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#haie arbustive
scydiahs · 1 year
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Contemporary Pool in Corsica Ideas for a large, modern backyard remodel with a rectangular lap pool house
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spotjardin · 20 days
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L'aronia
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Jardiner Malin
présentation
L'aronia est un arbuste buissonnant qui est cultivés essentiellement pour leurs jolies couleurs automnale ainsi que pour les baies rouges luisant ou noires qui sont comestibles. Sa hauteur va de 1m50 pour les plus petits sujets à 2m50 voire un peu plus pour les plus grands. Il fait partie de la famille des rosacées tout comme le pommier qui compte 3 espèces originaires du continent Nord-Américain. Il s'agit d'une plante autofertile. Il est donc inutile d'en cultiver plusieurs pour avoir une bonne fructification. On l'appelle également Aronie. Vous pouvez l'utiliser en massif, en isolé ou bien encore en haie en le cultivant par 3 à 6 sujets de la même variété. Il peut également se cultiver en pot à condition que son contenant fassent 60 centimètres de profondeur minimum. Il a une rapidité de croissance moyenne. Sa floraison intervient en mai / juin et dure un mois environ. La plante se pare de fleurs rosées ou blanches. L'aronia est un arbuste très rustique puisqu'il peut supporter des températures, suivant l'espèce cultivée, allant de -28 à -35°.
culture
L'aronia a une préférence d'exposition plein soleil car ses couleurs sont plus éclatantes et sa floraison est plus abondante. Toutefois, il a la capacité de pouvoir se développer à mi-ombre. Il n'est pas exigeant sur la nature du sol, s'il n'est pas trop calcaire. Il apprécie ceux qui sont légèrement calcaires. Vous devez le planter à la saison automnale d'octobre à décembre ou bien à la saison printanière de mars à avril. En règle générale, vous le trouverez en conteneur. Si vous avez l'intention d'en cultiver en grande quantité, vous pouvez chez certains pépiniéristes, le trouver à racines nues. Dans ce cas, préférez la saison hivernale pour sa plantation. Sa reprise ne sera que meilleure. Faites-lui un apports de compost bien décomposé ou du bien terreau. Mais cela n'est pas obligatoire. Espacez chaque sujet d'un mètre minimum et prévoyez un espacement de 3/4 mètres entre chaque rang.
entretien
Amendez à la saison printanière avec un engrais naturel pour fruitiers voire avec du compost bien décomposé. Paillez-le afin de garder son pied au frais surtout pendant la saison estivale. Arrosez-le régulièrement en cas de fortes chaleurs longue durée. L'aronia doit se tailler en février / avril ou bien après sa floraison en juin. Pour cela, de temps en temps, je vous conseille de couper au 1/3 du vieux bois afin de stimuler les repousses. Aérez la plante de l'intérieur en supprimant le vieux bois et les tiges trop frêles. Cette opération doit s'effectuer à partir de la troisième année.
parasites & maladies
L'aronia est sensible à la larve de tenthrède comme celle du poirier ou du cerisier. En règle générale, cela ne nécessite aucun traitement particulier. Si toutefois, l'aronia est victime d'une importante invasion, effectuez un traitement insecticide à base de pyrèthre pendant une dizaine de jours. A priori, l'aronia est peu sensible au feu bactérien qui est une maladie cryptogamique qui est très présente dans la famille des Rosacées.
multiplication
L'aronia peut se multiplier par semis en ayant pris soin d'avoir récupéré des graines et conservées au frais. Semez-les à un centimètre de profondeur dans un substrat léger. La levée a lieu au bout de 8 à 12 semaines. L'aronia peut aussi se multiplier par division à la saison automnale grâce à ses rejets. Et pour terminer le bouturage est possible dans le courant du mois de juin ou bien en septembre/octobre. Pour cela, sélectionnez des tiges à l'extrémité de la plante encore vertes qui commencent juste à durcir. Les boutures sur bois aoûté sont également possibles.
association
L'aronia peut être associé avec le framboisier, le myrtillier, le groseillier, le cassissier, le pommier, le cerisier ornemental, le prunier et le chèvrefeuille arbustif. L'aronia peut être associé avec le framboisier, le myrtillier, le groseillier, le cassissier, le pommier, le cerisier ornemental, le prunier et le chèvrefeuille arbustif. https://spotjardin.fr/2022/05/17/le-framboisier/ https://spotjardin.fr/2022/05/19/le-myrtillier/ https://spotjardin.fr/2022/05/17/le-groseillier/ https://spotjardin.fr/2022/05/15/le-cassissier/ https://spotjardin.fr/2022/05/13/le-pommier/ https://spotjardin.fr/2021/06/05/le-cerisier-du-japon/ https://spotjardin.fr/2022/05/14/le-prunier/ https://spotjardin.fr/2022/03/02/le-chevrefeuille-arbustif/ Et pour terminer, je vous propose cette vidéo de la chaine YouTube Jardin et biodiversité https://youtu.be/hwtL7RAa0oY Read the full article
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amenager-son-jardin · 4 months
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5 arbustes de 2m et persistants pour votre haie !
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mpsevilla · 1 year
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Un jardin sur la mer
Chapitre I Un chapeau de paille émerge de la haie séparant le grand potager d’un tout petit lopin de terre, fleurs et plantes formant un tapis multicolore. Le chapeau danse lentement au-dessus des arbustes. De temps en temps, une main le soulève pour éponger un front dont on ne sait à qui il appartient. Seul le bruit des sabots d’un cheval oblige le propriétaire du chapeau à se relever. Un jeune…
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ctgraph · 3 years
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#taille #haie #arbuste #bonzai #domestique #nature #naturephotography #naturelover #vert #green #light #lumiere #parc #japon #nippon (à Parc Oriental de Maulévrier) https://www.instagram.com/p/CPnBXGejha_/?utm_medium=tumblr
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manieresdedire · 4 years
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Énièmes jours de mon second confinement
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Année 2020, semaine 48 ou l’une de ses jumelles
Je ne t’ai pas tout dit des petits événements qui meublent mon semi-confinement.
Il ne se passe rien d’essentiel, le temps s’écoule sans à coups ni déplaisir. Ni désirs brûlants.
Ces derniers deux ou trois jours, j’ai entrepris de replanter des arbustes de haie aux emplacements des sujets morts ou qui végétaient depuis trop longtemps ; j’ ai replacé ces derniers en massif avec force engrais et terreau.
Le pépiniériste m’a donné un cours de taille d’arbres fruitiers. Je lui avais demandé s’il avait une idée de ce pour quoi mes pruniers ne donnent rien depuis leur installation à part de nombreuses branches et un feuillage abondant. Quant au cerisier qui souffre des mêmes symptômes, plus quelques autres comme la gommose ou le brunissement, son porte-greffe est grandement suspecté d’être à l’origine de sa croissance calamiteuse. Seul un "sainte-Lucie" siérait à l’installation d’un greffon en terres calcaires. Au fait, ce matin, j’ai noté que le Mirabellier ou le Reine-claude, je les confonds, laissait échapper une grosse "bulle" de gomme.
J’avais cru suivre les conseils publiés sur une vidéo didactique. Je n’ai sans doute rien compris, ou bien le petit film qui m’avait inspiré était incomplet... un peu de ces deux explications vraisemblablement. Pour exécuter une bonne taille, il faut avoir compris le fonctionnement de l’arbre, de ses organes et leur rôle. - charpente de développement, œil à bois, dard, bouton à fleur, brindille et coursonne porte-fruits,,... - J’ai noté que j’avais fait n’importe quoi. Les tailles étaient esthétiquement harmonieuses, mais ineptes du point de vue du cycle "floraison - fructification".
En revanche, année exceptionnelle pour mes deux oliviers dont les branches ploient sous le poids de leurs fruits - un effet des apports d’engrais des deux dernières années ? -, tellement, que je me suis décidé à en récolter d’abondance et à préparer leur conservation avec saumure et herbes aromatiques. Une première tentative faite il y a quatre ans avait avortée. À la différence des deux saisons précédentes, les oiseaux ont peu touché aux olives. JP m’en a donné une étrange explication : les volatiles seraient occupés à chercher leur pitance dans les récents labours qui auraient lieu à des dates différentes des autres années... Je m’attends à des attaques-éclair et de masse sur les très nombreux fruits que je leur abandonne. Aurais-je dû m’inspirer de la récente cueillette des mandarines en Corse ?
J’aime bien avoir les mains dans la terre, améliorer la physionomie d'une haie, d'un massif. Transformer, embellir mon petit paysage de proximité me récompense un peu des déboires de l’écriture. C’est étrange : je fais lire mes textes qui recueillent peu d’emballements mais je ne demande à personne un avis sur l’allure de mon jardin et j’ai le même plaisir à écrire et à jardiner. Parce que j’écris pour être lu - à mes risques et périls [d’amour propre et de réputation] - et je cultive la terre pour moi seul. Sincèrement, quand je regarde mon jardin et le compare à d’autres, je le trouve fade, sans surprise, sans émotion, sans âme ni rythme... je n’irai pas chercher confirmation mais je crains que mon jardin ait quelque chose à voir avec ce que j’écris...
De passage dans une jardinerie, à la recherche d’agrafes de re-fixation (le pépiniériste n’en avait plus) des toiles de paillage dont j’ai élargi les ouvertures pour refaire des trous de plantation dignes de mes nouveaux arbustes, je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter deux pots de trois jacinthes chacun. J’aime humer leur parfum délicieux et renouveler ainsi un menu plaisir d’automne.
J’ai compris, après ton départ, qu’avoir stocké un peu d’alimentation dans le garage était une mauvaise idée. Un soir, quelques bruits m’ont convaincu que de petits animaux s’y étaient invités. Couleuvre ou souris ? J’ai toujours la phobie des serpents, j’en ai croisé plusieurs cet été, près de la maison ou un peu plus loin, alors j’en imagine partout, mais je sais que ce n’est pas raisonnable. Quelques jours plus tôt, dans le tiroir d’un meuble, j’avais repéré de vieux pièges à petits rongeurs : des tapettes en bois avec mécanisme en cuivre -. Je les ai armées, placées sur le passage probable d’intrus. La mie de pain n’a rien donné (un conseil inapproprié). L’appétence pour le fromage a été fatal à une souris tandis que d'autres ont dû se régaler de généreux morceaux de Beaufort après s'être jouées de mes pièges. J’en ai racheté deux nouveaux sur lesquels j’ai déposé en guise d’appâts, de petits tas de farine de boulanger. Une stratégie efficace : deux morts supplémentaires. Comme c’est triste de voir ces souris inertes qui auraient pu passer pour de jolis petits animaux en peluche !
Gilles C., du journal "LTL", a répondu à mon mail de transmission de mon dernier "Billet de bonne humeur". Il aime bien que je sois fidèle depuis plus de cinq ans à ce rendez-vous mensuel. Gilles semble avoir mis au point un code de notation de mes chroniques : "Pas d’accusé de réception", "Accusé de réception accompagné d’un mot gentil" et "Commentaire favorable"... Une délicatesse qui l’honore. Ce mois-ci j’ai encore évoqué le confinement - c’est la deuxième ou troisième fois depuis mars -, il est vrai, cet artifice, cette parenthèse, me pèse et me lèse. Une allégorie. Celle d’un mur imaginaire de confinement qui nous rendrait la vie difficile et servile en s’installant dans nos têtes, mais par dessus lequel on peut voir et aimer le monde à la condition de disposer du privilège "géostratégique" (et... psychologique ?) de hauteur de vue.
J'essaie de tirer le meilleur parti de ma nouvelle TV, je découvre des films, des conférences... le monde de la connectivité inter-appareils..., c'est amusant, j’ai pu zapper de combats MMA (Mixed Martial Arts) en concerts, de vieux films en courts métrages gores,... mais pas longtemps. Je suis mal assis sur le canapé, j’ai mal au dos, alors pour regarder la télévision, c’est tout un cirque, il me faut déplacer le canapé, glisser mon "Voltaire" à bonne distance de l’écran. Vieillir... quelle épreuve !
Ouvrir un livre, en lire quelque pages, passer à autre chose. En ces moments, je lis un roman, le soir, "Le maître et Marguerite", un cadeau de Rodolphe - je viens juste de le commencer - et un essai sur le ressentiment, "Ci-gît l’amer", un mélange d’analyse philosophique et psychanalytique, à lire absolument. Je trouve de nombreuses réponses à mes interrogations sur les motivations ou les comportements des gens qui inventent des sornettes, ne font pas confiance, refusent de reconnaître les talents des autres, leur intelligence, leur leadership, leur cœur. En revoyant à la lumière du concept de ressentiment, les mouvements sociaux et politiques récents, je suis tenté de m’en expliquer certains ressorts.
Je lave mon linge, le fait sécher, le plie et le range. En m’occupant à de petites tâches utiles, j’ai l’impression que ma vie ne file pas à vau l’eau, que j’ai un peu de maîtrise sur elle... C’est comme préparer les repas, balayer, faire le lit, prendre une douche et manger du chocolat en buvant un café. Des tâches occupationnelles, de petits plaisirs, de minuscules projets..., de la solitude... Le tout n’est quand même pas terrible... Je sais bien que je vis très différemment de nombreuses personnes de ma génération, leur perpétuel mouvement devrait m’inspirer des idées de sortie, des "initiatives fortes" - mes années étant dorénavant chichement "comptées", je devrais mettre les bouchées doubles -... mais pour faire quoi de très différent de ce qui ne me va pas si mal ?
C’est bête, j’avais envisagé de moins écrire, mais ça me reprend toujours. Avec parfois au bout, comme la satisfaction à l’issue d’une séance "d’auto-analyse"... et plus souvent, de petits plaisirs éprouvés dans l’alignement des mots, la production d’une phrase à l’agréable sonorité, la mise en place d’un bon rythme, la création, par jeu, d’allitérations bégayantes et rigolotes et même, suprême audace, la construction de jeux de mots !...
à suivre...
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marinelp · 5 years
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🇫🇷 Un petit coucou par ici pour vous souhaiter une belle semaine ! Quoi de neuf chez vous ? Ici on vient de commander nos arbustes chez @lesjardinsdelafrolle pour la future haie, maintenant on attends impatiemment les premières pluies pour pouvoir préparer la terre 😊 En guest, mon petit Crassula Hobbit qui ne cesse de grandir 🌱 • 🇬🇧 Stopping by to wish you a lovely week! What‘s new? Here we have just ordered our plants from @lesjardinsdelafrolle for the future hedge, now we are impatiently waiting for the first rains to be able to prepare the soil 😊 As a guest, my little Crassula Hobbit who is growing like crazy 🌱 • #homesweethome #teamconstruction #interior4all #decorationinterieur #deco #homedesign #decorar #decoracão #decoracioninteriores #decor #homedecor #decorationscandinave #kitchendesign #decocuisine #plantaddict #plantsofinstagram #decoindustrielle #scindapsus #fortheloveofplants #plantgang #urbanjungle #crassulahobbit #plantegrasse #succulente https://www.instagram.com/p/B2MtBiuiQvQ/?igshid=1cuf3zdc66dk9
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benevolesjalhay · 3 years
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La catastrophe du 15 juillet 2021 a emporté une quarantaine des cinquante ponts que comptent les promenades sur le territoire qui est en charge des bénévoles de Sart-Jalhay. Certains ont été emportés, d��autres cassés et détruits comme des fétus de paille bien qu’étant basés sur des poutres de 35 sur 15 cm. La vallée de la Sawe a été la plus facile à remettre en état. Deux ponts restés quasi entiers, ont été treuillés sur plusieurs dizaines de mètres avant d’être remis en place. Un troisième a été entièrement reconstruit. Pour aller plus vite, certains volontaires parmi les bénévoles ont décidé de travailler non seulement le lundi mais également le vendredi. Cela a d’ailleurs permis d’agrandir l’équipe par de nouveaux bénévoles qui ne sont pas libres le lundi. Depuis l’été nous sommes généralement deux douzaines d’hommes le lundi et une douzaine d’hommes le vendredi.
Au soir du premier lundi de l’an neuf, les bénévoles n’étaient pas peu fiers de tirer un bilan particulièrement positif. La Hoëgne a été rendue praticable de Parfondbois jusqu’au Moulin Thorez et de Belleheid jusqu’au Pont du Centenaire, même si certaines passerelles précaires remplacent encore à ce jour les ponts définitifs. Le Wayai qui n’avait pas trop souffert, est resté quasiment praticable. La Sawe a été rendue accessible jusqu’à la haie du procureur, soit sur tout son cours. La Statte a été restaurée sur toute sa longueur à l’exception du double pont au pied du rocher de la Bilisse. Une passerelle provisoire y a été construite à partir des débris des anciens ponts.Elle permet de contourner cette dernière difficulté et sera sûrement encore en place au printemps. Pour la Statte, comme les budgets et les disponibilités des poutres de plus de 10 m sur le marché font défaut, il a été décidé de couper des chênes avec des troncs droits de plus de 10 mètres, arbres qui étaient proches des sites et qui ont été équarris par notre as de la tronçonneuse, Daniel Appeldoorn. Edouard André, ayant pris des mesures précises permettant les calculs des tirants d’air et donc du débit maximum sous pont, certains emplacements des ponts ont été légèrement déplacés pour pouvoir faire face à une nouvelle crue, même s‘il y a peu de chances d’échapper à une nouvelle super catastrophe. De plus, toutes les culées ont été rehaussées à l’aide de gabions posés sur des socles en béton.
Le 03/01/22, nous avons été accompagnés par l’échevine en charge, la charmante Victoria Vandeberg qui n’a d’ailleurs pas hésité à s’impliquer manuellement avant d’offrir la galette des rois aux hommes présents.
Début janvier, la reconstruction du pont du Belvédère sur la Hoëgne, particulièrement difficile d’accès, a été entamée. Pour permettre le passage des très nombreux promeneurs, une passerelle provisoire avait été mise en place avec deux sapins abattus à proximité mais elle ne résistera probablement pas aux crues hivernales. Sur ce chantier, la manipulation des matériaux est délicate, surtout pour les poutres longues de près de 12 m, hautes de 35 cm et épaisses de 16 cm, le tout dans une pente à plus de 30% sur une centaine de mètres. Un traineau métallique et solide construit par Michel Pire, a permis de descendre en vallée tout ce qu’il fallait, tiré par le treuil mobile et freiné par des cordages enroulés autour des arbustes environnants.
Si le courage ne manquera pas, si nous restons préservés des infections Covid comme jusqu’à présent et si l’équipe de Xavier Delcour au service des travaux parvient à nous alimenter en matériaux (surtout les poutres et planches), nous avons bon espoir de remettre en place tous les ponts détruits d’ici le 14/07/2022.
Après, il faudra restaurer les sentiers et dégager les rivières des chablis de l’inondation. Il y aura encore du travail pour tous les lundis des 2 prochaines années.
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homedecortn · 3 years
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Haie à croissance rapide (plus de 65 photos avec noms) : les meilleures plantes et arbustes vivaces et à feuilles persistantes https://homedecor.tn/decoration/haie-a-croissance-rapide-plus-de-65-photos-avec-noms-les-meilleures-plantes-et-arbustes-vivaces-et-a-feuilles-persistantes/
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spotjardin · 1 month
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La pivoine arbustive
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Floraison printanière de la pivoine arbustive
présentation
Elle est originaire d'Europe, de Chine, d'Amérique du Nord mais aussi du Japon. On l'appelle également Paeonia suffruticosa qui est son nom scientifique. Vous pouvez l'utiliser en massif, en haie ou bien encore en isolé. Si vous souhaitez des couleurs dans votre jardin, c'est l'arbuste qu'il faut cultiver. La couleur de ses fleurs vont du blanc au rose en passant par le rouge, le pourpre ou bien encore le jaune, le mauve ou le violet. Suivant la variété cultivée, ses fleurs peuvent être simples ou bien parfois doubles. Elle est facile à cultiver et à entretenir. A maturité, elle peut avoir une hauteur d'un mètre pour les plus petits sujets et jusqu'à 2 mètres pour les plus grands. ATTENTION le feuillage de la pivoine arbustive est très toxique.
culture
Choisissez-lui un emplacement ensoleillé voire à mi-ombre (surtout dans les régions très chaudes) sur un sol riche et surtout bien drainé. Évitez impérativement les sols où l'eau a tendance à stagner. Si votre sol est trop pauvre, incorporez-y du compost bien décomposé, de la poudre d'os ou bien encore de la corne torréfiée. Si vous souhaitez cultiver la pivoine arbustive en haie, espacez chaque sujet d'1m50 minimum. Si toutefois votre sol est lourd, je vous conseille de lui faire un apport de sable afin d'alléger ce dernier. La pivoine arbustive peut se planter de la saison automnale à la saison printanière hors période de gel. Dès qu'elle est plantée, arrosez-la copieusement. Pendant la première année, les apports d'eau doivent être réguliers, surtout pendant les périodes chaudes de la saison estivale. La pivoine déteste d'avoir les pieds dans l'eau. Alors, n'ayez pas trop la main lourde lors de vos arrosages. Il s'agit d'un arbuste buissonnant qui vous demande beaucoup de patience à cause de sa croissance qui est lente. Il faut patienter entre 6 et 8 ans pour pouvoir profiter de sa très belle floraison printanière.
entretien
Installez-lui un paillage de 6 à 8 centimètres d'épaisseur afin de lui conserver un peu d'humidité et limiter la pousse des adventices. Arrosez-la régulièrement pendant la première année surtout par temps chaud et sec. Les différents arrosages doivent être effectués avec parcimonie car la pivoine arbustive craint les excès d'humidité. Évitez impérativement de déranger le système racinaire de la pivoine en creusant autour de cette dernière. A la fin de la saison automnale ou au début de la saison hivernale, supprimez le bois mort. Vous pouvez la fertiliser très légèrement au début de la saison printanière.
parasites & maladies
La pivoine arbustive peut être sensible au botrytis. C'est pourquoi il faut éviter impérativement d'arroser le feuillage lors de vos apports d'eau. Si vous constatez une importante infection, supprimer toutes les parties atteintes et effectuez une pulvérisation de purin de prèle. Elle peut être également contaminée par le mildiou surtout par temps humide. Dans ce cas, évitez de trop arroser et vérifiez que vos pivoines arbustives soient bien ventilées. Effectuez également une pulvérisation de purin de prèle. Les pucerons sont très friands du feuillage ainsi que des boutons floraux. Faites venir les coccinelles qui sont les prédatrices des pucerons. Effectuez une pulvérisation de savon noir dilué dans l'eau afin de les déloger. Nos amies les limaces peuvent dévorer les jeunes pousses. La pivoine arbustive peut être aussi attaquée par les thrips. Si c'est le cas, pulvérisez de l'huile essentielle de neem afin de les éloigner. La pivoine arbustive peut être également envahie par les nématodes qui sont des parasites qui infectent le système racinaire des plantes. Ces dernière subissent un flétrissement et un jaunissement du feuillage. Vérifiez que le sol soit bien drainé car les nématodes évoluent essentiellement sur les sols humides. La rotation des cultures peut vous aider à réduire la présence des nématodes.
multiplication
La pivoine arbustive se multiplie par la division de la souche à la saison automnale ou bien encore au début de la saison printanière. Pour cela, déterrez la souche de la pivoine arbustive très délicatement afin de ne pas abimer son système racinaire. Utilisez votre fourche plate pour effectuer cette opération. Secouez la souche avec précaution afin de débarrasser cette dernière du surplus de terre. A l'aide d'un couteau bien affuté et bien désinfecté, tranchez en plusieurs morceaux la pivoine arbustive de telle manière que chacun possède un bourgeon et des racines. Plantez immédiatement ces éclats obtenus sur un emplacement préparé de la même manière comme déjà expliqué ci-dessus. Arrosez-les copieusement pour faciliter une bonne reprise. La pivoine arbustive peut aussi se multiplier par bouturage à la saison printanière quand la plante est en végétation active. Pour cela, vous devez prélever des boutures d'une quinzaine de centimètres de longueur possédant au moins un bourgeon. Supprimez les feuilles de la partie inférieure. Plantez ces boutures ainsi obtenues dans un mélange de terre légère et de sable directement en pleine terre. Enfoncez-les sur 5 centimètres de profondeur environ. Le sol doit être maintenu légèrement humide mais pas détrempé pour éviter le pourrissement des boutures. Arrosez-les donc modérément. Les boutures prennent quelques mois pour s'enraciner. Quand vous constatez qu'elles sont bien enracinées, plantez-les ailleurs en prenant soin de les transplanter avec une petite motte afin de ne pas abimer les jeunes systèmes racinaires. A noter que la pivoine arbustive peut aussi également se multiplier par semis. Cette opération est plus longue à réaliser. Je ne vous conseille pas cette méthode car elle est plutôt réservée aux professionnels pour développer de nouvelles variétés.
association
La pivoine arbustive peut s'associer avec des plantes à floraison printanière tels la tulipe, la pivoine herbacée, l'iris, l'hémérocalle, l'hosta et la jacinthe. De cette manière vous pouvez créer des massifs très attractifs. Afin de prolonger la floraison tout au long de la saison, vous pouvez aussi l'associer avec des plantes vivaces comme par exemple le sedum, l'aster et le phlox. La pivoine arbustive peut s'associer avec des plantes à floraison printanière tels la tulipe, la pivoine herbacée, l'iris, l'hémérocalle, l'hosta et la jacinthe. De cette manière vous pouvez créer des massifs très attractifs. Afin de prolonger la floraison tout au long de la saison, vous pouvez aussi associer avec des plantes vivaces comme par exemple le sedum, l'aster et le phlox. https://spotjardin.fr/2019/04/12/la-tulipe https://spotjardin.fr/2019/12/27/la-pivoine https://spotjardin.fr/2019/05/22/liris https://spotjardin.fr/2019/11/13/lhemerocalle https://spotjardin.fr/2019/11/14/lhosta https://spotjardin.fr/2019/03/16/la-jacinthe https://spotjardin.fr/2019/09/04/le-sedum-des-jardins https://spotjardin.fr/2019/12/12/laster https://spotjardin.fr/2019/08/29/le-phlox Et pour terminer, je vous propose cette vidéo de la chaine YouTube newsjardintv https://youtu.be/_PzUDOeXkWY Read the full article
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Haie fruitière : 5 arbustes indispensables !
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noyo-creatif · 3 years
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Notre mot du jour est « marcescent » ! La marcescence désigne l’état dans lequel un arbuste est lorsqu’il ne perd pas ses feuilles mortes durant la période hivernale. Ces feuilles mortes restent attachées durant tout l’hiver et ne tombent qu’une fois la pousse des nouvelles feuilles entamées. On utilise parfois des arbustes marcescents pour faire des haies car cela permet d’avoir un brise vue naturel qui est vert au printemps et en été et marron durant l’hiver et l’automne. On plante alors des charmes et des hêtres, arbustes marcescents ! #feuille #feuillage #nature #haie #brisevue #brise #charme #hetre #arbre #printemps #wambrechies #jardin #jardinage (à Wambrechies) https://www.instagram.com/p/CNEdjxtBi-9/?igshid=1urv01ovy7i8e
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mtfg14 · 4 years
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www.mtfgboutique.com #mtfg #mtfgpaysagiste #mtfgboutique #mtfgproduits #mtfgservices #mtfgprestations #mtfgprestationsdeservices #mtfglocations #paysage #paysagiste #jardin #potager #exterior #exterieur #tonte #tondre #entretien #plantes #arbuste #fleurs #construction #amenagement #amenagementexterieur #haie #desherbage #gazon #tondeuse #plantation #horticulture #mtfglemontsurlausanne (à MTFG Point de vente 5016) https://www.instagram.com/p/CMNAa6Hh-2f/?igshid=vlopaxuahmst
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manieresdedire · 6 years
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Terre !
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Terre enfin...
Ce que j'aime dans la campagne où je vis, plus que ma maison, c'est le bout de nature attenant que j’appelle le "jardin".
Il y a peu, arbres, pelouse, massifs et "espace à jardiner", ont été mis en place sans atermoyer. Pas question alors de perdre plus d'une saison.
Aujourd'hui, l’ensemble est à peu près harmonieux mais il ne me convient pas.
J'ai donc entrepris d'en modifier l’organisation, de redéfinir des contours, de transférer en pleine terre des plantes et des petits arbustes qui vivotaient en pots et qu’avec lassitude, je ne cesse d'arroser l'été et de rempoter chaque printemps.
Je remanie ce qui est en place et qui peut encore bouger.
Je viens de reconfigurer le potager, trop difficile à entretenir. Mais sans grand effort cérébral, en réduisant le vaste rectangle à un petit carré. Une végétation folle dominée par les chardons concurrençait, sans grande lutte, mes légumes et prenait sur eux un avantage funeste, les empêchant de trouver leur place ou en contrariant leur croissance. Travailler la terre, collante par temps humide, dure sous la chaleur, est une affaire ardue.
La complexité et l’extrême rigueur de l'œuvre verte, géométrique, experte et belle de mon voisin le jardinier, m'ont dissuadé de tenter d'en adopter les principes d'ordonnancement : lignes droites sans défaut, tunnels amovibles de protection et de réchauffement, dispositif contre les vents, cultures protectrices d'autres végétaux, pérennité des productions...
Pas question non plus donc d'y créer un séduisant désordre, un fouillis savant et poétique... faute d’irrésistible inspiration. Seulement d'une année l'autre, veiller à alterner les cultures. Réfléchir un peu, calculer à peine, ne pas laisser trop de place à l'imagination. Aller vite et bien.
Une bande dédiée aux herbes fines et quatre ou cinq cultures de saisons suffiront. L'été, des tomates, des courgettes, des aubergines, des haricots. Des concombres ? L'hiver, une variété, voire une deuxième, pas davantage. Des fèves par exemple. Plus jamais l'ail, ni l'oignon, trop d’attente, trop de soins. Le tout disposé avec application mais sans égard pour les normes "à la française" des jardins d'antan et d'à côté. Il faudra cependant que le tout me plaise et soit d'un accès facilitant l’entretien et la cueillette.
Dans l'aire maraîchère libérée par l'opération de resserrement, travailler le terrain, l’ameublir, extraire les racines des chardons semblables à de longues mèches profondément enfouies dans la matière, réserver les emplacements destinés à recevoir les petits arbres et les plantes vivaces une fois libérés de leur pot, les placer, les arroser abondamment, ratisser, amender la parcelle au moyen du terreau issu du compost, disposer les graines du futur gazon, se débarrasser en déchetterie des dizaines de kilos de cailloux amenés en surface et extraits d'abord à la pelle, puis par poignées et enfin l'un après l'autre, avec deux fois deux doigts.
Il me fallait aussi revoir les massifs.
Les élargir pour rendre harmonieuses les proportions de chaque élément du petit paysage. Arracher l'ivraie et le chiendent qui s’étaient solidement implantés, intriqués aux racines des vivaces et aux robustes rhizomes des iris. Employer la manière forte : couper, arracher, extraire, jeter, composter, replacer, arranger avec netteté et précision les bordures. Manier résolument la fourche-bêche, la bêche, la pioche, et pour parachever le tout, le râteau et même le balai.
Pour davantage d'efficacité et de méticulosité, agir, à l'occasion, genoux appuyés au sol et lunettes chaussées.
Expulser les grosses larves blanches qui ont envahi les pots en les offrant à l'appétit insatiable des oiseaux. Modeler la glèbe à la main, l’étaler, trier en humant les parfums de l'humus qui récompensent des efforts déployés pour faire beau.
Tailler les arbres fruitiers qui, en trois ans, n’ont formé que de longues branches parties à l'assaut du ciel et ont oublié de produire ce pourquoi ils ont été plantés : satisfaire les envies de croquer des fruits frais et fournir matière à pâtisseries, à confitures. Le cerisier a consenti au fleurissement, les pruniers, n'ont pas eu cette délicatesse ! Seul un figuier encore nain, récemment installé, isolé, a réussi là où les autres ont démérité.
Passer une dernière fois en revue la haie, couper, tailler les arbustes en les dotant de belles formes.
Réunir en tas tous les déchets verts, les broyer, les mettre à composter.
Haubaner les arbres hauts menacés par les vents d'Ouest et l'Autan, après avoir ôté les tuteurs anciens qui les blessaient. Et continuer à craindre les tempêtes.
Sculpter le houppier d'un mûrier-platane dont les branches secondaires pointent vers le soleil au lieu de se développer en parasol, avec pour objectif un été avec ombre et chaise longue dessous. Un rêve toujours lointain.
Puis, alors que, justement, le soleil s’apprête à disparaître mais que la lumière est encore belle, se reculer, corriger un peu, ratisser encore, remettre, quelques minutes, les mains dans la terre, retoucher une dernière fois, sachant que rien n'est jamais définitivement achevé.
À la fin (quand ?), attendre.
Regarder tous les jours, évaluer, vérifier, guetter une évolution tandis que rien ne se passe en surface. Savoir qu’il faudra sortir de ce bout final d'automne puis de l'hiver qui ne se hâte pas. Patiemment, voir venir. Et, un jour ou l'autre, constater enfin que les enracinements ont réussi. Ou échoué.
Dans l'attente, se réfugier à la maison.
Lire peut-être.
Écrire. Sûrement. Pour donner à voir combien prendre soin d'un bout de planète apporte du bonheur. Sans excès de zèle, en se sentant faire corps, oui, physiquement, avec elle.
Au fait, cet aggiornamento m'a pris près d'une semaine.
Fabien Borgogne
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rucherdupillier · 4 years
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L'épine-vinette est un bel arbuste mellifère et parfait dans une haie défensive. #MangezDuMiel #ChateauneufLoire42800 #Miel #Tetradium #Abeilles #Granger #Apiculteurs #lepillier (à Le Pillier) https://www.instagram.com/p/B-7MBnppRie/?igshid=5vnijuvf2458
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