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#henri diamant berger
widevibratobitch · 1 year
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Edouard de Max as Cardinal Richelieu playing with a kitten <333 Les Trois Mousquetaires (1921) dir. Henri Diamant Berger
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cinemasfutbol · 11 months
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lyslily · 7 years
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Jules Berry Arsène Lupin détective, Henri Diamant-Berger (1937).
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script-supervisor · 6 years
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Ginette Diamand-Berger
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Jacques Marin.
Filmografía
Cine
Años 1940-1950
1946 : Le Beau voyage de Louis Cuny - Un mauvais garçon
1948 : L'assassin est à l'écoute de Raoul André - le barman
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy
1950 : Le Mystérieux colonel Barclay, cortometraje de Jacques Vilfrid
1951 : Seul dans Paris : de Hervé Bromberger un homme du village
1952 : Jeux interdits de René Clément - Georges Dollé
1952 : Nous sommes tous des assassins de André Cayatte
1953 : Quitte ou double de Robert Vernay - Lucien
1953 : Un jour comme les autres, cortometraje de Georges Rouquier - Pierrot
1954 : Faites-moi confiance de Gilles Grangier - Bob
1954 : Avant le déluge de André Cayatte - L'ouvrier à bicyclette
1954 : J'y suis... j'y reste de Maurice Labro
1954 : Papa, maman, la bonne et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le voisin
1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry - Un gardien de prison
1955 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le garagiste
1955 : Ça va barder de John Berry
1955 : Sur le banc de Robert Vernay - Le policier qui court après La Hurlette et Carmen
1955 : Le Dossier noir de André Cayatte - Un policier
1955 : Les Évadés de Jean-Paul Le Chanois - Un prisonnier
1955 : French Cancan de Jean Renoir - Un homme dans la file d'attente
1955 : La Rue des bouches peintes de Robert Vernay - Le commissaire
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier - Le gendarme
1955 : L'Amant de lady Chatterley de Marc Allégret - Un homme du pub
1956 : Des gens sans importance de Henri Verneuil - Le routier qui fesse Clotilde
1956 : Marie-Antoinette de Jean Delannoy - Un crieur de journaux
1956 : Mon curé chez les pauvres d’Henri Diamant-Berger
1956 : Ces sacrées vacances de Robert Vernay - L'automobiliste
1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier - L'agent de police
1956 : Paris, Palace Hôtel de Henri Verneuil - Le livreur de fleurs
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara Le patron du restaurant
1956 : Cette sacrée gamine de Michel Boisrond - Un gendarme
1956 : Reproduction interdite de Gilles Grangier
1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier - Un flic de garde
1957 : A Paris tous les deux - (Paris holiday) de Gerd Oswald.
1957 : Les femmes sont marrantes de André Hunebelle - Le taxi
1957 : Les Vendanges (The Vintage) de Jeffrey Hayden
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay
1957 : Porte des Lilas de René Clair - L'inspecteur qui enquête sur le vol chez l'épicier
1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond - Le motard
1957 : Montparnasse 19 de Jacques Becker - Le patron du café
1958 : Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois : Le messager (dans la première époque)
1958 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin
1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier - Le garçon de café bavard
1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara - Le réceptionniste du Trianon-Hôtel
1958 : Les Racines du ciel (Roots of Heaven) de John Huston - Cerisot
1958 : Le Miroir à deux faces de André Cayatte - Un professeur
1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux - Le pêcheur
1958 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : le gendarme
1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné - Monsieur Félix
1958 : Madame et son auto de Robert Vernay - Monsieur Rouille
1958 : Le Joueur de Claude Autant-Lara
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Mimile, un habitué du café
1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière - Monsieur Mauduis
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy - Albert, le chauffeur de la comtesse
1959 : Guinguette de Jean Delannoy - Albert
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay - L'inspecteur
1959 : Croquemitoufle ou Les Femmes des autres de Claude Barma - Le contrôleur
1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal - Le contrôleur routier
1959 : Match contre la mort de Claude Bernard-Aubert.
Año 1960
1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier - Le brigadier de gendarmerie dont la chaîne de vélo a sauté
1960 : La Française et l'Amour, sketch Le Mariage de René Clair - Le contrôleur
1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer - Le gardien
1960 : Pantalaska de Paul Paviot - Monsieur Tropman
1960 : Monsieur Suzuki de Robert Vernay
1960 : Vers l'extase de René Wheeler - Le boucher
1960 : Au cœur de la ville de Pierre Gautherin
1961 : Le Président de Henri Verneuil - Gaston, le chauffeur de car.
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier - L'inspecteur Larpin, de la police mondaine
1961 : Le Général ennemi (The Ennemy General) de George Sherman - Marceau
1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer - L'employé de l'hôtel
1961 : Arrêtez les tambours de Georges Lautner - L'épicier
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner - Trochu
1961 : La Pendule à Salomon de Vicky Ivernel
1962 : Le Gentleman d'Epsom de Gilles Grangier - Raoul, le boucher turfiste
1962 : Gigot, le clochard de Belleville (Gigot) de Gene Kelly - Jean
1962 : Le Couteau dans la plaie de Anatole Litvak - Le commissaire
1962 : La Belle des îles (Tiara Tahiti) de Ted Kotcheff - Desmoulins
1962 : Portrait-robot de Paul Paviot
1963 : Charade de Stanley Donen - L'inspecteur Édouard Grandpierre
1963 : Le Glaive et la Balance de André Cayatte - Un gendarme
1963 : Méfiez-vous, mesdames de André Hunebelle
1963 : Le Poulet, cortometraje de Claude Berri
1964 : Le Train de John Frankenheimer y Bernard Farrel - Jacques, le chef de gare de Rive-Reine
1964 : La Vie conjugale (version Françoise) d’André Cayatte
1964 : Vacances pour Yvette (Vacaciones para Yvette) de José-Maria Forque
1965 : Fantômas se déchaîne de André Hunebelle - L'agent de police ferroviaire
1965 : Humour noir, sketch La Bestiole de Claude Autant-Lara
1965 : Les Bons Vivants, sketch La Fermeture de Gilles Grangier - L'acquéreur du mobilier de la maison close
1966 : Comment voler un million de dollars (How to steal a million) de William Wyler - Le gardien-chef du musée
1966 : Paris au mois d'août de Pierre Granier-Deferre - Bouvreuil
1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson - Le maire coléreux à qui on prend son hélicoptère
1966 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Aujourd'hui de Claude Autant-Lara - L'agent de police
1966 : La Vingt-cinquième Heure de Henri Verneuil - Le soldat chez Dubrosco
1968 : La Motocyclette (The Girl on a Motorcycle) de Jack Cardiff - Le pompiste
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Un déménageur
1969 : La Nuit du lendemain (The Night of the Following Day) de Hubert Cornfield y Richard Boone - Le patron du café
1969 : La Fiancée du pirate de Nel.
Año 1970
1970 : Hello, Goodbye (Hello Goodbye) de Jean Negulesco
1970 : Darling Lili (Darling Lili) de Blake Edwards - Le major Duval
1971 : Mourir d'aimer de André Cayatte - Le correspondant
1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard - Antoine Simonet, chef de train S.N.C.F
1971 : Jo de Jean Girault - Andrieux, un policier chercheur
1971 : Le Cinéma de papa de Claude Berri - L'acteur jouant le chef de gare
1971 : Le Petit Matin de Jean-Gabriel Albicocco - La Bouhère
1973 : Shaft contre les trafiquants d'hommes (Shaft in Africa) de John Guillermin - L'inspecteur Cusset
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ? de Robert Lamoureux - L'épicier français collaborateur
1974 : L'Île sur le toit du monde (Island at the Top of the World) de Robert Stevenson - Le capitaine Brieux
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault - Lucas
1974 : Vos gueules, les mouettes ! de Robert Dhéry - Le porte-bannière
1974 : Les "S" pions (S.P.Y.S) d’Irvin Kershner - Lafayette
1974 : Impossible... pas français de Robert Lamoureux - Dussautoy
1975 : Bons baisers de Hong Kong d’Yvan Chiffre - Le gradé de la police
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux - Le bistrot
1975 : Flic Story de Jacques Deray - Le patron de l'auberge de Saint-Rémy
1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond - Le patron de l'agence de location de voitures
1976 : Marathon Man (Marathon Man) de John Schlesinger - Leclerc
1976 : L'Année sainte de Jean Girault - Moreau, le gardien de prison
1976 : Le Jour de gloire de Jacques Besnard - Le patron du bistrot
1977 : Le mille-pattes fait des claquettes de Jean Girault - L'inspecteur de police
1977 : La Coccinelle à Monte-Carlo (Herbie Goes to Monte-Carlo) de Vincent McEveety - L'inspecteur Bouchet
1978 : L'Horoscope de Jean Girault - J.L. Beauché
1978 : La Grande cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff - Masseret
1978 : Général... nous voilà ! de Jacques Besnard - Mac Goland
1979 : Grandison d’Achim Kurz.
Años 1980 - 1990
1981 : Ach du lieber Harry de Jean Girault - Un haut dignitaire
1982 : Te marre pas .. c'est pour rire ! de Jacques Besnard - Albert, le chauff.
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das-coven · 3 years
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Jane Renouardt, née Victorine Catherine Renouard, est une actrice française du cinéma muet, née le 7 juillet 1890 dans le 6e arrondissement de Paris et morte le 3 février 1972 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine.
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Jane Renouardt commence sa carrière en jouant le rôle de Jane, la femme de Max (Max Linder) dans la série de courts métrages muets.
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Jane Renouardt est la première directrice du Théâtre Daunou qu'elle fait aménager après sa construction en 1921. Le théâtre ouvre ses portes le 30 décembre 1921.
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Elle épouse l'acteur Fernand Gravey en 1936 à Joué-lès-Tours.
Elle est inhumée au cimetière de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).
La filmographie de Jane Renouardt
1911 : Max veut faire du théâtre, court métrage de Max Linder : Jane, sa femme (comme Jane Renouard)
1911 : Max et les Crêpes, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Un mariage au téléphone, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max veut grandir, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Entente cordiale, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Le Voyage de noces en Espagne, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Une nuit agitée, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Jalousie ou Max est jaloux, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max amoureux de la teinturière, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max et son chien Dick, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max reprend sa liberté, court métrage de Max Linder : Jane
1912 : Max lance la mode, court métrage de Max Linder : Jane
1916 : L'Enfant prodigue, court métrage de Michel Carré : Phrynette (comme Jane Renouard)
1916 : La Petite Amie, court métrage de Marcel Simon
1917 : Le Clown, court métrage de Maurice de Féraudy
1917 : Une soirée mondaine, court métrage de Henri Diamant-Berger
1918 : La Fugitive de André Hugon
1919 : En quatrième vitesse, court métrage de Marcel Simon
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phantombandit-films · 4 years
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L'homme qui rit (2012), The Grinning Man (2016), The Man Who Laughs Musical 웃는남자 (2018 - 2019/20)
I first heard about ‘The Man Who Laughs’ because of the South Korean musical version of the Novel.
From there I learned about Victor Hugo’s novel that was published in 1869 under the french title L'homme qui rit.
The story is set in 1680s -1700s England, during the reign of James II and Queen Ann. It depicts royalty, how aristocracy was so cruel and power-hungry at that time. Hugo’s intention was to show the parallels between England and the French reign of Louis-Philippe and the Régence.
‘The novel follows the life of a young nobleman called Gwynplaine who was disfigured by a perpetual grin as a child and left homeless. He stumbles upon a dead women who has frozen to death outside in the snow, but the baby girl in her arms was still alive Gwynplaine saves the baby and carries on until he meets a man called Ursus who owns a travelling theatre and invites the child to stay with him. 15 years later, Gwynplaine has turned into a brave young man by is still haunted by his disfigurement. The baby now named Dae grew into a beautiful women but was blinded by the cold. Between the two a romance has started to blossom, the two help Ursus put on shows where they tell the tale of Gwynplaine and end with him revealing his face so the crowds can laugh at his grotesque face.
One night a spoilt Duchess by the name of Josiana, who is also the illegitimate daughter of King James II decides she’s bored of the normal routine of court. Telling her fiancé, David Dirry-Moir who she has been engaged to since birth he tells her that the only cure for her boredom is Gwynplaine. So after this she decides to attend one of his performances, and is somewhat aroused by the combination of hid virile grace and his facial disfigurement. Later a agent of the court who wishes to destroy Josiana by getting her to marry the ‘clown’ meaning Gwynplaine, shows up at the caravan and some how gets Gwynplaine to follow him.
He is tricked into going in a London dungeon where he meets a physician named Hardquannone who is being tortured and killed, Hardquannone recognises Gwynplaine as the boy who he had arranged to be abducted and disfigured 23 years earlier. It’s revealed that during the reign of King James II in 165-1688, one of the king’s biggest enemies was a Lord Linnaeus Clancharlie, Marquis of Corleone, who had fled to Switzerland. When the Lord died the King had arranged an abduction of the lords then 2 year old son and heir, Fermain. The King then sold Fermain to a band of wanderers called ‘Comprachicos’ who were criminals that would disfigure and mutilate children, and then use this to force them to beg for alms, or to bring in money being exhibited as carnival freaks. This story is confirmed by a message in a bottle that Queen Anne received a short time before, the message was a last confession by the ‘Comprachicos’ before they perished in a storm. The message explains that they renamed the boy Gwynplaine and abandoned him in a heavy snowstorm before they set sail to sea. This letter also detailed that David Dirry-Moir is the illegitimate son of the Lord Linnaeus. Now that Gwynplaine is known to actually be Fermain and is alive and well, the inheritance that was promised to David on the condition that he marry Josiana will now instead go to Fermain. Gwynplaine is the arrested and Baekilphedro goes back and lies to Ursus and Dea telling them that Gwynplaine is dead.
Upon hearing the news Dea becomes ill with grief that her love is gone, to make matters worse the authorities exile them for using a wolf in their shows which is illegal. Meanwhile Josiana has Gwynplaine brought to him so that she can seduce him, but is interrupted by a pronouncement from the Queen. It informed her that David had been disinherited and that the Duchess must now marry Gwynplaine. Josiana however rejects him as a lover but agrees to marry him. Gwynplaine gets his title of Lord Farmain Clancharlie, Marquis of Corleone back and is permitted to sit in the house of lords. But when he addresses the peerage with a fiery speech against the inequality between the rich and the poor, the other Lords just laugh at Gwynplaine’s clownish grin. David comes to his defence and challenges a dozen Lords to duels however he also challenges Gwynplaine who’s speech had inadvertently condemned David’s mother, who had abandoned David’s father to become the mistress of Charles II.
Gwynplaine realising that this isn’t the life he wants renounces his peerage and sets out to find Ursus and Dea, but is unable to find them which nearly drives him to take his own life. He then learns of the deportation and swiftly finds the ship and reunites with them, the fragile Dea is ecstatic to have her love back but unfortunately dies abruptly. Ursus fainting at the sight. Gwynplaine in a trace, obviously devastated by the Death of his love walks along the deck while speaking to a dead Dea. He then throws himself into the sea and doesn’t resurface. When Ursus finally comes to, he’s met with the sight of Homo the wolf sitting by the ships rail howling at the sea.’
There has been many film adaptations of this Novel: - The Man Who Laughs (1909) Made in France by the Pathé film company, no copies of this film have known to survive. - Das grinsende Gesicht (The Grinning Face) 1921 silent film produced by Olympic Films. - The Man Who Laughs (1928) American silent film directed by Paul Leni, It stared Conrad Veidt who played Gwynplaine and this performance was a key influence on the character design for the comic book villain The Joker. - Clair de Lune (1932) French film that was based on the 1921 play, directed by Henri Diamant-Berger. - The Man Who Laughs (1966) (L'uomo che ride) Italian-French film, it also comes in a English dubbed version that’s titled ‘He Who Laughs’ which was made in Italy and directed by Sergio Corbucci. This story is inspired by the novel but takes a different path, almost making it into it’s own story. - L'homme qui rit (1971) TV movie directed by Jean Kerchbron, this was made into three episodes. - The Man Who Laughs (2012) French movie.
There has also been many Theatre adaptations: - Claire De Lune (1921) was a stage play written by Blanche Oelrichs but under her male persona Michael Strange. It ran for 64 performances from April to June. - The Man Who Laughs (2005) The Stolen Chair Theatre Company developed a ‘silent movie for stage.’ that drew inspiration from the Novel and the 1927 silent film. - The Man Who Laughs (2006) the story was adapted into a musical made by Alexandr Tyumencev who is a composer, and Tatyana Ziryanova who is a Russian lyrics. - The Man Who Laughs (2013) a musical version that featured a blend of Jewish, Gypsy and Russian style songs. - The Grinning Man (2016) is another musical adaptation that opened at the Bristol Old Vic, this versions does have some slight changes from the original story such as Gwynplaine is changed to Grinplaine. There is also use of Puppets. - The Man Who Laughs (2018) Musical adaptation written by Frank Wildhorn, this musical debuted in South Korea and stared Idol’s who played Gwynplaine such as Kim Junmyeon also known as Suho from Exo, Kyuhyun from Super Junior, Park Hyo Shin and Park Kang Hyun. This musical won three awards that included the Best Musical Award in the 2019 Korean Musical Awards.
There has also been a series of comic books made about The Man Who Laughs from 1950 up until 2013. I’m going to only talk about the 2018 musical, the 2012 film L'homme qui rit and 2016 The Grinning man because these are the ones that I’m familiar with. I’ll be starting out with the 2018 musical because this is the one that introduced me to The Man Who Laughs.
Source
I’ll be talking about: * The Man Who Laughs (웃는남자) Korean Musical (2018 - 2019/20)
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* The Man Who Laughs (L'homme qui rit) French Movie (2012)
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* The Grinning Man Bristol Old Vic Musical (2016) 
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boireuncoup · 6 years
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readjournalstudy · 7 years
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Reading List 2017
Poetry
The Enlightened Heart ed. by Stephen Mitchell* Crush by Richard Siken* I Wrote This for You The Princess Saves Herself in this One by Amanda Lovelace We Were Young by Fortesa Latifi This Is How We Find Each Other by Fortesa Latifi
Young Adult
Six of Crows by Leigh Bardugo* Crooked Kingdom by Leigh Bardugo Glass Sword by Victoria Aveyard* King’s Cage by Victoria Aveyard Dangerous Girls by Abigail Haas Vanishing Girls by Lauren Oliver* The Winner’s Kiss by Marie Rutkoski* The Rose and the Dagger by Renee Ahdieh* The Maze Runner by James Dashner* Cress by Marissa Meyer* Daughter of Smoke and Bone by Laini Taylor* A Darker Shade of Magic by V.E. Schwab Trick by Natalia Jaster In the Afterlight by Alexandria Bracken* The Women in the Walls by Amy Lukavics Diary of a Haunting by M. Verano The Ravenous by Amy Lukavics The Dead House by Dawn Kurtagich Wink Poppy Midnight by April Genevieve Tucholke The Invasion of the Tearling by Erika Johansen The Fate of the Tearling by Erika Johansen The Walls Around Us by Nova Ren Suma A Thousand Piece of You by Claudia Gray Between the Devil and the Deep Blue Sea by April Genevieve Tucholke
Fiction
All the Light We Cannot See by Anthony Doerr* The Hundred Foot Journey by Richard C. Morais* The 6th Extinction by James Rollins* The Historian by Elizabeth Kostova* The Namesake by Jhumpa Lahiri* Station Eleven by Emily St. John Mendel* The Stand by Stephen King* Frankenstein by Mary Shelley* Life of Pi by Yann Martel* Xenocide by Orson Scott Card* The Bookseller of Kabul by Asne Seierstad* Inferno by Dan Brown* Practical Magic by Alice Hoffman* Mr. Penumbra’s 24-Hour Bookstore by Robin Sloan* Mrs. Dalloway by Virginia Woolf* In the Woods by Tana French The Penelopiad by Margaret Atwood The Buried Giant by Kasuo Ishiguro* The Long Way to a Small, Angry Planet by Becky Chambers The Halloween Tree by Ray Bradbury* The Forever War by Joe Haldeman* The Sparrow by Mary Doria Russell* The Red Tent by Anita Diamant* Mary, Called Magdalene by Margaret George* The Agony and the Ecstasy by Irving Stone* Utopia by Thomas More* Zen and the Art of Motorcycle Maintenance by Robert M. Pirsig* Garden Spells by Sarah Addison Allen Stardust by Neil Gaiman The Palimpsest by Catherynne M. Valente Deathless by Catherynne M. Valente Medea by Christa Wolf The Kite Runner by Khaled Hosseini* The Road by Cormac McCarthy In the Time of the Butterflies by Julia Alvarez*
Short Stories
The Best American Non-Required Reading 2014* Nebula Awards Showcase 2015* Arrival (previously Stories of Your Life and Others) by Ted Chiang* The Bloody Chamber by Angela Carter* A Wild Swan: And Other Tales by Michael Cunningham Universe 3* The Martian Chronicles by Ray Bradbury* I, Robot by Isaac Asimov* Annihilation by Jeff VanderMeer
Nonfiction
A Room of One’s Own by Virginia Woolf* The Shock Doctrine by Naomi Klein* This Changes Everything: Capitalism vs. The Climate by Naomi Klein The Communist Manifesto by Marx and Engels* Our Revolution: A Future to Believe In by Bernie Sanders* Witchcraze by Anne Llewellyn Barstow* Women Who Run With Wolves by Clarissa Pinkola Estes, Ph.D.* The Beauty Myth by Naomi Wolf* Cosmos by Carl Sagan Zealot by Reza Aslan* Witches, Midwives and Nurses: A History of Women Healers by Barbara Ehrenreich Tiny Beautiful Things: Advice on Love and Life from Dear Sugar by Cheryl Strayed A Walk in the Woods: Rediscovering America on the Appalachian Trail by Bill Bryson* Capital in the Twenty-First Century by Thomas Piketty Walden and Civil Disobedience by Henry David Thoreau* A Woman Looking at Men Looking at Women: Essays on Art, Sex, and the Mind by Siri Hustvedt Re-Making Love: The Feminization of Sex by Barbara Ehrenreich Cosmos by Carl Sagan
Art History
Degenerate Art by Stephanie Barron 100 Ideas that Changed Art by Michael Bird The Sense of Sight by John Berger* The $12 Million Stuffed Shark: The Curious Economics of Contemporary Art by Don Thompson The Sistine Secrets by Benjamin Blech*
*I own the book
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ambipolis · 6 years
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Jeudi 21 décembre 2017
Miquette et sa mère
En ce début d’hiver, je vous invite à lire ou à relire Miquette et sa mère avec la préface de Noël Herpe (Presses Universitaires de Paris Nanterre). Cette pièce de Robert de Flers et de Gaston Arman de Caillavet fut crée en novembre 1906 au Théâtre des Variétés et a fait l’objet de nombreuses adaptations cinématographiques recensées par Noël Herpe dans sa préface.
En 1933 film de Henri Diamant-Berger avec Blanche Montel, Michel Simon, Alerme et pauline Carton. En 1940, film de Jean Boyer avec Lilian Harvey, André Lefaur, Lucien Baroux et Marguerite Pierry. En 1949-1950 la Miquette et sa mère de Henri-Georges Clouzot déjà évoquée dans le texte sur Clouzot repris par l’Incorrect. Sans oublier, pour être complet, le film muet de Marcel Simon. Pourquoi cet intérêt de réalisateurs et de grands acteurs, des cinéphiles pour cette pièce ? Sans doute parce que ce théâtre est,  «bien davantage que celui de Feydeau caractérisé par l’esprit (préface de Noël Herpe)…, une mythologie en creux de la Belle époque…, un sous texte sourdement mélancolique, comme s’il consommait l’adieu à une France bien finie .» Et puis ces répliques savoureuses  et désopilantes qui ne pouvaient déplaire à la plume de Clouzot, le pataphysicien Jean Ferry. Je vous en livre quelques unes en cette période de fêtes, ne serait-ce que pour  vous donner l’envie de lire ou relire ce texte. «Un comique … si vous croyez que c’est gai. » «Et ce roi qui ne fait rien et qui approuve tout en pleurnichant… On dirait un président de la République. » «Tu vois, ce ne serait même pas un crime ! Alors ça n’en vaut pas la peine.» «Il y a un grand saint qui a dit : Il faut laisser la tristesse aux heureux de ce monde.» «Oui, t’es un bon chien. Tu es laid, tu es vieux, tu es mal peigné. Tu es fidèle ! Tout cela va très bien ensemble. » «Il m’ a répondu d’une façon évasive . -Mais quoi ? -Il m’a dit «Fous le camp, idiot.» «Aujourd’hui il n’y a plus de gens nés. On ne naît plus. – Et ce qu’il y a d’embêtant, c’est qu’on meure encore. – De l’héritage des aïeux, il ne reste plus rien. – Si, la goutte.» «Mon enfant, nous autres, nous sommes l’histoire, nous n’avons pas besoin de la savoir…» «Dans six mois, j’aurai dix ans de plus.» «Ce que nous appelons l’emploi des ganaches tragiques.» Et puis ma préférée : «Madame Glandier : - Je suis éblouie. Mon cerveau se vide d’idées. - Le marquis : C’est la race qui vient… Marquise !»
Jean-Loup ARNAUD
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laurent-bigot · 7 years
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L’histoire : Bob Wellington (Eddie Constantine), en bordée à Paris, tombe amoureux de Claudie (Zizi Jeanmaire), danseuse aux Folies-Bergère. Tandis que Bob est condamné aux tournées de province, Claudie poursuit sa carrière à Paris. Grâce à Philippe Loiselet (Jacques Castelot), elle fait ses débuts au cinéma. Bob revient a Paris, et croit que Claudie le trompe avec Loiselet. Ils se fâchent. Bob est remarqué par la vedette de la revue des Folies, Suzy. Mais l’amour finira par triompher, et Claudie par devenir star aux Folies-Bergère.
“Prologue” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Un Américain à Paris avait remporté en 1952 un beau succès sur les écrans français. Minnelli, Gene Kelly, Leslie Caron étaient à la mode. A la faveur de cet engouement on se rappelait les inoubliables réussites de It’s Always Fair Weathe (Beau fixe sur New York), de Singin’ in the Rain (Chantons sous la pluie), On the Town (Un Jour à New York). Les fanatiques invoquaient Band Wagon (Tous en scène), dont la réussite en France n’avait été que médiocre, et chacun de célébrer les mérites évidents et émouvants de Cyd Charisse. Pourquoi ne pas penser qu’à Paris on puisse tourner un film à la gloire du music-hall – mieux encore à la gloire des Folies Bergère – qui, malgré la sclérose d’une tradition un peu trop établie, continuent à drainer rue Richer la foule des provinciaux et la cohorte des étrangers. On pouvait disposer comme têtes d’affiche de Zizi Jeanmaire, qui, en plus de ses talents de danseuse, laissait deviner une personnalité de comédienne, et d’Eddie Constantine qui commençait à se fatiguer et à lasser le public avec les éternelles resucées des romans de Peter Cheyney…  [Decoin par Raymond Chirat (Avant-Scène du cinéma, 1973)]
“Le départ du Grand Prix” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Le scénario, bâti en fonction des vedettes, mobilisa Jacques Companeez, habile à faire flèche de tout bois, André et Georges Tabet, Henri Decoin y apporta son savoir-faire, et, surtout s’employa à lier toutes ces composantes pour en faire le spectacle somptueux, chatoyant, lascif et endiablé que le public était en droit d’attendre. Le scénario, conventionnel mais bien fignolé, offrait l’avantage de faire intervenir des acteurs, au talent connu: Nadia Gray, en commère de revue dont le personnage s’inspirait sans doute de quelques excentricités de Mistinguett ; Yves Robert en copain dévoué ; Pierre Mandy en régisseur modèle. Claudie est danseuse aux Folies Bergère. Bob Wellington, soldat américain, la rencontre, l’adore, et, à cause d’elle reste à Paris. Le démon de la danse fait gravir à Claudie les échelons du succès, Bob se défend moins bien dans les exhibitions en province. Surviennent là-dessus des disputes et des brouilles jusqu’au jour de la première. Là, Claudie remplace sa perfide rivale, et Bob, qui avait fait ses classes, sinon ses preuves, revient à ses premières amours dans l’enchantement du final de la revue. [Henri Decoin – Bibliothèque du film – Durante – Collection Ciné-Regards (2003)]
“Les Soutiens” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Folies-Bergère demeure avant tout le triomphe de Zizi Jeanmaire qui ne fut jamais mieux servie que dans ce film : Freddy Buache se fait lyrique en la voyant : «Zizi ! il faut que j’en dise un mot… Elle est merveilleuse actrice autant que danseuse. Elle possède une intelligence corporelle (Ah ! que ses épaules sont spirituelles) qui lui permet de jouer toute la gamme des attitudes. Aussi superbement gouailleuse que Mistinguett, délurée autant qu’Arletty, elle peut subitement se transformer en petit animal apeuré. Elle chante et mime la croqueuse de diamants avec une aisance foudroyante; elle est pétillante dans les frous-frous emplumés, ravissante en robe de cocktail, émouvante en trenchcoat. Et toutes ces qualités nous les retrouvons dans sa manière de servir les chansons. A elle seule, elle vaut le déplacement. »
“L’audition” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Oui, certainement, à condition d’admettre que dans son écrin de plumes, d’or, de fanfreluches et de paillettes, Decoin a su particulièrement la mettre en valeur. La présence d’Eddie Constantine, en revanche, gêne plutôt le metteur en scène et l’embarrasse pour rythmer certains tableaux : chanteur moyen et mauvais danseur, I’ex-Lemmy Caution fait souvent tomber le voltage du film. Le scope et le technicolor servent le propos, une sorte de timidité par rapport à la caméra dont Decoin pourtant savait se servir lui nuit. On souhaite et on réclame l’entrechat des prises de vues au cœur même du ballet, des pirouettes d’appareil, un mouvement continuel, une animation exacte, on assiste un peu trop souvent à une représentation vue du premier rang des fauteuils. Devoir soigné à quoi manquent, sinon la virtuosité, du moins un certain enthousiasme.
“Je suis – Tu es “ – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Les mêmes reproches peuvent être adressés à Charmants garçons qui venait sur la lancée d’un film de Christian Jaque : Adorables créatures. Zizi, sous les traits de Lulu, chanteuse et danseuse de cabaret, y parcourt les étapes boulevardières de son éducation sentimentale et passe des bras de François Périer, mari infidèle, à ceux de Daniel Gélin, gentleman cambrioleur; Henri Vidal, champion de boxe, ne veut pas sacrifier le noble art, Gert Froebe possède un coffre-fort qui ne fait toutefois pas oublier son physique ni son ventre, et Jacques Dacqmine, impresario discret et attentif réserve ses élans à de tendres jeunes gens. De mésaventures en déceptions, Zizi-Lulu chante des airs de Guy Béart, danse dans d’agréables décors, et Roland Petit a la haute main sur la partie chorégraphique. C’est un divertissent de bon aloi, en retrait sur l’effort de Folies-Bergère, et qui marqua le point final dans les tentatives de Decoin pour créer un «musical » français.  – [Anthologie du cinéma – [Decoin par Raymond Chirat (Avant-Scène du cinéma, 1973)]
“L’Hiver” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Une nouvelle fois, Decoin et ses producteurs misent sur l’importance des moyens accordés pour cette superproduction à la française : près de 300 millions de francs de l’époque, la couleur (encore argument publicitaire) et l’écran large. On annonce Marlène Dietrich, ce sera Zizi Jeanmaire ; Robert Hirsch, ce sera Pierre Mondy. Quant à Eddie Constantine, il s’est imposé dès son second film, La Môme vert-de-gris (Bernard Borderie, 1953), dans le rôle nonchalant et parodique de Lemmy Caution, agent du FBI lymphatique et plutôt porté sur la boisson et les jolies filles que sur l’efficacité de ses enquêtes. Depuis lors, il a enchaîné les succès dans des films faits sur mesure pour son français – disons – hésitant et sa personnalité – disons – désinvolte : Les Femmes s’en balancent (Bernard Borderie, 1953) ou Je suis un sentimental (John Berry, 1955) remplissent les salles, et la production ne doute pas qu’il en soit de même avec un film qui, d’une certaine manière, raconte la vraie vie de Constantine : ancien choriste à Broadway, ancien cascadeur à Hollywood, ami de Joan Crawford et de John Garfield, débarqué en France en 1949 dans Les Valises d’une danseuse, partenaire de Piaf sur scène dans La P’tite Lili, bref, artiste complet même si, quand il danse, par exemple, il atteint assez rapidement ses limites artistiques.
“Croqueuse de diamant” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Rien de tel bien sûr pour Zizi Jeanmaire, auréolée du prestige de ses compositions hollywoodiennes (notamment dans Hans-Christian Andersen et la danseuse, Charles Vidor, 1952) qui, dans des ballets composés pour elle par son mari Roland Petit, surclasse aisément son partenaire : « L’Hiver », « Rue et bar », mais surtout « La Croqueuse de diamants » où Zizi n’a pas son pareil pour chanter du Queneau : « Je suis une croqueuse de diamants, les diamants c’est ma nourriture ». Bien sûr, on lorgne du côté du Gentlemen Prefer Blondes de Hawks (1953) et sa chanson fétiche,“Diamonds are the girls’ best friends”. Ce n’est pas la seule occasion de penser à la comédie musicale américaine, à laquelle Folies-Bergère fait clairement référence, entre copie et hommage, entre imitation et inspiration. Le scénario se veut proche de certains opus de Minnelli, Sidney ou Stanley Donen : les amours contrariées de Bob Wellington, marin en bordée devenu chanteur de cabaret et de Claudie, danseuse puis star aux « Folies-Bergère ».
“Rue et Bar” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Le début du film, avec la longue balade nocturne dans les rues reconstituées de Paris de Bob et de Claudie, évoque irrésistiblement On the Town (Un Jour à New York) de Stanley Donen et Gene Kelly (1949), tout comme la chanson de Bob « Je suis – Tu es » rappelle une scène fameuse d’Un Américain à Paris (Vincente Minnelli, 1951), dans laquelle Gene Kelly s’essaie, lui, à apprendre l’anglais à des titis parisiens. Par la suite, la beauté des chorégraphies, des costumes et des décors compense mal l’enlisement patent de «l’action », réduite à sa plus simple expression jusqu’au dénouement. Dans le musical les morceaux chantés et dansés participent de l’action, font avancer le récit et les personnages. Rien de tel ici où, prisonnier de la scène des « Folies », Decoin, sans doute plus qu’aidé par Roland Petit, se contente de mettre soigneusement au point une perfection plastique parfois très kitsch, sans que l’on sache trop si c’est volontaire. A cet égard, le ballet construit autour de « Paris reine du monde » est un must, où l’on voit Eddie Constantine esquisser quelques pas de danse, entouré de superbes créatures en maillot de bain vert pomme et fausses plumes, avant que Zizi ne l’éclipse, dans un fourreau orange des plus improbable, orné d’un magnifique « truc en plumes »blanc.
“Le Cirque ” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Difficile, dès lors, de faire la fine bouche. À qui sait jouer du second degré, le film est un régal pour l’œil et l’oreille, plaisant, émoustillant même, plus proche des Ziegfeld Follies que d’Arthur Freed, mêlant la grande tradition française (cabarets, java, gouaille à la Piaf de Zizi) avec le dynamisme, l’enthousiasme américain, auxquels, à vrai dire, Eddie Constantine apporte plus de velléités que de réussite effective. On bouderait à tort son plaisir : apprécier Zizi Jeanmaire dans la « robe araignée » qu’elle arbore dans le final est un plaisir en soi.
“L’apothéose” – FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
On s’étonne donc, dans cet augure plutôt flatteur, de découvrir un Decoin plutôt amer interviewé par L’Express au tout début du tournage du film : « Henri Decoin sait parfaitement ce qu’il tourne : un « show business ». Le « qu’en dira-t-on ?» ne l’excite plus : “J’ai tourné une fois un bon film, La Vérité sur Bébé Donge ; la critique m’a massacré. Deux ans plus tard, elle encensait mon Razzia sur la chnouf, cette plaisanterie purement commerciale”. Tous les acteurs et les techniciens savent d’ailleurs très bien ce qu’ils font, et, hier soir, à la projection des premiers “rushes’: ils camouflaient leur indifférence derrière des “Que c’est joli !” qui ne veulent strictement rien dire et sont les pires compliments que l’on puisse foire à un film. » Je filme des ballets pour la première fois. J’ai appris en allant voir des films américains, encore des films américains. Ça me changeait. J’adore changer. Il faut avoir le talent de M. René Clair pour tourner toujours la même chose».
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957)
Decoin ne nous a habitués ni à tant d’amertume, ni surtout à tant de méchanceté gratuite – même si on veut bien croire que René Clair n’est pas sa tasse de thé. On ne peut, cependant, lui donner entièrement tort. Il a tourné son dernier bon film l’année précédente avec Razzia sur la chnouf, ce qui va suivre oscillera entre le convenable et le pire. L’homme, qui n’a jamais rechigné aux projets de pure convenance, a peut-être quelque lassitude, quelques regrets de devoir, une fois de plus, imiter les Américains, lui qui a su, avec Danielle Darrieux et ses comédies, les surclasser sur leur propre terrain. Ce n’est pas son film suivant qui va lui donner l’occasion de faire preuve d’originalité. – [Henri Decoin – Bibliothèque du film – Durante – Collection Ciné-Regards (2003)]
Eddie Constantine
Zizi Jeanmaire
FOLIES-BERGERE (Un Soir au Music-hall) – Henri Decoin (1957) – Eddie Constantine et Zizi Jeanmaire
  FOLIES-BERGÈRE, Un Soir au Music-hall – Henri Decoin (1957) L’histoire : Bob Wellington (Eddie Constantine), en bordée à Paris, tombe amoureux de Claudie (Zizi Jeanmaire)
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widevibratobitch · 1 year
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no cause you guys don't understand how obsessed i am with these 1921 Three Musketeers they're all so pretty!!!
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lyslily · 7 years
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Jules Berry Arsène Lupin détective, Henri Diamant-Berger (1937).
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MICHEL SIMON.
Filmography
1924: La Galerie des monstres, by Jaque Catelain and Marcel L'Herbier
1925: La Vocation d'André Carel, by Jean Choux
1925: Feu Mathias Pascal, by Marcel L'Herbier
1926: L'Inconnue des six jours, 6 by René Sti
1927: Casanova, by Alexandre Volkoff
1928: Tire-au-flanc, by Jean Renoir
1928: The Passion of Joan of Arc, by Carl Theodor Dreyer
1929: Pivoine, 7 by André Sauvage
1930: L'Enfant de l'amour, by Marcel L'Herbier
1931: On purge bébé, by Jean Renoir
1931: La Chienne, by Jean Renoir
1931: Baleydier, by Jean Mamy
1931: Jean de la Lune, by Michel Simon (signed by Jean Choux)
1932: Boudu saved from the waters, by Jean Renoir
1933: Miquette et sa mère, by Henri Diamant-Berger, D. B. Maurice and Henri Rollan
1940: La Comédie du bonheur, by Marcel L'Herbier
1941: Tosca, by Carl Koch
1941: Il ré se divertrte, by Mario Bonnard
1942: A Signora dell'Ovest, by Carl Koch
1943: Vautrin, by Pierre Billon
1943: Au Bonheur des Dames, by André Cayatte
1951: La Poison, by Sacha Guitry
1951: Vedettes sans maquillage, by Jacques Guillon
1951: La Cité du midi, by Jacques Baratier
1952: Le Marchand de Venise, by Pierre Billon
1952: Hôtel des Invalides, by Georges Franju
1952: Monsieur Taxi, by André Hunebelle
1952: La Fille au fouet, by Jean Dréville
1955: L'Impossible Monsieur Pipelet, by André Hunebelle
1955: Les Mémoires d'un flic, by Pierre Foucaud
1956: La Joyeuse Prison, by André Berthomieu
1957: Les Trois font la paire, by Sacha Guitry
1957: Un certain monsieur Jo, by René Jolivet
1958: The Bait, by Ladislao Vajda.
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boireuncoup · 7 years
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