Tumgik
#hâte d'être à ce soir
maviedeneuneu · 2 years
Text
Tumblr media
Quand ils vont mettre en place un escape game à la Tour pendant les vacances à partir de demain et que j'ai été invité par mes collègues à venir le tester ce soir en avant première
4 notes · View notes
perduedansmatete · 11 months
Text
pour une fois que je passe quelques jours d'affilé sans avoir l'envie plus ou moins latente de me faire rouler dessus par une voiture (même si on en a rigolé hier soir quand ça aurait pu arriver pour de vrai) je me dis qu'il faut peut-être que je l'écrive quelque part. mardi j'ai pu goûter au plaisir de ne pas me lever avant sept heures et d'avoir l'impression d'être en vacances toute la journée, même si j'avais plein de choses à faire (je ne les ai pas faites du coup). hier j'étais un peu angoissée comme tous les mercredis car j'adore le cours et ma prof mais c'est aussi le jour où je connais le moins de monde et où je me sens un peu seule. mais au final j'ai pris sur moi et c'était une bonne journée, on était peu cette fois mais comme toujours le cours était passionnant. on s'est intéressé aux rapports entre secret, vérité et mensonge, et puis surtout au fait d'imposer une vérité à quelqu'un ou pas et ça a mené à plein de discussions même à la pause du midi où on se racontait nos histoires de mensonges, dont une folle histoire de tromperie à grande échelle sur dix ans où tout un groupe d'amis est au courant mais ne peut rien dire. quand la prof est revenue dans la salle la fille qui nous avait raconté l'histoire lui a fait un schéma tellement c'était complexe et c'était très drôle, notre prof était abattue par la situation. l'après-midi on a réfléchi à nos sujets d'exposés et je vais le faire avec deux M2 sur les agressions sexuelles par des amis (bonne ambiance) on veut s'intéresser à la notion de confiance et à celle de pardon et la prof l'a intitulé "dérapages entre amis" ce qui nous fait beaucoup rire même si ce n'est absolument pas drôle comme sujet. du coup pendant qu'on brainstormait on s'est rendues compte qu'on avait quand même beaucoup de matière à développer rien qu'en partant de nos expériences persos et amicales. (encore une fois bonne ambiance) puis après une réunion bureau des plaintes pendant laquelle cette même prof d'amour nous a demandé de lui faire remonter tout ce qui n'allait pas dans le master on est allées boire un verre puis des verres, puis d'autres copains nous ont rejoint, j'ai d'ailleurs découvert un nouveau bar trop cool avec des cocktails pas chers, bien dosés et absolument délicieux. on a vraiment bien rigolé et j'ai hâte de les revoir demain. sinon comme il était tard l'ami platonique m'a proposé de venir dormir chez lui, j'ai donc récupéré mon super cadeau trop mimi puis j'ai vu toutes les beautés qu'il s'était achetées en plus de mon cadeau et comment je lui aurais trop piqué sa nouvelle veste en jeans westwood absolument divine avec des épaulettes qui donnent une allure à la gaultier... mais il commence à faire trop froid snif... on s'est endormi au petit matin au doux son de la pluie qui tombe sur le velux et la suite on la connait j'ai mangé mon bâton de saucisson avec lui avant d'avaler le remède anti bébé, tout est bien qui finit bien
15 notes · View notes
e642 · 9 months
Text
Bon. Faut faire un point là. Hier soir je sors de 10h de BU avec ma famille nombreuse (groupe de projet). J'ai eu l'impression d'être super nany trop grave, jme suis pris la tête avec une d'elles aussi. En même temps c'est possible d'être aussi conne ? C'est bien la seule à s'étonner d'avoir redoubler 2 fois. Fr en 4 ans t'es allé jusqu'en L2, moi en 4 ans, jsuis allée en L2 d'une autre filière après avoir eu une licence. Dsl je rage mais elle rend fou a pas réfléchir, à croire que c'est payant. Je sors à 19h et là je capte que j'ai 2500 trucs à faire avant demain. Car demain, donc aujourd'hui, je rentre chez mes darons pour les vacances de Noël (j'ai trop hâte de voir ma tante alcoolique pour le 24 et 25, son taux d'alcoolémie me manque trop -non-). Évidemment étant adulte maintenant et loin, faut tout ranger, laver, préparer la valise, tout débrancher, couper l'eau, jeter les poubelles ect. + J'avais d'autres trucs à faire et à penser à surtout pas oublier. Donc jdors pas, jme prends un coup de speed monumental et jcommence à penser a plein de trucs: jpensais à prendre le train plus tôt pour faire une suprise à mon mec et arriver en avance chez lui sans le prévenir après jme suis demandée s'il méritait vraiment que jme casse le fion à ce point, jsuis arrivée à la conclusion que non. Ensuite, jme suis demandée pourquoi moi je le trompais pas, est ce que c'était par conviction et respect ou est-ce que j'avais juste pas eu d'occasion. Je tairai cette conclusion. Après jme suis demandée si ma mère m'aimait puisque les remboursements de ma mutuelle arrivent sur son compte et qu'elle veut pas me passer mes 150€ investis en échographies, et examens. Pk elle me laisse dans la merde ? Après jme suis rassurée sur les cadeaux que j'allais pas offrir ou ceux qui seraient nazes car mon mec m'offre le mien aujourd'hui, selon le niveau je pourrai aviser, ça m'a soulagée, j'espère il m'a rien offert de fou. Après j'ai pensé au fait que les partiels c'est bientôt et que la seule chose que j'ai fait à peu près bien c'était m'assoir en amphi mais rien d'autres. Bref ça m'a pris du temps de penser à ça. Donc j'ai pas dormi en fait. Là je commence à tout ranger et tout faire niquel. Comme j'suis folle, je prends tout en photo: la porte fenêtre fermée, les multi prise bien éteintes, l'eau coupée, la porte fermée (ça me permet de pas angoisser pour rien). J'arrive à partir pour le train en avance j'suis contente, puis, sur le chemin, le premier tiers je pense, j'ai une pensée intrusive : "dis meuf tes sûre de pas avoir laissé le gaz allumé par hasard ? T'sais que tout pourrait exploser et t'aurais aucune assurance parce que ce serait juste de ta faute grosse merde, va voir". Après réflexion je cède. Je cours à mon appart. Et ce n'est que dans l'ascenseur que j'ai réalisé 2 choses:
j'ai des plaques à induction
jvais rater mon train
Voilà. Jen peux plus.
12 notes · View notes
lepalaisdeslarmes · 10 months
Text
Tout ce qui venait de se passer, c'était son monde. Il n'avait connu que ça et pourtant, Alexander sentait le poids sur ses épaules lors de ce genre d'événements. Alors, une fois dans votre cocon, il souffla... Enfin, avant que tu ne l'embrasses. Le futur roi avait alors répondu avant que tu ne te détaches. Ta question le fit sourire. Il vint alors embrasser ton front. - Je suis content d'être à la maison. Mais, également que tu aies pu rencontré Granny. C'était important pour moi. Je suis fier de toi tu sais. C'est toi, mon plus beau cadeau d'anniversaire. Il t'adressa un doux sourire. - Et toi, tu te sens comment? Il prit délicatement ton visage entre tes mains. - J'ai hâte de savoir ce que tu m'as préparé ce soir... Et d'enlever ta robe qui te va si bien. Il te fit un clin d'oeil.
Comment se sentait-elle ? Alice n'était pas certaine. Si, elle était contente d'avoir fait connaissance avec d'autres membres de ta famille, elle était également un peu paniquée. Impossible de ne pas sentir cette pression sur tes épaules. - Je crois que ça va. Mais à tes mots, son sourire s'étira. - Oh serais-tu en train de sous-entendre que je suis mieux sans vêtements ? La brune étouffa un rire avant de passer ses bras autour de toi.
18 notes · View notes
tournesolaire · 8 months
Text
J'ai hâte d'être avec pops, je vais lui demander si je peux venir dès cet aprem
J'ai envie qu'on se retourne le crâne
J'espère qu'il y a encore du poppers
J'espère qu'on va finir la soirée comme des shlags dans la douche comme avant
J'ai l'impression de revenir en arrière, de revenir à mes 16/17 ans, à utiliser la drogue comme exutoire pour faire taire ma tête
Je vais peut-être essayer de choper un tata ce soir ça me ferait peut-être du bien
3 notes · View notes
sofya-fanfics · 2 years
Text
Les bonbons d’Halloween
Tumblr media
Joyeux Halloween !
Voici ma participation pour le Flufftober 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lucy ouvrit la porte du réfrigérateur et y sortit un plat qu'elle posa sur la table. Les bonbons au chocolat d'Halloween qu'elle avait préparé étaient prêts. Elle sourit, fière du résultat. Elle avait fait plusieurs formes de chocolats. Des fantômes, des citrouilles, des chauves-souris. Elle en goûta un et ferma les yeux, heureuse.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@flufftober​​
AO3 / FF.NET
Lucy ouvrit la porte du réfrigérateur et y sortit un plat qu'elle posa sur la table. Les bonbons au chocolat d'Halloween qu'elle avait préparé étaient prêts. Elle sourit, fière du résultat. Elle avait fait plusieurs formes de chocolats. Des fantômes, des citrouilles, des chauves-souris. Elle en goûta un et ferma les yeux, heureuse. Elles les avaient réussi. Elle les mit dans un sachet, sortit de chez elle et se dirigea vers la guilde.
Les membres de la guilde avaient décidé d'organiser une soirée d'Halloween et Lucy s'était proposée de cuisiner les bonbons. Elle avait hâte d'être à ce soir. Elle avait même acheté son costume de sorcière depuis longtemps.
Tous les membres s'activaient à préparer la salle et chacun avait une tâche à accomplir. La décoration, la musique, les boissons. Lucy amena les bonbons à Mirajane, qui était dans la cuisine. En regardant tous les préparatifs, Lucy était sûre que cette soirée allait être magique.
******
La fête battait son plein. Tous dansaient, buvaient, s'amusaient. Les bonbons de Lucy régalaient tout le monde. Elle aurait dû être heureuse, pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'être triste. Natsu et Happy n'étaient pas encore rentrés de mission. Avant de partir, Natsu lui avait promis d'être revenu pour Halloween et Lucy savait qu'il ferait tout pour tenir sa promesse. Il allait bientôt arriver.
******
Lucy était rentrée chez elle. Finalement, elle ne s'était pas autant amusée qu'elle l'espérait. Natsu n'était pas revenu et sans lui, elle avait l'impression que la soirée d'Halloween n'était pas aussi amusante. Alors plutôt que de rester dans son coin, elle avait préféré rentrer.
Elle s'était démaquillée et avait enfilé son pyjamas. Elle s'assit dans le canapé avec un pot de glace dans les mains, qu'elle avait l'intention de dévorer en attendant qu'Halloween se termine.
Quelqu'un frappa à sa porte. Elle se leva du canapé et alla ouvrir. Elle écarquilla les yeux en découvrant Natsu. Il portait un grosse citrouille sur la tête en guise de déguisement et faisait une tête effrayante.
« Des bonbons ou un sort ! S'exclama-t-il. »
Mais Lucy était loin d'être terrorisée. Un immense sourire illumina son visage et elle se jeta dans ses bras. Natsu passa ses bras autour de sa taille et rit.
« Je t'avais promis de revenir pour Halloween. »
Lucy l'emmena jusqu'au salon et Natsu enleva la citrouille qu'il avait sur la tête. Il la posa sur la table basse et ils s'assirent dans le canapé.
« Regarde ce que j'ai ramené de la guilde. »
Il sortit de sa poche un sachet de chocolats d'Halloween et Lucy dut se retenir de rire.
« Quoi? Demanda Natsu, qui avait vu son sourire.
-C'est moi qui les ait cuisiné. »
Natsu ouvrit le sachet et prit un bonbon.
« Goûtons-les. Ce n'est pas vraiment Halloween s'il n'y a pas de bonbons. »
Il mit le bonbon dans sa bouche et l'avala.
« Délicieux ! S'exclama-t-il. »
Lucy rougit. Voir Natsu se régaler avec les bonbons qu’elle avait préparé la rendait heureuse. Il en prit un autre et tendit le sachet à Lucy pour qu'elle puisse en manger un.
Ce n'était pas la soirée qu'elle avait imaginé, mais elle avait été bien meilleur que tout ce qu'elle avait espéré.
Fin
11 notes · View notes
Text
Samedi 24 août 2024
Vachement Bien
Ca fait un bail que j'ai pas posté. Il s'est passé plein de trucs pas toujours marrants et ne sachant pas trop comment les traiter j'ai repoussé plusieurs fois l'échéance, jusqu'à ce soir où j'ai enfin réussi à m'installer sur le lit, le pc sur moi, un bon cd en fond.
L'autre fois, ça fait bien 15 jours ou plus, j'ai réussi à convaincre mon frère à aller avec moi au cinéma, un soir. Ca s'est bien passé et après la séance nous avons mangé, je lui ai payé un burger et nous avons mangés dans la rue tels des vulgaires punks à chien. Mais peu importe, c'était une soirée exquise. Je suis revenu en taxi, ça m'a coûté pas mal de pognon. Je m'en fous, une belle soirée avec mon frère, ça n'a pas de prix.
En parlant de mon frère, vous ai-je déjà parlé de sa boutique de disques ? A l'heure où j'écris ces lignes, elle est quasiment prête, elle devrait ouvrir dans deux ou trois semaines. Ca s'appelle « Vachement Bien » (clin d'oeil à Gilbert, le boss de Spliff qui a employé mon frère pendant plus d'une décennie) et ça risque d'être, effectivement, vachement bien. C'est pas une simple boutique de disque, c'est un endroit où on pourra boire un café ou une autre boisson, bien installé, et on trouvera même des bouquins (sur la musique, naturellement).
Vous remarquerez que je ne cause jamais politique, ici. C'est normal, je déteste la politique et suis une personne totalement désengagée. Il s'est passé des tas de trucs ces derniers mois mais, si vous me lisez en 2100, chers petits neveux, je vous conseille d'ouvrir un livre d'Histoire pour savoir ce qu'il s'est passé de ce côté là.
Je n'arrête pas de lire, je dépense des fortunes en bouquins, je crois que je claque chaque mois de quoi me payer de beaux voyages, en livres, et à ce stade là j'ai totalement accepté le fait que j'étais une personne addict et un acheteur compulsif. Je me console en me disant qu'au moins, contrairement à d'autres, je ne claque pas tout en drogue et en alcool.
Je me suis beaucoup intéressé aux auteurs beats récemment, notamment William Burroughs, en lisant plusieurs ouvrages sur le sujet.
J'ai lu un super ouvrage qui parle du beat hotel, lieu parisien dans lequel ont vécu pendant quelques années Ginsberg, Burroughs et d'autres types de cette mouvance. Aujourd'hui, l'hôtel n'existe plus mais je ne pourrais m'empêcher d'aller voir l'endroit lors de mon prochain passage à Paris, en plus c'est près de Saint Michel, l'endroit où j'atterris invariablement lorsque je suis livré à moi même dans la capitale.
J'ai lu plusieurs autres ouvrages de Barry Miles qui est un de mes auteurs préférés et qui a fréquenté tous ces gens là. Et puis j'ai lu Junky de Burroughs, qui n'a pas réussi à me rendre attractive l'idée de prendre de l'héroïne (encore raté!).
Là, j'enchaîne avec un autre ouvrage de Barry Miles qui raconte toute l'histoire du Londres underground depuis la fin de la seconde guerre mondiale, ça ne manque pas de me passionner et je dévore les 800 pages avec un plaisir immense. Pour les curieux, j'ai écris sur slowshow.fr une review du livre « In The Sixties » de Barry Miles : http://www.slowshow.fr/barry-miles-in-the-60s/
Ah, il faudrait tellement que je lise plus de fiction ! Je n'y arrive pas, à chaque fois, le bouquin me tombe des mains parce que je n'ai qu'une hâte c'est de dévorer mes ouvrages biographiques... lamentable, je n'ai aucune volonté... il y a pourtant des bons romans qui m'attendent, comme par exemple Le Portrait De Dorian Gray qui se trouve quelque par chez moi et qui attend d'être lu depuis des mois...
L'autre jour, sur Tumblr, j'ai constaté non sans un certain plaisir qu'un internaute avait rebloggé un de mes posts. Je me suis tout de suite abonné à son propre blog et en le lisant j'ai découvert que cette personne (dont je ne connais même pas le sexe, mais il me semble que c'est un mec) écrivait aussi sur son quotidien et qu'elle était, en plus, clermontoise. Je n'ai pu m'empêcher de le contacter, je suis curieux, mais nous n'avons finalement pas beaucoup échangés, peut être que j'en saurai plus dans les mois à venir, qui sait...
Mon père n'est plus à la maison depuis des jours, il a été hospitalisé et son état est plutôt inquiétant, c'est difficile de le voir à l'hôpital, complètement à l'ouest, très maigre et incapable de marcher. Je lui ai acheté de la lecture, et un jeu électronique, pour égayer ses journées qui doivent être interminables. Je n'ai aucune idée de quand je le reverrai à la maison. Après des jours de questionnements, j'ai appris qu'il avait une cirrhose. Tout ça me tracasse pas mal, en attendant, me voici seul avec ma mère dans l'appartement. Ce n'est pas un mal, nous nous entendons très bien.
J'allais oublier de vous en parler mais il y a quelques jours, j'ai rencontrée un vieille amie. Encore une pote que j'aurais rencontrée sur un site de rencontre. Nous nous étions connus il y a une douzaine d'années, retrouvés il y a deux ans et là, il se trouve qu'elle passait par Clermont (c'est une baroudeuse) alors nous en avons profité pour nous voir. C'était une soirée sympa, et aucun de nous deux était dans la séduction. De plus, nous sommes deux être très différents. Mais belle soirée quand même.
J'ai réservé un airbnb pour Paris au début du mois d'octobre, j'y passerai deux nuits et ce sera je l'espère l'occasion pour moi de croiser mes potes parisiens. Il faut que j'arrive à trouver un créneau pour rencontrer toutes les personnes que j'ai envie de rencontrer, ça va pas être facile. Je tiens aussi à voir mon cousin Jimmy.
Bon, je crois que j'ai réussi à écrire à peu près tout ce que j'avais en tête.
Ce n'était pas mon récit le plus passionnant, pas de sexe (jamais de sexe ici, parce que non seulement je baise plus depuis bientôt un an et SURTOUT parce que des gens de ma famille me lisent), pas de voyages, pas même une once de romance... pour ça, je continue d'errer sur Tinder, j'ai même chopé un pass platinium qui m'a permis de matcher avec pas mal de filles, je dirais, une quinzaine de matchs, à mon niveau, c'est énorme (je vous rappelle que je suis laid). Beaucoup de femmes plus âgées que moi mais, où ça va me mener ? Elles sont pour la plupart déçues quand elles comprennent que je ne vis pas dans la même ville qu'elles et elles perdent alors tout intérêt pour mon profil... bah, fuck l'amour. Et j'irai même pas aux putes, ma libido est niquée de toutes façons.
Sur ce, bonsoir, merci de me lire et à la prochaine !
Bande son : Now Then : The Very Best Of, Richard Hawley
1 note · View note
waiting-baby-meliflo · 9 months
Text
Florent, 25 décembre 2024 : tout est parfait, comme toujours
Quand nous nous sommes rencontrés, je ne savais pas trop ce que je cherchais. L'amour, peut-être. De cette manière ? absolument pas. Je t'ai fui, par crainte d'être déçue, et puis, tu étais toujours là. Tu as toujours été doux et patient, attentionné, et j'ai senti mon cœur s'ouvrir à toi, comme une évidence, comme si nous nous étions toujours connus, juste un peu perdus de vue.
Je crois que j'avais peur du bonheur aussi. Et en pensant à toi, j'ai réalisé que tu y avais droit, toi aussi. Nous avons tous les deux droit à rire jusqu'à en avoir mal au ventre, jusqu'à en avoir les larmes aux yeux. Le droit de nous endormir, l'un contre l'autre et avoir hâte de se réveiller dans le même lit, les cheveux en bataille, les yeux à peine ouverts, la voix craquelée.
Si tu le veux, mon amour, associons-nous, devenons partenaires de vie, affrontons les obstacles ensemble, créons de belles choses tous les deux (pas que les jumelles), mettons au monde nos projets, embrassons-nous chaque matin, chaque soir. Vivons un bonheur simple.
Avec toi, depuis toi, je suis calme, je renais, je me sens vivante, complète. Et si tu savais ô combien je te le souhaite, avec ou sans moi.
Je veux pouvoir t'encourager dans la poursuite et la réalisation de tes rêves, quelle que soit la tournure de notre relation. Je souhaite célébrer chacune de tes victoires. Je te souhaite le meilleur, rien de moins, rien de plus. Permets-moi de t'aider à devenir la meilleur version de toi-même.
Je t'écris aussi pour te remercier, pour remercier l'Univers, le destin d'avoir permis la rencontre de nos chemins.
Je vis chaque jour comme le dernier de "nous", et à chaque fois, j'en suis heureuse et reconnaissante. Je ne regrette rien, absolument rien.
Tout est parfait, comme toujours.
Merci mon amour.
------------ Oloron-Sainte-Marie, 13:28 remise le 15 février 2024, lue le 24 mars 2024
0 notes
Text
Huilo Huilo, le Disneyland de la nature
Hola todos,
On en rêvait, on l'a fait : la réserve naturelle de Huilo Huilo. Ce lieu encensé par beaucoup de chiliens est une immense réserve naturelle située à une heure de Panguipulli, dont seule une infime partie est accessible. Surplombée par deux hôtels 5 étoiles à l'architecture très originale, cette réserve m'a laissé un goût un peu amer en bouche.
Tumblr media Tumblr media
(Cette deuxième photo n'est pas de moi car l'hôtel en bois n'était pas accessible sans réservation, mais c'est pour vous donner une idée des deux bâtiments).
Depuis mon séjour à Santiago j'attendais avec impatience de pouvoir aller à Huilo Huilo, on ne m'en avait dit que du bien. En arrivant sur place nous nous sommes donc empressés de prendre le "full pack Chucao", permettant d'avoir un accès à toutes les entrées du parc sur 5 jours.
Le 1er jour était le meilleur. Nous sommes entrés par le "portal Huilo Huilo", en route pour la plus longue de toutes les randonnées que nous avons fait dans le parc. Le sentier, bien que très aménagé, nous a guidé au milieu d'une forêt assez sauvage (même si déforestée par des canalisations et chemins touristiques à certains endroits). Nous avons pu observer de très jolies cascades et nous promener sans croiser trop de monde. C'était très agréable. Rien à voir avec la folie du glacier de Villarrica, mais très plaisant tout de même.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Les jours suivants n'ont malheureusement pas étés à la hauteur du premier. Nous avons fait deux autres portals : "La Leona" et "Cuevas volcánicas" (cette dernière étant la préférée des employés du parc). Nous nous sommes alors retrouvés dans de courtes balades (1h maximum), REMPLIES de touristes, amenant à une grotte volcanique, une cascade sous laquelle les visiteurs pouvaient passer et un mirador donnant sur une dernière cascade.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Premier gros point noir : les déchets. J'ai été effarée de constater qu'au pied du mirador de la dernière cascade se trouvait un amas de canettes de sodas, de bouteilles en plastique et de mégots de cigarettes. Nous avons aussi croisé quelques déchets sur les autres sentiers, mais cet endroit était le pire. Les touristes n'ont clairement aucun respect pour le lieu, malgré les multiples panneaux incitants à emporter ses poubelles avec soi.
Deuxième problème : la sensation d'être à Disneyland. Pour passer sous la cascade, par exemple, il fallait patienter derrière une longue file de personnes. D'un côté il y avait les visiteurs qui passaient sous l'eau, de l'autre les photographes prenant des vidéos de leurs amis trempés et hilares. Rien de sauvage, rien de grandiose. Pour accéder au mirador et observer la seconde cascade, il fallait également se frayer un chemin entre les multiples personnes se prenant en selfie devant l'eau qui coule. On était loin de mon imagination qui rêvait d'un petit instant randonnée et déconnexion.
Bref. Huilo Huilo très sympa sur les longues randonnées qui découragent sûrement les touristes venus uniquement pour leurs photos Instagram. Très intéressant sur les courtes promenades amenant aux attractions touristiques et polluées.
Le seul point positif de tout ça est que nous avons dormi deux soirs de suite sur un même spot où nous avons rencontré une adorable petite chienne qui est revenue nous voir tous les jours. On a failli craquer et la kidnapper !
Tumblr media
J'ai hâte des prochaines randonnées qui seront, je le sais, bien plus sauvages !
On est en route pour Valdivia pour voir un peu la mer, aller faire de la voile et trouver un garage pour graver notre plaque d'immatriculation sur nos vitres (une nouvelle loi chilienne étrange). Puis nous filons vers Puerto Montt dès vendredi !
Je vous tiens au courant.
Besitos,
Luna.
0 notes
nereidofthesoul · 8 months
Text
December 1st, 2023
December hits us, finally. T'es pas encore liberée de l'école mais regarde nous, finalement, on est déjà ensemble donc c'est ça de gagner, right ? On se lève tous les deux, par contre, qu'est-ce que je suis fatigué. J'ai dûment porter moi-même la poisse mais c'est difficile de me remettre de mon voyage, c'est sûrement normal mais j'en veux quand même à mon corps car j'ai l'impression de ne pas pouvoir profiter de toi comme je le voudrai véritablement. Allez, on doit summoned la pensée positive pour que cela marche, its the key after all, right ? Que la journée passe vite, j'ai tellement hâte d'être avec toi ce soir, même en étant un peu un zombie. I need it, so really bad
0 notes
e642 · 10 months
Text
Je suis assise dans le froid à 200km de Nice, j'ai perdu mon briquet et je surveille la sœur (+ sa copine) de mon mec pendant que lui joue au basket. Cette description serait parfaite si je voulais réellement gâcher mes dimanches de cette sorte. Je me sens soudainement abattue et insatisfaite. J'essaie de faire le chemin en sens inverse dans ma tête pour réussir à cibler quand et où ça a dérapé, comment j'en suis arrivée là. J'ai une pulsion de suicide à la seconde. Sans rire. Je me sens présentement pas du tout à ma place et effrayée de le rester encore des années. Tellement de gens regrettent leur vie à 50 piges et je commence à bien comprendre. C'est via tous ces petits choix de merde qu'on continue à s'enliser dans tout ce qu'on déteste. Je vois tous ces gosses de 10 ans pas plus dans ce parc et ça me déprime. Tous en train de se faire des scolioses à force de baisser la tête pour regarder leur merde de téléphone. Avec du recul, j'aurais donné cher pour me préserver de ça encore quelques années. C'est en train de nous bouffer et fatalement de les bouffer. C'est au travers de réflexions comme ça, de prises de conscience que je réalise qu'il n'y a rien à envier au futur. Je sais pas pourquoi je pense à tout ça soudainement mais c'est récurrent. Je déborde de dégoût, toujours plus apte à détester et mépriser ce qui m'entoure. Je suis comme tous les gens qui me débectent pourtant. Je ne suis pas différente. J'alimente ce monde de ma chaire putride. Je n'ai pas hâte d'être ce soir, confinée dans son 15m carré le voyant incapable de ne regarder aucun écran et incapable de me regarder surtout. Je suis lasse des scénarios sans cesse se répétant. Je mettrai également 5h à m'endormir avec 2 Xanax. Puis je me lèverai tôt. Je stresserai -par politesse- de rater mon train. Puis 2h plus tard avec +/- 15 min de retard j'arriverai en gare de Nice. Le tram sera bondé, les insultes et les invitations déguisées de viol pleuvront. Je me rendrai en cours pour entraver que dalle, échanger des banalités avec 3 personnes alors qu'on en a tous respectivement rien à foutre de la vie des autres. Puis je rentrerai, je m'en voudrais d'avoir laissé des produits se perdre dans mon frigo, je ferai une crise de boulimie, je me gratterai au sang, puis j'irai me coucher vide. Sans oublier l'appel à mes parents passé juste pour leur délivrer leur dose quotidienne de mensonges.
9 notes · View notes
rimsno · 9 months
Text
06/01/2024
J'écris ces lignes au coin du feu, une tasse de thé fumante près de moi et une joli musique lofi dans les oreilles, de quoi apprécier cette fin de première semaine de 2024.
Je devais aller voir mon frère ce soir mais j'avais la flemme de faire une heure de route. J'ai vu Lucie et ça m'a fait du bien même si c'est un peu bizarre. Chaque amitié est différente mais je crois que celle que j'ai avec Lucie l'est encore plus des autres. Nous sommes amis mais nous avons toutes les deux tellement changés que des fois je n'ose pas dire des choses et la conversation n'est pas toujours fluide, un peu comme un date foireux avec quelqu'un que tu ne connais pas bien. C'est quand même agréable de se voir. C'est la seule personne à qui je peux envoyer mes scripts et mes histoires et qui ne me jugera pas. Elle me fera des retours honnêtes et nécessaires et c'est parfait comme ça.
J'ai un peu hâte de rentrer à Bordeaux mais je n'ai pas hâte de quitter ma famille. J'ai un peu l'impression d'être dans une bulle ici. Protégée du monde extérieur. Alors c'est normal d'avoir un peu peur.
Mes parents sont sortis manger chez des amis. Papa avait pas l'air content de me laisser seule – je crois qu'on est tous les deux traumas par une soirée où j'avais très mal vécu ma solitude dans cette grande maison – mais je lui ai dis que je préférais ça comme ça. Je me sens un peu malade, j'ai mal à la gorge et puis j'ai vomis cette nuit, je sais pas si c'est la fondue ou une maladie. Dans tous les cas j'en ai remangé ce soir et si ça ne va pas et bien je saurai d'où ça vient. Ma gorge me fait vraiment mal et Gab a 40 de fièvres apparemment, j'espère que j'ai pas récupéré son virus ou je ne sais quoi. J'ai vraiment pas envie de rentrer avec une maladie sur les épaules. C'est encore la tempête dehors.
1 note · View note
tournesolaire · 2 months
Text
J'ai fini par m'habituer à son absence
Pour être tout à fait honnête j'ai même commencé à éprouver une sorte de mépris envers lui
Ce soir je compte sortir à la barge alors c'est prévu que je reste peut-être dormir à l'appartement mais j'ai quand même pris les clés de chez mamie au cas où
Quand je suis arrivée à l'appartement tout à l'heure j'ai pleuré
C'était un genre de craquage, pas de la tristesse
Je suis arrivée dans cet appartement, il n'y avait qu'Anubis et moi, et j'ai laissé toute la négativité accumulée de la journée monter en moi
J'ai vu une bêtise dans la salle bain, l'état de l'appartement et ça a été la goutte de trop, j'ai craqué et j'ai pleuré
Je me suis rendu compte aussi qu'il n'y avait plus rien à fumer et étrangement, ce sentiment de la dernière fois est réapparu
Je n'ai pas vu l'intérêt de rester ici si je ne pouvais même pas m'envoler
Je sais que ce n'est pas sain, mais j'ai remarqué cette pensée
Finalement est-ce qu'un jour je me suis sentie vraiment bien ici ? Sans substances je veux dire, est-ce qu'une seule fois j'ai réussi à me sentir "à la maison", à l'aise et libre d'être moi même sans prendre de drogue dans cet appartement et avec lui ?
Est-ce qu'une seule fois j'ai réussi à me sentir suffisamment à l'aise et en confiance sans substances pour lui montrer qui je suis vraiment ? Pour vivre et ressentir mes émotions sincères au lieu de les ignorer et de les apaiser synthétiquement ?
La réponse est non
Je n'ai même pas hâte qu'il rentre
Peut-être bien pas même envie de le voir
J'ai encore pas mal d'affaires à récupérer ; d'ailleurs après avoir discuté avec Loane j'ai réfléchi un peu et décidé qu'elle avait raison: je vais récupérer la télé parce qu'après tout c'est moi qui l'ai acheté, j'ai sacrifié une part énorme de mes économies alors que je ne voulais pas le faire, j'ai dépensé cet argent qui ne m'a jamais été remboursé alors jusqu'à preuve du contraire cette télé m'appartient
Je dois aussi récupérer mes vinyles, ma platine, mon électroménager, du linge de maison (serviette, draps etc), des ustensiles de cuisine etc, ça va prendre beaucoup de place dans ma voiture j'espère que je pourrai le fait en 1 seul aller-retour (Loane veut aussi que je récupère sa veste)
Demain ou après demain il faut que j'appelle EDF pour résilier le contrat, j'en ai marre d'attendre désespérément "le bon moment" parce qu'il n'arrivera jamais
Et une fois que tout ça sera fait
Une fois que je n'aurai plus aucun lien qui m'attache à lui (j'aurais bien aimé récupérer les quasi 1100€ qu'il me doit mais je doute que ça arrive un jour alors tant pis)
Alors
Je le confronterai
J'attends vraiment d'avoir tout récupéré parce que je sais ce qu'il va se passer ensuite
Il va avoir peur
Il va se sentir piégé alors il va fuir
Peut-être qu'il déménagera chez sa mère, et si ce n'est pas le cas alors ce sera une autre ville, peut-être Perpignan
Il va partir vite pour ne pas avoir à affronter la réalité
Il va avoir l'impression que "le monde se ligue contre lui" comme ça s'est passé avec les histoires avec Lilou, Sacha, etc (je pense que je vais chercher le fin mot de l'histoire d'ailleurs)
Mais j'ai envie de le faire, j'ai envie de le mettre face à ses mensonges
J'ai tellement hâte de voir son visage quand je lui dirai que je sais pour l'histoire des loyers impayés de Sens, que je sais que l'histoire du tribunal pour "entrée par effraction" et le reste c'est un mensonge pour couvrir la vraie raison qui paraît si nulle, des putains de loyers impayés
J'ai hâte de voir sa réaction quand je lui expliquerais ma "théorie", quand je lui dirai que je suis sûre qu'il a dit ça parce que c'était le justificatif parfait pour expliquer que "non impossible que j'ai pu faire ça, regardez je m'implique dans la lutte contre ça au risque de faire de la prison"
J'ai hâte mais j'ai peut-être un peu peur aussi
Je crois que je sais pas comment il peut vraiment réagir s'il s'énerve et ça me fait un peu peur
J'ai hâte que tout ça soit terminé
1 note · View note
christophe76460 · 10 months
Text
Tumblr media
Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°432023)
Dimanche, 19 novembre 2023
"Recommande à l'Éternel tes oeuvres, Et tes projets réussiront."
Proverbes 16,3 (Segond 1910)
La prière de l'artisan
"Apprends-moi, Seigneur,
à bien user du temps que tu me donnes pour travailler
et à bien l’employer sans rien en perdre.
Apprends-moi à tirer profit des erreurs passées
sans tomber dans le scrupule qui ronge.
Apprends-moi à prévoir le plan sans me tourmenter,
à imaginer l’œuvre sans me désoler si elle jaillit autrement.
Apprends-moi à unir la hâte et la lenteur,
la sérénité et la ferveur,
le zèle et la paix.
Aide-moi au départ de l’ouvrage,
là où je suis le plus faible.
Aide-moi au cœur du labeur
à tenir serré le fil de l’attention.
Et surtout comble Toi-même les vides de mon œuvre.
Seigneur, dans tout labeur de mes mains
laisse une grâce de Toi pour parler aux autres
et un défaut de moi pour me parler à moi-même.
Garde en moi l’espérance de la perfection,
sans quoi je perdrais cœur.
Garde-moi dans l’impuissance de la perfection,
sans quoi je me perdrais d’orgueil.
Purifie mon regard :
quand je fais mal,
il n’est pas sûr que ce soit mal
et quand je fais bien,
il n’est pas sûr que ce soit bien.
Seigneur, ne me laisse jamais oublier que tout savoir est vain.
Et que tout travail est vide sauf là où il y a amour.
Et que tout amour est creux qui ne me lie pas
à moi-même et aux autres et à Toi.
Seigneur, enseigne-moi à prier avec mes mains,
mes bras et toutes mes forces.
Rappelle-moi que l’ouvrage de ma main t’appartient
et qu’il m’appartient de te le rendre en le donnant.
Que si je fais par goût du profit,
comme un fruit oublié
je pourrirai à l’automne.
Que si je fais pour plaire aux autres,
comme la fleur de l’herbe
je fanerai au soir.
Mais si je fais pour l’amour du bien
je demeurerai dans le bien.
Et le temps de faire bien et à ta gloire,
c’est tout de suite. Amen"
Mon ami(e), aujourd'hui, je t'invite à prendre du temps pour méditer chacun des vers de cette prière et à diriger tes activités d'après la sagesse qui en ressort. "Confie au SEIGNEUR ce que tu fais, et tes projets se réaliseront"(Verset du jour).
Amen !
Merci d'être fidèle !
Kwami Pétro
Fidèle ami(e), rejoignez la Communauté Terre Fertile sur Telegram par le lien https://t.me/+TTkxyyXzWvMKxYXo et sur le site fructifietestalents.org
Contacts:
https://wa.me/22897828364
https://wa.me/22891641103
©Copyright 2023
@Terrefertilecorporation
0 notes
justeunlama · 11 months
Text
Je t'aime tellement.
Ça en devient ridicule je te le dis tout le temps et tout les jours la même chose. A en croire presque que ces mots son devenu tellement d'une banalité sans nom. Mais pourtant entre le dire et le penser ou ressentir ce que je ressens quand je pense a toi ou autre c'est tellement différent.
Même si ces mots résonnent a tes oreilles a longueur de journée et peuvent sans doute perdre de leur sens a force. Je vais te dire la même chose avec d'autres mots.
Chaques matins je me réveille et espère un message de toi, et chaques soir j'attends mon message du soir quand nous ne sommes pas ensemble.
A chaques messages que je reçois de toi, mon coeur sursaute.
Et lorsque je sais que je vais te voir... Haha je transpire des mains je suis stressée mais un bon stresse, ou encore stressée de qu'elle impression je pourrais te faire.. un stress de" ça fait longtemps que je ne l'ai pas vue, j'ai hâte" . Et quand je te vois apparaître ça y est mon coeur fait un saut dans ma poitrine et il continue a battre la chamade.
Quand je suis a tes côtés je me sens bien, a ma place et peut importe ce que l'on fait.
Te regarder est devenu ma nouvelle passion, je te trouve tellement belle, t'es cheveux tri color, ta bouche pulpeuse, tes yeux ébène, ta poitrine aussi généreuse que charnue, t'es courbes si parfaite pour moi, t'es un peu ma Vénus callipyge 😉
Je t'aime pour tout ce que tu n'aimes pas en toi et chez toi. Et je t'aime pour qui tu es et ce que tu es, ce que tu représentes et ce que tu arrives à apporter aux gens qui t'entourent. Tu es d'une beauté a tout point de vue . Et jamais je ne me laisserai de regarder ce sourire qui continue a me charmer au fur et à mesure des jours qui passent.
J'aime la chaleur que tu peux apporter à ma vie. Une chaleur réconfortante, un peu comme un rayon de soleil a 14h en hiver, ou malgré le froid et les zones d'ombres des bâtiments autour, une fois qu on est sous ce soleil, les rayons commencent à réchauffer notre peau notre corps et notre âme. Et d'un coup même si la journée n'a pas été bonne ou que la vie est triste et que malgré tout ce qui peut se passer, nos sentiments,nos états d'âme, nos ressentis.... On a chaud au cœur. Tu es mon rayon de soleil.
Je t'aime et tu es une personne forte qui mérites une belle vie. Une vie comme toi tu veux, pour toi et uniquement pour toi et pas pour les autres. T'es une femme extraordinaire qui a force de vouloir faire plaisir aux autres tu ne t'écoutes pas tu te laisse sur le côté. Et j'ai envie d'être là pour toi et au mieux pour prendre soin de toi ( oui on commence les phrases de canard) j'ai envie d'être là le soir quand tu rentres du taff, quand t'as passé une journée de fou et que t'as besoin de juste un bon repas ( pas de crumbl salé) et une soirée tranquille. J'ai envie d'être là dans tes moments de doutes, tes peurs, t'es moments où rien ne va. J'ai envie d'être cette personne a qui tu peux te confier, parler . Et j'aimerais être celle qui puisse recevoir toutes ces infos et trouver les mots justes pour que tu ailles mieux. J'aimerais tout ça.
J'ai aussi envie d'être là quand tout va bien, que les beaux jours pointent le bout de leur nez. Que les chaudes journées ne finissent pas. Que les matins câlins durent des heures voir des journées entières. Et que les soirées ou juste toi et moi puissions nous retrouver tête a tête et penser à notre vie jusqu'au petit matin.
J'ai envie de faire l'amour avec toi partout, j'ai envie de te donner comme tu le donne. J'ai encore envie que tu m'aguiches avec tes yeux qui me font fondre et qui me transperce, qui ont tellement de choses à dire sans même que tu parles. Qui dise a haute voix ce que tu penses au plus profond de toi, tes yeux inquiet, endormi,pleins de désir, des yeux qui sont chauds comme la braise.
Je t'aime simplement, purement, j'ai envie de plus avec toi, mais ça me fait toujours un peu peur mais plus le temps passe et plus je suis bien avec toi, a tes côtés et peut importe ce qui se passe autour, tout n'est que secondaire, et tu deviens ma priorité.
Je t'aime 💚💙
1 note · View note
journaldenimportequi · 8 months
Text
Samedi 3 février 2024
Du blues et un cousin
Premier récit de l'année, et j'ai attendu d'être en février pour m'y mettre : décidément la procrastination a de beaux jours devant elle...
Mon quotidien n'a pas changé en cette nouvelle année et ce sont toujours mes lectures qui dominent ma vie et mes humeurs, et heureusement, j'en ai de bonnes, des lectures, ces jours ci.
Pour trouver des idées d'ouvrages à lire c'est toute une histoire, toute une aventure, je vais de thème en thème... l'an dernier j'étais dans les bouquins sur l'art, ça m'a entraîné à lire des livres sur les collectionneurs d'art et c'est comme ça que j'ai fini par acheter un livre de Maurice Rheims, un célèbre commissaire priseur académicien... alors j'apprends, et d'ouvrage en ouvrage, des noms reviennent et finissent par me devenir familiers, ainsi par exemple je découvre l'existence de Calouste Gulbenkian, personnage qui m'a l'air important dans l'histoire des collectionneurs d'art, voilà une piste à creuser...
L'autre soir, je suis allé voir mon premier concert de l'année, en compagnie de Justine, son frère Arthur et Olivier qui nous a rejoint (je ne l'avais plus croisé irl depuis des lustres).
C'était le concert d'un bluesman nommé Robert Finley. Le jeune homme qui faisait la première partie chantait lui aussi du blues mais en mode plus dépouillé, façon un mec une voix une guitare. Le mec en question, nommé Nate Myers, avait un accent à couper au couteau et quand il parlait entre deux chansons je ne comprenais qu'un mot sur dix. J'ai pensé qu'il avait bien du courage, de jouer du blues comme ça, à l'ancienne, en 2024, parce que c'était vraiment pas la meilleure manière de trouver le succès, mais je pense qu'il chante pour l'amour du blues, de toutes façons, pas pour rencontrer le succès. Parce que de nos jours, pour vendre des millions de disques avec du blues il faut s'appeler les Rolling Stones.
Après ça, Robert Finley a fait son apparition. Vieil homme, presque aveugle, il était guidé par sa fille qui tenait aussi le rôle de choriste. Son groupe (des jeunes blancs) était au top et son set fut généreux. Quant à moi, j'ai souffert physiquement et j'ai terminé le concert assis contre un mur mais ce fut tout de même une bonne soirée.
Quelques jours après ça nous avons reçu mon cousin Jimmy à la maison. Nous étions tous heureux de le recevoir, et mes parents ne l'avaient pas vu depuis 10 ans déjà.
Il est resté peu de temps et à passé la nuit chez nous, dormant à côté de mon lit : je crois que ça faisait littéralement 30 ans qu'on avait pas partagé un toit lui et moi.
Nous avons passé notre temps à échanger des souvenirs, mon cousin étant aussi nostalgique que moi. Nous avons bien rigolé en évoquant le pépé, la mémé et les années 90.
Je recroiserai probablement Jimmy dans quelques jours puisque je me rendrai à Paris bientôt pour y passer quatre jours et trois nuits. J'ai hâte, Paris me manque toujours beaucoup et j'ai l'espoir d'y croiser quelques personnes qui sont chères à mon cœur.
La semaine dernière j'ai terminé l'autobiographie de Jacques Dutronc qui était aussi courte qu'intéressante, et j'ai enchaîné avec un livre signé Robert McAlmon qui parle du Montparnasse des années folles. J'adore ces récits là, le Paris de l'entre deux guerres est définitivement un de mes lieux et une de mes périodes préférées.
Qu'écrire de plus ? L'autre jour, j'ai rencontré L. dans un café en face de la gare de Clermont-Ferrand. Nous nous y rencontrions pour la première fois et ça s'est plutôt bien passé, nous avons discuté pendant plus de deux heures, sans voir le temps passer, avant de devoir nous quitter parce qu'elle avait un train à prendre.
J'espère bien la revoir.
Oh, et je vous ai déjà parlé de ma nouvelle passion pour Dua Lipa ? Je n'ose pas trop le dire parce que c'est vraiment pas en accord avec ma culture rock'n'roll mais, que voulez vous, je ne résiste pas à une bonne chanson pop et l'album de Dua Lipa en est truffé.
Je vous laisse sur cette confession, à bientôt !
Bande son : Future Nostalgia, Dua Lipa
0 notes