont permis de pointer du doigt les problématiques actuelles du marché, notamment la difficulté de convaincre les acteurs historiques du vin de la nécessité des services et solutions proposés par les startups de la WineTech.

Les invités ont pu découvrir 19 startups aux typologies bien différentes, des services destinés aux négociants ou cavistes, des marketplaces, des solutions IA, ainsi que des plateformes collaboratives. 

Pour en savoir plus, on parle de La WineTech dans Forbes, Maddyness et Les Échos :

Forbes

Maddyness

Les Échos

Les Échos